Archive pour le Tag 'cause'

La croissance française remise en cause en 2025 par la Banque de France

La croissance française remise en cause en 2025 par la Banque de France

La Banque de France abaisse déjà sa prévision de croissance pour 2025 à 0,7 %; Une première révision qui pourrait être suivie d’autres. En réalité la perspective de nombre d’institutions est celle d’une quasi stagnation de la croissance. Tout dépendra aussi de l’évolution géostratégique tant de la part des États-Unis que de Poutine

Après l’avoir envisagée à 1,2 %, puis à 0,9 % du PIB, l’institution révise une nouvelle fois à la baisse sa prévision de croissance pour 2025.

Le gouvernement dans sa loi de finances 2025, table sur une croissance de 0,9 % du PIB. Comme à l’accoutumée depuis neuf mois, le « mot-clé » pour expliquer cette détérioration est « l’incertitude », commente Olivier Garnier, directeur général des statistiques, des études et de l’international de la Banque de France. À ceci près que celle-ci a changé de nature : après s’être cristallisée sur la difficile adoption du budget, elle s’est reportée sur la menace américaine de droits de douane – mise à exécution ce mardi 12 mars.

Musk mis en cause pour tripatouillage boursier

 

 

 Musk mis en cause pour tripatouillage boursier

Les tergiversations et attaques pendant les mois précédant le rachat, ainsi que les décisions du nouveau propriétaire par la suite, ont suscité de nombreuses controverses, et ont entraîné diverses actions en justice, de la part d’investisseurs, d’anciens employés et d’entreprises qui avaient des contrats avec Twitter. Des actionnaires avaient déjà porté plainte contre Elon Musk, l’accusant d’avoir divulgué trop tard sa prise de participation de 5% dans Twitter, après le délai fixé par la SEC.

 

Immigration et Algérie : Attal pour la remise en cause de l’accord de 1968

Immigration et Algérie : Attal pour la remise en cause de l’accord de 1968

Gabriel Attal  dénonce les propos haineux et les appels à la violence lancés par certains influenceurs d’origine algérienne, et appelle à « une réponse ferme ».
L’ancien premier ministre accuse par ailleurs le pouvoir algérien de balayer « depuis plusieurs années… toutes nos mains tendues »  et de ne cesser « de tester notre pays ». Gabriel Attal évoque également l’arrestation en Algérie « de notre compatriote, Boualem Sansal », un écrivain qui « dénonçait les dérives de l’islamisme », jugeant que « ce n’est pas seulement Boualem Sansal qui est pris en otage, c’est la France ».« Dernière provocation en date : l’Algérie a décidé de renvoyer en France l’un des influenceurs que nous avions arrêté et renvoyé dans son pays », une « bravade » qui « doit être la dernière », lance-t-il. Le chef de file de Renaissance exige aujourd’hui que la France pose des limites et assume « le rapport de force…Car la France n’est pas n’importe quel pays : la France est une grande puissance et doit, comme toutes les grandes puissances, se faire respecter ».

Des mots qui sonnent comme un avertissement : « La France, on ne l’intimide pas. On la respecte et on ne la provoque pas sans conséquence ». Gabriel Attal voudrait que cessent « les stratégies de déstabilisation » envers la France, et parle d’un manque de « respect pour les ressortissants algériens vivant dans notre pays, qui, dans leur immense majorité, ne souhaitent que l’apaisement et sont pris en tenailles par les manipulations et les outrances des hiérarques d’Alger ».

« C’est une opportunité historique pour établir une relation normale », estime encore le macroniste, qui souhaite « ouvrir une nouvelle page dans nos relations avec l’Algérie, faite de respect mutuel », déclarant que « face au régime algérien, l’heure de la fermeté a sonné ».

La solution, pour Gabriel Attal, semble résider dans le démantèlement de l’accord franco-algérien de 1968. «

Normes CO2 automobile remises en cause par les industriels

Normes CO2 automobile remises en cause par les industriels

Contestation quasi générale des industriels contre les nouvelles normes européennes dans l’automobile qui prévoient dès 2025 des amendes pour les fabricants automobiles dont les parcs de voitures neuves vendues émettraient trop de CO2. Pour être dans les clous, les constructeurs, comme Renault et Stellantis en France, doivent vendre davantage de voitures électriques. Mais tous sont confrontés à une demande insuffisante pour leurs modèles à batteries, encore trop chers par rapport à leurs équivalents à motorisation thermique.

L’ACEA, le lobby des constructeurs européens, à une nouvelle fois donné de la voix. « Trouver une solution pour 2025 est très urgent », a insisté Luca de Meo, le patron de Renault, qui préside le lobby. « Si la Commission ne change pas de position, les entreprises comme les nôtres devront provisionner » des « milliards d’euros » pour se préparer à d’éventuelles amendes. A ses yeux, c’est autant « de ressources qui n’iront pas vers l’investissement », a-t-il averti devant la presse à Bruxelles. « Personne ne nie la nécessité de la décarbonation » du secteur automobile, mais il faut de la « flexibilité », a-t-il renchéri.

La part de marché des voitures électriques vendues en Europe végète à 13,5%. Or « il faut atteindre 22% l’année prochaine » pour éviter les amendes ! Face à la concurrence chinoise de pari paraît impossible. 

La conséquence pourrait générer de nouveaux plans sociaux dans le secteur.

«

Transports : La concurrence dans les transports en cause ?

Transports : La concurrence dans les transports en cause ?

Ses adeptes le promettent : l’ouverture du marché bénéficie aux voyageurs. Les syndicats cheminots, en grève jeudi, sont convaincus qu’elle va au contraire dégrader le service et peser sur leurs conditions de travail.

 

par Sophie Fay dans le Monde (extrait)

 

Un papier intéressant mais qui ne traite pas la question centrale du financement des infrastructures ferroviaires. Alors que pour tous les autres modes l’État décide et finance. Pour le ferroviaire en général et en France en particulier, l’État ne gère pas les infrastructures et ne les financent que très partiellement ce qui au fil des années situe un boulet financier ingérable. Une problématique qui renvoie peut-être aussi notamment à la question des champs géographiques de l’action régalienne de l’État. (NDLR).

C’est une cause déjà perdue. Mais on ne pourra pas dire que les syndicats cheminots ont laissé faire l’ouverture à la concurrence des transports sans la combattre. Ils sont convaincus qu’elle va dégrader le service aux voyageurs, qu’elle va augmenter la facture finale et, bien sûr, peser sur leurs conditions de travail. Pour qu’on entende leurs arguments, la CGT Cheminots et SUD-Rail ont décidé de maintenir leur grève reconductible, quitte à ne pas être très suivis. Le mouvement perturbera le trafic le jeudi 12 décembre. La direction de la SNCF table sur un retour à la normale pour le week-end.La mécanique très complexe de l’ouverture à la concurrence dans les transports a été engagée par une directive européenne dès 2001. La France, où le monopole de la SNCF est solidement installé, tout comme celui de la RATP en Ile-de-France, est l’un des derniers pays à s’y soumettre. Les cheminots ne sont pas les seuls à s’en méfier. Arrivé à la tête de la RATP en novembre 2022, Jean Castex a découvert l’incroyable tuyauterie administrative et sociale qu’elle oblige à mettre en place. Pour chaque appel d’offres, il faut créer une société spécifique. Même si l’ancien monopole remporte le marché, il doit transférer ses salariés dans cette nouvelle entité.

Les adeptes de la concurrence le promettent : elle bénéficie aux voyageurs. Les syndicats en doutent. Ils mettent d’abord en avant l’expérience de nos voisins.

Trump remet en cause la démocratie américaine

Trump remet en cause la démocratie américaine

 

Valentine Zuber, historienne : « Donald Trump veut détricoter et réécrire la théorie libérale qui fonde le système politique américain ». En matière de remise en cause des droits humains, le nouveau mandat du 47ᵉ président des Etats-Unis s’inscrit dans la lignée du premier qui, entre 2017 et 2021, avait déjà donné l’exemple d’un « glissement illibéral », explique l’historienne dans une tribune au « Monde ».

Un certain nombre de pays libéraux, dont la France et les Etats-Unis, de concert avec l’ONU, ont développé une activité diplomatique soutenue de promotion, de veille et parfois de rappel à l’ordre des pays contrevenants en matière de droits humains. Cette diplomatie est aujourd’hui vertement dénoncée par les grands régimes « révisionnistes » du système international, en particulier la Russie et la Chine, qui la considèrent comme un moyen d’influence et d’ingérence occidentale illégitime, hypocrite et obsolète. Il se peut que, avec l’agenda politique prévu par l’administration Trump II, leurs autocrates n’aient plus à s’inquiéter désormais d’une telle prétention.

L’impératif de respect des droits humains a déjà été affaibli au sein même des démocraties depuis le début des années 2000 par les effets de la guerre contre le terrorisme, des abus grandissants de la force publique et des politiques restrictives motivées par la pandémie de Covid-19.

Ils sont désormais formellement déniés par les régimes révisionnistes, qui ont profité des mêmes circonstances pour développer un arsenal pénal et une surveillance policière et sociale généralisée de leurs populations, amplifiée par les techniques numériques.

Mais il y a encore un autre domaine où la régression des droits et libertés s’est particulièrement fait sentir, au moment où les analystes ont commencé à s’émouvoir de l’impuissance des Nations unies à les faire respecter. Actuellement, de nouvelles formes asymétriques de conflits se caractérisent par le retour d’une cruauté criminelle impunie envers les populations civiles, de la part d’Etats qui n’hésitent plus à s’affranchir du respect du droit humanitaire dans la guerre, comme la Russie ou Israël.

C’est aussi le système international de défense des droits humains qui est maintenant contesté par un jeu de dénonciation puis de « sortie » des organisations, des traités, des conventions et des systèmes juridictionnels internationaux ou régionaux. Tout se passe comme si ces Etats avaient ainsi trouvé toutes sortes de motifs fallacieux pour torpiller la logique même des droits humains. Certains ont sciemment cherché à déséquilibrer les organisations internationales et régionales qui leur sont consacrées, par l’utilisation des recours judiciaires ou extrajudiciaires et par la diffamation politique ou diplomatique.

Un large mouvement de contamination idéologique à tonalité illibérale s’est disséminé dans plusieurs parties du monde depuis les années 2010. Dans certains pays, les changements constitutionnels et législatifs répétés ont spécifiquement visé à la réduction du champ des droits et libertés, au nom de la lutte contre leur « dérive » « wokiste » ou pro-LGBTQIA + et la destruction supposée de valeurs morales traditionnelles.

 

 

Déserts médicaux : la liberté d’installation en cause ?

Déserts médicaux : la liberté d’installation en cause  ?

Des  parlementaires de droite comme de gauche ont appelé ce mercredi à réguler davantage l’installation des médecins sur le territoire, un chiffon rouge pour les professionnels.

En France, la densité médicale s’est dégradée dans 69 départements depuis 2010, ne s’améliorant que dans 31 départements.

La proposition entend aussi faciliter l’exercice des médecins qui ont obtenu leur diplôme en dehors de l’UE dans les zones où l’offre de soins est particulièrement faible, ou encore assurer une formation de première année de médecine dans chaque département. Elle sera déposée sur le bureau de l’Assemblée rapidement, les signataires espérant un débat au premier trimestre 2025. Une proposition similaire, déposée lors de la précédente législature, n’avait jamais été inscrite à l’agenda.

 

Chine: L’économie administrée en cause

Chine: L’économie administrée en cause

 

La politique économique de la Chine est en  question du fait du net ralentissement de la croissance et notamment de la consommation interne. De plus en plus en cause, l’efficacité de la mainmise du parti communiste et du président sur une économie  qui manque sérieusement de flexibilité et d’innovation. Comme d’habitude la Chine privilégie toujours les grands plans  d’infrastructures alors que son commerce extérieur est menacé par le protectionnisme des pays importateurs et que la dynamique de la consommation interne ne reprend pas. L’économie chinoise sous la chape de plomb du parti communiste est menacée par les lourdeurs traditionnelles et notamment par la tutelle du parti communiste sur les dirigeants d’entreprise, Notamment les plus grandes dont on craint le contre-pouvoir vis-à-vis du parti communiste.

 

Politique-Trump remet déjà en cause le résultat des futures présidentielles

Politique-Trump remet déjà en cause le résultat des futures présidentielles

 

Trump remet déjà en cause le résultat des futures présidentielles .  A un peu plus de quatre mois de l’élection présidentielle américaine du 5 novembre, l’ancien président américain (2016-2020) débattait dans la nuit du jeudi 27 au vendredi 28 juin sur CNN face à son principal adversaire, le président sortant Joe Biden. Lors de ce duel très attendu, et organisé d’une manière inédite, le candidat républicain a notamment posé ses conditions concernant l’issue du scrutin.

A la question « Reconnaîtrez-vous le résultat des élections, peu importe qui gagne ? », Donald Trump a d’abord botté en touche avant d’être à nouveau interrogé sur le sujet. « Oui ou non, s’il vous plaît ? », a insisté la journaliste de CNN, Dana Bash. « Si l’élection est juste, légale et valide, absolument, a répondu le candidat républicain. J’aurais préféré accepter [le résultat de 2020] mais la fraude et tout le reste étaient hallucinants ! ». 

Discret, voire en retrait, durant le débat, Joe Biden a vivement réagi à cette accusation. « On verra vos chiffres quand l’élection sera terminée », a-t-il répondu. « Vous êtes un pleurnicheur. Quand vous avez perdu la première fois, vous avez multiplié les appels dans des cours [de justice] à travers tout le pays, a rappelé le président sortant. Aucun tribunal aux Etats-Unis, local ou d’Etat, ne vous a donné raison, mais vous avez continué à mentir. »

 

Trump remet déjà en cause le résultat des futures présidentielles

Trump remet déjà en cause le résultat des futures présidentielles

 

Trump remet déjà en cause le résultat des futures présidentielles .  A un peu plus de quatre mois de l’élection présidentielle américaine du 5 novembre, l’ancien président américain (2016-2020) débattait dans la nuit du jeudi 27 au vendredi 28 juin sur CNN face à son principal adversaire, le président sortant Joe Biden. Lors de ce duel très attendu, et organisé d’une manière inédite, le candidat républicain a notamment posé ses conditions concernant l’issue du scrutin.

A la question « Reconnaîtrez-vous le résultat des élections, peu importe qui gagne ? », Donald Trump a d’abord botté en touche avant d’être à nouveau interrogé sur le sujet. « Oui ou non, s’il vous plaît ? », a insisté la journaliste de CNN, Dana Bash. « Si l’élection est juste, légale et valide, absolument, a répondu le candidat républicain. J’aurais préféré accepter [le résultat de 2020] mais la fraude et tout le reste étaient hallucinants ! ». 

Discret, voire en retrait, durant le débat, Joe Biden a vivement réagi à cette accusation. « On verra vos chiffres quand l’élection sera terminée », a-t-il répondu. « Vous êtes un pleurnicheur. Quand vous avez perdu la première fois, vous avez multiplié les appels dans des cours [de justice] à travers tout le pays, a rappelé le président sortant. Aucun tribunal aux Etats-Unis, local ou d’Etat, ne vous a donné raison, mais vous avez continué à mentir. »

 

Remise en cause de la réforme des retraites: Renvoyée à plus tard pour Bardella

Remise en cause de la réforme des retraites: Renvoyée à plus tard pour Bardella

 

Le rassemblement national affirmé qu’il avait l’intention de remettre en cause la réforme des retraites et promettait notamment de ramener l’âge de départ à 60 ans. Hier  Bardelle à considéréque cette question serait renvoyée à plus tard. Rien d’étonnant à cela d’une part parce que la réforme de Macron est en train de révéler que le déficit est prévisible été beaucoup plus conséquent que prévu. En conséquence si nouvelle réforme il y a,  elle risque d’être encore plus sévère que la précédente. Notons aussi que certains alliés du rassemblement national comme Ciotti sont totalement opposés à un adoucissement de la réforme et militent. au contraire pour des mesures plus draconiennes.

Le patron du RN a expliqué mardi soir sur France 2 distinguer «l’urgence de l’importance», avec pour «priorité», le «pouvoir d’achat» et les «factures d’électricité».

Dans un «second temps» seulement, il souhaiterait «évidemment» revenir sur la réforme Macron qui repousse à 64 ans l’âge légal de départ à la retraite, reconnaissant une «divergence» avec son nouvel allié de LR Eric Ciotti, favorable au récent report de l’âge légal. Abroger la réforme Macron ou pas? «Nous verrons», avait aussi répondu Jordan Bardella mardi matin sur RTL, en invoquant la «situation économique» d’un «pays qui pulvérise sous Emmanuel Macron les records de déficit».

Cela démontre à l’évidence qu’il y a des discours pour les campagnes électorales et d’autres quand les responsables politiques s’apprêtent à être en situation de gestion. En clair la réforme de la réforme pourrait être renvoyée aux calendes grecques d’autant plus que si elle revient sur le tapis elle pourrait se retraduire par des mesures encore plus rigoureuses compte tenu des déficits prévus du système.

  «Dans le cas d’une cohabitation, on ne peut évidemment pas faire tout ce que la présidence de la République vous permet de faire (…) Nous serons amenés à faire des choix»Jordan Bardella voudrait que «tous ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans puissent voir le dispositif de carrières longues renforcé et puissent partir avec 40 annuités», mais il y «aura des priorités», a-t-il prévenu.

En 2023, le RN avait mené la bataille contre la réforme des retraites en réclamant son abrogation. Pendant la présidentielle 2022, Marine Le Pen avait édulcoré la proposition initiale du RN de retraite à 60 ans avec 40 annuités pour tout le monde, en réservant la mesure aux personnes entrées dans la vie active avant l’âge de 20 ans.

 

 

Société-Violence des mineurs : L’excuse de minorité enfin remise en cause ?

Société-Violence des mineurs : L’excuse de minorité enfin remise en cause ?

 De nombreuses réactions évidemment certains considérant que les mesures vis-à-vis de la violence des mineurs ne sont pas assez dures et concrètes. D’autres, plutôt à gauche, qui défendent une position de bisous nounours en opposant sanction, prévention et accompagnement.

Face à la multiplication des faits divers de délinquance impliquants des mineurs, « on ne peut pas rester les bras ballants », a assuré Eric Dupond-Moretti, vendredi 19 avril sur RTL, défendant les annonces faites la veille par le Premier ministre. Jeudi, Gabriel Attal a annoncé l’ouverture d’une série de chantiers pour réformer la justice des mineurs, lors d’une visite à Viry-Châtillon, où un adolescent de 15 ans est mort après avoir été agressé à la sortie de son collège. Dans cette affaire, quatre jeunes hommes, dont trois mineurs, ont été mis en examen pour « assassinat »

Pour répondre à ce type de violence, le Premier ministre a promis de « réinstaurer l’autorité, partout et pour tous ». Il a évoqué plusieurs pistes sur le plan judiciaire, et notamment la possibilité d’atténuer le principe d’excuse de minorité, qui implique des sanctions moins sévères pour les moins de 18 ans que pour les majeurs.  Emmanuel Macron a demandé à Gabriel Attal, lors du Conseil des ministres du mercredi 17 avril, de lancer une concertation pour trouver des solutions au  »surgissement de l’ultraviolence », en particulier parmi les plus jeunes, avec l’objectif d’aboutir à un projet de loi avant l’été.

Le lendemain, devant le parvis de l’hôtel de ville de Viry-Châtillon, le Premier ministre a souligné l’urgence de réformer la justice des mineurs. « Il y a deux fois plus d’adolescents impliqués pour coups et blessures, quatre fois plus pour trafic de drogue, et sept fois plus dans les vols avec armes que dans la population générale », a-t-il énuméré jeudi, en ciblant également « l’entrisme islamiste qui va croissant ».

« L’autorité et la règle commune sont trop souvent défiées par certains jeunes », a estimé Gabriel Attal. Une situation qui découle, selon lui, de la différence entre les peines appliquées selon l’âge des mis en cause. « Aujourd’hui si deux jeunes, l’un de 17 ans et l’autre de 18 ans, commettent un vol (…) et qu’ils sont arrêtés en même temps, celui de 18 ans pourra être jugé et sanctionné le jour même, a rappelé le Premier ministre. Alors que pour celui de 17 ans, (…) s’ensuivra une procédure plus longue et différenciée. » Cela renforce « le sentiment d’impunité chez les jeunes », juge le Premier ministre.

De nombreuses réactions évidemment certains considérant que les mesures ne sont pas assez dures et concrètes. D’autres, plutôt à gauche, qui défendent une position de bisous nounours en opposant sanctions, prévention et accompagnement.

Retraite des cheminots : remise en cause de la réforme des retraites de 2023

Retraite des cheminots : remise en cause de la réforme des retraites de 2023La direction a signé lundi avec les syndicats un compromis qui efface une partie de la réforme des retraites de 2023.. La réforme des retraites de 2023 a décalé de deux ans l’âge légal de départ à la retraite en France pour les salariés du privé et les fonctionnaires (le plus souvent de 62 à 64 ans), ainsi que pour les bénéficiaires des régimes spéciaux.

À la SNCF, cet âge est donc passé de 52 à 54 ans pour les agents de conduite, et de 57 à 59 ans pour les autres personnels au statut. Mais, en pratique, les personnels de la vieille dame ferroviaire, déjà avantagés, vont avoir la possibilité de partir encore plus tôt.

La SNCF  a signé lundi un accord avec ses quatre syndicats représentatifs sur les fins de carrière, qui annule une partie des efforts demandés par la réforme de 2023.

Violence des mineurs : L’excuse de minorité enfin remise en cause ?

Violence des mineurs : L’excuse de minorité enfin remise en cause ?

 De nombreuses réactions évidemment certains considérant que les mesures vis-à-vis de la violence des mineurs ne sont pas assez dures et concrètes. D’autres, plutôt à gauche, qui défendent une position de bisous nounours en opposant sanction, prévention et accompagnement.

Face à la multiplication des faits divers de délinquance impliquants des mineurs, « on ne peut pas rester les bras ballants », a assuré Eric Dupond-Moretti, vendredi 19 avril sur RTL, défendant les annonces faites la veille par le Premier ministre. Jeudi, Gabriel Attal a annoncé l’ouverture d’une série de chantiers pour réformer la justice des mineurs, lors d’une visite à Viry-Châtillon, où un adolescent de 15 ans est mort après avoir été agressé à la sortie de son collège. Dans cette affaire, quatre jeunes hommes, dont trois mineurs, ont été mis en examen pour « assassinat »

Pour répondre à ce type de violence, le Premier ministre a promis de « réinstaurer l’autorité, partout et pour tous ». Il a évoqué plusieurs pistes sur le plan judiciaire, et notamment la possibilité d’atténuer le principe d’excuse de minorité, qui implique des sanctions moins sévères pour les moins de 18 ans que pour les majeurs.  Emmanuel Macron a demandé à Gabriel Attal, lors du Conseil des ministres du mercredi 17 avril, de lancer une concertation pour trouver des solutions au  »surgissement de l’ultraviolence », en particulier parmi les plus jeunes, avec l’objectif d’aboutir à un projet de loi avant l’été.

Le lendemain, devant le parvis de l’hôtel de ville de Viry-Châtillon, le Premier ministre a souligné l’urgence de réformer la justice des mineurs. « Il y a deux fois plus d’adolescents impliqués pour coups et blessures, quatre fois plus pour trafic de drogue, et sept fois plus dans les vols avec armes que dans la population générale », a-t-il énuméré jeudi, en ciblant également « l’entrisme islamiste qui va croissant ».

« L’autorité et la règle commune sont trop souvent défiées par certains jeunes », a estimé Gabriel Attal. Une situation qui découle, selon lui, de la différence entre les peines appliquées selon l’âge des mis en cause. « Aujourd’hui si deux jeunes, l’un de 17 ans et l’autre de 18 ans, commettent un vol (…) et qu’ils sont arrêtés en même temps, celui de 18 ans pourra être jugé et sanctionné le jour même, a rappelé le Premier ministre. Alors que pour celui de 17 ans, (…) s’ensuivra une procédure plus longue et différenciée. » Cela renforce « le sentiment d’impunité chez les jeunes », juge le Premier ministre.

De nombreuses réactions évidemment certains considérant que les mesures ne sont pas assez dures et concrètes. D’autres, plutôt à gauche, qui défendent une position de bisous nounours en opposant sanctions, prévention et accompagnement.

 

 

Santé-La qualité sanitaire d’ eaux minérales en cause

La qualité sanitaire d’ eaux minérales en cause

Des bactéries, des micropolluants et des contrôles insuffisants : la qualité sanitaire des eaux du groupe Nestlé (propriétaire des marques Contrex, Hépar, Perrier ou Vittel, n’est pas garantie, selon une note de l’Anses remise au ministère de la Santé en octobre dernier et révélée ce jeudi 4 avril par Franceinfo et Le Monde .

L’analyse, conduite par le laboratoire d’hydrologie de Nancy à la demande des ARS Grand Est et Occitanie, où sont situées des sources et points de captage de Nestlé, a relevé «un niveau de confiance insuffisant concernant l’évaluation de la qualité des ressources notamment en ce qui concerne la variabilité des contaminations et leur vulnérabilité microbiologique et chimique».

Les experts évoquent de «multiples constats de contaminations d’origine fécale», avec des bactéries coliformes, Escherichia coli ou entérocoques dans les eaux brutes, mais aussi la «présence chronique notable de micropolluants». Ils ont notamment trouvé dans ces eaux en bouteille des PFAS, dits «polluants éternels», qui dépassaient sur certaines sources le seuil de 0,1 microgramme par litre autorisé pour l’eau minérale naturelle.

 

Mis en cause , Nestlé tente de rassurer. Le géant de l’agroalimentaire, propriétaire des eaux en bouteille Vittel, Perrier, Contrex et Hépar, a affirmé vendredi à l’AFP avoir « intensifié la surveillance » de ses forages français « sous le contrôle des autorités » pour garantir la qualité sanitaire de ses produits.

« On a intensifié la surveillance des forages sous le contrôle des autorités » et « chaque bouteille qui sort de nos sites peut être bue par les consommateurs en toute sécurité », a déclaré la présidente de Nestlé France, Muriel Lienau, dans un entretien avec l’AFP.

12345...22



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol