Archive pour le Tag 'Quasi'

Présidentielle États-Unis : quasi égalité

Présidentielle États-Unis : quasi égalité

Les deux prétendants sont dans une situation de quasi égalité qui va imposer le dépouillement de la totalité des bulletins avant de déclarer le vainqueur. en effet, les deux prétendants à la Maison-Blanche sont dans un mouchoir de poche ;cependant l’ex-président républicain est désormais en tête dans cinq États-clés. Par précaution manipula toire Trump a déjà déclaré qu’il n’accepterait le résultat que dans certaines conditions. Bref, qui serait prêt à favoriser le chaos s’il n’est pas élu.

La plupart des observateurs s’accordent pour décrire l’élection, entre deux candidats que tout oppose et dans un pays extraordinairement polarisé, comme l’une des plus serrées de l’histoire américaine.

Le quasi vide des médias pendant la trêve des confiseurs

Le quasi vide des médias pendant la trêve des confiseurs

C’est devenu une tradition, la vie économique s’arrête en grande partie entre Noël et le nouvel an. Il en est de même dans les médias ou le sport occupe une grande partie avec quelques faits divers. Notons d’ailleurs que les premières plumes, les grands éditorialistes sont partis en vacances au soleil ou à la neige. À la place on voit des seconds couteaux dans beaucoup d’émissions de radio de télé et autres médias. Exemple sur BFM on apprend qu’une voiture était mal garée à Nice:

 » La circulation de la ligne 1 du tramway a été à l’arrêt pendant 15 minutes ce samedi 30 décembre. En cause, une voiture garée sur les rails, avenue Jean-Jaurès, indique Nice-Matin.

Le tramway a donc dû être immobilisé dans les deux sens de circulation vers 16h, pendant un quart d’heure, le temps que la fourrière intervienne pour déplacer le véhicule gênant. »

Il est certain qu’on pourrait largement nourrir les médias actuels et même beaucoup de nouveaux uniquement avec les voitures mal garées en France. On pourrait même sans doute faire un concours national est consacré une télé réalité sur le sujet d’importance évidemment stratégique et culturelle évidente.

soit engagée ».

Quasi stagnation de la croissance et baisse de l’emploi

Quasi stagnation de la croissance et baisse de l’emploi


Jusque-là la France pouvait s’enorgueillir d’une assez bonne situation de l’emploi mais avec la quasi stagnation de l’activité, la tendance du chômage est en train de s’inverser. La croissance au troisième trimestre a seulement affiché 0,1 % au lieu de 0,6 % pour le second.

Mécaniquement le nombre de chômeurs a donc commencé à augmenter .Le nombre de demandeurs d’emploi sans activité (catégorie A de Pôle emploi) a progressé de 0,6% au troisième trimestre. Une première depuis plusieurs mois. (Crédits : Reuters)

L’intérim, indicateur avancé du marché de l’emploi, baisse pour le troisième trimestre consécutif. Au troisième trimestre, ce secteur baisse de 1,9% (-15.300 emplois) après -0,5 % au deuxième trimestre (soit 4.300 emplois en moins) et -2,5 % au premier trimestre (-20.400 emplois). L’emploi intérimaire est légèrement au-dessous de son niveau d’avant la crise sanitaire (-0,5%).

La quasi stagnation de la croissance a des effets négatifs sur l’emploi

La quasi stagnation de la croissance a des effets négatifs sur l’emploi


Jusque-là la France pouvait s’enorgueillir d’une assez bonne situation de l’emploi mais avec la quasi stagnation de l’activité, la tendance du chômage est en train de s’inverser. La croissance au troisième trimestre a seulement affiché 0,1 % au lieu de 0,6 % pour le second.

Mécaniquement le nombre de chômeurs a donc commencé à augmenter .Le nombre de demandeurs d’emploi sans activité (catégorie A de Pôle emploi) a progressé de 0,6% au troisième trimestre. Une première depuis plusieurs mois. (Crédits : Reuters)

L’intérim, indicateur avancé du marché de l’emploi, baisse pour le troisième trimestre consécutif. Au troisième trimestre, ce secteur baisse de 1,9% (-15.300 emplois) après -0,5 % au deuxième trimestre (soit 4.300 emplois en moins) et -2,5 % au premier trimestre (-20.400 emplois). L’emploi intérimaire est légèrement au-dessous de son niveau d’avant la crise sanitaire (-0,5%).

Economie- Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

Economie- Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

 Les chiffres de la croissance se situent dans l’épaisseur du trait et les prévisions à peine positives sont très aléatoires surtout avec la perspective d’un conflit social au cours du premier semestre.

Dans sa dernière enquête de conjoncture dévoilée ce mercredi 11 janvier, la Banque de France table sur une maigre croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,1% au premier trimestre, après 0,1% au dernier trimestre 2022. « Nous confirmons notre précédente prévision de décembre, » a déclaré le directeur des études, Olivier Garnier, lors d’une réunion avec des journalistes. Les chiffres de la Banque de France pour les trois derniers mois de l’année sont plus optimistes que ceux de l’Insee. L’institut public tablait sur un recul de -0,2% au dernier trimestre 2022.

D’après la Banque de France « 2023 devrait marquer un fort ralentissement mais échapper à l’atterrissage brutal redouté il y a quelques mois. La croissance devrait être faiblement positive à 0,3% en 2023. »

Dans ses voeux aux acteurs de l’économie il y a quelques jours, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire a une fois de plus affirmé que « l’économie française résiste, » soulignant que la croissance du PIB avait progressé de 2,5% en 2022. En revanche, il n’a pas donné de chiffre pour 2023 en précisant simplement qu’elle serait « positive ». Pour rappel, l’exécutif tablait sur une croissance de 1% cette année dans le budget 2023. Un chiffre qui semble de moins en moins crédible aux yeux de beaucoup d’économistes.

L’augmentation spectaculaire des prix de l’énergie depuis la fin de l’année 2021 est venue grignoter le pouvoir d’achat des ménages et percuter l’activité des entreprises en dépit des mesures de bouclier tarifaire et la remise sur les carburants. Même si les prix de l’énergie ont commencé à marquer le pas, le bouclier tarifaire moins généreux depuis le premier janvier et la fin de cette ristourne risquent de repousser l’échéance d’une inflation plus modérée.  Il est clair que le relèvement des taux d’intérêt de la BCE va encore accentuer la tendance baissière de l’économie.

Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

 

Les chiffres de la croissance se situent dans l’épaisseur du trait et les prévisions à peine positives sont très aléatoires surtout avec la perspective d’un conflit social au cours du premier semestre.

Dans sa dernière enquête de conjoncture dévoilée ce mercredi 11 janvier, la Banque de France table sur une maigre croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,1% au premier trimestre, après 0,1% au dernier trimestre 2022. « Nous confirmons notre précédente prévision de décembre, » a déclaré le directeur des études, Olivier Garnier, lors d’une réunion avec des journalistes. Les chiffres de la Banque de France pour les trois derniers mois de l’année sont plus optimistes que ceux de l’Insee. L’institut public tablait sur un recul de -0,2% au dernier trimestre 2022.

D’après la Banque de France « 2023 devrait marquer un fort ralentissement mais échapper à l’atterrissage brutal redouté il y a quelques mois. La croissance devrait être faiblement positive à 0,3% en 2023. »

Dans ses voeux aux acteurs de l’économie il y a quelques jours, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire a une fois de plus affirmé que « l’économie française résiste, » soulignant que la croissance du PIB avait progressé de 2,5% en 2022. En revanche, il n’a pas donné de chiffre pour 2023 en précisant simplement qu’elle serait « positive ». Pour rappel, l’exécutif tablait sur une croissance de 1% cette année dans le budget 2023. Un chiffre qui semble de moins en moins crédible aux yeux de beaucoup d’économistes.

 

L’augmentation spectaculaire des prix de l’énergie depuis la fin de l’année 2021 est venue grignoter le pouvoir d’achat des ménages et percuter l’activité des entreprises en dépit des mesures de bouclier tarifaire et la remise sur les carburants. Même si les prix de l’énergie ont commencé à marquer le pas, le bouclier tarifaire moins généreux depuis le premier janvier et la fin de cette ristourne risquent de repousser l’échéance d’une inflation plus modérée.  Il est clair que le relèvement des taux d’intérêt de la BCE va encore accentuer la tendance baissière de l’économie.

Economie française : en quasi stagnation

Economie française : en quasi stagnation

Dès le troisième trimestre, l’ économie française devrait tomber en quasi stagnation. L’Insee a maintenu sa prévision de croissance à 2,6% en 2022. Mais l’inflation et les craintes sur l’approvisionnement en énergie pourraient engendrer un repli d’activité.Le produit intérieur brut (PIB) français devrait donc stagner cet automne

La prévision d’une stagnation du PIB au quatrième trimestre est donc un «scenario intermédiaire» qui inclut «la résilience» de certains indicateurs mais aussi les «craintes associées à d’éventuels arrêts de production» dans l’industrie. L’inflation, contenue en septembre (5,6% sur un an) notamment grâce à la remise à la pompe, devrait diminuer légèrement en octobre puis «repartirait à la hausse» en novembre avec la baisse de la ristourne sur les carburants, pour atteindre 6,4% sur un an en décembre (contre 6,6% prévu précédemment).

Sur l’année, la prévision d’inflation passe de 5,3% à 5,2%, une prévision bien meilleure que pour d’autres pays européens grâce aux «fixations des prix de l’énergie» et aux «politiques publiques mises en place pour limiter les hausses des prix», affirme l’INSEE. La hausse des prix pèse cependant sur le pouvoir d’achat des ménages qui devrait baisser plus que prévu en 2022 (-0,6% selon l’indicateur par unité de consommation, contre -0,5% escompté initialement). Si les mesures de soutien permettent de limiter les prix de l’énergie, c’est l’alimentation qui, depuis septembre, pèse le plus avec une inflation attendue en glissement annuel à près de 12% en fin d’année.

Croissance : l’économie française va tomber en quasi stagnation

Croissance : l’économie française va tomber en quasi stagnation

Dès le troisième trimestre, l’ économie française devrait tomber en quasi stagnation. L’Insee a maintenu sa prévision de croissance à 2,6% en 2022. Mais l’inflation et les craintes sur l’approvisionnement en énergie pourraient engendrer un repli d’activité.Le produit intérieur brut (PIB) français devrait donc stagner cet automne

La prévision d’une stagnation du PIB au quatrième trimestre est donc un «scenario intermédiaire» qui inclut «la résilience» de certains indicateurs mais aussi les «craintes associées à d’éventuels arrêts de production» dans l’industrie. L’inflation, contenue en septembre (5,6% sur un an) notamment grâce à la remise à la pompe, devrait diminuer légèrement en octobre puis «repartirait à la hausse» en novembre avec la baisse de la ristourne sur les carburants, pour atteindre 6,4% sur un an en décembre (contre 6,6% prévu précédemment).
Sur l’année, la prévision d’inflation passe de 5,3% à 5,2%, une prévision bien meilleure que pour d’autres pays européens grâce aux «fixations des prix de l’énergie» et aux «politiques publiques mises en place pour limiter les hausses des prix», affirme l’INSEE. La hausse des prix pèse cependant sur le pouvoir d’achat des ménages qui devrait baisser plus que prévu en 2022 (-0,6% selon l’indicateur par unité de consommation, contre -0,5% escompté initialement). Si les mesures de soutien permettent de limiter les prix de l’énergie, c’est l’alimentation qui, depuis septembre, pèse le plus avec une inflation attendue en glissement annuel à près de 12% en fin d’année.

Croissance encore quasi nulle au second trimestre (banque de France)

Croissance encore quasi nulle au second trimestre (banque de France)

La Banque de France a estimé mercredi que l’économie française devrait croître encore à un rythme modéré, de 0,2%, au deuxième trimestre après environ 0.25% au premier. Lundi, l’Insee avait publié une prévision de croissance de 0,25% pour le deuxième trimestre, après la stagnation du produit intérieur brut (PIB) enregistrée au premier, signe du net ralentissement de l’activité économique après la forte reprise de 2021.Bref des différences infimes mais qui confirme qu’on est loin des prévisions de 4 % de croissance  retenus par le gouvernement alors que l’inflation flambe et devrait atteindre autour de 5 % fins 2022

Grève retraites RATP : trafic quasi normal lundi 17 février ?

Grève retraites RATP : trafic quasi normal lundi 17 février ?

La majorité des syndicats RATP – Unsa, SUD, FO -ont appelé à une journée morte lundi 17 février «journée morte», pour protester contre la réforme des retraites.

D’après la direction de la RATP,  seules les lignes 2, 5 et 12 seront légèrement perturbées avec quelques retards à prévoir et des intervalles irréguliers. L’ensemble des lignes des réseaux bus et tramways, ainsi que les lignes des RER A et B fonctionneront normalement.

Du côté de la SNCF, Force ouvrière cheminots est le seul syndicat national a avoir rejoints ceux de la RATP. Il y a donc peu de chance pour que la mobilisation prenne la même ampleur que le mouvement de grève – d’un mois et demi – du 5 décembre.

Indiscutablement la mobilisation s’est affaiblie sans doute en raison de la fatigue des grévistes usés par des mots d’ordre un peu irresponsable de certains syndicats gauchistes.

RATP : trafic quasi normal lundi 17 février ?

RATP : trafic quasi normal lundi 17 février ?

La majorité des syndicats RATP – Unsa, SUD, FO -ont appelé à une journée morte lundi 17 février «journée morte», pour protester contre la réforme des retraites.

D’après la direction de la RATP,  seules les lignes 2, 5 et 12 seront légèrement perturbées avec quelques retards à prévoir et des intervalles irréguliers. L’ensemble des lignes des réseaux bus et tramways, ainsi que les lignes des RER A et B fonctionneront normalement.

Du côté de la SNCF, Force ouvrière cheminots est le seul syndicat national a avoir rejoints ceux de la RATP. Il y a donc peu de chance pour que la mobilisation prenne la même ampleur que le mouvement de grève – d’un mois et demi – du 5 décembre.

Indiscutablement la mobilisation s’est affaiblie sans doute en raison de la fatigue des grévistes usés par des mots d’ordre un peu irresponsable de certains syndicats gauchistes.

L’Allemagne en quasi récession

L’Allemagne en quasi récession

La croissance modeste de 0.1% enregistrée sur juillet-septembre après une contraction de 0,2% sur avril-juin permet à la première économie d’Europe d’échapper à une récession technique, définie par deux trimestres consécutifs de baisse du PIB. Première économie d’Europe, l’Allemagne reste néanmoins freinée par l’impact des tensions commerciales internationales, les difficultés du secteur automobile et l’incertitude liée au Brexit, qui pénalisent surtout le secteur industriel, très tourné vers l’exportation.

Les chiffres détaillés du PIB montrent que la consommation privée a augmenté de 0,4% et les dépenses publiques de 0,8% au troisième trimestre, chacun d’eux apportant une contribution de 0,2 point à la croissance.

« La vigueur de la consommation privée reste une importante assurance anti-récession pour l’économie », constate Carsten Brzeski, économiste d’ING, dans une note. « La consommation privée affiche une croissance ininterrompue, trimestre après trimestre, depuis le début 2014. »

Malgré la croissance des exportations, l’investissement en actifs fixes et en équipements a reculé sur juillet-septembre, une contraction qui traduit le pessimisme des entreprises.

« La chute de l’investissement en équipements et le poids de la réduction des stocks montrent que les entreprises ont fortement réagi aux incertitudes globales et aux problèmes auxquels est confronté le secteur automobile », explique Andreas Scheuerle, économiste de DekaBank.

Les premiers résultats des enquêtes mensuelles de l’institut privé IHS Markit auprès des directeurs d’achats du secteur privé montrent par ailleurs que les difficultés de l’industrie se propagent au secteur des services: la croissance de celui-ci est tombée en novembre à son plus bas niveau depuis 2016 selon les indices PMI « flash ».

L’Allemagne risque de tutoyer la recension pendant encore des trimestres.

 

RATP : Grève quasi totale

RATP : Grève quasi totale 

 

La bataille des retraites a véritablement commencé avec la grève de la RATP qui sera quasi totale. Il n’y aura même pas de service minimum et la plupart des lignes seront fermés.  Cela pourrait expliquer la prudence manifestée par le premier ministre sur TF1 à propos de l’évolution de la réforme. D’abord et en premier lieu,  on a sans doute sous-estimé la complexité de cette réforme en survendant des slogans comme un euro égal un euro de cotisation, ce qui ne veut pas dire grand-chose en matière de valeur des futures pensions et de dates pour prétendre à une retraite pleine. Même chose pour le concept de retraite à points. Tout dépend de la valeur du point. L’idée de la prise en compte de la durée de cotisation (au lieu de l’âge pivot) paraît plus sérieuse mais reste à déterminer aussi le montant des retraites.

Bref, le dossier est loin d’être au point. D’ailleurs le Premier ministre a indiqué que la réforme ne commencerait à s’appliquer qu’à partir de 2025 et que les régimes spéciaux auraient au moins une quinzaine d’années pour s’insérer dans le régime universel. Ce qui nous conduit vers 2040 ou 2050. En outre,  il sera tenu compte des spécificités du métier autant dire des particularités qui avaient justifié certains régimes spéciaux. Compte tenu du caractère très massif de la première manifestation significative contre la réforme des retraites, il est clair que le pouvoir va d’une part tenter de rassurer mais aussi décaler  dans le temps une réforme à laquelle d’ailleurs les Français ne croient pas (plus de 70 % d’entre dans les récents sondages).

Enfin pour la RATP plusieurs réformes des retraites ont déjà été menées qui rapprochent progressivement le régime spécial du régime général. Edouard Philippe, qui s’est adressé en matinée aux partenaires sociaux pour détailler le calendrier et la méthode de la réforme, a confirmé que les régimes spéciaux, dont faisait partie la RATP, au même titre que la SNCF ou encore les entreprises du secteur électrique et gazier, disparaîtraient, et avec eux, tous les avantages de ces professions.

Les agents de la RATP œuvrant dans des ateliers peuvent en effet partir à la retraite à 57 ans s’ils ont travaillé 27 ans au sein du groupe. Les conducteurs et agents qui travaillent en souterrain peuvent accéder à la retraite à 52 ans.

“En réalité, les régimes ont déjà été fortement diminués dans les précédentes réformes”, explique Frédéric Ruiz.

Les réformes de 2008, 2010 et 2014 ont en effet déjà prévu un alignement progressif sur le régime de la fonction publique et à terme du régime général.

Les agents de la RATP, engagés après 2009, par exemple, devront avoir cotisé 172 trimestres (43 ans) en 2035 pour prétendre à une retraite pleine, comme les salariés du privé.

“Avec la réforme, on risque de nous demander de cotiser encore d’avantage. Tout le monde est perdant dans l’entreprise, le personnel sédentaire comme le personnel roulant”, craint le syndicaliste.

Chômage : quasi statu quo

Chômage : quasi statu quo

9,1 au second  trimestre au lieu de 9,2 pour le premier. Pour la ministre du travail le bilan serait positif. Autant dire que le niveau du chômage ne change pas car l’évolution se situe dans l’épaisseur du trait sans parler des biais statistiques. De ce point de vue, il n’y a pas de miracle car depuis le début d’année la croissance est pratiquement à plat. On voit donc mal comment on pourrait obtenir une modification positive substantielle du chômage sans augmentation de l’activité générale. Or cette activité générale repose essentiellement sur la consommation des ménages, elle-même atone du fait de la baisse du pouvoir d’achat découlant à la fois notamment de la hausse du pétrole mais aussi de la hausse de la fiscalité.  Finalement le bilan du gouvernement en matière de chômage comme en matière de croissance constitue un relatif échec. On peut toujours se rassurer comme le fait le ministre du travail avec des comparaisons sur des queues de cerises. Des évolutions officielles très marginales quand on sait par ailleurs que près d’un million et demi de personnes sont hors statistiques puisque ne recherchant plus de travail Ainsi Par rapport à la même période l’an passé, le taux de chômage marque ainsi un recul de 0,3 point. «En France métropolitaine, le nombre de chômeurs baisse de 48.000, à 2,5 millions de personnes», détaillent les statisticiens. «Le taux de chômage diminue ainsi de 0,2 point sur le trimestre (après +0,3 point au premier trimestre), à 8,7 % de la population active». Les jeunes sont ceux qui bénéficient, en apparence, le plus de cette tendance. Le taux de chômage des 15-24 ans, a en effet baissé de 0,7 point par rapport au trimestre précédent, et de 2,6 points sur un an. Au total, 554.000 jeunes sont au chômage. Les seniors, âgés de 50 ans ou plus, voient leur situation inchangée, leur taux restant stable à 6,3%.

Dans le détail, le taux de chômage de longue durée reste stable. Un million d’individus déclarent en effet rechercher un emploi depuis un an, au moins, soit 3,6% de la population active. Sur un an, ce taux marque tout de même une diminution de 0,4 point. Le nombre de personnes constituant le «halo du chômage» [NDLR: les personnes souhaitant travailler mais qui ne sont pas recensées car elles ne cherchent pas activement un emploi ou ne sont pas disponibles dans l'immédiat, car malade, par exemple] diminue de 19.000 entre le premier et le deuxième trimestre, à 1,5 million d’individus, note l’Insee.

Par ailleurs, le taux de personnes en sous-emploi, c’est-à-dire qui souhaiteraient travailler davantage, a aussi légèrement baissé (-0,1%), à 5,9% au 2e trimestre. Il diminue de 0,2 point sur un an. Il s’agit, pour l’essentiel, de travailleurs à temps partiel subi.

Chômage : quasi stabilité en zone euro

Chômage : quasi stabilité en zone euro

Le chômage connaît une quasi stabilité en octobre dans la zone euro par rapport au mois de septembre. La France qui se situe dans la moyenne est cependant le pays qui connaît la progression la plus forte sur un an. Ce très haut niveau de chômage témoigne du fait que l’Europe est bien engluée dans une croissance molle et que d’une manière générale tant la politique budgétaire que la politique monétaire sont incapables de redynamiser une économie atone. Le taux de chômage en zone euro s’établit donc  à 10,7% pour le mois d’octobre, selon les derniers chiffres d’Eurostat publiés ce mardi. L’Allemagne enregistre le plus faible nombre de chômeurs (4,5%), tandis qu’il atteint 24,6% en Grèce. La France, à 10,8%, connaît quant à elle l’une des plus fortes hausses sur un an.  Le chômage a encore connu un léger recul au mois d’octobre dans la zone euro. S’établissant à 10,7%, il atteint son plus bas niveau depuis janvier 2012, a indiqué mardi l’Office européen de statistiques Eurostat. C’est un peu mieux que ce que prévoyaient les analystes, qui tablaient sur un taux stable à 10,8%. En septembre, le taux de chômage dans la zone euro s’était alors établi à ce même taux de 10,8% précise Eurostat. En octobre, la zone euro comptait quelque 17,240 millions de chômeurs, soit 13.000 de moins qu’un mois plus tôt et 1,302 million de moins qu’il y a un an exactement, période où le taux de chômage  de la zone euro s’élevait encore à 11,5%. Parmi les 19 pays de la région, l’Allemagne a enregistré le plus faible taux de chômage (4,5%, contre 4,7% en septembre), suivi de Malte (5,1%, comme en septembre). A l’inverse, le chômage a atteint 24,6% de la population en Grèce, selon les chiffres d’août (dernières dates disponibles) et en Espagne, il a gardé son haut niveau: 21,6%. C’est toutefois en Espagne que le taux de chômage a le plus diminué en un an, passant de 23,9% à 21, 6%. Les autres « bons élèves » de l’eurozone sont la Slovaquie, qui est passée de 12,7% à 10,7% et l’Irlande (de 10,7% à 8,9%).

 

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