Archive pour le Tag 'hausse'

Budget vacances d’été en hausse

Budget vacances d’été en hausse

Hausse des intentions de départ cet été et budget moyen en forte progression mais une majorité des vacanciers prévoit de faire des sacrifices.

Selon une enquête CSA Research pour Cofidis, 63% d’entre eux envisagent de partir en vacances , un niveau jamais atteint depuis 2022. En parallèle, le budget moyen alloué à ces congés atteint 2035 euros, en hausse de 185 euros par rapport à 2024. Cette embellie reste cependant contrastée : la contrainte budgétaire reste vive, surtout pour les foyers les plus modestes. Les cadres supérieurs prévoient ainsi de dépenser 2477 euros en moyenne, contre 1512 euros pour les catégories populaires. Chez ces dernières, le budget n’avait pas été aussi bas depuis trois ans.

Par ailleurs, plus d’un Français sur deux (52%) ne partira pas, principalement par manque de moyens. Ils n’étaient que 36% à évoquer cet obstacle l’an dernier. Un constat cohérent avec celui des vacanciers : 87% perçoivent une hausse des prix sur les dépenses liées à leurs congés, et 69% prévoient de restreindre leur budget.

Sécurité sociale : une hausse des déficits de près de 50 % !

Sécurité sociale : une hausse des déficits de près de 50 % !

Le déficit a dérapé de 4,8 milliards d’euros en 2024 par rapport aux prévisions pour atteindre 15,3 milliards. Pour la Cour des comptes, le financement de la sécurité sociale va droit dans le mur, sauf si des «mesures vigoureuses de redressement» sont prises.

Le «trou de la sécu» n’est pas près de se résorber. Dans son dernier rapport sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale rendu public ce lundi, la Cour des comptes déplore une trajectoire «hors de contrôle» des comptes sociaux en 2024. Une dérive alarmante, marquée par un déficit croissant, une dette non maîtrisée et une efficacité encore insuffisante de certaines politiques publiques financées par la sécurité sociale. Un signal d’alerte pour inciter les pouvoirs publics à prendre rapidement des mesures de redressement, afin d’assurer la pérennité de notre modèle social.

«Ce fut une année sombre pour la sécurité sociale», juge Pierre Moscovici, le président de la Cour des comptes. En 2024, le déficit a atteint 15,3 milliards d’euros (0,4% du PIB), note la Cour, soit une hausse de 4,8 milliards (46%) par rapport à la prévision initiale. Cette dégradation, «inédite hors période de crise», s’explique par des recettes surestimées et des dépenses mal maîtrisées, majoritairement…

Insee : Nombre de non salariés en hausse

Insee : Nombre de non salariés en hausse

D’après l’INSEE, ont compté fin 2022 en France 4,4 millions de dirigeants d’entreprises, dont 4 millions de non-salariés, un dynamisme qui «reflète intégralement le succès du statut d’autoentrepreneur créé en 2009». Ainsi, hors agriculture, le nombre de non-salariés a augmenté de 72% entre fin 2008 et fin 2022 (+1.512.000 personnes).À noter toutefois la grande disparité des revenus avec notamment une moyenne de 670 € par mois pour les micros entrepreneurs.

Un dynamisme dû au succès du statut de microentrepreneur, nouvelle dénomination adoptée en 2014 du statut d’autoentrepreneur. Celui-ci rend très facile la création d’entreprise et permet de ne payer des cotisations sociales que si l’activité génère du chiffre d’affaires, rappelle l’Institut national de la Statistique.

Le nombre de non-salariés a notamment plus que doublé dans les services de transports dont les VTC (+147%), les services aux entreprises et services mixtes (+132%) et les services aux particuliers hors santé (+104%). Fin 2022, les microentrepreneurs représentaient 49% des non-salariés non agricoles, contre 25% en 2013. Dans les services de poste et courrier, qui inclut la livraison à domicile, ils représentent même 95% des effectifs non-salariés.

Les femmes sont minoritaires parmi les non-salariés: elles représentent 41% des indépendants non agricoles et 24% des effectifs agricoles, alors qu’elles forment 49% des salariés non agricoles et 26% des salariés agricoles. Tous secteurs confondus, les microentrepreneurs perçoivent en moyenne 670 euros par mois (en 2022) et les non-salariés «classiques» six fois plus: 4030 euros par mois en moyenne.

De 1480 à 11.840 euros par mois
Tandis que les revenus des microentrepreneurs sont limités par les plafonds imposés sur le chiffre d’affaires réalisé et varient peu d’un secteur à l’autre, la rémunération des indépendants «classiques» a un spectre beaucoup plus large. Cela va de 1480 euros par mois pour le commerce de détail hors magasin, 1530 euros pour les taxis et VTC, et 1630 euros pour les coiffeurs et esthéticiens, à 11.840 euros pour les médecins spécialisés, 10.300 euros pour les dentistes, en passant par les juristes et comptables (8510 euros), les pharmaciens (7900 euros) et les médecins généralistes (7840 euros).

Dans le non-salariat classique, à secteur identique, les femmes gagnent 31% de moins que les hommes. En 2022, 7% des jeunes entrant sur le marché du travail étaient à leur compte. Enfin, un quart des travailleurs dont l’emploi principal est indépendant déclarent qu’au moins 50% de leur activité des 12 derniers mois provient d’un seul de leurs partenaires économiques. Cette «domination économique», souligne l’Insee, est plus fréquente parmi les microentrepreneurs.

Seuil de pauvreté
Par ailleurs, l’Insee révèle qu’en 2020, les exploitants agricoles vivaient plus souvent sous le seuil de pauvreté que l’ensemble de la population. Leur niveau de vie s’élevait en moyenne à 27.500 euros en France métropolitaine, similaire à celui de l’ensemble de la population, mais avec une dispersion beaucoup plus forte : les 10% d’exploitants les plus aisés ont un niveau de vie au moins 4,5 fois plus élevé que celui des 10% les plus modestes – contre un ratio de 3,4 pour l’ensemble de la population. De plus, 17,7% des exploitants vivent sous le seuil de pauvreté, contre 14,4% de l’ensemble de la population.

Les exploitants de culture végétale ont un niveau de vie supérieur à celui des éleveurs : 31.300 euros pour les premiers, dont 14,3% sont sous le seuil de pauvreté, et 23.300 euros pour les seconds, dont 20,4% sont sous le seuil de pauvreté. Par ailleurs, le niveau de vie moyen des exploitants agricoles croît avec le niveau d’études, de 23.800 euros pour ceux ayant un niveau d’études inférieur ou égal au collège, à 37.800 euros pour ceux ayant un niveau supérieur à bac+3.

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Chômage France : légère hausse

Chômage France : légère hausse

Le nombre de chômeurs en France (hors Mayotte) a en effet augmenté de 64.000 par rapport au trimestre précédent, à 2,4 millions de personnes.

Le taux de chômage est quasi stable sur le trimestre (+0,1 point) et sur un an (-0,1 point), à 7,4 % de la population active. Il demeure légèrement supérieur à son précédent point bas depuis 1982 (7,1 % au quatrième trimestre 2022 et au premier trimestre 2023) et nettement au-dessous de son pic de mi-2015 (-3,1 points).

La quasi stagnation de la croissance devrait par contre favoriser la hausse du chômage dans les prochains mois comme le montre déjà l’augmentation des défaillances d’entreprises.

Economie-Défaillance d’entreprises : forte hausse

Economie-Défaillance d’entreprises : forte hausse

Depuis le début de l’année, près de 18 000 entreprises sont en défaillance selon le bilan trimestriel d’Altares. Un niveau hautement supérieur à la moyenne des années précédentes.

Entre janvier et mars 2025, 17 845 sociétés au total étaient en défaillances (procédures de sauvegarde, redressements et liquidations judiciaires), selon le premier bilan trimestriel d’Altares. Un nombre en hausse par rapport à la même période il y a un an, alourdi par les défaillances de grandes PME et ETI.

Le nombre de défaillances depuis le début de l’année 2025 est en hausse de 4,4 %, par rapport à la même période de 2024. Les trois premiers mois de l’année se clôturent sur un nombre bien plus élevé que les années précédentes (qui affichaient un chiffre de 15 300 en moyenne).

Surtout, le nombre de PME et ETI de plus de 100 salariés en défaillance a grimpé de 28 % par rapport à 2024, avec 64 structures en défaut. La conséquence : 71 400 emplois sont menacés. « Du jamais vu pour un premier trimestre depuis la crise financière de 2009. Il y en avait alors eu 73 700″, souligne Altarès.

Défaillance d’entreprises : forte hausse

Défaillance d’entreprises : forte hausse

Depuis le début de l’année, près de 18 000 entreprises sont en défaillance selon le bilan trimestriel d’Altares. Un niveau hautement supérieur à la moyenne des années précédentes.

Entre janvier et mars 2025, 17 845 sociétés au total étaient en défaillances (procédures de sauvegarde, redressements et liquidations judiciaires), selon le premier bilan trimestriel d’Altares. Un nombre en hausse par rapport à la même période il y a un an, alourdi par les défaillances de grandes PME et ETI.

Le nombre de défaillances depuis le début de l’année 2025 est en hausse de 4,4 %, par rapport à la même période de 2024. Les trois premiers mois de l’année se clôturent sur un nombre bien plus élevé que les années précédentes (qui affichaient un chiffre de 15 300 en moyenne).

Surtout, le nombre de PME et ETI de plus de 100 salariés en défaillance a grimpé de 28 % par rapport à 2024, avec 64 structures en défaut. La conséquence : 71 400 emplois sont menacés. « Du jamais vu pour un premier trimestre depuis la crise financière de 2009. Il y en avait alors eu 73 700″, souligne Altarès.

Social: Le nombre d’arrêts de travail toujours en hausse

Social: Le nombre d’arrêts de travail toujours en hausse

Preuve sans doute de la crise des relations à la valeur travail ( il n’y a pas eu d’épidémie particulière l’année dernière) en 2024, «le nombre de jours d’arrêts de travail est resté supérieur à 12% au niveau tendanciel des années pré-Covid», selon France Assureurs. Notons qu’il faut aussi prendre en compte l’archaïsme des relations de travail dans certaines entreprises.

Lorsqu’un salarié est en arrêt, l’Assurance-maladie lui verse 50% de son salaire sous forme d’indemnité journalière, complétée par l’employeur pour atteindre 90% du salaire brut. Plus les arrêts de travail sont nombreux, plus les cotisations envers les institutions de prévoyance qui versent ces indemnités sont donc importantes. Selon France Assureurs, « le nombre de jours d’arrêt de travail est resté supérieur de 12% au niveau tendanciel des années pré-Covid » en 2024. Un niveau d’absentéisme élevé qui se traduit par une hausse de 10% des prestations de santé et de 24% de prévoyance.

«Contribution spécifique» pour les mutuelles
Cette augmentation des coûts « s’explique par les effets du vieillissement de la population, du 100% santé, de la fraude mais aussi de la dérive des arrêts de travail », estime France Assureurs.

Popularité Bayrou en hausse

Popularité Bayrou en hausse

 

Le Premier ministre François Bayrou bénéficie d’un sursaut de popularité, avec 38% d’opinions favorables dans le baromètre mensuel de l’Ifop٭ pour le Journal du Dimanche, et 27% dans celui de l’Ipsos pour La Tribune Dimanche. Le chef du gouvernement gagne quatre points dans l’enquête Ifop par rapport à janvier, en grappillant notamment 16 points chez les artisans et commerçants et 13 chez les chefs d’entreprise.

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De son côté, le président de la République Emmanuel Macron se renforce un peu avec une cote de satisfaction de 23%, deux points de plus qu’à son plus bas historique de janvier côté Ifop, et de 22%, soit un point de mieux que le mois précédent, côté Ipsos.

Selon les Français sondés par Ipsos, les deux meilleurs ministres du gouvernement sont Bruno Retailleau (pour 36% d’entre eux) et Gérald Darmanin (35%), qui occupent respectivement l’Intérieur et la Justice. Ce duo régalien voit aussi sa cote monter quand il s’agit de les placer dans la course pour 2027: 29% (+4) des personnes interrogées seraient satisfaites de voir M. Retailleau, qui vient de se déclarer pour la présidence de LR, se hisser à l’Élysée, et 27% (+4) pour M. Darmanin.

Marine Le Pen (34%), Jordan Bardella (33%) et Edouard Philippe (28%) complètent le quinté de tête.

 

Hausse des situations de surendettement

Hausse des situations de surendettement

 

Le surendettement des ménages grimpe encore un peu, avec une dette globale de 4,5 milliards d’euros en 2024, soit 6% de plus que l’année précédente. La Banque de France dénombre aujourd’hui 600 000 personnes surendettées.

La montée du chômage et surtout l’inflation sont sans doute les causes principales de cette situation, car la hausse des prix a déstabilisé beaucoup de foyers déjà fragiles, notamment les femmes, les familles monoparentales, les personnes vivant seules et locataires dans l’immense majorité. Ce sont les ouvriers, les employés et évidemment les chômeurs qui sont les plus touchés. Et trois régions sont particulièrement concernées : les Hauts-de-France, la Normandie, la Bourgogne-Franche-Comté. L’Ile-de-France et l’ouest du pays sont moins touchés.

Ce qui pèse de plus en plus lourd, ce sont les crédits à la consommation. On les retrouve dans trois quarts des dossiers de surendettement, pour un total qui frôle les deux milliards d’euros d’encours. En moyenne, ils représentent 43% des dettes des particuliers concernés. Les crédits immobiliers, eux, comptent pour 26% des dettes, en légère diminution dans le cadre d’un marché atone.

Cela peut sembler étonnant, mais la Banque de France constate par ailleurs que les dettes de charges courantes n’augmentent pas. Il s’agit des dépenses liées au logement, au transport, à l’énergie, aux communications, à la santé et même à l’alimentation.

Chômage: en hausse

Chômage:  en hausse

Fort logiquement la croissance étant en panne, le chômage reprend au quatrième trimestre. Le problème c’est que l’année 2025 risque de s’inscrire dans cette stagnation de l’économie.

Au quatrième trimestre 2024, le taux de chômage vient de connaître sa plus forte hausse en 10 ans, si on exclut la période du Covid-19. Les chiffres publiés par le ministère du Travail élèvent à près de 4% (3,9%) le nombre de demandeurs d’emplois en catégorie A en un trimestre, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas du tout travaillé pendant cette période. En un trimestre, cela représente 117 000 chômeurs de plus en France métropolitaine (hors Mayotte).

Bien loin d’être une hausse exceptionnelle, un cas isolé, l’augmentation du taux de chômage risque de se poursuivre en 2025.  À cela s’ajoute une vague sans précédent de défaillances d’entreprises, alors que plus de 68 000 procédures de redressements ou de liquidations judiciaires ont été enregistrées en 2024. Une série noire qui devrait donc se poursuivre en 2025, alors que les difficultés de certaines grandes entreprises, qui portent parfois tout un secteur, mettent déjà en péril tout un tissu économique local. L’effet domino sur les PME et les sous-traitants semblent, de fait, inévitable.

L’absence de budget, et l’instabilité politique inquiètent par ailleurs les chefs d’entreprise, qui embauchent de moins en moins, ou suspendent leur campagne de recrutement. De quoi faire craindre encore une fois une nouvelle remontée du taux de chômage. L’Insee table pour sa part sur un taux à 7,6% au deuxième trimestre de cette année 2025, et les économistes de l’OFCE 8% fin 2025.

Social–Chômage en hausse

Social–Chômage en hausse

Fort logiquement la croissance étant en panne, le chômage reprend au quatrième trimestre. Le problème c’est que l’année 2025 risque de s’inscrire dans cette stagnation de l’économie.

Au quatrième trimestre 2024, le taux de chômage vient de connaître sa plus forte hausse en 10 ans, si on exclut la période du Covid-19. Les chiffres publiés par le ministère du Travail élèvent à près de 4% (3,9%) le nombre de demandeurs d’emplois en catégorie A en un trimestre, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas du tout travaillé pendant cette période. En un trimestre, cela représente 117 000 chômeurs de plus en France métropolitaine (hors Mayotte).

Bien loin d’être une hausse exceptionnelle, un cas isolé, l’augmentation du taux de chômage risque de se poursuivre en 2025.  À cela s’ajoute une vague sans précédent de défaillances d’entreprises, alors que plus de 68 000 procédures de redressements ou de liquidations judiciaires ont été enregistrées en 2024. Une série noire qui devrait donc se poursuivre en 2025, alors que les difficultés de certaines grandes entreprises, qui portent parfois tout un secteur, mettent déjà en péril tout un tissu économique local. L’effet domino sur les PME et les sous-traitants semblent, de fait, inévitable.

L’absence de budget, et l’instabilité politique inquiètent par ailleurs les chefs d’entreprise, qui embauchent de moins en moins, ou suspendent leur campagne de recrutement. De quoi faire craindre encore une fois une nouvelle remontée du taux de chômage. L’Insee table pour sa part sur un taux à 7,6% au deuxième trimestre de cette année 2025, et les économistes de l’OFCE 8% fin 2025.

Chômage en hausse et ce n’est pas fini

Chômage en hausse et ce n’est pas fini

Fort logiquement la croissance étant en panne, le chômage reprend au quatrième trimestre. Le problème c’est que l’année 2025 risque de s’inscrire dans cette stagnation de l’économie.

Au quatrième trimestre 2024, le taux de chômage vient de connaître sa plus forte hausse en 10 ans, si on exclut la période du Covid-19. Les chiffres publiés par le ministère du Travail élèvent à près de 4% (3,9%) le nombre de demandeurs d’emplois en catégorie A en un trimestre, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas du tout travaillé pendant cette période. En un trimestre, cela représente 117 000 chômeurs de plus en France métropolitaine (hors Mayotte).

 

 

Bien loin d’être une hausse exceptionnelle, un cas isolé, l’augmentation du taux de chômage risque de se poursuivre en 2025.  À cela s’ajoute une vague sans précédent de défaillances d’entreprises, alors que plus de 68 000 procédures de redressements ou de liquidations judiciaires ont été enregistrées en 2024. Une série noire qui devrait donc se poursuivre en 2025, alors que les difficultés de certaines grandes entreprises, qui portent parfois tout un secteur, mettent déjà en péril tout un tissu économique local. L’effet domino sur les PME et les sous-traitants semblent, de fait, inévitable.

L’absence de budget, et l’instabilité politique inquiètent par ailleurs les chefs d’entreprise, qui embauchent de moins en moins, ou suspendent leur campagne de recrutement. De quoi faire craindre encore une fois une nouvelle remontée du taux de chômage. L’Insee table pour sa part sur un taux à 7,6% au deuxième trimestre de cette année 2025, et les économistes de l’OFCE 8% fin 2025.

 

 

 

 

 

 

Légère révision à la hausse de la croissance mondiale

Légère révision à la hausse de la croissance mondiale

 

Le Fonds monétaire international (FMI) a publié vendredi ses prévisions de croissances mises à jour pour l’économie mondiale, désormais attendue à 3,3% pour 2025 (révision de +0,1 point de pourcentage), mais avec des divergences de plus en plus marquées entre les pays et régions. Des prévisions toutefois à relativiser compte tenu des mesures draconiennes que pourrait prendre Trump en matière de droits de douane et de contraintes sur le commerce international sans parler du contexte géostratégique qui pourrait affecter une croissance déjà faible.

À l’occasion de la publication de l’actualisation de son rapport sur l’économie mondiale (WEO), le Fonds a également souligné l’existence de risques persistants, de résurgence de l’inflation aux États-Unis par exemple mais aussi de déflation dans d’autres pays tels que la Chine, ainsi que les conséquences de l’instabilité politique dans plus plusieurs économies majeures.

Parmi les principales économies mondiales, les États-Unis connaissant la révision la plus marquée (+0,5 point de pourcentage), avec une croissance désormais attendue à 2,7% cette année, augmentant de fait l’écart avec les autres économies avancées, en particulier l’Union européenne.

Gaz à effet de serre France : la hausse

Gaz à effet de serre France : la hausse

 

Selon les données publiées ce vendredi par le Citepa, les émissions de gaz à effet de serre en France ont augmenté de 0,5% au troisième trimestre 2024 par rapport à la même période en 2023. Cette progression tranche avec les baisses enregistrées au premier (-5%) et au deuxième (-2,2%) trimestres. Sur les neuf premiers mois de 2024, la tendance reste cependant à la baisse avec une réduction de 2,4%, hors puits de carbone. Toutefois, cette diminution est bien moins marquée qu’en 2023, où la baisse atteignait 6% sur la même période. « La tendance sur douze mois glissants actuellement est de -3,1% (année mobile) », relativise le Citepa, dont les données restent pour l’heure provisoires.

 

En France, l’augmentation des émissions au troisième trimestre 2024 trouve principalement son origine dans les secteurs du bâtiment et des transports. Le bâtiment enregistre une hausse notable de 11,8%, et plus particulièrement « la hausse des émissions associée au chauffage des bâtiments résidentiels et tertiaires au mois de septembre 2024 ».

 

 

L’année 2024 s’est imposée comme la plus chaude jamais enregistrée, selon le réseau de scientifiques World Weather Attribution (WWA). Cette chaleur exceptionnelle a alimenté cyclones, vagues de chaleur et autres phénomènes météorologiques extrêmes à travers le monde.

Friederike Otto, climatologue au WWA, résume la situation : « Les impacts du réchauffement causé par les énergies fossiles n’ont jamais été aussi clairs ni aussi dévastateurs qu’en 2024. Nous vivons dans une nouvelle ère dangereuse. »

 

Chômage France : en hausse

 

Chômage France : en hausse

Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à France Travail en catégorie A a progressé de 1,43% en novembre par rapport au mois précédent, selon les chiffres publiés jeudi 26 décembre par le ministère du Travail. Cette catégorie, qui correspond aux personnes ne déclarant aucune activité, compte ainsi 44 400 inscrits en plus qu’en octobre.

En incluant l’activité réduite (catégories B et C), le nombre de demandeurs d’emploi en France (hors Mayotte) augmente de 0,43% et s’établit à 5,487 millions, selon la direction des statistiques du ministère du Travail (Dares). Enfin, la part des demandeurs d’emploi de longue durée (inscrits depuis un an ou plus) est de 43,3%.
Dans sa dernière note de conjoncture mi-décembre, l’Insee avait quant  estimé que le taux de chômage (mesuré au sens du Bureau international du travail et permettant des comparaisons internationales) devrait progresser, passant de 7,4% actuellement à 7,6% de la population active d’ici à la mi-2025.

Image d’illustration de comversation
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