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Les marchés financiers font reculer Trump

Les marchés financiers font reculer Trump

La semaine qui a suivi l’annonce de Donald Trump concernant les droits de douane a plongé les marchés et les acteurs économiques dans une grande confusion. Le choc des tarifs douaniers pourrait déclencher une récession. La pause de 90 jours, annoncée en milieu de semaine, semble avoir apaisé temporairement la situation; Mais les incertitudes demeurent sur l’ampleur des conséquences économiques à venir. Par Marc Guyot et Radu Vranceanu, Professeurs à l’ESSEC

Pendant la semaine qui a suivi le chiffrage donné par Donald Trump sur le montant des droits de douane appliqué aux « 15 dirty » et au reste du monde ensuite — la confusion a régné partout et à tous les niveaux. La seule certitude émergeant dans l’incertitude était le consensus des économistes. Le choc d’offre que ces tarifs vont générer va déclencher une récession, les divergences portant uniquement sur l’ampleur de la récession et l’impact sur l’inflation. Le sursis à exécution de 90 jours avec un tarif à 10% pour l’ensemble des pays et le maintien des tarifs sur la seule Chine repousse la tempête de trois mois. Cette volte-face est soit l’exécution d’un plan prévu à l’avance, soit au contraire une reconsidération au vu des effets du plan.

Notre point de vue est que c’est la réaction du marché obligataire américain qui est l’alarme qui a provoqué la mise à l’arrêt provisoire du plan. Entre la mise en place et la mise en pause du plan, le taux d’intérêt sur l’obligataire à 10 ans avait augmenté de 0,6 point pour atteindre 4,51%, contrepartie automatique de l’effondrement de leur prix. La baisse des prix des obligations du Trésor est un danger pour l’économie à plusieurs niveaux. Outre qu’il devient plus difficile de lever des fonds en première émission, la probabilité de faillite de grands fonds de placement ou de grandes banques régionales augmente dangereusement. Une crise financière généralisée de la même nature que la Crise financière Mondiale de 2007-2008 devient techniquement possible. La dépréciation du dollar et la chute du prix des actions ne peuvent que renforcer les craintes des investisseurs de détenir des actifs américains.

Personne ne peut rien contre le marché financier, pas même Donald Trump. Le marché financier présente la note en permanence, au travers des primes de risque, face aux gouvernements comme aux entreprises. En particulier, le marché financier contraint les gouvernements à la discipline budgétaire via la hausse des taux d’intérêt. James Carville, stratège en chef de Bill Clinton, a déclaré un jour avec humour : « Je pensais autrefois que si la réincarnation existait, je voudrais revenir en tant que Président, Pape ou batteur à 400 au baseball. Mais aujourd’hui, je préférerais revenir en tant que marché obligataire. Vous pouvez intimider tout le monde. »

L’ex-Première ministre britannique Liz Truss constitue un exemple frappant de la manière dont les marchés financiers peuvent imposer leur loi. Élue le 6 septembre 2022 avec un programme de baisses massives d’impôts, accompagnées de quelques coupes budgétaires, elle prévoyait un creusement du déficit de 45 milliards de livres, dans un contexte où la dette anglaise était déjà chahutée sur les marchés. L’envolée immédiate des taux d’intérêt, l’effondrement des obligations, la panique des fonds de pension ont amené Truss à démissionner après 49 jours, un minimum record dans la vie politique anglaise.

En fournissant un effort important, on peut discerner une logique possible dans le plan Trump qui n’est pas si inhabituelle chez les Américains. Un ministre a dit une fois : le dollar est notre monnaie et votre problème. Donald Trump ici dit « notre déficit commercial est votre problème ». C’est à vous de le résoudre. Chacun d’entre vous faites ce que bon vous semble pour le réduire, l’alternative si vous ne faites rien, ce sont les tarifs du 3 avril dans 90 jours. On est bien en présence d’une brutalité inouïe où les causes du problème importent peu, ce qui compte c’est la pression exercée pour obtenir le résultat, quoi qu’il en coûte pour les relations internationales futures.

Les marchés financiers ont rétabli provisoirement une forme de normalité dans la politique économique de Trump. En revanche, le concept de pays « amis », base de l’alliance entre les pays occidentaux, a du plomb dans l’aile. Trump a manifesté avec sa brutalité habituelle que les É.-U. n’avaient pas d’amis, mais uniquement des intérêts. Pour les alliés historiques du Pacifique et d’Europe, le réveil est brutal lui aussi.

Par construction, l’économie de marché est fondée sur le principe des échanges volontaires et sur la flexibilité des prix, permettant d’orienter les décisions économiques vers la plus grande efficacité. La manière Trump de gérer les échanges internationaux, basée sur le rapport de force et la coercition, ne peut que détruire la confiance de tous dans l’Amérique, y compris la confiance des Américains eux-mêmes. Il n’est pas garanti que le sursis de Donald Trump sur ses décisions de politiques commerciales suffise pour rétablir cette confiance. Il est fort probable que les turbulences sur le marché des titres, et l’ensemble du marché financier subsistent et s’amplifient.

Les marchés financiers font plier Trump

Les marchés financiers font plier Trump

La semaine qui a suivi l’annonce de Donald Trump concernant les droits de douane a plongé les marchés et les acteurs économiques dans une grande confusion. Le choc des tarifs douaniers pourrait déclencher une récession. La pause de 90 jours, annoncée en milieu de semaine, semble avoir apaisé temporairement la situation; Mais les incertitudes demeurent sur l’ampleur des conséquences économiques à venir. Par Marc Guyot et Radu Vranceanu, Professeurs à l’ESSEC

Pendant la semaine qui a suivi le chiffrage donné par Donald Trump sur le montant des droits de douane appliqué aux « 15 dirty » et au reste du monde ensuite — la confusion a régné partout et à tous les niveaux. La seule certitude émergeant dans l’incertitude était le consensus des économistes. Le choc d’offre que ces tarifs vont générer va déclencher une récession, les divergences portant uniquement sur l’ampleur de la récession et l’impact sur l’inflation. Le sursis à exécution de 90 jours avec un tarif à 10% pour l’ensemble des pays et le maintien des tarifs sur la seule Chine repousse la tempête de trois mois. Cette volte-face est soit l’exécution d’un plan prévu à l’avance, soit au contraire une reconsidération au vu des effets du plan.

Notre point de vue est que c’est la réaction du marché obligataire américain qui est l’alarme qui a provoqué la mise à l’arrêt provisoire du plan. Entre la mise en place et la mise en pause du plan, le taux d’intérêt sur l’obligataire à 10 ans avait augmenté de 0,6 point pour atteindre 4,51%, contrepartie automatique de l’effondrement de leur prix. La baisse des prix des obligations du Trésor est un danger pour l’économie à plusieurs niveaux. Outre qu’il devient plus difficile de lever des fonds en première émission, la probabilité de faillite de grands fonds de placement ou de grandes banques régionales augmente dangereusement. Une crise financière généralisée de la même nature que la Crise financière Mondiale de 2007-2008 devient techniquement possible. La dépréciation du dollar et la chute du prix des actions ne peuvent que renforcer les craintes des investisseurs de détenir des actifs américains.

Personne ne peut rien contre le marché financier, pas même Donald Trump. Le marché financier présente la note en permanence, au travers des primes de risque, face aux gouvernements comme aux entreprises. En particulier, le marché financier contraint les gouvernements à la discipline budgétaire via la hausse des taux d’intérêt. James Carville, stratège en chef de Bill Clinton, a déclaré un jour avec humour : « Je pensais autrefois que si la réincarnation existait, je voudrais revenir en tant que Président, Pape ou batteur à 400 au baseball. Mais aujourd’hui, je préférerais revenir en tant que marché obligataire. Vous pouvez intimider tout le monde. »

L’ex-Première ministre britannique Liz Truss constitue un exemple frappant de la manière dont les marchés financiers peuvent imposer leur loi. Élue le 6 septembre 2022 avec un programme de baisses massives d’impôts, accompagnées de quelques coupes budgétaires, elle prévoyait un creusement du déficit de 45 milliards de livres, dans un contexte où la dette anglaise était déjà chahutée sur les marchés. L’envolée immédiate des taux d’intérêt, l’effondrement des obligations, la panique des fonds de pension ont amené Truss à démissionner après 49 jours, un minimum record dans la vie politique anglaise.

En fournissant un effort important, on peut discerner une logique possible dans le plan Trump qui n’est pas si inhabituelle chez les Américains. Un ministre a dit une fois : le dollar est notre monnaie et votre problème. Donald Trump ici dit « notre déficit commercial est votre problème ». C’est à vous de le résoudre. Chacun d’entre vous faites ce que bon vous semble pour le réduire, l’alternative si vous ne faites rien, ce sont les tarifs du 3 avril dans 90 jours. On est bien en présence d’une brutalité inouïe où les causes du problème importent peu, ce qui compte c’est la pression exercée pour obtenir le résultat, quoi qu’il en coûte pour les relations internationales futures.

Les marchés financiers ont rétabli provisoirement une forme de normalité dans la politique économique de Trump. En revanche, le concept de pays « amis », base de l’alliance entre les pays occidentaux, a du plomb dans l’aile. Trump a manifesté avec sa brutalité habituelle que les É.-U. n’avaient pas d’amis, mais uniquement des intérêts. Pour les alliés historiques du Pacifique et d’Europe, le réveil est brutal lui aussi.

Par construction, l’économie de marché est fondée sur le principe des échanges volontaires et sur la flexibilité des prix, permettant d’orienter les décisions économiques vers la plus grande efficacité. La manière Trump de gérer les échanges internationaux, basée sur le rapport de force et la coercition, ne peut que détruire la confiance de tous dans l’Amérique, y compris la confiance des Américains eux-mêmes. Il n’est pas garanti que le sursis de Donald Trump sur ses décisions de politiques commerciales suffise pour rétablir cette confiance. Il est fort probable que les turbulences sur le marché des titres, et l’ensemble du marché financier subsistent et s’amplifient.

Les sanctions américaines contre la Russie font monter le cours du pétrole

Les sanctions américaines contre la Russie font monter le cours du pétrole

 

Les  États-Unis s’apprêteraient à prendre des mesres contre la «flotte fantôme» russe ( (Navires qui circulent déjà avec de faux pavillons pour éviter les sanctions déjà prises), ce qui pourrait avoir un impact sur les exportations pétrolières du Kremlin. Vers 14H20 GMT (15H20 à Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mars, monte de 4,50% à 80,38 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en février, augmente de 4,80% à 77,47 dollars. «Les États-Unis devraient annoncer prochainement de nouvelles sanctions contre la Russie», affirment les analystes de DNB, «y compris sur de nombreux pétroliers, ce qui perturbera davantage les exportations de brut russe».

 

Allemagne : Des feux d’artifice font cinq morts

Allemagne : Des feux d’artifice font cinq morts

 

Cinq personnes sont décédées accidentellement lors de la nuit du Nouvel An dans plusieurs régions d’Allemagne en allumant des feux d’artifice puissants, et un policier a été grièvement blessé en étant visé par un de ces engins à Berlin, ont indiqué ce mercredi 1er janvier les autorités. 

Dans la capitale allemande, où les forces de l’ordre avaient mobilisé un important dispositif dans la crainte de débordements, quelque 330 personnes ont été interpellées, a précisé la police. Au total, 13 agents des forces de l’ordre ont été blessés, dont un grièvement, qui a dû être opéré.

Les Allemands célèbrent traditionnellement le Nouvel An par un recours particulièrement intense aux feux d’artifice, qui nourrit régulièrement un débat sur l’interdiction des engins pyrotechniques les plus puissants, en raison chaque année d’un nombre élevé de décès et blessures, mais aussi de la pollution et des nuisances sonores qu’ils provoquent.

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français ne font pas confiance à Macron

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français  ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Nouveau Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Nouveau  Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Sondage Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Sondage Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

 

Les médecins étrangers sans-grade font entendre leur voix

Les médecins étrangers sans-grade font entendre leur voix

 

 La situation des médecins diplômés hors de l’Union européenne, que l’Elysée a promis de « régulariser », reste « précaire » et « intolérable », ont dénoncé mardi 14 mai quelques dizaines de praticiens lors d’un rassemblement devant le ministère de la Santé. Une délégation (CGT, Jeunes médecins, Collectif Padhue et association Ipadecc) a été reçue au ministère à midi par la directrice générale de l’Offre de soins (DGOS). Une seconde réunion était prévue à 16 heures avec des syndicats hospitaliers.

Après avoir échoué aux EVC (épreuves de vérification des connaissances), un concours très sélectif organisé fin 2023, quelque 2 650 praticiens, en activité depuis des années dans les hôpitaux français, sont aujourd’hui dans les limbes statutaires, sans travail ou réembauchés sous un statut dégradé, ont rappelé les manifestants. En janvier, le président Emmanuel Macron a promis de les « régulariser ». Mais selon ces organisations, la solution imaginée par l’Etat, qui doit être officialisée prochainement par décret, va « renouveler cette précarité » et « dégrader » les conditions d’exercice.
Ce décret va selon eux créer un nouveau statut de « praticien associé contractuel temporaire », dit PACT, donné à titre provisoire pour un an, renouvelable une fois, dans l’attente de repasser les EVC. « Ce sera une petite bouffée d’oxygène pour ceux qui ont perdu leur poste », mais « ce n’est pas acceptable, car ça reste précaire et un statut dégradé, rémunéré 20% de moins que les praticiens associés [qui ont obtenu l'EVC], pour faire le même boulot ! », a déploré Paul Robel (CGT).

 

Pétrole-carburant- Les risques géopolitiques font monter les prix

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

Au quotidien le prix du pétrole fait du yo-yo comme d’habitude mais il faut noter depuis le début de l’année une nette tendance haussière. Ainsi début 2024 le Brent était autour de 75 $ le baril et aujourd’hui il atteint autour de 90 $. Un haut niveau qui évidemment a des conséquences sur le prix du carburant.
Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Carburant- Les risques géopolitiques font monter les prix

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

Au quotidien le prix du pétrole fait du yo-yo comme d’habitude mais il faut noter depuis le début de l’année une nette tendance haussière. Ainsi début 2024 le Brent était autour de 75 $ le baril et aujourd’hui il atteint autour de 90 $. Un haut niveau qui évidemment a des conséquences sur le prix du carburant.
Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

Au quotidien le prix du pétrole fait du yo-yo comme d’habitude mais il faut noter depuis le début de l’année une nette tendance haussière. Ainsi début 2024 le Brent est été autour de 75 $ le baril et aujourd’hui il atteint autour de 90 $. Un haut niveau qui évidemment a des conséquences sur le prix du carburant.
Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Carburant – Les risques géopolitiques font monter les prix

Carburant - Les risques géopolitiques font monter les prix

Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Pétrole-Carburant – Les risques géopolitiques font monter les prix

Pétrole-Carburant - Les risques géopolitiques font monter les prix

Les carburants se rapprochent de nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

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