Archive pour le Tag 'banque'

Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

Croissance : stagnation au quatrième trimestre pour la Banque de France

La Banque de France reconnaît mais un peu timidement qu’il y a peu de chances pour que la croissance progresse au quatrième trimestre. En clair on va vers la stagnation. En cause évidemment l’environnement mondial, les inquiétudes géo politiques et la crise économique et politique.

Pour l’ensemble de 2024, la Banque de France anticipe une croissance de 1,1%. (Crédits : Reuters)

L’activité devrait enregistrer une « progression légèrement positive » entre octobre et décembre, mais cette hausse serait contrebalancée par le « contrecoup » induit par la fin des JO. Un contrecoup « estimé à -0,2 point de PIB », a précisé l’institution dans son enquête mensuelle de conjoncture, sans chiffrer le niveau de croissance attendu au quatrième trimestre. Un niveau qui sera sans doute nul comme le prévoit d’ailleurs l’INSEE

 

Pour l’ensemble de 2024, la Banque de France anticipe une croissance de 1,1%, comme le gouvernement et l’Institut national de la statistique (Insee). Ce dernier s’attend à une croissance nulle au cours du dernier trimestre.

Selon l’enquête de conjoncture menée auprès d’environ 8.500 entreprises interrogées entre le 29 octobre et le 6 novembre, l’activité a progressé en octobre dans l’industrie, soutenue par l’aéronautique et l’agro-alimentaire. En revanche, le secteur automobile a continué de souffrir, surtout « la production de voitures électriques, qui pâtissent de la concurrence chinoise et d’une baisse de la demande sur ces modèles », a souligné la Banque de France.

Les carnets de commandes industriels sont toujours jugés « dégarnis », sauf dans l’aéronautique.  Dans les services marchands, l’activité a tourné au ralenti tandis que dans le bâtiment, le gros œuvre a bénéficié de la reprise de chantiers qui avaient été décalés par les JO.

En novembre, la Banque de France estime que l’activité devrait « peu » évoluer dans l’industrie et les services, et qu’elle reculerait dans le bâtiment.  Elle note que l’indicateur mensuel d’incertitude, fondé sur les commentaires des entreprises, demeure « relativement élevé dans tous les secteurs ».

« Les chefs d’entreprise mentionnent l’incertitude sur la politique économique et fiscale nationale, et l’instabilité de la situation géopolitique (en particulier avant les élections américaines), qui tendent à mettre en attente les projets d’investissement », selon elle.

 

Europe : la Banque de France redoute des conséquences négatives avec Trump

Europe : la Banque de France redoute des conséquences négatives avec Trump

Il est clair que si Trump applique son programme il faudra prendre en compte les effets de la nouvelle étape de protectionnisme des États-Unis, ce qui se traduira notamment une baisse de croissance et davantage d’inflation. La compétitivité européenne va se trouver mécaniquement affectée et la baisse des échanges économiques va peser négativement sur l’activité.

La victoire de Donald Trump «augmente les risques pour l’économie mondiale», a estimé mercredi le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, soulignant la nécessité d’une «remobilisation européenne». «Je crois que le résultat de l’élection américaine augmente à la fois les risques pour l’économie mondiale et la nécessité d’une remobilisation européenne», a commenté le gouverneur lors d’une conférence à Lyon.

Une administration Trump entrainera «probablement plus de protectionnisme», «ce qui signifie plus d’inflation, au moins aux Etats-Unis, et à priori moins de croissance partout dans le monde», a souligné le banquier central. Il a également relevé un déficit budgétaire américain probablement plus élevé et l’augmentation des incertitudes, ce qui risque également de peser sur la croissance. «L’élection américaine doit sonner le réveil européen» après «un long engourdissement», a commenté François Villeroy de Galhau, soulignant que «l’Europe aborde cette nouvelle donne avec des faiblesses évidentes», dont le «retard technologique» et la «division politique».

Taux d’intérêt : une une baisse de 0,50 par la banque fédérale américaine (FED)

Taux d’intérêt : une une baisse de 0,50 par la banque fédérale américaine (FED)

Constatant que l’inflation se dirige vers l’objectif de 2 %,la  Banque centrale américaine (Fed) a abaissé ce mercredi son principal taux directeur de 0,5 point et envisage un demi-point supplémentaire d’ici fin-2024, au cours de la dernière réunion avant l’élection américaine du 5 novembre.

 

Les taux avaient été relevés pour freiner la flambée des prix, et se trouvent depuis juillet 2023 dans la fourchette de 5,25 à 5,50%, leur plus haut niveau en plus de 20 ans. Ils se situent désormais dans une fourchette de 4,75 à 5,00%, après avoir passé plus d’un an à leur plus haut niveau depuis le début du siècle, à 5,25-5,50%.

Notons que d’autres banques centrales ont déjà amorcé le processus de baisse des taux d’intérêt. La Banque centrale européenne (BCE) par exemple avait commencé son cycle de baisse en juin 2024. Le 12 septembre 2024, elle a annoncé une deuxième baisse : à partir du 18 septembre 2024, son principal taux directeur, la facilité de dépôt, passe de 3,75 à 3,5%. L’urgence pour l’Europe est différente du fait de l’atonie du niveau de la croissance économique.

La Fed a par ailleurs  révisé à la baisse sa prévision d’inflation, à 2,1% en 2025, contre 2,3% attendus lors des précédentes prévisions, en juin. Le chômage a lui été révisé à la hausse, à 4,4% cette année et la suivante, contre 4,0 et 4,2% auparavant.

 

Banque d’Angleterre : baisse des taux de 0.25 point

 Banque d’Angleterre : baisse des taux de 0.25

La Banque centrale britannique  suit la BCE avec une baisse de taux de 0,25 point de pourcentage. 

Il s’agit de sa première baisse depuis mars 2020. Pour juguler la hausse des prix, la BoE a relevé ses taux à 14 reprises depuis décembre 2021 jusqu’en août 2023, avant d’opter pour une pause depuis septembre, avec un taux à 5,25%, son plus haut niveau depuis la crise financière de 2008.

Sa décision de ce jeudi est due à la baisse de l’inflation ces derniers mois. Depuis son pic à près de 11% fin 2022, qui avait généré une forte crise du pouvoir d’achat au Royaume-Uni, l’inflation a fondu doucement pour revenir à 2% sur un an en juin, l’objectif de la banque centrale.

L’institution monétaire britannique a rehaussé ses prévisions de croissance au Royaume-Uni pour 2024, à 1,25% contre 0,5% projetés dans son rapport de mai, mais continue de l’estimer à 1% en 2025. « Cette reprise (projetée de la croissance, ndlr) reflète en partie la diminution progressive de l’impact négatif sur la croissance des hausses de taux d’intérêt ayant eu lieu par le passé (et la) trajectoire descendante » des taux d’intérêt telle qu’envisagée par le marché, précise la BoE.

Banque centrale européenne: Une baisse des taux, de 4% à 3,75% ?

Banque centrale européenne: Une baisse des taux, de 4% à 3,75% ?

La Banque centrale européenne (BCE) doit annoncer ce jeudi la baisse de ses taux d’intérêt. L’ampleur de cette première baisse des taux après le cycle de relèvement devrait être de 25 points de base, selon les experts. Une baisse équivalente devrait être décidée par la banque fédérale américaine. La question qui se pose maintenant pour les deux zones géographiques, c’est de savoir s’il s’agit de la seule baisse pour l’année en cours.

L’inflation est repartie à la hausse en mai dans la zone euro, à 2,6% sur un an après 2,4% en mars et avril, selon des chiffres publiés vendredi. Mais, cette remontée « est liée à des facteurs temporaires », a commenté Riccardo Marcelli Fabiani, analyste d’Oxford Economics.

Cette baisse des taux pourrait aussi coïncider avec celle qu’envisage la banque fédérale américaine. Une différence toutefois la croissance américaine se porte nettement mieux que celle de l’union européenne. En effet les États-Unis attendent une croissance de 2,1 % en 2024 d’après le fonds monétaire international. L’Union européenne devant se contenter de l’ordre de 0,9%. À noter que les taux d’inflation se rapprochent : 2,6 %  pour la zone euro et 2,7% pour les États-Unis

BCE et Banque de France en déficit !

 BCE et Banque de France en déficit ! 

D’une certaine manière ,les déficits des Banques centrales notamment de la BCE ( aussi de la Banque de France) constitue une curiosité financière. Comment en effet comprendre a priori que des banques dont le métier est surtout d’émettre, de  gérer et de distribuer la monnaie puissent être en déficit ? Certes l’objectif des Banques centrales n’est pas de réaliser forcément des bénéfices mais au moins d’atteindre au minimum l’équilibre.
En cause, un rachat de titres excessifs à des taux très bas qui ne sont pas remplacés aujourd’hui par des titres plus récents et plus rémunérateurs compte-tenu de l’inflation. Les banques centrales ont distribué à gogo des liquidités monétaires aux banques sans intérêt qui aujourd’hui nourrissent l’inflation et qui redéposés dans les Banques centrales sont grassement rémunérés. Pour simplifier à outrance, les banques centrales ont fait de la fausse monnaie en inondant le marché de liquidités dont une grande partie d’une part alimente la spéculation sur les marchés financiers et l’autre se fait rémunérer par les Banques centrales quand cet argent leur a été fourni gratuitement.Cette gestion de la banque centrale et de la banque de France démontre à l’évidence au mieux l’incompétence des responsables au pire la complicité. Ce qui n’empêche pas d’ailleurs le bavard gouverneur de la Banque de France de continuer à donner des leçons d’économie assurant par exemple que la bataille de l’inflation était gagnée alors qu’on va encore ajouter 2 à 3 % aux 5 à 6 % des inflations annuelles précédentes. Et d’ajouter pour justifier tout cela : c’est structurel ! Alors que c’est spéculatif.L’institution a annoncé que sa politique monétaire avait provoqué une perte opérationnelle dans son bilan en 2023. La Banque de France n’a réussi à maintenir son résultat net à l’équilibre qu’au prix d’une ponction de 12,4 milliards d’euros dans ses réserves.

La remontée des taux directeurs aura coûté cher aux banques centrales et la Banque de France n’y fait pas exception. Ce vendredi, la Banque de France a publié un résultat net à l’équilibre pour l’année 2023, mais a annoncé avoir utilisé 12,4 milliards d’euros de ses réserves pour combler un trou du même ordre dans son résultat opérationnel. Il faut remonter à 2003 pour retrouver la précédente perte opérationnelle de la Banque de France.

 

 

Finances-Comme la BCE , la Banque de France aussi dans le rouge !

Finances-Comme la BCE , la Banque de France aussi dans le rouge ! 

D’une certaine manière ,les déficits des Banques centrales notamment de la BCE ( aussi de la Banque de France) constitue une curiosité financière. Comment en effet comprendre a priori que des banques dont le métier est surtout d’émettre, de  gérer et de distribuer la monnaie puissent être en déficit ? Certes l’objectif des Banques centrales n’est pas de réaliser forcément des bénéfices mais au moins d’atteindre au minimum l’équilibre.
En cause, un rachat de titres excessifs à des taux très bas qui ne sont pas remplacés aujourd’hui par des titres plus récents et plus rémunérateurs compte-tenu de l’inflation. Les banques centrales ont distribué à gogo des liquidités monétaires aux banques sans intérêt qui aujourd’hui nourrissent l’inflation et qui redéposés dans les Banques centrales sont grassement rémunérés. Pour simplifier à outrance, les banques centrales ont fait de la fausse monnaie en inondant le marché de liquidités dont une grande partie d’une part alimente la spéculation sur les marchés financiers et l’autre se fait rémunérer par les Banques centrales quand cet argent leur a été fourni gratuitement.Cette gestion de la banque centrale et de la banque de France démontre à l’évidence au mieux l’incompétence des responsables au pire la complicité. Ce qui n’empêche pas d’ailleurs le bavard gouverneur de la Banque de France de continuer à donner des leçons d’économie assurant par exemple que la bataille de l’inflation était gagnée alors qu’on va encore ajouter 2 à 3 % aux 5 à 6 % des inflations annuelles précédentes. Et d’ajouter pour justifier tout cela : c’est structurel ! Alors que c’est spéculatif.L’institution a annoncé que sa politique monétaire avait provoqué une perte opérationnelle dans son bilan en 2023. La Banque de France n’a réussi à maintenir son résultat net à l’équilibre qu’au prix d’une ponction de 12,4 milliards d’euros dans ses réserves.

La remontée des taux directeurs aura coûté cher aux banques centrales et la Banque de France n’y fait pas exception. Ce vendredi, la Banque de France a publié un résultat net à l’équilibre pour l’année 2023, mais a annoncé avoir utilisé 12,4 milliards d’euros de ses réserves pour combler un trou du même ordre dans son résultat opérationnel. Il faut remonter à 2003 pour retrouver la précédente perte opérationnelle de la Banque de France.

 

 

 

Comme la BCE , la Banque de France aussi dans le rouge !

Comme la BCE , la Banque de France aussi dans le rouge ! 

D’une certaine manière ,les déficits des Banques centrales notamment de la BCE ( aussi de la Banque de France) constitue une curiosité financière. Comment en effet comprendre a priori que des banques dont le métier est surtout d’émettre, de  gérer et de distribuer la monnaie puissent être en déficit ? Certes l’objectif des Banques centrales n’est pas de réaliser forcément des bénéfices mais au moins d’atteindre au minimum l’équilibre.
En cause, un rachat de titres excessifs à des taux très bas qui ne sont pas remplacés aujourd’hui par des titres plus récents et plus rémunérateurs compte-tenu de l’inflation. Les banques centrales ont distribué à gogo des liquidités monétaires aux banques sans intérêt qui aujourd’hui nourrissent l’inflation et qui redéposés dans les Banques centrales sont grassement rémunérés. Pour simplifier à outrance, les banques centrales ont fait de la fausse monnaie en inondant le marché de liquidités dont une grande partie d’une part alimente la spéculation sur les marchés financiers et l’autre se fait rémunérer par les Banques centrales quand cet argent leur a été fourni gratuitement.Cette gestion de la banque centrale et de la banque de France démontre à l’évidence au mieux l’incompétence des responsables au pire la complicité. Ce qui n’empêche pas d’ailleurs le bavard gouverneur de la Banque de France de continuer à donner des leçons d’économie assurant par exemple que la bataille de l’inflation était gagnée alors qu’on va encore ajouter 2 à 3 % aux 5 à 6 % des inflations annuelles précédentes. Et d’ajouter pour justifier tout cela : c’est structurel ! Alors que c’est spéculatif.

L’institution a annoncé que sa politique monétaire avait provoqué une perte opérationnelle dans son bilan en 2023. La Banque de France n’a réussi à maintenir son résultat net à l’équilibre qu’au prix d’une ponction de 12,4 milliards d’euros dans ses réserves.

La remontée des taux directeurs aura coûté cher aux banques centrales et la Banque de France n’y fait pas exception. Ce vendredi, la Banque de France a publié un résultat net à l’équilibre pour l’année 2023, mais a annoncé avoir utilisé 12,4 milliards d’euros de ses réserves pour combler un trou du même ordre dans son résultat opérationnel. Il faut remonter à 2003 pour retrouver la précédente perte opérationnelle de la Banque de France.

 

 

 

 

Croissance : la Banque de France révise aussi à la baisse ses prévisions

Croissance : la Banque de France révise aussi à la baisse ses prévisions

La Banque de France à son tour, corrige son estimation et prévoit une progression du PIB de seulement 0,8% cette année, contre 0,9% auparavant. La correction est il est vrai très légère et s’explique par «un moindre acquis de croissance à l’issue du quatrième trimestre 2023».

 

En langage clair cela signifie que la croissance s’inscrit dans une tendance très baissière depuis la fin de 2023 et que cela va continuer. La reprise est désormais repoussée à 2025. La Banque de France n’insiste pas suffisamment sur les facteurs explicatifs à savoir la baisse du pouvoir d’achat ( et des investissements) qui plombe la consommation et la croissance.

Quant à la différence entre la prévision de Bercy (1%) et la nouvelle de la Banque de France (0,8%), elle relève de «la marge d’incertitude», commente François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, dans une interview exclusive au Figaro .

D’après la Banque de France, en 2025 prochaine, la croissance va accélérer, à 1,5%, puis à 1,7% en 2026 , «sous l’effet d’hypothèses plus favorables sur les prix de l’énergie et les conditions financières». Les taux d’intérêt devraient en effet commencer à baisser au printemps alors que l’inflation ralentit. La Banque de France confirme dans ses prévisions le recul de la hausse des prix.

L’indice des prix à la consommation, après une progression de 5,7% sur l’ensemble de l’année dernière devrait s’établir à 2,5% cette année avant de baisser à 1,7% en 2025, en dessous de la cible de la Banque centrale européenne (BCE). Les salaires ne seront pas un moteur de l’inflation puisque les économistes de la Banque de France prévoient une «moindre augmentation des salaires à court terme». Ce ralentissement aidera à la désinflation mais « pourrait » freiner la reprise de la consommation.
Sur le front de l’emploi, la Banque s’attend à une remontée légère du taux de chômage, de 7,5% en 2023 à 7,8% «de fin 2024 à fin 2025».

BCE: La Banque centrale en déficit !

BCE:  La Banque centrale en déficit !

Il y a quelque chose de surréaliste dans cette annonce du déficit de la banque centrale européenne qui  a enregistré une perte de 1,3 milliard d’euros.  C’est le quatrième recul annuel de suite du résultat, depuis le bénéfice de 2,4 milliards d’euros en 2019. Cela démontre à l’évidence que la banque centrale européenne comme toutes les institutions administratives sont davantage gérées avec la culture des fonctionnaires qu’avec la culture de gestionnaires. Rien d’étonnant à cela puisque la plupart des institutions Européennes recrutent essentiellement leurs effectifs chez les fonctionnaires.
Comment comprendre le déficit d’une banque centrale qui pourtant est en charge de l’émission et du contrôle de la monnaie. La gestion de la banque centrale européenne est catastrophique notamment parce qu’elle a racheté sans discernement les dettes des Etats beaucoup trop en déficit ; soit des actifs douteux voire pourris. Ensuite parce qu’elle a déversé des milliards et des milliards aux banques commerciales  et sans intérêt. Du coup aujourd’hui avec l’inflation, la source de revenus de la banque centrale européenne est dans le rouge.
On objectera que cette politique visait à soutenir l’économie après la pandémie du Covid et la crise énergétique. À peine 50 % de ces sommes sont allés à l’économie réelle. En réalité ,une grande partie de ces sommes ont servi à la spéculation et soutenu les marchés financiers qui se sont gavés mais ce qui a augmenté encore l’inflation  notamment dans l’immobilier-qui plombe aussi la banque centrale européenne. Ce sont d’ailleurs encore ces milliards qui alimentent la spéculation des marchés financiers et alimentent toujours l’inflation. Comment expliquer sinon que la croissance s’écroule partout alors que les cours des marchés financiers s’envolent ?

 Les taux plus élevés ont « entraîné une augmentation des charges d’intérêt » payées aux banques centrales de la zone euro, explique le communiqué de la BCE. Résultat ? Une facture de plus de 14 milliards d’euros d’intérêt l’an dernier, contre 2 milliards en 2022.

Dans le même temps, les intérêts perçus sur la masse d’obligations accumulées par la BCE au cours des années de lutte contre la crise n’ont pas suivi. Ces actifs sont assortis de taux d’intérêt fixes et d’échéances longues, et ont été rachetés lorsque les coûts d’emprunt étaient très bas. Cet effet de ciseau dans les comptes financiers fait que la BCE devrait « subir des pertes au cours des prochaines années », selon son rapport annuel.

Crise Monétaire: La Banque centrale ( BCE ) en déficit !

Crise Monétaire:  La Banque centrale ( BCE ) en déficit !

Il y a quelque chose de surréaliste dans cette annonce du déficit de la banque centrale européenne qui  a enregistré une perte de 1,3 milliard d’euros.  C’est le quatrième recul annuel de suite du résultat, depuis le bénéfice de 2,4 milliards d’euros en 2019. Cela démontre à l’évidence que la banque centrale européenne comme toutes les institutions administratives sont davantage gérées avec la culture des fonctionnaires qu’avec la culture de gestionnaires. Rien d’étonnant à cela puisque la plupart des institutions Européennes recrutent essentiellement leurs effectifs chez les fonctionnaires.
Comment comprendre le déficit d’une banque centrale qui pourtant est en charge de l’émission et du contrôle de la monnaie. La gestion de la banque centrale européenne est catastrophique notamment parce qu’elle a racheté sans discernement les dettes des Etats beaucoup trop en déficit ; soit des actifs douteux voire pourris. Ensuite parce qu’elle a déversé des milliards et des milliards aux banques commerciales  et sans intérêt. Du coup aujourd’hui avec l’inflation, la source de revenus de la banque centrale européenne est dans le rouge.
On objectera que cette politique visait à soutenir l’économie après la pandémie du Covid et la crise énergétique. À peine 50 % de ces sommes sont allés à l’économie réelle. En réalité ,une grande partie de ces sommes ont servi à la spéculation et soutenu les marchés financiers qui se sont gavés mais ce qui a augmenté encore l’inflation  notamment dans l’immobilier-qui plombe aussi la banque centrale européenne. Ce sont d’ailleurs encore ces milliards qui alimentent la spéculation des marchés financiers et alimentent toujours l’inflation. Comment expliquer sinon que la croissance s’écroule partout alors que les cours des marchés financiers s’envolent ?

 

Les taux plus élevés ont « entraîné une augmentation des charges d’intérêt » payées aux banques centrales de la zone euro, explique le communiqué de la BCE. Résultat ? Une facture de plus de 14 milliards d’euros d’intérêt l’an dernier, contre 2 milliards en 2022.
Dans le même temps, les intérêts perçus sur la masse d’obligations accumulées par la BCE au cours des années de lutte contre la crise n’ont pas suivi. Ces actifs sont assortis de taux d’intérêt fixes et d’échéances longues, et ont été rachetés lorsque les coûts d’emprunt étaient très bas. Cet effet de ciseau dans les comptes financiers fait que la BCE devrait « subir des pertes au cours des prochaines années », selon son rapport annuel.

Politique monétaire: La Banque centrale ( BCE ) en déficit !

Politique monétaire: La Banque centrale ( BCE ) en déficit !

Il y a quelque chose de surréaliste dans cette annonce du déficit de la banque centrale européenne qui  a enregistré une perte de 1,3 milliard d’euros.  C’est le quatrième recul annuel de suite du résultat, depuis le bénéfice de 2,4 milliards d’euros en 2019. Cela démontre à l’évidence que la banque centrale européenne comme toutes les institutions administratives sont davantage gérées avec la culture des fonctionnaires qu’avec la culture de gestionnaires. Rien d’étonnant à cela puisque la plupart des institutions Européennes recrutent essentiellement leurs effectifs chez les fonctionnaires.
Comment comprendre le déficit d’une banque centrale qui pourtant est en charge de l’émission et du contrôle de la monnaie. La gestion de la banque centrale européenne est catastrophique notamment parce qu’elle a racheté sans discernement les dettes des Etats beaucoup trop en déficit ; soit des actifs douteux voire pourris. Ensuite parce qu’elle a déversé des milliards et des milliards aux banques commerciales  et sans intérêt. Du coup aujourd’hui avec l’inflation, la source de revenus de la banque centrale européenne est dans le rouge.
On objectera que cette politique visait à soutenir l’économie après la pandémie du Covid et la crise énergétique. À peine 50 % de ces sommes sont allés à l’économie réelle. En réalité ,une grande partie de ces sommes ont servi à la spéculation et soutenu les marchés financiers qui se sont gavés mais ce qui a augmenté encore l’inflation  notamment dans l’immobilier-qui plombe aussi la banque centrale européenne. Ce sont d’ailleurs encore ces milliards qui alimentent la spéculation des marchés financiers et alimentent toujours l’inflation. Comment expliquer sinon que la croissance s’écroule partout alors que les cours des marchés financiers s’envolent ?

 

Les taux plus élevés ont « entraîné une augmentation des charges d’intérêt » payées aux banques centrales de la zone euro, explique le communiqué de la BCE. Résultat ? Une facture de plus de 14 milliards d’euros d’intérêt l’an dernier, contre 2 milliards en 2022.
Dans le même temps, les intérêts perçus sur la masse d’obligations accumulées par la BCE au cours des années de lutte contre la crise n’ont pas suivi. Ces actifs sont assortis de taux d’intérêt fixes et d’échéances longues, et ont été rachetés lorsque les coûts d’emprunt étaient très bas. Cet effet de ciseau dans les comptes financiers fait que la BCE devrait « subir des pertes au cours des prochaines années », selon son rapport annuel.

Finances: La Banque centrale ( BCE ) en déficit !

Finances: La Banque centrale ( BCE ) en déficit !

Il y a quelque chose de surréaliste dans cette annonce du déficit de la banque centrale européenne qui  a enregistré une perte de 1,3 milliard d’euros.  C’est le quatrième recul annuel de suite du résultat, depuis le bénéfice de 2,4 milliards d’euros en 2019. Cela démontre à l’évidence que la banque centrale européenne comme toutes les institutions administratives sont davantage gérées avec la culture des fonctionnaires qu’avec la culture de gestionnaires. Rien d’étonnant à cela puisque la plupart des institutions Européennes recrutent essentiellement leurs effectifs chez les fonctionnaires.
Comment comprendre le déficit d’une banque centrale qui pourtant est en charge de l’émission et du contrôle de la monnaie. La gestion de la banque centrale européenne est catastrophique notamment parce qu’elle a racheté sans discernement les dettes des Etats beaucoup trop en déficit ; soit des actifs douteux voire pourris. Ensuite parce qu’elle a déversé des milliards et des milliards aux banques commerciales  et sans intérêt. Du coup aujourd’hui avec l’inflation, la source de revenus de la banque centrale européenne est dans le rouge.
On objectera que cette politique visait à soutenir l’économie après la pandémie du Covid et la crise énergétique. À peine 50 % de ces sommes sont allés à l’économie réelle. En réalité ,une grande partie de ces sommes ont servi à la spéculation et soutenu les marchés financiers qui se sont gavés mais ce qui a augmenté encore l’inflation  notamment dans l’immobilier-qui plombe aussi la banque centrale européenne. Ce sont d’ailleurs encore ces milliards qui alimentent la spéculation des marchés financiers et alimentent toujours l’inflation. Comment expliquer sinon que la croissance s’écroule partout alors que les cours des marchés financiers s’envolent ?

 

Les taux plus élevés ont « entraîné une augmentation des charges d’intérêt » payées aux banques centrales de la zone euro, explique le communiqué de la BCE. Résultat ? Une facture de plus de 14 milliards d’euros d’intérêt l’an dernier, contre 2 milliards en 2022.
Dans le même temps, les intérêts perçus sur la masse d’obligations accumulées par la BCE au cours des années de lutte contre la crise n’ont pas suivi. Ces actifs sont assortis de taux d’intérêt fixes et d’échéances longues, et ont été rachetés lorsque les coûts d’emprunt étaient très bas. Cet effet de ciseau dans les comptes financiers fait que la BCE devrait « subir des pertes au cours des prochaines années », selon son rapport annuel.

La Banque centrale ( BCE ) en déficit !

La Banque centrale ( BCE ) en déficit !

Il y a quelque chose de surréaliste dans cette annonce du déficit de la banque centrale européenne qui  a enregistré une perte de 1,3 milliard d’euros.  C’est le quatrième recul annuel de suite du résultat, depuis le bénéfice de 2,4 milliards d’euros en 2019. Cela démontre à l’évidence que la banque centrale européenne comme toutes les institutions administratives sont davantage gérées avec la culture des fonctionnaires qu’avec la culture de gestionnaires.
Comment comprendre le déficit d’une banque centrale qui pourtant est en charge de l’émission et du contrôle de la monnaie. La gestion de la banque centrale européenne est catastrophique notamment parce qu’elle a racheté sans discernement les dettes des Etats beaucoup trop en déficit ; soit des actifs douteux voire pourris. Ensuite parce qu’elle a déversé des milliards et des milliards aux banques commerciales  et sans intérêt. Du coup aujourd’hui avec l’inflation, la source de revenus de la banque centrale européenne est dans le rouge.
On objectera que cette politique visait à soutenir l’économie après la pandémie du Covid et la crise énergétique. À peine 50 % de ces sommes sont allés à l’économie réelle. En réalité ,une grande partie de ces sommes ont servi à la spéculation et soutenu les marchés financiers qui se sont gavés mais ce qui a augmenté encore l’inflation  notamment dans l’immobilier-qui plombe aussi la banque centrale européenne. Ce sont d’ailleurs encore ces milliards qui alimentent la spéculation des marchés financiers et alimentent toujours l’inflation. Comment expliquer sinon que la croissance s’écroule partout alors que les cours des marchés financiers s’envolent ?

 

Les taux plus élevés ont « entraîné une augmentation des charges d’intérêt » payées aux banques centrales de la zone euro, explique le communiqué de la BCE. Résultat ? Une facture de plus de 14 milliards d’euros d’intérêt l’an dernier, contre 2 milliards en 2022.
Dans le même temps, les intérêts perçus sur la masse d’obligations accumulées par la BCE au cours des années de lutte contre la crise n’ont pas suivi. Ces actifs sont assortis de taux d’intérêt fixes et d’échéances longues, et ont été rachetés lorsque les coûts d’emprunt étaient très bas. Cet effet de ciseau dans les comptes financiers fait que la BCE devrait « subir des pertes au cours des prochaines années », selon son rapport annuel.

Zone euro : la Banque centrale ( BCE ) en déficit !

Zone euro : la Banque centrale ( BCE ) en déficit !

Il y a quelque chose de surréaliste dans cette annonce du déficit de la banque centrale européenne qui  a enregistré une perte de 1,3 milliard d’euros.  C’est le quatrième recul annuel de suite du résultat, depuis le bénéfice de 2,4 milliards d’euros en 2019. Cela démontre à l’évidence que la banque centrale européenne comme toutes les institutions administratives sont davantage gérées avec la culture des fonctionnaires qu’avec la culture de gestionnaires.
Comment comprendre le déficit d’une banque centrale qui pourtant est en charge de l’émission et du contrôle de la monnaie. La gestion de la banque centrale européenne est catastrophique notamment parce qu’elle a racheté sans discernement les dettes des états beaucoup trop en déficit ; là aussi des actifs douteux voire pourris. Ensuite parce qu’elle a déversé des milliards et des milliards aux banques commerciales  et sans intérêt. Du coup aujourd’hui avec l’inflation, la source de revenus de la banque centrale européenne est dans le rouge. On objectera que cette politique visait à soutenir l’économie après la pandémie du Covid et la crise énergétique. À peine 50 % de ces sommes sont allés à l’économie réelle. En réalité une grande partie de ces sommes ont servi à la spéculation et soutenu les marchés financiers qui se sont gavés mais ce qui a augmenté encore l’inflation  notamment dans l(immobilier-qui plombe aussi la banque centrale européenne. Ce sont d’ailleurs encore ces milliards qui alimentent la spéculation des marchés financiers et alimentent toujours l’inflation. Comment expliquer sinon que la croissance s’écroule partout alors que les cours des marchés financiers s’envolent ?

 

Les taux plus élevés ont « entraîné une augmentation des charges d’intérêt » payées aux banques centrales de la zone euro, explique le communiqué de la BCE. Résultat ? Une facture de plus de 14 milliards d’euros d’intérêt l’an dernier, contre 2 milliards en 2022.
Dans le même temps, les intérêts perçus sur la masse d’obligations accumulées par la BCE au cours des années de lutte contre la crise n’ont pas suivi. Ces actifs sont assortis de taux d’intérêt fixes et d’échéances longues, et ont été rachetés lorsque les coûts d’emprunt étaient très bas. Cet effet de ciseau dans les comptes financiers fait que la BCE devrait « subir des pertes au cours des prochaines années », selon son rapport annuel.

12345...13



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol