Archive pour le Tag '70%'

Antisémitisme : 70 % des Français condamnent l’absence de Mélenchon à la marche

Antisémitisme : 70 % des Français condamnent l’absence de Mélenchon à la marche

70 % des Français condamnent l’absence de Mélenchon à la marge de dimanche contre l’antisémitisme. Par ailleurs selon un nouveau sondage « L’Opinion en direct », piloté par l’institut Elabe pour BFMTV, 60% des Français estiment que Marine Le Pen et le Rassemblement national avaient leur place dans la marche contre l’antisémitisme du dimanche 12 novembre.

70% jugent que LFI aurait dû participer au cortège parisien. La France insoumise avait de son côté annoncé qu’elle ne s’y rendrait pas dans un communiqué dénonçant la présence annoncée du RN. « Lutter contre l’antisémitisme et contre toutes les formes de racisme est impraticable aux côtés d’un parti qui trouve ses origines dans l’histoire de la collaboration avec le nazisme », a affirmé LFI.

Finalement, certains députés insoumis comme François Ruffin, Clémentine Autain, Raquel Garrido et Alexis Corbière ont participé à la marche de Strasbourg, organisée par la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) locale. François Ruffin a expliqué que « les forces d’extrême droite n’y étaient pas les bienvenues, donc ça nous a paru être le meilleur endroit pour manifester ».

Cet avis est même partagé par 59% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon au premier tour de l’élection présidentielle de 2022. 50% des personnes interrogées par l’institut Elabe jugent aussi que Jean-Luc Mélenchon et LFI ont une position ambiguë contre l’antisémitisme – 36% n’ont pas d’avis et 14% jugent que leur position est claire.

Selon ce sondage « L’Opinion en direct », 81% des Français se disent inquiets de l’augmentation du nombre d’actes antisémites en France (31% très inquiets et 50% plutôt inquiets).

Manifestations antisémitisme : 70 % des Français approuvent

Manifestations antisémitisme dimanche : 70 % des Français approuvent

Les réticences et conditions restrictives des partis politiques à propos de la manifestation contre l’antisémitisme dimanche sont mal appréciées par les Français qui soutiennent l’initiative pour 70 % d’entre eux. Près de 60 % condamnent aussi le refus de certains responsables de défiler avec le RN et sans doute aussi avec elle LFI qui boudera l’initiative alors que ses partisans sont 75 % à l’encourager.(sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro)

Imaginée par des élus Renaissance et Les Républicains, la marche reçoit son plus fort soutien chez les proches du Parti socialiste (84%) et des Écologistes (81%). Les sympathisants macronistes et de droite sont respectivement 79% et 73% à s’y montrer favorables.

Le rassemblement, vilipendé par Jean-Luc Mélenchon qui y voit un «rendez-vous» des «amis du soutien inconditionnel au massacre», trouve pourtant grâce aux yeux des partisans de La France insoumise (LFI). Ils sont 75% à l’encourager, alors même que les Insoumis ont annoncé leur absence. En cause, «l’ambiguïté des objectifs de cette démarche». Les sympathisants de LFI sont d’ailleurs 79% à considérer que la marche ne s’assimile pas à un soutien au gouvernement israélien, une accusation pourtant portée par le mouvement de gauche.

De l’autre côté du spectre politique, les proches du Rassemblement national (RN) se montrent les plus hostiles à l’initiative parlementaire (70%). Ils sont par ailleurs les moins nombreux à estimer que la participation au rassemblement ne correspond pas à un support de l’État hébreu (69%). Marine Le Pen et Jordan Bardella étaient pourtant parmi les premiers à répondre présents à l’appel des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. Ce qui n’a pas manqué de susciter les admonestations de la gauche mais également d’une partie de la macronie, pour qui le parti à la flamme n’a pas sa place dans le cortège.

Si l’Élysée n’a toujours pas communiqué sur la présence d’Emmanuel Macron ce dimanche, 54% des Français jugent que le président de la République ne devrait pas y participer.

Social- Bangladesh: Un salaire de misère d’environ 100 euros pour 70 heures de travail par semaine

Social- Bangladesh: Un salaire de misère d’environ 100 euros pour 70 heures de travail par semaine

Le Bangladesh va devenir progressivement l’usine du monde du textile. Un développement exponentiel lié à la faiblesse des coûts salariaux. En effet un salarié gagne à peine 100 € pour de l’ordre de 70 heures de travail. Les ouvriers du textile demandent au moins le doublement voire le triplement de cette rémunération.

Près de 250 usines de confection ont fermé après de violentes manifestations. Des dizaines d’entre elles auraient été saccagées et vandalisées.

Deuxième exportateur mondial de vêtement derrière la Chine, le Bangladesh compte 3 500 usines et 4 millions de travailleurs. Fournisseurs de grandes entreprises occidentales, comme Gap, H&M ou Levi Strauss, ces usines exportent une grande partie de leur production vers l’Europe et les États-Unis.

En 2019, plus de 75 % des exportations de vêtements étaient destinées à ces régions. Le secteur de l’habillement représente 85 % des 55 milliards de ses ventes à l’étranger. Plusieurs marques, dont Adidas, Hugo Boss ou encore Puma, ont écrit le mois dernier à la première ministre, Sheikh Hasina, lui enjoignant d’augmenter les salaires conformément à la législation qui prévoit une hausse tous les cinq ans. Certaines entreprises pâtissent déjà de commandes bloquées à cause des grèves.

La colère des ouvriers a explosé après que la puissante association des fabricants et exportateurs de vêtements (BGMEA), représentant les propriétaires d’usines, a proposé une augmentation des rémunérations de seulement 25 %. Les usines sont régulièrement critiquées pour leur dangerosité, en atteste l’effondrement du Rana Plaza, en 2013, qui a coûté la vie à 1 100 personnes. Au-delà des incendies et des effondrements de bâtiments qui sont des menaces constantes, de nombreux travailleurs sont exposés à des risques chimiques nocifs et sans protection adéquate, décrient les syndicats.

Bangladesh: Un salaire de misère pour 70 heures de travail par semaine

Bangladesh: Un salaire de misère d’environ 100 euros pour 70 heures de travail par semaine

Le Bangladesh va devenir progressivement l’usine du monde du textile. Un développement exponentiel lié à la faiblesse des coûts salariaux. En effet un salarié gagne à peine 100 € pour de l’ordre de 70 heures de travail. Les ouvriers du textile demandent au moins le doublement voire le triplement de cette rémunération.

Près de 250 usines de confection ont fermé après de violentes manifestations. Des dizaines d’entre elles auraient été saccagées et vandalisées.

Deuxième exportateur mondial de vêtement derrière la Chine, le Bangladesh compte 3 500 usines et 4 millions de travailleurs. Fournisseurs de grandes entreprises occidentales, comme Gap, H&M ou Levi Strauss, ces usines exportent une grande partie de leur production vers l’Europe et les États-Unis.

En 2019, plus de 75 % des exportations de vêtements étaient destinées à ces régions.Le secteur de l’habillement représente 85 % des 55 milliards de ses ventes à l’étranger. Plusieurs marques, dont Adidas, Hugo Boss ou encore Puma, ont écrit le mois dernier à la première ministre, Sheikh Hasina, lui enjoignant d’augmenter les salaires conformément à la législation qui prévoit une hausse tous les cinq ans. Certaines entreprises pâtissent déjà de commandes bloquées à cause des grèves.

La colère des ouvriers a explosé après que la puissante association des fabricants et exportateurs de vêtements (BGMEA), représentant les propriétaires d’usines, a proposé une augmentation des rémunérations de seulement 25 %. Les usines sont régulièrement critiquées pour leur dangerosité, en atteste l’effondrement du Rana Plaza, en 2013, qui a coûté la vie à 1 100 personnes. Au-delà des incendies et des effondrements de bâtiments qui sont des menaces constantes, de nombreux travailleurs sont exposés à des risques chimiques nocifs et sans protection adéquate, décrient les syndicats.

Aéroports : plus de 70 fausses alertes à la bombe…..depuis la Suisse !

Aéroports : plus de 70 fausses alertes à la bombe…..depuis la Suisse !

Pour preuve du grand courage des fauteurs de troubles, les aéroports ont été victimes de plus de 60 fausses alertes à la bombe depuis la Suisse et en outre depuis le même émail.

L’ rresponsabilité et l’hypocrisie atteinte ainsi des sommets chez ceux qui entendent protester notamment contre Israël en perturbant la vie économique et sociale voir culturelle. Il faut dire que les individus en cause non ce ne sont pas de grands intellectuels. Souvent shootés à l’ersatz de religion islamiste.

S’y ajoutent évidemment tous les tordus de la terre content de mettre la pagaille pour sans doute compenser leurs propres frustrations.

«De gros abrutis voire de grands délinquants», s’est exclamé Clément Beaune à propos de l’identité des auteurs des multiples alertes à la bombe… Près de 70 fausses alertes à la bombe ont visé des aéroports français depuis mercredi, envoyées depuis «quasiment toujours la même adresse email située en Suisse», a indiqué dimanche le ministre des Transports.

«Il y a eu malheureusement près de 70 alertes de ce type qui ont concerné nos aéroports depuis mercredi, heureusement beaucoup moins hier samedi, premier jour de départ en vacances pour beaucoup de Français», a déclaré Clément Beaune, invité de Questions politiques (France inter, France TV, Le Monde).

Les alertes sur les aéroports sont le fait non «pas de petits blagueurs» mais de «gros abrutis voire de grands délinquants», a souligné le ministre. Concernant leur motivation, «il peut y avoir un mélange entre des gens qui font des mauvaises blagues, qui veulent faire peur pour de vrai, et parfois aussi une sorte de compétition dans la bêtise entre des hackers», a-t-il suggéré.

«Depuis mercredi, c’est quasiment toujours la même adresse email qui est utilisée, située en dehors de l’Union européenne, en Suisse», a-t-il ajouté, laissant entendre que cela mettait les auteurs de cet «email type qui se ressemble d’un jour à l’autre» hors de portée de certaines sanctions dans l’UE.

Sondage Réforme des retraites : 70 % des Français pour un vote à l’assemblée

Sondage Réforme des retraites :70 % des Français pour un vote à l’assemblée

Selon un sondage Elabe pour BFMTV, 71% souhaitent que cette proposition de loi initiale, comprenant l’abrogation du report de l’âge légal de départ, soit débattue et mise au vote à l’Assemblée.

64% des Français interrogés souhaitent d’ailleurs que cette loi soit adoptée, un chiffre en hausse de trois points en une semaine. C’est notamment le souhait des électeurs de Jean-Luc Mélenchon (79%), et Marine Le Pen (72%), contrairement aux électeurs d’Emmanuel Macron qui y sont défavorables à 54%.

Yaël Braun-Pivet a cependant indiqué sur notre antenne ce mercredi matin que tous les amendements consistant à réintroduire l’abrogation de la retraite à 64 ans dans la proposition de loi Liot seront déclarés irrecevables.

« Demain, quoi qu’il se passe, il n’y aura pas d’abrogation de la réforme des retraites », a martelé la président de l’Assemblée nationale.
Play Video

En plus d’être majoritairement en faveur d’une abrogation de la réforme des retraites, 63% des Français continuent de soutenir le mouvement de mobilisation contre celle-ci.

Après un léger recul de cette approbation en avril et mai, elle a retrouvé son niveau de la fin du mois de mars. Ainsi, pour 59% des interrogés, « le combat continue », notamment chez les actifs (65%).

Sondage intervention Macron à la télé : sans intérêt pour 70 % des Français

Sondage intervention Macron à la télé : sans intérêt pour 70 % des Français

L’omniprésence de Macron dans les médias a pour conséquence de saturer l’opinion publique qui a jugé pour 70 % sa dernière intervention à la télé sans intérêt.

À l’issue de son interview télévisée lundi soir au 20 heures de TF1, 68% des Français l’ont jugé «plutôt pas convaincant», selon les résultats d’un sondage Odoxa. Pire, 39% n’ont pas du tout suivi l’intervention du chef de l’État, ni en direct, ni en revoyant des extraits ou des commentaires. Un chiffre record de non-intérêt pour une intervention du Président de la République. Emmanuel Macron enregistre ainsi son 3e plus mauvais score de «conviction» depuis cinq ans. Pourtant, derrière ce mauvais résultat, se cachent plusieurs indices d’un léger frémissement de l’opinion en faveur du chef de l’État.

«Si ce bilan est mauvais, il est tout de même significativement meilleur que celui de ses deux dernières interventions», observe Gaël Slimane, le président d’Odoxa. Pour sa dernière allocution officielle, le 18 avril dernier à propos de la réforme des retraites déjà, seulement 22% des Français l’ayant écouté s’étaient dits convaincus.

Sondage Macron : une intervention télé sans intérêt pour 70 % des Français

Sondage Macron : une intervention télé sans intérêt pour 70 % des Français

L’omniprésence de Macfon dans les médias a pour conséquence de saturer l’opinion publique qui a jugé pour 70 % sa dernière intervention à la télé sans intérêt.

À l’issue de son interview télévisée lundi soir au 20 heures de TF1, 68% des Français l’ont jugé «plutôt pas convaincant», selon les résultats d’un sondage Odoxa. Pire, 39% n’ont pas du tout suivi l’intervention du chef de l’État, ni en direct, ni en revoyant des extraits ou des commentaires. Un chiffre record de non-intérêt pour une intervention du Président de la République. Emmanuel Macron enregistre ainsi son 3e plus mauvais score de «conviction» depuis cinq ans. Pourtant, derrière ce mauvais résultat, se cachent plusieurs indices d’un léger frémissement de l’opinion en faveur du chef de l’État.

«Si ce bilan est mauvais, il est tout de même significativement meilleur que celui de ses deux dernières interventions», observe Gaël Slimane, le président d’Odoxa. Pour sa dernière allocution officielle, le 18 avril dernier à propos de la réforme des retraites déjà, seulement 22% des Français l’ayant écouté s’étaient dits convaincus.

RÉÉLECTION de MACRON: 70 % des Français regrettent

RÉÉLECTION de MACRON: 70 % des Français regrettent

Pour environ 70 % des Français, la réélection de Macon a été une mauvaise chose pour le pays, selon une enquête « L’Opinion en direct » menée par l’institut Elabe pour BFMTV publiée ce lundi.

Quand ils pensent au chef de l’Etat, les mots qui reviennent le plus chez les Français sont le désaccord (44%), la déception (42%), la colère (39%) et l’hostilité (26%). Des mots négatifs qui devancent largement des mots plus positifs tels que le respect (13%), le soutien (10%), la satisfaction (7%) ou encore la sympathie (7%).

Cette perception de l’action du chef de l’Etat se traduit aussi par la perte du soutien d’une partie de son électorat, et notamment de près d’un quart de son socle et de plus de 40% de ses électeurs du second tour, qui jugent son action « décevante ».

Plus globalement, l’action du président de la République depuis sa première élection en 2017 est jugée « décevante » par deux Français sur trois, soit 66%. Un chiffre en augmentation depuis le mois de juillet dernier, et qui vient s’établir proche du niveau atteint au moment des gilets jaunes (69% en novembre 2018).

Une grande majorité des Français estiment par ailleurs qu’il n’a pas transformé en profondeur le pays depuis 2017, avec 31% des interrogés qui pensent qu’il « n’a pas changé le pays » et 53% pour qui il « a modifié quelques aspects seulement du pays ».

Par domaines, près de trois Français sur quatre estiment que son action n’est « pas satisfaisante » concernant la santé (79%), l’éducation (77%), la gestion des dépenses publiques (77%), l’immigration (77%), ou encore la lutte contre les inégalités sociales (75%), le pouvoir d’achat (74%) et l’environnement (73%).

C’est sur le plan international que son action suscite le moins d’insatisfaction avec tout de même 60% de Français insatisfaits par la place de la France sur la scène internationale et et son action dans les conflits internationaux.

Enfin, les Français sont critiques à l’égard de la personnalité d’Emmanuel Macron. 69% de l’apprécient pas et 30% disent apprécier sa personnalité. S’il est perçu comme quelqu’un d’autoritaire (77%, +8 depuis le 22 mars 2023), arrogant (73%, +4), et méprisant, le jugement sur son courage, sa volonté de vraiment changer les choses et sa capacité à réformer le pays ont progressé en un mois respectivement de quatre (50%), huit (49%) et cinq points (41%).

Échantillon de 1002 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. Interrogation par Internet du 22 au 24 avril 2023.

La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge, et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Marge d’erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points de pourcentage.

Défense-réservistes de l’armée: Limite d’âge repoussée à 70 ou 72 ans

Défense-réservistes de l’armée: Limite d’âge repoussée à 70 ou 72 ans

Actuellement La limite d’âge entre 65 et 67 va être repoussée entre 70 et 70. En cause l’adaptation des effectifs aux enjeux de guerre notamment de haute intensité. Cela confirme à l’évidence que le dispositif militaire français est complètement inadapté à des conflits d’importance. Par exemple face à un conflit comme en Ukraine la France ne pourrait résister de 8à 15 jours d’après les experts.

La France dispose en effet d’une armée très complète mais qui est une sorte de miniature dans tous les domaines. Il y a des dizaines d’années que le budget de l’armée est réduit en euros constants. Le relais aurait pu être pris par une armée européenne de plus en plus introuvable non seulement pour des questions de moyens mais aussi de stratégie militaire et de politique industrielle.

on peut vérifier qu’en réalité à chaque fois c’est l’ensemble de la population mobilisable qui doit être sollicitée pour la défense. La France a voulu concentrer sa politique militaire sur les seuls professionnels considérant que les nouvelles technologies pouvaient suppléer les effectifs insuffisants. Le problème c’est qu’il convient de développer les deux aspects à la fois les nouveaux outils technologiques et les effectifs. En Afrique, faute de moyens la France a dû reculer notamment au Mali et au Burkina Faso. Là aussi les moyens en effectifs étaient notoirement sous dimensionnés. Or la France n’a pu développer qu’un contingent d’environ 5000 militaires sur un territoire presque aussi grand que l’Europe.

Par démagogie, on a supprimé le service militaire. En cas de conflit de haute intensité, c’est l’ensemble de la population qui sera sollicitée. Le seul problème, c’est qu’on risque de mobiliser des troupes qui ne sont pas formées comme ce qu’on voit par exemple en Russie avec des appelés qui servent de chair à canon.

Le ministre des Armées indique vouloir « rester dans le club des nations capables de se protéger » face à une « succession de menaces ».

« Il y a plusieurs objectifs avec cette enveloppe budgétaire inédite : continuer à réparer ce qui a été abîmé, un certain nombre de baisses de budget ont affecté notre modèle d’armée (…) et on a une succession de menaces qui s’additionnent entre elles », a-t-il souligné, en mentionnant le terrorisme, la guerre en Ukraine, la militarisation de l’espace ou encore le cyber. Il s’agit de « rester dans le club des nations capables de se protéger », a-t-il insisté.

Entre 2024 et 2030, l’enveloppe consacrée aux armées s’élèvera à 413 milliards d’euros, dont 13 milliards de recettes extra-budgétaires. Le budget défense sera augmenté chaque année de 3 à 4 milliards d’euros.

Une augmentation certes mais qui n’est pas du tout à la hauteur des enjeux. La faiblesse pouvoir politique empêche de reposer la question fondamentale du service militaire obligatoire. Macron lui-même l’a envisagée en 2017 est abandonné en cours de route.

Défense-réservistes de l’armée: Limite d’âge repoussée à 70 ou 72 ans

Défense-réservistes de l’armée: Limite d’âge repoussée à 70 ou 72 ans

Actuellement La limite d’âge entre 65 et 67 va être repoussée entre 70 et 70. En cause l’adaptation des effectifs aux enjeux de guerre notamment de haute intensité. Cela confirme à l’évidence que le dispositif militaire français est complètement inadapté à des conflits d’importance. Par exemple face à un conflit comme en Ukraine la France ne pourrait résister de 8à 15 jours d’après les experts.

La France dispose en effet d’une armée très complète mais qui est une sorte de miniature dans tous les domaines. Il y a des dizaines d’années que le budget de l’armée est réduit en euros constants. Le relais aurait pu être pris par une armée européenne de plus en plus introuvable non seulement pour des questions de moyens mais aussi de stratégie militaire et de politique industrielle.

on peut vérifier qu’en réalité à chaque fois c’est l’ensemble de la population mobilisable qui doit être sollicitée pour la défense. La France a voulu concentrer sa politique militaire sur les seuls professionnels considérant que les nouvelles technologies pouvaient suppléer les effectifs insuffisants. Le problème c’est qu’il convient de développer les deux aspects à la fois les nouveaux outils technologiques et les effectifs. En Afrique, faute de moyens la France a dû reculer notamment au Mali et au Burkina Faso. Là aussi les moyens en effectifs étaient notoirement sous dimensionnés. Or la France n’a pu développer qu’un contingent d’environ 5000 militaires sur un territoire presque aussi grand que l’Europe.

Par démagogie, on a supprimé le service militaire. En cas de conflit de haute intensité, c’est l’ensemble de la population qui sera sollicitée. Le seul problème, c’est qu’on risque de mobiliser des troupes qui ne sont pas formées comme ce qu’on voit par exemple en Russie avec des appelés qui servent de chair à canon.

Le ministre des Armées indique vouloir « rester dans le club des nations capables de se protéger » face à une « succession de menaces ».

« Il y a plusieurs objectifs avec cette enveloppe budgétaire inédite : continuer à réparer ce qui a été abîmé, un certain nombre de baisses de budget ont affecté notre modèle d’armée (…) et on a une succession de menaces qui s’additionnent entre elles », a-t-il souligné, en mentionnant le terrorisme, la guerre en Ukraine, la militarisation de l’espace ou encore le cyber. Il s’agit de « rester dans le club des nations capables de se protéger », a-t-il insisté.

Entre 2024 et 2030, l’enveloppe consacrée aux armées s’élèvera à 413 milliards d’euros, dont 13 milliards de recettes extra-budgétaires. Le budget défense sera augmenté chaque année de 3 à 4 milliards d’euros.

Une augmentation certes mais qui n’est pas du tout à la hauteur des enjeux. La faiblesse pouvoir politique empêche de reposer la question fondamentale du service militaire obligatoire. Macron lui-même l’a envisagée en 2017 est abandonné en cours de route.

Armée: Limite d’âge des réservistes repoussée à 70 ou 72 ans

Armée: Limite d’âge des réservistes repoussée à 70 ou 72 ans

Actuellement La limite d’âge entre 65 et 67 va être repoussée entre 70 et 70. En cause l’adaptation des effectifs aux enjeux de guerre notamment de haute intensité. Cela confirme à l’évidence que le dispositif militaire français est complètement inadapté à des conflits d’importance. Par exemple face à un conflit comme en Ukraine la France ne pourrait résister de 8à 15 jours d’après les experts.

La France dispose en effet d’une armée très complète mais qui est une sorte de miniature dans tous les domaines. Il y a des dizaines d’années que le budget de l’armée est réduit en euros constants. Le relais aurait pu être pris par une armée européenne de plus en plus introuvable non seulement pour des questions de moyens mais aussi de stratégie militaire et de politique industrielle.

on peut vérifier qu’en réalité à chaque fois c’est l’ensemble de la population mobilisable qui doit être sollicitée pour la défense. La France a voulu concentrer sa politique militaire sur les seuls professionnels considérant que les nouvelles technologies pouvaient suppléer les effectifs insuffisants. Le problème c’est qu’il convient de développer les deux aspects à la fois les nouveaux outils technologiques et les effectifs. En Afrique, faute de moyens la France a dû reculer notamment au Mali et au Burkina Faso. Là aussi les moyens en effectifs étaient notoirement sous dimensionnés. Or la France n’a pu développer qu’un contingent d’environ 5000 militaires sur un territoire presque aussi grand que l’Europe.

Par démagogie, on a supprimé le service militaire. En cas de conflit de haute intensité, c’est l’ensemble de la population qui sera sollicitée. Le seul problème, c’est qu’on risque de mobiliser des troupes qui ne sont pas formées comme ce qu’on voit par exemple en Russie avec des appelés qui servent de chair à canon.

Le ministre des Armées indique vouloir « rester dans le club des nations capables de se protéger » face à une « succession de menaces ».

« Il y a plusieurs objectifs avec cette enveloppe budgétaire inédite : continuer à réparer ce qui a été abîmé, un certain nombre de baisses de budget ont affecté notre modèle d’armée (…) et on a une succession de menaces qui s’additionnent entre elles », a-t-il souligné, en mentionnant le terrorisme, la guerre en Ukraine, la militarisation de l’espace ou encore le cyber. Il s’agit de « rester dans le club des nations capables de se protéger », a-t-il insisté.

Entre 2024 et 2030, l’enveloppe consacrée aux armées s’élèvera à 413 milliards d’euros, dont 13 milliards de recettes extra-budgétaires. Le budget défense sera augmenté chaque année de 3 à 4 milliards d’euros.

Une augmentation certes mais qui n’est pas du tout à la hauteur des enjeux. La faiblesse pouvoir politique empêche de reposer la question fondamentale du service militaire obligatoire. Macron lui-même l’a envisagée en 2017 est abandonné en cours de route.

RETRAITES-Sondage : 70 % des Français condamnent le discours de Macron

RETRAITES- Sondage : 70 % des Français condamnent le discours de Macron

71% qui ont vu, écouté ou entendu parler de l’interview du président de la République ne l’ont pas trouvé convaincant, selon Elabe et
65% des Français pensent qu’il est un mauvais président.

Sa personnalité est pointée du doigt par les personnes interrogées par notre sondage: 69% des Français sondés le trouvent arrogant, ils sont tout autant à le trouver autoritaire. Enfin Emmanuel Macron inquiète 61% des personnes interrogées.

Ils sont d’ailleurs très nombreux à ne pas lui faire confiance pour mener à bien les grands chantiers du pays, tant sur le partage de la valeur (78%) que sur le pouvoir d’achat (77%), le climat (73%) ou encore le plein-emploi (71%). À cela s’ajoute le regret pour 19% des électeurs d’Emmanuel Macron lors du premier tour de la présidentielle d’avoir voté pour lui.

Un président critiqué, tout comme le texte qu’il juge nécessaire pour la survie du système de retraites. 72% (+3 points par rapport à la dernière enquête Elabe) des Français jugent la réforme du gouvernement injuste, 63% (+5 points) la considère comme étant inefficace pour assurer la pérennité du système de retraites et 56% (+4 points) estiment qu’elle n’est pas nécessaire.

Si une majorité de Français souhaite que la mobilisation continue (65%), voire se durcisse (44%), cette tendance est à la baisse par rapport à la précédente enquête Elabe pour BFMTV.

RÉFORME DES RETRAITES: Près de 70 % des Français pour un changement de gouvernement


RÉFORME DES RETRAITES: Près de 70 % des Français pour un changement de gouvernement

Une très large majorité des Français souhaite maintenant un changement de gouvernement et espère qu’il sera censuré lundi par les députés.

Près de sept Français sur dix veulent que les députés votent la censure contre le gouvernement d’Elisabeth Borne, y compris une courte majorité (51%) des électeurs d’Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle, selon une nouvelle enquête Elabe.

Une large majorité de la population française (68%) souhaite que le gouvernement tombe par le vote d’une motion de censure ce lundi à l’Assemblée nationale, indique un nouveau sondage Elabe pour BFMTV.

Dans le détail, 73% des ouvriers, 79% des employés et 71% des CSP+ veulent que les députés votent la censure du gouvernement. Toutes les catégories socio-professionnneles et toutes les catégories d’âges (y compris les retraités, à 55%) souhaitent que la motion de censure soit adoptée.

Ce lundi à l’Assemblée nationale, les députés vont débattre de deux motions de censure. D’abord, celle du groupe Libertés, Indépendants, Outre-mer et Territoires (Liot) cosignée par des députés de quatre autres groupes (insoumis, socialistes, écologistes et communistes). Puis celle du Rassemblement national.

Arme de contrôle des parlementaires, cette disposition peut, si elle est adoptée, aboutir à la démission du gouvernement, et dans le cas présent au rejet du projet de loi.

Dans le cas, probable, où la motion de censure ne serait pas adoptée, 68% des Français souhaitent la démission d’Elisabeth Borne, indique ce sondage Elabe pour BFMTV.

Près de sept Français sur dix (68%) restent toujours opposés à sa réforme des retraites, et 65% des sondés disent exprimer du soutien ou de la sympathie à l’égard de la mobilisation sociale. Ils sont autant (67%) à vouloir la poursuite du mouvement.

Science « approximative »: la retraite à 70 ou 80 ans à l’horizon 2070 ?

Science « approximative »: la retraite à 70 ou 80ans à l’horizon 2070 ?

Un curieux papier de la Tribune qui évoque la possibilité de pousser la retraite jusqu’à 72 ans voir 80 ans.

Un papier surtout fondé sur une approche comptable et qui fait abstraction de la problématique sociétale, une réflexion bâtie sur des fondements davantage scientistes que scientifiques. En effet, l’absence de maladie par exemple ne garantit pas forcément un état de bien-être physique, moral et social. NDLR

Alors que les débats font rage en France autour du relèvement de l’âge de départ à la retraite à 64 ans et sur l’allongement de la durée de cotisation, il existerait, du point de vue de la science, un tout autre scénario. « Si les recherches sur la lutte contre le vieillissement tiennent leurs promesses, en 2070, l’âge de départ à la retraite pourrait être porté à 72 ans », voire 80 ans pronostique ainsi dans une récente note le cabinet d’études Astérès. Celui-ci s’appuie sur les dernières recherches scientifiques qui anticipent un allongement de l’espérance de vie, jusqu’à +41%, suite à des tests menés sur des animaux en laboratoires. Ainsi, – selon une projection très optimiste du cabinet -, les maladies liées à la vieillesse (tumeurs, maladies endocriniennes, du système nerveux, cardio-vasculaires, ou de l’appareil digestif) disparaîtront ou, du moins, seront repoussées d’une trentaine d’années.

Dans ce scénario qui semble inspiré d’un film de science-fiction, il faudrait ainsi travailler jusqu’à 72 ans « pour que le ratio cotisants / retraités soit égal à celui anticipé par le scénario de référence », soit amené à 1,3, le ratio qui aurait été obtenu dans le scénario central de l’Insee avec un départ à la retraite à 64 ans, selon les calculs d’Asterès.

Cette hypothèse de la vieillesse tardive est d’autant plus incongrue qu’actuellement en France, à partir de 70 ans, l’employeur peut, s’il le souhaite, décider de mettre à la retraite d’office un salarié. Autre paradoxe, si partout en Europe la tendance est à l’allongement de la vie de salarié, en 2070, la moyenne européenne demeure toutefois à 67 ans, selon un rapport de la Commission européenne. Dans les deux cas, on est donc encore loin d’envisager 72 ans et plus.

Une certitude toutefois, l’Europe vieillit à vitesse grand V. En 1950, pour une personne âgée de 65 ans, il y avait 11,7 travailleurs actifs. Or, en 2022, ce ratio est tombé à 7 en moyenne dans le monde. Pire, des pays « super âgés » tels que l’Italie, le Japon, la Corée du Sud, vont connaître un fossé « dramatique », prévient une autre étude de McKinsey. Résultat, « le nombre de centenaires en 2070 serait multiplié par 10, déséquilibrant le régime des retraites (…) Pour conserver le ratio actuel, soit 1,722, il faudrait porter l’âge de départ à la retraite à 78 ans. Ce ratio serait amené à baisser à mesure que la population vieillit », justifie Asterès.

Mais la théorie du vivre longtemps est-elle toujours aussi crédible ? En France, en dehors des effets de la crise Covid, l’espérance de vie est en effet en pleine stagnation, selon l’Insee début 2023. Les hommes gagnent en effet seulement 0,1 an d’espérance de vie et celle des femmes ne progresse pas et baisse de 0,4 an par rapport à 2019, année de référence avec la pandémie.

Face à ces tensions sur l’équilibre des comptes des caisses de retraite, une solution émerge pour faire accepter potentiellement de travailler plus longtemps. Selon Asterès, la science prouve en effet qu’il sera possible de « réinitialiser » à multiples reprises l’âge du corps.

« Maladies cardio-neurovasculaires, cancers, maladies neurologiques, diabète de type 2 ou arthrose (…) certains scientifiques pensent pouvoir s’attaquer simultanément à toutes ces maladies et améliorer significativement l’espérance de vie en bonne santé », justifie le cabinet.

« Asterès fait l’hypothèse que ces expériences (menées sur des animaux) sont transposables aux êtres humains et qu’un traitement anti-vieillesse sûr sera disponible », assume ce cabinet privé qui a notamment indiqué avoir compilé plusieurs publications scientifiques d’un professeur de génétique de Harvard.

Mais si on estime que le nombre de seniors (âgés de 65 ans et plus) va doubler pour atteindre 1,6 milliard d’individus d’ici 2050, selon les Nations Unies, il n’est pour autant pas certain que tous le soit en parfaite santé. D’autres publications montrent en effet que la vie peut être certes allongée bien au-delà de 80 ans, mais pas forcément en bonne santé; note une étude du cabinet McKinsey de novembre 2022.

Aussi, seuls 9% des hommes nés aujourd’hui et 16% des femmes peuvent espérer atteindre l’âge de la retraite en bonne santé, selon un étude britannique de The Institute for Public Policy Research (IPPR) de 2022. Outre-Manche, l’âge de départ à la retraite a été repoussé à 67 ans en 2028.

En creux, se pose enfin la question de la pénibilité d’un emploi. En France le débat s’enflamme depuis que le gouvernement a refusé de réintégrer dans sa réforme les trois facteurs de pénibilité dits « ergonomiques » (ports de charges lourdes, postures pénibles, vibrations mécaniques) exclus du compte en 2017. Ces critères sont « extrêmement difficiles à mesurer individuellement », a fait valoir le ministre du Travail, Olivier Dussopt.

A cela s’ajoute en plus la catégorie dite des « carrières longues » caractérisées par un une entrée très précoce dans la vie active pour un salarié. Le gouvernement tente là aussi de prendre en compte un individu qui aurait sollicité ses capacités jeunes, plutôt qu’un autre qui aurait commencé plus tardivement. Là dessus, la science devra aussi répondre au cas par cas. Face au travail, la ligne de vie d’un actif en bonne santé semble encore aléatoire.

Les débats sur l’âge de départ à la retraite en Europe soulèvent de nouveaux débats autour du « bien vieillir ». Dans une étude publiée en novembre 2022, la branche santé du cabinet de conseil McKinsey (The McKinsey Health Institute) a identifié six changements pour « permettre aux gouvernements, aux entreprises de tous les secteurs, aux organismes sans but lucratif, aux intervenants en santé et en bien-être et aux particuliers d’améliorer le vieillissement en santé ».

D’abord, il faut « investir dans la promotion d’un vieillissement sain ». Par exemple, les pays européens investissent, en moyenne, 2,8 % de leur budget de santé dans la prévention. Si le chemin vers un vieillissement sain commence à l’âge adulte, il y a beaucoup à faire pour les personnes âgées. Il convient de concentrer davantage d’efforts de prévention sur les pathologies liées à l’âge, telles que la démence et les déficiences sensorielles, précise McKinsey. Les cinq autres leviers du bien vieillir sont :« améliorer les mesures de la santé et obtenir de meilleures données, étendre les interventions dont il est prouvé qu’elles favorisent le vieillissement en bonne santé, accélérer l’innovation dans l’écosystème du vieillissement en bonne santé, libérer le potentiel de toutes les industries pour favoriser le vieillissement en santé, et enfin, donner aux personnes âgées les moyens et la motivation nécessaires pour vivre pleinement leur potentiel. »

12345...7



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol