Archive pour le Tag 'Américains'

Economie: Les Américains préfèrent Kamala Harris

Economie: Les Américains préfèrent Kamala Harris

Les électeurs américains font désormais davantage confiance à la candidate démocrate, Kamala Harris, En matière d’économie.

Sur le terrain économique, le camp démocrate a repris le dessus. Un sondage du Financial Times et de l’Université de Michigan révèle que 42% des sondés font confiance à nouvelle candidate pour piloter l’économie américaine, contre 41% pour Donald Trump. Cet écart demeure toutefois très faible, et l’héritage des « Bidenomics » auxquelles Kamala Harris a fortement contribué, n’est pas vraiment un atout. Le « Biden Boom » tant espéré n’a pas eu le succès attendu dans l’arène politique. 60% des sondés souhaitent que la candidate démocrate prenne une tout autre direction que celle de son prédécesseur, si elle est élue.

Politique de Défense: La Pologne achète des équipements américains avec l’argent de l’Europe

Matériel militaire: La Pologne achète des équipements américains avec l’argent de l’Europe

Depuis 2004, la Pologne a reçu près de 246 milliards d’euros du budget de l’Union européenne. Durant cette période, les cotisations versées au budget de l’UE se sont élevées à plus de 83,8 milliards d’euros. Ce qui n’empêche nullement la Pologne de privilégier l’achat d’équipements militaires américaines des industries européennes évidemment.

 

En effet, Varsovie poursuit, à coup de milliards de dollars, ses acquisitions d’équipements militaires, principalement auprès des Etats-Unis et de la Corée du Sud. Ce lundi, Varsovie a signé un accord d’une valeur de 1,13 milliard d’euros sur la production de 48 lanceurs de missiles antiaériens américains Patriot.

 

Troisième accord militaire en moins d’une semaine pour la Pologne. Varsovie a annoncé ce mardi par la voix de son ministre de la Défense avoir signé un accord définitif avec Boeing pour l’achat de 96 hélicoptères de combat Apache.

« Il s’agit de l’achat historique (…) de 96 hélicoptères d’attaque et de combat ultramodernes, les AH-64E Apache », a déclaré Wladyslaw Kosiniak-Kamysz, ajoutant que la valeur de la transaction s’élevait « à 10 milliards de dollars », soit 9,14 milliards d’euros.

L’accord « change le visage des opérations de l’armée polonaise et complète » les achats précédents, a déclaré Wladyslaw Kosiniak-Kamysz. Fortement armé, AH-64E Apache est notamment destiné à combattre les chars ennemis.

Défense: La Pologne achète des équipements américains avec l’argent de l’Europe

Défense: La Pologne achète des équipements américains avec l’argent de l’Europe

Depuis 2004, la Pologne a reçu près de 246 milliards d’euros du budget de l’Union européenne. Durant cette période, les cotisations versées au budget de l’UE se sont élevées à plus de 83,8 milliards d’euros. Ce qui n’empêche nullement la Pologne de privilégier l’achat d’équipements militaires américaines des industries européennes évidemment.

 

En effet, Varsovie poursuit, à coup de milliards de dollars, ses acquisitions d’équipements militaires, principalement auprès des Etats-Unis et de la Corée du Sud. Ce lundi, Varsovie a signé un accord d’une valeur de 1,13 milliard d’euros sur la production de 48 lanceurs de missiles antiaériens américains Patriot.

 

Troisième accord militaire en moins d’une semaine pour la Pologne. Varsovie a annoncé ce mardi par la voix de son ministre de la Défense avoir signé un accord définitif avec Boeing pour l’achat de 96 hélicoptères de combat Apache.

« Il s’agit de l’achat historique (…) de 96 hélicoptères d’attaque et de combat ultramodernes, les AH-64E Apache », a déclaré Wladyslaw Kosiniak-Kamysz, ajoutant que la valeur de la transaction s’élevait « à 10 milliards de dollars », soit 9,14 milliards d’euros.

L’accord « change le visage des opérations de l’armée polonaise et complète » les achats précédents, a déclaré Wladyslaw Kosiniak-Kamysz. Fortement armé, AH-64E Apache est notamment destiné à combattre les chars ennemis.

Des Américains attaqués au couteau en Chine

Des Américains attaqués au couteau en Chine

 

On peut légitimement se demander comment des Américains ont pu être attaqués au couteau en Chine alors que le pays est particulièrement policé. En outre il ne s’agissait pas de personnalités politiquesou impliqués dans des conflits sino-américaines mais de professeurs.

On ne connaît pas les circonstances du drame et on les connaîtra sans doute difficilement. On peut cependant se demander comment la Chine où chaque chinois est surveillé a pu laisser se faire un tel événement. Un fait divers peut-être mais au parfum politique.

Quatre professeurs d’université américains qui travaillent en Chine ont été attaqués et blessés, apparemment lors d’une agression à l’arme blanche, selon leur employeur, une parlementaire et Washington. L’université Cornell College, située aux États-Unis dans l’État de l’Iowa, a indiqué que les quatre Américains travaillaient comme professeurs pour l’établissement d’enseignement supérieur et participaient à un échange universitaire en Chine. Ils ont été blessés lors d’un «grave incident», a souligné l’université.

 

Taux américains inchangés

 Taux américains inchangés

Les marchés financiers devront encore attendre la baisse probable des taux d’intérêt. Pour l’instant la Fed maintient le statu quo même si elle annonce pour l’avenir trois baisse chacune d’un quart : cours de l’année. Ce qui par parenthèse maintiendra encore les taux à un haut niveau, ce qui se justifie par une inflation encore forte (tour de 3,2 %La Réserve fédérale américaine (Fed) a maintenu mercredi inchangés ses taux, qui demeurent au plus haut depuis plus de vingt ans, mais elle conserve le projet de réduire le coût du crédit par trois fois cette année. Les taux au jour le jour restent entre 5,25% et 5,50%, a annoncé la banque centrale dans un communiqué, après une décision unanime des membres du Comité monétaire (FOMC).

Les membres de la Fed, qui ont relevé nettement leur projection de croissance du PIB (Produit intérieur brut) des États-Unis à 2,1% cette année, au lieu de 1,4% précédemment, prévoient toujours trois baisses de taux d’un quart de point de pourcentage en 2024, une année électorale. Pour 2025, néanmoins, le Comité est moins optimiste, ne prévoyant plus que trois autres baisses de taux pour les descendre à 3,9%, au lieu de quatre projetées précédemment.

Les marchés s’attendaient à ce statu quo. Wall Street, qui était en timide baisse en première partie de séance, a viré au vert lorsque les traders ont été rassurés par les perspectives de baisses des taux destinées à soutenir l’économie une fois que l’inflation sera jugulée. Le Dow Jones gagnait 0,72% vers 20H00 GMT et le Nasdaq quasiment 1%. Jerome Powell, le président de la Fed, a estimé lors d’une conférence de presse que l’inflation restait «encore élevée» (à 3,2% selon l’indice CPI) mais il a répété être persuadé qu’elle parviendrait «sur la durée» à l’objectif de 2%.

À lire aussiÉtats-Unis : la FED maintient ses taux, ne voit pas encore de baisse

«Nous sommes fermement déterminés à ramener l’inflation à 2% au fil du temps. C’est notre objectif et nous atteindrons cet objectif. Les marchés croient que nous y parviendrons et nous devons le croire», a-t-il martelé. Plus tôt, le patron de la Fed a aussi insisté sur «l’incertitude» de la réussite en la matière.

Dans son communiqué, quasi-identique à celui de la précédente réunion de janvier, la Réserve fédérale juge l’économie américaine «solide», avec «de forts gains d’emplois», alors que le taux de chômage demeure à 3,9%. Une forte croissance du marché de l’emploi n’est pas en soi «une raison d’inquiétude pour l’inflation», a assuré Jerome Powell indiquant que la croissance des salaires s’était apaisée. Dans ses nouvelles prévisions économiques, la Fed anticipe, comme il y a trois mois lors de ses dernières projections, une inflation à 2,4% en 2024, qui a du mal à descendre sous son niveau actuel, selon l’indice PCE.

Etats-Unis: confiance des consommateurs américains en juin toujours au plus haut

Etats-Unis: confiance des consommateurs américains en juin toujours au plus haut


La confiance des consommateurs américains en juin toujours au plus haut, au plus haut depuis septembre 2021, principalement du fait de ralentissement de l’inflation et de la stabilité du marché de l’emploi. L’indice mesurant cette confiance a augmenté de 12,7% par rapport au mois de juin pour s’établir à 72,6 points, selon l’estimation préliminaire réalisée par l’Université du Michigan publiée vendredi.

Cette estimation surpasse largement les attentes des analystes, qui envisageaient une hausse plus modeste à 65,6 points, selon le consensus publié par briefing.com, soit juste un point de plus que son niveau en juin (64,4 points). «Toutes les composantes de l’indice se sont fortement améliorées, en particulier le climat des affaires à long terme et à court terme», a détaillé Joanna Hsu, directrice de l’enquête, citée dans le communiqué. Une hausse qui concerne par ailleurs «l’ensemble des groupes démographiques, à l’exception des consommateurs disposant des revenus les plus faibles», a-t-elle ajouté.

Parallélement L’inflation régresse et est attendue autour de 3,4% d’ici la fin de l’année, en légère hausse par rapport aux anticipations de juin (3,3%).

Société-Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans

Société-Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans

La drogue, licite ou illicite fait 82 000 morts par an aux États-Unis et plus de 564 000 Américains sont morts en 20 ans.

Les Ces dérivés de l’opium regroupent à la fois des antalgiques légaux, comme la morphine ou l’oxycodone, prescrits contre la douleur, et des substances illicites comme l’héroïne. Selon les Centres de prévention et de contrôle des maladies américains (CDC)*, plus de 564 000 Américains sont morts d’une overdose de l’un de ces produits entre 1999 et 2020. Et la crise s’est accélérée : les opioïdes ont coûté la vie à près de 82 000 personnes entre février 2021 et février 2022, recense l’agence fédérale dans un de ses derniers bilans.

L’ampleur de l’addiction aux opioïdes outre-Atlantique reste difficile à évaluer. Il faut distinguer les antidouleurs pris dans le cadre d’un traitement médical, et ceux qui sont « détournés de leur usage initial » ou achetés sur le marché noir. Mais « les médicaments comme l’oxycodone, fortement dosés, peuvent aussi faire entrer les individus dans la dépendance », avertit Elisa Chelle, professeure en science politique à l’université Paris Nanterre et autrice de Comprendre la politique de santé aux Etats-Unis (Presses de l’EHESP, 2019).

En 2019 déjà, « Envoyé spécial » s’était intéressé aux ravages causés par cet antalgique. « Aucun endroit des Etats-Unis n’est épargné. On déplore des victimes dans tous les comtés », confirme Wilson Compton, médecin et directeur adjoint du Nida, une agence fédérale de recherche sur les drogues et l’addiction.
« Depuis les années 1980, le nombre d’overdoses d’opioïdes augmente de manière exponentielle. Cette épidémie se répand comme une maladie infectieuse. »

Les jeunes consommateurs se fournissent principalement sur les réseaux sociaux, en particulier sur Snapchat, a relevé la chaîne américaine CNBC* fin janvier.

Société-Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans

Société-Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans

La drogue, licite ou illicite fait 82 000 morts par an aux États-Unis et plus de 564 000 Américains sont morts en 20 ans.

Les Ces dérivés de l’opium regroupent à la fois des antalgiques légaux, comme la morphine ou l’oxycodone, prescrits contre la douleur, et des substances illicites comme l’héroïne. Selon les Centres de prévention et de contrôle des maladies américains (CDC)*, plus de 564 000 Américains sont morts d’une overdose de l’un de ces produits entre 1999 et 2020. Et la crise s’est accélérée : les opioïdes ont coûté la vie à près de 82 000 personnes entre février 2021 et février 2022, recense l’agence fédérale dans un de ses derniers bilans.

L’ampleur de l’addiction aux opioïdes outre-Atlantique reste difficile à évaluer. Il faut distinguer les antidouleurs pris dans le cadre d’un traitement médical, et ceux qui sont « détournés de leur usage initial » ou achetés sur le marché noir. Mais « les médicaments comme l’oxycodone, fortement dosés, peuvent aussi faire entrer les individus dans la dépendance », avertit Elisa Chelle, professeure en science politique à l’université Paris Nanterre et autrice de Comprendre la politique de santé aux Etats-Unis (Presses de l’EHESP, 2019).

En 2019 déjà, « Envoyé spécial » s’était intéressé aux ravages causés par cet antalgique. « Aucun endroit des Etats-Unis n’est épargné. On déplore des victimes dans tous les comtés », confirme Wilson Compton, médecin et directeur adjoint du Nida, une agence fédérale de recherche sur les drogues et l’addiction.
« Depuis les années 1980, le nombre d’overdoses d’opioïdes augmente de manière exponentielle. Cette épidémie se répand comme une maladie infectieuse. »

Les jeunes consommateurs se fournissent principalement sur les réseaux sociaux, en particulier sur Snapchat, a relevé la chaîne américaine CNBC* fin janvier.

Société-Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans

Société-Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans

La drogue, licite ou illicite fait 82 000 morts par an aux États-Unis et plus de 564 000 Américains sont morts en 20 ans.

Les Ces dérivés de l’opium regroupent à la fois des antalgiques légaux, comme la morphine ou l’oxycodone, prescrits contre la douleur, et des substances illicites comme l’héroïne. Selon les Centres de prévention et de contrôle des maladies américains (CDC)*, plus de 564 000 Américains sont morts d’une overdose de l’un de ces produits entre 1999 et 2020. Et la crise s’est accélérée : les opioïdes ont coûté la vie à près de 82 000 personnes entre février 2021 et février 2022, recense l’agence fédérale dans un de ses derniers bilans.

L’ampleur de l’addiction aux opioïdes outre-Atlantique reste difficile à évaluer. Il faut distinguer les antidouleurs pris dans le cadre d’un traitement médical, et ceux qui sont « détournés de leur usage initial » ou achetés sur le marché noir. Mais « les médicaments comme l’oxycodone, fortement dosés, peuvent aussi faire entrer les individus dans la dépendance », avertit Elisa Chelle, professeure en science politique à l’université Paris Nanterre et autrice de Comprendre la politique de santé aux Etats-Unis (Presses de l’EHESP, 2019).

En 2019 déjà, « Envoyé spécial » s’était intéressé aux ravages causés par cet antalgique. « Aucun endroit des Etats-Unis n’est épargné. On déplore des victimes dans tous les comtés », confirme Wilson Compton, médecin et directeur adjoint du Nida, une agence fédérale de recherche sur les drogues et l’addiction.
« Depuis les années 1980, le nombre d’overdoses d’opioïdes augmente de manière exponentielle. Cette épidémie se répand comme une maladie infectieuse. »

Les jeunes consommateurs se fournissent principalement sur les réseaux sociaux, en particulier sur Snapchat, a relevé la chaîne américaine CNBC* fin janvier.

Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans

Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans

La drogue, licite ou illicite fait 82 000 morts par an aux États-Unis et plus de 564 000 Américains sont morts en 20 ans.

Les Ces dérivés de l’opium regroupent à la fois des antalgiques légaux, comme la morphine ou l’oxycodone, prescrits contre la douleur, et des substances illicites comme l’héroïne. Selon les Centres de prévention et de contrôle des maladies américains (CDC)*, plus de 564 000 Américains sont morts d’une overdose de l’un de ces produits entre 1999 et 2020. Et la crise s’est accélérée : les opioïdes ont coûté la vie à près de 82 000 personnes entre février 2021 et février 2022, recense l’agence fédérale dans un de ses derniers bilans.

L’ampleur de l’addiction aux opioïdes outre-Atlantique reste difficile à évaluer. Il faut distinguer les antidouleurs pris dans le cadre d’un traitement médical, et ceux qui sont « détournés de leur usage initial » ou achetés sur le marché noir. Mais « les médicaments comme l’oxycodone, fortement dosés, peuvent aussi faire entrer les individus dans la dépendance », avertit Elisa Chelle, professeure en science politique à l’université Paris Nanterre et autrice de Comprendre la politique de santé aux Etats-Unis (Presses de l’EHESP, 2019).

En 2019 déjà, « Envoyé spécial » s’était intéressé aux ravages causés par cet antalgique. « Aucun endroit des Etats-Unis n’est épargné. On déplore des victimes dans tous les comtés », confirme Wilson Compton, médecin et directeur adjoint du Nida, une agence fédérale de recherche sur les drogues et l’addiction.
« Depuis les années 1980, le nombre d’overdoses d’opioïdes augmente de manière exponentielle. Cette épidémie se répand comme une maladie infectieuse. »

Les jeunes consommateurs se fournissent principalement sur les réseaux sociaux, en particulier sur Snapchat, a relevé la chaîne américaine CNBC* fin janvier.

Kanye West, idole des rappeurs américains: «J’aime Hitler et j’adore les nazis»

Kanye West, idole des rappeurs américains: «J’aime Hitler et j’adore les nazis»

Leader le plus célèbre des rappeurs américains, Kanye West confirme ses propos racistes et complotistes. Un rappeur qui s’était singularisé par l’extrême nullité des paroles de ses chansons et qui tutoie désormais la folie des extrémistes reconnaissant même son admiration pour Hitler ! Des propos évidemment immondes et complètement incultes.
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«Ce mec (Hitler ) a inventé les autoroutes, a inventé le microphone que j’utilise comme musicien. On ne peut pas dire publiquement que cette personne a fait quoi que ce soit de bien, et j’en ai assez», a ajouté Kanye West. Le rappeur, qui affirme souffrir de troubles bipolaires et a récemment suggéré qu’il pourrait briguer la présidence des États-Unis en 2024, a redoublé de provocation, déclenchant des rires choqués de la part de son hôte. «J’en ai assez des étiquettes, tout être humain a apporté quelque chose ayant une valeur, surtout Hitler», a-t-il insisté.

«Les nazis étaient des voyous et ont fait des choses très mauvaises», a tenté de le corriger le présentateur Alex Jones, récemment condamné à payer près d’un milliard de dollars pour avoir nié la réalité d’une tuerie dans une école. «Mais ils ont fait de bonnes choses aussi», lui a rétorqué le rappeur. «Nous devons arrêter d’insulter les nazis en permanence. (…) J’adore les nazis.» Englué dans une série de polémiques, Kanye West a été lâché en cascade ces dernières semaines par les marques avec lesquelles il collaborait.

L’équipementier sportif Adidas a notamment coupé les ponts avec le rappeur fin octobre à cause de propos jugés antisémites. La chaîne de prêt-à-porter Gap et la maison de mode Balenciaga lui ont également tourné le dos.

Début octobre, le rappeur avait arboré lors d’un défilé à Paris le slogan «White Lives Matter», détournant le nom du mouvement anti-raciste «Black Lives Matter». Sur le plateau jeudi, il est apparu aux côtés du suprémaciste blanc Nick Fuentes, avec qui il a participé cette semaine à un dîner très polémique en compagnie de l’ancien président américain Donald Trump.

Taux américains: : une hausse qui va secouer toutes les banques centrales

Taux américains: : une hausse qui va secouer toutes les banques centrales

La banque centrale américaine a une fois de plus bousculé le monde monétaire en décidant d’un nouveau relèvement des taux d’intérêt. L’objectif est bien sûr de lutter contre une inflation qui selon les indicateurs se situe entre 6 et 8 %. Quant aux taux d’intérêt, ils se situent maintenant près de 4 %. Il y a donc encore de la marge même si la Fed laisse entendre qu’elle va maintenant ralentir le processus d’augmentation des taux.La première conséquence à attendre sera un bouleversement des taux de change dont l’euro sera l’une des victimes.

L’enjeu est en effet de lutter contre l’inflation mais sans trop menacer la croissance. La croissance est encore satisfaisante en 2022, autour de 2,5 % mais elle devrait se tasser en 2023.Les prévisions n’accordent qu’une progression de l’activité de 1 % l’année prochaine. À noter que dans le même temps l’union européenne pourrait tutoyer la récession.

La plupart des banques centrales sont donc à la remorque des États-Unis, les plus forts taux d’intérêt américain attirent en effet les capitaux ce qui a pour effet de renforcer encore le dollar est inversement d’affaiblir les autres monnaies.

Inévitablement, les autres banques centrales devront aussi procéder à de nouveaux réajustements à la hausse des taux d’intérêt sinon le risque est grand de provoquer de nouvelles dévalorisations des monnaies par rapport au dollar.

La Banque centrale européenne (BCE) a décidé Récemment hausse de ses taux d’intérêt de 75 points de base. Il s’agit de l’augmentation la plus importante appliquée depuis 1999.

« Le taux d’intérêt des opérations principales de refinancement et les taux d’intérêt de la facilité de prêt marginal et de la facilité de dépôt seront respectivement portés à 1,25 %, 1,50 % et 0,75 %, avec effet au 14 septembre 2022″, a précisé l’institution de Francfort. Mais la différence entre les taux européens et américains sont encore énormes.

La banque centrale américaine (Fed) a donc relevé mercredi ses taux à leur plus haut niveau depuis près de 15 ans, et pense continuer à les augmenter, cherchant à tout prix à juguler la forte inflation, une tâche compliquée cependant par la menace d’une récession.

Lors de sa conférence de presse, le président de la réserve fédérale, Jerome Powell, a prévenu qu’il faudrait « du temps » avant que les hausses de taux d’intérêt ne ralentissent l’inflation et que cela passerait sans doute par un ralentissement de l’économie.

Taux d’intérêt : un nouveau relèvement des taux américains qui va secouer toutes les banques centrales

Taux d’intérês : un nouveau relèvement des taux américains qui va secouer toutes les banques centrales

La banque centrale américaine a une fois de plus bousculé le monde monétaire en décidant d’un nouveau relèvement des taux d’intérêt. L’objectif est bien sûr de lutter contre une inflation qui selon les indicateurs se situe entre 6 et 8 %. Quant aux taux d’intérêt, ils se situnte maintenant près de 4 %. Il y a donc encore de la marge même si la Fed laisse entendre qu’elle va maintenant ralentir le processus d’augmentation des taux.

L’enjeu est en effet de lutter contre l’inflation mais sans trop menacer la croissance. La croissance est encore satisfaisante en 2022, autour de 2,5 % mais elle devrait se tasser en 2023.Les prévisions n’accordent qu’une progression de l’activité de 1 % l’année prochaine. À noter que dans le même temps l’union européenne pourrait tutoyer la récession.

La plupart des banques centrales sont donc à la remorque des États-Unis, les plus forts taux d’intérêt américain attirent en effet les capitaux ce qui a pour effet de renforcer encore le dollar est inversement d’affaiblir les autres monnaies.

Inévitablement, les autres banques centrales devront aussi procéder à de nouveaux réajustements à la hausse des taux d’intérêt sinon le risque est grand de provoquer de nouvelles dévalorisations des monnaies par rapport au dollar.

La Banque centrale européenne (BCE) a décidé Récemment hausse de ses taux d’intérêt de 75 points de base. Il s’agit de l’augmentation la plus importante appliquée depuis 1999.

« Le taux d’intérêt des opérations principales de refinancement et les taux d’intérêt de la facilité de prêt marginal et de la facilité de dépôt seront respectivement portés à 1,25 %, 1,50 % et 0,75 %, avec effet au 14 septembre 2022″, a précisé l’institution de Francfort. Mais la différence entre les taux européens et américains sont encore énormes.

La banque centrale américaine (Fed) a donc relevé mercredi ses taux à leur plus haut niveau depuis près de 15 ans, et pense continuer à les augmenter, cherchant à tout prix à juguler la forte inflation, une tâche compliquée cependant par la menace d’une récession.

Lors de sa conférence de presse, le président de la réserve fédérale, Jerome Powell, a prévenu qu’il faudrait « du temps » avant que les hausses de taux d’intérêt ne ralentissent l’inflation et que cela passerait sans doute par un ralentissement de l’économie.

Politique monétaire : un nouveau relèvement des taux américains qui va secouer toutes les banques centrales

Politique monétaire : un nouveau relèvement des taux américains qui va secouer toutes les banques centrales

La banque centrale américaine a une fois de plus bousculé le monde monétaire en décidant d’un nouveau relèvement des taux d’intérêt. L’objectif est bien sûr de lutter contre une inflation qui selon les indicateurs se situe entre 6 et 8 %. Quant aux taux d’intérêt, ils se situnte maintenant près de 4 %. Il y a donc encore de la marge même si la Fed laisse entendre qu’elle va maintenant ralentir le processus d’augmentation des taux.

L’enjeu est en effet de lutter contre l’inflation mais sans trop menacer la croissance. La croissance est encore satisfaisante en 2022, autour de 2,5 % mais elle devrait se tasser en 2023.Les prévisions n’accordent qu’une progression de l’activité de 1 % l’année prochaine. À noter que dans le même temps l’union européenne pourrait tutoyer la récession.

La plupart des banques centrales sont donc à la remorque des États-Unis, les plus forts taux d’intérêt américain attirent en effet les capitaux ce qui a pour effet de renforcer encore le dollar est inversement d’affaiblir les autres monnaies.

Inévitablement, les autres banques centrales devront aussi procéder à de nouveaux réajustements à la hausse des taux d’intérêt sinon le risque est grand de provoquer de nouvelles dévalorisations des monnaies par rapport au dollar.

La Banque centrale européenne (BCE) a décidé Récemment hausse de ses taux d’intérêt de 75 points de base. Il s’agit de l’augmentation la plus importante appliquée depuis 1999.

« Le taux d’intérêt des opérations principales de refinancement et les taux d’intérêt de la facilité de prêt marginal et de la facilité de dépôt seront respectivement portés à 1,25 %, 1,50 % et 0,75 %, avec effet au 14 septembre 2022″, a précisé l’institution de Francfort. Mais la différence entre les taux européens et américains sont encore énormes

La banque centrale américaine (Fed) a donc relevé mercredi ses taux à leur plus haut niveau depuis près de 15 ans, et pense continuer à les augmenter, cherchant à tout prix à juguler la forte inflation, une tâche compliquée cependant par la menace d’une récession.

Lors de sa conférence de presse, le président de la réserve fédérale, Jerome Powell, a prévenu qu’il faudrait « du temps » avant que les hausses de taux d’intérêt ne ralentissent l’inflation et que cela passerait sans doute par un ralentissement de l’économie.

Inversion des taux américains: alerte sur l’économie

Inversion des taux américains: alerte sur l’économie

Aux États-Unis, le taux d’intérêt à 3 mois au-dessus du 10 ans constitue une sorte d’alerte sur l’économie. Ainsi, la confiance est bien davantage accordée au court terme qu’au long terme. En clair, la croissance américaine pourrait bien se rapprocher de la récession dès 2023.

Les huit dernières récessions que les États-Unis ont connues ont toutes été précédées d’une inversion de la courbe des taux.
Le taux d’intérêt des obligations d’État américaines à 3 mois est passé jeudi au-dessus de leur équivalent à 10 ans, un phénomène très rare qui a systématiquement été suivi d’une récession depuis plus d’un demi-siècle.

La théorie veut qu’avec cette inversion, le marché signale qu’il est moins confiant dans la croissance économique à long terme qu’à court terme. Il envisage ainsi une récession à moyen terme, qui contraindrait la Banque centrale américaine (Fed) à baisser ses taux.

En mars dernier, la courbe des taux avait déjà montré de premiers signes d’inversion. Depuis début juillet, le taux à 2 ans évolue sans discontinuer au-dessus du taux à 10 ans, ce qui était déjà considéré par certains comme un premier marqueur annonciateur d’une récession. «C’est un signal préoccupant», selon Christopher Vecchio, de DailyFX, pour qui l’inversion entre taux à 3 mois et 10 ans «est peut-être plus importante que celle avec le taux à 2 ans.»

Mercredi, le taux à 3 mois était monté à son plus haut niveau depuis 15 ans, à 4,04%. Il ressortait à 4% jeudi, tandis que le taux à 10 s’affichait à 3,91%.

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