Archive pour le Tag 'président'

Climat : Le président de la COP 28 conteste le rôle du pétrole

Climat : Le président de la COP 28 conteste le rôle du pétrole

« aucune étude scientifique, aucun scénario, ne dit que la sortie des énergies fossiles nous permettra d’atteindre 1,5°C » déclaré le président de la cape 28. Ce qui n’a pas manqué d’agacer Sultan al-Jaber. La question d’une réduction ou d’une sortie des fossiles est un des sujets les plus tendus de la 28e conférence de l’ONU pour le climat, qui se tient jusqu’au 12 décembre à Dubaï.

Le quotidien britannique The Guardian, a rapporté des propos tenus par l’Emirati lors d’un échange en ligne le 21 novembre, avec Mary Robinson, présidente du « groupe des Sages » (de hauts responsables, militants pour la paix et défenseurs des droits humains).

« Aucune étude scientifique, aucun scénario, ne dit que la sortie des énergies fossiles nous permettra d’atteindre 1,5°C. 1,5°C est mon étoile du Nord. Et une réduction et une sortie des énergies fossiles sont, selon moi, inévitables. C’est essentiel. Mais il faut être sérieux et pragmatique », avait-il déclaré.

« Nous sommes ici parce que nous croyons et nous respectons la science », a-t-il martelé lors d’une conférence de presse, à laquelle il avait convié Jim Skea, le président du Giec, le groupe d’experts climatiques mandatés par l’ONU. Et d’ajouter : « Tout le travail de la présidence est focalisé et centré sur la science ».

« La science dit qu’il faut atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 et qu’il faut réduire les émissions de 43% d’ici 2030 » pour limiter le réchauffement à +1,5°C, but fixé par l’accord de Paris, a encore rappelé celui qui est également patron de la compagnie pétrolière émiratie Adnoc. « J’ai dit et redit que la réduction et la sortie des énergies fossiles étaient inévitables ».Le seul problème c’est quand

Les jeux positions tourne autour des mots réductions ou suppression. Il est clair que les producteurs de pétrole sont surtout favorables au concept de réduction progressive pour continuer d’engranger la manne financière des énergies fossiles. À l’inverse des pays plus écolos qui souhaitent qu’une date soit fixée pour la fin notamment du pétrole.
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D’un côté, les nations insulaires et plusieurs pays d’Amérique latine (Colombie, Pérou, Chili,…) défendent avec force de viser l’objectif de 1,5°C plutôt que 2°C. Et pour cela de sortir au plus vite des énergies fossiles, suivis par l’Union européenne. De l’autre, des pays développés, producteurs d’hydrocarbures (États-Unis, Canada, Australie, Norvège), sont aussi favorables à cette sortie, mais avec moins d’ambition dès la décennie en cours. Quand la plupart des pays africains sont, eux aussi, en faveur d’une sortie des énergies fossiles, mais à condition de bénéficier d’un délai bien plus long que les pays déjà développés.

Ln autre observateur. Avec en mémoire, l’exemple de la COP26 de Glasgow, en 2021. En effet, si le texte final faisait bien mention de l’énergie fossile la plus polluante de toutes, le charbon, cet ajout avait subi des modifications sémantiques de dernière minute pour amoindrir largement la portée des ambitions.

Politique-Argentine : encore un président élu par défaut

Politique-Argentine : encore un président élu par défaut

Comme dans d’autres pays, les électeurs en Argentine ont élu un président par défaut. Moins par adhésion aux orientations ultra libérale et anachronique du nouveau président que par rejet de son adversaire qui a contribué à plonger le pays dans une grave crise économique et sociale.

L’ultralibéral et « antisystème » Javier Milei a donc remporté ce dimanche l’élection présidentielle argentine, devançant le ministre de l’Économie Sergio Massa avec plus de 55% des voix.

Le ministre de l’Économie, Adversaire du président élu, a indiqué, devant ses partisans réunis à son QG de campagne à Buenos Aires, avoir appelé Javier Milei pour « le féliciter et lui souhaiter bonne chance ».

Cet économiste « anarcho-capitaliste » comme il se décrit, polémiste des plateaux TV, a surgi en politique il y a deux ans. Dégagiste contre la « caste parasite », il est résolu à « tronçonner » l’ »État-ennemi » et à dollariser l’économie. Pour lui, le changement climatique est un « cycle », non la responsabilité de l’homme. Bref une sorte de copie de Trump en plus compétent cependant mais tout aussi fou. Exemple :son projet de « déréglementer le marché des armes à feu »!

Dès lors, « ce qui joue désormais est moins l’adhésion que le rejet » de l’autre, estimait auprès de l’AFP Gabriel Vommaro, politologue de l’Université San Martin.

Argentine : encore un président fou de plus dans le monde !

Argentine : encore un président fou de plus dans le monde !

De toute évidence Trump fait des émules avec ses propos complètement provocateurs et irresponsables. Ainsi le nouveau président d’Argentine se présente lui aussi comme un responsable anti système. Avec des propositions ultralibérales mais provocatrices voire complètement dingues. Par exemple quand il attaque la valeur de la monnaie argentine qui du coup s’est écroulée un peu plus sur les marchés.

Dans un style particulièrement provocateur, le nouveau président a attaqué les grandes institutions de l’État, les «gauchistes» ou encore «l’idiot qui se trouve à Rome» en faisant référence au pape.

L’ultralibéral chef d’État s’est défini en ces termes pour «anarcho capitaliste». «Je suis le général AnCap [anarcho capitaliste]. Je viens de Liberland, une terre créée sur le principe de l’appropriation originelle de l’homme (…) Ma mission est de botter les fesses des keynésiens et des collectivistes de merde.» Le président élu explique en ces termes son programme libéral dans lequel il prévoit de couper «à la tronçonneuse» les budgets de l’État.

Le nouveau président argentin a notamment déclaré lors d’une interview réalisée au Chili, qu’il préférait la mafia à l’État, rapporte la revue Le Grand Continent . «Entre la mafia et l’État, je préfère la mafia. La mafia a des codes, elle tient ses engagements, elle ne ment pas, elle est compétitive.»

La vérité c’est que l’intéressé a moins été élu par adhésion à ses orientations d’anarchistes capitalistes que par rejet d’une classe politique qui a largement échoué et plongé le pays dans une crise structurelle et dangereuse.

Javier Milei a notamment promis de supprimer le ministère de la Santé, le ministère de l’Éducation, des Affaires sociales et celui du Droit des femmes. Il veut que le secteur privé prenne en charge la santé et l’éducation, et supprimer les aides sociales pour rétablir les comptes de l’État.

Argentine : encore un président élu par défaut

Argentine : encore un président élu par défaut

Comme dans d’autres pays, les électeurs en Argentine ont élu un président par défaut. Moins par adhésion aux orientations ultra libérale et anachronique du nouveau président que par rejet de son adversaire qui a contribué à plonger le pays dans une grave crise économique et sociale.

L’ultralibéral et « antisystème » Javier Milei a donc remporté ce dimanche l’élection présidentielle argentine, devançant le ministre de l’Économie Sergio Massa avec plus de 55% des voix.

Le ministre de l’Économie, Adversaire du président élu, a indiqué, devant ses partisans réunis à son QG de campagne à Buenos Aires, avoir appelé Javier Milei pour « le féliciter et lui souhaiter bonne chance ».

Cet économiste « anarcho-capitaliste » comme il se décrit, polémiste des plateaux TV, a surgi en politique il y a deux ans. Dégagiste contre la « caste parasite », il est résolu à « tronçonner » l’ »État-ennemi » et à dollariser l’économie. Pour lui, le changement climatique est un « cycle », non la responsabilité de l’homme. Bref une sorte de copie de Trump en plus compétent cependant mais tout aussi fou. Exemple :son projet de « déréglementer le marché des armes à feu »!

Dès lors, « ce qui joue désormais est moins l’adhésion que le rejet » de l’autre, estimait auprès de l’AFP Gabriel Vommaro, politologue de l’Université San Martin.

Macron: Un président sans boussole après son initiative politique ratée de Saint-Denis

Macron: Un président sans boussole après son initiative politique ratée de Saint-Denis

L’initiative politique d’ampleur annoncé par Macron qui doit se tenir à Saint-Denis finit en eau de boudin. Du coup lundi le chef de l’État a fait part de sa colère à la fois vis-à-vis du parti des « républicains » et du parti socialiste. La pseudo grande initiative annoncée par le chef de l’État va donc se réduire essentiellement à une confrontation entre les macronistes et le « front national ». Ce n’était pas vraiment l’objectif de départ ! Un papier des « écho »s qui n’est pas un journal spécialement gauchiste évoque le flou de la politique actuelle du président.

par Par Cécile Cornudet dans « les Echos »

Après LFI, ce sont le PS puis Les Républicains qui déclinent l’invitation de vendredi. Dire non à Macron pour paraître un opposant résolu. Je suis toujours à gauche, tente de signifier le parti d’Olivier Faure, malgré ses prises de distances avec Jean-Luc Mélenchon. Je suis toujours à droite, signifie en écho celui d’Eric Ciotti, alors que la droite sénatoriale vient d’approuver le projet de loi immigration. Qui est pris peut aussi prendre, tentent les deux anciens partis de gouvernement. Mais est-ce vraiment de leur intérêt ? Rien n’est moins sûr.

Outre l’échange promis sur l’actualité internationale, tout sauf mineure en ce moment, Emmanuel Macron veut mettre sur la table un élargissement du champ du référendum aux questions de société, soit une revendication de longue date des LR qui rêvent d’une consultation sur l’immigration. Si annonce il y a, ce sera donc sans eux.

Il se dit également ouvert à un accès facilité au référendum d’initiative partagée (RIP) comme le souhaite le Parti socialiste. Là encore, si la rencontre de vendredi progresse, les socialistes ne seront pas là pour dire « c’est grâce à nous ».

Qui reste-t-il dès lors à ces « rendez-vous » d’Emmanuel Macron ? Un cénacle rétréci à Jordan Bardella (RN), Fabien Roussel (PCF), Marine Tondelier (Les Ecologistes), Hervé Marseille (Union des démocrates et indépendants) et les têtes de la majorité Stéphane Séjourné, Edouard Philippe, François Bayrou, auxquels sont associés les présidents des deux assemblées. « L’initiative politique d’ampleur », comme l’avait appelée le chef de l’Etat, est devenue riquiqui.

« Les absents ont tort », balaye l’Elysée, en espérant qu’ils changeront d’avis d’ici à vendredi. Mais les absents jettent une lumière crue sur l’initiateur des agapes. Le moment est compliqué. Le « jus » de la fin août a disparu, s’inquiète une partie de la Macronie. Au début du premier quinquennat, le président inondait ses proches d’un SMS récurrent : « Comment tu sens les choses ? ». Désormais c’est entre eux qu’ils échangent cette question : « Tu comprends ce que fait Macron ? ».

Sur le conflit Israël-Hamas (Edouard Philippe), sur son absence dans la manifestation contre l’antisémitisme, sur la suite des réformes (Bruno Le Maire), sur le devenir de la loi fin de vie (l’aile gauche), sur sa ligne en matière d’immigration, une même interrogation : où va-t-il ?

Un économiste pro gouvernemental Gilbert nommé président du Conseil d’orientation des retraites

Un économiste pro gouvernemental Gilbert nommé président du Conseil d’orientation des retraites (COR)


Il y a plusieurs manières de refaire des additions. Pour preuve, le comité d’orientation des retraites à plusieurs reprises à présenter des perspectives de dérive des dépenses très différentes les unes des autres. Dernièrement, il s’est rapproché du gouvernement et pour faire bonne mesure un nouveau président, économiste libéral proche du pouvoir a été nommé à la tête du conseil d’orientation des retraites. Conclusion, il faut s’attendre à des addictions très sévères concernant l’avenir des retraites !

La nomination a été officialisée ce mardi en Conseil des ministres. Interrogé par le Figaro, l’intéressé s’est réjoui de cette évolution. Le poste « m’a paru un challenge intéressant pour un économiste », explique-t-il. Son prédécesseur, diplômé d’HEC et de l’ENA, avait davantage le profil d’un haut fonctionnaire. Discret sur la date et la façon dont il a été contacté, il reconnaît en revanche avoir été très surpris par la proposition. «Je ne m’y attendais pas du tout, même si je suis beaucoup intervenu sur le sujet des retraites. C’est un dossier qui m’intéresse», ajoute-t-il.

Le COR une sorte d’organisme hybride qui ne dispose pas du droit à légiférer ou à décider. Son statut est entre l’expertise et la proposition d’orientation. Une espèce de cocktail qui permet de regrouper 41 membres – parlementaires, représentants du patronat et des syndicats, membres des grandes administrations et experts. Il est chargé «d’analyser et de suivre les perspectives à moyen et long terme du système de retraite français».

Le nouveau président est adjoint au directeur général des études et des relations internationales de la Banque de France, et président depuis 2017 du groupe d’experts sur le Smic, chargé de remettre chaque année un rapport au gouvernement.

La Banque de France qui régulièrement Freine l’augmentation du SMIC et des salaires en général pour se conformer à l’orthodoxie financière notamment allemande.

Et un soutien de Macon «Nous estimons que le programme d’Emmanuel Macron est le plus à même de poser les bases de la nouvelle croissance économique dont notre pays a besoin. Il l’est parce qu’il fait le pari du travail, de la jeunesse, de l’innovation, de l’inclusion, de l’investissement et de la transition environnementale», Avec co écrit le nouveau président du COR approuvant ensuite totalement la réforme des retraites.

Le président chez les grévistes….. aux États-Unis

Le président chez les grévistes….. aux États-Unis

Le président des États-Unis s’est rendu chez les grévistes de l’automobile pour les soutenir dans leurs revendications en grève pour l’augmentation des salaires. Les syndicats réclament de l’ordre de 40 % d’augmentation de leur salaire. Il faut dire que le président des États-Unis est également en campagne électorale. N’empêche que la venue de la plus haute personnalité politique chez des salariés en grève constitue un événement rare. On voit en effet mal Macron rejoindre un piquet de grève pour soutenir la lutte de salariés qui réclament des hausses de salaires.Ce dernier est plus à l’aise dans des dîners type Versailles.

Au mieux, il se rendra dans une préfecture pour réunir quelques participants complaisants sous l’œil des caméras de la télévision. Il pourrait aussi décider de créer un nouveau « machin » pour shunter les institutions et organisations officielles. Un truc du style conseil national de la Refondation ou « Haut conseil de quelque chose ».

Dans le secteur automobile américain sont l’objet de câlineries particulières y compris de Donald Trump qui lui aussi mercredi devrait y aller de son couplet de soutien aux grévistes.

En France aussi lors de périodes électorales présidentielles des candidats ont tenu à manifester leur solidarité avec des grévistes. Un soutien davantage politicien que réellement social.

Le président indien plaide pour l’intégration de l’union africaine dans le G20

Le président indien plaide pour l’intégration de l’union africaine dans le G20

En prélude au sommet du G20 des 9 et 10 septembre, le président indien plaide pour l’intégration de l’union africaine dans le G20 . En décembre, le président américain Joe Biden avait déjà émis le souhait que l’UA rejoigne le G20 en tant que membre permanent, assurant que « cela allait se faire ». Une proposition souhaitable pour rendre le G20 plus représentatif du monde et permettre une intégration économique plus significative même si le G20 n’est pas au sens propre une instance de décision mais plutôt de concertation.

Le G 20 rassemble 19 des plus importantes économies mondiales plus l’Union européenne, soit 85% du PIB mondial et les deux tiers de la population du globe. Basée à Addis Abeba, capitale de l’Ethiopie, l’UA compte 55 pays membres, totalisant 3.000 milliards de dollars de PIB.

On aura noté que l’Inde progressivement un rôle politique de plus en plus important au plan mondial et que ce pays se propose même d’être une sorte d’alternative à la Chine dans le système de production international.

Politique- Macron : Un président toujours paralysé !

Politique- Macron : Un président toujours paralysé !

À l’occasion d’un discours tenu hier à Bornes les Mimosas, on attendait que le président s’explique sur cette « initiative politique majeure » qu’il a annoncée. En fait, Macron n’a rien dit sans doute simplement parce qu’ils ne sait pas lui-même de quoi sera faite cette fameuse initiative. Une nouvelle preuve de sa paralysie .Ce qui caractérise la politique globale de Macron ces derniers mois, c’est surtout sa discrétion et surtout son immobilisme. Macron on est tellement conscient qu’il a annoncé une « grande initiative politique » pour la rentrée ; en réalité une simple rencontre avec les chefs des partis politiques et qui pourrait faire pchitt comme la nouvelle majorité qu’il avait souhaitée avec les Républicains. On aura évidemment remarqué d’abord que lors de la très forte mobilisation contre la réforme des retraites, Macron à chaque grande manifestation a choisi de s’éloigner voire de partir à l’étranger. Finalement, il s’est assez peu exprimé sur cette grande mobilisation laissant à la première ministre bien isolée le soin de boucher les trous de la contestation( avec quelques vaines concertations). Après quelques semaines, La réforme est déjà obsolète et il faut reprendre l’ouvrage et sans doute faire sauter le verrou idiot de la mesure d’âge qui bloque toute évolution. C’est-à-dire ne prendre en compte que la durée de cotisation modulée en fonction de la pénibilité et de la situation des femmes. Même discrétion de Macron lors de la crise des quartiers et du putsch au Niger.

À peine fini, le mouvement de protestation contre la réforme des retraites a débouché sur la crise très violente des quartiers. Pas seulement des quartiers connus mais dans la plupart des agglomérations françaises moyennes et même petites. Là aussi Macron s’est surtout caractérisé par son grand mutisme. Il aura fallu des semaines et des semaines pour qu’il dise quelques mots sur les facteurs explicatifs de cette explosion.

Même aujourd’hui, il minimise encore les causes renvoyant aux parents la seule responsabilité comme si la société et l’État notamment l’école pouvaient se dispenser d’une analyse de leur faillite.

Au plan international, après les bavardages inutiles et particulièrement longs et ridicules de Macron avec Poutine, c’est aussi la grande discrétion en particulier à propos de la faiblesse des moyens fournis par la France. Quant aux perspectives de négociations entre les parties, elles sont renvoyées aux calendes grecques et le rôle de Macron également.

Autre échec assez dramatique aussi, celui de la force Barkhane rejetée dans des différents pays du Sahel : Mali, Burkina et maintenant Niger. Pas seulement un échec militaire d’une force complètement sous dimensionnée par rapport aux enjeux mais surtout un échec de la politique diplomatique et de développement. On continue la bonne vieille politique de développement entre institutions officielles de sorte que nombre de financements se perdent dans les sables ou dans les poches alors qu’il faudrait une politique de développement fondé sur des contrats précis et suivis . Une politique de développement via des contrats concrets et régulièrement évalués.

Une nouvelle fois, on aura observé une ou deux interventions très dures du président de la république , puis progressivement une modération de ses propos pour enfin maintenant constater le grand silence face à la complexité de la situation au Niger, au Sahel et dans la sous région.

Bref, on ne peut qu’acter le fait que désormais le président se réfugie depuis sa dernière élection dans l’immobilisme.

Politique- Macron , président paralysé !

Politique- Macron : Un président paralysé !

Ce qui caractérise la politique globale de Macron ces derniers mois, c’est surtout sa discrétion et surtout son immobilisme. Macron on est tellement conscient qu’il a annoncé une « grande initiative politique » pour la rentrée ; en réalité une simple rencontre avec les chefs des partis politiques et qui pourrait faire pchitt comme la nouvelle majorité qu’il avait souhaitée avec les Républicains. On aura évidemment remarqué d’abord que lors de la très forte mobilisation contre la réforme des retraites, Macron à chaque grande manifestation a choisi de s’éloigner voire de partir à l’étranger. Finalement, il s’est assez peu exprimé sur cette grande mobilisation laissant à la première ministre bien isolée le soin de boucher les trous de la contestation( avec quelques vaines concertations). Après quelques semaines, La réforme est déjà obsolète et il faut reprendre l’ouvrage et sans doute faire sauter le verrou idiot de la mesure d’âge qui bloque toute évolution. C’est-à-dire ne prendre en compte que la durée de cotisation modulée en fonction de la pénibilité et de la situation des femmes. Même discrétion de Macron lors de la crise des quartiers et du putsch au Niger.

À peine fini, le mouvement de protestation contre la réforme des retraites a débouché sur la crise très violente des quartiers. Pas seulement des quartiers connus mais dans la plupart des agglomérations françaises moyennes et même petites. Là aussi Macron s’est surtout caractérisé par son grand mutisme. Il aura fallu des semaines et des semaines pour qu’il dise quelques mots sur les facteurs explicatifs de cette explosion.

Même aujourd’hui, il minimise encore les causes renvoyant aux parents la seule responsabilité comme si la société et l’État notamment l’école pouvaient se dispenser d’une analyse de leur faillite.

Au plan international, après les bavardages inutiles et particulièrement longs et ridicules de Macron avec Poutine, c’est aussi la grande discrétion en particulier à propos de la faiblesse des moyens fournis par la France. Quant aux perspectives de négociations entre les parties, elles sont renvoyées aux calendes grecques et le rôle de Macron également.

Autre échec assez dramatique aussi, celui de la force Barkhane rejetée dans des différents pays du Sahel : Mali, Burkina et maintenant Niger. Pas seulement un échec militaire d’une force complètement sous dimensionnée par rapport aux enjeux mais surtout un échec de la politique diplomatique et de développement. On continue la bonne vieille politique de développement entre institutions officielles de sorte que nombre de financements se perdent dans les sables ou dans les poches alors qu’il faudrait une politique de développement fondé sur des contrats précis et suivis . Une politique de développement via des contrats concrets et régulièrement évalués.

Une nouvelle fois, on aura observé une ou deux interventions très dures du président de la république , puis progressivement une modération de ses propos pour enfin maintenant constater le grand silence face à la complexité de la situation au Niger, au Sahel et dans la sous région.

Bref, on ne peut qu’acter le fait que désormais le président se réfugie depuis sa dernière élection dans l’immobilisme.

Société- Macron : Un président paralysé !

Société- Macron : Un président paralysé !

Ce qui caractérise la politique globale de Macron ces derniers mois, c’est surtout sa discrétion et surtout son immobilisme. Macron on est tellement conscient qu’il a annoncé une « grande initiative politique » pour la rentrée ; en réalité une simple rencontre avec les chefs des partis politiques et qui pourrait faire pchitt comme la nouvelle majorité qu’il avait souhaitée avec les Républicains. On aura évidemment remarqué d’abord que lors de la très forte mobilisation contre la réforme des retraites, Macron à chaque grande manifestation a choisi de s’éloigner voire de partir à l’étranger. Finalement, il s’est assez peu exprimé sur cette grande mobilisation laissant à la première ministre bien isolée le soin de boucher les trous de la contestation( avec quelques vaines concertations). Après quelques semaines, La réforme est déjà obsolète et il faut reprendre l’ouvrage et sans doute faire sauter le verrou idiot de la mesure d’âge qui bloque toute évolution. C’est-à-dire ne prendre en compte que la durée de cotisation modulée en fonction de la pénibilité et de la situation des femmes. Même discrétion de Macron lors de la crise des quartiers et du putsch au Niger.

À peine fini, le mouvement de protestation contre la réforme des retraites a débouché sur la crise très violente des quartiers. Pas seulement des quartiers connus mais dans la plupart des agglomérations françaises moyennes et même petites. Là aussi Macron s’est surtout caractérisé par son grand mutisme. Il aura fallu des semaines et des semaines pour qu’il dise quelques mots sur les facteurs explicatifs de cette explosion.

Même aujourd’hui, il minimise encore les causes renvoyant aux parents la seule responsabilité comme si la société et l’État notamment l’école pouvaient se dispenser d’une analyse de leur faillite.

Au plan international, après les bavardages inutiles et particulièrement longs et ridicules de Macron avec Poutine, c’est aussi la grande discrétion en particulier à propos de la faiblesse des moyens fournis par la France. Quant aux perspectives de négociations entre les parties, elles sont renvoyées aux calendes grecques et le rôle de Macron également.

Autre échec assez dramatique aussi, celui de la force Barkhane rejetée dans des différents pays du Sahel : Mali, Burkina et maintenant Niger. Pas seulement un échec militaire d’une force complètement sous dimensionnée par rapport aux enjeux mais surtout un échec de la politique diplomatique et de développement. On continue la bonne vieille politique de développement entre institutions officielles de sorte que nombre de financements se perdent dans les sables ou dans les poches alors qu’il faudrait une politique de développement fondé sur des contrats précis et suivis . Une politique de développement via des contrats concrets et régulièrement évalués.

Une nouvelle fois, on aura observé une ou deux interventions très dures du président de la république , puis progressivement une modération de ses propos pour enfin maintenant constater le grand silence face à la complexité de la situation au Niger, au Sahel et dans la sous région.

Bref, on ne peut qu’acter le fait que désormais le président se réfugie depuis sa dernière élection dans l’immobilisme.

Politique- Macron : Un président paralysé !

Politique- Macron : Un président paralysé !

Ce qui caractérise la politique globale de Macron ces derniers mois, c’est surtout sa discrétion et surtout son immobilisme. On aura évidemment remarqué d’abord que lors de la très forte mobilisation contre la réforme des retraites, Macron à chaque grande manifestation a choisi de s’éloigner voire de partir à l’étranger. Finalement, il s’est assez peu exprimé sur cet grande mobilisation laissant à la première ministre bien isolée le soin de boucher les trous de la contestation en tentant vainement quelques concertations. Après quelques semaines, La réforme est déjà obsolète et il faut reprendre l’ouvrage et sans doute faire sauter le verrou idiot de la mesure d’âge qui bloque toute évolution. C’est-à-dire ne prendre en compte que la durée de cotisation modulée en fonction de la pénibilité et de la situation des femmes. Même discrétion de Macron lors de la crise des quartiers et du putsch au Niger.

À peine fini, le mouvement de protestation contre la réforme des retraites a débouché sur la crise très violente des quartiers. Pas seulement des quartiers connus mais dans la plupart des agglomérations françaises moyennes et même petites. Là aussi Macron s’est surtout caractérisé par son grand mutisme. Il aura fallu des semaines et des semaines pour qu’il dise quelques mots sur les facteurs explicatifs de cette explosion.

Même aujourd’hui, il minimise encore les causes renvoyant aux parents la seule responsabilité comme si la société et l’État notamment l’école pouvaient se dispenser d’une analyse de leur faillite.

Au plan international, après les bavardages inutiles et particulièrement longs et ridicules de Macron avec Poutine, c’est aussi la grande discrétion en particulier à propos de la faiblesse des moyens fournis par la France. Quant aux perspectives de négociations entre les parties, elles sont renvoyées aux calendes grecques et le rôle de Macron également.

Autre échec assez dramatique aussi, celui de la force Barkhane rejetée dans des différents pays du Sahel : Mali, Burkina et maintenant Niger. Pas seulement un échec militaire d’une force complètement sous dimensionnée par rapport aux enjeux mais surtout un échec de la politique diplomatique et de développement. On continue la bonne vieille politique de développement entre institutions officielles de sorte que nombre de financements se perdent dans les sables ou dans les poches alors qu’il faudrait une politique de développement fondé sur des contrats précis et suivis . Une politique de développement via des contrats concrets et régulièrement évalués.

Une nouvelle fois, on aura observé une ou deux interventions très dures du président de la république , puis progressivement une modération de ses propos pour enfin maintenant constater le grand silence face à la complexité de la situation au Niger, au Sahel et dans la sous région.

Bref, on ne peut qu’acter le fait que désormais le président se réfugie depuis sa dernière élection dans l’immobilisme.

Niger : l’appel du président déchu Mohamed Bazoum

Niger : l’appel du président déchu Mohamed Bazoum

Michel Galy, chercheur au centre d’études sur les conflits et professeur de géopolitique à l’Institut des relations internationales s’est exprimé sur franceinfo vendredi à propos du président déchu au Niger, Mohamed Bazoum.

La tribune publiée vendredi 4 août dans le Washington Post par le président déchu du Niger Mohamed Bazoum est « inédite et extraordinaire », estime sur franceinfo Michel Galy, chercheur au centre d’études sur les conflits et professeur de géopolitique à l’Institut des relations internationales.

Selon Mohamed Bazoum, le Niger est « le dernier bastion du respect des droits de l’homme » au Sahel, se référant notamment aux coups d’Etat successifs au Mali et au Burkina Faso. Le président nigérien a également regretté que ces deux pays aient recours aux services de « mercenaires russes criminels tels que le groupe Wagner ». « Toute la région du Sahel central pourrait tomber sous l’influence de la Russie via le groupe Wagner, dont le terrorisme brutal s’est manifesté en Ukraine », a déploré le chef d’Etat.

En outre, Mohamed Bazoum craint que « Boko Haram et d’autres mouvements terroristes » tirent parti de l’instabilité au Niger et « utilisent [le] pays comme base pour attaquer les pays voisins et saper la paix, la sécurité et la liberté dans le monde ». In fine, dans ce contexte tempétueux, le président nigérien a réaffirmé que « le seul moyen de réaliser des progrès durables dans la lutte contre la pauvreté et le terrorisme » est de préserver « le pluralisme démocratique » et « le respect de l’Etat de droit ».

D’ordinaire, dans des situations similaires, « les présidents étaient incarcérés sans possibilité de communication, souligne le chercheur. Jusqu’à récemment, Mohamed Bazoum pouvait téléphoner à la terre entière, notamment aux présidents français et américain. Dans sa tribune, il donne peut-être la possibilité aux États-Unis pour qu’ils puissent éventuellement intervenir ». Mohamed Bazoum « appelle » ainsi dans le Washington Post « le gouvernement américain et l’ensemble de la communauté internationale à aider à restaurer l’ordre constitutionnel ».

Macron: un Président des chienlits

Macron: Président des chienlits

Depuis son élection en 2017, Macron n’aura connu que de rares périodes d’accalmie politique. En effet, les crises se sont succédées aux crises. La question est de savoir quelle est la responsabilité du président. La plupart du temps, il n’est pas étranger aux maux qui affectent le pays. Parfois, il est le principal responsable comme dans l’affaire des retraites si mal gérée. Et pour les banlieues faut-il rappeler la méprisante condamnation du rapport banlieue de 20218 de Borloo qu’il avait lui-même commandé. Enfin récemment, la France enregistre à nouveau recul au Niger après celui du Burkina Faso et du Mali ; un échec et une humiliation supplémentaire

Macron est souvent impliqué du fait de ses orientations mais tout autant en raison de son comportement. Un seul exemple l’affaire du chômage avec sa fameuse phrase « Il suffit de traverser la rue pour trouver un emploi », une phrase réitérée il y a quelques jours à Marseille où il a déclaré qu’il suffisait de faire le tour du port pour trouver une dizaine d’emplois. En fait une sorte de provocation en même temps qu’une sorte de mépris.

Sur les grandes questions structurelles, c’est l’ambiguïté permanente avec la philosophie du « en même temps », un flou qui ne rassure pas sur les orientations et qui nourrit et encourage les clivages. Un seul exemple celui de l’énergie avec des discours sur le nucléaire mais pour l’instant pas la moindre décision de mise en œuvre des nouvelles centrales et encore moins concernant le financement. Concrètement, la France s’est affaiblie un peu plus avec la fermeture de Fessenheim et Macron entretient le flou et les divisions concernant les énergies alternatives qui demeureront pourtant anecdotiques puisque pour l’essentiel non pilotables du fait de leur caractère intermittent. On pourrait multiplier les sujets économiques, sociaux ou plus généralement sociétaux. La crise de la sécurité bien sûr mais aussi la crise à l’école, la crise des hôpitaux et de la santé en général, la crise de la drogue, la crise démocratique etc.

Sur le plan international, c’est aussi le même temps qui souvent prévaut ainsi une fois Macron privilégie ses rapports avec Poutine puis quelques semaines ou mois après avec l’Ukraine. En Afrique, clairement la France se fait virer de partout. Et comme d’habitude Macon se contentent de mots creux sans contenu opérationnel.

Globalement ce président est trop verbeux, trop instable aussi. En voulant seul décidé de tout en permanence, il crée un sentiment d’instabilité dans toutes les institutions et organisations intermédiaires . Ce président cultive « le en même temps » , sorte de versatilité qui révèle pour le moins un manque de maturité, un manque de hauteur de vue et de vision.

Politique-Macron: le Président des chienlits

Politique-Macron: le Président des chienlits

Depuis son élection en 2017, Macron n’aura connu que de rares périodes d’accalmie politique. En effet, les crises se sont succédées aux crises. La question est de savoir quelle est la responsabilité du président. La plupart du temps, il n’est pas étranger aux maux qui affectent le pays. Parfois, il est le principal responsable comme dans l’affaire des retraites si mal gérée. Et pour les banlieues faut-il rappeler la méprisante condamnation du rapport banlieue de 20218 de Borloo qu’il avait lui-même commandé. Enfin récemment, la France enregistre à nouveau recul au Niger après celui du Burkina Faso et du Mali ; un échec et une humiliation supplémentaire

Macron est souvent impliqué du fait de ses orientations mais tout autant en raison de son comportement. Un seul exemple l’affaire du chômage avec sa fameuse phrase « Il suffit de traverser la rue pour trouver un emploi », une phrase réitérée il y a quelques jours à Marseille où il a déclaré qu’il suffisait de faire le tour du port pour trouver une dizaine d’emplois. En fait une sorte de provocation en même temps qu’une sorte de mépris.

Sur les grandes questions structurelles, c’est l’ambiguïté permanente avec la philosophie du « en même temps », un flou qui ne rassure pas sur les orientations et qui nourrit et encourage les clivages. Un seul exemple celui de l’énergie avec des discours sur le nucléaire mais pour l’instant pas la moindre décision de mise en œuvre des nouvelles centrales et encore moins concernant le financement. Concrètement, la France s’est affaiblie un peu plus avec la fermeture de Fessenheim et Macron entretient le flou et les divisions concernant les énergies alternatives qui demeureront pourtant anecdotiques puisque pour l’essentiel non pilotables du fait de leur caractère intermittent. On pourrait multiplier les sujets économiques, sociaux ou plus généralement sociétaux. La crise de la sécurité bien sûr mais aussi la crise à l’école, la crise des hôpitaux et de la santé en général, la crise de la drogue, la crise démocratique etc.

Sur le plan international, c’est aussi le même temps qui souvent prévaut ainsi une fois Macron privilégie ses rapports avec Poutine puis quelques semaines ou mois après avec l’Ukraine. En Afrique, clairement la France se fait virer de partout. Et comme d’habitude Macon se contentent de mots creux sans contenu opérationnel.

Globalement ce président est trop verbeux, trop instable aussi. En voulant seul décidé de tout en permanence, il crée un sentiment d’instabilité dans toutes les institutions et organisations intermédiaires . Ce président cultive « le en même temps » , sorte de versatilité qui révèle pour le moins un manque de maturité, un manque de hauteur de vue et de vision.

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