Archive pour le Tag 'ne'

Vers l’expulsion des gendarmeries qui ne payent pas leur loyer ?

Vers l’expulsion des gendarmeries qui ne payent pas leur loyer ?

Ce pourrait être un gag mais c’est pourtant la vérité: nombre de gendarmeries n’ont pas réglé le prix de leur loyer. En cause notamment la bureaucratie et les incompétences en matière de gestion de la trésorerie de l’État

Et c’est le ministre lui-même à savoir Darmanin, fort en gueule mais faible en action ,  qui aurait demandé de surseoir au paiement des loyers.

Peut-être ces difficultés de trésorerie sont-elles aussi à l’origine de l’idée saugrenue de créer des gendarmeries « ambulantes » qui économiseraient ainsi les locaux !

Début septembre, Darmanin   a demandé à la gendarmerie de reporter le paiement des loyers de septembre, octobre et novembre en attendant les nouveaux crédits qui doivent arriver en fin d’année, a appris franceinfo auprès de l’entourage de l’actuel ministre de l’Intérieur. Une décision qui, selon cette source, a pour origine trois raisons.

En cause une mauvaise évaluation du coût des actions de la gendarmerie.

Le ministre actuel assure avoir conscience de l’image « peu avantageuse que cela donne d’un État qui n’a pas su prévoir. Tout devrait rentrer dans l’ordre au début de l’année prochaine », assure Bruno Retailleau selon son entourage.

Reste que cette situation n’est pas nouvelle, c’est même une situation structurelle pour la gendarmerie, selon les rapports de la Cour des comptes. D’après l’institution, il y a chaque année des dizaines de millions d’euros de loyers qui ne sont pas payés dans les temps par la gendarmerie. Cela représentait au niveau national 170 millions d’euros en 2023, 220 millions d’euros en 2021, et même plus d’un milliard d’euros en 2020, même si l’année était particulière à cause du Covid.

Enseignante frappée par une élève : la ministre ne l’accepte pas !

Enseignante frappée par une élève : la ministre ne l’accepte pas !

D’une certaine manière, la réponse de la ministre à l’agression d’une enseignante par une élève de Tourcoing qui refusait d’enlever son voile n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Certes il s’agit d’une atteinte au principe de laïcité mais pas seulement; c’est aussi une attaque contre le principe d’autorité morale et professionnelle. Et de ce point de vue, les consignes internes et les règlements intérieurs des établissements scolaires portent aussi une responsabilité quant à la dégradation du statut de l’enseignement. L’Etat de son côté n’a pas su encore sanctuariser cette fonction centrale dans la formation des élèves. Le même reproche peut être fait concernant les autres professions de service public.

 

«C’est inacceptable, je ne l’accepterai pas», a réagi ce mardi 8 octobre Anne Genetet, la ministre de l’Éducation nationale, après l’agression d’une enseignante à Tourcoing, la veille, par une adolescente à qui elle avait demandé de retirer son voile. «Une professeure a été agressée par une élève dans un lycée à Tourcoing alors qu’elle entendait faire respecter la loi de la République et le principe de laïcité à l’École», a détaillé la membre du gouvernement sur X.

 

 

 

Ne pas sacrifier l’industrie

Ne pas sacrifier l’industrie

Vincent Moulin Wright, directeur général de France Industrie, dans la « Tribune » évoque les inquiétudes de son secteur dans un cadre budgétaire public  davantage contraignant

Dans le cadre de la loi Industrie verte, promulguée en octobre 2023, deux décrets d’application viennent d’entrer en vigueur. Tous deux ont pour principal objectif l’accélération et la simplification des procédures d’implantations d’usines. Une étape majeure, selon France Industrie, l’organisation représentative qui rassemble plus de 80 membres dont une trentaine de fédérations sectorielles.

 En octobre 2023 a eu lieu la promulgation de la loi Industrie verte. Quel bilan faites-vous un an après ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – L’essentiel de cette loi porte sur l’accélération des délais nécessaires pour réaliser des études préalables à l’implantation d’usines. L’objectif est de les diviser par deux, de 18 mois aujourd’hui à neuf mois demain. Tous les décrets ont été pris fin juin. C’est donc encore un peu tôt pour dresser un bilan. Nous y verrons plus clair en début d’année prochaine.

Concernant le Crédit d’Impôt pour les Investissements dans l’Industrie Verte (entré en vigueur en mars 2024 avec pour objectif d’encourager les entreprises à investir dans quatre secteurs stratégiques de la transition énergétique, ndlr), les premiers chiffres vont être publiés dans les mois à venir. Mais il semblerait que cet instrument de soutien soit bien parti.

Nous pouvons aussi souligner le soutien à des filières nouvelles comme les matières premières critiques que la France ne produit pas, ou pas assez. Plusieurs projets vont s’implanter dans l’Hexagone pour la production (ouverture de mines…) et la transformation (mise en service d’usines de valorisation et de recyclage) de ces métaux. De quoi être moins tributaire des importations provenant souvent de fournisseurs situés en Chine et Afrique.

Trois décrets d’application de la loi Industrie verte en juillet dernier sont dans le viseur d’associations, notamment Notre affaire à tous et Zero Waste France qui ont déposé le 6 septembre dernier des recours gracieux demandant l’annulation de ces trois décrets qui représentent selon elles un « détricotage massif et systématique du droit de l’environnement industriel » et par conséquent une augmentation des risques de catastrophes industrielles. Une réaction ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – La loi ne prévoit aucun recul environnemental. Elle prévoit juste une optimisation des délais dans le respect des obligations environnementales qui sont bien maintenues. Au lieu de mettre en place les uns après les autres les études et concertations préalables et les dossiers d’autorisations environnementales, cette loi propose de les faire en parallèle pour gagner du temps. La loi recherche clairement la simplification.

Il faut se réjouir de l’augmentation du nombre d’industries en France, et cette loi va accélérer l’implantation de nouveaux sites. En effet, plus nous aurons d’industries de production sur le territoire, moins nous serons dépendants des importations de produits fabriqués à l’étranger, ce qui contribuera à réduire notre empreinte carbone. Il s’agit donc d’un véritable enjeu écologique.

La réindustrialisation connaît une baisse de régime au premier semestre. De janvier à juin, Trendeo a recensé 61 annonces de fermetures d’usines ou d’ateliers de plus de 10 salariés, souvent au cours de liquidations judiciaires. Peut-on craindre une accélération de cette tendance ?

VINCENT MOULIN WRIGHT -

La vitesse de réindustrialisation semble marquer un pallier avec une dynamique un peu moins soutenue depuis un an. Notons que les mesures les plus fortes ont été lancées entre 2017 et 2022. Il faudrait donc poursuivre ce soutien avec de nouvelles mesures, tout du moins pas de mesures adverses. Mais il est vrai que le contexte économique s’est retourné. S’il y a des secteurs qui se portent bien (la Défense, le luxe, l’aéronautique…), d’autres (la chimie, l’automobile, la construction) sont en revanche en difficulté.

Depuis 2017, 300 sites industriels ont été créés mais 600 avaient fermé depuis 1990. Si le solde reste encore négatif sur le stock, le progrès est important. Il ne faut pas que cette tendance se poursuive sinon cela va devenir problématique.

Vous évoquez la nécessité de nouvelles mesures. Pouvez-vous expliquer ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – Chacun doit s’accorder à ne surtout à ne surtout pas détricoter la politique de soutien à l’industrie, avec la poursuite de France 2030 et la sauvegarde du CIR (crédit impôt recherche), notamment. Des outils qui portent leurs fruits. L’industrie est devenue une grande cause nationale, elle ne mérite pas de devenir une variable d’ajustement budgétaire.

A ce propos, alors que le déficit public risque de dépasser les 6% cette année, le nouveau gouvernement cherche à faire des économies sur tous les plans. France 2030 est-il sous la menace de coupes budgétaires ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – Je ne sais pas. Il faut attendre le discours de politique générale de Michel Barnier et la publication de la première ébauche du budget 2025 (qui devrait être présenté le 10 octobre en Conseil des ministres, ndlr). Pour l’heure, le gouvernement fait des esquisses et prend des orientations.

Donc, aucune raison de s’inquiéter ?

VINCENT MOULIN WRIGHT -

Au contraire. France Industrie a clairement établi une ligne rouge concernant les dispositifs de soutien les plus cruciaux. En ce qui concerne le prix de l’électricité, il est impératif que l’État et EDF parviennent à mettre en oeuvre l’accord conclu à la fin de l’année dernière sur les contrats d’approvisionnement à long terme en électricité. Il faut donc redémarrer cette négociation, aujourd’hui au point mort. Par ailleurs, il est crucial de continuer à baisser les impôts de production pesant sur l’industrie. De même, il faut revenir sur l’écrêtement des allègements de charges sur les salaires médian car ils pénalisent l’industrie. Enfin, les dispositifs de soutien efficaces comme le crédit d’impôt recherche doivent absolument être maintenus.

Le nouveau gouvernement cherche à faire des économies sur tous les plans. Le crédit impôt recherche, qui coûte chaque année 7,7 milliards d’euros à l’État, est justement l’un des dispositifs en ligne de mire. Où faut-il réaliser des économies ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – Le gouvernement doit s’atteler à réduire les dépenses publiques, alors que les recettes de l’État n’ont cessé d’augmenter au cours des dix dernières années. La pression fiscale sur les entreprises et les ménages a déjà atteint son paroxysme. Augmenter les impôts des entreprises risque de pénaliser l’attractivité et la compétitivité. La solution est d’opérer à la fois des coupes budgétaires et de travailler sur l’efficacité des dépenses publiques, que ce soit dans la sphère sociale, ou dans les dépenses de fonctionnement de l’État.

Si l’État décide d’augmenter la fiscalité sur les entreprises, cela va-t-il freiner les ambitions d’investissements des industriels français ?

VINCENT MOULIN WRIGHT – Cela dépendra de quelle façon mais ce serait un signal négatif pour les investisseurs. Il y a deux risques majeurs : affaiblir le tissu des PME et ETI, et fragiliser l’attractivité de la France.

 

Pourquoi des étudiants ne savent plus écrire

Pourquoi des étudiants ne savent plus écrire

C’est la question que pose Aude Denisot professeur de droit à l’université du Maine dans son nouveau livre.  «Cette question ne peut plus rester accessoire. Dans aucune des disciplines qui demandent de la rédaction. Parce qu’au-delà d’un défaut d’orthographe, ce sont désormais des copies qu’on ne comprend plus».
«Mes élèves de Terminale deviennent incapables de construire une phrase avec logique. Ils ont du mal à structurer leur pensée, non pas qu’ils soient moins intelligents qu’avant, mais à cause d’une défaillance syntaxique» explique Emmanuelle*, professeure de philosophie .

Dans le classement international Pisa qui évalue le niveau de connaissance des  élèves de 15 ans  sur les 85 pays participants la France occupe la  26e place.

 

 

Trump ne veut plus de débat avec Kamala Harris

Trump ne veut plus de débat avec Kamala Harris

Le républicain Donald Trump  largement dominé par Kamala Harris lors de la première confrontation refuse désormais de participer à un second échange.

La vice-présidente at proposé  à son adversaire républicain une confrontation le 23 octobre, sur CNN. «J’espère que Donald Trump se joindra à moi», avait-elle lancé sur X.

Réponse de l’intéressé: c’est trop tard et de toute façon j’ai déjà gagné le premier débat. En réalité la plupart des observateurs attribuent la victoire à Kamala Harris pour la première confrontation et Donald Trump n’a guère envie de subir une seconde défaite.

 

Pourquoi personne ne tente d’assassiner Kamala Harris ? (Elon Musk sur X).

Pourquoi personne ne tente d’assassiner Kamala Harris ? (Elon Musk sur X).

 

La folie d’Elon Musk ( Soutien inconditionnel de Trump)  se confirme avec cette déclaration scandaleuse où il s’étonne sur Twitter (X) que Kamala Harris voire Biden ne fasse pas aussi l’objet  de tentative d’assassinat. Évidemment cela a suscité de nombreuses réactions surtout négatives y compris de la Maison-Blanche qui a qualifié le propos de « rhétorique irresponsable. Une déclaration qui en tout cas ne va pas redorer le blason de Twitter où les annonceurs sont font de moins en moins nombreux pour ne pas être salis par des propos polémiques voire scandaleux.

Le propriétaire de X n’a eu d’autre choix que de justifier sa publication, qui était selon lui une blague mal comprise. «J’ai appris une leçon : ce n’est pas parce qu’un groupe rit de ce que je dis, que cela en fera forcément une publication drôle sur X.» Deux minutes plus tard, il renchérit : «Il s’avère que les blagues sont BEAUCOUP moins drôles quand elles sont écrites, et quand les gens n’en connaissent pas le contexte.» Finalement, 9 heures après sa publication initiale, l’entrepreneur a décidé de l’effacer.

 

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français ne font pas confiance à Macron

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français  ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Nouveau Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Nouveau  Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Venezuela : Après les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine l’UE ne reconnaît pas Maduro

Venezuela : Après les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine l’UE ne reconnaît pas Maduro

 

L’Union  Européenne ne reconnaît pas le caractère démocratique de l’élection présidentielle de Maduro au Venezuela.

L’Union européenne ne reconnaît pas de «légitimité démocratique» au président vénézuélien Nicolas Maduro après sa réélection en juillet, a annoncé jeudi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.

Maduro «continuera à être président, oui, de facto. Mais nous ne reconnaissons pas de légitimité démocratique basée sur des résultats (électoraux) qui ne peuvent pas être vérifiés», a déclaré M. Borrell, à l’issue d’une réunion informelle des ministres des Affaires étrangères de l’UE à Bruxelles.

Maduro continue d’ignorer les manifestations nombreuses et massives de l’opposition qui considère avoir emporté l’élection avec plus de 60 % des voix.

Notons qu’en France, Mélenchon soutient inconditionnel de Maduro n’a pas osé s’exprimer sur cette élection truquée du bolivarisme.

Destitution de Macron : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

 Destitution de Macron  : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

Le Parti socialiste (PS)  s’est désolidarisé de ses alliés « Insoumis » qui ont menacé dans un texte publié dans La Tribune Dimanche d’engager une procédure de destitution contre Emmanuel Macron, faisant disparaître toute chance de voir cette procédure aboutir.

«Cette tribune n’est signée que par les dirigeants de LFI, a souligné Olivier Faure sur X. Elle n’engage que leur mouvement. La réponse à une nomination d’un PM qui ne serait pas conforme à la tradition républicaine, est la censure.»

 

Même s’il avait été soutenu par tout le NFP, cet «avertissement solennel» des Insoumis aurait été complexe à mettre en place: une procédure de destitution nécessite en effet de convaincre Assemblée et Sénat de se constituer en «Haute cour». Ce qui nécessite, notamment, une majorité des deux tiers dans chaque hémicycle, puis lors du vote de tous les parlementaires.

D’autres membres du PS se sont désolidarisés de la proposition de LFI, comme l’opposant interne à Olivier Faure, Nicolas Mayer-Rossignol. «Discutée ? Non. Approuvée ? Non. Engageant le NFP ? Non. Cette tribune – ni fait ni à faire – n’engage que ses auteurs», a écrit sur X le maire de Rouen

 

On ne gouverne pas un pays par décrets….sauf en Russie

 On ne gouverne pas un pays par décrets….sauf en Russie

Faute de majorité, le dernier gouvernement avait laissé entendre qu’il pourrait agir par décret notamment en suspendant les textes d’application des lois. En clair, utiliserait le décret pour supprimer la loi alors qu’évidemment la loi prime sur le décret dont l’objet est seulement de préciser les modalités de mise en oeuvre des textes votés au Parlement. Certes on objectera que certaines lois ont peu ou pas du tout été appliquées mais il s’agit là de cas marginaux. Actuellement ce qui est en cause c’est la loi sur les minima sociaux, la loi sur les retraites, la loi sur l’indemnisation du chômage.

À travers le NFP, la gauche pense avoir trouvé la martingale pour s’affranchir de l’obligation d’une majorité suffisante à l’assemblée nationale. Ainsi Mélenchon a-t-il annoncé sitôt les scores connus des législatives que le nouveau gouvernement procéderait par décrets. Autant dire qu’il s’agit d’une mise en congé du Parlement. Jusque-là le conseil d’État où le conseil constitutionnel n’ont pas réagi alors qu’il s’agit évidemment d’une sérieuse menace sur les principes démocratiques du pays. C’est  de cette manière que fonctionnent  la plupart des pays à régime autoritaire : le Parlement est une fiction et le pouvoir central décide de tout.

En outre sur le plan démocratique, il n’appartient pas aux seuls pouvoirs politiques de se substituer totalement et en permanence aux acteurs sociaux pour discuter des grandes orientations. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Macron s’est complètement assis sur cette nécessité d’impliquer les corps intermédiaires; Or Il est essentiel d’abord  qu’ils comprennent les enjeux ensuite pour qu’ils participent à l’élaboration des orientations y compris quand la décision finale revient éventuellement aux pouvoirs politiques.

On ne gouverne pas un pays en promettant un décret qui va augmenter les salaires de 100 €. C’est évidemment irresponsable autant qu’anti démocratique. Il y a un vrai problème de rémunération du travail dans le pays mais qui ne peut être examiné que de manière très fine par les acteurs sociaux et par filière sinon par exemple on risque encore d’écraser les grilles salariales des couches moyennes qualifiées.

On ne gouverne pas un pays en se substituant aux corps intermédiaires. La France n’est pas Cuba, ni la Russie, ni le Venezuela, encore moins la Chine. Accessoirement avant de décider de la gestion du pays par décret, il serait utile de revoir la problématique économique et financière du pays car le chiffrage par le nouveau Front populaire de ces propositions relève de la pure fantaisie.

Gouvernement- On ne gouverne pas un pays par décrets

Gouvernement- On ne gouverne pas un pays par décrets

Faute de majorité, le dernier gouvernement avait laissé entendre qu’il pourrait agir par décret notamment en suspendant les textes d’application des lois. En clair, utiliserait le décret pour supprimer la loi alors qu’évidemment la loi prime sur le décret dont l’objet est seulement de préciser les modalités de mise en oeuvre des textes votés au Parlement. Certes on objectera que certaines lois ont peu ou pas du tout été appliqués mais il s’agit là de cas marginaux. Actuellement ce qui est en cause c’est la loi sur les minima sociaux, la loi sur les retraites, la loi sur l’indemnisation du chômage.

À travers le NFP, la gauche pense avoir trouvé la martingale pour s’affranchir de l’obligation d’une majorité suffisante à l’assemblée nationale. Ainsi Mélenchon a-t-il annoncé sitôt les scores connus des législatives que le nouveau gouvernement procéderait par décrets. Autant dire qu’il s’agit d’une mise en congé du Parlement. Jusque-là le conseil d’État où le conseil constitutionnel n’ont pas réagi alors qu’il s’agit évidemment d’une sérieuse menace sur les principes démocratiques du pays. C’est  de cette manière que fonctionnent  la plupart des pays à régime autoritaire : le Parlement est une fiction et le pouvoir central décide de tout.

En outre sur le plan démocratique, il n’appartient pas aux seuls pouvoirs politiques de se substituer totalement et en permanence aux acteurs sociaux pour discuter des grandes orientations. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Macron s’est complètement assis sur cette nécessité d’impliquer les corps intermédiaires; Or Il est essentiel d’abord  qu’ils comprennent les enjeux ensuite pour qu’ils participent à l’élaboration des orientations y compris quand la décision finale revient éventuellement aux pouvoirs politiques.

On ne gouverne pas un pays en promettant un décret qui va augmenter les salaires de 100 €. C’est évidemment irresponsable autant qu’anti démocratique. Il y a un vrai problème de rémunération du travail dans le pays mais qui ne peut être examiné que de manière très fine par les acteurs sociaux et par filière sinon par exemple on risque encore d’écraser les grilles salariales des couches moyennes qualifiées.

On ne gouverne pas un pays en se substituant aux corps intermédiaires. La France n’est pas Cuba, ni la Russie, ni le Venezuela, encore moins la Chine. Accessoirement avant de décider de la gestion du pays par décret, il serait utile de revoir la problématique économique et financière du pays car le chiffrage par le nouveau Front populaire de ces propositions relève de la pure fantaisie.

Démocratie: On ne gouverne par décrets sauf dans les dictatures

Démocratie:   On ne gouverne  par décrets sauf dans les dictatures

Faute de majorité, le dernier gouvernement avait laissé entendre qu’il pourrait agir par décret notamment en suspendant les textes d’application des lois. En clair, utiliserait le décret pour supprimer la loi alors qu’évidemment la loi prime sur le décret dont l’objet est seulement de préciser les modalités de mise en oeuvre des textes votés au Parlement. Certes on objectera que certaines lois ont peu ou pas du tout été appliqués mais il s’agit là de cas marginaux. Actuellement ce qui est en cause c’est la loi sur les minima sociaux, la loi sur les retraites, la loi sur l’indemnisation du chômage.

À travers le NFP, la gauche pense avoir trouvé la martingale pour s’affranchir de l’obligation d’une majorité suffisante à l’assemblée nationale. Ainsi Mélenchon a-t-il annoncé sitôt les scores connus des législatives que le nouveau gouvernement procéderait par décrets. Autant dire qu’il s’agit d’une mise en congé du Parlement. Jusque-là le conseil d’État où le conseil constitutionnel n’ont pas réagi alors qu’il s’agit évidemment d’une sérieuse menace sur les principes démocratiques du pays. C’est  de cette manière que fonctionnent  la plupart des pays à régime autoritaire : le Parlement est une fiction et le pouvoir central décide de tout.

En outre sur le plan démocratique, il n’appartient pas aux seuls pouvoirs politiques de se substituer totalement et en permanence aux acteurs sociaux pour discuter des grandes orientations. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Macron s’est complètement assis sur cette nécessité d’impliquer les corps intermédiaires; Or Il est essentiel d’abord  qu’ils comprennent les enjeux ensuite pour qu’ils participent à l’élaboration des orientations y compris quand la décision finale revient éventuellement aux pouvoirs politiques.

On ne gouverne pas un pays en promettant un décret qui va augmenter les salaires de 100 €. C’est évidemment irresponsable autant qu’anti démocratique. Il y a un vrai problème de rémunération du travail dans le pays mais qui ne peut être examiné que de manière très fine par les acteurs sociaux et par filière sinon par exemple on risque encore d’écraser les grilles salariales des couches moyennes qualifiées.

On ne gouverne pas un pays en se substituant aux corps intermédiaires. La France n’est pas Cuba, ni la Russie, ni le Venezuela, encore moins la Chine. Accessoirement avant de décider de la gestion du pays par décret, il serait utile de revoir la problématique économique et financière du pays car le chiffrage par le nouveau Front populaire de ces propositions relève de la pure fantaisie.

Politique France :On ne gouverne pas un pays par décrets

Politique France  :On ne gouverne pas un pays par décrets

Faute de majorité, le dernier gouvernement avait laissé entendre qu’il pourrait agir par décret notamment en suspendant les textes d’application des lois. En clair, utiliserait le décret pour supprimer la loi alors qu’évidemment la loi prime sur le décret dont l’objet est seulement de préciser les modalités de mise en oeuvre des textes votés au Parlement. Certes on objectera que certaines lois ont peu ou pas du tout été appliqués mais il s’agit là de cas marginaux. Actuellement ce qui est en cause c’est la loi sur les minima sociaux, la loi sur les retraites, la loi sur l’indemnisation du chômage.

À travers le NFP, la gauche pense avoir trouvé la martingale pour s’affranchir de l’obligation d’une majorité suffisante à l’assemblée nationale. Ainsi Mélenchon a-t-il annoncé sitôt les scores connus des législatives que le nouveau gouvernement procéderait par décrets. Autant dire qu’il s’agit d’une mise en congé du Parlement. Jusque-là le conseil d’État où le conseil constitutionnel n’ont pas réagi alors qu’il s’agit évidemment d’une sérieuse menace sur les principes démocratiques du pays. C’est  de cette manière que fonctionnent  la plupart des pays à régime autoritaire : le Parlement est une fiction et le pouvoir central décide de tout.

En outre sur le plan démocratique, il n’appartient pas aux seuls pouvoirs politiques de se substituer totalement et en permanence aux acteurs sociaux pour discuter des grandes orientations. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Macron s’est complètement assis sur cette nécessité d’impliquer les corps intermédiaires; Or Il est essentiel d’abord  qu’ils comprennent les enjeux ensuite pour qu’ils participent à l’élaboration des orientations y compris quand la décision finale revient éventuellement aux pouvoirs politiques.

On ne gouverne pas un pays en promettant un décret qui va augmenter les salaires de 100 €. C’est évidemment irresponsable autant qu’anti démocratique. Il y a un vrai problème de rémunération du travail dans le pays mais qui ne peut être examiné que de manière très fine par les acteurs sociaux et par filière sinon par exemple on risque encore d’écraser les grilles salariales des couches moyennes qualifiées.

On ne gouverne pas un pays en se substituant aux corps intermédiaires. La France n’est pas Cuba, ni la Russie, ni le Venezuela, encore moins la Chine. Accessoirement avant de décider de la gestion du pays par décret, il serait utile de revoir la problématique économique et financière du pays car le chiffrage par le nouveau Front populaire de ces propositions relève de la pure fantaisie.

12345...41



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol