Archive pour le Tag 'seulement'

Sondage popularité : seulement 28 % pour Michel Barnier et 22 % pour Macron

Sondage popularité : seulement 28 % pour Michel Barnier et 22 % pour Macron

 

D’après un sondage Elabe,  seuls 28% des Français accordent leur confiance au nouveau premier ministre et 22 % pour Macron encore en baisse.

Selon le baromètre réalisé pour nos confrères des Échos, qui mesure la «confiance» envers l’exécutif «pour affronter les principaux problèmes qui se posent au pays», il s’agit du plus faible score du chef de l’Etat depuis son accession à l’Elysée en 2017.

Au classement des personnalités, Edouard Philippe retrouve la première place (41%, -2 points), devant Gabriel Attal, rétrogradé deuxième en accusant une forte baisse (39%, -5 points) et Jordan Bardella. Derrière Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy, Gérald Darmanin passe de la cinquième à la sixième place à 28%, une baisse de six points.

Sondage fiscalité : seulement 30 % pour des impôts supplémentaires

Sondage fiscalité : seulement 30 % pour des impôts supplémentaires

 

Selon un sondage du cabinet YouGov réalisé pour le HuffPost, seul un tiers des Français pensent que le gouvernement devrait augmenter les impôts pour renflouer les caisses de l’État. Et seuls 8% d’entre eux sont prêts à subir une augmentation de l’impôt sur tous les ménages. En revanche, 67% des Français se déclarent pour la création d’un impôt sur les ménages les plus riches pour financer la baisse du déficit public.

 

Inflation: Seulement 1,2 % sur un an ?

Inflation: Seulement 1,2 % sur un an ?

Beaucoup de ménages et autres acteurs économiques seront sans doute surpris de constater qu’officiellement d’après l’INSEE l’inflation sur un an n’a évolué que de 1,2 % en hausse.

 

Un chiffre qui bien évidemment ne tient pas compte du bouleversement structurel de la consommation des ménages qui ont changé le volume et la nature de leurs achats. Parallèlement en effet,  on assiste à une augmentation de la plupart des prix des services. De quoi s’interroger sur la mesure de l’inflation par l’INSEE. Pour schématiser beaucoup de produits baissent sans doute effectivement mais ne sont pas achetés en tout cas beaucoup moins. Selon la première estimation de l’Insee, l’inflation sur un an atteignait ce mois-ci, 1,2%. Son plus faible niveau depuis plus de trois ans, en juillet 2021.
Sur un mois, les prix ont diminué de 1,2% – la plus forte baisse mensuelle depuis 1990 -, alors qu’ils augmentaient, au contraire, de 0,5% en août. Ce ralentissement considérable s’explique d’abord par «un repli des prix de l’énergie en particulier ceux des produits pétroliers», notent les statisticiens. . «Au total, l’inflation resterait inférieure à +2,0 % d’ici la fin de l’année, et s’établirait à +1,6 % sur un an en décembre 2024», prévoyait l’Insee dans ses dernières projections.

Inflation : seulement 1,2 % sur un an ?

 Beaucoup de ménages et autres acteurs économiques seront sans doute surpris de constater qu’officiellement d’après l’INSEE l’inflation sur un an n’a évolué que de 1,2 % en hausse. Un chiffre qui bien évidemment ne tient pas compte du bouleversement structurel de la consommation des ménages qui ont changé le volume et la nature de leurs achats. Parallèlement en effet on assiste à une augmentation de la plupart des prix des services. De quoi s’interroger sur la mesure de l’inflation par l’INSEE. Pour schématiser beaucoup de produits baissent sans doute effectivement mais ne sont pas achetés en tout cas beaucoup moins. Selon la première estimation de l’Insee, l’inflation sur un an atteignait ce mois-ci, 1,2%. Son plus faible niveau depuis plus de trois ans, en juillet 2021.

Sur un mois, les prix ont diminué de 1,2% – la plus forte baisse mensuelle depuis 1990 -, alors qu’ils augmentaient, au contraire, de 0,5% en août. Ce ralentissement considérable s’explique d’abord par «un repli des prix de l’énergie en particulier ceux des produits pétroliers», notent les statisticiens. . «Au total, l’inflation resterait inférieure à +2,0 % d’ici la fin de l’année, et s’établirait à +1,6 % sur un an en décembre 2024», prévoyait l’Insee dans ses dernières projections.

OQTF: Un taux de retour de 6 % seulement

OQTF: Un taux de retour de 6 % seulement

Le terrible crime de Taha O., suspecté du meurtre de Philippine dans le bois de Boulogne repose évidemment la question du retour des OQTF. Et cela y compris et  quand ils sont récidivistes. Ainsi par exemple en seulement  6 % des OQTF ont fait l’objet d’un renvoi effectif dans leur pays d’origine. En cause le faite que ces pays d’origine dans beaucoup de cas n’acceptent pas de reprendre leurs nationaux sans compensation politique et financière.

 Ce taux de retour dépend des pays : certains sont coopératifs et d’autres le sont vraiment très peu, notamment au Maghreb. Selon un rapport parlementaire, ces dernières années, le Maroc et l’Algérie ont accepté la moitié seulement des demandes françaises pour un laissez-passer consulaire, et à peine un tiers de réponse favorable pour la Tunisie.

C’est d’ailleurs pour cette raison que la France avait engagé en 2021 un bras de fer avec l’Algérie et avait délivré moins de visas pour obtenir plus de laissez-passer consulaires.

 

 

Croissance France : seulement 0,2 % au deuxième trimestre

Croissance France : seulement 0,2 % au deuxième trimestre

 

L’activité a finalement rebondi un peu moins fortement que prévu entre avril et juin. Le Produit intérieur brut (PIB) français a progressé seulement  de 0,2% au deuxième trimestre, selon les résultats détaillés communiqués vendredi par l’Insee, soit une révision en baisse de 0,1 point par rapport à la première estimation. Le PIB avait augmenté de 0,3% au premier trimestre.

Les grandes composantes sont stables ou en légère hausse, à l’exception de l’investissement (-0,4%). La consommation des ménages se redresse légèrement (+0,1% après -0,1% au premier trimestre), grâce à la consommation de services (+0,5% après +0,3%), tandis que la consommation de biens reste stable (après -0,1%) : la consommation alimentaire recule de 1,6% après déjà -0,1%), une baisse compensée par la hausse de la consommation en gaz et électricité (+3,0% après +0,2%). L’investissement, ou formation brute de capital fixe (FBCF) pour l’Insee, diminue de nouveau (-0,4% après -0,5%). Il recule de 0,5% pour les entreprises, comme au premier trimestre, et de 1,1% pour les ménages, après -1,9% au premier trimestre. Elle augmente néanmoins pour les administrations publiques (+0,6% après +0,5%). Au total, la contribution de la demande intérieure finale – hors stocks – à la croissance du PIB est nulle au deuxième trimestre, comme au trimestre précédent.

Les exportations continuent d’augmenter modérément (+0,4% après +0,6%), grâce notamment «au dynamisme des livraisons de matériels de transport», explique l’Institut national de la Statistique. Quant aux importations, elles se redressent légèrement ce trimestre (+0,1% après -0,4%), soutenues par les importations d’énergie, eau, déchets et de produits agro-alimentaires. Au total, le commerce extérieur apporte de nouveau une contribution positive au PIB (+0,1 point après +0,3 point). Enfin, la contribution des variations de stocks à l’évolution du PIB est nulle ce trimestre, comme au trimestre précédent.

Universités- Classement de Shanghai : universités américaines en tête, Paris-Saclay 12ème mais seulement 25 établissements français dans le top 1000

Universités- Classement de Shanghai :  universités américaines en tête,  Paris-Saclay 12ème mais seulement 25 établissements français dans le top 1000

A la première place pour la 22e année consécutive (!), l’université d’Harvard est suivie par deux autres universités américaines, Stanford et MIT, et Berkeley en 5è position. Les 4è et 6è places sont occupées par Cambridge et Oxford, en Grande-Bretagne. Toutes les places du Top 10 sont accaparées par des universités anglo-saxonnes, puisque quatre autres universités américaines -Princeton, Caltech, Columbia et Chicago- suivent.

Vingt-cinq établissements français figurent dans les 1.000 premières places, dont dix-huit dans le Top 500. Classé dans le Top 20 depuis 2020, l’université de Paris-Saclay a gagné trois places pour se positionner en 12e position.

De fait, Paris-Saclay « atteint la meilleure position enregistrée par un établissement français depuis la création du classement », se félicite dans un communiqué le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Trois autres établissements français classés dans le Top 100 enregistrent une nette progression par rapport à 2023: l’université Paris Sciences Lettres (33e; +8 places), Sorbonne Université (41e; +5 places) et Université Paris Cité (60e; +9 places). Paris Sciences et Lettres (PSL), s’illustre particulièrement en passant de la 41e à la 33e place, grâce à la qualité de ses 11 établissements dont l’Université Dauphine, Mines Paris et l’École normale supérieure (ENS). Mais si les universités françaises présentes dans le classement progressent, la nouvelle édition représente un recul (25 établissements en 2023 contre 28 deux ans plus tôt).

La promesse d’un SMIC à 1600 € devient seulement « un horizon » pour Lucie Castets

La promesse d’un SMIC à 1600 € devient seulement « un horizon » pour Lucie Castets

 

La promesse d’un SMIC à 1600 € dans l’hypothèse d’un gouvernement de gauche se transforme de promesse en seulement « horizon » d’après  Lucie Castets, la candidate choisie par le nouveau front de gauche qui se débat dans son anonymat. C’est ce qui résulte d’un entretien de l’intéressée avec le journal le Parisien. Et de justifier ce recul en indiquant qu’il faudrait en discuter avec les partenaires sociaux. Une différence avec le programme du nouveau front populaire qui voulait décider cette mesure immédiatement.

Croissance: Au ralenti en 2024 avec seulement 0,3 % au deuxième trimestre

Croissance: Au ralenti en 2024 avec seulement 0,3 % au deuxième trimestre
La France et l’ensemble de la zone euro s’oriente vers une croissance très ralentie en 2024 avec une perspectives inférieure à 1 %. En cause une consommation des ménages qui recule sous l’effet de la baisse du pouvoir d’achat.

 

Après une hausse de 0,3% au premier trimestre, le produit intérieur brut (PIB) a encore augmenté de 0,3% au deuxième trimestre. Une croissance tirée par le commerce extérieur et les investissements des entreprises alors que la consommation des ménages recule.
Cette première estimation de la croissance est conforme à celle de l’INSEE et à la Banque de France, avec une anticipation de 0,3% conforme au niveau de croissance effectif.

Dans le détail, entre avril et juin, l’activité économique a été soutenue par le commerce extérieur et un rebond des investissements des entreprises, a indiqué mardi l’Insee. A l’inverse, la consommation des ménages a reculé en volume en juin, diminuant de 0,5% par rapport au mois de mai, avec un repli notamment de la consommation d’énergie (-1,9%) et de la consommation alimentaire (-0,7%). Cette baisse de la consommation des ménages en juin fait suite à un rebond de 0,8% lors du mois précédent, revu « fortement à la baisse de 0,7 point » par rapport à ce que l’Insee avait initialement annoncé fin mai. Sur un an, la consommation des ménages est en baisse de 1%.

 

Après un repli de 0,1% au quatrième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des 20 pays partageant l’euro a crû de 0,3% sur la période janvier-mars, par rapport aux trois mois précédents, selon l’estimation publiée ce vendredi par Eurostat. En rythme annuel, la croissance s’est même établie à 0,4%.

La  Banque centrale européenne anticipe une croissance de 0,6% en 2024, contre 0,8% prévu en décembre.

En France, l’OCDE prévoit une croissance à 0,7% pour 2024, tandis que la Banque de France voit cette dernière augmenter de 0,8% et même de 1% pour le gouvernement. Et l’Insee voit encore plus haut et table sur une hausse de 1,1% cette année.

 

Sondage : 30 % des Français seulement favorables à un gouvernement entièrement NFP

Sondage : 30 % des Français seulement favorables à un gouvernement entièrement NFP
Selon une enquête Elabe pour BFMTV et La Tribune dimanche publiée ce mercredi 10 juillet, 7 Français sur 10 ne sont pas satisfaits des résultats de ces élections législatives et, de fait, de la composition du nouvel hémicycle.

À l’inverse, 29% se disent satisfaits, dont 25% plutôt satisfaits et 4% très satisfaits. Si cette insatisfaction domine chez les électeurs du Rassemblement national au premier tour (94%), comme chez les électeurs LR (79%) et d’Ensemble (78%), la majorité des électeurs du Nouveau Front populaire (60%) – la coalition la plus importante à ce stade – se disent satisfaits.

Une sorte de grande coalition entre le camp présidentiel, Les Républicains, la gauche mais sans la France Insoumise convainc 39% des sondés et est soutenue par les électeurs d’Ensemble (77% favorables) et de LR (58%) mais ceux du NFP s’y opposent à 69%

Un tiers des Français sont favorables à une coalition de « centre-droit » regroupant les macronistes et LR tandis qu’un sur quatre plébiscite une alliance entre le camp présidentiel et les partis de gauche dont la France Insoumise. Selon ce sondage Elabe de ce mercredi, les électeurs du RN rejettent l’ensemble de ces configurations.

Qui pour Matignon? 38% des sondés souhaitent que Gabriel Attal soit Premier ministre, 35% Jordan Bardella, 31% Raphaël Glucksmann, 26% François Ruffin, 24% Olivier Faure, 24% François Bayrou, 21% Bernard Cazeneuve ou encore 19% Marine Tondelier.

Si Jordan Bardella (85%) et Gabriel Attal (82%) bénéficient d’un soutien quasi-unanime dans leur socle électoral respectif, l’actuel Premier ministre est également soutenu par des électeurs LR (72%), ce qui n’est pas du tout le cas de Jordan Bardella (10%).

Au sein des électeurs du NFP, aucune personnalité ne fait consensus. Près d’un sur deux envisage Raphaël Glucksmann, François Ruffin ou Marine Tondelier, qui devancent Olivier Faure (45%), Clémentine Autain (38%), Manuel Bompard (34%), Laurent Berger (28%), Jean-Luc Mélenchon (27%), Clémence Guetté (27%), Carole Delga (22%), Boris Vallaud (21%) et Bernard Cazeneuve (18%).

Au lendemain des élections législatives, en observant la composition de cette nouvelle Assemblée nationale, 65% des Français estiment que la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée a été une mauvaise décision.

 

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

Economie-Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

La croissance en zone euro demeure faible et fragile. En effet le PIB de la zone euro a seulement progressé de 0,3% au premier trimestre  après un repli de 0,1% au quatrième trimestre 2023. La  Banque centrale européenne qui prévoit 0,6% de croissance en zone euro  a décidé de baisser ses taux directeurs pour soutenir l’activité économique.

Après un repli de 0,1% au quatrième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des 20 pays partageant l’euro a crû de 0,3% sur la période janvier-mars, par rapport aux trois mois précédents, selon l’estimation publiée ce vendredi par Eurostat. En rythme annuel, la croissance s’est même établie à 0,4%.

 La hausse des prix devrait atteindre 2,8% cette année, contre une prévision de 2,7% il y a six mois, et 2,7% en 2025, contre 2,5% précédemment. Pour 2026, la prévision reste inchangée à 2,2%.

Cette faiblesse de la croissance a d’ailleurs amené la Banque centrale européenne a effectué une première baisse de 0,25 point de pourcentage sur ses taux directeurs jeudi. Après avoir été montés de manière fulgurante entre 2022 et 2023 puis avoir été maintenus entre 4% et 4,75% depuis septembre – au plus haut depuis la création de l’euro - le taux de dépôt passe à 3,75% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal s’établissent respectivement à 4,25% et 4,5%.

 

Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

Croissance Zone euro : Seulement 0,3 % au premier trimestre

La croissance en zone euro demeure faible et fragile. En effet le PIB de la zone euro a seulement progressé de 0,3% au premier trimestre  après un repli de 0,1% au quatrième trimestre 2023. La  Banque centrale européenne qui prévoit 0,6% de croissance en zone euro  a décidé de baisser ses taux directeurs pour soutenir l’activité économique.

Après un repli de 0,1% au quatrième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des 20 pays partageant l’euro a crû de 0,3% sur la période janvier-mars, par rapport aux trois mois précédents, selon l’estimation publiée ce vendredi par Eurostat. En rythme annuel, la croissance s’est même établie à 0,4%.

 La hausse des prix devrait atteindre 2,8% cette année, contre une prévision de 2,7% il y a six mois, et 2,7% en 2025, contre 2,5% précédemment. Pour 2026, la prévision reste inchangée à 2,2%.

Cette faiblesse de la croissance a d’ailleurs amené la Banque centrale européenne a effectué une première baisse de 0,25 point de pourcentage sur ses taux directeurs jeudi. Après avoir été montés de manière fulgurante entre 2022 et 2023 puis avoir été maintenus entre 4% et 4,75% depuis septembre – au plus haut depuis la création de l’euro - le taux de dépôt passe à 3,75% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal s’établissent respectivement à 4,25% et 4,5%.

 

Environnement-Climat–20 % seulement PME ont l’intention de se décarboner

Environnement-Climat–20 % seulement PME ont l’intention de se décarboner

 Preuve encore que les mesures venues uniquement d’en haut  sont insuffisantes pour décarboner l’économie. Faute de concertation avec les secteurs économiques, la décarbonation avance au pas d’escargot. En 2023, une PME-PMI ont engagé des efforts pour se décarboner constate ce jeudi la deuxième édition du baromètre du fonds européen Argos Wityu et du cabinet de conseil BCG.

D’après ce sondage réalisé sur 700 petites et moyennes entreprises (PME) et entreprises de taille intermédiaire (ETI), 17% d’entre elles déclarent avoir « fortement investi financièrement », selon « un plan de décarbonation structuré », et ont mesuré leurs émissions en 2023. Au niveau européen : 57% des entreprises interrogées n’ont pas fortement investi dans leur transition écologique en 2023.

Autre statistique intéressante de l’étude : c’est dans le transport et la logistique que les entreprises européennes sont les plus nombreuses à investir pour verdir leur activité (58%), deux fois plus que dans les industries impliquant des fortes températures (29%). A noter aussi : si deux sociétés sur trois estiment que la transition climatique est une opportunité, les entreprises françaises sont en revanche moins optimistes qu’en 2022. Une tendance inverse à celle de l’Allemagne ou du Benelux.

 

Comme avantages économiques permis par la décarbonation, les PME-ETI citent les éléments suivants : l’efficacité énergétique et la réduction des coûts associés (58 %, +4 points par rapport à 2023), la possibilité de remporter des parts de marché (54 %, +3 points) et d’attirer de nouveaux talents (40%, +15 points).

Autour seulement de 10 %  des dirigeants interrogés avaient une approche structurée en matière de décarbonation.

L’étude avait aussi pointé le fait suivant : parmi les principaux freins évoqués par les PME et ETI pour se verdir, figuraient en premier lieu la montagne d’investissements et les difficultés à obtenir des fonds (57%). Viennent ensuite la complexité réglementaire (55%) pour mettre en place des panneaux photovoltaïques par exemple ou d’autres installations afin de réduire l’empreinte carbone de l’énergie utilisée pour fonctionner.

D’après un rapport de l’ONG Carbon Disclosure Project (CDP) et du cabinet de conseil Oliver Wyman, paru en mars, en Europe, quatre entreprises sur cinq n’arrivent pas à réduire leur empreinte carbone au rythme nécessaire pour atteindre les objectifs climatiques du continent.

 

Climat–20 % seulement PME ont l’intention de se décarboner

Climat–20 % seulement PME ont l’intention de se décarboner

 En 2023, une PME-PMI ont engagé des efforts pour se décarboner constate ce jeudi la deuxième édition du baromètre du fonds européen Argos Wityu et du cabinet de conseil BCG.

D’après ce sondage réalisé sur 700 petites et moyennes entreprises (PME) et entreprises de taille intermédiaire (ETI), 17% d’entre elles déclarent avoir « fortement investi financièrement », selon « un plan de décarbonation structuré », et ont mesuré leurs émissions en 2023. Au niveau européen : 57% des entreprises interrogées n’ont pas fortement investi dans leur transition écologique en 2023.

Autre statistique intéressante de l’étude : c’est dans le transport et la logistique que les entreprises européennes sont les plus nombreuses à investir pour verdir leur activité (58%), deux fois plus que dans les industries impliquant des fortes températures (29%). A noter aussi : si deux sociétés sur trois estiment que la transition climatique est une opportunité, les entreprises françaises sont en revanche moins optimistes qu’en 2022. Une tendance inverse à celle de l’Allemagne ou du Benelux.

 

Comme avantages économiques permis par la décarbonation, les PME-ETI citent les éléments suivants : l’efficacité énergétique et la réduction des coûts associés (58 %, +4 points par rapport à 2023), la possibilité de remporter des parts de marché (54 %, +3 points) et d’attirer de nouveaux talents (40%, +15 points).

Autour seulement de 10 %  des dirigeants interrogés avaient une approche structurée en matière de décarbonation.

L’étude avait aussi pointé le fait suivant : parmi les principaux freins évoqués par les PME et ETI pour se verdir, figuraient en premier lieu la montagne d’investissements et les difficultés à obtenir des fonds (57%). Viennent ensuite la complexité réglementaire (55%) pour mettre en place des panneaux photovoltaïques par exemple ou d’autres installations afin de réduire l’empreinte carbone de l’énergie utilisée pour fonctionner.

D’après un rapport de l’ONG Carbon Disclosure Project (CDP) et du cabinet de conseil Oliver Wyman, paru en mars, en Europe, quatre entreprises sur cinq n’arrivent pas à réduire leur empreinte carbone au rythme nécessaire pour atteindre les objectifs climatiques du continent.

 

Fraude fiscale : Seulement 8 % environ identifiés

Fraude fiscale : Seulement 8 % environ identifiés

Montant record de fraudes fiscales de 15 milliards d’euros détectés mais pas forcément recouvrés. Finalement une somme assez modeste au regard de l’ensemble des détournements fiscaux et sociaux qui tournent autour de 100 milliards. Et plus encore avec l ‘évasion liée à l’optimisation fiscale des grandes entreprises.

Selon les données de Bercy, 15,2 milliards d’euros ont été mis en recouvrement en 2023, un niveau record qui dépasse celui de 2022 de 600 millions d’euros et celui de 2019 de 3,5 milliards d’euros.

Cela fait suite, assure le gouvernement, notamment à une forte augmentation du nombre de contrôles fiscaux sur les particuliers aux plus hauts revenus en hausse de 25%.

L’exécutif souhaite aussi accélérer dans sa lutte contre l’optimisation fiscale internationale. En plus de la mise en place d’un impôt minimum mondial pour les multinationales, l’administration fiscale dispose désormais d’une meilleure capacité à détecter les prix de transfert abusifs des multinationales.

Le problème est que cette optimisation fiscale et légale et profite à des paradis fiscaux mais y compris à des pays européens comme l’Irlande ou encore le Luxembourg.

Lors de la présentation du bilan annuel, Thomas Cazenave a mis l’accent sur la lutte contre la fraude aux aides publiques qu’il qualifie de « nouvelle frontière » en la matière. Les aides versées s’élèvent à 3,5 milliards d’euros pour la rénovation énergétique (ANAH), 2 milliards pour la formation (CPF), 4 milliards dans l’apprentissage ou encore 1,5 milliard pour l’acquisition de véhicules propres.

« C’est parce que nous versons beaucoup d’aides que nous devons être particulièrement vigilants face à des risques de fraudes de plus en plus sophistiquées », rappelle le ministre qui assure avoir renforcé les moyens de détection de ces fraudes.

Sur le CPF par exemple, après plusieurs signalements émis par des organismes bancaires, Tracfin a mené des investigations sur cinq organismes de formation ayant bénéficié de près de neuf millions d’euros reçus de la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

 

Concernant la fraude aux cotisations sociales (le travail dissimulé), les redressements ont aussi largement augmenté en un an (+50%) et se sont élevés en 2023 à 1,2 milliard d’euros.

Du côté des prestations sociales, Bercy se félicite des performances « historiques » des préjudices détectés avec 400 millions d’euros par les Caisses d’allocations familiales (CAF), 200 millions par l’Assurance vieillesse et 450 millions par l’Assurance maladie. Soit un total de 1,05 milliards d’euros au total.

« Les CAF ont accru d’un tiers leurs contrôles et appliquent 10% de frais de gestion aux fraudeurs, rappelle le gouvernement. Le perfectionnement des outils des CAF a permis de doubler les détections de fraudes à la résidence pour un montant de 97 millions d’euros. L’assurance vieillesse a doublé les contrôles de retraités résidant à l’étranger et détecté 750 dossiers frauduleux. »

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