Archive pour le Tag 'préfère'

Premier ministre : Attal préféré des Français !

 

 

Il y a en apparence quelque chose de contradictoire dans la posture des Français qui certes ont sanctionné sévèrement la majorité leur des dernières élections législatives mais qui considère après celle-ci que Gabriel Attal serait encore le meilleur premier ministre. C’est sans doute la confirmation qu’aucun des grands quand politique n’a vraiment gagné la dernière consultation électorale mais que les Français font aussi la différence entre l’image des partis et celle des responsables. Si Macon est détesté par contre jusque-là Gabriel Attal a laissé une image relativement bonne avec 40 % de soutien des Français. Sans doute les Français font-ils aussi la même différence entre les différents responsables des autres partis notamment ceux du parti socialiste ou du rassemblement national ( Bardella devance en effet nettement Le Pen).. Politiquement cela signifie que les Français d’une façon générale sont assez ouverts aux différentes idées des parties et des personnalités. Contrairement à l’image relativement clivée que donnent parfois les médias et les responsables de partis politiques surtout.

 

Il est considéré comme un «bon premier ministre» par 40% des Français, selon un sondage Harris Interactive pour le magazine Challenges. Il se place devant Jordan Bardella et Xavier Bertrand.
Dans le sondage de « challenges » Gabriel Attal se place en tête du classement, devant 34 autres personnalités testées par l’institut. La force de l’actuel chef du gouvernement réside dans sa capacité à recueillir l’assentiment de sympathisants d’autres forces politiques.

En seconde position, Jordan Bardella talonne de très près Gabriel Attal avec 39% d’opinions favorables.  Les Français placent en troisième position  le président de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand avec 32% d’approbation.

Candidate désignée par les forces du Nouveau front populaire (NFP), Lucie Castets souffre d’un cruel déficit de popularité. La haute fonctionnaire n’est créditée que de 17 % d’opinions positives et pointe en 21e position du classement.  La Directrice financière de ville de Paris se classe derrière 10 personnalités de gauche. Notamment Raphaël Glucksmann (première personnalité à gauche en 6e position avec 27% d’opinions favorables), François Hollande (7e avec 26%) ou encore Martine Aubry (9e avec 24%).

 

Par orgueil , Macron préfère la crise

Politique– Par orgueil , Macron préfère la crise

On connaît maintenant suffisamment le logiciel mental de Macron qui repose surtout sur un ego démesuré. Comme sous la monarchie, il va refuser d’affronter la situation rapidement en faisant comprendre comme d’habitude qu’il est le maître des horloges. Le seul problème c’est qu’en ce moment la situation se dégrade à vue d’œil à tel point qu’on ne sait pas quelle direction la révolte sociale peut prendre.Et aujourd’hui mercredi 22 mars, on va devoir écouter le énième bla-bla d’un président qui s’est mis lui-même dans le pétrin par mépris de la démocratie. La même incapacité d’écoute, la même condescendance et l’illusoire prétention à inscrire le nom d’un arriviste dans l’histoire


La grande presse se focalise encore sur la situation du gouvernement et de l’Assemblée nationale. Il se pourrait bien que ces deux questions soient déjà obsolètes. Le gouvernement même s’il est maintenu et de toute façon discréditait et sa première ministre sans envergure avec. Quant au Parlement il a démontré ses limites démocratiques. En utilisant l’article 47 l’assemblée nationale s’est elle-même condamnée à la marginalité, même chose au Sénat qui a utilisé l’article 38 pour empêcher toute discussion des amendements. Et pour finir le coup de massue de Macron qui utilise l’article 47–3 de la constitution pour neutraliser complètement le Parlement.

L’avenir ne se situe plus ni au gouvernement ni même à l’assemblée car la crise politique va sans doute déboucher sur une crise sociale encore plus grande, sur une crise politique et même sur une crise institutionnelle. La démocratie ne fonctionne plus dans le pays et depuis longtemps. Le système de monarchie républicaine tout dépend du président est usé jusqu’à la corde. De la même manière se pose la question de la démocratie représentative où les élus le plus souvent décident sans concertation avec les citoyens des orientations qu’il souhaite et-ou que souhaitent certains lobbys.

En matière démocratique, tout est à remettre à plat en France car notre système repose sur le principe monarchique avec à la tête un président qui s’imagine en monarque absolu et toute une pyramide de petits marquis , et autres barons, sorte de club de l’entre soi.

Alimentation–Le local préféré au bio ?

AlimentationLe local préféré au bio ?

 

 

Il y aurait deux tiers des Français qui achèteraient des produits bio. Cependant la tendance serait maintenant de privilégier le local par rapport au bio. Plusieurs facteurs explicatifs à ce phénomène;  parfois le doute qui peut peser sur certains produits bio puisque au moins la moitié provient de l’étranger et que ces produits ne sont pas toujours soumis aux mêmes exigences écologiques qu’en France. Le deuxième facteur est constitué par le prix avec des différences sensibles pouvant aller presque jusqu’au double par rapport aux produits traités.

Toutefois l’origine locale des produits ne garantit pas le caractère biologique évidemment. Simplement cela manifeste le souci de réduire l’impact logistique, son coût et ses incidences sur l’environnement.

La préférence des produits locaux est surtout motivée par le souci de diminuer de manière drastique le circuit production distribution sachant que des produits parfois très simples comme les yaourts par exemple exigent des milliers de kilomètres avant de rejoindre l’étal des supermarchés. Il en est de même pour nombre d’autres produits industriels

 

Le local préféré au bio ?

Le local préféré au bio ?

 

 

Il y aurait deux tiers des Français qui achèteraient des produits bio. Cependant la tendance serait maintenant de privilégier le local par rapport au bio. Plusieurs facteurs explicatifs à ce phénomène;  parfois le doute qui peut peser sur certains produits bio puisque au moins la moitié provient de l’étranger et que ces produits ne sont pas toujours soumis aux mêmes exigences écologiques qu’en France. Le deuxième facteur est constitué par le prix avec des différences sensibles pouvant aller presque jusqu’au double par rapport aux produits traités.

Toutefois l’origine locale des produits ne garantit pas le caractère biologique évidemment. Simplement cela manifeste le souci de réduire l’impact logistique, son coût et ses incidences sur l’environnement.

La préférence des produits locaux est surtout motivée par le souci de diminuer de manière drastique le circuit production distribution sachant que des produits parfois très simples comme les yaourts par exemple exigent des milliers de kilomètres avant de rejoindre l’étal des supermarchés. Il en est de même pour nombre d’autres produits industriels

 

 

 

 

Éolien : le vent tourne pour Macron qui préfère le nucléaire

Éolien : le vent tourne pour Macron qui préfère le nucléaire

Le vent tourne pour Macron concernant les éoliennes qui ne doivent pas porter atteinte au patrimoine et à notre identité a déclaré Emmanuel Macron qui a souligné le rôle central du nucléaire en France. Une  manière de remettre les choses à leur place et de repréciser les priorités de la politique énergétique. Le  chef de l’État a indiqué  qu’il n’était pas opposé aux éoliennes mais qu’elle serait désormais décidée au cas par cas (observons cependant que ces déjà se passe actuellement !).

Le chef de l’État a encore une fois présenté le nucléaire comme la « chance » de la France pour lutter contre le réchauffement climatique. L’atome constitue en effet un atout considérable pour décarboner l’énergie : il ne rejette aucune émission de CO2, ce qui le positionne en bonne place pour soutenir la transition écologique qui exige une consommation accrue d’électricité. . « Je ne veux pas qu’on abîme nos paysages, c’est une part de notre patrimoine et de notre richesse profonde, de notre identité », a-t-il confié au micro de France Info.

« Des tensions naissent parce que certaines de nos régions ont beaucoup construit d’éoliennes », a précisé le président, qui souhaite « améliorer la concertation locale ». Et pour l’éolien en mer, onéreux pour l’État, le président a exprimé l’envie de faire « baisser les coûts ». Emmanuel Macron s’est donc approprié sans détour une question largement abordée question pendant la campagne des élections régionales.

Sondage Municipales : l’élu local préféré des Français, pourquoi !!!

Sondage Municipales : l’élu local préféré des Français, pourquoi !!!

Encore un sondage qui montre que l’élu local serait le représentant politique des Français le plus aimé . On peut se demander si l’opinion aiment réellement les maires mais ont moins  en cause que des élus nationaux très critiqués. On voit mal en effet ce qui pourrait justifier cette espèce d’amour de l’élu local. La plupart du temps en effet dans les grandes villes, les plus administrées ignorent à peu près tout de l’action du maire dont la responsabilité est par ailleurs assez limitée dans ses champs d’action. Des maires qui ne sont pas plus préoccupés que cela des questions économiques et de l’emploi et assez souvent développent des projets d’investissement assez irresponsable destiné surtout à marquer l’opinion. En outre, en matière de fonctionnement, rares sont les maires qui ont témoigné de leur compétence de gestion si l’on en juge par la dérive des coûts et des effectifs.

La vérité c’est que les superstructures municipales se reproduisent sans aucun contrôle politique. Il en va différemment dans les agglomérations de plus petite taille et dans les villages. Reste que dans ces zones les élus se comportent aussi parfois comme de petits barons reproduisant à leur échelle les mêmes dérives démocratiques qu’au plan national et confondant parfois intérêt général et intérêt particulier. Il n’y a guère que dans les très petits villages que les maires sont au four et au moulin et directement en contact avec les problèmes sociaux, économiques et culturels.

D’après un sondage OpinionWay-Public Sénat-La Tribune pour l’UNCCAS (*) réalisé auprès de 1.001 personnes. 68% du panel cite en effet le titulaire de l’écharpe tricolore devant le conseiller régional (6%), le parlementaire (député ou sénateur à 6%), le président de la République (5%), le conseiller départemental (5%) ou le député européen (3%).

« Le maire est le dernier élu à « portée d’engueulades », dixit le président du Sénat Gérard Larcher. Il est sur le marché tous les week-ends et se doit de répondre à toutes les sollicitations », explique le directeur général de l’Union nationale des centres communaux d’action sociale (UNCCAS) Benoît Calmels. « On est sorti des relents dégagistes de 2017 et de l’après-gilets jaunes. Il est redevenu la figure de proximité en qui nos compatriotes ont confiance. »

2017: Valls à 9% préféré à Hollande à 7% mais loin derrière Macron et Mélenchon

2017: Valls à 9% préféré à Hollande à 7% mais  loin derrière Macron et Mélenchon

Si effectivement selon le sondage Elabe pour BFMTV, Les Echos et Radio Classique, 62% des Français % préfèrent Valls à Hollande, il n’en reste pas moins que le candidat du PS fera à peine 10% dans tous les cas : autour de 7% pour Hollande et 9% pour Valls. Macron et Mélenchon devancent  le candidat socialiste avec chacun autour de 13. François Hollande termine en 5e position avec 7% des intentions de vote au premier tour, derrière Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon. Idem pour Manuel Valls qui est lui crédité de 9 points.

Information : Le texte préféré à l’image et au bruit

Information : Le texte préféré à l’image et au bruit

 

 

Même si les images et le bruit progressent  comme support d’information une étude démontre que près de 70 % des Américains préfèrent encore le texte pour être informés. Sur Internet les vidéos envahissent les  écrans qu’il s’agisse d’information ou de pub. Des vidéos qui réduisent encore davantage le contenu de l’info. Même si ces vidéos progressent  la question et de savoir si elles sont regardées puisqu’une étude de Reuters  montre que seulement un quart sont effectivement visionnées.  Aux États-Unis, les 18-29 ans préférèrent le texte à la vidéo pour suivre l’actualité, selon une étude du Pew Research Center. La nouvelle a d’abord de quoi surprendre, tant le format vidéo est vanté pour appâter la tranche d’âge si convoitée des médias et annonceurs. Mais le résultat s’explique par le fait que les jeunes s’informent massivement sur un média où l’écrit fait encore loi: Internet. Dans le détail, les 18-29 ans préfèrent à 42% lire pour s’informer, et à 38% regarder une vidéo, tous médias confondus. Chez les plus de 65 ans, la vidéo est quant à elle plébiscitée à 58%, contre 27% pour la lecture. Cela ne veut pourtant pas dire que les jeunes se désintéressent de la vidéo, mais plutôt qu’ils se détournent de la télévision au profit d’Internet, à la différence de leurs aïeux restés fidèles à la télévision. Si l’on se limite aux médias en ligne, les 18-29 ans sont en effet les plus grands consommateurs de vidéos, et de très loin puisqu’ils sont au moins deux fois plus portés sur ce support que les répondants de plus de 30 ans. Cette migration des internautes vers la vidéo en ligne peut encore sembler anecdotique, au regard de la suprématie de l’écrit, plébiscité par 68% des Américains pour s’informer en ligne selon une étude du Reuters Institute for Journalism parue en septembre. Mais 22% d’entre eux affirment désormais préférer la vidéo aux autres formats en ligne. Également en France, au Royaume-Uni ou encore au Japon, la progression de la vidéo en ligne dans les habitudes d’information s’observe depuis 2014.

 

(Avec le Figaro)

Londres a préféré le fils de pauvre (Laetitia Strauch-Bonart)

Londres a préféré le fils de pauvre (Laetitia Strauch-Bonart)

 

Laetitia Strauch-Bonart chercheuse auteure de. Vous avez dit conservateur?  analyse dans une interview au Figaro que finalement Sadiq Khan a surtout été élu en raison de son passé de pauvre et parce qu’il représente la diversité culturelle et sociale. (Extraits)


Sadiq Khan, candidat travailliste à la mairie de Londres est devenu le premier maire musulman d’une grande capitale occidental. Cela est-il un symbole important en Grande-Bretagne?

 

 

Laetitia Strauch Bonnart:

Cette victoire reflète le profond changement démographique qui s’est opéré en Grande-Bretagne et surtout à Londres depuis les dernières décennies, puisque les musulmans représentent aujourd’hui 12,4% de la population de la capitale, une proportion qui croît d’ailleurs bien plus vite que celle des autres communautés.

Cependant, le fait même de se concentrer sur l’identité religieuse de Khan pose problème: c’est réduire la politique à une «politique d’identités», où l’origine et l’appartenance comptent davantage que les programmes politiques. C’est aussi penser que les électeurs se déterminent en fonction de ces identités, alors que la victoire de Khan a certainement d’autres facteurs, à commencer par la faiblesse de son principal opposant conservateur, Zac Goldsmith. En réalité, dans les derniers mois, la focalisation du débat électoral sur les questions d’origine, voulue ou non, a empêché d’évoquer les vraies questions importantes pour la ville, à commencer par l’immobilier et le manque criant de logements pour une population en constante croissante. Aucun des candidats principaux, que ce soit Khan ou Goldsmith, n’a proposé le semblant d’une solution crédible à ce sujet!

 

 

Sadiq Khan est le fils d’un conducteur de bus pakistanais. Ses origines culturelles et sa religion ont-elles joué un rôle dans cette élection? Lequel?

En effet, elles ont joué un rôle, même s’il reste difficile à quantifier. Il est impossible de ne pas être sensible à l’histoire de Khan, qu’on partage ou non ses idées: fils d’un conducteur de bus pakistanais, il a grandi dans une council house (un HLM) et fait son chemin dans l’école d’Etat, gratuite, jusqu’à devenir avocat spécialiste des droits de l’homme. Sa «success story» est exemplaire.

 

La politique identitaire est toujours à double tranchant.

Sauf qu’on ne peut pas fonder son choix politique, à mon sens, sur ces seuls éléments. Or curieusement, l’origine semble avoir aujourd’hui un effet important sur les opinions des électeurs, et un effet en ciseaux: catalyseur de sympathie quand elle est modeste, elle est de plus en plus critiquée quand elle est aisée. Autrefois, l’appartenance à l’establishment aurait suffi pour faire élire Golsmith, et c’est une bonne chose que ce ne soit plus le cas, car en l’occurrence son programme n’était pas suffisamment solide. Cependant, ses origines ont clairement joué en sa défaveur, beaucoup lui reprochant simplement d’être fils de milliardaire. Pour plaire aujourd’hui, il vaut mieux un héritage de déshérité, une histoire personnelle faite de difficultés et d’ascension sociale. Qu’on trouve cela ridicule ou non, c’est l’esprit du temps, et Goldsmith n’est pas du bon côté!

 

Sadiq Khan a été accusé d’affinité avec les islamistes. Est-ce le cas? Ce soupçon a-t-il pu jouer en sa défaveur?

Cependant, pendant la campagne électorale, Khan n’a cessé de condamner l’extrémisme, et demandé la suspension de Livingstone après ses remarques antisémites. Il est aussi haï par certains radicaux car il soutient le mariage gay. Ce changement d’attitude est-il pure tactique ou est-il sincère? Inversement, sa supposée proximité ancienne avec certains radicaux était-elle sincère, où là encore tactique? Dans tous les cas, je ne crois pas que Khan cautionne l’extrémisme. En revanche, il représente une voix assez commune à gauche – surtout dans ce que j’appelle «la gauche du ressentiment» représentée par Corbyn, que Khan a d’ailleurs soutenu en septembre dernier pour son élection à la tête du Labour: celle qui consiste à expliquer les attitudes des extrémistes et des terroristes par la seule et unique faute de l’Occident. Ainsi en 2006, élu député, Khan était l’un des signataires d’une lettre au Guardian qui attribuait la responsabilité des attentats terroristes – comme celui du 7 juillet 2005 à Londres – à la politique étrangère britannique, notamment son soutient à Israël. Cette position et l’ambiguïté passée de Khan ont forcément créé un soupçon en sa défaveur.

 

Londres est-elle la ville du multiculturalisme heureux?

Oui et non! Tout dépend ce que vous entendez par multiculturalisme. Si vous pensez à la diversité des nationalités représentées à Londres, il y a en effet quelque chose d’admirable dans cette ville et sa capacité à faire vivre ensemble des personnes d’origines différentes.

Mais quand on parle multiculturalisme en Europe aujourd’hui, on le prend dans un sens plus politisé, celui de la complexe relation entre la population d’origine, chrétienne ou athée à coloration chrétienne, et les populations plus ou moins récentes de confession musulmane. En Grande-Bretagne, en apparence, tout se passe bien. Les musulmans modérés sont tout à fait intégrés. Ce qui est assez problématique – comme dans d’autres villes européennes -, c’est l’existence de quartiers entiers où le séparatisme identitaire est visible. C’est le cas dans l’Est de London, notamment dans le borough de Tower Hamlets. 30% de la population y est musulmane, concentrée dans des council houses.

Carburant diesel: préféré des Français parce tout simplement moins cher !

Carburant diesel: préféré des Français parce tout simplement moins cher !

 

Plus de 60% des Français sont conscients que le diesel est plus polluant, pour autant ce carburant est préféré par autant tout simplement parce que c’est moins cher. Ils sont cependant très conscients  de son impact environnemental et considèrent également que l’Europe en augmentant les seuils de pollution s’st couchée devant le lobby automobile.  Les deux-tiers (64%) affirment avoir cependant une « bonne image » de ce carburant pointé du doigt pour être polluant et dangereux sur la santé, selon un sondage publié dimanche.  Les Français continuent de soutenir le diesel même après le scandale des moteurs truqués de Volkswagen, les deux-tiers (64%) affirmant avoir une « bonne image » de ce carburant pointé du doigt pour être polluant et dangereux sur la santé, selon un sondage publié dimanche 1er novembre. Un sondage dont on peut facilement comprendre les résultats et qui montre les contradictions entre la politique fiscale et la politique environnementale. Pour faire évoluer le parc il faudra évidemment du temps puisque 80% du carburant utilisé en France est du diesel. Lucides, Les Français estiment que le diesel, qui va être davantage taxé en France, est un carburant performant (74%) et bon marché (64%) même s’ils reconnaissent que c’est un carburant polluant (61%) et dangereux pour la santé (56%), selon le sondage réalisé par Odoxa pour le Parisien-Aujourd’hui. En revanche, le moteur diesel n’apparaît plus comme le modèle privilégié par les Français qui envisagent de s’acheter un véhicule: ils sont 30% à opter pour le diesel contre 33% pour un modèle électrique ou hybride et 34% pour un moteur à essence. Pour les trois-quarts des Français (76%), la décision prise mercredi par l’Union Européenne d’assouplir les seuils d’émissions de gaz polluants des moteurs diesel est le signe qu’elle a cédé au lobby des constructeurs automobiles. Après des années de vif débat, le gouvernement français a annoncé à la mi-octobre sa décision de supprimer progressivement à partir de l’an prochain l’avantage fiscal dont bénéficie le gazole par rapport à l’essence.

L’armée française préfère des 4×4» américains !

L’armée française préfère des 4×4» américains !

Les 4×4 Peugeot de l’armée seront donc remplacés par des « Rangers »  américains ». D’après la direction de l’armée la France aurait moins de savoir faire que les américains de Ford dans ce domaine. Bizarre alors que la France se vante à juste titre d’’avoir conçu notamment  l’avion de combat « Rafale » le plus efficace du monde, on ne serait pas capable de construire un 4×4 à la technologie finalement assez simpliste. Ce n’ est pas la première fois que l’administration joue contre le camp économique français mais là en plus il s’agit de l’armée.  On peut se demander sur quels critère sosnt examinés les réponses aux appels d’offre publics d’autant que des propositions françaises étaient notamment moins chères que celles des américains. Une décision que les salariés de la marque au lion ne comprennent pas. De fait, le contrat porte sur le renouvellement de 5000 véhicules sur deux ou trois ans. L’appel d’offres visait en effet à remplacer le parc de P4, des Peugeot avec quatre roues motrices, acquises en 1984. Et les autres marques tricolores s’étaient mises en ordre de marche pour remporter cet appel d’offres. Les marques Renault ou Citroën, avaient également conçus des véhicules spécifiquement pour l’armée française. Citroën développe son Berlingo et Renault revisite son Duster quatre roues motrices, «moins cher d’ailleurs que les autres véhicules en lice», passe les tests tout terrain organisé par l’armée avec succès, indique le quotidien régional.  Certains équipementiers français aussi étaient en ordre de marche comme Poclain Véhicules, pour la mécanique. Pascal Bernard, directeur général de Poclain Véhicules confie à l’Est Républicain que «ce marché représente 10.000 heures de travail, sept à huit personnes à l’année. Sans parler des 100.000 euros investis dans le développement pour répondre au cahier des charges de l’armée et les essais de ce Duster modifié». Même son de cloche chez Nedey où le groupe avait mis au point une peinture spécifique. Alain Pirlarski directeur général du groupe, indique ainsi qu’il avait prévu de recruter 5 personnes supplémentaires dans cette optique. Mais l’armée française en a décidé autrement. La première tranche de 1.000 véhicules est confiée à Ford. Un militaire explique ce matin sur RTL que ce n’est pas la première fois que l’armée française fait des infidélités à sa mère patrie. Il ajoute que l’Hexagone a moins d’expérience en la matière. Mais la pilule ne passe pas. Ainsi, Christophe Grudler, conseiller départemental du Territoire de Belfort a lancé une pétition en ligne «l’armée française doit soutenir l’industrie française: non à l’achat de Rangers américains!» L’élu souligne que certes 1000 véhicules ont été achetés auprès des États-Unis mais il appelle l’armée française et le gouvernement à réorienter leurs commandes pour les 4000 prochains véhicules. «4000 autres véhicules doivent bientôt être commandés par l’Armée française: le gouvernement a le devoir moral – à compétence égale, et dans le respect des marchés publics – de choisir des constructeurs français. Notre industrie a besoin d’être soutenue, en tout premier lieu par le gouvernement», s’indigne l’élu.

 

Sondage 2017 : Valls préféré à Hollande

Sondage 2017 : Valls préféré à Hollande

 

Selon un sondage IFOP pour le JDD,  Hollande n’arrive qu’en troisième position comme préféré des électeurs de gauche loin derrière Valls et même derrière Aubry. Autant dire que sur la tendance ce serait la débâcle aux présidentielles de 2017 car tous les sondages  montrent que la droite et l’extrême droite seraient devant Hollande au premier tour.  Du coup la possibilité d’une candidature Valls risque de monter. Même si les résultats économiques, notamment en matière de chômage, devaient s’améliorer, il y fort à parier que le crédit serait attribué à Valls. J usqu’à ces deniers mois Valls était utile à Hollande désormais il devient un adversaire potentiel. On peut imaginer que Hollande risque de changer d’attitude à l’égard de Valls et il est même vraisemblable qu’il sen séparera après la nouvelle défaite annoncée des régionales de la fin de l’année.   Interrogés par l’IFOP sur celui (ou celle) le mieux à même de porter les couleurs de la gauche en 2017, les « sympathisants de gauche » désignent en effet en premier Manuel Valls (29%) devant Martine Aubry (19%) puis François Hollande, seulement troisième à 11 points (18%). Ségolène Royal arrive en quatrième position (13%). Quand on analyse les préférences des seuls sympathisants PS, l’écart aussi est consistant : 37% d’entre eux disent préférer l’actuel Premier ministre. L’actuel chef de l’Etat est à dix points (27%). A noter chez les sympathisants du Front de gauche la percée d’Arnaud Montebourg, et le triplé féminin chez ceux d’Europe-Ecologie Les Verts (dans l’ordre : Aubry, Royal et Duflot).

 

Foot-PSG sanctionné, Platini (UEFA) préfère les clubs endettés

Foot-PSG sanctionné, Platini (UEFA) préfère les clubs endettés

 

Sous impulsion de Platini le PSG va être sanctionné. Platini, sans doute l’un des meilleurs joueurs français de tous les temps ne brille pas par sa compétence et son impartialité comme dirigeant de l’UEFA. Il a sans doute raison de considérer que les budgets des clubs sont excessifs et que les joueurs sont surpayés. Pour autant ce n’est pas en sanctionnant le PSG que la situation va s’améliorer.II oublie par exemple que le Barça ou le Réal ont des dettes de l’ordre de 500 millions chacun et qu’ils doivent environ 700 million au Fisc espagnol. De la même manière, il ignore que la plupart des clubs anglais sont auusi en déficit (sauf Arsenal). L’UEFA n’a pas cependant épargné le PSG. Alors que les sanctions à l’encontre des neufs clubs concernés par le fair-play financier ne seront connues qu’en fin de semaine, à en croire, le journal l’Equipe, le champion de France en titre sait déjà ce qui l’attend. La chambre d’instruction de l’instance de contrôle financier des clubs (ICFC), chargée de la mise en place du fair-play financier, n’a pas été convaincue par les arguments des dirigeants parisiens, détaille L’Equipe dans ses colonnes mardi. Alors que le contrat de sponsoring passé avec QTA à hauteur de 200 millions d’euros par an a été dévalué à 100 millions d’euros, le club de la Capitale verra également sa masse salariale être encadrée. Actuellement à 240 millions d’euros, elle ne pourra plus être augmentée au risque de sanctions de la part de l’instance européenne. Les transferts vont également être très surveillés. Le Paris Saint-Germain aura le droit de recruter un seul joueur à 60 millions d’euros et non deux à 30 millions ou trois à 20 millions. Et si un joueur arrive, la masse salariale ne doit pas augmenter. Au niveau purement sportif, les Rouge et Bleu ne pourront inscrire que 21 joueurs en Ligue des Champions, au lieu de 25 pour les autres clubs. La règle de l’UEFA obligeant les clubs à inscrire huit joueurs formés localement dans cette liste reste effective dans ces circonstances, ce qui devrait compliquer la tâche du club. Enfin, les dirigeants parisiens devront également verser une amende de 60 millions d’euros sur trois ans, tout en réduisant leur déficit à 30 millions d’euros au lieu des 45 autorisés par l’UEFA. Ces quatre sanctions ont fait l’objet d’un accord entre le PSG et l’ICFC. Si l’actuel leader de Ligue 1 refuse ce moratoire, il sera renvoyé devant la chambre de jugement de l’ICFC qui pourrait décider de taper encore plus fort. Et surtout, il n’y aurait plus aucun recours possible à ce stade, hormis devant le Tribunal arbitral du sport (TAS). Dans tous les cas, le mercato d’été parisien devrait être différent de ces dernières années. Pour voir des joueurs arriver, il faudra en faire partir. Laurent Blanc, l’entraineur du PSG indique que, même si les sanctions se confirment, « le PSG aura une grande équipe l’année prochaine. »

Gayet – Hollande : Montebourg préfère un scooter français

Gayet – Hollande : Montebourg préfère un scooter français

L’inénarrable Montebourg commentant l’affaire Hollande –Gayet aurait préféré que le scooter soit français. Celui qui avait dit de Ségolène Royal alors candidate à la présidence de la république : « son seul problème c’est son compagnon « (Hollande à l’époque) s’offusque aussi d’exploitation publique de la vie privée ! Arnaud Montebourg aurait donc préféré que le scooter de François Hollande soit français. Le chantre du Made in France, interrogé sur le scooter de marque italienne que le président emprunte pour ses sorties personnelles a déclaré :  »J’ai toujours rappelé les acteurs publics à l’esprit patriotique. » « Ce n’est pas lui qui achète le scooter, j’ai cru comprendre qu’il s’agissait d’un scooter de fonction, mais c’est en effet à organiser », a concédé le ministre du Redressement productif. On a encore le droit en France, d’être célibataire Arnaud Montebourg Interrogé sur l’affaire Gayet/Hollande, celui qui avait déclaré en 2007 que « le seul problème de Ségolène Royal était son compagnon » (François Hollande à l’époque), a refusé de s’épancher sur le sujet.  « Je n’ai pas de commentaires à faire pour la seule raison que, dans la Constitution, on élit pas un couple, mais une seule personne : le président de la République ». Avant d’ajouter que l’on avait « encore le droit, aujourd’hui en France, d’être célibataire ». Plus généralement, Arnaud Montebourg à dénoncé dans l’affaire Closer, le rôle de ce qu’il a appelé la presse « pé-auple », néologisme pour désigner « la presse people ». Plusieurs fois aux prises avec ces publications, le député de Saône-et-Loire a revendiqué le fait d’avoir fait condamner cette presse « pé-auple invariablement ». « Son fond de commerce est illégal. C’est la violation des règles fondamentales dans notre pays. Ils vivent d’infractions à la loi sur la protection de la vie privée. »

L’Ukraine préfère les 15 milliards de la Russie aux 20 milliards de l’Europe

L’Ukraine préfère les 15 milliards de la Russie aux 20 milliards de l’Europe

Pas surprenant que le président ukrainien  Ianoukovitch préfère laide de la Russie moins regardante sur son utilisation ; En fait le président  de l’Ukraine mettra une grande partie de cette aide dans sa poche et dans celle de son clan comme il faiat déjà avec la richesse nationale ukrainienne. Un seul exemple le fils du président est déjà à la tête d’une des plus grandes fortunes locales, 360 millions d’euros, même chose pour toute la famille du président et son clan.  Une aide d’ »environ 20 milliards d’euros sur sept ans » a donc été proposée par l’Union européenne à l’Ukraine, rapporte un responsable européen au Figaro, ce mercredi 18 décembre. Une somme supérieure aux 15 milliards d’euros d’aide offerts par le président russe Vladimir Poutine, associés à une baisse d’un tiers des prix du gaz. L’offre européenne incluait des crédits standby qui restent à négocier au Fonds monétaire international (FMI), croit savoir le quotidien. Vladimir Poutine avait précisé, en allusion aux conditions avancées par le FMI pour l’octroi d’un prêt : « Ce n’est lié à aucune condition, ni à une hausse, ni à une baisse, ni au gel des avantages sociaux, des retraites, des bourses ou des dépenses ». Un responsable européen dénonce dans Le Figaro « la mauvaise volonté » des autorités ukrainiennes, et du président Viktor Ianoukovitch. Le nouveau ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, avait estimé que l’aide financière proposée par l’Union européenne à l’Ukraine pour la rapprocher de l’Europe avait été insuffisante. « Nous avons présenté une proposition d’aide financière et économique, loin de ce qui est nécessaire pour sauver l’Ukraine de la faillite et l’associer économiquement durablement à l’Europe », a-t-il dit à Berlin. Le commissaire européen chargé de l’Élargissement et de la Politique de voisinage, Stefan Füle, avait promis jeudi 12 décembre que le soutien financier de l’UE serait « à la hauteur des ambitions de l’Ukraine ». Il s’était refusé à fournir des chiffres, alors que le Premier ministre ukrainien avait demandé la veille à l’UE une aide de 20 milliards d’euros.

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