Archive pour le Tag 'Français'

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Chantage et intox: Poutine arrête un chercheur français !

Chantage et intox:  Poutine arrête un chercheur français !

Laurent Vinatier, un chercheur français arrêté par la Russie et soupçonné d’espionnage . Une manipulation politique suite à l’arrestation d’un terroriste russe en France ( ancien militaire de l’armée russe) soupçonné, lui,  de préparer un attentat.

De toute manière en Russie n’importe qui peut être arrêté et pour n’importe quel motif en s’appuyant sure partie 3 de l’article 330.1 du code pénal russe.

Le conseiller de l’ONG suisse Humanitarian Dialogue est soupçonné d’avoir recueilli des informations sur les activités de l’armée russe. Une affaire pénale a été ouverte contre lui pour violation d’une loi russe sur les «agents étrangers».

Le chercheur français de 48 ans, soupçonné d’avoir recueilli des informations sur les activités de l’armée russe, a rapporté l’agence de presse TASS.
Il s’agit de Laurent Vinatier, 48 ans, docteur en philosophie et expert du conflit tchétchène, de la Russie et de l’Asie centrale, a précisé l’agence étatique ainsi que d’autres médias russes. Il travaille en tant que conseiller pour le programme Eurasie et Russie depuis 2014 pour Humanitarian Dialogue, une organisation de médiation basée à Genève, qui a confirmé à Reuters son arrestation. «Nous nous efforçons d’obtenir plus de détails sur les circonstances [de l’arrestation] et d’obtenir la libération de Laurent», a affirmé l’organisation au Figaro.

Chantage et intox: La Russie arrête un chercheur français !

Chantage et intox:  La Russie arrête un chercheur français !

Laurent Vinatier, un chercheur français arrêté par la Russie et soupçonné d’espionnage . Une manipulation politique suite à l’arrestation d’un terroriste russe en France ( ancien militaire de l’armée russe) soupçonné de préparer un attentat.

De toute manière en Russie n’importe qui peut être arrêté et pour n’importe quel motif en s’appuyant sure partie 3 de l’article 330.1 du code pénal russe.

Le conseiller de l’ONG suisse Humanitarian Dialogue est soupçonné d’avoir recueilli des informations sur les activités de l’armée russe. Une affaire pénale a été ouverte contre lui pour violation d’une loi russe sur les «agents étrangers».

Le chercheur français de 48 ans, soupçonné d’avoir recueilli des informations sur les activités de l’armée russe, a rapporté l’agence de presse TASS.
Il s’agit de Laurent Vinatier, 48 ans, docteur en philosophie et expert du conflit tchétchène, de la Russie et de l’Asie centrale, a précisé l’agence étatique ainsi que d’autres médias russes. Il travaille en tant que conseiller pour le programme Eurasie et Russie depuis 2014 pour Humanitarian Dialogue, une organisation de médiation basée à Genève, qui a confirmé à Reuters son arrestation. «Nous nous efforçons d’obtenir plus de détails sur les circonstances [de l’arrestation] et d’obtenir la libération de Laurent», a affirmé l’organisation au Figaro.

40 % des Français épargnent

40  % des Français épargnent

 

D’après une étude de l’IFOP, «l’épargne pour faire face aux imprévus continue de devancer l’épargne projet avec 75% de citations contre 45%», pointe l’étude. Mais, à l’intérieur de ces motifs, on voit que les Français craignent davantage aujourd’hui les situations exceptionnelles (perte d’emploi, soutien à un proche…), puisque cette raison est citée par 36% des sondés, contre 23% en 2020. Plus de huit Français sur dix (85 %) possèdent au moins un produit d’épargne, un chiffre stable depuis 2020, et même près de six sur dix (58%) en détiennent plusieurs. Une hausse de 5 points en quatre ans. Sans surprise, plus on avance en âge, et plus la proportion d’épargnants dans la population augmente (45% des 18-24 ans ont plusieurs produits d’épargne, contre 64% chez les 65 ans et plus). Même constat entre les catégories sociales supérieures et les catégories populaires (70% vs 53%).

Ils privilégient donc largement les produits sans risque, même s’ils offrent un faible rendement (69%). Les produits un peu risqués, mais avec un rendement espéré plus important, ne sont choisis que par 17% des Français. Et les produits risqués, mais avec une chance d’obtenir un rendement important, par seulement 5%.

 

Connaissances économiques : les Français n’y comprennent rien

Compétences économiques : les Français n’y comprennent rien

 

D’après un sondage OpinionWay pour le Cercle Jean-Baptiste Say, publié jeudi, Les Français font preuve d’une grande méconnaissance des principaux indicateurs économiques . Des Français qui en grande majorité ignorent le montant du déficit budgétaire et les grands agrégats Financiers.

Des Français par exemple qui n’ont aucune idée de la dette publique, qui s’est établie à 110,6% du PIB fin 2023. ( Une dette qui s’approche des 100 000 € par ménage).

Interrogés sur la part de Français qui paient des impôts sur leurs revenus, 38% des sondés ne savent pas répondre. Ceux qui se prononcent sont, en moyenne, proches de la réalité (43%, contre 44% selon les chiffres de la Direction générale des Finances publiques). Mais seul un peu plus d’un quart des Français voient juste, entre 25 et 49%.

Près de trois Français sur dix (28%) considèrent que l’endettement de la France n’est pas un problème. Cette opinion a surtout la cote chez les jeunes : 45% des étudiants la partagent, contre seulement 16% des retraités.

S’il y a un fort consensus sur la nécessité d’augmenter le taux d’actifs pour augmenter les richesses (82%), près de six Français sur dix jugent possible de créer plus de richesse en travaillant moins. Les plus jeunes en sont les plus convaincus : ils sont 77% à partager cette position parmi les étudiants, contre 39% parmi les retraités.

Seul un Français sur deux a confiance en l’Éducation nationale dans sa capacité à former les jeunes générations aux sujets économiques de façon simple et factuelle. À peine la moitié (46%) estiment que les journalistes maîtrisent bien les sujets économiques. Ces doutes sont aussi renforcés concernant les dirigeants politiques (39%).

Bref il y a une certaine cohérence entre l’incompétence des dirigeants politiques et la méconnaissance d’une grande partie des Français. Plusieurs études ont d’ailleurs déjà démontré que les Français étaient les derniers d’Europe en matière de connaissances économiques.

« Compétent » et « humain »: Le profil des patrons français

« Compétent » et « humain »: Le profil des patrons français

Une large majorité des travailleurs définissent leur patron avec un adjectif positif, selon une étude publiée par le site d’apprentissage Preply au mois de mai. Selon ce sondage effectué sur 1 500 salariés, une grande majorité d’entre eux ont « tendance à attribuer un adjectif positif à leur patron ». Le mot « compétent » est celui qui ressort le plus, chez 18,3% des sondés. Les Français interrogés sont 17,1% à trouver leur patron  »digne de confiance », 17% à le qualifier d’« humain » ou encore 14,4% à le définir comme « respectueux ».

Seule une minorité de travailleurs ont répondu par des adjectifs négatifs : ils sont ainsi 6,1% à déplorer le côté « méprisant » et 5,5% le côté  »autoritaire » de leur patron. Et ce ne sont que 4,1% des sondés à trouver leur supérieur « incompétent »« Ainsi, sans surprise, les travailleurs Français interrogés estiment qu’ils ont une très bonne relation avec leur patron », note Preply. « Près d’un quart d’entre eux, 26,64%, l’évaluent à 8/10 et plus des trois quarts, 76,7%, ne donnent pas une note inférieure à 7/10. Ils ne sont que 1,4% à donner la note la plus basse, 1/10″, rapporte également le sondage.

Plus globalement, les sondés qualifient positivement leur quotidien au travail, avec 26% qui le trouvent « enrichissant » ou encore près de 20% l’estimant « stimulant ». Les adjectifs négatifs représentent environ un tiers des réponses, avec 17,3% de « routinier » ou encore 14,3% de « stressant ».


*Méthodologie :

Preply, la plateforme de cours d’anglais en ligne, a mené cette étude en effectuant un sondage afin de recueillir 1 500 réponses de salariés à travers 10 grandes villes de France : avec un quota de 150 personnes par ville. Les questions concernaient entre autres, l’appréciation de l’expérience quotidienne au travail, la relation avec le patron ainsi qu’un mot pour décrire les deux éléments mentionnés, etc… Preply a choisi plusieurs mots à consonance positive ou négative pour déterminer le ressenti des sondés. La plateforme a ensuite récolté les données et analysé les résultats.

Sondage- Clandestins : 67 % des Français pour l’expulsion dans un pays type Rwanda

Sondage – clandestins : 67 % des Français pour l’expulsion dans un pays type Rwanda

D’après une enquête CSA  67 % des Français se disent favorables à ce que la France mette en place une politique similaire à celle du Royaume-Uni, qui prévoit d’expulser vers le Rwanda les migrants présents illégalement sur son territoire.

67 % des Français approuvent une mesure telle que prises par le Parlement britannique qui a la prévu  l’expulsion des demandeurs d’asile ayant pénétré illégalement sur son territoire vers le Rwanda, sans distinction de leur pays d’origine. Il mesure prise en raison le plus souvent du refus des pays d’origine de reprendre les clandestins. Les obligations de quitter le territoire ne sont effectuées réellement que dans 10 % des cas.

En termes de différences générationnelles, elles sont assez subtiles. Les jeunes de 18 à 24 ans montrent une majorité de soutien à 62% pour ce type d’expulsion, presque similaire à celle des 25 à 34 ans à 63 %. Cette proportion monte légèrement à 68% parmi les 35 à 49 ans et atteint un pic de 73 % chez les 50 à 64 ans.

Politique-Élections européennes : Macron a tort de s’impliquer dans la campagne pour 66 % des Français

Politique-Élections européennes : Macron a tort  de s’impliquer dans la campagne pour 66 % des Français

 

Selon un sondage Elabe pour BFMTV, 66% des Français estiment en effet que « ce n’est pas son rôle en tant que président de la République ».
Pour 66% des Français, Emmanuel Macron ne doit pas s’impliquer davantage dans la campagne des européennes et
46% des Français veulent une dissolution en cas de large défaite de Renaissance.
« En cas de large défaite de la liste menée par Valérie Hayer, plus de 6 Français sur 10 (61%) estiment que ce serait avant tout un échec personnel pour Emmanuel Macron », peut-on également lire dans le résumé de l’enquête.

Actuellement, Valérie Hayer, tête de liste du camp présidentiel, est largement distancée dans les sondages par le président du RN Jordan Bardella (environ 17% contre 31%, selon les dernières enquêtes d’opinion).

Suivent Raphaël Glucksmann, tête de liste PS-Place Publique, autour de 12% et les autres listes d’oppositions, encore plus distancées (LFI, EELV et LR sont dans un mouchoir, avec des intentions de vote estimées autour de 7 ou 8%).

En cas de large défaite du camp présidentiel, une majorité de Français (61%) estiment qu’Emmanuel Macron devra changer significativement d’orientation politique. Plus de 40% de ses électeurs au premier tour de l’élection présidentielle en 2022 partagent cette opinion.

 

Élections européennes : Macron a tort de s’impliquer dans la campagne pour 66 % des Français

Élections européennes : Macron a tort  de s’impliquer dans la campagne pour 66 % des Français

 

Selon un sondage Elabe pour BFMTV, 66% des Français estiment en effet que « ce n’est pas son rôle en tant que président de la République ».

 
Pour 66% des Français, Emmanuel Macron ne doit pas s’impliquer davantage dans la campagne des européennes et
46% des Français veulent une dissolution en cas de large défaite de Renaissance.
« En cas de large défaite de la liste menée par Valérie Hayer, plus de 6 Français sur 10 (61%) estiment que ce serait avant tout un échec personnel pour Emmanuel Macron », peut-on également lire dans le résumé de l’enquête.

Actuellement, Valérie Hayer, tête de liste du camp présidentiel, est largement distancée dans les sondages par le président du RN Jordan Bardella (environ 17% contre 31%, selon les dernières enquêtes d’opinion).

Suivent Raphaël Glucksmann, tête de liste PS-Place Publique, autour de 12% et les autres listes d’oppositions, encore plus distancées (LFI, EELV et LR sont dans un mouchoir, avec des intentions de vote estimées autour de 7 ou 8%).

En cas de large défaite du camp présidentiel, une majorité de Français (61%) estiment qu’Emmanuel Macron devra changer significativement d’orientation politique. Plus de 40% de ses électeurs au premier tour de l’élection présidentielle en 2022 partagent cette opinion.

 

Société-Préoccupations des Français : en tête la délinquance

Société-Préoccupations des Français : en tête la délinquance

 

La vague d’avril du baromètre politique Ipsos-La Tribune est marquée par une montée des préoccupations sur le niveau de la délinquance 

Pour cette vague d’avril, la part des Français qui citent le pouvoir d’achat comme une de leurs principales préoccupations est en baisse (43% citent ce sujet, -8 points depuis mars) bien que ce sujet reste en tête des préoccupations des Français.

Dans le détail, le pouvoir d’achat obtient 43 %, la délinquance 35 %, le système social 35 %, l’immigration 27 %, l’environnement 26 %, les crises internationales 25 %, le terrorisme 25 %.

Dans le contexte de médiatisation de meurtres et d’agression de mineurs, cette nouvelle vague du baromètre politique est marquée par la montée de la préoccupation pour le niveau de la délinquance : 35% citent désormais ce sujet, soit 7 points de plus qu’en mars. Ce sujet est désormais à égalité avec l’avenir du système social (35%). Le niveau de la délinquance est la première préoccupation parmi les sympathisants LR-UDI (47%) et ceux du Rassemblement national (56%).

Enquête Préoccupations des Français : en tête la délinquance

Enquête Préoccupations des Français : en tête la délinquance

 

La vague d’avril du baromètre politique Ipsos-La Tribune est marquée par une montée des préoccupations sur le niveau de la délinquance 

Pour cette vague d’avril, la part des Français qui citent le pouvoir d’achat comme une de leurs principales préoccupations est en baisse (43% citent ce sujet, -8 points depuis mars) bien que ce sujet reste en tête des préoccupations des Français.

Dans le détail, le pouvoir d’achat obtient 43 %, la délinquance 35 %, le système social 35 %, l’immigration 27 %, l’environnement 26 %, les crises internationales 25 %, le terrorisme 25 %.

Dans le contexte de médiatisation de meurtres et d’agression de mineurs, cette nouvelle vague du baromètre politique est marquée par la montée de la préoccupation pour le niveau de la délinquance : 35% citent désormais ce sujet, soit 7 points de plus qu’en mars. Ce sujet est désormais à égalité avec l’avenir du système social (35%). Le niveau de la délinquance est la première préoccupation parmi les sympathisants LR-UDI (47%) et ceux du Rassemblement national (56%).

Société-Sondage préoccupations des Français : en tête la délinquance

Société-Sondage préoccupations des Français : en tête la délinquance

 

La vague d’avril du baromètre politique Ipsos-La Tribune est marquée par une montée des préoccupations sur le niveau de la délinquance 

Pour cette vague d’avril, la part des Français qui citent le pouvoir d’achat comme une de leurs principales préoccupations est en baisse (43% citent ce sujet, -8 points depuis mars) bien que ce sujet reste en tête des préoccupations des Français.

Dans le détail, le pouvoir d’achat obtient 43 %, la délinquance 35 %, le système social 35 %, l’immigration 27 %, l’environnement 26 %, les crises internationales 25 %, le terrorisme 25 %.

Dans le contexte de médiatisation de meurtres et d’agression de mineurs, cette nouvelle vague du baromètre politique est marquée par la montée de la préoccupation pour le niveau de la délinquance : 35% citent désormais ce sujet, soit 7 points de plus qu’en mars. Ce sujet est désormais à égalité avec l’avenir du système social (35%). Le niveau de la délinquance est la première préoccupation parmi les sympathisants LR-UDI (47%) et ceux du Rassemblement national (56%).

Sondage système Santé: une majorité des Français pour une part plus importante du privé

Sondage système  Santé:  une majorité des Français pour une part plus importante du privé

Selon un sondage  santé  ( CSA-Havas Red Health révélé par La Tribune), ce sont aujourd’hui 63 % des Français qui jugent que notre système de santé fonctionne mal, voire très mal.ils sont  59 % à juger possible, à plus ou moins long terme, que le gouvernement puisse tout simplement se décharger de la gestion de la santé au profit de la sphère du privé . 

Sans changement majeur du système, l’avenir ne semble guère meilleur. Loin s’en faut même. 71 % des Français considèrent que l’organisation de la santé hexagonale n’évolue pas dans le bon sens. « Nous sommes sur un degré de pessimisme très fort et très installé, analyse Julie Gaillot, directrice du pôle society chez CSA. Un tel degré de pessimisme montre que nous avons atteint une logique de fracture, les Français ne croient plus une amélioration possible sans une rupture majeure. »

Mis bout à bout, ces différents constats placent d’ailleurs la santé dans une zone d’anxiété collective. La santé caracole loin devant des sujets tout aussi anxiogènes que sont l’insécurité, l’environnement ou encore le terrorisme, et s’affirme comme le deuxième sujet de préoccupation des Français, juste derrière le pouvoir d’achat. Ce sont aujourd’hui 36 % des Français qui se disent préoccupés par la santé.

Au-delà de ce sombre tableau, l’étude décortique les zones de fragilité du système de santé. Dans ce domaine, un aspect est clairement pointé du doigt : les moyens humains, qui représentent la toute première faiblesse pour 66 % des Français qui jugent le système dangereusement bancal. Manque de médecins et de soignants, délais à rallonge pour obtenir un rendez-vous, déserts médicaux : les effectifs du système ne seraient tout simplement plus en capacité de répondre à la demande. Autre lacune pointée du doigt, et largement imbriquée dans la première : l’organisation des soins, citée à 30 % comme problématique.

59 % à juger possible, à plus ou moins long terme, que le gouvernement puisse tout simplement se décharger de la gestion de la santé au profit de la sphère du privé.  Les Français jugent aussi que l’amélioration du système de santé, victime d’une thrombose en matière de soins, passera aussi par une stratégie réelle de prévention.

Sondage préoccupations des Français : en tête la délinquance

Sondage préoccupations des Français : en tête la délinquance

 

La vague d’avril du baromètre politique Ipsos-La Tribune est marquée par une montée des préoccupations sur le niveau de la délinquance 

Pour cette vague d’avril, la part des Français qui citent le pouvoir d’achat comme une de leurs principales préoccupations est en baisse (43% citent ce sujet, -8 points depuis mars) bien que ce sujet reste en tête des préoccupations des Français.

Dans le détail, le pouvoir d’achat obtient 43 %, la délinquance 35 %, le système social 35 %, l’immigration 27 %, l’environnement 26 %, les crises internationales 25 %, le terrorisme 25 %.

Dans le contexte de médiatisation de meurtres et d’agression de mineurs, cette nouvelle vague du baromètre politique est marquée par la montée de la préoccupation pour le niveau de la délinquance : 35% citent désormais ce sujet, soit 7 points de plus qu’en mars. Ce sujet est désormais à égalité avec l’avenir du système social (35%). Le niveau de la délinquance est la première préoccupation parmi les sympathisants LR-UDI (47%) et ceux du Rassemblement national (56%).

Politique-Sécurité Jeux Olympiques : la moitié des Français peu confiants

Politique-Sécurité Jeux Olympiques : la moitié des Français peu confiants
Moins d’un Français sur deux (47%) se sent confiant quant à la capacité de la France à assurer le bon déroulement des jeux. Ils sont 9% à se sentir très confiants, les 38% restants se disant plutôt confiants, et les autres inquiets. Les femmes se montrent d’ailleurs plus inquiètes que les hommes (43% contre 51%).
D’après un sondage publié par La Tribune du dimanche et réalisé par Ipsos ce samedi 13 avril  seulement 53%, soit un peu plus d’un Français sur 2, se disent intéressés par les Jeux. Seuls 16% sont très intéressés et 26% ne le sont pas du tout. Une proportion en baisse par rapport au dernier sondage publié par La Tribune du dimanche en octobre dernier où ils étaient 61%.

Les sentiments que leur procurent ces jeux? L’indifférence pour 35% des personnes interrogées et l’inquiétude pour 33%. 19% se disent tout de même fiers, satisfaits, voire impatients pour 13% d’entre eux: les jeunes notamment.

 

Sondage « Sécurité JO » : la moitié des Français peu confiants

 Sondage « Sécurité JO » : la moitié des Français peu confiants
Moins d’un Français sur deux (47%) se sent confiant quant à la capacité de la France à assurer le bon déroulement des jeux. Ils sont 9% à se sentir très confiants, les 38% restants se disant plutôt confiants, et les autres inquiets. Les femmes se montrent d’ailleurs plus inquiètes que les hommes (43% contre 51%).
D’après un sondage publié par La Tribune du dimanche et réalisé par Ipsos ce samedi 13 avril  seulement 53%, soit un peu plus d’un Français sur 2, se disent intéressés par les Jeux. Seuls 16% sont très intéressés et 26% ne le sont pas du tout. Une proportion en baisse par rapport au dernier sondage publié par La Tribune du dimanche en octobre dernier où ils étaient 61%.

Les sentiments que leur procurent ces jeux? L’indifférence pour 35% des personnes interrogées et l’inquiétude pour 33%. 19% se disent tout de même fiers, satisfaits, voire impatients pour 13% d’entre eux: les jeunes notamment.

 

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