Archive pour le Tag 'contre'

Ukraine -Zelensky propose : « la paix contre l’abandon des territoires occupés »

Ukraine -Zelensky propose  : « la paix contre l’abandon des territoires occupés »

 

S’il refuse l’idée de reconnaître que les territoires occupés appartiendraient à la Russie,  le président de l’Ukraine avance maintenant  l’idée d’une perte, au moins temporaire, d’une partie du territoire internationalement reconnue de son pays. Jusqu’alors, Volodymyr Zelensky avait déclaré qu’il ne céderait pas le moindre territoire, y compris la Crimée, annexée de force par la Russie en mars 2014. Le problème actuel avec la Russie c’est qu’on ne peut se fier à aucun aucun engagement de la part de Poutine qui ne respecte rien et sème le chaos partout où il peut y compris en Afrique.

Poutine n’a d’ailleurs jamais respecté le moindre accord signé ou pas. Son arme ,c’est la terreur et le mensonge permanent, sa doctrine est celle du KGB.

Le seul contrepoison durable serait la mise en place d’une politique de défense européenne éviter que Poutine ne grignote petit à petit l’Europe et sa zone d’influence. Le problème est que pour l’instant les problèmes intérieurs en France et en Allemagne prennent le pas sur les enjeux internationaux et que la présidente de la commission européenne s’est entourée de seconds couteaux qui politiquement ne pèsent pas lourd.

Foot–l’OM vainqueur contre Monaco

Foot–l’OM vainqueur contre Monaco

 La victoire marseillaise sur Monaco, dimanche (2-1) .

Un succès qui permet, en outre, aux joueurs de Roberto De Zerbi de prendre la deuxième place.

Comme le PSG, Monaco souffre de l’absence d’un finisseur. Folarin Balogun, blessé le 5 octobre face à Rennes, reprend progressivement ses marques. Auteur de trois buts en début de saison puis touché à l’épaule, l’ancien Rémois a eu du mal à être remplacé. Breel Embolo en manque de confiance et George Ilenikhena trop inconstant n’ont pu faire oublier l’Américain. De retour depuis peu et déjà titulaire, le manque de rythme l’empêche de disputer l’intégralité des rencontres.

Guerre Ukraine -Zelensky : « la paix contre l’abandon des territoires occupés »

Guerre Ukraine -Zelensky : « la paix contre l’abandon des territoires occupés »

 

S’il refuse l’idée de reconnaître que les territoires occupés appartiendraient à la Russie,  le président de l’Ukraine avance maintenant  l’idée d’une perte, au moins temporaire, d’une partie du territoire internationalement reconnue de son pays. Jusqu’alors, Volodymyr Zelensky avait déclaré qu’il ne céderait pas le moindre territoire, y compris la Crimée, annexée de force par la Russie en mars 2014. Le problème actuel avec la Russie c’est qu’on ne peut se fier à aucun aucun engagement de la part de Poutine qui ne respecte rien et sème le chaos partout où il peut y compris en Afrique.

Poutine n’a d’ailleurs jamais respecté le moindre accord signé ou pas. Son arme ,c’est la terreur et le mensonge permanent, sa doctrine est celle du KGB.

Le seul contrepoison durable serait la mise en place d’une politique de défense européenne éviter que Poutine ne grignote petit à petit l’Europe et sa zone d’influence. Le problème est que pour l’instant les problèmes intérieurs en France et en Allemagne prennent le pas sur les enjeux internationaux et que la présidente de la commission européenne s’est entourée de seconds couteaux qui politiquement ne pèsent pas lourd.

Ukraine Zelensky : « la paix contre l’abandon des territoires occupés »

Ukraine Zelensky : « la paix contre l’abandon des territoires occupés »

 

S’il refuse l’idée de reconnaître que les territoires occupés appartiendraient à la Russie,  le président de l’Ukraine avance maintenant  l’idée d’une perte, au moins temporaire, d’une partie du territoire internationalement reconnue de son pays. Jusqu’alors, Volodymyr Zelensky avait déclaré qu’il ne céderait pas le moindre territoire, y compris la Crimée, annexée de force par la Russie en mars 2014. Le problème actuel avec la Russie c’est qu’on ne peut se fier à aucun aucun engagement de la part de Poutine qui ne respecte rien et sème le chaos partout où il peut y compris maintenant en Afrique.

Poutine n’a d’ailleurs jamais respecté le moindre accord signé ou pas. Son arme ,c’est la terreur et le mensonge permanent, sa doctrine est celle du KGB.

Le seul contrepoison durable serait la mise en place d’une politique de défense européenne éviter que Poutine ne grignote petit à petit l’Europe et sa zone d’influence. Le problème est que pour l’instant les problèmes intérieurs en France et en Allemagne prennent le pas sur les enjeux internationaux et que la présidente de la commission européenne s’est entourée de seconds couteaux qui politiquement ne pèsent pas lourd.

 

 

Mercosur: une majorité de l’Assemblée nationale contre

Mercosur: une majorité de l’Assemblée nationale contre

 

L’Assemblée nationale a approuvé mardi à une large majorité (484 voix contre 70) la position du gouvernement sur le projet d’accord de libre-échange entre l’UE et le Mercosur, à savoir un refus «en l’état» de cet accord considéré comme néfaste à l’agriculture française. Un vote du Sénat sur le même sujet est attendu mercredi.
«Dans les conditions actuelles», ce projet d’accord entre l’Union européenne et les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay) ne garantit pas des «conditions de concurrence loyales pour nos agriculteurs», a souligné devant les députés la ministre de l’Agriculture Annie Genevard. Pendant le long débat consacré à ce sujet inflammable, tous les groupes politiques, sans exception, ont exprimé leur rejet de l’accord commercial, mais avec des nuances.
La France n’est en tout cas plus seule dans son refus: le gouvernement polonais a adopté mardi une résolution proclamant que Varsovie n’accepterait pas l’accord «sous cette forme», notamment en raison de «l’inquiétude pour les agriculteurs polonais et la sécurité alimentaire». «Des actions diplomatiques sont en cours pour constituer une minorité qui empêchera l’entrée en vigueur de l’accord», a souligné le vice-premier ministre Wladyslaw Kosiniak-Kamysz.

Fin des poursuites contre Trump pour ingérence électorale

Fin des poursuites contre  Trump pour ingérence électorale

La justice bananière continue de se mettre en marche pour passer l’éponge sur les différentes poursuites concernant Trump. Jack Smith, le procureur spécial, a recommandé lundi l’annulation des deux procédures au pénal qu’il instruisait contre lui. La demande concernant les accusations pour ingérences électorales a été validée dans la soirée par la juge Tanya Chutkan, mettant ainsi fin aux poursuites. C’est une grande victoire judiciaire pour le futur président. Ce dernier était accusé d’avoir cherché à inverser le résultat de l’élection de 2020 dans le but de se maintenir au pouvoir. Dans le second dossier, Donald Trump était inculpé pour avoir refusé de rendre pendant des mois des documents classifiés qu’il avait emportés illégalement dans sa résidence de Floride. Malgré les preuves accablantes, la juge Aileen Cannon, nommée à ce poste par l’administration Trump, a fait trainer tant et plus cette seconde affaire avant de la classer en juillet. 

Compétitivité : Contre l’alourdissement fiscal

Compétitivité : Contre l’alourdissement fiscal

 Le projet de loi de finances (PLF), rejeté en première lecture, qui va à l’opposé des recommandations du rapport Draghi, aurait pour conséquence de pénaliser la France à moyen et long terme pour des gains financiers de court terme et pas à la hauteur des préjudices futurs. Par Laurence Daziano, maître de conférences en économie à Sciences Po, est membre du Conseil scientifique de la Fondapol.( dans La Tribune)

L’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis annonce des mesures économiques hétérodoxes, protectionnistes et une politique offensive contre les économies européennes.

La plupart des droits de douane fixés lors du premier mandat de Donald Trump n’ont pas été supprimés par l’administration Biden. Il existe un consensus à Washington sur la politique de réindustrialisation, la remontée des droits de douane et la nécessité de conserver une avance technologique significative pour les États-Unis.

L’annonce d’une nouvelle augmentation des droits de douane, avec un minimum de 10% sur tous les produits européens, devrait nous alerter sur les mesures à prendre pour restaurer notre compétitivité et augmenter notre croissance. Il s’agit, en réalité, de mettre en œuvre le rapport Draghi pour innover, décarboner, développer le numérique et assurer notre sécurité.

Or, la situation politique française, à l’heure du rejet du projet de loi de finances en première lecture à l’Assemblée nationale, offre une image en complet décalage avec la réalité de la compétition mondiale. Le redressement de nos comptes publics passe par la hausse de la fiscalité au détriment des économies sur les dépenses. Les parlementaires privilégient les revalorisations des retraites, tout en alourdissant la fiscalité sur les actifs.

La trajectoire d’allègement des impôts de production est stoppée et une surtaxe sur les sociétés est imposée. Les fondements mêmes de la politique de l’offre sont remis en cause, tout comme l’allègement de la fiscalité sur le travail, qui faisait pourtant consensus entre la droite et la gauche, comme principale mesure de lutte contre le chômage.

Mais au-delà du débat sur la politique de l’offre, les débats parlementaires se sont également attaqués à l’innovation et au numérique, au moment même où la nouvelle administration Trump a clairement indiqué que la protection des entreprises américaines, notamment du numérique, était une condition sine qua non de la coopération économique et commerciale avec leurs alliés. Plusieurs mesures ont été proposées visant à alourdir la fiscalité numérique.

Malgré l’avis défavorable du rapporteur du budget et du gouvernement, les députés ont adopté une augmentation de la taxe numérique, une fiscalité nouvelle sur l’utilisation des réseaux, une taxe pour financer France Télévisions et une augmentation du taux de la taxe GAFA de 3% à 5% du chiffre d’affaires généré dans notre pays par l’activité de ces entreprises.

Le foisonnement fiscal n’a, à aucun moment, tenu compte des réalités économiques mondiales, de la compétition actuelle entre les grands blocs, de la nécessité d’innover et de tirer nos économies vers des modèles plus productifs. Le message envoyé par le Parlement français est ainsi totalement opposé aux préconisations du rapport Draghi qui fait du numérique une opportunité majeure de croissance et surtout de compétitivité pour l’Union européenne. Inversement, la fiscalité, par nature nationale et locale, aura pour effet de limiter le recours aux services numériques.

Ces services seront donc plus chers pour les acteurs français, car plus largement taxés en France que chez nos partenaires américains, européens ou même chinois. Les entreprises du numérique limiteront également leurs investissements en France, notamment dans les infrastructures. Toute notre politique de compétitivité et de montée en gamme risque d’être remise en cause, si la créativité fiscale parlementaire était retenue par le projet de loi de finances du Gouvernement.

Comme l’avait déclaré Jean Monnet, « les hommes n’acceptent le changement que dans la nécessité, et ils ne voient la nécessité que dans la crise ». L’heure est venue de prendre en compte la crise française, pour enfin changer et innover au profit de la croissance française.

Rugby 15: Victoire facile de la France contre le Japon en attendant les Blacks

Rugby 15: Victoire facile de la France contre le Japon en attendant les Blacks

 

Les Bleus ont facilement battu le Japon 52-12 ce samedi soir pour leurs retrouvailles avec le Stade de France. Ce sera autrement plus relevé dans une semaine face aux All Blacks.

Une victoire facile, 52 à 12. Un galop d’essai avant, dans une semaine et toujours au Stade de France, de défier les All Blacks. Ce sera une autre paire de manches face à des Néo-Zélandais qui viennent de battre l’Angleterre à Twickenham puis l’Irlande à Dublin.

 

Un plan contre le narcotrafic ?

Un plan contre le narcotrafic ?
Aujourd’hui le gouvernement devrait détailler à Marseille son plan contre le trafic de drogue. Compte tenu de la rapidité avec lequel cette action a été décidée on peut d’ores et déjà s’interroger sur son efficacité. C’est en effet là énième action contre le trafic de drogue qui s’est surtout caractérisée par des actions temporaires largement médiatisées mais sans résultat suivi réel.

Aujourd’hui le trafic de drogue est à la fois une économie et une forme d’organisation sociale et sociétale  qui impliquerait d’abord de comprendre son fonctionnement, d’identifier tous les facteurs explicatifs et ensuite seulement de construire un plan durable qui nécessiterait notamment la mobilisation d’une véritable armée pendant des mois et les années.

 

Alors que la chronique des règlements de comptes ensanglante, jour après jour, la France sur fond de vendettas pour le marché de la drogue, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, et le garde des Sceaux, Didier Migaud, se déplacent donc ce vendredi à Marseille pour tordre le cou à ce « fléau ». Pour y parvenir, le premier flic de France appelle à la « mobilisation générale », promettant aux narcotrafiquants la même « riposte républicaine » que celle réservée aux terroristes après les attentats de 2015.

 

Industrie de défense: L’Europe contre la France

Industrie de défense: L’Europe contre la France 

Après avoir exploré les pièges de la résurrection de la Communauté européenne de défense de 1952, le groupe Vauban décrypte la stratégie de marginalisation de la France par l’Allemagne, l’Italie et la Grande-Bretagne avec l’alliance entre Berlin et Rome dans le domaine terrestre et l’accord de Trinity House avec Londres.

« Fidèles serviteurs de l’OTAN et de Washington, animés d’un désir de mettre la France en position d’infériorité militaire et industrielle, les coalisés se sont partagés l’Europe : à l’Allemagne, la défense du flanc Nord de l’OTAN ; à l’Italie, la défense du flanc Sud joignant théâtre de la Méditerranée orientale à l’Asie-Pacifique ; au Royaume-Uni, la Turquie, la Pologne et les pays baltes en liaison avec l’Allemagne » 

L’âme de la deuxième coalition est, sans surprise, à Berlin même. Poursuivant sa politique de champions nationaux (Diehl dans les missiles ; OHB dans le spatial ; Rheinmetall plus que KMW, dans les blindés ; Hensoldt dans l’électronique de défense ; TKMS dans le naval ; Renk et MTU dans la propulsion) et de récupération des compétences qui lui font encore défaut (propulsion spatiale, satellites d’observation et aéronautique de combat et missiles), l’Allemagne a compris depuis les années 90 qu’elle obtiendrait beaucoup plus d’une France récalcitrante en faisant des alliances de revers que par la négociation directe.

En ce sens, l’actualité récente est la réédition des années 1997 à 2000, années où Berlin a proposé à Londres des fusions de grande ampleur : Siemens avec BNFL, bourse de Francfort avec celle de Londres, DASA avec British Aerospace. A chaque fois, il s’agissait moins de forger des alliances de revers que de faire pression sur la France. Trop faible pour voir clair dans ses intérêts et le jeu de ses concurrents, trop altruiste pour voir toute la naïveté et la portée de ses actes, la France de Lionel Jospin a offert la parité à l’Allemagne dans le domaine de l’aéronautique, elle qui n’en demandait au mieux que le tiers (qu’elle pesait au demeurant très justement…).

L’Allemagne, l’âme des coalitions de revers

Avec ses alliances en Italie (dans le domaine des blindés) et au Royaume-Uni (sur l’ensemble des segments), Berlin tend à Paris de nouveau le même piège : « cédez sur le MGCS et le SCAF ou nous actionnons l’alliance de revers ». L’Europe de l’industrie d’armement qui se prépare, n’est en réalité qu’une coalition contre les thèses françaises dans la défense et son indispensable corolaire, l’armement. Nulle surprise dans ce constat : dominant ses concurrents militaires et industriels grâce à l’héritage gaullien, possédant le sceptre nucléaire qui lui ménage une place à part dans le concert des grandes nations, influente par son siège au Conseil de sécurité aux Nations-Unies et ses exportations d’armement, la France est le pays à ramener dans le rang des médiocres aigris et jaloux et de la petite bourgeoisie de la défense européenne.

Rien de nouveau sous le soleil européen puisque, si l’on en croit Alain Peyrefitte, le général De Gaulle faisait déjà cette analyse : « Pour la dominer aussi, on s’acharne à vouloir la faire entrer dans un machin supranational aux ordres de Washington. De Gaulle ne veut pas de ça. Alors, on n’est pas content, et on le dit à longueur de journée, on met la France en quarantaine. » (13 mai 1964).

Marginalisée depuis la création de KANT puis de KNDS, méprisée voire sacrifiée en France même par le gouvernement de François Hollande en 2015 avec la complicité des députés UMP, l’industrie terrestre nationale ne vit que par des îlots (canons, tourelles, obus), ayant abandonné les chars (sans que la DGA ne réagisse en 2009 lors de la suppression de la chaîne Leclerc par Luc Vigneron), les véhicules blindés chenillés (choix très contestable du tout-roues), l’artillerie à longue portée et saturante ; écrasée par la férule de Frank Haun, désormais noyé dans KNDS France sans trop oser se défendre lui-même, Nexter est menacé de disparition par la double alliance KMW/Rheinmetall au sein du MGCS et Rheinmetall/Leonardo dans l’ensemble des segments.

Aveuglé par le couple franco-allemand, Paris n’a pas accordé assez d’attention à la montée en puissance de Rheinmetall, vrai champion du terrestre allemand, qui, par commandes et acquisitions, se retrouve enraciné en plein milieu du jeu allemand (comme future actionnaire de TKMS et bras armé de la politique ukrainienne de Berlin), et de la scène européenne qu’il a conquise pas à pas : en Hongrie d’abord, puis au Royaume-Uni, en Lituanie, en Roumanie, en Ukraine, en Croatie et désormais en Italie, sans oublier d’établir la relation transatlantique (avec Lockheed Martin sur le F-35, avec Textron sur la compétition Lynx et en achetant le constructeur Loc Performance Products). La toile tissée par Rheinmetall en Europe est une véritable coalition contre les positions françaises.

Le même coup de faux se prépare avec l’accord germano-britannique de Trinity House qui, même s’il ne réalisera pas toute ses prétentions faute de compétences et de moyens, érige un axe concurrent durable et redoutable dans des domaines clés pour la France : le nucléaire, les systèmes de missile à longue portée, les drones d’accompagnement des avions de combat de future génération, la robotique terrestre, la patrouille maritime.

Fidèles serviteurs de l’OTAN et de Washington, animés d’un désir de mettre la France en position d’infériorité militaire et industrielle, les coalisés se sont partagés l’Europe : à l’Allemagne, la défense du flanc Nord de l’OTAN ; à l’Italie, la défense du flanc Sud joignant théâtre de la Méditerranée orientale à l’Asie-Pacifique ; au Royaume-Uni, la Turquie, la Pologne et les pays baltes en liaison avec l’Allemagne. Les contrats industriels suivent les diplomates, avec une moisson gigantesque de chars de combat Leopard, de véhicules blindés Boxer, de l’artillerie RCH-155, de véhicules blindés de combat d’infanterie Lynx et de chars Panther et de systèmes sol-air (22 pays membres de l’initiative allemande ESSI).

Au bilan, la France est nulle part dans cette Europe qu’elle prétend pourtant bâtir ; elle n’a pas eu le courage politique de s’opposer aux dérives illégales de la Commission européenne en pratiquant la politique de la chaise vide ; son gouvernement est un mélange instable de fédéralisme affirmé, d’atlantisme assumé et de gaullisme à éclipses : comment pourrait-il mener une autre politique que celle « du chien crevé au fil de l’eau » (De Gaulle) consistant à se couler avec facilité et confort dans le mainstream institutionnel otanien au nom de l’Ukraine ? Comme lors de la IVème République, ses partis politiques sont occupés à la tambouille politicienne et ne pensent plus le monde selon les intérêts nationaux mais selon les intérêts de l’OTAN, de l’Ukraine et d’Israël.

Alors que la France s’épuise en débats stériles politiciens dans un régime devenu instable (les deux vont de pair), ses positions stratégiques en Europe se dégradent :

  • La cohérence de son système de défense reposant sur la souveraineté nationale et la défense des intérêts nationaux, au profit d’un fédéralisme européen sous tutelle américaine décrété urgent par la guerre en Ukraine et la menace russe ;
  • Sa dissuasion nucléaire, au profit d’un projet de missile conventionnel à très longue portée et d’une défense anti-missile germano-américano-israélienne à vocation européenne, deux projets promus, comme par hasard, par l’Allemagne ;
  • Son modèle d’industries nationales, monopolistiques, seules capables de concevoir, développer, produire et maintenir des systèmes d’armes souverains, au profit de fusions industrielles européennes qui placeront les armées et l’industrie françaises en position de dépendance complète des deux Bruxelles (OTAN et Union européenne) ;
  • La conduite de ses programmes d’armement, réalisée par ses ingénieurs de l’armement dont c’est le métier et la vocation, au profit de bureaucrates européens ne connaissant rien aux domaines de l’armement mais ayant le pouvoir juridique et financier ;
  • Sa liberté souveraine d’exporter de l’armement à qui elle l’entend et sans frein autre que ses intérêts et sa morale à elle, au profit de règlements européens, spécialement édictés pour la restreindre, autre projet porté par l’Allemagne.

Le pire est que ces développements ont été portés par la classe politique elle-même qui les a encouragés à coup de proposition de « dialogue sur la dissuasion »« d’autonomie stratégique européenne » ou de programmes en coopération mal négociés, en mettant de côté les aspects gênants comme les divergences de doctrine, de niveau technologique et d’analyses sur les exportations.

Le pire est également que ces développements se profilent au moment même où la France, faute de limiter son gouvernement aux seuls domaines régaliens et de créer la richesse au lieu de la taxer et de la décourager, n’a plus les moyens de sa défense : comment celle-ci pourrait-elle en effet continuer de résister à la dérive des finances publiques, à la sous-estimation systématique de tous ses besoins (des capacités négligées aux infrastructures délaissées en passant par les surcoûts conjoncturels prévisibles mais ignorés) et à la mauvaise gestion de ses finances propres (comme en témoigne le montant faramineux des reports de charges) ?

Si la LPM est officiellement maintenue en apparence, ses fondements financiers, déjà minés dès sa conception par un sous-financement général, apparaissent pour ce qu’ils sont : insuffisants à porter le réarmement national de manière durable et soutenu. Faudra-t-il comme Louis XIV vendre l’argenterie royale ? Faudra-t-il vendre des biens nationaux comme la Révolution le fit dans son incurie ? Ou lui faudra-t-il écraser d’impôts les Français comme le Premier Empire s’y est résigné pour éviter l’emprunt ?

La rupture avec les deux Bruxelles est la double condition de la renaissance nationale. Face à l’Europe coalisée contre son système de défense, la France n’aura pas d’autre choix qu’un sursaut passant par une révision fondamentale du rôle de l’État, c’est-à-dire la réduction drastique de ses interventions sociales et économiques ruineuses et inefficaces, et d’une révision complète de son cadre d’alliances, afin que celles-ci la fortifient au lieu de l’atrophier.

La guerre froide n’a pas empêché ni la politique de la chaise vide ni le retrait du commandement intégré de l’OTAN, c’est-à-dire de quitter les deux Bruxelles au profit d’une politique du grand large, et pourtant le général de Gaulle qui a pris ces deux décisions majeures, n’était ni irresponsable ni irréfléchi. Les fruits de la grande politique qu’il a voulue, sont connus : un rayonnement considérable de sa diplomatie et de ses exportations d’armement.

Budget Sécu: Contre l’avis de la droite partie recettes votée par la gauche

Budget Sécu: Contre l’avis de la droite partie recettes votée par la gauche

Une nouvelle fois l’assemblée nationale ce singularise avec des votes complètement contradictoires. Ainsi la partie recettes du budget de la Sécu soutenue par le gouvernement a été rejetée par la droite mais par contre approuvé par la gauche. Le monde à l’envers évidemment. De toute manière ce projet de budget au final sera rejeté totalement et renvoyé au Sénat. Autant dire que ces discussions complètement surréalistes n’ont aucun sens.

 

L’Assemblée nationale a approuvé lundi, avec les voix de la gauche, une version profondément remaniée de la partie recettes du budget 2025 de la Sécurité sociale, les députés macronistes et de droite ayant voté contre et le RN s’étant abstenu. Le texte amendé, qui prévoit notamment 17 à 20 milliards de cotisations supplémentaires selon les députés, a été approuvé par 126 voix «pour» et 98 «contre». L’Assemblée va ainsi pouvoir entamer en soirée l’examen de la partie «dépenses» du texte.

 

Les élus du «socle» gouvernemental ont fustigé un texte «vidé de son sens et de tout sérieux, politique et budgétaire», comme l’a résumé François Gernigon (Horizons). «Vous avez créé des taxes et des charges pour près de 17 milliards», a déploré Thibault Bazin (LR) en s’adressant aux élus du Nouveau Front populaire (NFP)«Et là, les victimes, ce ne sont pas les grandes fortunes, ce sont les classes moyennes qui travaillent», a-t-il dit, fustigeant un texte qui «ne ressemble plus à rien».

 

Après le vote, le président du groupe MoDem Marc Fesneau a fait part de son agacement : «quand vous avez RN et NFP qui votent ensemble, vous voyez bien que c’est la collusion du populisme»«À la fin, le gouvernement va dire “voyez, tout ça n’est pas raisonnable, on va laisser ça au Sénat, car eux ce sont des gens responsables et raisonnables”», a-t-il ajouté.

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Foot -PSG :Vainqueur contre Lens mais pas de niveau européen

PSG :Vainqueur contre Lens mais pas de niveau européen

 

Encore une victoire pour le PSG qui conforte sa place en tête du classement national. Mais une prestation qui n’est guère convaincante pour aborder le niveau européen. Un manque évident d’engagement général, trop de maladresses surtout devant le but. Lens  a offert une belle résistance;  mais ce sera un autre exercice face à des adversaires comme Madrid par exemple. De toute évidence le football français de ligue 1ne joue pas dans les mêmes divisions que les autres grandes nations comme l’Angleterre, l’Espagne, l’Allemagne voire l’Italie. Pour preuve d’ailleurs la plupart des membres de l’équipe de France jouent  à l’étranger. 

Les Parisiens, eux, ont profité des espaces laissés par les Lensois pour se procurer un grand nombre de situations franches mais ont buté sur un énorme Brice Samba, auteur de sept arrêts dont plusieurs déterminants. À noter cependant que le PSG joue sans avant-centre . Même s’ils n’ont pas réussi à se mettre à l’abri, Marquinhos et ses coéquipiers l’ont emporté, consolidant leur place de leader au classement, et reléguant l’AS Monaco, battue par Angers (0-1) vendredi, à six longueurs. Le RC Lens (8e), pour sa part, perd l’occasion de se rapprocher du podium.

 

Sport-tennis- Exploit français contre Alcaraz

Sport-tennis- Exploit français contre Alcaraz

 

Ugo Humbert , numéro un français a fait  fait tomber le quadruple lauréat en Grand Chelem Alcaraz

 

Il semble bien qu’on assiste à un certain réveil du tennis français avec des victoires récentes notamment à Bercy.« C’est la plus belle victoire de ma carrière et c’est le meilleur moment que j’ai vécu sur un court de tennis. C’était incroyable ! Je m’entraîne pour cela. C’est ce que je me suis répété tout le troisième set. Je voulais que l’histoire se termine mieux que l’année dernière. J’ai repensé au match contre Zverev (défaite en trois sets au 2e tour), cela m’a donné de la force. Je suis super fier de moi. Avec mon jeu, sur ces surfaces, comme sur gazon, je peux vraiment embêter les tout meilleurs au monde. »

le PSG gagne en France: 3-0 contre l’OM

le PSG gagne en France: 3-0 contre l’OM

Après les déconvenues au plan européen, le PSG sera sur en battant nettement Marseille trois à zéro. club de la capitale conforte de place de leader et prend six longueurs d’avance sur l’OM, troisième derrière l’AS Monaco et à égalité de points avec Lille.

Foot ligue 1 : Mauvaise opération de Monaco contre Lille

Foot ligue 1 : Mauvaise opération de Monaco contre Lille

Monaco, réduit à dix à l’heure de jeu, n’a pas su se défaire d’un Lille très défensif (0-0), vendredi soir en ouverture de la 8e journée de L1, et, voit ainsi sa première place menacée par le Paris Saint-Germain, qui recevra Strasbourg dimanche.

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