Seine-et-Marne: une équipe de football attaquée en plein match !

Seine-et-Marne: une équipe de football attaquée en plein match !

Encore une preuve de l’ensauvagement d’une partie de la société notamment chez les jeunes. Un jeune a été grièvement blessé à l’arme blanche dimanche après-midi en Seine-et-Marne dans l’attaque de l’équipe de foot de Meaux des moins de 20 ans à la mi-temps d’un match les opposant à Dammarie-les-Lys, a appris l’AFP de source policière.

Le match des U20 comptant pour le Régional 2 se déroulait dans le calme au stade de Dammarie-les-Lys devant le public lorsqu’un groupe de jeunes de la ville est entré dans l’enceinte, armé, pour s’en prendre aux joueurs de Meaux. «Là, il y a une confusion générale. Il semble que, dans la bagarre, un des joueurs agressés donne un coup de couteau à un assaillant. Du coup, les autres veulent leur faire la peau et deux joueurs sautent dans la Seine», a relaté une source policière en se basant sur les premiers éléments de l’enquête.

Arrivés sur place, des policiers ont sauté dans le fleuve pour repêcher l’un des deux jeunes, qui ne savait pas nager. Tous deux ont été interpellés.

Déclarée en urgence absolue par les pompiers, la victime a été transportée par hélicoptère à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Le commissariat de Melun est en charge de l’enquête.

 

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Élection partielle Boulogne-Billancourt :retour de la droite

Élection partielle Boulogne-Billancourt : retour de la droite

Les Républicains (LR) ont regagné dimanche soir l’un de leurs bastions historiques. Alors que ce territoire de l’Ouest parisien organisait ce dimanche le second tour d’une législative partielle pour trouver entre deux finalistes un successeur à l’ancien patron du Quai d’Orsay Stéphane Séjourné, la candidate LR Élisabeth de Maistre (59,65%) a largement battu son adversaire Horizons Antoine de Jerphanion (40,35%).

 

 

 

IA: Plus de 100 milliards d’investissements France ?

IA: Plus de 100 milliards d’investissements France ?
 

Plus de 100 milliards d’investissements en France dans l’intelligence artificielle, c’est ce qu’a indiqué dimanche Emmanuel Macron. Un chiffre sans doute excessivement gonflé car les financements viendront surtout de l’étranger hors Europe  et dans des délais qui restent à déterminer.

Il s’agit plutôt d’hypothèses car les projets sont loin d’être finalisés et pourraient s’étaler sur des durées d’une dizaine d’années au moins . D’une certaine manière il s’agit aussi de répondre aux annonces du président américain dans ce domaine. En outre si l’intelligence artificielle est effectivement incontournable, il reste encore à déterminer le champ et la nature des applications possibles ce qui rend toute prévision financière assez aléatoire.

Invité de France 2 ce dimanche 9 février, Emmanuel Macron a en effet  comparé cet investissement à celui des États-Unis pour leur projet d’intelligence artificielle baptisé « Stargate », pour lequel Donald Trump a annoncé un investissement de 500 milliards de dollars.

 Ce dimanche, Emmanuel Macron a souhaité que la France se saisisse de cette « nouvelle ère de progrès », estimant que l’intelligence artificielle permettra « de mieux vivre, mieux apprendre ou encore mieux soigner ».

Il a ainsi annoncé que jusqu’à 100.000 jeunes seront formés en France dans ces domaines, contre environ 40.000 aujourd’hui.

Emmanuel Macron a estimé que l’intelligence artificielle ne remplacera pas les compétences humaines et les emplois. « Il faut la penser comme des assistants, ça ne va jamais remplacer l’homme, je ne crois pas à ça », a-t-il déclaré. Une croyance davantage qu’une certitude !

 

 

Economie, politique, société: les plus lus 9 février 2025

Union européenne : le choc d’ambitions qui manquent

Union européenne : le choc d’ambitions qui manquent

Rien n’est dit, dans le programme de compétitivité de la Commission, de la manière dont vont pouvoir être soutenus simultanément les efforts en matière d’innovation et de décarbonation, dénonce la sociologue dans Le Monde.

Par Dominique Méda

Professeure de sociologie à l’Université Paris Dauphine-PSL et présidente de l’Institut Veblen

 

Alors que les tentatives de déstabilisation de l’Europe se multiplient, qu’un chef d’entreprise américain s’ingère dans la campagne législative allemande pour soutenir un parti d’extrême droite (après avoir fait un salut nazi) et que les conséquences dramatiques de la crise écologique n’ont jamais été autant documentées – « Une chaleur extrême tuera des millions de personnes en Europe sans une action rapide », affirme la revue Nature –, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a prononcé, le 29 janvier, un discours qui ne paraît pas à la mesure des enjeux.

Présenté comme une « boussole pour la compétitivité », ce programme censé donner le cap pour les cinq années à venir propose comme projet phare… « un choc de simplification », cédant ainsi non seulement aux demandes de plus en plus insistantes des organisations patronales mais aussi à la mode (re)lancée de façon spectaculaire par les présidents argentin, Javier Milei, et américain, Donald Trump : déréglementer, déréguler, couper dans les dépenses publiques, mettre l’Etat sous surveillance du marché et donner tout pouvoir aux entreprises et à leurs actionnaires.

Dans ce choc vont être emportés les principaux éléments qui faisaient de l’Europe le leader de la transition écologique et sociale : l’obligation faite aux entreprises de rendre compte de la manière dont elles traitent leurs salariés, leurs parties prenantes et l’environnement (directive CSRD), et dont elles prennent en compte les droits humains tout au long de leur chaîne de valeur (directive sur le devoir de vigilance). En effet, bien qu’Ursula von der Leyen se défende de vouloir remettre en cause les objectifs climatiques européens, ceux-ci ne constituent clairement plus une priorité.

Trump président : une menace pour l’économie mondiale

Trump président : une menace pour l’économie mondiale

 

Il n’est pas certain que Trump applique même la moitié de son programme. Cela sera cependant suffisant pour déstabiliser une économie mondiale déjà très fragile. Les déclarations tonitruantes et contradictoires de Trump répandent en effet un climat d’incertitude dans le monde économique. Or le principal danger pour l’économie c’est l’instabilité.

En matière économique, le président américain prévoit essentiellement d’augmenter de façon significative les droits de douane. Par représailles les pays touchés nécessairement vont également répondre par une augmentation des taxes sur les importations. Au total les ménages et les entreprises vont subir une forte inflation car en dernier ressort ce sont eux qui paieront la facture. Les États-Unis pourraient même être les premières victimes de l’envolée des taxes douanières de Trump puisque de l’ordre de 70 % des produits consommés viennent de l’étranger.

Après la crise de l’énergie de ces dernières années il a fallu faire d’importants efforts de lutte contre cette inflation qui mine le pouvoir d’achat des entreprises et les ménages. Il suffirait de quelques mois d’incertitude pour réduire à néant ses efforts.

Les marchés financiers ont déjà réagi négativement face aux déclarations tonitruantes de Trump et son équipe de marchands de tapis. Cette réaction négative va générer une fébrilité pendant la période du marchandage qui va forcément durer compte tenu de la complexité des échanges internationaux. En clair, les entreprises fautent de vision claire de l’avenir vont au moins geler  une partie de leurs investissements et les ménages vont préférer épargner (ceux qui le peuvent) plutôt que de consommer.

On pourrait aussi déboucher sur une crise financière avec la folie en plus des d’imposer les cryptomonnaies, modèles par excellence de l’instabilité.

Assemblée et Budget : 64 % des Français satisfaits de la non-censure.

Assemblée et  Budget : 64 % des Français satisfaits de la non-censure.

Deux tiers des Français (64 %), qui se disent satisfaits que le gouvernement n’ait pas été renversé, selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Le Parti socialiste (PS) et le Rassemblement national (RN), qui n’ont pas voté la motion de censure, peuvent se rassurer : leurs sympathisants jugent qu’ils ont bien fait de ne pas s’y associer (respectivement 72 % et 66 % d’entre eux).

Economie–Bercy va tuer l’industrie automobile française

Economie-–Bercy va tuer l’industrie automobile française

Le malus automobile en très forte augmentation avec la surtaxe prévue par Bercy. En fait il s’agit d’un changement de mode de régulation. Les incitations à l’achat d’un véhicule électrique vont disparaître et on va taxer lourdement l’achat d’un véhicule thermique à partir de 2025;  une surtaxation qui veut varier selon la puissance des moteurs et pour les véhicules bas de gamme pourra évoluer entre 500 et 2 1000 €. De quoi tuer l’industrie automobile déjà lourdement handicapée par le manque de productivité et de compétitivité des véhicules construits et assemblés en France. On objectera que cette taxe pourrait concerner les véhicules étrangers mais ces derniers bénéficient déjà d’un net avantage de compétitivité.

Concrètement, bon nombre de véhicules grand public seront impactés par ces mesures.

Pour l’achat d’un Renault Captur il faudra ajouter en moyenne 695€ à sa facture dès le 1er mars d’après les calculs de Mobilians, l’organisation qui rassemble les chefs d’entreprise du secteur de la mobilité. Des montants qui évolueront fortement d’ici 2027. À cette date, l’achat d’un Renault Captur équipé de la motorisation TCe 90 (133 g/km pour la finition Evolution) impliquera un malus de 1 901 euros. Si la surtaxe exacte dépend évidemment de la motorisation plus que du modèle, l’organisation patronale cite également le cas du modèle Peugeot 2008, pour lequel «le montant moyen du malus passerait à 653€ en 2025 (+72% par rapport à 2024)».

 

RDC : appel africain pour la paix

RDC : appel africain pour la paix

 
Les dirigeants des pays d’Afrique australe et de l’Est, réunis samedi 8 février en sommet en Tanzanie, ont appelé à un « cessez-le-feu immédiat » dans l’est de la République démocratique du Congo. Dans cette zone du pays, les combats font rage entre l’armée congolaise et le groupe armé M23 et ses alliés rwandais. Après la chute de la grande ville de Goma la semaine dernière, le conflit s’est installé dans la province voisine du Sud-Kivu.

« Le sommet conjoint a réaffirmé la solidarité et l’engagement inébranlable de continuer à soutenir la RDC dans ses efforts de sauvegarde de son indépendance, de sa souveraineté et de son intégrité territoriale », selon le communiqué final.

Selon l’ONU, depuis le 26 janvier, près de 3 000 personnes été tuées dans l’Est de la RDC. De nombreuses exactions, dont des viols et cas d’esclavage sexuels, ont aussi été rapportées et le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a annoncé vendredi l’ouverture d’une enquête.

Drogue: la proposition de loi contre le narcotrafic

Drogue: la  proposition de loi contre le narcotrafic

Mercredi 29 janvier, le Sénat a adopté l’ensemble des articles de la proposition de loi visant à « sortir la France du piège du narcotrafic ». Quels sont ses apports et sa pertinence ? Quelles sont ses limites ? La proposition de loi « visant à sortir la France du piège du narcotrafic » témoigne d’une prise de conscience concernant l’ampleur de la consommation de stupéfiants sur le territoire national et les atteintes à l’ordre public qui accompagnent le trafic. Si ce texte déploie une logique d’action globale indispensable, la cohérence d’ensemble des mesures peut être questionnée. La proposition de loi laisse également de côté le pan de la prévention et laisse ouverte la question des moyens – notamment humains – dans un contexte de fort déficit budgétaire. La commission sénatoriale d’enquête sur « l’impact du narcotrafic en France et les mesures à prendre pour y remédier » aura eu comme mérite de favoriser un réveil – tardif – dans le milieu politique, les médias et l’opinion publique. La prise en compte de l’écosystème financier lié à l’activité criminelle est notable. La priorité est donnée à la lutte contre le blanchiment d’argent par rapport à des opérations « place nette » jugées dispendieuses et peu efficaces.

 

par   ,Associate professor, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) dans The Conversation. 

Les mesures proposées vont de la fermeture administrative des commerces de façade à l’interdiction du recours aux mixeurs de cryptoactifs qui permettent de rendre intraçable l’origine des fonds, via les cryptomonnaies. Dans l’optique de « frapper les criminels au porte-feuille », le texte vise aussi à faciliter le gel des avoirs des narcotrafiquants. Pourtant, le gel seul ne peut constituer une solution : seule la saisie confiscatoire prive réellement les criminels de leurs gains et offre la possibilité de réutiliser ceux-ci à des fins régaliennes (financement de la lutte contre le crime, programmes éventuels de protection des témoins, campagnes de prévention, etc.).

Le texte prévoit également de renforcer le renseignement criminel et les outils d’enquête : il s’agit de protéger les informations des enquêteurs et les méthodes utilisées afin d’obtenir des preuves en vue de procès. Des outils comme la « dossier coffre » ne constituent pas des atteintes à la légalité puisque les preuves apportées doivent être jugées recevables mais la communication à leur sujet doit être restreinte afin de protéger les personnes et de limiter les capacités d’adaptation des criminels.

Cette question rejoint la question de la réforme du statut de « repenti » qui est proposée. Ce statut existe déjà en France mais il est peu utilisé et très restrictif. Élargir la possibilité de collaborer avec la justice en échange d’une réduction de la peine pour des personnes ayant commis des crimes de sang est une adaptation nécessaire si l’on souhaite que des criminels d’une certaine envergure acceptent ce processus.

Enfin, la proposition de loi intègre de nouvelles préoccupations, notamment l’usage dévoyé des plates-formes numériques par les narcotrafiquants pour vendre les stupéfiants et recruter des petites mains. Elle cible également la banalisation de la corruption ou encore l’utilisation des prisons comme des « incubateurs criminels » (les trafics s’y poursuivent, et elles favorisent apprentissages et solidarités entre trafiquants). Reste à savoir quels outils concrets seront proposés pour agir dans ces domaines.

Ces avancées ne doivent pas faire oublier que les textes de loi ne prennent vie que s’ils sont adossés à des moyens : la lutte contre le blanchiment exige par exemple de renforcer une police judiciaire exsangue et malmenée par une réforme peu appréciée sur le terrain. La justice elle-même est engorgée et les prisons surpeuplées. On peut craindre que la question budgétaire ne contraigne fortement l’effectivité des intentions.

Entre la fin des travaux de la commission d’enquête sénatoriale et l’élaboration de la proposition de loi, la réflexion menée par les sénateurs Jérôme Durain (PS) et Étienne Blanc (LR) a évolué mais, au final, cette évolution semble ne pas avoir été déployée et semble rester au milieu du gué.

En effet, il est positif d’envisager la création d’un Parquet national anticriminalité organisée (Pnaco) plutôt que l’initial Parquet national antistupéfiants afin de ne pas se limiter à traiter des affaires de stupéfiants. Toutes les organisations criminelles ne sont pas impliquées dans le trafic de stupéfiants et 70 % de ces organisations sont multiactivités, comme l’indique Europol. Le narcotrafic se greffe sur d’autres trafics : trafic d’armes dont témoignent les règlements de compte sanglants, traite des êtres humains à travers l’utilisation de mineurs dans les trafics, pollution environnementale via le non traitement des déchets toxiques.

Néanmoins, le Pnaco se retrouve adossé principalement à l’Office antistupéfiants (Ofast), une cellule spécialisée aux pouvoirs renforcés qui coordonne services de police, de douane et de renseignement en matière de narcotrafic. Ce qui constituait donc une avancée dans la perception de la criminalité organisée se retrouve bridé par le retour au seul prisme des stupéfiants.

Le décalage entre mission du Pnaco et mission de l’Ofast renvoie à une problématique plus large qui contamine aussi la mobilisation récurrente du « modèle italien ». Enquêtes patrimoniales, statut du repenti, régime carcéral dur sont autant de références à la législation antimafia italienne. Mais ces emprunts laissent perplexes ceux qui ont pu étudier la construction de cette législation antimafia.

La législation italienne est inspirée de l’antiterrorisme puisque le point de départ pour le législateur a été l’organisation (qu’elle soit criminelle ou terroriste), et non tel ou tel marché illégal. Mettre les acteurs au cœur de la réflexion permet d’en comprendre la structuration, les évolutions, les interrelations, les activités.

Cette vision – qui part des organisations criminelles – permet le déploiement d’un arsenal cohérent et gradué (le délit d’association mafieuse vient en complément de l’association de malfaiteurs et de la bande armée). Elle évite également de raisonner en silos, comme si les marchés illégaux étaient totalement indépendants les uns des autres et comme si monde légal et monde illégal étaient étanches (cela évite notamment d’être trop naïf par rapport à la question de la corruption). Copier la lettre des éléments empruntés à la législation italienne sans en comprendre l’esprit risque de rendre les dispositifs inopérants.

L’Office antistupéfiants a sa raison d’exister, mais il n’est probablement pas le service sur lequel la lutte contre la criminalité organisée doit principalement s’appuyer. Si la France change de regard sur les questions criminelles et passe d’une logique de marchés (stupéfiants, armes) à une logique d’acteurs (organisations et réseaux criminels dans leur diversité et leurs articulations), ce sont des services à rayonnement large qui doivent être renforcés.

À ce titre, les douanes occupent une place centrale qui mérite d’être valorisée. En effet, elles réalisent la plus grande part des saisies dans les ports, sur les routes, dans les centres de tris postaux mais aussi en haute mer (en collaboration avec la Marine nationale et des services étrangers), stoppant les marchandises illégales avant qu’elles n’entrent sur le territoire.

Ces saisies ne concernent pas que les stupéfiants mais aussi les armes, les espèces protégées de faune et de flore, les contrefaçons, les produits chimiques détournés de la sphère légale. Les douanes abritent la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières, qui, avec plus de moyens, permettrait de connecter les saisies de marchandises et les enquêtes sur les organisations criminelles, intervenant sur un champ d’action stratégique et cohérent contre la criminalité organisée sous ses formes multiples.

Finalement, la proposition de loi transpartisane de lutte contre le narcotrafic constitue une avancée, mais ne doit pas être perçue comme un aboutissement. Elle ouvre la voie à une réflexion – nécessaire et urgente – plus large sur la criminalité dans sa diversité et sur la nécessité de protéger nos sociétés contre des organisations criminelles qui impactent la société et la politique, au-delà de l’économie.

Dijon : Des malfaiteurs irakiens tirent sur la police

Dijon  : Des malfaiteurs irakiens tirent sur la police

Un homme a été tué et un policier blessé lors d’un échange de tirs survenu dans la nuit de vendredi 7 à samedi 8 février sur une aire d’autoroute au nord de Dijon (Côte d’Or), a indiqué le parquet de Dijon. Deux policiers du RAID, une unité d’intervention spécialisée dans la lutte contre la criminalité organisée, avaient pris en filature un véhicule immatriculé en Grande-Bretagne dans le cadre d’une enquête pour «aide au séjour en bande organisée et association de malfaiteurs», a indiqué le procureur Olivier Caracotch dans un communiqué.

 

Six Nations Rugby : la France maladroite et incohérente perd devant l’Angleterre

Six Nations : la France maladroite et incohérente perd devant l’Angleterre

Tous les spécialistes voyaient déjà la France en haut de l’affiche pour le tournoi des six nations. Et même au sommet du rugby mondial. Pourtant « l’exceptionnel XV de France » s’est incliné devant une Angleterre pourtant pas spécialement brillante. En cause des maladresses à répétition, un jeu pas toujours bien construit et des incohérences.

Le XV de France, malgré d’énormes occasions d’essais, a ruiné ses espoirs de Grand Chelem en s’inclinant, ce samedi, à Twickenham face à l’Angleterre (26-25). Au terme d’une fin de match brouillonne et indécise, les Bleus ont fini par céder face aux assauts anglais et peuvent nourrir d’énormes regrets tant ils se sont procuré d’énormes occasions, mais qu’ils ont gâchées à chaque fois. La génération dorée amenée par Antoine Dupont ne remportera pas un deuxième Grand Chelem après celui de 2022.

Loi ou référendum sur l’immigration ?

Loi ou référendum sur l’immigration ?

Retailleau, le ministre de la justice serait partisan d’un référendum sur l’immigration, il rejoint d’une certaine manière la proposition de Darmanin, ministre de la justice. Sur cette question évidemment très sensible le premier ministre tente de prendre de la hauteur. Il n’exclut pas de légiférer.
Par contre il souhaite un débat préalable et large.  «La question pour moi, a voulu préciser le maire de Pau, est beaucoup plus large : qu’est-ce que c’est d’être français ? À quels droits et, surtout, à quels devoirs cela ouvre-t-il ? À quoi croyons-nous ensemble ? À quoi adhérons-nous en entrant dans la communauté nationale ? À quoi adhèrent ceux qui naissent français ? Au nom de quelle légitimité devient-on français ?» 
Pour lui un changement de loi paraît nécessaire dans la mesure où le dispositif législatif ne permet pas par exemple de renvoyer chez lui en Algérie cet influenceur pourtant condamné à plus de 10 ans de prison.

 

 

Economie, politique, société: les plus lus 8 février 2025

Industrie–Bercy va tuer l’industrie automobile française

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