Archive pour le Tag 'Moral'

Conjoncture Entreprises: moral vraiment en hausse ?

Conjoncture Entreprises: moral vraiment en hausse ?


selon la 83ème vague du baromètre CCI France, La Tribune et LCI. Une vaste majorité d’entreprises (77%) seraient confiantes sur leur trésorerie pour la fin de l’année. Une évolution contredite par une enquête de l’INSEE !

Les entreprises auraient retrouvé le moral cet été. Selon la Grande consultation des entrepreneurs réalisée par OpinionWay pour CCIFrance, La Tribune et LCI, l’indice qui mesure l’optimisme des patrons est à 84 contre 85 en juin. L’optimisme des entreprises se stabilise à un niveau inédit depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine en février 2022. « La confiance dans les perspectives de leur entreprise s’améliore encore (72%, +3 pts depuis juin) et atteint le niveau affiché avant le début de la guerre en Ukraine », souligne l’institut de sondages.

Une analyse surprenante qui contredit complètement une récente enquête de l’INSEE sur le climat des affaires.

D’après l’INSEE , le climat des affaires se dégrade en août, atteignant un plus bas depuis avril 2021, en raison d’une détérioration de la situation conjoncturelle dans l’industrie manufacturière et les services, a annoncé jeudi l’Insee. Cet indicateur, qui synthétise l’opinion des chefs d’entreprise des principaux secteurs, s’est établi à 99, passant ainsi sous sa moyenne de longue période (100).

L’enquête de l’INSEE confirme l’indice PMI concernant la dépression économique au cours de l’été. L’indice Flash composite, qui mesure l’activité du secteur privé, s’est établi à 46,6 en août, au même niveau qu’en juillet. Il marque ainsi une nouvelle contraction de l’activité économique en France, tant dans les services que dans le secteur manufacturier

Dans l’enquête de l’INSEE, le climat «se dégrade nettement» dans l’industrie, où l’indicateur perd cinq points en un mois à 96, entraîné par une dégradation de l’opinion des chefs d’entreprises «sur les carnets de commandes et la production passée», observe l’Insee.

Dans les services, l’indicateur perd deux points et rejoint sa moyenne de longue période (100). Dans le commerce de détail, il reste quasi stable à 105 (contre 106).

Contrairement aux prévisions de la banque de France et de l’INSEE, la France est touchée par une dépression économique au cours de l’été. L’indice PMIn Flash composite, qui mesure l’activité du secteur privé, s’est établi à 46,6 en août, au même niveau qu’en juillet. Il marque ainsi une nouvelle contraction de l’activité économique en France, tant dans les services que dans le secteur manufacturier.

L’activité dans le secteur des services, secteur dominant de l’économie française, a diminué pour le troisième mois consécutif. Elle atteint même un plus bas depuis trente mois à 46,7 (contre 47,1 en juillet). La baisse de la production manufacturière, qui avait commencé l’été dernier, s’est poursuivie, avec un indice PMI provisoire à 45,8. Dans ce secteur cependant, la contraction est moindre qu’en juillet (44, révisé en légère hausse), et il s’agit d’un plus haut depuis cinq mois.

Contre toute attente, et malgré les espoirs d’amélioration de la conjoncture, les derniers résultats de l’enquête suggèrent ainsi une possible contraction du PIB au troisième trimestre », selon lui. La confiance des entreprises quant à une progression de leur activité au cours des douze prochains mois a également faibli en août, tout en se maintenant au-dessus du plus bas de 32 mois enregistré en juin.

Une analyse de l’INSEE qui contredit donc cet enquête d’opinion Way qui sans doute fait un peu trop dans le volontarisme économique.

Entreprises: moral vraiment en hausse ?

Entreprises: moral vraiment en hausse ?


selon la 83ème vague du baromètre CCI France, La Tribune et LCI. Une vaste majorité d’entreprises (77%) seraient confiantes sur leur trésorerie pour la fin de l’année. Une évolution contredite par une enquête de l’INSEE !

Les entreprises auraient retrouvé le moral cet été. Selon la Grande consultation des entrepreneurs réalisée par OpinionWay pour CCIFrance, La Tribune et LCI, l’indice qui mesure l’optimisme des patrons est à 84 contre 85 en juin. L’optimisme des entreprises se stabilise à un niveau inédit depuis l’éclatement de la guerre en Ukraine en février 2022. « La confiance dans les perspectives de leur entreprise s’améliore encore (72%, +3 pts depuis juin) et atteint le niveau affiché avant le début de la guerre en Ukraine », souligne l’institut de sondages.

Une analyse surprenante qui contredit complètement une récente enquête de l’INSEE sur le climat des affaires.

D’après l’INSEE , le climat des affaires se dégrade en août, atteignant un plus bas depuis avril 2021, en raison d’une détérioration de la situation conjoncturelle dans l’industrie manufacturière et les services, a annoncé jeudi l’Insee. Cet indicateur, qui synthétise l’opinion des chefs d’entreprise des principaux secteurs, s’est établi à 99, passant ainsi sous sa moyenne de longue période (100).

L’enquête de l’INSEE confirme l’indice PMI concernant la dépression économique au cours de l’été. L’indice Flash composite, qui mesure l’activité du secteur privé, s’est établi à 46,6 en août, au même niveau qu’en juillet. Il marque ainsi une nouvelle contraction de l’activité économique en France, tant dans les services que dans le secteur manufacturier

Dans l’enquête de l’INSEE, le climat «se dégrade nettement» dans l’industrie, où l’indicateur perd cinq points en un mois à 96, entraîné par une dégradation de l’opinion des chefs d’entreprises «sur les carnets de commandes et la production passée», observe l’Insee.

Dans les services, l’indicateur perd deux points et rejoint sa moyenne de longue période (100). Dans le commerce de détail, il reste quasi stable à 105 (contre 106).

Contrairement aux prévisions de la banque de France et de l’INSEE, la France est touchée par une dépression économique au cours de l’été. L’indice PMIn Flash composite, qui mesure l’activité du secteur privé, s’est établi à 46,6 en août, au même niveau qu’en juillet. Il marque ainsi une nouvelle contraction de l’activité économique en France, tant dans les services que dans le secteur manufacturier.

L’activité dans le secteur des services, secteur dominant de l’économie française, a diminué pour le troisième mois consécutif. Elle atteint même un plus bas depuis trente mois à 46,7 (contre 47,1 en juillet). La baisse de la production manufacturière, qui avait commencé l’été dernier, s’est poursuivie, avec un indice PMI provisoire à 45,8. Dans ce secteur cependant, la contraction est moindre qu’en juillet (44, révisé en légère hausse), et il s’agit d’un plus haut depuis cinq mois.

Contre toute attente, et malgré les espoirs d’amélioration de la conjoncture, les derniers résultats de l’enquête suggèrent ainsi une possible contraction du PIB au troisième trimestre », selon lui. La confiance des entreprises quant à une progression de leur activité au cours des douze prochains mois a également faibli en août, tout en se maintenant au-dessus du plus bas de 32 mois enregistré en juin.

Une analyse de l’INSEE qui contredit donc cet enquête d’opinion Way qui sans doute fait un peu trop dans le volontarisme économique.

Politique-Sondage moral des Français: Près de 80 % pessimistes

Politique-Sondage moral des Français: Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, soit 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Politique-Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

Politique-Sondage moral des Français : Près de 80 % pessimistes

D’après un sondage La Tribune et CCI France Près de 80 % des Français sont pessimistes sur la situation économique et sociale du pays

Pour Bernard Sananes le patron d’Elabe , 78%, 8 sur dix, affirment que la France ne va pas bien, dont 25% pas bien du tout; cette vision sombre sur la France d’aujourd’hui est nourrie par le sentiment très largement partagé d’un pays en déclin (61% des Français) . Seuls 8% dont 16% des cadres estiment que le pays est en progrès ce qui conforte l’idée d’un pays à deux vitesses. Encore plus symptomatique, plus on monte à droite de l’échiquier, plus on est nombreux à penser que la France est en déclin : c’est le cas de 82% des électeurs de Valérie Pécresse, et de 80% de ceux de Marine Le Pen (92% de ceux d’Eric Zemmour). Ils ne sont que 34% à le penser chez les sympathisants de Macron, contre 67% chez Mélenchon.

Sur le plan politique, 53% des électeurs de Macron jugent que la France ne va pas bien, contre plus de 75% dans les autres électorats, souligne Bernard Sananes.
En clair, les Français sont des sceptiques, ils doutent, mais ils comprennent la stratégie d’action du président de la République : 54% pensent que la situation va s’améliorer pour la réindustrialisation, la formation aux métiers de demain (67%), renforcer l’attractivité de la France (57%) et l’adapter aux défis de l’environnement (55%). En plein débat sur l’industrie verte, dont le projet de loi de Bruno Le Maire et de Roland Lescure est en cours d’adoption, et sur la planification écologique, les Français voient bien le chemin qu’on leur propose, mais ils doutent encore de la capacité à atteindre les objectifs fixés.

A 76%, les Français jugent que les entreprises ne seront pas à la hauteur des attentes sur la hausse des salaires, face à une inflation de près de 10% en deux ans… Même scepticisme à propos du versement de primes (62%) ou de l’amélioration des conditions de travail (62%). Enfin, après l’adoption de la réforme des retraites, qui commencera à s’appliquer au 1er septembre, 73% des Français ne croient pas en la réelle volonté des entreprises d’améliorer le taux d’emploi des seniors.

Pour trois Français sur quatre, ces entreprises doivent contribuer davantage au financement de la transition écologique, devant l’Etat (60%), les entreprises en général (37%), les particuliers les plus aisés (24%) et les particuliers en général (17%).

La justice sociale est considérée comme la clef de la réussite de la transition écologique. 65% des Français sont prêts à faire des changements importants dans leur mode de vie, à condition qu’ils soient partagés de façon juste entre tous les membres de la société. Et, à 42%, qu’on leur demande leur avis, car ils aimeraient avoir leur mot à dire sur cette transition qui nous concerne tous, plutôt que l’on impose une planification d’en haut.

Russie : un mauvais coup pour le moral des troupes

Russie : un mauvais coup pour le moral des troupes

En dépit de l’échec de Prigogine, la tentative de putsch de Wagner va nécessairement porter un coût supplémentaire au moral des troupes régulières russes.

Cette affaire atteint aussi Poutine qui d’une certaine manière se ridiculise et se voit même contraint de se montrer conciliant vis-à-vis de la rebellion; sans doute parce qu’il ne dispose pas de soutien suffisants dans l’armée, dans les institutions et auprès de l’opinion publique. Nul doute cependant que Poutine réglera ses comptes comme d’habitude à coups de crimes, d’exclusion et autre sanctions.

Alors que le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine a affirmé être entré en Russie pour renverser le commandement militaire, l’historien militaire Cédric Mas s’interroge, samedi 24 juin sur franceinfo, de « l’effet de ces dissensions sur les troupes russes qui combattent sur le front » ukrainien. L’entrée en rébellion de Wagner peut apparaître « pas très motivante, voire « démoralisante » pour les troupes « durement secouées par les offensives successives menées par l’Ukraine », analyse-t-il.

Cédric Mas, président également de l’Institut action résilience, considère que face à cette rébellion « l’un des enjeux du régime [russe] actuellement est de restaurer l’unité derrière Vladimir Poutine et d’empêcher l’effet moral de ces dissensions ». Le président russe admettait samedi que la situation était « difficile » à Rostov, où se trouvent les troupes de Wagner. Il accuse Evguéni Prigojine d’avoir trahi la Russie et promettait que les « traîtres » seront punis.

Quelques heures plus tard c’est contraint que Poutine décidé sur proposition de la Biélorussie d’amnistier la rébellion et son chef Prigogine lui-même.

Pour Cédric Mas, les soldats russes « sont en train de se sacrifier, ils sont soumis à des tirs et à des combats très durs pour un régime qui se déchire au plus haut niveau ». Cet historien militaire assure qu’Evguéni Prigojine n’est pas isolé et il jouit de l’image « de celui qui agit, alors que tous les autres échouent et n’agissent pas dans ce conflit » en Ukraine. Selon ce spécialiste, le chef du groupe Wagner a donc derrière lui « tout un camp anti-ministère russe de la Défense ». « Dans ce camp, on compte « la hiérarchie des troupes aéroportées et un certain nombre de forces d’élite », ajoute-t-il.

>>> Guerre en Ukraine : le chef du groupe Wagner accuse l’armée russe d’avoir bombardé ses camps militaires, la Russie dément

Cédric Mas appelle toutefois à la prudence vis-à-vis des propos tenus par Evguéni Prigojine. Ses déclarations ne doivent pas être prises pour argent comptant, selon l’historien, « pas plus que celles de Moscou » en tout cas. Mais l’historien constate tout de même que le chef du groupe Wagner « avait annoncé que des colonnes avançaient vers Rostov et Moscou » et que samedi matin « on les voit apparaître en plein jour ».

Politique Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Politique Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Un sondage qui plombe l’environnement politique, social mais aussi qui a des conséquences économiques. Ainsi par exemple la consommation enregistre une baisse qui va impacter la croissance. Bref il se confirme que la crise prend une triple dimension en France sociale, économique et démocratique.

Selon une enquête de l’Ifop, 72 % des personnes interrogées se déclarent « pessimistes pour l’avenir de la France », soit un bond de 16 points par rapport à la dernière vague de juin 2021, pourtant menée en pleine crise sanitaire.

Ils sont également 53 % à penser que leurs enfants vivront moins bien qu’eux (+ 13). « Le rejet de la mondialisation par les Français est massif, des catégories populaires aux classes moyennes incluses », explique Pierre Giacometti, fondateur de No Com avec Alain Péron.

Le terme même de « changement » suscite une contestation croissante : seuls 57 % des sondés lui attribuent une connotation positive, contre 80 % lors de l’élection d’Emmanuel Macron en 2017.

Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Sondage moral des Français : 72 % pessimistes

Un sondage qui plombe l’environnement politique, social mais aussi qui a des conséquences économiques. Ainsi par exemple la consommation enregistre-t-elle une baisse qui va impacter la croissance. Bref il se confirme que la crise prend une triple dimension en France sociale, économique et démocratique.

Selon une enquête de l’Ifop, 72 % des personnes interrogées se déclarent « pessimistes pour l’avenir de la France », soit un bond de 16 points par rapport à la dernière vague de juin 2021, pourtant menée en pleine crise sanitaire.

Ils sont également 53 % à penser que leurs enfants vivront moins bien qu’eux (+ 13). « Le rejet de la mondialisation par les Français est massif, des catégories populaires aux classes moyennes incluses », explique Pierre Giacometti, fondateur de No Com avec Alain Péron.

Le terme même de « changement » suscite une contestation croissante : seuls 57 % des sondés lui attribuent une connotation positive, contre 80 % lors de l’élection d’Emmanuel Macron en 2017.

La croissance hypothéquée par la hausse de l’énergie pour les entreprises et moral au plus bas chez les patrons

La croissance hypothéquée par la hausse de l’énergie pour les entreprises et moral au plus bas chez les patrons

Sur les derniers mois la croissance est insignifiante ( seulement plus 0,1 % au dernier trimestre) et les chefs d’entreprise sont assez moroses pour l’avenir en raison en particulier de l’explosion des coûts de l’énergie. Du coup, plus de 80 % des entreprises prévoient de ne pas investir en 2023.

D’après la dernière Grande consultation des entrepreneurs (GCE) réalisée par OpinionWay pour CCI France, La Tribune et LCI, 81% des dirigeants interrogés affirment qu’ils ne vont pas investir en 2023. À l’inverse, 17% ont répondu qu’ils étaient prêts à s’engager dans des investissements. Enfin, 2% ne savent pas.

L’indicateur qui mesure la confiance des chefs d’entreprise à l’égard de l’économie stagne à niveau très bas depuis décembre (68 en janvier contre 67 en décembre). Depuis un an, l’indice n’a toujours pas retrouvé sa moyenne de long terme (100).
Et cette morosité concerne aussi bien les petites entreprises de moins de 10 salariés que les plus grandes. La perspective d’un prolongement du conflit en Ukraine et d’une croissance en berne en 2023 risquent de saper une nouvelle fois le moral des entrepreneurs.
___
(*) Méthode : étude réalisée auprès d’un échantillon de 618 dirigeants d’entreprise. L’échantillon a été interrogé par téléphone du 11 au 18 janvier 2023. La représentativité de l’échantillon a été assurée par un redressement selon le secteur d’activité et la taille, après stratification par région d’implantation.

Sondage Politique-le moral des Français: plombé par l’inflation

Sondage Politique-le moral des Français: plombé par l’inflation

La question du pouvoir d’achat est susceptible de nourrir aussi la participation à la manifestation du 31 juillet janvier. En effet, le pessimisme caractérise toujours le moral des Français particulièrement inquiets de l’inflation. Et il est probable que ce pessimisme affecte encore davantage la question du pouvoir d’achat que le problème des retraites. Deux problématiques cependant liées à moyen long terme.

L’ indicateur du moral des ménages s’établit ainsi à 80, niveau autour duquel il oscille depuis le printemps 2022. Il a perdu 3 points sur trois mois, et reste très éloigné de la moyenne longue durée (1987-2002), qui est de 100. A deux reprises l’an dernier (en juillet puis en septembre), l’indicateur est descendu à 79 points, un niveau jamais atteint depuis juin 2013.

En janvier, l’opinion des ménages français sur leur situation financière à venir a baissé de deux points et le nombre de ceux qui estiment qu’il est opportun de faire des achats importants en perd un.
La dégradation est aussi visible sur l’opinion des ménages quant à l’évolution récente de leur niveau de vie , avec un niveau qui se rapproche du plus bas historique atteint en juillet dernier.

La confiance des ménages dans leur capacité à épargner , actuelle comme future, diminue également puisque ces deux indicateurs perdent chacun deux points, précise l’Insee, en ajoutant qu’ils restent toutefois au-dessus de leur moyenne de longue période. Enfin, les craintes des ménages concernant l’évolution du chômage restent quasi stables (+1 point) et l’indicateur bien en dessous de sa moyenne.

Social et économie- Sondage moral des Français: plombé par l’inflation

Social et économie- Sondage moral des Français: plombé par l’inflation

La question du pouvoir d’achat est susceptible de nourrir aussi la participation à la manifestation du 31 juillet janvier. En effet, le pessimisme caractérise toujours le moral des Français particulièrement inquiets de l’inflation. Et il est probable que ce pessimisme affecte encore davantage la question du pouvoir d’achat que le problème des retraites. Deux problématiques cependant liées à moyen long terme.

L’ indicateur du moral des ménages s’établit ainsi à 80, niveau autour duquel il oscille depuis le printemps 2022. Il a perdu 3 points sur trois mois, et reste très éloigné de la moyenne longue durée (1987-2002), qui est de 100. A deux reprises l’an dernier (en juillet puis en septembre), l’indicateur est descendu à 79 points, un niveau jamais atteint depuis juin 2013.

En janvier, l’opinion des ménages français sur leur situation financière à venir a baissé de deux points et le nombre de ceux qui estiment qu’il est opportun de faire des achats importants en perd un.
La dégradation est aussi visible sur l’opinion des ménages quant à l’évolution récente de leur niveau de vie , avec un niveau qui se rapproche du plus bas historique atteint en juillet dernier.

La confiance des ménages dans leur capacité à épargner , actuelle comme future, diminue également puisque ces deux indicateurs perdent chacun deux points, précise l’Insee, en ajoutant qu’ils restent toutefois au-dessus de leur moyenne de longue période. Enfin, les craintes des ménages concernant l’évolution du chômage restent quasi stables (+1 point) et l’indicateur bien en dessous de sa moyenne.

Economie- Sondage moral des Français: plombé par l’inflation

Economie- Sondage moral des Français: plombé par l’inflation

Le pessimisme caractérise toujours le moral des Français particulièrement inquiets notamment de l’inflation.

L’ indicateur du moral des ménages s’établit ainsi à 80, niveau autour duquel il oscille depuis le printemps 2022. Il a perdu 3 points sur trois mois, et reste très éloigné de la moyenne longue durée (1987-2002), qui est de 100. A deux reprises l’an dernier (en juillet puis en septembre), l’indicateur est descendu à 79 points, un niveau jamais atteint depuis juin 2013.

En janvier, l’opinion des ménages français sur leur situation financière à venir a baissé de deux points et le nombre de ceux qui estiment qu’il est opportun de faire des achats importants en perd un.
La dégradation est aussi visible sur l’opinion des ménages quant à l’évolution récente de leur niveau de vie , avec un niveau qui se rapproche du plus bas historique atteint en juillet dernier.

La confiance des ménages dans leur capacité à épargner , actuelle comme future, diminue également puisque ces deux indicateurs perdent chacun deux points, précise l’Insee, en ajoutant qu’ils restent toutefois au-dessus de leur moyenne de longue période. Enfin, les craintes des ménages concernant l’évolution du chômage restent quasi stables (+1 point) et l’indicateur bien en dessous de sa moyenne.
Avec AFP

Sondage moral des Français: plombé par l’inflation

Sondage moral des Français: plombé par l’inflation

Le pessimisme caractérise toujours le moral des Français particulièrement inquiets notamment de l’inflation.

L’ indicateur du moral des ménages s’établit ainsi à 80, niveau autour duquel il oscille depuis le printemps 2022. Il a perdu 3 points sur trois mois, et reste très éloigné de la moyenne longue durée (1987-2002), qui est de 100. A deux reprises l’an dernier (en juillet puis en septembre), l’indicateur est descendu à 79 points, un niveau jamais atteint depuis juin 2013.

En janvier, l’opinion des ménages français sur leur situation financière à venir a baissé de deux points et le nombre de ceux qui estiment qu’il est opportun de faire des achats importants en perd un.
La dégradation est aussi visible sur l’opinion des ménages quant à l’évolution récente de leur niveau de vie , avec un niveau qui se rapproche du plus bas historique atteint en juillet dernier.

La confiance des ménages dans leur capacité à épargner , actuelle comme future, diminue également puisque ces deux indicateurs perdent chacun deux points, précise l’Insee, en ajoutant qu’ils restent toutefois au-dessus de leur moyenne de longue période. Enfin, les craintes des ménages concernant l’évolution du chômage restent quasi stables (+1 point) et l’indicateur bien en dessous de sa moyenne.
Avec AFP

Société -Moral des Français : chute sans précédent

Société -Moral des Français : chute sans précédent

 

Une chute sans précédent qui accroît encore la tendance baissière de ces dernières années. En cause, évidemment la crise sanitaire pour ses conséquences humaines et matérielles aussi pour la réduction quantitative et qualitative des relations sociales en général. S’y ajoute un fort désabusement de l’opinion publique vis-à-vis des capacités des politiques à faire évoluer positivement les situations. Dans de nombreux domaines économiques, sociaux et sociétaux l’opinion publique ne croient plus les responsables.

 

D’après la dernière enquête de l’INSEE sur le moral des Français, on constate «une chute sans précédent du niveau de la satisfaction générale dans la vie», qui s’établit à 6,8 sur 10 au début de 2021, alors qu’elle atteignait 7,3 en 2019 et une moyenne comprise entre 7,1 et 7,5 sur la décennie 2010. C’est «le plus bas niveau déclaré depuis que la satisfaction dans la vie est mesurée, soit 2010», note l’Insee.

La satisfaction dans la vie dépend du nombre de privations, matérielles ou sociales (achats de biens, sorties culturelles, activités sportives…) déclarées: elle diminue à mesure que les frustrations augmentent. Point nouveau, la satisfaction en 2021 a chuté quel que soit le nombre de privations – même si la baisse a été moindre pour les personnes les plus en situation de privation que pour les autres.

Dit autrement, les personnes vivant seules et avec peu de besoins ont moins perdu en «satisfaction dans la vie» notamment parce qu’elles partaient de plus bas et avaient donc moins à perdre…

La persistance de la crise sanitaire depuis deux ans a eu un autre effet, mais bénéfique celui-là: la forte baisse du nombre de personnes recensées en situation de privation matérielle et sociale, quel que soit l’âge ou le type de ménage. Avec un taux début 2021 de 10,9 % de «pauvres», selon l’indicateur européen de privation (contre 13,1 % en 2020) et une moyenne supérieure à 12,1 % sur l’ensemble de la décennie 2010. La raison? Les confinements et restrictions, tant de circulation que de liberté, ont modifié les modes de vie et de consommation des Français qui ont, au final, individuellement et collectivement moins dépensé et plus épargné.

Moral des Français : chute sans précédent

Moral des Français : chute sans précédent

Une chute sans précédent qui accroît encore la tendance baissière de ces dernières années. En cause évidemment la crise sanitaire pour ses conséquences humaines et matérielles aussi pour la réduction quantitative et qualitative des relations sociales en général. S’y ajoute un fort désabusement de l’opinion publique vis-à-vis des capacités des politiques à faire évoluer positivement les situations. Dans de nombreux domaines économiques, sociaux et sociétaux l’opinion publique ne croient plus les responsables.

 

D’après la dernière enquête de l’INSEE sur le moral des Français, on constate «une chute sans précédent du niveau de la satisfaction générale dans la vie», qui s’établit à 6,8 sur 10 au début de 2021, alors qu’elle atteignait 7,3 en 2019 et une moyenne comprise entre 7,1 et 7,5 sur la décennie 2010. C’est «le plus bas niveau déclaré depuis que la satisfaction dans la vie est mesurée, soit 2010», note l’Insee.

La satisfaction dans la vie dépend du nombre de privations, matérielles ou sociales (achats de biens, sorties culturelles, activités sportives…) déclarées: elle diminue à mesure que les frustrations augmentent. Point nouveau, la satisfaction en 2021 a chuté quel que soit le nombre de privations – même si la baisse a été moindre pour les personnes les plus en situation de privation que pour les autres.

Dit autrement, les personnes vivant seules et avec peu de besoins ont moins perdu en «satisfaction dans la vie» notamment parce qu’elles partaient de plus bas et avaient donc moins à perdre…

La persistance de la crise sanitaire depuis deux ans a eu un autre effet, mais bénéfique celui-là: la forte baisse du nombre de personnes recensées en situation de privation matérielle et sociale, quel que soit l’âge ou le type de ménage. Avec un taux début 2021 de 10,9 % de «pauvres», selon l’indicateur européen de privation (contre 13,1 % en 2020) et une moyenne supérieure à 12,1 % sur l’ensemble de la décennie 2010. La raison? Les confinements et restrictions, tant de circulation que de liberté, ont modifié les modes de vie et de consommation des Français qui ont, au final, individuellement et collectivement moins dépensé et plus épargné.

Moral des patrons français : plus haut qu’ailleurs

 

Moral des patrons français : plus haut qu’ailleurs 

 

Les  dirigeants français sont optimistes. C’est ce qui ressort de l’étude CEO Survey 2022 r- Ey Parthenon  rapportée par le Figaro qui a interrogé 2140 chefs d’entreprise dont 100 en France à la tête d’entreprises dont 80 % ont un chiffre d’affaires supérieur à 500 millions de dollars

Contrairement aux habitudes, le moral des patrons français serait plus haut que celui des patrons étrangers en général. Ainsi, 67% des chefs d’entreprise français disent vouloir accélérer leurs investissements à l’étranger contre 45% des dirigeants mondiaux interrogés dans cette étude. Loin d’être effrayés par les risques géopolitiques et les attitudes protectionnistes de certains États, les patrons de l’hexagone jugent impératif de soutenir le développement de leurs filiales internationales. Ils sont d’ailleurs plus nombreux (70% contre 47% pour les dirigeants mondiaux) à déclarer trouver un soutien de la part de leurs investisseurs.

Un fait d’autant plus surprenant que, selon les précédentes études menées par Ey Parthenon, les Français sont «traditionnellement et notamment avant pandémie, moins optimistes que les dirigeants du reste du monde», indique, Bruno Bousquié responsable du cabinet de conseil en stratégie Ey Parthenon. Selon lui, cet état d’esprit s’explique notamment par le soutien mis en place par l’État depuis le début de la pandémie. Le «quoi qu’il en coûte» brandit par le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, «a bénéficié aux entreprises et rassuré les actionnaires et investisseurs», explique-t-il. Mais pas seulement. La pandémie et les difficultés économiques associées ont démontré la capacité des entreprises françaises à faire évoluer leur stratégie de développement pour répondre à cette situation de crise. Pour preuve, si pour un tiers des dirigeants le Covid-19 a provoqué une «disruption» dans leur industrie, chez les Français, elle est vue davantage comme un élément positif que négatif. C’est l’inverse pour les dirigeants internationaux.Si les dirigeants français ont le regard tourné vers l’après-pandémie, les enjeux environnementaux font désormais partie de leurs objectifs.

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