Archive pour le Tag 'Français'

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Gouvernement: les Français contre un gouvernement exclusivement du NFP

Gouvernement:  les Français contre un  gouvernement exclusivement du NFP

Selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 73% des Français refusent de voir un gouvernement exclusivement composé de ministres du bloc de gauche. Du coup, un gouvernement seulement chargé des affaires courantes pourrait bien occuper l’espace politique pendant plusieurs mois en l’état des divisions des blocs et des partis

. Moins d’une semaine après le second tour des législatives, six Français sur dix (60%) jugent que la dissolution de l’Assemblée nationale était une «mauvaise décision», selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Alors que les résultats des urnes plongent le pays dans l’inconnu avec un Hémicycle éclaté en trois blocs.

Finances publiques : le mensonge français

Finances publiques  : le mensonge français

La Cour des comptes sonne une nouvelle fois le tocsin sur nos comptes publics. La situation politique actuelle ne va malheureusement pas permettre de redresser le tir.

Par Dominique SEUX dans Les Echos

La Cour des comptes et le désert français. Une fois de plus, l’organisme de contrôle tire la sonnette d’alarme sur la situation de nos comptes publics et on peut, hélas, parier que cela ne suscitera qu’un intérêt poli. Ses mots sont pourtant forts. La situation est « inquiétante » et « la divergence avec les principaux Etats européens est de plus en plus marquée et singularise encore davantage la France », écrit-elle noir sur blanc.

Le Petit Robert liste les synonymes du mot « inquiétant » : alarmant, angoissant, effrayant, menaçant. Réveilleront-ils des responsables politiques qui se font à de rares exceptions près la courte échelle pour endormir l’opinion ? Seront-ce les chiffres sinon les mots ? La dette publique tricolore se situe 20 points (de produit intérieur brut) au-dessus de la moyenne de la zone euro et 50 points au-dessus de l’Allemagne.

Les finances publiques sont l’angle mort de la politique économique d’Emmanuel Macron, qui a par ailleurs obtenu de bons résultats sur l’emploi et l’attractivité notamment. Sa double erreur : avoir cru que la croissance suffirait pour éponger naturellement les déficits et avoir prolongé trop longtemps les boucliers anti-inflation. Cela, la Cour des comptes a raison de le rappeler. Mais il n’est pas le seul coupable.

« Je crois à la victoire finale des démocraties, mais à une condition, c’est qu’elles le veuillent », avait écrit Raymond Aron en 1939. Le parallèle entre la Seconde Guerre mondiale et la situation financière d’un Etat peut sembler déplacé. Mais ce n’est plus le cas quand cette situation risque un jour ou l’autre de provoquer une crise nationale, voire européenne (zone euro). La Grèce en 2010-2012, la France en 2024 ?

 La Cour des comptes ne peut pas l’écrire, mais le projet du Nouveau Front populaire provoquerait un choc immédiat sur les finances publiques, entre des dépenses certaines et des recettes incertaines parce que spoliatrices. Le ras-le-bol fiscal dénoncé à Bercy en 2012 par le ministre Pierre Moscovici (sous François Hollande) serait multiplié par 10, avec des effets dévastateurs. Quant aux autres partis, rien ne dit qu’ils corrigeraient sérieusement le tir.

Le drame des Français c’est qu’ils ont trois raisons d’être frustrés. Ils doivent prendre en charge les dépenses collectives d’un niveau hors norme par rapport aux grands pays développés (1.607 milliards d’euros), avec les impôts et les déficits qui les financent. Ils ne sont pas satisfaits de la qualité des services rendus par ces dépenses : école, santé, retraites, etc. Et l’ingouvernabilité actuelle n’a aucune raison d’arranger les choses.

Les finances publiques, quoi qu’il vous en coûte.

Productivité : le frein économique français

Productivité : le frein  économique français
Non seulement nombre de Français au travail est insuffisant et plombe la croissance mais en plus la productivité de ceux qui travail plonge de manière dangereuse. De nombreux facteurs explicatifs comme sans doute le rapport au travail mais aussi le manque de formation de base et de compétence. La désindustrialisation aussi au profit de services eux-mêmes insuffisamment productifs. Dans une note intitulée « Cap sur le capital humain pour renouer avec la croissance de la productivité », le conseil d’analyse économique a tiré la sonnette d’alarme ce jeudi 29 septembre. « Le ralentissement de la productivité est un problème économique important dans notre pays. Par rapport aux Etats-Unis et à l’Allemagne, la productivité en France diminue plus vite », a déclaré Xavier Jaravel, un des co-auteurs de la note et prix du meilleur jeune économiste en 2021 lors d’un point presse. ( papier de la Tribune)

Le premier enseignement frappant de ce travail documenté de plus de 80 pages est que la baisse de productivité tricolore a amputé le produit intérieur brut (PIB) d’environ 5,8 points sur la période 2003-2019. Cela représente environ 140 milliards d’euros en quinze ans. Ce décrochage de la productivité hexagonale par rapport à l’Allemagne ou aux Etats-Unis entraîne également des pertes faramineuses pour les finances publiques de l’ordre de 65 milliards d’euros avec un taux de prélèvements obligatoires de 46%.

Pour se donner un ordre de grandeur, les économistes rappellent que cette somme représente le budget annuel du ministère de l’Education nationale. Le centre de recherches rappelle que la France a perdu 7 points de PIB par habitant par rapport à l’Allemagne en quinze années. Une grande partie de ce décrochage (5 points) s’explique par des pertes de vitesse de la productivité.

Enfin, il faut rappeler que si les chercheurs ont focalisé leurs travaux sur les deux dernières décennies, le ralentissement de la productivité en France est loin d’être un phénomène récent. Depuis la fin des « 30 glorieuses », l’économie hexagonale enregistre de plus faibles gains de productivité. « En France, la croissance de la productivité du travail est divisée par deux au cours des années 70 et passe d’un rythme de 5% l’an à un rythme de 2,6% », expliquent les économistes de l’OFCE (Observatoire français des conjonctures économiques) Éric Heyer et Xavier Timbeau dans un récent (*) ouvrage consacré à l’économie tricolore. Les différentes crises économiques liées aux chocs pétroliers des années 70 et au resserrement drastique des politiques monétaires ont porté un coup dur à la productivité dans les pays riches de la planète durant cette période.

L’autre constat important est que la plupart des secteurs sont concernés par ce coup de frein de la productivité. Sans surprise, la chute de productivité dans l’industrie peut s’expliquer en partie par une transformation du modèle productif français. La désindustrialisation accélérée de l’économie hexagonale depuis les années 70 a provoqué des destructions massives d’emplois dans l’industrie. Résultat, les emplois à forte productivité ont considérablement chuté.

La productivité est en général plus forte dans l’industrie que dans les autres secteurs. Dans la construction et le commerce, les tendances sont très négatives par rapport à l’Allemagne. Enfin, même dans les technologies de l’information et de la communication, les résultats sont « alarmants » jugent les économistes du centre d’analyse.

L’un des principaux facteurs évoqués par les économistes pour expliquer ce ralentissement est le décrochage de la France en matière de compétences, en particulier en mathématiques. « Plusieurs analyses récentes s’accordent sur le constat d’une nette dégradation du niveau moyen mais restent ambiguës concernant l’évolution en haut de la distribution [...] Nous confirmons ici le constat d’une dégradation générale du niveau en France et montrons également que ce constat s’applique également aux meilleurs scores de la distribution en particulier sur la période récente », indiquent les économistes. L’organisme rattaché à la Première ministre pointe du doigt également la dégradation des compétences dans la sphère professionnelle.

« Le décrochage éducatif sur les mathématiques et les compétences socio-comportementales pèse sur la productivité. Les capacités socio-comportementales comprennent les capacités à travailler en équipe, à communiquer par exemple. La France est en mauvaise posture sur les compétences en mathématiques et socio-comportementales. La baisse en mathématiques concerne aussi bien la moyenne générale mais aussi les meilleurs élèves, » résume Xavier Jaravel, professeur à la London School of Economics (LSE).

Face à ce constat accablant, le conseil d’analyse économique fait plusieurs préconisations. « Notre première recommandation est de mettre en place une vraie ambition sur la hausse des performances éducatives. Il y a une série de réformes à mener sur les programmes, la formation des enseignants. Il faut également insister sur le renforcement des compétences socio-comportementales dans le cursus scolaire. il faut mettre l’accent sur les formations ultérieures [au cours de la carrière] », poursuit l’économiste.

Le crédit d’impôt recherche convoité par les grandes entreprises est dans le viseur du conseil d’analyse économique. Plusieurs économistes de tout bord ont étrillé cette niche fiscale réclamée par les grands groupes tricolores. « L’effet incitatif du CIR est faible pour la dépense de R&D des grands groupes, qui bénéficient de 400 millions d’euros de subventions à 5 % », soulignent les auteurs de la note. Les chercheurs recommandent de baisser le plafond de dépenses éligibles à 20 millions d’euros.

« On peut optimiser le Crédit d’impôt recherche en conservant l’enveloppe globale [ de 7 milliards d'euros par an] et le redéployer en diminuant les subventions au profit du capital humain », conclut l’économiste.

(*) L’économie française 2020, Editions La Découverte.

Dette, déficits : le mensonge français

Comptes publics  : le mensonge français

La Cour des comptes sonne une nouvelle fois le tocsin sur nos comptes publics. La situation politique actuelle ne va malheureusement pas permettre de redresser le tir.

Par Dominique SEUX dans Les Echos

La Cour des comptes et le désert français. Une fois de plus, l’organisme de contrôle tire la sonnette d’alarme sur la situation de nos comptes publics et on peut, hélas, parier que cela ne suscitera qu’un intérêt poli. Ses mots sont pourtant forts. La situation est « inquiétante » et « la divergence avec les principaux Etats européens est de plus en plus marquée et singularise encore davantage la France », écrit-elle noir sur blanc.

Le Petit Robert liste les synonymes du mot « inquiétant » : alarmant, angoissant, effrayant, menaçant. Réveilleront-ils des responsables politiques qui se font à de rares exceptions près la courte échelle pour endormir l’opinion ? Seront-ce les chiffres sinon les mots ? La dette publique tricolore se situe 20 points (de produit intérieur brut) au-dessus de la moyenne de la zone euro et 50 points au-dessus de l’Allemagne.

Les finances publiques sont l’angle mort de la politique économique d’Emmanuel Macron, qui a par ailleurs obtenu de bons résultats sur l’emploi et l’attractivité notamment. Sa double erreur : avoir cru que la croissance suffirait pour éponger naturellement les déficits et avoir prolongé trop longtemps les boucliers anti-inflation. Cela, la Cour des comptes a raison de le rappeler. Mais il n’est pas le seul coupable.

« Je crois à la victoire finale des démocraties, mais à une condition, c’est qu’elles le veuillent », avait écrit Raymond Aron en 1939. Le parallèle entre la Seconde Guerre mondiale et la situation financière d’un Etat peut sembler déplacé. Mais ce n’est plus le cas quand cette situation risque un jour ou l’autre de provoquer une crise nationale, voire européenne (zone euro). La Grèce en 2010-2012, la France en 2024 ?

 La Cour des comptes ne peut pas l’écrire, mais le projet du Nouveau Front populaire provoquerait un choc immédiat sur les finances publiques, entre des dépenses certaines et des recettes incertaines parce que spoliatrices. Le ras-le-bol fiscal dénoncé à Bercy en 2012 par le ministre Pierre Moscovici (sous François Hollande) serait multiplié par 10, avec des effets dévastateurs. Quant aux autres partis, rien ne dit qu’ils corrigeraient sérieusement le tir.

Le drame des Français c’est qu’ils ont trois raisons d’être frustrés. Ils doivent prendre en charge les dépenses collectives d’un niveau hors norme par rapport aux grands pays développés (1.607 milliards d’euros), avec les impôts et les déficits qui les financent. Ils ne sont pas satisfaits de la qualité des services rendus par ces dépenses : école, santé, retraites, etc. Et l’ingouvernabilité actuelle n’a aucune raison d’arranger les choses.

Les finances publiques, quoi qu’il vous en coûte.

Les Français contre un gouvernement exclusivement de gauche

Les Français contre un gouvernement exclusivement de gauche

Nouveau gouvernement: les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

Selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 73% des Français refusent de voir un gouvernement exclusivement composé de ministres du bloc de gauche. Du coup, un gouvernement seulement chargé des affaires courantes pourrait bien occuper l’espace politique pendant plusieurs mois en l’état des divisions des blocs et des partis
. Moins d’une semaine après le second tour des législatives, six Français sur dix (60%) jugent que la dissolution de l’Assemblée nationale était une «mauvaise décision», selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Alors que les résultats des urnes plongent le pays dans l’inconnu avec un Hémicycle éclaté en trois blocs.

Sondage gouvernement: les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

Sondage gouvernement:  les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

Selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 73% des Français refusent de voir un gouvernement exclusivement composé de ministres du bloc de gauche.

. Moins d’une semaine après le second tour des législatives, six Français sur dix (60%) jugent que la dissolution de l’Assemblée nationale était une «mauvaise décision», selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Alors que les résultats des urnes plongent le pays dans l’inconnu avec un Hémicycle éclaté en trois blocs.

Sondage: les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

Sondage:  les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

Selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 73% des Français refusent de voir un gouvernement exclusivement composé de ministres du bloc de gauche.

. Moins d’une semaine après le second tour des législatives, six Français sur dix (60%) jugent que la dissolution de l’Assemblée nationale était une «mauvaise décision», selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Alors que les résultats des urnes plongent le pays dans l’inconnu avec un Hémicycle éclaté en trois blocs, une majorité des Français (61%) déclarent être «insatisfaits» de cette configuration rendant la constitution d’une majorité très difficile.

Sondage : 30 % des Français seulement favorables à un gouvernement entièrement NFP

Sondage : 30 % des Français seulement favorables à un gouvernement entièrement NFP
Selon une enquête Elabe pour BFMTV et La Tribune dimanche publiée ce mercredi 10 juillet, 7 Français sur 10 ne sont pas satisfaits des résultats de ces élections législatives et, de fait, de la composition du nouvel hémicycle.

À l’inverse, 29% se disent satisfaits, dont 25% plutôt satisfaits et 4% très satisfaits. Si cette insatisfaction domine chez les électeurs du Rassemblement national au premier tour (94%), comme chez les électeurs LR (79%) et d’Ensemble (78%), la majorité des électeurs du Nouveau Front populaire (60%) – la coalition la plus importante à ce stade – se disent satisfaits.

Une sorte de grande coalition entre le camp présidentiel, Les Républicains, la gauche mais sans la France Insoumise convainc 39% des sondés et est soutenue par les électeurs d’Ensemble (77% favorables) et de LR (58%) mais ceux du NFP s’y opposent à 69%

Un tiers des Français sont favorables à une coalition de « centre-droit » regroupant les macronistes et LR tandis qu’un sur quatre plébiscite une alliance entre le camp présidentiel et les partis de gauche dont la France Insoumise. Selon ce sondage Elabe de ce mercredi, les électeurs du RN rejettent l’ensemble de ces configurations.

Qui pour Matignon? 38% des sondés souhaitent que Gabriel Attal soit Premier ministre, 35% Jordan Bardella, 31% Raphaël Glucksmann, 26% François Ruffin, 24% Olivier Faure, 24% François Bayrou, 21% Bernard Cazeneuve ou encore 19% Marine Tondelier.

Si Jordan Bardella (85%) et Gabriel Attal (82%) bénéficient d’un soutien quasi-unanime dans leur socle électoral respectif, l’actuel Premier ministre est également soutenu par des électeurs LR (72%), ce qui n’est pas du tout le cas de Jordan Bardella (10%).

Au sein des électeurs du NFP, aucune personnalité ne fait consensus. Près d’un sur deux envisage Raphaël Glucksmann, François Ruffin ou Marine Tondelier, qui devancent Olivier Faure (45%), Clémentine Autain (38%), Manuel Bompard (34%), Laurent Berger (28%), Jean-Luc Mélenchon (27%), Clémence Guetté (27%), Carole Delga (22%), Boris Vallaud (21%) et Bernard Cazeneuve (18%).

Au lendemain des élections législatives, en observant la composition de cette nouvelle Assemblée nationale, 65% des Français estiment que la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée a été une mauvaise décision.

 

L’après Législatives : des conséquences économiques négatives pour les Français

L’après  Législatives  : des conséquences économiques négatives pour les Français

Selon la dernière édition du Baromètre de l’économie réalisé par Odoxa pour Agipi, Challenges et BFM Business  »Les Français sont persuadés que la victoire de chacune des trois principales formations favorites aux législatives aura des conséquences plus négatives que positives sur la situation du pays, que ce soit sur la situation économique globale de la France, sur l’évolution du pouvoir d’achat, sur l’emploi, ou sur la réduction de la dette ».

 

La majorité présidentielle est le bloc qui cristallise le moins de craintes puisque 38% des sondés estiment que les conséquences économiques seront négatives en cas de victoire (mais seulement 17% y voient une perspective positive).

Vient ensuite le Rassemblement national: 48% des Français craignent des conséquences négatives (contre 31%) puis le Nouveau Front populaire avec 58% des sondés estimant que sa victoire aux élections législatives aurait des conséquences négatives sur la situation économique de la France (contre 21%).

Paradoxalement, c’est le RN qui inspire le plus confiance en matière de politique économique efficace sur le pouvoir d’achat (38% des Français), l’emploi (34%) et même la réduction de la dette et des déficits (37%).

La majorité présidentielle est derrière, notamment concernant le pouvoir d’achat puisque seulement 25% des sondés font confiance à ce parti pour l’améliorer. Par contre, 45% des Français estiment que la majorité est la plus efficace en ce qui concerne l’attractivité de la France pour les investisseurs étrangers, bien plus que les deux autres blocs (29% pour le RN, 20% pour le NFP).

Le Nouveau Front populaire est celui qui inspire le moins confiance pour réduire la dette et les déficits (22%) ou améliorer l’emploi (28%). Par contre, 31% des Français l’estime capable d’améliorer le pouvoir d’achat, c’est 6 points de plus que la majorité présidentielle.

 

Après les Législatives : des conséquences économiques négatives pour les Français

Après les Législatives  : des conséquences économiques négatives pour les Français

Selon la dernière édition du Baromètre de l’économie réalisé par Odoxa pour Agipi, Challenges et BFM Business  »Les Français sont persuadés que la victoire de chacune des trois principales formations favorites aux législatives aura des conséquences plus négatives que positives sur la situation du pays, que ce soit sur la situation économique globale de la France, sur l’évolution du pouvoir d’achat, sur l’emploi, ou sur la réduction de la dette ».

 

La majorité présidentielle est le bloc qui cristallise le moins de craintes puisque 38% des sondés estiment que les conséquences économiques seront négatives en cas de victoire (mais seulement 17% y voient une perspective positive).

Vient ensuite le Rassemblement national: 48% des Français craignent des conséquences négatives (contre 31%) puis le Nouveau Front populaire avec 58% des sondés estimant que sa victoire aux élections législatives aurait des conséquences négatives sur la situation économique de la France (contre 21%).

Paradoxalement, c’est le RN qui inspire le plus confiance en matière de politique économique efficace sur le pouvoir d’achat (38% des Français), l’emploi (34%) et même la réduction de la dette et des déficits (37%).

La majorité présidentielle est derrière, notamment concernant le pouvoir d’achat puisque seulement 25% des sondés font confiance à ce parti pour l’améliorer. Par contre, 45% des Français estiment que la majorité est la plus efficace en ce qui concerne l’attractivité de la France pour les investisseurs étrangers, bien plus que les deux autres blocs (29% pour le RN, 20% pour le NFP).

Le Nouveau Front populaire est celui qui inspire le moins confiance pour réduire la dette et les déficits (22%) ou améliorer l’emploi (28%). Par contre, 31% des Français l’estime capable d’améliorer le pouvoir d’achat, c’est 6 points de plus que la majorité présidentielle.

 

Législatives : des conséquences économiques négatives pour les Français

Législatives  : des conséquences économiques négatives pour les Français

Selon la dernière édition du Baromètre de l’économie réalisé par Odoxa pour Agipi, Challenges et BFM Business  »Les Français sont persuadés que la victoire de chacune des trois principales formations favorites aux législatives aura des conséquences plus négatives que positives sur la situation du pays, que ce soit sur la situation économique globale de la France, sur l’évolution du pouvoir d’achat, sur l’emploi, ou sur la réduction de la dette ».

 

La majorité présidentielle est le bloc qui cristallise le moins de craintes puisque 38% des sondés estiment que les conséquences économiques seront négatives en cas de victoire (mais seulement 17% y voient une perspective positive).

Vient ensuite le Rassemblement national: 48% des Français craignent des conséquences négatives (contre 31%) puis le Nouveau Front populaire avec 58% des sondés estimant que sa victoire aux élections législatives aurait des conséquences négatives sur la situation économique de la France (contre 21%).

Paradoxalement, c’est le RN qui inspire le plus confiance en matière de politique économique efficace sur le pouvoir d’achat (38% des Français), l’emploi (34%) et même la réduction de la dette et des déficits (37%).

La majorité présidentielle est derrière, notamment concernant le pouvoir d’achat puisque seulement 25% des sondés font confiance à ce parti pour l’améliorer. Par contre, 45% des Français estiment que la majorité est la plus efficace en ce qui concerne l’attractivité de la France pour les investisseurs étrangers, bien plus que les deux autres blocs (29% pour le RN, 20% pour le NFP).

Le Nouveau Front populaire est celui qui inspire le moins confiance pour réduire la dette et les déficits (22%) ou améliorer l’emploi (28%). Par contre, 31% des Français l’estime capable d’améliorer le pouvoir d’achat, c’est 6 points de plus que la majorité présidentielle.

 

L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !! (Sandrine Rousseau)

L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !! (Sandrine Rousseau)

Une idée lumineuse de la gauchiste Sandrine Rousseau d’Europe écologie les Verts. Prendre l’épargne des Français ou les inciter à éponger la dette publique. Sandrine Rousseau est sans doute à l’économie ce que McDo est à la gastronomie. Témoin sa très évasive formation. En 2002, elle obtient un doctorat en sciences économiques avec les félicitations du jury, pour une thèse intitulée « Économie et environnement, une analyse « régulationniste » de la rente environnementale », qui aborde les rapports sociaux à l’environnement et leur impact sur les processus d’accumulation.

Un sujet suffisamment ésotérique et confus pour plaire à un jury de gauche. Sandrine Rousseau oublie que l’épargne en particulier dans les différents livrets n’est pas de l’argent qui dort mais sert de trésorerie à l’État au financement d’infrastructures et notamment du logement. Un État qui déjà ponctionne ses livrets avec un taux de rémunération très en dessous de l’inflation sur le log terme..

Une épargne qui concerne surtout les couches moyennes qui ne peuvent malheureusement solliciter l’évasion fiscale réservée aux plus riches. Notons qu’il faudrait aussi signaler à Sandrine Rousseau que rien n’empêche les épargnants de souscrire aux obligations d’État et autre formes d’emprunt. Mettre la totalité ou presque de l’épargne au service de la dette publique constituerait une sorte de fuite en avant et un gros risque pour les épargnants de voir leur épargne encore davantage ponctionnée. D’une certaine manière, ce serait creuser un trou au détriment des épargnants pour boucher l’énorme trou des déficits publics et en crèer de nouveaux  Des propos de gauchistes dangereux et irresponsables. Aussi irresponsables que ceux de Mélenchon ( dont Sandrine Rousseau est proche) qui propose tout simplement d’effacer la dette. Bref, de ne plus rembourser les emprunts.

Pour être crédible, la gauche aura besoin de faire un sérieux effort de formation et de compétences en matière économique.

Après les élections législatives : des conséquences économiques négatives pour les Français

Après les Elections législatives  : des conséquences économiques négatives pour les Français

Selon la dernière édition du Baromètre de l’économie réalisé par Odoxa pour Agipi, Challenges et BFM Business  »Les Français sont persuadés que la victoire de chacune des trois principales formations favorites aux législatives aura des conséquences plus négatives que positives sur la situation du pays, que ce soit sur la situation économique globale de la France, sur l’évolution du pouvoir d’achat, sur l’emploi, ou sur la réduction de la dette ».

 

La majorité présidentielle est le bloc qui cristallise le moins de craintes puisque 38% des sondés estiment que les conséquences économiques seront négatives en cas de victoire (mais seulement 17% y voient une perspective positive).

Vient ensuite le Rassemblement national: 48% des Français craignent des conséquences négatives (contre 31%) puis le Nouveau Front populaire avec 58% des sondés estimant que sa victoire aux élections législatives aurait des conséquences négatives sur la situation économique de la France (contre 21%).

Paradoxalement, c’est le RN qui inspire le plus confiance en matière de politique économique efficace sur le pouvoir d’achat (38% des Français), l’emploi (34%) et même la réduction de la dette et des déficits (37%).

La majorité présidentielle est derrière, notamment concernant le pouvoir d’achat puisque seulement 25% des sondés font confiance à ce parti pour l’améliorer. Par contre, 45% des Français estiment que la majorité est la plus efficace en ce qui concerne l’attractivité de la France pour les investisseurs étrangers, bien plus que les deux autres blocs (29% pour le RN, 20% pour le NFP).

Le Nouveau Front populaire est celui qui inspire le moins confiance pour réduire la dette et les déficits (22%) ou améliorer l’emploi (28%). Par contre, 31% des Français l’estime capable d’améliorer le pouvoir d’achat, c’est 6 points de plus que la majorité présidentielle.

 

Elections législatives : des conséquences économiques négatives pour les Français

Elections législatives  : des conséquences économiques négatives pour les Français

Selon la dernière édition du Baromètre de l’économie réalisé par Odoxa pour Agipi, Challenges et BFM Business  »Les Français sont persuadés que la victoire de chacune des trois principales formations favorites aux législatives aura des conséquences plus négatives que positives sur la situation du pays, que ce soit sur la situation économique globale de la France, sur l’évolution du pouvoir d’achat, sur l’emploi, ou sur la réduction de la dette ».

 

La majorité présidentielle est le bloc qui cristallise le moins de craintes puisque 38% des sondés estiment que les conséquences économiques seront négatives en cas de victoire (mais seulement 17% y voient une perspective positive).

Vient ensuite le Rassemblement national: 48% des Français craignent des conséquences négatives (contre 31%) puis le Nouveau Front populaire avec 58% des sondés estimant que sa victoire aux élections législatives aurait des conséquences négatives sur la situation économique de la France (contre 21%).

Paradoxalement, c’est le RN qui inspire le plus confiance en matière de politique économique efficace sur le pouvoir d’achat (38% des Français), l’emploi (34%) et même la réduction de la dette et des déficits (37%).

La majorité présidentielle est derrière, notamment concernant le pouvoir d’achat puisque seulement 25% des sondés font confiance à ce parti pour l’améliorer. Par contre, 45% des Français estiment que la majorité est la plus efficace en ce qui concerne l’attractivité de la France pour les investisseurs étrangers, bien plus que les deux autres blocs (29% pour le RN, 20% pour le NFP).

Le Nouveau Front populaire est celui qui inspire le moins confiance pour réduire la dette et les déficits (22%) ou améliorer l’emploi (28%). Par contre, 31% des Français l’estime capable d’améliorer le pouvoir d’achat, c’est 6 points de plus que la majorité présidentielle.

 

Elections législatives : Le moral des Français plonge

Elections législatives :  Le moral des Français plonge
Si les Français sont pessimistes sur les conséquences pour le pays, ils le sont également pour leur situation économique personnelle d’après un sondage Odoxa pour BFM. 

63% des sondés pensent qu’une victoire du NFP sera négative pour eux, contre 58% pour la majorité présidentielle et 55% pour le Rassemblement national. 41% pensent au contraire qu’une victoire de l’extrême droit aura des conséquences économiques personnelles positives (36% pour la majorité et 34% pour le NFP).

« Le RN, qui est le grand favori de ces législatives, est le parti qui fait finalement le moins peur sur chacune de ces dimensions », peut-on lire.
Au final, ce contexte très incertain et anxiogène fait plonger le moral des Français. Il s’effondre en juillet: 78% des Français se disent défiants vis-à-vis de l’avenir de la situation économique de leur pays contre 75% en juin.

*Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet les 26 et 27 juin 2024. Échantillon de 1.005 Français, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas.

 

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