Archive pour le Tag 'nomination'

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français ne font pas confiance à Macron

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français  ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Nomination Rachida Dati : un gag ou une provocation de Macron ?

Nomination Rachida Dati : un gag ou une provocation de Macron ?

À la culture, Macron consciemment ou inconsciemment, règle encore un peu plus ses comptes avec la gauche. Observateurs, experts et monde politique ont tous étés surpris de cette nomination pour le moins inattendue au profil davantage de boxeur que d’intello.

La plupart des interventions de l’intéressée sont en effet marqué par la provocation, l’attaque gratuite, le mensonge sans parler des contradictions. Il y a encore à peine quelques mois Rachida Dati considérait le gouvernement de Macron comme un rassemblement de traîtres de gauche et de droite tout juste bons à débaucher.

On la retrouvera évidemment en pointe–ce qui ne va pas faciliter le travail d’Attal pour dire exactement le contraire et dans les mêmes formes. On se demande bien qui a inspiré ce coup politique à la Sarkozy ; un coup vraiment tordu car il est connu que le monde de la culture est aux antipodes des positions droitières et provocatrices de Rachida Dati.

Une nomination particulièrement irresponsable non seulement parce que l’intéressée est relativement inculte, parce qu’elle traîne des gamelles judiciaires mais plus encore parce qu’elle va constituer un véritable boulet pour le premier ministre.

Faute de pouvoir s’exprimer sur la culture on la retrouvera sur tous les autres sujets objets de punching ball. C’est sa grande spécialité, sa marque de fabrique et son combat. En fait, un combat surtout pour elle-même qu’elle a gagnée souvent avec ses amitiés particulières des plus grands responsables économiques et politiques.

Sur le fond, elle est d’un vide sidéral, une sorte de Nadine Morano mais mondaine. On pourrait même reprendre la formule de Napoléon à l’égard de Talleyrand.. mais dans un bas de soie de chez Dior !.

Nomination Rachida Dati : un gag ou une provocation de Macron ?

Nomination Rachida Dati : un gag ou une provocation de Macron ?

À la culture, Macron consciemment ou inconsciemment, règle encore un peu plus ses comptes avec la gauche. Observateurs, experts et monde politique ont tous étés surpris de cette nomination pour le moins inattendue au profil davantage de boxeur que d’intello.

La plupart des interventions de l’intéressée sont en effet marqué par la provocation, l’attaque gratuite, le mensonge sans parler des contradictions. Il y a encore à peine quelques mois Rachida Dati considérait le gouvernement de Macron comme un rassemblement de traîtres de gauche et de droite tout juste bons à débaucher.

On la retrouvera évidemment en pointe–ce qui ne va pas faciliter le travail d’Attal pour dire exactement le contraire et dans les mêmes formes. On se demande bien qui a inspiré ce coup politique à la Sarkozy ; un coup vraiment tordu car il est connu que le monde de la culture est aux antipodes des positions droitières et provocatrices de Rachida Dati.

Une nomination particulièrement irresponsable non seulement parce que l’intéressée est relativement inculte, parce qu’elle traîne des gamelles judiciaires mais plus encore parce qu’elle va constituer un véritable boulet pour le premier ministre.

Faute de pouvoir s’exprimer sur la culture on la retrouvera sur tous les autres sujets objets de punching ball. C’est sa grande spécialité, sa marque de fabrique et son combat. En fait, un combat surtout pour elle-même qu’elle a gagnée souvent avec ses amitiés particulières des plus grands responsables économiques et politiques.

Sur le fond, elle est d’un vide sidéral, une sorte de Nadine Morano mais mondaine. On pourrait même reprendre la formule de Napoléon à l’égard de Talleyrand.. mais dans un bas de soie de chez Dior !.

Nomination Attal: bien reçue à l’étranger

Nomination Attal: bien reçue à l’étranger

D’une manière générale, la presse étrangère salut la nomination d’Attal comme premier ministre en France en assistant sur sa carrière éclair, sa jeunesse et sa maîtrise politique.

Une nomination dont le président français atteindrait aussi des bénéfices pour remonter en popularité et redonner du dynamisme partagé à Une gestion assez laborieuse.

Beaucoup considèrent que Attal est désormais aussi en piste parmi les candidats pour remplacer Macon en 2027. Reste à savoir si les preuves de Matignon aura constitué un nouvel essor contraire une épreuve usante pour l’intéressé

Politique et Conseil constitutionnel : la nomination de copains

Politique et Conseil constitutionnel : la nomination de copains

 

Deux nominations récentes au conseil constitutionnel ont défrayé la chronique. Celle de Jacqueline Gouraud l’ancienne ministre qui n’est pas spécialement une spécialiste du droit constitutionnel mais qui évidemment est très proche de Macron. L’autre nomination, plus scandaleuse , est celle  de la candidate proposée par Richard Ferrand, Mme Malbec.

Mme Malbec.ex-procureure générale de Rennes, fut la responsable hiérarchique du procureur qui a classé sans suite en octobre 2017 l’affaire des Mutuelles de Bretagne dans laquelle Richard Ferrand était mis en cause. Une affaire qui a permis à la compagne de Ferrand de faire un petit bénéfice de 6 à 700 000 € et sans débourser un sou dans l’affaire des assurances des mutuelles de Bretagne. Bref une sorte de renvoi d’ascenseur qui a été dénoncé par l’opposition. L’intéressée qui va pantoufler au conseil constitutionnel se défend

« Un procureur général doit être tenu informé des affaires sensibles de son ressort pour assurer une remontée d’informations » mais « un procureur général ne peut jamais donner d’ordre à un procureur de classer une affaire », a-t-elle détaillé. « Il peut seulement donner des instructions de poursuite ».

Mais l’insoumis Ugo Bernalicis lui a lancé: « Mme Malbec, vous auriez dû refuser la proposition qui vous a été faite ». « On est tous interrogatifs, même si c’est à tort », a abondé le communiste Stéphane Peu, estimant que cette entrée au Conseil constitutionnel risquait de « jeter un peu plus d’opprobre » sur l’institution et « d’aggraver la crise démocratique ».

La socialiste Cécile Untermaier a souligné qu’avec ses collègues, elle n’était pas inquiète de la « compétence » de Véronique Malbec pour devenir une Sage, mais qu’il s’agissait de « lever tous les doutes » sur le dossier des Mutuelles de Bretagne. Notons que nombre d’affaires concernant le pouvoir actuel ont été enterré en particulier le délicat et pourtant stratégique dossier du financement de la campagne de Macron.

Politique- Conseil constitutionnel : la nomination de copains

Politique- Conseil constitutionnel : la nomination de copains

 

Deux nominations récentes au conseil constitutionnel ont défrayé la chronique. Celle de Jacqueline Gouraud l’ancienne ministre qui n’est pas spécialement une spécialiste du droit constitutionnel mais qui évidemment est très proche de Macron. L’autre nomination, plus scandaleuse est celle  de la candidate proposée par Richard Ferrand, Véronique Malbec ex-procureure générale de Rennes, elle fut la responsable hiérarchique du procureur qui a classé sans suite en octobre 2017 l’affaire des Mutuelles de Bretagne dans laquelle Richard Ferrand était mis en cause. Une affaire qui a permis à la compagne de Ferrand de faire un petit bénéfice de 6 à 700 000 € et sans débourser un sou . Bref une sorte de renvoi d’ascenseur qui a été dénoncé par l’opposition. L’intéressée qui va pantoufler au conseil constitutionnel se défend:

« Un procureur général doit être tenu informé des affaires sensibles de son ressort pour assurer une remontée d’informations » mais « un procureur général ne peut jamais donner d’ordre à un procureur de classer une affaire », a-t-elle détaillé. « Il peut seulement donner des instructions de poursuite ».

Mais l’insoumis Ugo Bernalicis lui a lancé: « Mme Malbec, vous auriez dû refuser la proposition qui vous a été faite ». « On est tous interrogatifs, même si c’est à tort », a abondé le communiste Stéphane Peu, estimant que cette entrée au Conseil constitutionnel risquait de « jeter un peu plus d’opprobre » sur l’institution et « d’aggraver la crise démocratique ».

La socialiste Cécile Untermaier a souligné qu’avec ses collègues, elle n’était pas inquiète de la « compétence » de Véronique Malbec pour devenir une Sage, mais qu’il s’agissait de « lever tous les doutes » sur le dossier des Mutuelles de Bretagne. Notons que nombre d’affaires concernant le pouvoir actuel ont été enterré en particulier le délicat et pourtant stratégique dossier du financement de la campagne de Macron.

Conseil constitutionnel : la nomination de copains

Conseil constitutionnel : la nomination de copains

 

Deux nominations récentes au conseil constitutionnel ont défrayé la chronique. Celle de Jacqueline Gouraud l’ancienne ministre qui n’est pas spécialement une spécialiste du droit constitutionnel mais qui évidemment est très proche de Macron. L’autre nomination, plus scandaleuse est celle  de la candidate proposée par Richard Ferrand

.x-procureure générale de Rennes, elle fut la responsable hiérarchique du procureur qui a classé sans suite en octobre 2017 l’affaire des Mutuelles de Bretagne dans laquelle Richard Ferrand était mis en cause. Une affaire qui a permis à la compagne de Ferrand de faire un petit bénéfice de 6 à 700 000 € et sans débourser un sou dans l’affaire des assurances des mutuelles de Bretagne. Bref une sorte de renvoi d’ascenseur qui a été dénoncé par l’opposition. L’intéressée qui va pantoufler au conseil constitutionnel se défend

« Un procureur général doit être tenu informé des affaires sensibles de son ressort pour assurer une remontée d’informations » mais « un procureur général ne peut jamais donner d’ordre à un procureur de classer une affaire », a-t-elle détaillé. « Il peut seulement donner des instructions de poursuite ».

Mais l’insoumis Ugo Bernalicis lui a lancé: « Mme Malbec, vous auriez dû refuser la proposition qui vous a été faite ». « On est tous interrogatifs, même si c’est à tort », a abondé le communiste Stéphane Peu, estimant que cette entrée au Conseil constitutionnel risquait de « jeter un peu plus d’opprobre » sur l’institution et « d’aggraver la crise démocratique ».

La socialiste Cécile Untermaier a souligné qu’avec ses collègues, elle n’était pas inquiète de la « compétence » de Véronique Malbec pour devenir une Sage, mais qu’il s’agissait de « lever tous les doutes » sur le dossier des Mutuelles de Bretagne. Notons que nombre d’affaires concernant le pouvoir actuel ont été enterré en particulier le délicat et pourtant stratégique dossier du financement de la campagne de Macron.

Affaire FDJ : scandale pour la nomination de la femme de Gilles Legendre(LREM)

Affaire FDJ : scandale  pour la nomination de la femme de Gilles Legendre(LREM)

 

 

Les responsables du pouvoir sont montés au créneau pour défendre la légitimité de la nomination de la femme du président du groupe parlementaire de la république en marche comme directrice de la communication à la Française des jeux. Une nomination intervenue juste avant la loi qui autorise la privatisation. Sans doute un hasard ! On sait évidemment que les salaires de la FDJ vont s’envoler pour les dirigeants une fois que cette société sera privatisée. Notons aussi que le dernier poste de l’épouse de Gilles Legendre était celui de conseiller à la communication auprès du secrétariat d’État aux personnes handicapées. Une nomination qui ne devait pas tout non plus au hasard même si l’intéressé a occupé des fonctions dans d’autres entreprises précédemment. La nomination résulte évidemment du fait du prince même si elle est légale. La question n’est pas de savoir si elle est légale mais si elle est politiquement correcte. Une affaire qui rappelle celle de Richard Ferrand, actuel président de l’Assemblée nationale qui avait permis à sa compagne de s’enrichir sur le dos des mutuelles de Bretagne quand il en était directeur et cela sans prendre aucun risque financier. Bénéfices pour l’intéressée, un petit pactole de 800 000 €. Sans doute légal lui aussi mais politiquement lamentable. Finalement ces responsables de la république en marche ne sont pas différents d’autres responsables qui ont mis les mains dans le pot de confiture et l’argumentation de ceux e qui les défendent est assez lamentable. “Je pense qu’on doit garantir aux conjoints ou conjointes de responsables politiques de pouvoir aussi avoir une vie professionnelle”, a dit sur franceinfo le ministre de la Culture Franck Riester. Il a ajouté que le député Gilles Legendre, l’époux de Raphaële Rabatel, n’était “pas directement décideur de la privatisation de la Française des jeux (…) Il n’est pas membre du gouvernement». SUR RTL, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse, Gabriel Attal, a dénoncé des critiques qui desservent la cause féministe. “On considère qu’une femme, parce qu’elle est l’épouse d’un homme politique, ne pourrait pas penser, agir en indépendance ? C’est une femme, je ne la connais pas, mais il me semble que c’est une grande professionnelle, il suffit de regarder son CV”, a-t-il ajouté. L’annonce de sa nomination est à la Française des Jeux est intervenue mardi, deux jours avant l’adoption définitive par l’Assemblée nationale du projet de loi Pacte qui ouvre la voie à la privatisation du groupe. “Si cette information est exacte, c’est profondément choquant. Surtout venant d’une majorité donneuse de leçons comme jamais !”, a réagi mercredi le député LR Daniel Fasquelle dans un message sur son compte Twitter. La sénatrice socialiste Marie-Pierre de la Gontrie a dénoncé sur RTL “un mélange des genres incroyable”

FDJ : scandale pour la nomination de la femme de Gilles Legendre

FDJ : scandale  pour la nomination de la femme de Gilles Legendre

 

 

Les responsables du pouvoir sont montés au créneau pour défendre la légitimité de la nomination de la femme du président du groupe parlementaire de la république en marche comme directrice de la communication à la Française des jeux. Une nomination intervenue juste avant la loi qui autorise la privatisation. Sans doute un hasard ! On sait évidemment que les salaires de la FDJ vont s’envoler pour les dirigeants une fois que cette société sera privatisée. Notons aussi que le dernier poste de l’épouse de Gilles Legendre était celui de conseiller à la communication auprès du secrétariat d’État aux personnes handicapées. Une nomination qui ne devait pas tout non plus au hasard même si l’intéressé a occupé des fonctions dans d’autres entreprises précédemment. La nomination résulte évidemment du fait du prince même si elle est légale. La question n’est pas de savoir si elle est légale mais si elle est politiquement correcte. Une affaire qui rappelle celle de Richard Ferrand, actuel président de l’Assemblée nationale qui avait permis à sa compagne de s’enrichir sur le dos des mutuelles de Bretagne quand il en était directeur et cela sans prendre aucun risque financier. Bénéfices pour l’intéressée, un petit pactole de 800 000 €. Sans doute légal lui aussi mais politiquement lamentable. Finalement ces responsables de la république en marche ne sont pas différents d’autres responsables qui ont mis les mains dans le pot de confiture et l’argumentation de ceux e qui les défendent est assez lamentable. “Je pense qu’on doit garantir aux conjoints ou conjointes de responsables politiques de pouvoir aussi avoir une vie professionnelle”, a dit sur franceinfo le ministre de la Culture Franck Riester. Il a ajouté que le député Gilles Legendre, l’époux de Raphaële Rabatel, n’était “pas directement décideur de la privatisation de la Française des jeux (…) Il n’est pas membre du gouvernement». SUR RTL, le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse, Gabriel Attal, a dénoncé des critiques qui desservent la cause féministe. “On considère qu’une femme, parce qu’elle est l’épouse d’un homme politique, ne pourrait pas penser, agir en indépendance ? C’est une femme, je ne la connais pas, mais il me semble que c’est une grande professionnelle, il suffit de regarder son CV”, a-t-il ajouté. L’annonce de sa nomination est à la Française des Jeux est intervenue mardi, deux jours avant l’adoption définitive par l’Assemblée nationale du projet de loi Pacte qui ouvre la voie à la privatisation du groupe. “Si cette information est exacte, c’est profondément choquant. Surtout venant d’une majorité donneuse de leçons comme jamais !”, a réagi mercredi le député LR Daniel Fasquelle dans un message sur son compte Twitter. La sénatrice socialiste Marie-Pierre de la Gontrie a dénoncé sur RTL “un mélange des genres incroyable”

Après brexit : la nomination de Barnier, une « déclaration de guerre » (presse anglaise)

Après brexit : la nomination de Barnier une « déclaration de guerre » (presse anglaise)

 

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On se demande bien ce qui peut susciter l’inquiétude de la presse anglaise après la nomination de Michel Barnier, ancien commissaire européen, comme négociateur pour l’après brexit. Certes Michel m’a Barnier a manifesté de nombreuses velléités pour réorganiser le système financier mais nombre  de ses propositions ont été rejetées. Rappelons-nous par exemple que Michel Barnier avait souhaité que les agences de notation n’évaluent plus les Etats ! En tête de la presse tabloïd, rarement pondérée, The Sun dénonce un  »eurocrate antibritannique ». Le Daily Mail parle d’une « nouvelle trahison » de l’Europe. Tandis que le Financial Times, la Bible des affaires, manie l’ironie: « Le fléau de la ville de Londres, le Français qui a voulu réglementer l’industrie des services financiers britannique morceau par morceau, le Commissaire de Bruxelles qui a poussé l’ancien gouverneur de la banque d’Angleterre à se taper la tête contre son bureau est revenu. » Car si la nomination du français Michel Barnier passe aussi mal outre-Manche, c’est parce que la City le connaît déjà très bien. De 2010 à 2014, en tant que Commissaire européen au marché intérieur et aux services, il a hérité du dossier de la régulation des banques anglaises. Il en a gardé l’image d’un « fanatique, que la finance dégoûte ». En 2010, The Telegraph, le quotidien le plus vendu, se demandait s’il n’était pas« l’homme le plus dangereux d’Europe« . Heureusement pour Michel Barnier, toute l’Angleterre ne sera pas contre lui. Le Financial Times rappelle que la dernière année de son mandat, en 2014, il s’est montré beaucoup plus chaleureux envers la City, une fois son programme de réformes achevé. L’éditorialiste du Telegraph Ambrose Evans-Pritchard, pro-Brexit militant, a même pris sa défense sur Twitter. « Contrairement à beaucoup, je pense que Michel Barnier est un bon choix comme chef du Brexit pour l’UE. Je le connais depuis 15 ans. Relativement anglophile. «  Pour le Royaume-Uni, l’un des gros enjeux de cette négociation sera de conserver le « passeport » européen de ses banques, celui qui permet aujourd’hui à la City de vendre librement ses services en Europe. Selon Le Point, l’ancien vice-premier ministre Nick Clegg, un europhile, affirme que cette nomination « va déclencher l’alarme dans la City, car Barnier ne protégera pas le passeport financier dont bénéficie le Royaume-Uni ».

(avec  Huffington Post)

Présidence France Télévisions : le scandale d’une nomination

Présidence France Télévisions : le scandale d’une  nomination

Hollande l’avait promis «  moi Président …». Il ne nommerait pas les dirigeants de la télé ; Pour autant c’est ce qi s’est produit via le CSA politisé. Et c’ est uen personnalité qui ne connaît rien à la télé qui est nommée ( mais qui est bien connue des réseaux politiques de gauche et de droite).  C’est la république des copains ( voir le dernier scandale Mathieu Gallet ( à radio France et à l’Ina) mais qui reste à son poste.  Le scandale aussi de France 23.   Il y a deux ans et demi naissaient six nouvelles chaînes gratuites sur la TNT. Parmi elles, Numéro 23 un canal dédié à la diversité. Total : cette chaîne a surtout diffusé des séries américaines et des émissions… de tatouage. Quant à son propriétaire, il vient de la revendre pour 90 million d’euros au groupe Next Radio TV (BFMTV, RMC,…). Une transaction qui provoque l’indignation : les fréquences de diffusion sont rares et accordées gratuitement par l’Etat. Les opérateurs privés en profitent pour spéculer.  C’était une des promesses du candidat François Hollande à la présidence de la République en 2012 : annihiler les jeux d’influence dans la désignation du P-DG de France Télévisions en redonnant à une instance indépendante – le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) – le pouvoir de cette nomination. Mais le choix de Delphine Ernotte, intervenue le 23 avril dernier au terme d’une procédure décriée, est venue mettre à mal le vœu élyséen. Et menace même de virer à l’affaire politique. Invité à s’exprimer devant la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale mardi, le président du CSA, Olivier Schrameck, nommé en 2013 par le chef de l’Etat, va devoir mettre le couvercle sur trois points polémiques.  La procédure de désignation de Delphine Ernotte, ex-directrice générale d’Orange France, première femme à diriger l’audiovisuel public, est soupçonnée d’être entachée d’irrégularités. Petits arrangements entre amis, manquement aux règles d’équité de la part d’un membre du CSA, Sylvie Pierre-Brossolette (ex-journaliste au Point), plagiat du projet d’un candidat adverse, etc. : la liste des « bizarreries » dressée par les enquêtes de Mediapart et de M le magazine du Monde jette la suspicion sur le CSA, pourtant censé choisir le meilleur candidat pour le poste. Et qui, à l’étonnement général, a promu une dirigeante sans expérience dans l’audiovisuel, à l’inverse de Marie-Christine Saragosse, présidente de France Médias Monde (France 24), par exemple.  « Pourquoi y a-t-il eu tant de secret ? Pour mieux préparer l’émergence d’un candidat en particulier ? », s’interrogeait vendredi à l’AFP une source interne au CSA, dont le collège des sages est divisé en deux camps. « Pourquoi n’y a-t-il pas eu une session de repêchage quand on a vu que des poids lourds n’étaient pas dans la sélection ? », déplore une autre source interne, et ce, alors que la procédure le prévoyait. Il n’en faut pas davantage pour que l’affaire prenne un tour politique, l’UMP exigeant l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire sur les conditions de nomination de Delphine Ernotte. Plus généralement, au-delà de la désignation de Delphine Ernotte, ce sont les pratiques du CSA sous l’ère Schrameck, qui se remet à peine de la fronde à Radio France contre Mathieu Gallet (et ses dépenses), qui interrogent. Dans son enquête, le supplément du Monde a ainsi jeté le trouble sur le régulateur de l’audiovisuel public : telle radio locale privilégiée parce qu’elle est domiciliée dans une commune où la femme du président possède une maison ou, entre autres choses, commande d’une étude, forcément élogieuse, sur l’institution à 14.999 euros – en dessous du montant d’un appel d’offre.

Jospin : nomination politique au conseil constitutionnel

Jospin :  nomination politique au conseil constitutionnel

Normalement  l’institution est le conseil des sages de la république qui peuvent avaliser les lois ou au contraire les déclarer contraire à la constitution ; mais ce le lieu est en fait une institution de nature politique où s’affrontent auusi droite et gauche. D’où la nomination de Jospin par Hollande; c’est auusi pour Hollande une manière de remercier son mentor qui lui avait permis de devenir patron du PS. Si indiscutablement Jospin est une figure politique,  pas sûr qu’il manifeste l’impartialité qui devrait s’imposer au conseil constitutionnel. Ce n’est pas le genre du personnage.  Mais le même reproche peut être fait aux autres membres. En faiat il faudrait une réforme de ce conseil mais cette réforme a été enterrée.  Dire que l’on abandonne toute étiquette politique en entrant au Conseil constitutionnel relève d’une épure à laquelle on voudrait croire. Ce n’est pas le cas de Manuel Valls qui, depuis plusieurs mois, se plaint des « censures politiques » qu’exerce à ses yeux le Conseil présidé par Jean-Louis Debré. Le Premier ministre n’avait pas admis que le Conseil censure l’allégement de charges salariales sur les salaires inférieurs à 1,3 smic dans la loi de finances rectificative. Cette mesure avait été conçue pour améliorer le pouvoir d’achat des salariés modestes. Une différence de traitement en rupture avec « le principe d’égalité », avait jugé le Conseil. La politique de la gauche consiste précisément à méconnaître la stricte égalité afin de rectifier les déséquilibres du marché. En entravant cette politique différentielle, le Conseil constitutionnel ferait de la politique et non du droit, juge-t-on au sein de l’actuelle majorité. L’arrivée de Lionel Jospin, à l’origine des 35 heures, de la CMU (couverture maladie universelle), de la parité dans les mandats électoraux, du congé de paternité, du pacs, est-elle neutre politiquement ? Sûrement pas. On ne se refait pas. Tout comme il serait absurde d’exiger de Jean-Louis Debré qu’il renonce à ses convictions gaullistes ou à Michel Charasse qu’il oublie l’héritage de Mitterrand.

Hollande « a « gâché la nomination de Manuel Valls »(Alexis Brézet)

Hollande « a « gâché la nomination de Manuel Valls »(Alexis Brézet)

L’intégralité de la composition du gouvernement de Manuel Valls a été annoncée cette semaine, entraînant quelques transferts de personnes. Ainsi Harlem Désir a été nommé secrétaire d’État aux affaires européennes. Une promotion « invraisemblable et assez scandaleuse », selon Alexis Brézet, directeur des rédactions du Figaro, alors que le bilan du socialiste à la tête de son parti n’est pas brillant. Ajoutez le parachutage de Pierre-René Lemas (….) celui de Jean-Christophe Cambadélis (…) et vous aurez tous les ingrédients d’une belle polémique Alexis Brézet « Ajoutez à ça le parachutage de Pierre-René Lemas, ancien secrétaire général de l’Élysée, à la tête de la Caisse des dépôts, celui de Jean-Christophe Cambadélis à la direction du PS, et vous aurez tous les ingrédients d’une belle polémique. Gâcher ainsi les bénéfices de la nomination de Valls, il fallait le faire et Hollande y est arrivé », ajoute le journaliste.   Il rappelle que lors de la campagne présidentielle « François Hollande avait dit que, lui président, les affaires du PS ne se traiteraient pas à l’Élysée, que la République irréprochable ne caserait pas les copains en priorité ». « Eh bien de ce point de vue c’est raté », conclut-il.

 




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