Archive pour le Tag 'ne'

Finances et économie : les Français ne travaillent pas assez

Finances et économie : les Français ne travaillent pas assez


Le Premier ministre tourne autour du pot en considérant que le pays ne produit pas assez. Et il impute cette insuffisance à la faiblesse du taux d’emploi ( rapport actifs sur population). Une donnée indiscutable mais qui devrait être complétée par une autre à savoir que c’est tout le pays qui ne travaille pas assez tout au long de sa vie, dès le départ professionnel ( 35 % seulement des jeunes travaillent; en France pour 50 % en Allemagne), même rapport défavorable pour la retraite et la productivité . Sans parler de la valeur travail qui s’étiole d’année en année sous la pression de l’opinion et d’organisations gauchistes comme certains syndicats trop satisfaits ainsi de fabriquer des Français mécontents et des « révolutionnaires potentiels » !

Quant au discours sur la réduction des dépenses publiques, c’est toujours le même refrain avec la promesse d’être plus rigoureux mais une incapacité totale à dégraisser le mammouth technocratique, administratif et politique. Chacun y va de sa solution réductrice pour réduire les dépenses ici ou là. La vérité c’est qu’il faut les réduire absolument partout même dans les secteurs tendus car il y a d’autres manières d’assurer les tâches régaliennes avec qualité et rigueur. La vérité encore c’est que personne ne contrôle plus les dépenses en France ce sont des superstructures qui décident des investissements et de la dérive des frais de fonctionnement. Cela vaut pour l’État jusqu’aux plus petites communes.

Economie : les Français ne travaillent pas assez

Economie : les Français ne travaillent pas assez


Le Premier ministre tourne autour du pot en considérant que le pays ne produit pas assez. Et il impute cette insuffisance à la faiblesse du taux d’emploi ( rapport actifs sur population). Une donnée indiscutable mais qui devrait être complétée par une autre à savoir que c’est tout le pays qui ne travaille pas assez tout au long de sa vie, dès le départ professionnel ( 35 % seulement des jeunes travaillent; en France pour 50 % en Allemagne), même rapport défavorable pour la retraite et la productivité . Sans parler de la valeur travail qui s’étiole d’année en année sous la pression de l’opinion et d’organisations gauchistes comme certains syndicats trop satisfaits ainsi de fabriquer des Français mécontents et des « révolutionnaires potentiels » !

Quant au discours sur la réduction des dépenses publiques, c’est toujours le même refrain avec la promesse d’être plus rigoureux mais une incapacité totale à dégraisser le mammouth technocratique, administratif et politique. Chacun y va de sa solution réductrice pour réduire les dépenses ici ou là. La vérité c’est qu’il faut les réduire absolument partout même dans les secteurs tendus car il y a d’autres manières d’assurer les tâches régaliennes avec qualité et rigueur. La vérité encore c’est que personne ne contrôle plus les dépenses en France ce sont des superstructures qui décident des investissements et de la dérive des frais de fonctionnement. Cela vaut pour l’État jusqu’aux plus petites communes.

Endettement et économie : les Français ne travaillent pas assez

Endettement et économie : les Français ne travaillent pas assez


Le Premier ministre tourne autour du pot en considérant que le pays ne produit pas assez. Et il impute cette insuffisance à la faiblesse du taux d’emploi ( rapport actifs sur population). Une donnée indiscutable mais qui devrait être complétée par une autre à savoir que c’est tout le pays qui ne travaille pas assez tout au long de sa vie, dès le départ professionnel ( 35 % seulement des jeunes travaillent; en France pour 50 % en Allemagne), même rapport défavorable pour la retraite et la productivité . Sans parler de la valeur travail qui s’étiole d’année en année sous la pression de l’opinion et d’organisations gauchistes comme certains syndicats trop satisfaits ainsi de fabriquer des Français mécontents et des « révolutionnaires potentiels » !

Quant au discours sur la réduction des dépenses publiques, c’est toujours le même refrain avec la promesse d’être plus rigoureux mais une incapacité totale à dégraisser le mammouth technocratique, administratif et politique. Chacun y va de sa solution réductrice pour réduire les dépenses ici ou là. La vérité c’est qu’il faut les réduire absolument partout même dans les secteurs tendus car il y a d’autres manières d’assurer les tâches régaliennes avec qualité et rigueur. La vérité encore c’est que personne ne contrôle plus les dépenses en France ce sont des superstructures qui décident des investissements et de la dérive des frais de fonctionnement. Cela vaut pour l’État jusqu’aux plus petites communes.

Finances publiques : le pays ne produit pas assez mais surtout ne travaille pas assez

Finances publiques : le pays ne produit pas assez mais surtout ne travaille pas assez


Le Premier ministre tourne autour du pot en considérant que le pays ne produit pas assez. Et il impute cette insuffisance à la faiblesse du taux d’emploi. Une donnée indiscutable mais qui devrait être complétée par une autre à savoir que c’est tout le pays qui ne travaille pas assez tout au long de sa vie, dès le départ professionnel et jusqu’à la retraite et y compris avec une productivité dégradée. Sans parler de la valeur travail qui s’étiole d’année en année sous la pression de l’opinion et d’organisations gauchistes comme certains syndicats trop satisfaits ainsi de fabriquer des Français mécontents et des « révolutionnaires potentiels » !

Quant au discours sur la réduction des dépenses publiques, c’est toujours le même refrain avec la promesse d’être plus rigoureux mais une incapacité totale à dégraisser le mammouth technocratique, administratif et politique. Chacun y va de sa solution réductrice pour réduire les dépenses ici ou là. La vérité c’est qu’il faut les réduire absolument partout même dans les secteurs tendus car il y a d’autres manières d’assurer les tâches régaliennes avec qualité et rigueur. La vérité encore c’est que personne ne contrôle plus les dépenses en France ce sont des superstructures qui décident des investissements et de la dérive des frais de fonctionnement. Cela vaut pour l’État jusqu’aux plus petites communes.

Économie de guerre : Ne pas se contenter de mots (Attali)

Économie de guerre : Ne pas se contenter de mots (Attali)

Jacques Attali considère qu’il ne faut pas se contenter de mots et souhaite que se mettre en place une véritable économie de guerre. Interrogé lors du « Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat » ce dimanche, Jacques Attali a invité les Européens à être à la hauteur de « l’accélération de l’histoire » qui se déroule actuellement.

Attali considère que « Poutine n’a pas renoncé à mettre un gouvernement fantoche à la tête de l’Ukraine. Puis de menacer ensuite la Moldavie et la Roumanie » Pour éviter ce scénario, c’est au Vieux Continent d’assurer la sécurité de Kiev, au travers d’une force de gardiens de la paix.

Reste que les belles déclarations seules ne suffiront pas si la France et le reste du Vieux Continent ne se donnent pas les moyens de leurs ambitions. L’essayiste ajoute sa voix à ceux qui demandent « d’en faire beaucoup plus » dans le passage vers l’économie de guerre. Combien Paris doit-il consacrer à sa défense ? « Pour moi, c’est 4 % de son PIB », a-t-il détaillé.

Toutefois, l’invité de ce dimanche a fait entendre un son singulier en expliquant que « l’argent ne manquait pas » pour financer cet effort. Une position à rebours de la doxa pour qui il faudra choisir entre « les canons et les pensions », selon les mots du sociologue Julien Damon dans Le Figaro . Au contraire, « c’est le moment d’investir, pas de faire des économies », a assuré Jacques Attali. Le projet d’emprunt de 800 milliards d’euros présenté par Ursula von der Leyen va donc dans le bon sens, selon lui.

La Russie ne s’arrêtera pas là

La Russie ne s’arrêtera pas là ! (Bayrou)

Le Premier ministre, François Bayrou, a affirmé ce vendredi 7 mars que le « déploiement de la puissance militaire de la Russie » ne « s’arrêtera pas là », alors qu’Emmanuel Macron a mis en garde contre la « menace » russe. L’invasion russe de l’Ukraine a été « l’épicentre d’un tremblement de terre », a de son côté déclaré François Bayrou sur Europe 1 et CNews

« Désormais, c’est la loi du plus fort. Si vous avez les moyens, si vous avez l’armée, si vous avez l’aviation, si vous avez toutes les menaces que la guerre moderne a réuni alors vous pouvez conquérir le voisin », a-t-il affirmé. « Si l’on ne voit pas que ceci est un déstabilisateur de toute la vie de la planète, on ne voit rien », a-t-il expliqué.

François Bayrou a estimé que le « déploiement de la puissance militaire de la Russie, ça ne s’arrêtera pas là » et « donné tort » au président américain Donald Trump « de renverser les lois qui faisaient que nous vivions en paix, (…) de faire de ses alliés des adversaires et des ennemis » et « de rendre le monde plus insécurisé qu’il ne l’était, plus dangereux qu’il ne l’était ».

Réarmer la France sans affaiblir davantage des finances publiques déjà exsangues: le laborieux budget 2025 à peine voté, le gouvernement se heurte à un nouveau casse-tête face à ce qu’Emmanuel Macron a décrit comme « la menace » de la Russie.

Dans une mise en garde télévisée contre les « dangers » suscités par le rapprochement entre Moscou et Washington, le président de la République a laissé entendre qu’un nouvel effort budgétaire difficile attendait les Français, avec « des réformes, des choix, du courage ». Pour lui, les Européens doivent porter leurs dépenses militaires à 3% ou 3,5% de leur richesse nationale, contre 2% actuellement en France.

Automobile électrique–l’assemblée ne vote pas l’interdiction des moteurs thermiques en 2035

Automobile électrique–l’assemblée ne vote pas l’interdiction des moteurs thermiques en 2035

 

L’Assemblée nationale a rejeté l’article d’un projet de loi transposant cette échéance européenne de 2035en droit français.

Pourra-t-on toujours acheter des véhicules thermiques neufs en France après 2035 ? L’Assemblée nationale a voté, lundi 17 février, la suppression d’un article transposant cette nouvelle échéance européenne, à la place du précédent objectif de 2040. Les députés LR, RN et même une élue macroniste ont défendu contre l’avis du gouvernement des amendements de suppression de cette mesure, estimant que les constructeurs automobiles européens ne sont pas prêts et que les véhicules électriques sont encore trop chers.

Droits de douane américain : on ne va pas se laisser faire !

Droits de douane américain : on ne va pas se laisser faire !
C’est la réponse du ministre du commerce extérieur Laurent Saint-Martin face à la perspective d’une hausse significative des droits de douane qui pourrait être décidée par le président américain. Reste à savoir si l’union européenne sera également unie dans une riposte qui nécessairement devrait être à la hauteur de l’attaque américaine pour peser sur les négociations entre l’union européenne et les  États-Unis.

 

«On ne va pas se laisser faire», a lancé pour sa part le ministre délégué au Commerce extérieur Laurent Saint-Martin, interrogé dimanche sur la chaîne CNews sur les menaces commerciales du nouvel occupant de la Maison Blanche. «Si le premier visage que vous envoyez de l’Europe vis-à-vis des États-Unis, de la Chine et du monde entier, c’est “allez-y, nous ne sommes qu’un marché de consommateurs et après tout, nous ne produirons plus chez nous”, vous avez perdu la bataille», a-t-il poursuivi.

«Nous les Européens, sommes-nous capables de jouer ensemble ou jouons-nous les uns contre les autres ? Si nous jouons les uns contre les autres, nous disparaîtrons.» ajoute François Bayrou. Le chef du gouvernement est convaincu que l’Hexagone «a des atouts à faire valoir face à l’Amérique de Trump».

Politique–pour Jospin on ne censure pas pour un mot

Politique–pour Jospin on ne censure pas pour un mot

 

 

L »ancien Premier ministre Lionel Jospin appelle « les socialistes et l’ensemble des forces de gauche à ne pas voter la censure », dans l’émission C l’hebdo sur France 5. Le terme de « submersion migratoire » « ne correspond pas à la réalité », affirme le socialiste, alors que les propos de François Bayrou lundi ont vivement fait réagir sa famille politique, au point de faire à nouveau planer la menace d’une censure. Mais « on ne censure pas pour un mot ! » met en garde Lionel Jospin, qui ajoute : « Voter la censure aujourd’hui ne serait pas responsable. »

Face à la journaliste Aurélie Casse, il s’est défendu d’être un soutien du gouvernement : « Je suis un homme de gauche, je suis un membre du Parti socialiste sans y occuper aucune responsabilité. Je ne suis pas un adepte du président Macron, je ne soutiens pas le gouvernement de François Bayrou. Mais j’ai eu des responsabilités d’État, j’ai gouverné la France pendant cinq ans et je sais une chose : un pays ne peut pas ne pas avoir de gouvernement. » Or le Nouveau Front populaire n’est pas en mesure aujourd’hui de former un gouvernement, selon lui.

 

Politique-Elon Musk – Encore sous cocaïne- ne veut pas de démocratie sur Mars

Politique-Elon Musk - Encore sous cocaïne- ne veut pas de démocratie sur Mars

 

Comme si le monde ne connaissait pas suffisamment de problèmes, le milliardaire génial mais fou ne cesse d’intervenir avec des idées les plus farfelues notamment en soutenant des parties d’opposition d’extrême droite. Cette fois il affirme que dans sa vision lointaine quand la planète Mars sera colonisée, on pourra se passer de la démocratie représentative en utilisant la démocratie directe. Exactement ce que préconise et mettent  en œuvre tous les dictateurs au monde.

Compte tenu des positions de plus en plus iconoclastes de Musk- souvent sous cocaïne- , il est vraisemblable qu’il y aura un jour affrontement avec le président américain.

Elon Musk devrait pourtant se montrer prudent car officiellement le mélange politique et business est rarement compatible. Faut-il aussi rappeler que le milliardaire vit largement aux frais des subventions reçues des États-Unis et grâce à la politique protectionniste américaine.

Interrogé sur l’éventuel système de gouvernement, le fondateur de Space X affirme que les humains qui arriveront sur la planète et qui la coloniseront «choisiront eux-mêmes leur mode de fonctionnement politique». Il se permet d’émettre une «recommandation» : « Je préconise la démocratie directe plutôt que la démocratie représentative», a-t-il écrit dans son post.

Pour que des êtres humains posent pied sur la planète, Elon Musk estime le délai à environ quatre ans «pour les vaisseaux avec équipage». Une promesse sans doute faite sous influence de la cocaïne ! En fait 4ans, 40 ans ou plus vraisemblablement jamais !

Condamnation de Monsieur Bismuth Sarkozy. Qui ne grandit pas la politique et la justice

Condamnation de Monsieur Bismuth Sarkozy. Qui ne grandit pas la politique et la justice

Avec toutes les gamelles de traîner Sarkozy Il avait peu  de chance d’échapper aux mailles du filet. Trois ans de prison avec obligation de porter un bracelet électronique pendant un an. Un symbole surtout infamant pour lui et qui ne grandit pas l’image du pays. Sarkozy paye ainsi ses frasques mais aussi ses attaques régulières contre la justice. Une justice par ailleurs complètement engluée dans ses procédures puisque il aura fallu plus de 10 ans pour aboutir à cette sanction. Le pire c’est qu’elle est douteuse puisqu’on se fonde surtout sur une conversation entre un accusé et son avocat qui normalement relève du secret total. Reste cependant les coups tordus de Sarkozy qui s’en est bien sorti par exemple avec l’affaire Bettencourt mais qui pourrait bien aussi replonger avec le financement libyen.

Le problème de ce financement d’ailleurs pose la question de la responsabilité de toute la classe politique qui d’une manière ou d’une autre a toujours été souvent engagée du fait de sources douteuses comme par exemple celles qui ont concerné la campagne de Macron (affaire enterrée mais qui pourrait bien rejaillir un jour après la fin du mandat de l’intéressé).

La justice profite de la baisse de crédibilité du politique pour régler des comptes quand les responsables nationaux sont affaiblis et on assiste notamment à une judiciairisation  de la politique ( recours excessif à des instances judiciaires dans les choix politiques. Inversement le politique politise la justice en accusant d’être responsable des faiblesses de la société par exemple en matière de sécurité du trafic de drogue.

 

 

Bayrou doit changer de braquet pour ne pas être viré rapidement

Bayrou doit changer de braquet pour  ne pas être viré rapidement

A l’ Assemblée nationale de Bayrou, l’intervention ne ne laissera pas un grand souvenir ,elle a montré un premier ministre qui a du mal à se mettre au rythme des urgences du pays. Il est vrai que pour l’instant l’intéressé était dans sa zone de confort. Aujourd’hui il accède à la responsabilité suprême pour diriger le gouvernement. Il va falloir travailler sur un autre rythme. Or Bayrou n’a pas laissé une image particulière de grand travailleur lorsqu’il était ministre de l’éducation nationale sous Mitterrand et il y a longtemps. À la direction du plan, il n’a pas fait grand-chose. Même si effectivement il s’agissait d’un hochet  attribué  par Macron à celui qui lui avait permis d’être élu lors de l’élection présidentielle.

Certains ont déjà comparés Bayrou à Jo Biden. Le premier Ministre paraît en effet empâté et pas dans le rythme nécessaire des enjeux du moment. Ses réponses à l’Assemblée nationale ressemblaient  davantage à celle d’un président de conseil général qu’à celle d’un premier ministre !

Exemple encore notamment le temps fou « pour constituer un gouvernement alors qu’il prendra la quasi-totalité de ses membres dans ce qui reste du socle parlementaire. Le problème est simple il doit rapidement s’entourer de personnalités fortes pour compenser ses propres faiblesses. La propre faiblesse de Bayrou pourraient justement se situer dans son manque de réactivité et même de travail. Et même sur le plan de la rhétorique intéressée paraît un peu endormi voire faible, dommage pour un diplômé en lettres !

« Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise? Tout ça ne donne vraiment pas une bonne impression. Je comprends que ça puisse heurter », reconnaît un élu Modem.

« C’est peut-être malhabile », lâche de son côté, du bout des lèvres, le député Richard Ramos, assurant que François Bayrou a « voulu marquer ses débuts à Matignon en parlant des territoires ».
Quant à la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, pourtant sur le papier dans le camp de François Bayrou, elle n’a pas fait semblant. « J’aurais préféré qu’il prenne l’avion pour Mayotte », a-t-elle critiqué sur France info.

 

Sondage Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Sondage    Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement. Ce n’est sans doute pas la mièvre prestation de Bayrou qui aura changé les tendances après l’intervention à l’Assemblée nationale de mardi dernier.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

Malgré Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Malgré   Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

 

Malgré Bayrou , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Malgré   Bayrou , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

 

12345...42



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol