Archive pour le Tag 'hausse'

Popularité Bayrou en hausse

Popularité Bayrou en hausse

 

Le Premier ministre François Bayrou bénéficie d’un sursaut de popularité, avec 38% d’opinions favorables dans le baromètre mensuel de l’Ifop٭ pour le Journal du Dimanche, et 27% dans celui de l’Ipsos pour La Tribune Dimanche. Le chef du gouvernement gagne quatre points dans l’enquête Ifop par rapport à janvier, en grappillant notamment 16 points chez les artisans et commerçants et 13 chez les chefs d’entreprise.

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De son côté, le président de la République Emmanuel Macron se renforce un peu avec une cote de satisfaction de 23%, deux points de plus qu’à son plus bas historique de janvier côté Ifop, et de 22%, soit un point de mieux que le mois précédent, côté Ipsos.

Selon les Français sondés par Ipsos, les deux meilleurs ministres du gouvernement sont Bruno Retailleau (pour 36% d’entre eux) et Gérald Darmanin (35%), qui occupent respectivement l’Intérieur et la Justice. Ce duo régalien voit aussi sa cote monter quand il s’agit de les placer dans la course pour 2027: 29% (+4) des personnes interrogées seraient satisfaites de voir M. Retailleau, qui vient de se déclarer pour la présidence de LR, se hisser à l’Élysée, et 27% (+4) pour M. Darmanin.

Marine Le Pen (34%), Jordan Bardella (33%) et Edouard Philippe (28%) complètent le quinté de tête.

 

Hausse des situations de surendettement

Hausse des situations de surendettement

 

Le surendettement des ménages grimpe encore un peu, avec une dette globale de 4,5 milliards d’euros en 2024, soit 6% de plus que l’année précédente. La Banque de France dénombre aujourd’hui 600 000 personnes surendettées.

La montée du chômage et surtout l’inflation sont sans doute les causes principales de cette situation, car la hausse des prix a déstabilisé beaucoup de foyers déjà fragiles, notamment les femmes, les familles monoparentales, les personnes vivant seules et locataires dans l’immense majorité. Ce sont les ouvriers, les employés et évidemment les chômeurs qui sont les plus touchés. Et trois régions sont particulièrement concernées : les Hauts-de-France, la Normandie, la Bourgogne-Franche-Comté. L’Ile-de-France et l’ouest du pays sont moins touchés.

Ce qui pèse de plus en plus lourd, ce sont les crédits à la consommation. On les retrouve dans trois quarts des dossiers de surendettement, pour un total qui frôle les deux milliards d’euros d’encours. En moyenne, ils représentent 43% des dettes des particuliers concernés. Les crédits immobiliers, eux, comptent pour 26% des dettes, en légère diminution dans le cadre d’un marché atone.

Cela peut sembler étonnant, mais la Banque de France constate par ailleurs que les dettes de charges courantes n’augmentent pas. Il s’agit des dépenses liées au logement, au transport, à l’énergie, aux communications, à la santé et même à l’alimentation.

Chômage: en hausse

Chômage:  en hausse

Fort logiquement la croissance étant en panne, le chômage reprend au quatrième trimestre. Le problème c’est que l’année 2025 risque de s’inscrire dans cette stagnation de l’économie.

Au quatrième trimestre 2024, le taux de chômage vient de connaître sa plus forte hausse en 10 ans, si on exclut la période du Covid-19. Les chiffres publiés par le ministère du Travail élèvent à près de 4% (3,9%) le nombre de demandeurs d’emplois en catégorie A en un trimestre, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas du tout travaillé pendant cette période. En un trimestre, cela représente 117 000 chômeurs de plus en France métropolitaine (hors Mayotte).

Bien loin d’être une hausse exceptionnelle, un cas isolé, l’augmentation du taux de chômage risque de se poursuivre en 2025.  À cela s’ajoute une vague sans précédent de défaillances d’entreprises, alors que plus de 68 000 procédures de redressements ou de liquidations judiciaires ont été enregistrées en 2024. Une série noire qui devrait donc se poursuivre en 2025, alors que les difficultés de certaines grandes entreprises, qui portent parfois tout un secteur, mettent déjà en péril tout un tissu économique local. L’effet domino sur les PME et les sous-traitants semblent, de fait, inévitable.

L’absence de budget, et l’instabilité politique inquiètent par ailleurs les chefs d’entreprise, qui embauchent de moins en moins, ou suspendent leur campagne de recrutement. De quoi faire craindre encore une fois une nouvelle remontée du taux de chômage. L’Insee table pour sa part sur un taux à 7,6% au deuxième trimestre de cette année 2025, et les économistes de l’OFCE 8% fin 2025.

Social–Chômage en hausse

Social–Chômage en hausse

Fort logiquement la croissance étant en panne, le chômage reprend au quatrième trimestre. Le problème c’est que l’année 2025 risque de s’inscrire dans cette stagnation de l’économie.

Au quatrième trimestre 2024, le taux de chômage vient de connaître sa plus forte hausse en 10 ans, si on exclut la période du Covid-19. Les chiffres publiés par le ministère du Travail élèvent à près de 4% (3,9%) le nombre de demandeurs d’emplois en catégorie A en un trimestre, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas du tout travaillé pendant cette période. En un trimestre, cela représente 117 000 chômeurs de plus en France métropolitaine (hors Mayotte).

Bien loin d’être une hausse exceptionnelle, un cas isolé, l’augmentation du taux de chômage risque de se poursuivre en 2025.  À cela s’ajoute une vague sans précédent de défaillances d’entreprises, alors que plus de 68 000 procédures de redressements ou de liquidations judiciaires ont été enregistrées en 2024. Une série noire qui devrait donc se poursuivre en 2025, alors que les difficultés de certaines grandes entreprises, qui portent parfois tout un secteur, mettent déjà en péril tout un tissu économique local. L’effet domino sur les PME et les sous-traitants semblent, de fait, inévitable.

L’absence de budget, et l’instabilité politique inquiètent par ailleurs les chefs d’entreprise, qui embauchent de moins en moins, ou suspendent leur campagne de recrutement. De quoi faire craindre encore une fois une nouvelle remontée du taux de chômage. L’Insee table pour sa part sur un taux à 7,6% au deuxième trimestre de cette année 2025, et les économistes de l’OFCE 8% fin 2025.

Chômage en hausse et ce n’est pas fini

Chômage en hausse et ce n’est pas fini

Fort logiquement la croissance étant en panne, le chômage reprend au quatrième trimestre. Le problème c’est que l’année 2025 risque de s’inscrire dans cette stagnation de l’économie.

Au quatrième trimestre 2024, le taux de chômage vient de connaître sa plus forte hausse en 10 ans, si on exclut la période du Covid-19. Les chiffres publiés par le ministère du Travail élèvent à près de 4% (3,9%) le nombre de demandeurs d’emplois en catégorie A en un trimestre, c’est-à-dire ceux qui n’ont pas du tout travaillé pendant cette période. En un trimestre, cela représente 117 000 chômeurs de plus en France métropolitaine (hors Mayotte).

 

 

Bien loin d’être une hausse exceptionnelle, un cas isolé, l’augmentation du taux de chômage risque de se poursuivre en 2025.  À cela s’ajoute une vague sans précédent de défaillances d’entreprises, alors que plus de 68 000 procédures de redressements ou de liquidations judiciaires ont été enregistrées en 2024. Une série noire qui devrait donc se poursuivre en 2025, alors que les difficultés de certaines grandes entreprises, qui portent parfois tout un secteur, mettent déjà en péril tout un tissu économique local. L’effet domino sur les PME et les sous-traitants semblent, de fait, inévitable.

L’absence de budget, et l’instabilité politique inquiètent par ailleurs les chefs d’entreprise, qui embauchent de moins en moins, ou suspendent leur campagne de recrutement. De quoi faire craindre encore une fois une nouvelle remontée du taux de chômage. L’Insee table pour sa part sur un taux à 7,6% au deuxième trimestre de cette année 2025, et les économistes de l’OFCE 8% fin 2025.

 

 

 

 

 

 

Légère révision à la hausse de la croissance mondiale

Légère révision à la hausse de la croissance mondiale

 

Le Fonds monétaire international (FMI) a publié vendredi ses prévisions de croissances mises à jour pour l’économie mondiale, désormais attendue à 3,3% pour 2025 (révision de +0,1 point de pourcentage), mais avec des divergences de plus en plus marquées entre les pays et régions. Des prévisions toutefois à relativiser compte tenu des mesures draconiennes que pourrait prendre Trump en matière de droits de douane et de contraintes sur le commerce international sans parler du contexte géostratégique qui pourrait affecter une croissance déjà faible.

À l’occasion de la publication de l’actualisation de son rapport sur l’économie mondiale (WEO), le Fonds a également souligné l’existence de risques persistants, de résurgence de l’inflation aux États-Unis par exemple mais aussi de déflation dans d’autres pays tels que la Chine, ainsi que les conséquences de l’instabilité politique dans plus plusieurs économies majeures.

Parmi les principales économies mondiales, les États-Unis connaissant la révision la plus marquée (+0,5 point de pourcentage), avec une croissance désormais attendue à 2,7% cette année, augmentant de fait l’écart avec les autres économies avancées, en particulier l’Union européenne.

Gaz à effet de serre France : la hausse

Gaz à effet de serre France : la hausse

 

Selon les données publiées ce vendredi par le Citepa, les émissions de gaz à effet de serre en France ont augmenté de 0,5% au troisième trimestre 2024 par rapport à la même période en 2023. Cette progression tranche avec les baisses enregistrées au premier (-5%) et au deuxième (-2,2%) trimestres. Sur les neuf premiers mois de 2024, la tendance reste cependant à la baisse avec une réduction de 2,4%, hors puits de carbone. Toutefois, cette diminution est bien moins marquée qu’en 2023, où la baisse atteignait 6% sur la même période. « La tendance sur douze mois glissants actuellement est de -3,1% (année mobile) », relativise le Citepa, dont les données restent pour l’heure provisoires.

 

En France, l’augmentation des émissions au troisième trimestre 2024 trouve principalement son origine dans les secteurs du bâtiment et des transports. Le bâtiment enregistre une hausse notable de 11,8%, et plus particulièrement « la hausse des émissions associée au chauffage des bâtiments résidentiels et tertiaires au mois de septembre 2024 ».

 

 

L’année 2024 s’est imposée comme la plus chaude jamais enregistrée, selon le réseau de scientifiques World Weather Attribution (WWA). Cette chaleur exceptionnelle a alimenté cyclones, vagues de chaleur et autres phénomènes météorologiques extrêmes à travers le monde.

Friederike Otto, climatologue au WWA, résume la situation : « Les impacts du réchauffement causé par les énergies fossiles n’ont jamais été aussi clairs ni aussi dévastateurs qu’en 2024. Nous vivons dans une nouvelle ère dangereuse. »

 

Chômage France : en hausse

 

Chômage France : en hausse

Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à France Travail en catégorie A a progressé de 1,43% en novembre par rapport au mois précédent, selon les chiffres publiés jeudi 26 décembre par le ministère du Travail. Cette catégorie, qui correspond aux personnes ne déclarant aucune activité, compte ainsi 44 400 inscrits en plus qu’en octobre.

En incluant l’activité réduite (catégories B et C), le nombre de demandeurs d’emploi en France (hors Mayotte) augmente de 0,43% et s’établit à 5,487 millions, selon la direction des statistiques du ministère du Travail (Dares). Enfin, la part des demandeurs d’emploi de longue durée (inscrits depuis un an ou plus) est de 43,3%.
Dans sa dernière note de conjoncture mi-décembre, l’Insee avait quant  estimé que le taux de chômage (mesuré au sens du Bureau international du travail et permettant des comparaisons internationales) devrait progresser, passant de 7,4% actuellement à 7,6% de la population active d’ici à la mi-2025.

Image d’illustration de comversation
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Épargne : livrer A toujours en hausse

Épargne : livrer A toujours en hausse

 

Paradoxalement, plus les incertitudes se développent au plan économique et social et plus ceux qui peuvent épargnent davantage. Ainsi, les  Livrets A se sont garnis de 400 millions d’euros le mois dernier et les Livrets de développement durable et solidaire (LDDS) de 160 millions d’euros, selon les données publiées ce lundi par la Caisse des dépôts.

Au total, les Livrets A et LDDS se sont étoffés de 17,5 milliards d’euros depuis le début de l’année. Le Livret d’épargne populaire (LEP), réservé aux épargnants modestes, a quant à lui gonflé de 340 millions d’euros le mois dernier. Son encours a atteint fin novembre un nouveau record, à 78,1 milliards d’euros.

Le taux du Livret A, aussi valable pour le LDDS, est fixé en fonction de la hausse des prix et des taux interbancaires – les taux auxquels les banques s’échangent de l’argent à court terme – au cours des six derniers mois. Aujourd’hui à 3%, ce taux est révisé deux fois l’an, mi-janvier (pour une application le 1er février) et mi-juillet (pour une application le 1er août).

 

Dollar en hausse

Dollar en hausse

Les divergences de politique monétaire et l’évolution des croissances favorisent en  ce moment le dollar par rapport aux autres monnaies notamment vis à vis  l’euro. La banque centrale européenne par exemple est contrainte de desserrer sa politique monétaire pour soutenir une croissance relativement faiblarde : moins de 1 % sur un an pour  2,5 % aux États-Unis. À l’inverse les États-Unis peuvent continuer leur politique monétaire plus rigoureuse et attirer en même temps les capitaux compte tenu de la différence des taux.

Conséquence, l’écart entre les taux américains à 10 ans et leur équivalent au Canada ou en Chine est au plus haut jamais observé, tandis que le différentiel entre rendements américain et allemand n’avait plus été si important depuis cinq ans. «Les politiques monétaires continuent à diverger, ce qui devrait permettre au dollar de poursuivre son élan loin en 2025», selon les analystes de Brown Brothers Harriman.

 

Economie -Croissance États-Unis : nouvelle hausse

Economie -Croissance États-Unis : nouvelle hausse

Alors que l’Europe se débat avec une croissance très molle voire craint maintenant la stagnation voire la récession, l’activité économique aux États-Unis continus de surprendre.
Alors qu’il tablait jusqu’ici sur une croissance de 2,8% au troisième trimestre, le département du Commerce américain a annoncé, ce jeudi, que le PIB a augmenté de 3,1% entre juillet et septembre, en rythme actualisé. Dans l’union européenne se contentera d’un inférieure à 1 %

A titre de comparaison, pour la zone euro, la Banque centrale européenne prévoit une croissance de 0,7 % en 2024, puis de 1,1 % en 2025, 1,4 % en 2026 et 1,3 % en 2027.

Dans le détail, le ministère justifie cette ultime révision par « une révision à la hausse des exportations et des dépenses de consommation », alors que les investissements privés sont partiellement révisés à la baisse. La progression des dépenses de consommation des ménages est en effet ressortie à 3,7%, contre +3,5% annoncé initialement.
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Cette bonne dynamique pourra-t-elle se poursuivre ? La première estimation de la croissance américaine pour le quatrième trimestre et l’ensemble de l’année 2024 sera publiée le 30 janvier. Alors qu’elle a baissé une nouvelle fois ses taux directeurs de 0,25 point de pourcentage, jeudi, la Réserve fédérale américaine en a profité pour annoncer qu’elle s’attend donc à une croissance américaine à 2,1% en 2025, soit une estimation légèrement plus élevée qu’en septembre.

Croissance États-Unis : nouvelle hausse

Croissance États-Unis : nouvelle hausse

Alors que l’Europe se débat avec une croissance très molle voire craint maintenant la stagnation voir la récession, l’activité économique aux États-Unis continus de surprendre.
Alors qu’il tablait jusqu’ici sur une croissance de 2,8% au troisième trimestre, le département du Commerce américain a annoncé, ce jeudi, que le PIB a augmenté de 3,1% entre juillet et septembre, en rythme actualisé.Dans l’union européenne se contentera d’un inférieure à 1 %

A titre de comparaison, pour la zone euro, la Banque centrale européenne prévoit une croissance de 0,7 % en 2024, puis de 1,1 % en 2025, 1,4 % en 2026 et 1,3 % en 2027.

Dans le détail, le ministère justifie cette ultime révision par « une révision à la hausse des exportations et des dépenses de consommation », alors que les investissements privés sont partiellement révisés à la baisse. La progression des dépenses de consommation des ménages est en effet ressortie à 3,7%, contre +3,5% annoncé initialement.
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Cette bonne dynamique pourra-t-elle se poursuivre ? La première estimation de la croissance américaine pour le quatrième trimestre et l’ensemble de l’année 2024 sera publiée le 30 janvier. Alors qu’elle a baissé une nouvelle fois ses taux directeurs de 0,25 point de pourcentage, jeudi, la Réserve fédérale américaine en a profité pour annoncer qu’elle s’attend donc à une croissance américaine à 2,1% en 2025, soit une estimation légèrement plus élevée qu’en septembre.

 

Climat France : Les conséquences d’une hausse de 4° de la température

Climat France : Les conséquences d’une hausse de 4° de la température

La France avec quatre degrés de plus? Météo-France s’est posé la question dans un rapport publié ce mardi 10 décembre, avec des données aux horizons 2030, 2050 et 2100.

Pour illustrer leurs résultats, les scientifiques ont estimé que « dans une France à +4°C, la température moyenne annuelle sur la France pourrait atteindre 14,2°C, contre 10,9°C, avec des pointes à 15°C sur l’agglomération parisienne », c’est-à-dire le climat actuel de la région de Montpellier. Les journées de très fortes températures, c’est-à-dire au-dessus de 35°C, devraient se multiplier.

Concernant les précipitations, Météo-France se montre bien plus prudent, jugeant que son évolution « présente des incertitudes importantes. »

« À l’échelle de la France, le cumul de précipitations est stable mais les précipitations utiles (différence entre précipitation et évaporation) vont diminuer sous l’effet de la hausse des températures »‘, s’avancent les prévisionnistes.

Mais ces derniers estiment tout de même que les pluies seront plus importantes en hiver, de l’ordre de +15 % en (…) France. »

Ces enseignements sont la déclinaison de simulations basées sur la « Trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au changement climatique » (TRACC), un scénario retenu par le gouvernement qui doit s’imposer à toutes les politiques publiques. Cette TRACC impose à la France de se préparer, quels que soient ses efforts de réduction de gaz à effet de serre, à ce que le climat en métropole se réchauffe de +2°C en 2030, +2,7°C en 2050 et +4°C en 2100 par rapport à l’époque préindustrielle.

 

 

Hausse des retraites de 2,2% en janvier

Hausse des retraites  de 2,2% en janvier

Selon le  ministre chargé du Budget et des Comptes publics, la revalorisation des retraites de base se portera à 2,2% le 1er janvier prochain. En effet, après la chute du gouvernement Barnier, la règle par défaut s’appliquera en l’absence de Budget de la Sécurité social : les retraites seront donc bien indexées sur l’inflation. Concrètement, cette hausse de 2,2% représente une augmentation de 18 euros pour la pension moyenne de 814 euros mensuels bruts. Cette revalorisation prendra effet dès le versement des pensions de janvier, c’est-à-dire en réalité début février.

 

Pétrole : Légère hausse

Pétrole : Légère hausse

Une légère hausse en raison des incertitudes géo politiques et de son influence sur la demande. Les cours du pétrole se sont cabrés mardi après que plusieurs médias ont fait état d’un possible nouveau report de l’augmentation de production de l’alliance Opep+ pour tenir compte d’un risque de déséquilibre du marché en 2025. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a gagné 2,52%, pour clôturer à 73,62 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain avec échéance en janvier a pris 2,70%, à 69,94 dollars.

Selon l’agence Bloomberg, les pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs alliés de l’accord Opep+ s’orientent vers un nouveau décalage du calendrier d’accélération de leur production. Après avoir déjà reporté le début de la hausse d’octobre à décembre, puis à janvier, le cartel s’apprêterait à le repousser à début avril. «Il semble qu’on va avoir un accord qui va nous emmener jusqu’à la fin du trimestre», le premier de 2025, a commenté Phil Flynn, de Price Futures Group, «et cela a clairement soutenu le marché.»

 

Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), «même si les coupes de production de l’Opep+ étaient maintenues, l’offre mondiale dépasserait la demande de plus d’un million de barils par jour l’an prochain», a indiqué l’organisation dans son dernier rapport mensuel. Pour Phil Flynn, les prix de l’or noir ont aussi été stimulés par ce qui apparaît comme des entorses au cessez-le-feu au Liban, à savoir des frappes aériennes israéliennes et des tirs de mortier du mouvement pro-iranien Hezbollah. Après être passé au-dessus du seuil symbolique de 70 dollars le baril, le WTI s’est néanmoins replié légèrement en-dessous avant la clôture. «Il y a eu un petit peu de scepticisme et quelques prises de bénéfices», selon Phil Flynn. Les opérateurs «veulent voir les chiffres de stocks américains» de pétrole, dont l’état sera publié mercredi, «avant de se lancer à l’achat. Mais si on parvient à clôturer au-delà de 70 dollars, on va pouvoir commencer à remonter.»

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