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Télévision–le foot français de la ligue 1 trois fois moins cher en Angleterre

Télévision–le foot français de la ligue 1 trois fois moins cher en Angleterre

Les  fans de la Ligue 1 s’insurgent contre le lancement au Royaume-Uni et en Irlande d’un abonnement, le Ligue 1 Pass, pour accéder à l’intégralité du championnat français sur PC et mobile pour  12 euros par mois.   En France, les fans  doivent débourser a minima 30 euros par mois pour visionner les mêmes matchs sur DAZN.

L’offre britannique est inaccessible depuis la France. Mais sur les réseaux sociaux, plusieurs supporters affirment qu’ils utiliseront une solution technique pour contourner ce problème : un VPN. Légal, cet outil permet de changer de localisation et de prétendre se connecter depuis un autre pays que la France… comme le Royaume-Uni. En moyenne, le coût d’un VPN varie entre 3 et 12 € par mois.

L’ouverture de la saison 2024-2025 de la Ligue 1 a rimé avec hausse du piratage. Vendredi 16 août, au moins 200.000 personnes se sont tournées vers des boucles de la messagerie Telegram pour regarder gratuitement et en toute illégalité le match Le Havre – Paris-Saint-Germain, selon les estimations du Parisien . 

Cette affaire de transmissions télévisées et de recettes revenant au football français risque de mal se terminer. Au départ la ligue de football professionnel attendait une recette d’un milliard, réduit ensuite à 500 millions et qui pourrait être encore inférieur mettant à leur en difficultés financières au moins un tiers des clubs professionnels de ligue 1 ( nota: les recettes télévisées et les transferts des joueurs représentent environ 75 % du budget des clubs).

 

Nouveau Front populaire : «Cette fois, je ne peux pas» ( Arditti

 Nouveau Front populaire : «Cette fois, je ne peux pas» ( Arditti)

Le monde artistique n’a pas de légitimité particulière pour exprimer auprès de l’opinion ses choix politiques. Cependant Pierre Arditi  est représentatif d’une partie de ces artistes qui ont toujours été proches de la gauche. Et cette fois il indique que trop, c’est trop et qu’il ne pourra pas voter pour ce  » nouveau Front populaire ». 

Figure de la gauche intellectuelle et artistique, Pierre Arditi prend ses distances avec le Nouveau Front populaire. Dans un texte envoyé à la Tribune dimanche , le comédien explique «vivre un cauchemar au ralenti» : «celui de l’anatomie d’une chute vers le chaos.» Si l’acteur de la Vérité de Florian Zeller ou L’un reste l’autre part de Claude Berri s’en prend au Rassemblement national – «Laisser le RN prendre Matignon, c’est accepter au nom d’une pseudo-souveraineté d’abandonner notre indépendance» – il est davantage virulent contre l’alliance de gauche formée pour ces législatives.

«Le Nouveau Front populaire s’est formé avec des cœurs sincères, remplis d’espérance. Ces cœurs sincères sont ma famille, j’ai passé ma vie à les soutenir, à voter comme eux et avec eux. Cette fois-ci, je ne le peux pas, regrette Pierre Arditi. Si certains d’entre eux sont des sociaux-démocrates sincères, je le sais, cette alliance contre-nature est désespérante.» Il fustige leur rapport à la démocratie, à l’antisémitisme, à la République, mais aussi des propos de certains candidats «parfois inqualifiables, tolérant l’intolérable.»

«La question n’est pas Macron ou non. La question est le chaos ou le sursaut, pas une question de personnes mais une question de survie», conclut l’acteur de 79 ans qui sera de retour sur les planches en janvier 2025 dans Le Prix de Cyrille Gely, au théâtre Hébertot.

Eau en bouteille : 100 fois plus de nano-particules de plastique

Eau en bouteille : 100 fois plus de nano-particules de plastique

D’après les conclusions de l’université américaine de Columbia , l’eau des bouteilles en plastique contient jusqu’à 100 fois plus de nano-particules de plastique que ce qui avait été mesuré jusqu’alors.(info la tribune)

En moyenne, l’étude a ainsi détecté 240.000 fragments de plastique par litre d’eau, « soit cent à mille fois plus que précédemment rapporté ». 90 % des particules identifiées dans les bouteilles sont donc des nano-plastiques (en dessous de 1 micromètre), le solde étant des microplastiques (entre 1 micromètre et 5 millimètres).

Pour obtenir ces résultats, les auteurs de ce travail ont testé les bouteilles de trois marques connues, mais dont les noms n’ont pas été dévoilés. Un choix qui vise à ne pas stigmatiser des entreprises en particulier, les chercheurs estimant que les nano-plastiques sont présents dans la plupart des contenants similaires chez d’autres marques.

Ces données sont inédites, car jusqu’ici, les recherches n’étaient pas allées jusqu’à ce niveau de détail. En effet, « les méthodes de mesure ne pouvaient détecter des particules de plastique en dessous du micromètre. Cette étude ouvre la voie à de nouveaux horizons en la matière, il faut s’en réjouir », souligne ainsi auprès de La Tribune Muriel Mercier-Bonin, directrice de recherche à l’Institut national de la recherche agronomique (Inrae) et spécialiste en toxicologie alimentaire des microplastiques. Pour parvenir à leur fin, les auteurs de l’étude ont utilisé un microscope innovant doté de lasers, couplé à plusieurs algorithmes informatiques spécifiques de détection.

. Le nylon, un polyamide souvent utilisé dans l’industrie textile, est le plastique le plus présent. Selon les auteurs, celui-ci proviendrait des membranes utilisées par les embouteilleurs pour purifier l’eau. Vient derrière, le polytéréphtalate d’éthylène ou plus communément appelé PET. Cette matière est utilisée dans la majeure partie des cas par les fabricants de bouteille plastique.

Les échantillons relevés montrent également la présence de nanoparticules de PVC et de polystyrène, avec cette caractéristique particulière : plus leur dimension diminue, plus ces types de plastique sont abondants.

Toute la pertinence de cette recherche réside aussi dans les conséquences potentielles que ces fragments de plastiques ont sur la santé. D’autant que la science sait déjà qu’une fois ingérés, des éléments de si petites tailles arrivent à passer les barrières biologiques naturelles du corps humain, s’infiltrant dans la circulation sanguine, et in fine, dans les organes.

Élection Corée du Nord : cette fois un peu moins de 100 % !

Élection Corée du Nord : cette fois un peu moins de 100 % !

Dans le pays du dictateur fou que constitue la Corée-du-Nord, on vient de comprendre qu’annoncer des scores de 100 % permet d’alimenter un doute sur les résultats des élections. Du coup pour les élections locales qui viennent de se tenir, le pouvoir tient à faire savoir que les partisans du dictateur n’ont pas tout à fait atteint les 100 % mais qu’il y a bien une opposition. Bref, le théâtre habituel d’un dictateur dément toujours à la recherche d’un événement médiatique pour exister sur la scène internationale alors que son peuple souffre de malnutrition chronique et qu’il consacre l’essentiel des revenus du pays au renforcement de l’armement.

Après un scrutin local, le régime nord-coréen a fait état de votes allant à l’encontre du parti au pouvoir, une première depuis les années 60 selon un responsable sud-coréen.
Des dissidents en Corée du Nord? Le régime dictatorial de Kim Jong-un a surpris, ce mardi 28 novembre, en annonçant que des élections locales n’avaient pas été remportées avec 100% des voix par le Parti du travail au pouvoir comme il en a l’habitude.

Pour la première fois, la Corée du Nord fait référence à des votes « dissidents » lors de scrutins locaux depuis les années 1960, a déclaré un fonctionnaire du ministère sud-coréen de l’unification chargé des relations avec le Nord.

« Les analystes estiment qu’il s’agit d’une tentative de donner l’image d’une société normale », note l’agence Reuters.

Autos électriques chinoises : cinq fois moins chères que les françaises

Autos électriques chinoises : cinq fois moins chères que les françaises

Avec le développement forcené des voitures électriques provenant essentiellement de Chine, on va sans doute provoquer un véritable massacre de l’industrie nationale. En cause évidemment d’abord la compétitivité puisque les voitures de nationalité chinoise sont parfois cinq fois moins chères que celles qui sont produites en France où il faut compter autour de 25 000 €. Un papier de la Tribune rend compte de la différence de compétitivité.

Au premier semestre 2022 en revanche, la moyenne d’un véhicule électrique chinois était de 31.829 euros contre 55.821 euros en Europe (hors subventions dans les deux cas), soit 75 % plus élevé, d’après une étude du cabinet spécialisé Jato, basé en France. Un an plus tard, cet écart s’est encore creusé, il est désormais de 115 %, avec une moyenne européenne qui atteint même les 68.023 euros tout véhicule électrique confondu, selon les chiffres du cabinet ainsi que divers relevés du marché (Agence internationale de l’énergie, association des constructeurs européens…). Même constat entre la Chine et les Etats-Unis. Les prix des voitures chinoises, de leur côté, ne font que baisser.

Et pour cause, cette petite citadine du constructeur chinois Wuling baptisée Hongguang Mini EV, vendue autour de 4.000 euros, est même moins chère que les modèles thermiques en Chine. Et le constructeur va plus loin, en la proposant à 2.600 euros sans la batterie, qu’il faut louer.
En comparaison, la voiture électrique actuelle la moins chère en Europe est la Dacia Spring, à 20.000 euros hors bonus et produite… en Chine ! Certes, cette dernière affiche un habitacle bien plus grand que la voiture chinoise mais l’autonomie de la batterie est sensiblement équivalente.

La majeure différence se trouve au niveau des modèles proposés. Sur les 235 modèles de voitures électriques en Chine, 181 sont en dessous des 40.000 euros soit 77 % contre seulement 23 % en Europe.

À l’avenir, « l’Europe devra impérativement réduire le prix de ses voitures électriques », prévient Jato, sans quoi les constructeurs chinois prendront les parts du marché.

Voitures électriques chinoises : cinq fois moins chères que les françaises

Voitures électriques chinoises : cinq fois moins chères que les françaises

Avec le développement forcené des voitures électriques provenant essentiellement de Chine on va sans doute provoquer un véritable massacre de l’industrie nationale. En cause évidemment d’abord la compétitivité puisque les voitures de nationalité chinoise sont parfois cinq fois moins chères que celles qui sont produites en France où il faut compter autour de 25 000 €. Un papier de la Tribune rend compte de la différence de compétitivité.

Au premier semestre 2022 en revanche, la moyenne d’un véhicule électrique chinois était de 31.829 euros contre 55.821 euros en Europe (hors subventions dans les deux cas), soit 75 % plus élevé, d’après une étude du cabinet spécialisé Jato, basé en France. Un an plus tard, cet écart s’est encore creusé, il est désormais de 115 %, avec une moyenne européenne qui atteint même les 68.023 euros tout véhicule électrique confondu, selon les chiffres du cabinet ainsi que divers relevés du marché (Agence internationale de l’énergie, association des constructeurs européens…). Même constat entre la Chine et les Etats-Unis. Les prix des voitures chinoises, de leur côté, ne font que baisser.

Et pour cause, cette petite citadine du constructeur chinois Wuling baptisée Hongguang Mini EV, vendue autour de 4.000 euros, est même moins chère que les modèles thermiques en Chine. Et le constructeur va plus loin, en la proposant à 2.600 euros sans la batterie, qu’il faut louer.
En comparaison, la voiture électrique actuelle la moins chère en Europe est la Dacia Spring, à 20.000 euros hors bonus et produite… en Chine ! Certes, cette dernière affiche un habitacle bien plus grand que la voiture chinoise mais l’autonomie de la batterie est sensiblement équivalente.

La majeure différence se trouve au niveau des modèles proposés. Sur les 235 modèles de voitures électriques en Chine, 181 sont en dessous des 40.000 euros soit 77 % contre seulement 23 % en Europe.

À l’avenir, « l’Europe devra impérativement réduire le prix de ses voitures électriques », prévient Jato, sans quoi les constructeurs chinois prendront les parts du marché.

Ballon d’or Foot: Messi, en sénateur, pour la huitième fois

Ballon d’or Foot: Messi, en sénateur, pour la huitième fois

Indiscutablement Messi est sans doute le meilleur joueur que le football ait connu. Ainsi il remporte pour la huitième fois le ballon d’heures mais cette fois encore plus que d’habitude en sorte de sénateur.

En effet sa saison de football notamment au PSG n’a rien d’extraordinaire. D’abord même présent il n’a joué qu’à mi-temps et s’est économisé sur le terrain encore plus que d’habitude. Il faut lui reconnaître cependant des traits de génie notamment car il a permis à l’Argentine de gagner la coupe du monde.

Intrinsèquement , c’est indiscutablement le meilleurs joueurs et sa présence sur le terrain se traduit quelquefois par des prouesses de vision du jeu et de distribution, parfois par des buts.

Mais ce qui le caractérise le plus souvent , c’est la discrétion de sa présence voire son absence sur le terrain alors que déjà il reste la moitié du temps sur le banc.

Messi joue déjà depuis plusieurs saisons sur un rythme de sénateur. Il a 36 ans mais grâce à ses économies d’efforts il pourra jouer facilement jusqu’à 40 ou 45 ans. En tout cas il n’a pas apporté grand chose au PSG, comme Neymar… autre sénateur !

Société et Pauvreté : Deux fois plus de SDF qu’il y a 10 ans

Société et Pauvreté : Deux fois plus de SDF qu’il y a 10 ans


On compte deux fois plus de SDF qu’il y a 10ans et 624 sans-abri sont morts dans la rue en 2022 en France. Bref, la pauvreté s’accentue alors que dans le même temps les riches sont de plus en plus riches. Témoin le business très fleurissant actuellement des ventes de châteaux et autres maisons de très grand luxe dans un secteur particulièrement en crise pourtant. Il y a quelque chose d’insupportable dans une société aussi développée de compter autant de personnes sans abri. Rappelons que Macron avait promis que sous sa législature il n’y aurait plus un seul SDF !

la Fondation Abbé Pierre (FAP) dans son rapport annuel publié mardi 31 janvier 2023 tacle le gouvernement et « l’insuffisance » de ses efforts pour y remédier. La Fondation estime à 330 000 le nombre de personnes sans domicile en France.
Les personnes sans domicile fixe meurent très jeunes : 46 ans en moyenne pour les femmes et 50 ans pour les hommes, soit un écart d’espérance de vie de plus de 30 ans avec la population générale.

Les agressions, les suicides, les noyades et les maladies sont les causes de décès les plus fréquentes. Dans son dernier rapport, le collectif Mort dans la rue décompte au moins 624 sans-abri morts dans la rue en 2022.

Les personnes sans domicile fixe meurent très jeunes : 46 ans en moyenne pour les femmes et 50 ans pour les hommes, soit un écart d’espérance de vie de plus de 30 ans avec la population générale. « Que des personnes décèdent dans les rues de Paris et des autres villes de France à un âge extrêmement bas, qui est de 49 ans en moyenne, parce qu’ils n’ont pas d’habitat, c’est purement scandaleux », déclare Bérangère Grisoni, président du collectif Les Morts de la rue.

« En 2022, selon la Fondation Abbé-Pierre, plus de 330 000 personnes étaient sans domicile fixe en
France », peut-on lire dans le rapport. C’est deux fois plus qu’il y a dix ans.

International: nouvelle bourde de Macron cette fois sur Taïwan

International: nouvelle bourde de Macron cette fois sur Taïwan

Sans doute pour se donner du crédit auprès de la Chine, Macron a cru bon de ce désolidariser de l’Occident vis-à-vis de Taïwan. Toujours cette politique du en même temps qui l’ amène à prendre parti un jour pour un camp et l’autre jour pour le camp d’en face. Un peu la même chose qu’en Ukraine avec les indécentes conversations avec Poutine, ensuite la rupture et le rapprochement avec Kiev et maintenant peut-être de nouvelles conversations avec la Russie.

La vérité , c’est que Macron en délicatesse concernant sa popularité au plan intérieur prend des initiatives assez malheureuses aussi à l’échelle internationale. La preuve encore d’un manque de cohérence et de maturité politique.

Bien qu’en termes diplomatiques sa déclaration sur Taïwan et sans ambiguïté et a amené des protestations dans tout le corps occidental. macron n’a pas souhaité que l’Europe se laisse «entraînée dans des crises qui ne sont pas les siennes» comme à Taïwan, et se mette «à suivre la politique américaine, par une sorte de réflexe de panique».

le président français, qui a toujours défendu pour le continent une «troisième voie» dans la région, jette un doute sur l’attitude de la France en cas de guerre chinoise à Taïwan.

«La question qui nous est posée à nous Européens est la suivante. Avons-nous intérêt à une accélération sur le sujet de Taïwan? Non. La pire des choses serait de penser que nous, Européens, devrions être suivistes sur ce sujet et nous adapter au rythme américain et à une surréaction chinoise.» Le président français a aussi affirmé que l’Europe devait réduire sa dépendance vis-à-vis des États-Unis

Assistants d’eurodéputés: Nouveau procès en sorcellerie cette fois pour le MoDem

Assistants d’eurodéputés: Nouveau procès en sorcellerie cette fois pour le MoDem !

Encore un nouveau procès en sorcellerie à propos de l’utilisation des assistants d’eurodéputés. Une affaire qui a déjà concerné d’autres partis politiques notamment le Front National. Cette fois il s’agit du MoDem et de l’UDF accusés d’avoir utilisé des assistants d’eurodéputés à des tâches de nature nationale.

Un procès complètement ridicule car la plupart des questions européennes ont évidemment des conséquences et des origines nationales. On ne peut pas parler de détournement de fonds, ces collaborateurs travaillent pour des députés qui au demeurant sont élus sur des listes et des problématiques nationales.

Au demeurant, il pourrait en être éventuellement autrement si les députés européens étaient élus sur des listes communes européennes.

Tout cela sent le règlement de comptes et la tambouille politique.

Notons que les mêmes accusations sont parfois portées aussi sur des assistants de députés français dont certains travaillent physiquement dans la circonscription de l’élu.
L’essentiel, c’est que ces assistants travaillent effectivement . Une affaire évidemment à distinguer des pseudos assistants souvent de la famille qui sont rémunérés, eux, sans rien faire pour l’élu.

Aujourd’hui tous les problèmes sont liés de manière systémique et les décisions européennes ou nationales ont des conséquences au plan local et inversement.

Si l’on devait faire le même procès au permanent syndicaux qui eux aussi œuvrent dans des champs géographiques bien au-delà de la seule entreprise qui les a détaché alors ce serait sans doute une action en justice qui concernerait des centaines et des centaines de permanents. Mais eux aussi travail alternativement pour leur entreprise mais aussi pour l’environnement social, économique et technique plus général.

Le parquet de Paris a requis lundi un procès pour treize personnes dont le président du MoDem François Bayrou, soupçonnées de détournement de fonds publics ou de complicité dans l’affaire de l’emploi irrégulier d’assistants d’eurodéputés, a indiqué mardi le parquet, confirmant une information des Echos.

Le parquet a également demandé que soient jugés, en tant que personne morale, les partis MoDem et UDF, pour complicité de détournement de fonds publics et recel. La décision finale sur la tenue d’un procès revient à la juge d’instruction saisie du dossier.

Selon un rapport rendu en avril 2021 par les policiers de l’Office anticorruption (Oclciff), le parti centriste a mis en place un «système ancien et plus ou moins informel» de détournement des fonds européens pour salarier ses employés. «Pour faire vivre son parti et assurer son fonctionnement à moindre coût, François Bayrou et Marielle de Sarnez, épaulés par les cadres du parti, ont mis au service de l’UDF, puis du MoDem, des assistants parlementaires rémunérés par le Parlement européen», résument les enquêteurs.

L’euro, à la fois coupable et sauveur

L’euro, à la fois coupable et sauveur

L’euro constitue souvent le moyen simpliste de reporter sur la monnaie européenne nombre de maux dont souffre la France notamment la hausse des prix.

On sait cependant que les Français ne se caractérisent pas par une grande connaissance dans le domaine financier. Le groupe Allianz qui avait effectué un sondage sur 19 pays a d’ailleurs démontré que dans ce domaine la France occupait la place peu enviable de dernière en matière de culture financière.

Reste cependant que les Français ne changeraient plus maintenant l’euro contre le franc. Sans doute parce qu’inconsciemment, ils se rendent compte de la solidité de la monnaie européenne qui ne maintient son niveau que grâce à la compétitivité globale de l’Europe et notamment aux exportations allemandes.

Il est clair que dans l’hypothèse d’un retour du franc, on assisterait immédiatement à une dévaluation puisqu’en général on considère que La surévaluation de l’euro en France est d’environ 20 à 25 % par rapport à l’Allemagne.

L’euro d’un certain point de vue et en dépit de l’inflation actuelle maintient un certain niveau de pouvoir d’achat. Reste que c’est quand même un handicap pour les économies aussi peu compétitives que celle de la France. Cela freine les exportations et au contraire d’une certaine manière favorise les importations. Pour preuve, le déséquilibre extraordinaire de la balance commerciale de la France surtout en 2022. Un résultat du à un manque de productivité globale, un manque de travail général de la population active et un écroulement de l’industrie

Les Allemands n’ont pas totalement tort de considérer que la France vit au-dessus de ses moyens et surtout à ses crochets. Mais l’Allemagne a également tout fait pour affaiblir le développement industriel en France par exemple en tuant la politique énergique du pays avec une folle libéralisation des prix. Une majorité de Français est pour l’euro alors qu’il y a dix ans, en pleine crise des dettes souveraines, près d’un sur trois souhaitait le retour au franc. Ils jugent les diverses fonctions de la monnaie européenne dans le contexte actuel de crise et d’inflation.

71 % des Français estiment que l’euro est une bonne chose pour la France. Sa popularité est de 69 % dans les autres pays qui l’ont adopté comme monnaie. (iStock)

En France, 71 % de la population estime que l’euro est une bonne chose pour le pays, et 18 % sont d’un avis opposé, selon le dernier sondage de l’Eurobaromètre en octobre. Il y a plus de dix ans, en pleine crise de la zone euro, 30 % des Français voulaient revenir au franc, selon un sondage TNS Sofres réalisé pour la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol).
L’attachement à une monnaie reflète la confiance dans sa capacité à conserver une valeur stable même dans les crises. Le taux de change global de l’euro est en légère hausse cette année. En 2022, la monnaie européenne a baissé essentiellement contre le dollar (-6,6 %), une chute qui favorise l’inflation en France. Entre début 2021 et septembre dernier, l’euro avait plongé de 22 % rapport au dollar.

Feux de forêts : deux fois plus qu’il y a 20 ans

Feux de forêts :  deux fois plus  qu’il y a 20 ans

La surface forestière brûlée est aujourd’hui deux fois plus importante qu’il y a 20 ans, selon les résultats d’une étude publiée mercredi et les données conjointes du Global Forest Watch, le Watch Resources Institute et l’université du Maryland. Le réchauffement climatique est l’une des explications à la fréquence et l’ampleur du phénomène.(la Tribune)

 

Les incendies spectaculaires qui ravagent aujourd’hui les forêts de nombreux pays, notamment européens, relèvent d’un phénomène croissant. Aujourd’hui, 2 fois plus de forêts partent en fumée qu’il y a 20 ans, selon une enquête publiée mercredi par Global Forest Watch. 5 hectares en moyenne ont brûlé chaque année dans la période récente. C’est 3 millions de plus qu’en 2001, soit l’équivalent de la superficie de la Belgique. Au total, de 2001 à 2021, 119 millions d’hectares de forêts ont été dévorés par les flammes, selon Global Forest Watch, sur une superficie totale de 4 milliards d’hectares de forêts. Une situation qui risque d’empirer. « 2022 est déjà une année record », souligne à l’AFP Jesus San Miguel, coordinateur de l’EFFIS (European Forest Fire Information System), alors même que la saison des feux n’est pas terminée. Au 15 août, les incendies avaient ravagé quasiment 663.000 hectares de forêts dans l’Union européenne, selon l’EFFIS.

Ce qui est inédit dans le phénomène actuel est la fréquence et l’ampleur de ces incendies. Aujourd’hui, ils s’attaquent même de plus en plus aux forêts tropicales, où sont historiquement plutôt atypiques. Selon les chercheurs, le réchauffement climatique, avec les vagues de sécheresse et de chaleur extrême qui en découlent, explique « probablement » en grande partie cette nouvelle tendance.

Or les incendies sont aussi responsables d’importantes émissions de gaz à effet de serre, qui renforcent le changement climatique. Plus précisément, non seulement ces feux de forêt par la combustion libèrent du dioxyde de carbone et d’autres polluants qui endommagent les écosystèmes forestiers. Mais ils libèrent aussi le CO2 enfoui dans les sols. En effet, comme les océans, les forêts constituent des puits de carbone majeurs :  les arbres absorbent une partie du carbone de l’atmosphère qui finit stocké dans l’arbre lui-même, mais aussi dans le sol. « Le CO2 s’est accumulé dans le sol pendant des centaines d’années et a été protégé par une couche humide sur le dessus. Ces incendies brûlent cette couche supérieure et libèrent ce CO2 », explique l’analyste de Global Forest Watch à l’AFP, James Mc Carthy.

Autrement dit, c’est un cercle vicieux : les incendies causés en grande partie par le réchauffement climatique le renforce. Lutter contre l’un revient donc à lutter contre l’autre.

Si les feux semblent être un danger majeur pour les forêts, ils ne sont ni le seul ni le plus important. Loin de là. Entre 2001 et 2021, les incendies ont été responsables à 21% du recul de la forêt. La sylviculture, l’ensemble des activités d’entretien et de gestion de la forêt, est responsable d’un peu moins de 30% des pertes en forêts dans le monde. L’agriculture itinérante, qui consiste à défricher un terrain, souvent par le feu, pour le cultiver un temps puis le laisser en jachère pour gagner d’autres terrains, compte, elle, pour 20%. Enfin, un autre facteur est la déforestation induite par la culture de produits de base, responsable de 20% aussi de la déforestation mondiale.

Certains pays ont pris la mesure de l’importance de ces autres facteurs. Ainsi, 141 Etats se sont engagés collectivement à « arrêter et à inverser la déforestation et la dégradation des sols d’ici 2030 » au cours de la déclaration des leaders de Glasgow sur les forêts et l’utilisation des sols en 2021.

Mais malgré tout, la forêt s’étend dans beaucoup de pays depuis au moins le milieu du XXe siècle, relvèvent les chercheurs de l’Université d’Oxford Hannah Ritchie and Max Rose, dans leur article Deforestation and Forest Loss, publié en 2021. En Amérique du Nord et en Europe, la surface des forêts a augmenté, et ce de manière générale dans les pays dits développés. En France, par exemple, de 14 millions d’hectares en 1985, la surface de forêt est passée à 17 millions en 2018.

Ce phénomène a été observé, indiquent les deux auteurs, par le chercheur Alexander Mather qui l’a nommé le « Forest Transition Model ». En effet, dans les années 1990, il constate que les forêts refont surface dans beaucoup de pays industrialisés où elles avaient fortement reculé. De ces constats empiriques naît un modèle : une courbe en U qui lie les stades de développement d’un pays à la surface qu’y occupe sa forêt. Selon ses observations, aux premiers stades de développement, les pays rognent sur leur surface forestière, jusqu’à atteindre un seuil plancher (le bas du U). Puis vient le temps de la reforestation : les forêts regagnent du terrain pour revenir au niveau de forêt initial, voire le dépasser. Reste aujourd’hui à savoir jusqu’où le U remontera à l’échelle mondiale.

Sarah Wihane-Marc

Alstom–GE : les turbines rachetées deux fois plus chères

Alstom–GE : les turbines rachetées deux fois plus chères

L’affaire des turbines d’Alstom constitue un véritable fiasco économique et Seraitfinancier. C’est turbines d’Alstom ont été vendus à General Electric sur la forte insistance de Macron alors  conseiller à l’Élysée. Sept ans plus tard ,le même Macron se vante d’avoir fait racheter par EDF les mêmes turbines mais au double du prix.

Pas étonnant GE  n’est pas étranger à la montée politique de ma grand et à son succès aux élections présidentielles. Témoin de la consanguinité, c’est le conseiller de Macron qui avait été nommé directeur général de General Electric France.

En fait,  c’est EDF qui va payer la facture, une entreprise qui si elle était privée en faillite car elle n’a pas le premier sou pour acheter les turbines de General électrique. Du coup l’État va procéder à une augmentation de capital d’EDF. Bref un transfert de l’argent du contribuable ver GE.

Le pire, c’est que se se félicite de ce rachat en l’agglomérant avec la relance du nucléaire

À l’époque du rachat il y a maintenant sept ans, GE avait promit la création de 1000 emplois. En fait il en a supprimé à peu près 1000 ! Un vrai fiasco économique, financier et social.

 

Politique – Taubira : pour tuer une deuxième fois la gauche

Politique – Taubira :  pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 5 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois ce courant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir .Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 5  % pris surtout à gauche à Christiane Taubira. De quoi marginaliser encore davantage le parti socialiste qui pourrait ne jamais s’en remettre et les écolos d’Europe écologie les Verts. Pas étonnant si  les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

 Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire ! Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

« Primaire populaire »-Taubira : pour tuer une deuxième fois la gauche

« Primaire populaire »-Taubira :  pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 3 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois ce courant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir .Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 3 % à Christiane Taubira. Pas étonnant, les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

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