Archive pour le Tag 'mensonge'

Olivier Véran : le mensonge permanent du clown du gouvernement

Olivier véran : le mensonge permanent du clown du gouvernement

Il y a souvent dans les gouvernements un gouvernement assez clownesque, cette fois avec Macron c’est Olivier Véran qui tient le rôle. Avec un certain culot en plus, il dit tout et n’importe quoi. Évidemment on retiendra surtout sa lamentable gestion du covid quand il contestait l’intérêt du masque. Une attitude criminelle qui a favorisé la montée du nombre d’infectés et de mort. Maintenant le voilà dans le rôle du père fouettard vis-à-vis des syndicats rendus responsables de toutes les catastrophes de la France.

Olivier Véran qui a mangé à peu près à tous les râteliers politiques, le parti socialiste d’abord ensuite le soutien à Sarkozy puis à Macron s’est fait une spécialité du mensonge outrancier. Faut-il rappeler ses déclarations invraisemblables concernant l’inutilité des masques ou encore l’ampleur contestée du Covid alors qu’il était ministre de la santé..

Récemment, il a déclaré que la manifestation du 20 février ne serait pas importante. Elle a dépassé tous les records !. Cette fois, il rend responsable les syndicats de tous les péchés de la terre. Il serait même responsable de la catastrophe écologique qui menace le pays. Pourquoi pas aussi de la guerre en Ukraine ou comme l’indique Laurent Berger ( CFDT) de la défaite de la coupe de l’équipe de France en finale coupe du monde.

Ce personnage n’a aucune déontologie, il ne cesse de mentir. Ainsi récemment il a été pris dans les mailles de ses propres mensonges en déclarant qu’il y aurait 1,8 millions de bénéficiaires d’un minimum de retraite de 1200 € par mois. Vérification faite, le ministre du travail a été obligé d’admettre que la mesure ne concernerait que 10 000 à 20 000 bénéficiaires

De toute évidence Olivier Véran n’a pas sa place dans un gouvernement, c’est une sorte de Pinocchio qui s’agite en permanence espérant peut-être un jour devenir premier ministre. Faute de compétences et d’éthique, sa place serait mieux dans un cirque que dans un gouvernement. Notons que la cour de justice de la république dans sa grande bonté l’a exempté de toute responsabilité par rapport aux énormités dont il a été responsable lors de la crise Covid .

Retraites: Le nouveau mensonge des 1200 € minimum pour tous

Retraites: Le nouveau mensonge des 1200 € minimum pour tous

Hier à l’Assemblée nationale, le ministre du travail a encore été incapable de préciser le nombre de Français qui pourraient être bénéficiaires des fameux 1200 € de retraite !.
La promesse du gouvernement d’accorder 1200 € de retraite est un mensonge manifeste car la mesure ne va bénéficier qu’à une minorité. Et en plus s’agit de 1200 € bruts et non nets

L’objectif de 1 200 euros « ne concerne que les personnes qui ont une carrière complète cotisée à temps plein au smic », résume sur franceinfo l’économiste Nathalie Chusseau. Dans ce scénario, le montant du Mico sera revalorisé de 100 euros et atteindra 847,57 euros bruts. Ce qui reste encore éloigné de la cible de 1 200 euros. Pour y parvenir, l’exécutif inclut la pension complémentaire. Or, les actifs qui ont travaillé une partie de leur carrière à temps partiel cumulent moins de points de retraite complémentaire. Leur pension complémentaire étant plus faible, il leur sera plus difficile d’atteindre 1 200 euros.

Même dans le cas d’un actif à temps plein, qui bénéficierait du minimum contributif 847,57 euros, l’économiste Nathalie Chusseau doute que le montant de la pension complémentaire permette de percevoir 1 200 euros.

« Dans ce scénario, on fait donc comme si la pension complémentaire pour une personne à temps plein au Smic était de 350 euros – ce qui est loin d’être vérifié. »

« Des personnes avec une carrière complète ne seront donc pas garanties d’avoir 1 200 euros », abonde Michaël Zemmour sur France Inter. Enfin, ajoutons que tous ces montants sont exprimés en brut. Plusieurs types de prélèvements sociaux, dont la contribution sociale généralisée (CSG), s’appliquent aux pensions de retraite.

Au total, 1,8 million de retraités actuels « bénéficieront ainsi d’une augmentation de leur pension », selon l’étude d’impact du projet de loi, et « entre 180 000 et 200 000″ futurs retraités seront chaque année concernés. Mais dans des proportions diverses. Ni l’étude d’impact, ni les membres du gouvernement ne précisent le nombre de personnes qui en bénéficiera pleinement. Dans le détail, l’étude d’impact estime que le gain moyen pour les retraités actuels sera en réalité de 678 euros bruts par an, soit 56,5 euros par mois. « Cette hausse sera supérieure pour les femmes », qui gagneront en moyenne 63,5 euros de plus par mois, contre 44,91 euros pour les hommes, ajoute le document.

Retraite L’escroquerie des 1200 € de retraite minimum pour tous

Retraite L’escroquerie des 1200 € de retraite minimum pour tous


La promesse du gouvernement d’accorder 1200 € de retraite est un mensonge manifeste car la mesure ne va bénéficier qu’à une minorité. Et en plus s’agit de 1200 € bruts et non nets

L’objectif de 1 200 euros « ne concerne que les personnes qui ont une carrière complète cotisée à temps plein au smic », résume sur franceinfo l’économiste Nathalie Chusseau. Dans ce scénario, le montant du Mico sera revalorisé de 100 euros et atteindra 847,57 euros bruts. Ce qui reste encore éloigné de la cible de 1 200 euros. Pour y parvenir, l’exécutif inclut la pension complémentaire. Or, les actifs qui ont travaillé une partie de leur carrière à temps partiel cumulent moins de points de retraite complémentaire. Leur pension complémentaire étant plus faible, il leur sera plus difficile d’atteindre 1 200 euros.

Même dans le cas d’un actif à temps plein, qui bénéficierait du minimum contributif 847,57 euros, l’économiste Nathalie Chusseau doute que le montant de la pension complémentaire permette de percevoir 1 200 euros.

« Dans ce scénario, on fait donc comme si la pension complémentaire pour une personne à temps plein au Smic était de 350 euros – ce qui est loin d’être vérifié. »

« Des personnes avec une carrière complète ne seront donc pas garanties d’avoir 1 200 euros », abonde Michaël Zemmour sur France Inter. Enfin, ajoutons que tous ces montants sont exprimés en brut. Plusieurs types de prélèvements sociaux, dont la contribution sociale généralisée (CSG), s’appliquent aux pensions de retraite.

Au total, 1,8 million de retraités actuels « bénéficieront ainsi d’une augmentation de leur pension », selon l’étude d’impact du projet de loi, et « entre 180 000 et 200 000″ futurs retraités seront chaque année concernés. Mais dans des proportions diverses. Ni l’étude d’impact, ni les membres du gouvernement ne précisent le nombre de personnes qui en bénéficiera pleinement. Dans le détail, l’étude d’impact estime que le gain moyen pour les retraités actuels sera en réalité de 678 euros bruts par an, soit 56,5 euros par mois. « Cette hausse sera supérieure pour les femmes », qui gagneront en moyenne 63,5 euros de plus par mois, contre 44,91 euros pour les hommes, ajoute le document.

Le mensonge des 1200 € de retraite minimum pour tous

Le mensonge des 1200 € de retraite minimum pour tous

La promesse du gouvernement d’accorder 1200 € de retraite est un mensonge manifeste car la mesure ne va bénéficier qu’à une minorité. Et en plus s’agit de 1200 € bruts et non nets

L’objectif de 1 200 euros « ne concerne que les personnes qui ont une carrière complète cotisée à temps plein au smic », résume sur franceinfo l’économiste Nathalie Chusseau. Dans ce scénario, le montant du Mico sera revalorisé de 100 euros et atteindra 847,57 euros bruts. Ce qui reste encore éloigné de la cible de 1 200 euros. Pour y parvenir, l’exécutif inclut la pension complémentaire. Or, les actifs qui ont travaillé une partie de leur carrière à temps partiel cumulent moins de points de retraite complémentaire. Leur pension complémentaire étant plus faible, il leur sera plus difficile d’atteindre 1 200 euros.

Même dans le cas d’un actif à temps plein, qui bénéficierait du minimum contributif 847,57 euros, l’économiste Nathalie Chusseau doute que le montant de la pension complémentaire permette de percevoir 1 200 euros.

« Dans ce scénario, on fait donc comme si la pension complémentaire pour une personne à temps plein au Smic était de 350 euros – ce qui est loin d’être vérifié. »

« Des personnes avec une carrière complète ne seront donc pas garanties d’avoir 1 200 euros », abonde Michaël Zemmour sur France Inter. Enfin, ajoutons que tous ces montants sont exprimés en brut. Plusieurs types de prélèvements sociaux, dont la contribution sociale généralisée (CSG), s’appliquent aux pensions de retraite.

Au total, 1,8 million de retraités actuels « bénéficieront ainsi d’une augmentation de leur pension », selon l’étude d’impact du projet de loi, et « entre 180 000 et 200 000″ futurs retraités seront chaque année concernés. Mais dans des proportions diverses. Ni l’étude d’impact, ni les membres du gouvernement ne précisent le nombre de personnes qui en bénéficiera pleinement. Dans le détail, l’étude d’impact estime que le gain moyen pour les retraités actuels sera en réalité de 678 euros bruts par an, soit 56,5 euros par mois. « Cette hausse sera supérieure pour les femmes », qui gagneront en moyenne 63,5 euros de plus par mois, contre 44,91 euros pour les hommes, ajoute le document.

Le mensonge de l’inflation qui « ralentit »

Le mensonge de l’inflation qui « ralentit »

 

 


On peut se demander par quel miracle l’INSEE a constaté un ralentissement de l’inflation de 6,2 en novembre à 5,9 en décembre. Il faudrait en effet qu’en un mois l’envol des prix se soit nettement tassé. Le problème est que l’indice des prix de la consommation de l’INSEE est complètement obsolète.

En effet depuis le Covid notamment et encore davantage depuis la crise de l’énergie, la structure de consommation des ménages a été profondément modifiée. Pour parler clair, on ne consomme pas exactement la même chose et dans les mêmes proportions. Ainsi l’INSEE prend notamment en compte un tassement des prix alors que le volume de consommation des biens visés a diminué.

Parmi les évolutions structurelles, il y a notamment l’augmentation croissante des dépenses contraintes, c’est-à-dire incontournables. Notons que l’un des champs de consommation les plus concernés par la hausse des prix vise l’alimentation. Une hausse mesurée à 12 % environ par l’INSEE alors que dans la réalité les prix ont augmenté en moyenne de 20 % ( augmentation directe, absence de produits habituels, modification des conditionnements etc.).

Selon l’estimation provisoire de l’Insee, ce mercredi, l’inflation en France a ralenti, passant de 6,2% en novembre et octobre à 5,9% en décembre. Une bonne nouvelle- par ailleurs très contradictoire qui pourrait être de courte durée car l’institut de statistiques prévoit une nouvelle hausse des prix aux début de l’année 2023 jusqu’à atteindre un pic à 7%.

A noter que l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui sert de base de comparaison au niveau européen, a ralenti plus fortement que l’indice des prix à la consommation (IPC) en décembre, la hausse sur un an tombant à 6,7%, contre 7,1% en novembre.

Malgré ce ralentissement de l’inflation, l’embellie pourrait être de courte durée. L’insee prévoit, en effet, que l’IPC devrait atteindre un pic de 7% début 2023, avant de reculer plus durablement à partir du mois de mars. Cela s’explique notamment par la hausse de 15% des prix réglementés de l’énergie prévue début 2023, ceux du gaz devant être relevés en janvier et ceux de l’électricité en février. Le bouclier tarifaire plafonne actuellement la hausse des tarifs de l’énergie à 4%.

À l’échelle européenne, la tendance était, en cette fin d’année 2022, également à la baisse. En novembre, l’inflation des prix à la consommation avait, pour la première fois depuis juin 2021, ralenti à 10% sur un an au sein de la zone euro (les 20 pays à avoir adopté la monnaie unique). Décembre est aussi positif pour de nombreux pays européens. En Allemagne, l’inflation est passée de 10% en novembre à 8,6% en décembre quand l’Espagne a connu une chute de 6,8% à 5,8% le m

L’inflation ralentit d’après l’INSEE….. un mensonge !

L’inflation ralentit d’après l’INSEE….. un mensonge !


On peut se demander par quel miracle l’INSEE a constaté un ralentissement de l’inflation de 6,2 en novembre à 5,9 en décembre. Il faudrait en effet qu’en un mois l’envol des prix se soit nettement tassé. Le problème est que l’indice des prix de la consommation de l’INSEE est complètement obsolète.

En effet depuis le Covid notamment et encore davantage depuis la crise de l’énergie, la structure de consommation des ménages a été profondément modifiée. Pour parler clair, on ne consomme pas exactement la même chose et dans les mêmes proportions. Ainsi l’INSEE prend notamment en compte un tassement des prix alors que le volume de consommation des biens visés a diminué.

Parmi les évolutions structurelles, il y a notamment l’augmentation croissante des dépenses contraintes, c’est-à-dire incontournables. Notons que l’un des champs de consommation les plus concernés par la hausse des prix vise l’alimentation. Une hausse mesurée à 12 % environ par l’INSEE alors que dans la réalité les prix ont augmenté en moyenne de 20 % ( augmentation directe, absence de produits habituels, modification des conditionnements etc.).

Selon l’estimation provisoire de l’Insee, ce mercredi, l’inflation en France a ralenti, passant de 6,2% en novembre et octobre à 5,9% en décembre. Une bonne nouvelle- par ailleurs très contradictoire qui pourrait être de courte durée car l’institut de statistiques prévoit une nouvelle hausse des prix aux début de l’année 2023 jusqu’à atteindre un pic à 7%.

A noter que l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui sert de base de comparaison au niveau européen, a ralenti plus fortement que l’indice des prix à la consommation (IPC) en décembre, la hausse sur un an tombant à 6,7%, contre 7,1% en novembre.

Malgré ce ralentissement de l’inflation, l’embellie pourrait être de courte durée. L’insee prévoit, en effet, que l’IPC devrait atteindre un pic de 7% début 2023, avant de reculer plus durablement à partir du mois de mars. Cela s’explique notamment par la hausse de 15% des prix réglementés de l’énergie prévue début 2023, ceux du gaz devant être relevés en janvier et ceux de l’électricité en février. Le bouclier tarifaire plafonne actuellement la hausse des tarifs de l’énergie à 4%.

À l’échelle européenne, la tendance était, en cette fin d’année 2022, également à la baisse. En novembre, l’inflation des prix à la consommation avait, pour la première fois depuis juin 2021, ralenti à 10% sur un an au sein de la zone euro (les 20 pays à avoir adopté la monnaie unique). Décembre est aussi positif pour de nombreux pays européens. En Allemagne, l’inflation est passée de 10% en novembre à 8,6% en décembre quand l’Espagne a connu une chute de 6,8% à 5,8% le mois dernier.

L’inflation ralentit : le mensonge de l’INSEE

L’inflation ralentit : le mensonge de l’INSEE

On peut se demander par quel miracle l’INSEE a constaté un ralentissement de l’inflation de 6,2% en novembre à 5,9 en décembre. Il faudrait en effet qu’en un mois l’envol des prix se soit nettement tassé. Le problème est que l’indice des prix de la consommation de l’INSEE est complètement obsolète.

En effet depuis le Covid notamment et encore davantage depuis la crise de l’énergie, la structure de consommation des ménages a été profondément modifiée. Pour parler clair, on ne consomme pas exactement la même chose et dans les mêmes proportions. Ainsi l’INSEE prend en compte un tassement des prix alors que le volume de consommation des biens visés a diminué.

Parmi les évolutions structurelles, il y a notamment l’augmentation croissante des dépenses contraintes, c’est-à-dire incontournables. Notons que l’un des champs de consommation les plus concernés par la hausse des prix vise l’alimentation. Une hausse mesurée à 12 % environ par l’INSEE alors que dans la réalité les prix ont augmenté en moyenne de 20 % ( augmentation directe, absence de produits habituels, modification des conditionnements etc.).

Selon l’estimation provisoire de l’Insee, ce mercredi, l’inflation en France a ralenti, passant de 6,2% en novembre et octobre à 5,9% en décembre. Une bonne nouvelle- par ailleurs très contradictoire qui pourrait être de courte durée car l’institut de statistiques prévoit une nouvelle hausse des prix aux début de l’année 2023 jusqu’à atteindre un pic à 7%.

A noter que l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui sert de base de comparaison au niveau européen, a ralenti plus fortement que l’indice des prix à la consommation (IPC) en décembre, la hausse sur un an tombant à 6,7%, contre 7,1% en novembre.

Malgré ce ralentissement de l’inflation, l’embellie pourrait être de courte durée. L’insee prévoit, en effet, que l’IPC devrait atteindre un pic de 7% début 2023, avant de reculer plus durablement à partir du mois de mars. Cela s’explique notamment par la hausse de 15% des prix réglementés de l’énergie prévue début 2023, ceux du gaz devant être relevés en janvier et ceux de l’électricité en février. Le bouclier tarifaire plafonne actuellement la hausse des tarifs de l’énergie à 4%.

À l’échelle européenne, la tendance était, en cette fin d’année 2022, également à la baisse. En novembre, l’inflation des prix à la consommation avait, pour la première fois depuis juin 2021, ralenti à 10% sur un an au sein de la zone euro (les 20 pays à avoir adopté la monnaie unique). Décembre est aussi positif pour de nombreux pays européens. En Allemagne, l’inflation est passée de 10% en novembre à 8,6% en décembre quand l’Espagne a connu une chute de 6,8% à 5,8% le mois dernier.

Environnement : Sortir de l’emphase et du mensonge

Environnement : Sortir de l’emphase et du mensonge

Raphaëlle Ginies et Samuel Jequier sont respectivement directrice générale et directeur général adjoint de Bona fidé.
Erwan Floch.( dans L’opinion))

À juste titre les auteurs de la tribune tente de démontrer le ridicule et l’inefficacité de la théâtralisation de la question environnementale. Trop souvent en effet, on annonce des productions zéro carbone, zéro émission, des énergies totalement pures, des produits zéro impact. Ou la récupération d’une question sociétale majeure par la dialectique marketing ou par la rhétorique politique. Le propos doit effectivement être coup plus modeste, plus concret, plus réel et forcément des progrès plus progressif. NDLR

Notre société ne partage aujourd’hui plus de communs, entend-on un peu partout. Un sentiment au moins semble échapper à la règle : celui que la terre tremble sous nos pieds, que ce tremblement est de plus en plus menaçant. Depuis quelques mois, guerre et crises diverses aidant (écologique, climatique, économique, etc.), chacun comprend que les fractures que l’on croyait réparables ne le sont pas. Il faut bouger. Mais pour aller où ? C’est la grande question. Certains pensent que les riches s’en sortiront toujours, qu’ils trouveront bien le moyen de se réfugier dans des zones tempérées ou qu’ils coloniseront de nouvelles planètes dont ils nous cachent encore le nom.

La vérité est que la terre est ronde et que nous avons plutôt intérêt à trouver de vraies solutions. Après une période de déni collectif, chacun pressent de manière de plus en plus impérative qu’il va falloir accepter de changer. Fin de l’abondance, fin de l’insouciance…et début de la sobriété, dans toutes nos pratiques de consommation, de l’énergie au textile, de l’alimentation à l’électricité. Une forme d’économie de la modestie s’impose comme règle nouvelle, une économie de la nécessité, de la juste mesure, contre les excès de la surconsommation et promouvant des comportements plus responsables et à moindre impact sur la planète.

Il nous faudra nous départir de l’abondance de nos contenus et de la tonalité tonitruante de nos débats si l’on veut que la forme rencontre le fond
Les Français semblent disposés à y entrer de plain-pied : 65% d’entre eux disent adhérer au concept de sobriété et 72% se déclarent prêts à une consommation plus sobre à l’avenir, selon une étude Viavoice. Ce changement en cours de modèle de consommation, rompant avec les fondements historiques de croissance de l’économie capitaliste, pose indéniablement la question du discours, du langage et de la communication. La fin de l’abondance, la mort annoncée de la société de consommation signent aussi la fin de l’emphase, du lyrisme, de l’autopromotion béate et de la sur-promesse, en un mot la fin de la communication frivole et de la communication gloriole ! Il nous faudra nous départir de l’abondance de nos contenus et de la tonalité tonitruante de nos débats si l’on veut que la forme rencontre le fond.

Société moins conquérante. L’économie du langage pourrait bien devenir la nouvelle règle de la communication, au sein d’une société moins conquérante et plus écologique. L’entreprise n’a pas d’autre option que d’adopter cette idée de sobriété dans son propre discours pour entrer en résonance avec ses publics. Sérieux, sobriété, simplicité : la communication entre dans une nouvelle ère. Et si elle y gagnait en efficacité et en crédibilité ? Derrière la sobriété, il y a aussi la question de l’authenticité et de la vérité. La sobriété oblige de fait à la simplicité des mots, à retrouver un langage commun, perdu depuis des décennies par trop d’abus, de novlangue pour initiés, de technocratisme verbal et d’euphémisation.

La sincérité et la simplicité feront la différence pour être écouté par une opinion défiante, désormais acculturée au décryptage des mécanismes de communication. Une opinion qui ne supporte plus les dénis du réel, le « tout est bien, tout va bien » et l’accumulation de mots qui ne sont pas les siens. Le champ du changement est immense pour les entreprises. Plus de huit Français sur dix sont incapables de citer une entreprise « engagée » ; plus de sept sur dix considèrent que les entreprises ne sont pas suffisamment impliquées dans les réponses à la crise écologique et seuls deux sur dix connaissent la signification du sigle RSE selon une enquête récente de l’Obsoco.

La sobriété est un levier pour recréer un langage qui parle à nouveau dans un monde où « plus rien n’imprime » et retrouver de l’adhésion. L’exemple a été assez peu souligné, mais reste probant : Edouard Philippe est devenu populaire lors du premier confinement (gagnant plus 15 points de popularité entre mars et mai 2020) grâce à une expression modeste sur le Covid et une posture d’humilité (« nous savons que nous ne savons pas tout », « nous essayons de trouver les moins mauvaises des solutions »…), sur lesquelles il ne cesse de capitaliser depuis. Après l’addiction au bullshit, la simplicité du discours et du langage : cette révolution copernicienne pour politiques, journalistes et marques est sans doute l’écot à payer pour retisser du lien et de la confiance avec ses publics. « Le langage de la vérité est simple », disait Sénèque.

Raphaëlle Ginies et Samuel Jequier, respectivement directrice générale et directeur général adjoint de Bona fidé.

L’inflation va encore augmenter en 2023 ou le mensonge permanent

L’inflation va encore augmenter en 2023 ou le mensonge permanent

N’est pas temporaire mais elle va continuer en 2023. Jusque-là pouvoir et certains experts ne cessaient de considérer la hausse des prix comme relativement temporaire. Elle devait s’affaiblir fin 2022. Au lieu de cela on risque de connaître pour l’année prochaine encore supérieure à 2023 avec autour de 5 % de croissance des prix.

Mais l’INSEE promet qu’à partir de mars, la hausse des prix devrait refluer progressivement jusqu’à atteindre environ 5,5% sur un an en juin.Une évidence puisque la majorité des hausses vont intervenir dès le début de janvier.En réalité l’envol des prix une fois réalisé va peser évidemment sur le pouvoir d’achat car on ne reviendra pas en arrière en 2024 voire au-delà

Il n’y a pourtant guère de surprise car l’inflation constitue un mode de régulation et d’ajustement entre la richesse réelle et l’énorme masse monétaire libérée par banques centrales pendant la crise sanitaire. Pour parler clair on a fait tourner la machine à billets, une sorte de fausse monnaie ; aujourd’hui il faut réajuster avec une inflation qui agit comme une dévaluation.Les Français ne sont pas spécialement experts en matière de connaissances financières; d’après une enquête d’alliance ils étaient même en dernière position sur 19 pays testés dans ce domaine.
La vérité c’est que l’inflation est incontournable à moins officiellement de dévaluer l’euro ( ce qui de fait se produit quand même avec notamment l’augmentation des prix des matières premières et de l’énergie)

Bientôt le pic tant attendu. Établie à 6,2% en novembre dernier, l’inflation devrait atteindre un sommet début 2023, en janvier et février, à 7% sur un an, a indiqué l’Insee ce jeudi dans sa dernière note de conjoncture. Les prix à la consommation devraient donc continuer d’augmenter d’ici là, atteignant dans un premier temps 6,6% sur un an fin 2022.

«La hausse de l’inflation sur les premiers mois de l’année serait principalement tirée par l’énergie : fin de la remise à la pompe en janvier (+0,1 point d’inflation), hausse de 15% des tarifs réglementés du gaz en janvier (+0,2 point) puis de l’électricité en février (+0,4 point)», expliquent les statisticiens nationaux. En outre, la revalorisation prévue du prix du paquet de cigarettes de 50 centimes d’euros en mars «augmenterait l’inflation de 0,1 point». L’inflation alimentaire atteindra de son côté un pic à près de 13% sur un an en janvier.

Quant à la croissance française, le PIB (produit intérieur brut) devrait se contracter de 0,2% au quatrième trimestre, pénalisé notamment par une consommation des ménages en berne dans le contexte de forte inflation. L’Insee tablait jusque-là sur une croissance nulle en fin d’année. Dans sa note de conjoncture, l’institut national de la statistique a également revu en légère baisse sa prévision de croissance pour l’ensemble de 2022, qu’il voit désormais à 2,5% (contre 2,6% précédemment), soit 0,2 point de moins que celle du gouvernement.

Inflation et Pouvoir d’achat : le mensonge des experts

Inflation et Pouvoir d’achat : le mensonge des experts

Sous couvert d’arguties pseudo scientifiques, les experts proches du pouvoir tentent de justifier le refus d’augmenter le pouvoir d’achat des salariés. Le groupe d’experts « indépendants » chargé d’éclairer le gouvernement sur le salaire minium légal n’est pas favorable à une augmentation supplémentaire du SMIC en 2023. Ce groupe d’experts « indépendants « avance des raisons techniques. En fait, le problème est économique, politique et également lié à la politique monétaire. C’est enfin l’éternelle question de savoir s’il existe une spirale salaires inflation. (Ce n’est guère le cas actuellement en France ou alors partiellement car en moyenne les salaires auront augmenté de 3 à 4 % tandis que l’inflation en France dépasse les 6 %.).

Le SMIC a augmenté de 5,6 % depuis le 1er janvier 2022 sous l’effet de trois revalorisations automatique ou légale. Près de 1 % le 1er janvier, 2,6 % le 1er mai et encore 2 % trois mois plus tard : inflation oblige, le SMIC a augmenté de 5,6 % depuis le début de l’année sous l’effet de trois revalorisations automatique ou légale, lesquelles ont protégé le pouvoir d’achat de 2,5 millions de salariés du privé, hors agriculture. Dans ce contexte et parce que l’économie entre dans une zone de turbulence notamment, comme les années précédentes, le groupe d’experts indépendants chargé d’éclairer le gouvernement sur le salaire minium légal ne recommande pas de coup de pouce début 2023.

La pression sur les prix ne faiblissant pas , le SMIC est parti pour augmenter automatiquement de 1,8 % environ, peut-être même un peu plus, le 1er janvier prochain, estime dans son rapport ce groupe présidé par Gilbert Cette, professeur d’économie à Neoma Business School. Soit une hausse de 30 euros brut par mois. « Parmi les pays qui ont un salaire minimum, la France est l’un de ceux qui en font le plus », estime-t-il.

Dans la course-poursuite avec l’inflation en France, trois options sont proposées. La première consiste à conserver les deux paramètres (inflation et SHOBE) mais dans une interprétation nouvelle susceptible d’écarter toute évolution non maîtrisée du SMIC, en cas de succession de périodes inflationnistes ou désinflationnistes.

La deuxième est une réitération des rapports précédents mais ne fait pas consensus dans le comité. Elle consiste à abandonner l’un des paramètres, voire les deux, ce qui conférerait une responsabilité accrue aux pouvoirs publics.

La dernière option, consisterait à indexer automatiquement le SMIC chaque 1er janvier sur la moyenne des évolutions des minima salariaux d’un panel de branches représentatives, à l’image de ce qui se fait aux Pays-Bas ou en Allemagne. Ce qui aurait pour avantage de valoriser la négociation collective. En clair, de rendre aux partenaires sociaux ce qui appartient aux partenaires sociaux, à savoir la question des salaires.

Le problème c’est que l’indice des minima de branche qui donne une mesure des négociations conventionnelles progresse moins vite que le SMIC. Contrairement à ce que voudrait la logique, les syndicats risquent donc de fort peu goûter la proposition. Entre assumer son rôle de négociateur paritaire pour obtenir moins ou maintenir le statu quo, le choix est vite fait : mieux vaut laisser l’Etat prendre la charge de la responsabilité des revalorisations du SMIC (avec une loi aujourd’hui assez favorable).

Pouvoir d’achat : le mensonge des experts

Pouvoir d’achat : le mensonge des experts

Sous couvert d’arguties pseudo scientifiques, les experts proches du pouvoir tentent de justifier le refus d’augmenter le pouvoir d’achat des salariés. Le groupe d’experts « indépendants » chargé d’éclairer le gouvernement sur le salaire minium légal n’est pas favorable à une augmentation supplémentaire du SMIC en 2023. Ce groupe d’experts « indépendants « avance des raisons techniques. En fait, le problème est économique, politique et également lié à la politique monétaire. C’est enfin l’éternelle question de savoir s’il existe une spirale salires inflation. (Ce n’est guère le cas actuellement en France ou alors partiellement car en moyenne les salaires auront augmenté de 3 à 4 % tandis que l’inflation en France dépasse les 6 %.).

Le SMIC a augmenté de 5,6 % depuis le 1er janvier 2022 sous l’effet de trois revalorisations automatique ou légale. Près de 1 % le 1er janvier, 2,6 % le 1er mai et encore 2 % trois mois plus tard : inflation oblige, le SMIC a augmenté de 5,6 % depuis le début de l’année sous l’effet de trois revalorisations automatique ou légale, lesquelles ont protégé le pouvoir d’achat de 2,5 millions de salariés du privé, hors agriculture. Dans ce contexte et parce que l’économie entre dans une zone de turbulence notamment, comme les années précédentes, le groupe d’experts indépendants chargé d’éclairer le gouvernement sur le salaire minium légal ne recommande pas de coup de pouce début 2023.

La pression sur les prix ne faiblissant pas , le SMIC est parti pour augmenter automatiquement de 1,8 % environ, peut-être même un peu plus, le 1er janvier prochain, estime dans son rapport ce groupe présidé par Gilbert Cette, professeur d’économie à Neoma Business School. Soit une hausse de 30 euros brut par mois. « Parmi les pays qui ont un salaire minimum, la France est l’un de ceux qui en font le plus », estime-t-il.

Dans la course-poursuite avec l’inflation en France, trois options sont proposées. La première consiste à conserver les deux paramètres (inflation et SHOBE) mais dans une interprétation nouvelle susceptible d’écarter toute évolution non maîtrisée du SMIC, en cas de succession de périodes inflationnistes ou désinflationnistes.

La deuxième est une réitération des rapports précédents mais ne fait pas consensus dans le comité. Elle consiste à abandonner l’un des paramètres, voire les deux, ce qui conférerait une responsabilité accrue aux pouvoirs publics.

La dernière option, consisterait à indexer automatiquement le SMIC chaque 1er janvier sur la moyenne des évolutions des minima salariaux d’un panel de branches représentatives, à l’image de ce qui se fait aux Pays-Bas ou en Allemagne. Ce qui aurait pour avantage de valoriser la négociation collective. En clair, de rendre aux partenaires sociaux ce qui appartient aux partenaires sociaux, à savoir la question des salaires.

Le problème c’est que l’indice des minima de branche qui donne une mesure des négociations conventionnelles progresse moins vite que le SMIC. Contrairement à ce que voudrait la logique, les syndicats risquent donc de fort peu goûter la proposition. Entre assumer son rôle de négociateur paritaire pour obtenir moins ou maintenir le statu quo, le choix est vite fait : mieux vaut laisser l’Etat prendre la charge de la responsabilité des revalorisations du SMIC (avec une loi aujourd’hui assez favorable).

Pollution Automobile : zéro émission en 2035, l’énorme mensonge !

Pollution Automobile : zéro émission en 2035, l’énorme mensonge !

Pascal Canfin issu de la majorité, actuellement président de la commission environnement du Parlement européen, pousse un cri de joie ridicule en déclarant que l’Europe parviendra à zéro émission en 2035 avec la suppression des moteurs thermiques.

Pascal Canfin qui n’a jamais brillé par sa compétence et son charisme raconte évidemment n’importe quoi, histoire peut-être de rappeler son existence politique.

La décision récente que vient de prendre l’Europe est simplement la confirmation que les nouveaux véhicules commercialisés en 2035 ne pourront pas être à moteur thermique.

Or le parc global des automobiles en France par exemple se situe entre 40 et 50 millions.

Le président de la république lui-même a déclaré que la production de véhicules électriques serait limitée à 2 millions . En 2035 on sera donc très loin du zéro émission pour la voiture. Il est même vraisemblable qu’il faudra au moins une vingtaine d’années facilement pour opérer une mutation complète du parc automobile avec un transfert du moteur électrique à la place du moteur thermique.

Une hypothèse qui n’est d’ailleurs pas certaine car d’ici là il se pourrait que la filière hydrogène prenne le pas sur la filière électrique classique actuelle. Le véhicule électrique commercialisé aujourd’hui présente en effet un avantage écologique très relatif en raison justement de l’importance des batteries électriques et de leurs conséquences environnementales tant à la production que pour leur recyclage.

Perspective automobile : zéro émission en 2035, l’énorme mensonge !

Automobile : zéro émission en 2035, l’énorme mensonge !

Pascal Canfin issu de la majorité, actuellement président de la commission environnement du Parlement européen, pousse un cri de joie ridicule en déclarant que l’Europe parviendra à zéro émission en 2035 avec la suppression des moteurs thermiques.

Pascal Canfin qui n’a jamais brillé par sa compétence et son charisme raconte évidemment n’importe quoi, histoire peut-être de rappeler son existence politique.

La décision récente que vient de prendre l’Europe est simplement la confirmation que les nouveaux véhicules commercialisés en 2035 ne pourront pas être à moteur thermique.

Or le parc global des automobiles en France par exemple se situe entre 40 et 50 millions.

Le président de la république lui-même a déclaré que la production de véhicules électriques serait limitée à 2 millions . En 2035 on sera donc très loin du zéro émission pour la voiture. Il est même vraisemblable qu’il faudra au moins une vingtaine d’années facilement pour opérer une mutation complète du parc automobile avec un transfert du moteur électrique à la place du moteur thermique.

Une hypothèse qui n’est d’ailleurs pas certaine car d’ici là il se pourrait que la filière hydrogène prenne le pas sur la filière électrique classique actuelle. Le véhicule électrique commercialisé aujourd’hui présente en effet un avantage écologique très relatif en raison justement de l’importance des batteries électriques et de leurs conséquences environnementales tant à la production que pour leur recyclage.

Automobile : zéro émission en 2035, l’énorme mensonge !

Automobile : zéro émission en 2035, l’énorme mensonge !

Pascal Canfin issu de la majorité, actuellement président de la commission environnement du Parlement européen, pousse un cri de joie ridicule en déclarant que l’Europe parviendra à zéro émission en 2035 avec la suppression des moteurs thermiques.

Pascal Canfin qui n’a jamais brillé par sa compétence et son charisme raconte évidemment n’importe quoi, histoire peut-être de rappeler son existence politique.

La décision récente que vient de prendre l’Europe est simplement la confirmation que les nouveaux véhicules commercialisés en 2035 ne pourront pas être à moteur thermique.

Or le parc global des automobiles en France par exemple se situe entre 40 et 50 millions.

Le président de la république lui-même a déclaré que la production de véhicules électriques serait limitée à 2 millions . En 2035 on sera donc très loin du zéro émission pour la voiture. Il est même vraisemblable qu’il faudra au moins une vingtaine d’années facilement pour opérer une mutation complète du parc automobile avec un transfert du moteur électrique à la place du moteur thermique.

Une hypothèse qui n’est d’ailleurs pas certaine car d’ici là il se pourrait que la filière hydrogène prenne le pas sur la filière électrique classique actuelle. Le véhicule électrique commercialisé aujourd’hui présente en effet un avantage écologique très relatif en raison justement de l’importance des batteries électriques et de leurs conséquences environnementales tant à la production que pour leur recyclage.

Poutine: Le mensonge permanent pour rhétorique

Poutine: Le mensonge permanent pour rhétorique

Poutine complètement isolé ne se rend sans doute pas compte de la désuétude de son discours daté qui repose sur la rhétorique permanente du mensonge. Bref la posture des communistes soviétiques d’il y a 50 à 70 ans.

Pour Poutine plus c’est gros plus ça passe, plus FO mieux ces points évidemment à l’étranger son discours apparaît complètement obsolète mais de plus en plus aussi en Russie dans les grandes villes au moins là où l’information pertinente est accessible.

Ainsi dans le domaine économique suite à la succession des sanctions prises qui n’ont d’effet qu’à terme, la Russie commence à sérieusement souffrir. Mais Poutine fidèle à son discours caricatural affirme que jamais la Russie ne s’est aussi bien portée .Notons l’état de sous-développement du pays avec par exemple un salaire moyen qui ne dépasse guère 700 € par mois alors que le pays dispose d’énormes ressources détournées par les oligarques et Poutine lui-même.

Pour la Russie, « le pic des difficultés » économiques est « passé », affirme pourtant Poutine

Selon lui, « l’économie russe s’est adaptée (…) Ce qui se passe est en fin de compte bénéfique pour la Russie et son avenir (…) y compris dans la sphère économique ».
Rien n’est pourtant moins sûr. La Russie profite pour l’instant de la crise énergétique mondiale et des exportations d’hydrocarbures. Mais c’est bien le scénario de la récession qui se profile. La croissance russe devrait en effet se contracter de 3,4% en 2022 et de 2,3% en 2023 d’après le Fonds Monétaire International, soit un recul moins fort que prévu.

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