Archive pour le Tag 'contre'

Zones à faibles émissions : Une mesure écolo contre les pauvres !

Zones à faibles émissions : Une mesure écolo contre les pauvres !


D’un point de vue écologique la mesure visant à réduire les émissions polluantes de la circulation automobile est évidemment pertinente et nécessaire. Par contre, le processus mis en œuvre de façon brutale dans les grandes agglomérations va surtout pénaliser les plus pauvres. Ceux qui n’auront pas les moyens financiers pour s’acheter un véhicule répondant aux critères. Une politique un peu trop influencée par des écolos bobos qui entretiennent des relations douteuses avec la problématique socio-économique.

Les zones à faibles émissions (ZFE) sont des territoires où la circulation est limitée aux véhicules les plus polluants. Mais depuis le 1er janvier 2025, les restrictions autour des ZFE se sont durcies. Les agglomérations de plus de 150 000 habitants doivent désormais en instaurer obligatoirement. Et les véhicules disposant d’une vignette Crit’Air 3 (également 4 et 5) ne peuvent désormais plus circuler au sein de ces zones.

En cas de non-respect de la ZFE, ils risquent ainsi une amende de 68 euros pour les véhicules légers ou 135 euros pour les poids lourds.

Certaines villes reculent cependant vis-à-vis du le dispositif. Montpellier suspend d’éventuelles contraventions jusqu’en 2027. Strasbourg assouplit également son calendrier. La métropole du Grand Paris compte, de son côté, sur une « année pédagogique » où il n’est pas question cette année de verbaliser.

Service militaire : une majorité de Français pour, Macron contre

Service militaire : une majorité de Français pour, Macron contre

Une large majorité de la population française se dit favorable à un retour du service militaire.

Une majorité de Français se dit globalement favorable au rétablissement du service militaire (86 %), et même au service obligatoire (53 %), d’après un sondage publié samedi 15 mars 2025 au moment où plusieurs pays européens s’interrogent sur le retour de la conscription dans un contexte géopolitique bouleversé.

Dans un entretien publié samedi par plusieurs journaux régionaux, Macron a présenté son intention d’annoncer « dans les prochaines semaines une grande refonte » du service national universel (SNU). Un service complètement bidon qui n’est ni universel, ni obligatoire et encore moins militaire. Bref une sorte de colonie de vacances.

Selon Macron , la France « n’a plus la base, plus la logistique » pour remettre en place une conscription. « À partir du moment où on est allé vers la professionnalisation de nos armées, focalisées sur l’opérationnel, les réemployer pour encadrer 800 000 jeunes […] n’est absolument pas un schéma opérant », a-t-il justifié.

Encore une erreur fondamentale de la part de macron. D’après les experts il s’agirait de mobiliser autour de 400 000 jeunes sur une classe d’âge en comprenant 800 000. Les équipements publics notamment de sport seraient suffisants pour participer à la formation. Il y avait longtemps que les militaires appelés ne résidaient plus dans les casernes et rentraient chaque jour chez eux. Notons que le chef de l’État n’a pas fait son service militaire ! Et il oublie l’aspect sociétal qui permet de brasser les populations et de rappeler les valeurs du pays.

Première sanction financière de Washington contre Poutine

Première sanction financière de Washington contre Poutine

Cette décision n’a pas fait là Une desgrands médias car sans doute trop complexe mais c’est un élément majeur qui prive Poutine de moyens financiers importants.

En effet le gouvernement américain n’a pas renouvelé une autorisation permettant aux banques russes de continuer à utiliser les systèmes de paiement américains pour des opérations liées à des contrats déjà en cours dans l’industrie pétrolière russe, a confirmé jeudi le ministère de l’Economie à l’AFP.

Cette licence permettait aux banques russes, même visées par des sanctions, de continuer à passer par le système de paiement américain pour certaines catégories de transactions liées à l’énergie. Elle avait été accordée par le gouvernement de l’ancien président Joe Biden dans les derniers jours de sa présidence.

La banque centrale russe et l’ancienne filiale de la Société générale dans le pays, RosBank, sont parmi les établissements qui disposaient d’une exemption en la matière sous ce régime.

Hier

Foot–ligue des champions : le PSG contre l’anglais Aston Villa

Foot–ligue des champions : le PSG contre l’anglais Aston Villa

Le tableau de la phase finale des quarts qui se dérouleront les 8-9 avril (aller) et les 15-16 avril (retour)

PSG (FRA) – Aston Villa (ANG)
Real Madrid (ESP) – Arsenal (ANG)
Inter Milan (ITA) – Bayern Munich (ALL)
Borussia Dortmund (ALL) – Barcelone (ESP)

Attaque massive contre le réseau X

Attaque massive contre le réseau X

Le réseau social X, propriété d’Elon Musk, a été victime de plusieurs pannes mondiales ce lundi 10 mars qui a établi un lien entre les manifestations contre «Doge» (la commission à l’efficacité gouvernementale que dirige le milliardaire), les magasins Tesla «attaqués» et la panne sur X, sans apporter de preuves.

«Nous sommes attaqués tous les jours mais celle-ci a été organisée avec beaucoup de ressources. Un grand groupe coordonné est impliqué ou alors un pays !

Elon Musk a répété lundi après-midi que le service avait subi une «cyberattaque massive», ajoutant que ses équipes «soupçonnent» qu’elle a été menée «depuis la zone ukrainienne».

Les experts en cybersécurité sont divisés sur les affirmations du milliardaire. «Difficile de se prononcer avec des informations incomplètes, et à un stade précoce de la situation», a souligné Casey Ellis, fondateur de l’entreprise californienne de cybersécurité Bugcrowd. «Mais entre la longueur de la panne et le fait que Dark Storm Team s’en soit attribué le mérite sur Telegram, il semble bien qu’il s’agisse d’une cyberattaque légitime contre X», a-t-il ajouté.

Pour Chad Cragle, directeur de la sécurité de l’information chez Deepwatch, il s’agit bien d’un exemple de «cyberguerre». «X fait l’objet de cyberattaques incessantes, à toute heure et tous les jours», affirme-t-il. «Avec Musk sous les projecteurs et les tensions politiques actuelles, ces attaques présentent tous les indicateurs d’une agression de la part d’un État-nation. Ils font tout leur possible pour perturber le service, et, si possible, exposer des données personnelles».

Le réseau social a connu de nombreuses pannes depuis son rachat par Elon Musk fin 2022. En février et en décembre 2023, notamment, des dizaines de milliers d’utilisateurs mondiaux avaient signalé des problèmes d’utilisation. Les différents entretiens entre l’homme le plus riche au monde et des personnalités politiques de droite, sur les salons audio de la plateforme, ont aussi été marqués par des problèmes techniques, de la qualité du son à l’accès à la conversation.

Canada: L’union sacrée contre Trump

Canada: L’union sacrée contre Trump

 

Qui veut transformer le Canada en 51e État des États-Unis aura eu au moins le mérite de ressouder l’union nationale et même de bouleverser l’échiquier politique. Tramp avec son bavardage inutile à au moins permis de renforcer considérablement le sentiment nationaliste

Les menaces répétées et désordonnées de Donald Trump d’imposer des droits de douane aux produits canadiens et d’annexer le Canada pour en faire le 51e État américain ont uni les Canadiens, comme cela a été rarement le cas dans l’histoire de la confédération. Le sentiment nationaliste est exacerbé ces dernières semaines. « Face aux menaces et insultes du président Trump, les Canadiens ont exprimé à l’unisson leur amour pour notre pays et leur détermination à défendre les valeurs du Canada et notre indépendance .

Une autre conséquence est le remodelage politique au Canada. Avec la possible remonté du parti libéral et de Trudeau.

« Justin Trudeau a été très impopulaire pendant longtemps et il tirait son parti vers le bas. Avec sa démission le 6 janvier, la variable négative a été retirée de l’équation… Et c’est là qu’est arrivé Donald Trump. » Quelques jours à peine après avoir retrouvé le chemin du bureau Ovale, le président des Etats-Unis a décidé d’imposer des droits de douane de 25 % sur les produits importés depuis le Canada et le Mexique. Ottawa a immédiatement répliqué en ciblant spécifiquement certains produits américains, à commencer par l’alcool, la viande et les véhicules. Le Premier ministre sur le départ a alors accusé Donald Trump de vouloir « faire chuter l’économie canadienne pour ensuite annexer le Canada » avant d’ajouter que son pays « ne reculerait pas devant un combat. »

Il n’en fallait pas moins pour souder le peuple canadien et créer une dynamique derrière les Libéraux. D’après le site Qc125, qui agrège de nombreuses enquêtes, le parti peut aujourd’hui espérer environ 140 sièges sur 330 – à peine 20 de moins que les Conservateurs. Les deux formations sont au coude à coude : c’est la première fois depuis des mois que les marges d’erreurs se chevauchent.

Politique-L’Europe des valeurs contre les empires de l’argent

 Politique- L’Europe des valeurs contre les empires de l’argent

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Face à cette alliance americano-russe – aussi paradoxale que renversante si l’on se souvient de la guerre froide et, surtout, si l’on songe aux liens privilégiés entre le maître du Kremlin et la Chine, ennemie désignée de Trump -, certains dirigeants européens comme Emmanuel Macron, Keir Starmer et Donald Tusk tentent de résister à cette hégémonie qui conjugue cynisme et brutalité. Ils donnent raison à Bertolt Brecht qui affirmait : « Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu. »

 

 par  Bruno Jeudy, directeur délégué dans la « La Tribune Dimanche ».

 

En se rendant à Washington la semaine prochaine pour plaider la cause européenne, le président français et le Premier ministre britannique vont rappeler que les Européens ne sauraient être écartés du règlement du conflit en Ukraine… sur leur continent. C’est la survie de l’UE qui se joue, car il s’agit d’une crise existentielle qu’elle doit surmonter.

Dans ce contexte, il faut saluer le retour d’une entente cordiale entre la France et le Royaume-Uni face aux semeurs de discorde. Aux Européens de faire fi de la docilité et des médiocres compromis et d’affirmer leurs valeurs (l’indépendance des États, le respect des engagements) face aux foucades de Trump et aux oukases de Poutine.

C’est pourquoi le spectacle offert par certains responsables politiques français pourtant peu avares de tirades patriotiques et de proclamations de souveraineté nationale ne peut que susciter des commentaires ironiques, voire l’opprobre. Jordan Bardella a préféré se dispenser d’une réunion à l’Élysée consacrée à la défense pour se rendre à Washington à un rassemblement des conservateurs les plus extrémistes. Drôle de priorité alors que la France joue son indépendance.

Piteuse expédition où le dirigeant du RN a fait le pari de l’étranger… Pari perdu puisqu’il a dû annuler sa prise de parole après avoir pris connaissance du salut nazi de Steve Bannon. Quant à Éric Zemmour et à Sarah Knafo, ils semblent camper devant la Maison-Blanche. Peut-être attendent-ils la validation de leur green card ! Bref, des nationalistes à la remorque tantôt des Russes, tantôt des Américains… De quoi confirmer les propos d’Albert Schweitzer pour qui « le nationalisme, c’est un patriotisme qui a perdu sa noblesse »

L’Europe des valeurs contre les empires de l’argent

 L’Europe des valeurs contre les empires de l’argent 

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Face à cette alliance americano-russe – aussi paradoxale que renversante si l’on se souvient de la guerre froide et, surtout, si l’on songe aux liens privilégiés entre le maître du Kremlin et la Chine, ennemie désignée de Trump -, certains dirigeants européens comme Emmanuel Macron, Keir Starmer et Donald Tusk tentent de résister à cette hégémonie qui conjugue cynisme et brutalité. Ils donnent raison à Bertolt Brecht qui affirmait : « Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu. »

 

 par  Bruno Jeudy, directeur délégué dans la « La Tribune Dimanche ».

 

En se rendant à Washington la semaine prochaine pour plaider la cause européenne, le président français et le Premier ministre britannique vont rappeler que les Européens ne sauraient être écartés du règlement du conflit en Ukraine… sur leur continent. C’est la survie de l’UE qui se joue, car il s’agit d’une crise existentielle qu’elle doit surmonter.

Dans ce contexte, il faut saluer le retour d’une entente cordiale entre la France et le Royaume-Uni face aux semeurs de discorde. Aux Européens de faire fi de la docilité et des médiocres compromis et d’affirmer leurs valeurs (l’indépendance des États, le respect des engagements) face aux foucades de Trump et aux oukases de Poutine.

C’est pourquoi le spectacle offert par certains responsables politiques français pourtant peu avares de tirades patriotiques et de proclamations de souveraineté nationale ne peut que susciter des commentaires ironiques, voire l’opprobre. Jordan Bardella a préféré se dispenser d’une réunion à l’Élysée consacrée à la défense pour se rendre à Washington à un rassemblement des conservateurs les plus extrémistes. Drôle de priorité alors que la France joue son indépendance.

Piteuse expédition où le dirigeant du RN a fait le pari de l’étranger… Pari perdu puisqu’il a dû annuler sa prise de parole après avoir pris connaissance du salut nazi de Steve Bannon. Quant à Éric Zemmour et à Sarah Knafo, ils semblent camper devant la Maison-Blanche. Peut-être attendent-ils la validation de leur green card ! Bref, des nationalistes à la remorque tantôt des Russes, tantôt des Américains… De quoi confirmer les propos d’Albert Schweitzer pour qui « le nationalisme, c’est un patriotisme qui a perdu sa noblesse ».

Trump veut nouveaux droits de douane contre la taxe GAFA

Le Parlement français a adopté en juillet 2019, soit lors du premier mandat présidentiel de Donald Trump, une loi prévoyant de taxer à 3% les revenus des sociétés qui réalisent un chiffre d’affaires sur leurs activités numériques d’au moins 750 millions d’euros au niveau mondial et de plus de 25 millions d’euros en France.

Une trentaine d’entreprises devaient être concernées, pour la plupart américaines, ce qui avait alors poussé Donald Trump à menacer la France de représailles

Politique–la France dénonce les honteuses attaques contre Zelinsky

Politique–la France dénonce les honteuses attaques contre Zelinsky

 

la France dénonce les honteuses attaques contre Zelinsky de la part de Trump», dont «on cherche la cohérence dans le temps», a dit la porte-parole du gouvernement français «Les déclarations d’hier sont dans cette lignée (..) Nous ne comprenons pas très bien la logique américaine», a-t-elle ajouté, Donald Trump ayant reproché ce mardi à Volodymyr Zelensky d’avoir commencé la guerre et d’être très impopulaire. Et même d’être un dictateur

Il réagissait à des critiques du président ukrainien qui reproche à Washington d’avoir entamé des discussions «sur l’Ukraine sans l’Ukraine» avec la Russie mardi à Ryad et réclame une place pour son pays et pour les Européens à la table des négociations.

 

En pleine effervescence diplomatique, les attaques russes se sont poursuivies ce mercredi en Ukraine, où une «grande» zone résidentielle de la ville portuaire d’Odessa, dans le sud du pays, s’est retrouvée sans chauffage ni électricité. L’armée russe pilonne depuis trois ans l’infrastructure énergétique et civile ukrainienne, en plus de bombarder des villes et villages de l’Ukraine.

Corée du Sud :procès pour «insurrection» contre le président

Corée du Sud :procès pour «insurrection» contre le président

Procès pour «insurrection»  de Yoon Suk Yeol pour sa tentative ratée d’imposer la loi martiale jeudi 20 février devant le tribunal central de Séoul. 

Le parquet, qui accuse le président d’être le «meneur d’une insurrection», a requis jeudi son maintien en détention, invoquant «la possibilité que l’accusé influence ou persuade les personnes impliquées dans l’affaire». Yoon, présent à l’audience, n’a pas pris la parole. Son avocat, Kim Hong-il, a pour sa part demandé au tribunal d’annuler l’acte d’inculpation, fruit selon lui d’une «enquête illégale».

Le  procès en destitution a tourné autour de la question de savoir s’il avait violé la Constitution en déclarant la loi martiale, une mesure qui ne peut être prise que lorsqu’une intervention militaire est nécessaire pour préserver la sécurité et l’ordre public «en cas de conflit armé ou d’une urgence nationale similaire».

La guerre des plates-formes américaines contre la régulation européenne

La guerre des plates-formes américaines contre la régulation européenne

 

« La régulation européenne qui entrave la loi des plateformes est insupportable aux géants américains de la tech »


par Patrick Barban

Professeur de droit privé à CY Cergy-Paris Université

Un geste de Mark Zuckerberg a suffi pour que les règles de Meta mutent en l’espace d’une journée. Or, si la « loi des plateformes » n’est guère qu’un contrat, ce dernier est soumis à un ensemble de règles permettant de protéger les utilisateurs et de s’assurer que les informations transmises respectent les valeurs propres de cet Etat, rappelle le juriste Patrick Barban, dans une tribune au « Monde ».

Comment Mark Zuckerberg a-t-il pu aussi rapidement modifier les règles de ses plateformes Meta pour les aligner à son revirement politique en faveur de Donald Trump ? En une journée, il a pu supprimer le fact-checking, autoriser les commentaires discriminants vis-à-vis des personnes LGBT+ et des femmes. Plus récemment, sa plateforme a été accusée d’invisibiliser des publicités et des profils promouvant la pilule du lendemain.

La clé de voûte de l’architecture des réseaux sociaux de Meta (3 milliards d’utilisateurs) réside dans les fameux « standards de la communauté » qui contiennent les règles de modération et constituent, chez Meta, ce que l’on pourrait appeler une « loi des plateformes ». La même structure existe sur toutes les autres plateformes, à commencer par X.

C’est en effet ce texte qui juridiquement permet à Meta de coordonner la modération et de sanctionner les utilisateurs récalcitrants par des techniques de shadow ban [bannissement caché] consistant à masquer du contenu, à supprimer des publications ou des profils. Or, dans une société privée de type Meta, ces règles sont sous le contrôle de la seule société, elle-même sous le contrôle d’un unique homme.

Quand cet homme passe de démocrate soucieux de respect des différentes minorités sur ses réseaux à républicain masculiniste, il suffit d’un geste de sa part pour que l’infrastructure mute entièrement en l’espace d’une journée. La mue est totale et Meta va passer du relativement bon élève de la modération à un ersatz de ce qu’est devenu le réseau X.

Cette « loi des plateformes » est la clé du pouvoir juridique au sein du réseau. Il s’agit banalement d’un contrat, c’est-à-dire d’un accord de volontés entre l’exploitant de la plateforme et son utilisateur, reproduit en très grand nombre.

Politique-Chantage de Trump: sanctions américaines contre le procureur de la Cour pénale internationale

Politique-Chantage de Trump: sanctions américaines contre le procureur de la Cour pénale internationale

Trump qui entretient des liens très approximatifs avec la justice n’hésite pas à jouer le rôle du procureur mondial général. Ainsi c’est lui maintenant qui vient de décider de sanctions américaines contre le procureur de la cour pénale internationale ! Le président gangster des États-Unis ne recule devant rien ni l’indécent, ni le ridicule encore moins devant le déni de justice. Le département américain du Trésor a en effet imposé des sanctions à Karim Khan après le décret présidentiel signé par Donald Trump, qui accuse la CPI d’avoir «engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël».

Le texte du décret signé par Donald Trump au début du mois accuse la CPI d’avoir «engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël», en référence également à une enquête sur des crimes de guerre présumés de soldats américains en Afghanistan.

La Cour basée à La Haye (Pays-Bas) avait condamné ce décret visant «à nuire à son travail judiciaire indépendant et impartial». Ni les États-Unis, ni Israël ne sont membres de la CPI, juridiction permanente chargée de poursuivre et juger des individus accusés de génocide, de crime contre l’humanité et de crime de guerre.

Fondée en 2002, elle compte aujourd’hui 124 Etats membres et n’a prononcé depuis sa création qu’une poignée de condamnations. Au cours du premier mandat de Donald Trump, la CPI, en particulier sa procureure d’alors, Fatou Bensouda, avait déjà été la cible de sanctions américaines – levées par Joe Biden peu après son arrivée au pouvoir en 2021.

Foot–petite victoire du PSG contre Toulouse

Foot–petite victoire du PSG contre Toulouse

Sans briller, le PSG a fait parler sa solidité et son efficacité pour dicter sa loi à Toulouse (0-1), dans le cadre de la 22e journée de Ligue 1. Depuis le 26 novembre dernier et son revers contre le Bayern Munich en Ligue des champions, le Paris Saint-Germain n’a plus connu le goût de la défaite et continu d’impressionner, même sans être flamboyant.

Chantage de Trump: sanctions américaines contre le procureur de la Cour pénale internationale

Chantage de Trump: sanctions américaines contre le procureur de la Cour pénale internationale

Trump qui entretient des liens très approximatifs avec la justice n’hésite pas à jouer le rôle du procureur mondial général. Ainsi c’est lui maintenant qui vient de décider de sanctions américaines contre le procureur de la cour pénale internationale ! Le président gangster des États-Unis ne recule devant rien ni l’indécent, ni le ridicule encore moins devant le déni de justice. Le département américain du Trésor a en effet imposé des sanctions à Karim Khan après le décret présidentiel signé par Donald Trump, qui accuse la CPI d’avoir «engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël».

Le texte du décret signé par Donald Trump au début du mois accuse la CPI d’avoir «engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël», en référence également à une enquête sur des crimes de guerre présumés de soldats américains en Afghanistan.

La Cour basée à La Haye (Pays-Bas) avait condamné ce décret visant «à nuire à son travail judiciaire indépendant et impartial». Ni les États-Unis, ni Israël ne sont membres de la CPI, juridiction permanente chargée de poursuivre et juger des individus accusés de génocide, de crime contre l’humanité et de crime de guerre.

Fondée en 2002, elle compte aujourd’hui 124 Etats membres et n’a prononcé depuis sa création qu’une poignée de condamnations. Au cours du premier mandat de Donald Trump, la CPI, en particulier sa procureure d’alors, Fatou Bensouda, avait déjà été la cible de sanctions américaines – levées par Joe Biden peu après son arrivée au pouvoir en 2021.

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