Archive pour le Tag 'mécontents'

Sondage Immigration :72 % des Français mécontents

Sondage
Immigration :72 % des Français mécontents


D’après un sondage Odoxa Backbone consulting, réalisé pour Le Figaro, 72% des citoyens s ont mécontents de la gestion de la question de l’immigration, soit neuf points de plus qu’en 2018.

Dans le contexte actuel, la politique migratoire d’Emmanuel Macron est observée avec sévérité mais pas forcément pour les mêmes raisons. Sept Français sur dix ont ainsi une mauvaise opinion de l’action menée, et chacun y va de sa critique. Pour la gauche, c’est un manque de générosité. Pour la droite, c’est un laxisme démesuré.

Dans le contexte de l’affaire du navire Ocean Viking, les mesures du projet de loi immigration sont particulièrement attendues. Certaines d’entre elles, comme le durcissement des mesures d’expulsion des étrangers en situation irrégulière, sont même largement approuvées (85%). C’est aussi le cas de l’amélioration de l’insertion professionnelle des travailleurs étrangers, qui convainc 66% des sondés. Enfin pour huit Français sur dix, il convient d’inscrire les étrangers menacés d’expulsion au fichier des personnes recherchées, pour rendre les obligations de quitter le territoire français (OQTF) plus efficaces. Un débat tragiquement relancé au mois d’octobre, après le meurtre de la petite Lola par une étrangère en situation irrégulière.

Sondage gouvernement Borne : déjà 60 % de mécontents

Sondage gouvernement Borne : déjà 60 % de mécontents

 

Selon Elabe pour BFMTV et L’Express en partenariat avec SFR., 58% des répondants se disent mécontents de la composition du nouvel exécutif. Emmanuel Macron avait promis « un renouvellement complet » lors d’un meeting de l’entre-deux-tours à Marseille. Mais les débuts de son nouveau quinquennat se placent plutôt sous le sceau de la continuité. Il a par exemple fait le choix de reconduire ses fidèles comme Gérald Darmanin à l’Intérieur ou Bruno Le Maire à Bercy.

Seule vraie surprise de ce gouvernement: l’arrivée de l’historien spécialiste des États-Unis Pap Ndiaye à l’Éducation nationale, et antithèse de son prédécesseur Jean-Michel Blanquer.

De quoi faire dire à 70% des personnes interrogées dans ce sondage Elabe que le gouvernement n’incarne pas la nouveauté, tout en se félicitant à 38% de la parité homme-femme sur les bancs du Conseil des ministres.

Un gouvernement incompétent face à la hausse des prix

65% des Français pensent que ce nouvel exécutif ne sera pas efficace pour répondre aux problèmes du pays.

Conscient de l’urgence économique alors que les prix de l’alimentaire pourraient augmenter de 5% d’ici l’été dans les supermarchés, la porte-parole du gouvernement Olivia Grégoire a promis lundi qu’un projet de loi sur le pouvoir d’achat serait présenté avant les législatives. Elle a finalement rétropédalé ce mardi.En fait le projet de loi pourrait n’être adopté qu’après les législatives. Sur plusieurs sujets la nouvelle porte-parole du gouvernement s’est déjà prie les pieds dans le tapis

Quant au choix de nommer deux ministres dédiées à la lutte contre le réchauffement climatique, elle laisse également dubitatif. 68% des personnes interrogées doutent que le gouvernement soit efficace en la matière.Rien d’étonnant à cela puisque les deux énarques nommés n’ont jamais manifesté la moindre compétence et le moindre intérêt à la problématique environnementale

Ce sondage a été réalisé sur un échantillon de 1001 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgée de 18 ans et plus avec la méthode des quotas. Le recueil des informations s’est fait en ligne du 23 au 24 mai 2022.

Sondage Hidalgo : près de 70 % des parisiens mécontents

Sondage Hidalgo : près de 70 % des parisiens mécontents

 

Les sondages sont évidemment catastrophique pour Hidalgo, la gauchiste bobo, dans la perspective de l’élection présidentielle. On ne lui accorde que quelques pour cent. Le problème c’est que le discrédit qui touche la candidate aux présidentielles vise maintenant Anne Hidalgo en tant que maire de Paris. Un sondage tenu interne par le parti socialiste lui-même montrerait que la maire de Paris est contestée par 67 % de l’opinion.Les parisiens regrettent sans doute l’autre mondain Delanoé, aussi inefficace mais tellement brillant quand il parle pour ne rien dire. Et qui va maintenant porter cette parole chez Macron ! Un juste reclassement.

Notons que les parisiens auraient lieu de s’inquiéter également dans la mesure où ils accordent leurs suffrages à la mondaine Rachida Dati qui récolteraient, elle 40 % de bonnes opinions. Changer Hidalgo pour Rachida Dati s’est échangé un cheval borgne pour un âne douteux. Surtout depuis la découverte que Rachid a Dati se faisait discrètement rémunérer par Renault ? On s’interroge sur le type de service !

 Un sondage Opinionway, non publié jusqu’ici, révèle le jugement très sévère des Parisiens à l’endroit de la maire de la capitale. L’entourage d’Anne Hidalgo assure n’avoir jamais eu vent de cette enquête, pourtant commandée par le PS

 

 

Selon une enquête Opinionway réalisée entre les 1er et 4 février, seuls 27% des Parisiens ont une bonne opinion d’Anne Hidalgo et 67% ne sont pas satisfaits de son action. Cela place la maire de Paris loin derrière Rachida Dati, qui récolte 40% de bonnes opinions. Et 62% des sondés souhaitent des changements importants dans l’action municipale.

A

Sondage Covid-19 : 73 % mécontents de la couverture médiatique

Sondage Covid-19 : 73 % mécontents de la couverture médiatique

 

D’après une étude réalisée par Kantar pour le quotidien, les Français sont relativement mécontents 73 % de la bannière dans la crise sanitaire a été couverte par les médias. L’intérêt des Français pour l’actualité a bondi de 8 points, à 67%, après être tombé l’an dernier à pareille époque à un niveau historiquement bas.

Le deuxième élément important de cette enquête concerne la confiance des Français envers les journalistes. La crédibilité des médias se redresse en effet légèrement pour la deuxième année consécutive, après avoir touché un plus bas absolu en pleine crise des «gilets jaunes», même si elle reste à des niveaux très faibles. La radio arrive toujours en tête : 52% des Français, soit 2 points de plus que l’an dernier, jugent qu’elle diffuse des nouvelles fidèles à la réalité, devant les journaux (+2 points à 48%) et la télévision (+2 points à 42%). Enfin la crédibilité d’internet (mesurée depuis 2005) se requinque plus nettement mais reste encore très basse (+5 points à 28%).

Cependant, interrogés sur le traitement de l’épidémie de Covid-19 dans les médias, les Français se montrent extrêmement partagés. Parmi les principaux reproches : le fait d’avoir donné trop d’importance à des non spécialistes (pour 73% des sondés) et dramatisé les événements (66%). En outre, 58% des Français jugent que les médias ont relayé de fausses nouvelles.

Sondage réalisé du 7 au 11 janvier 2021.

Sondage crise sanitaire : 63 % mécontents des vaccins.

Sondage crise sanitaire : 63 % mécontents des vaccins.

Dans une dernière enquête Ifop pour le JDD*, 48% des sondés  font confiance au gouvernement pour aider les entreprises en difficulté (+3 points par rapport à la précédente enquête fin novembre) mais ils ne sont plus que 38% à lui donner du crédit pour faire face « efficacement » au coronavirus (-4 points). Ces niveaux sont similaires avec de précédents sondages de l’IFOP réalisés en décembre et encore cette semaine. En outre, seules 37% des personnes interrogées estiment que l’exécutif va « mener à bien la campagne de vaccination » contre le Covid-19 ; les 63% restants pensant l’inverse.

 

Pourtant, même défiants, les Français n’accablent pas pour autant complètement l’exécutif. Une majorité (56%) juge que leur pays « ne fait ni mieux ni moins bien » que les autres, quand un tiers (32%) pense que la gestion française est moins bonne qu’ailleurs et que le reste (12%) estime au contraire que la France fait mieux. « En dépit des coups de gueule, des renversements d’opinion, parfois en très peu de temps, des oppositions qui se jettent sur la moindre opportunité pour attaquer le gouvernement, malgré ces remous, une majorité des Français jugent que tout le monde est dans le même bateau », résume Jean-Philippe Dubrulle.

Enquête IFOP pour le Journal du Dimanche réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 7 au 8 janvier 2021, auprès d’un échantillon de 1.028 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. 

sondage retour à l’école : 59 % des parents mécontents

sondage retour à l’école : 59 % des parents mécontents

Pour 56% des Français et 59% des parents d’enfants scolarisés, l’obligation du retour à l’école le lundi 22 juin annoncée par Emmanuel Macron est une mauvaise décision. Ce caractère «obligatoire» de l’école, interrogé dans le sondage réalisé par Odoxa-Dentsu Consulting pour France Info et Le Figaro, mercredi auprès de 1000 internautes, a un effet répulsif. Selon Gaël Sliman, le président d’Odoxa, la réponse aurait été plus positive si le Président avait annoncé aux parents que la reprise serait possible pour tous ceux qui le veulent…

Sans surprise, cette «obligation» mécontente les deux-tiers des catégories populaires et modestes, très réticentes depuis la fin du déconfinement -car plus craintives que les autres au sujet du virus- à l’idée de remettre leurs enfants à l’école. Elle est en revanche majoritairement approuvée par les cadres (55%) et les Français aisés (62%). Si les sympathisants LREM soutiennent cette décision (80%) ainsi que les sympathisants LR (53%), les sympathisants des autres partis la rejettent: 78% des Insoumis, 60% des PS, 55% des écologistes et 66% des RN.

Quant à Jean-Michel Blanquer, le ministre de l’Éducation, 58% des Français et 65% des parents d’élèves en ont une mauvaise opinion. Il a perdu 21 points par rapport à février 2018. Une époque où la majorité LaREM, encore en début de mandat, n’était pas entrée dans la turbulence politique. Si le ministre reste soutenu par les sympathisants LR (58%) et LaREM (86%), les sympathisants de gauche (66% des PS et 72% des Insoumis) et RN (73%) en ont une mauvaise opinion.

Municipales : 55% des Français contre un second tour en juin et 66 % mécontents de la gestion de la crise

Municipales : 55% des Français contre un second tour en juin et  66 % mécontents de la gestion de la crise

Selon le sondage réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV et diffusé ce mercredi, 55% des personnes interrogées s’opposent à ce choix de calendrier.

Cette proportion de Français a indiqué se sentir proche de l’affirmation suivante: « Défavorable car il est trop tôt par rapport au risque lié au coronavirus ». Inversement, ils sont 44% à se dire favorables, en arguant que le déconfinement de la population a commencé.

Le premier tour des municipales s’était tenu le 15 mars dernier, deux jours avant le confinement instauré en raison de l’épidémie.

Elabe pour BFMTV – Sondage Elabe pour BFMTV du 20 mai 2020.

Sur une thématique politique également, 66% des personnes interrogées pour les besoins de l’enquête d’opinion ont indiqué estimer que la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19 avait été mal gérée par l’exécutif, jugeant que des problèmes auraient pu être évités.

33% répondent a contrario que « la crise a été gérée du mieux possible étant donné les circonstances ».

Outre les interrogations à l’égard de l’action d’Emmanuel Macron et Edouard Philippe pendant la crise, l’opinion plus générale au sujet des deux hommes semble plus favorable au Premier ministre qu’au chef de l’Etat.

Elabe pour BFMTV – Sondage Elabe pour BFMTV du 20 mai 2020.Sondage réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV, sur un échantillon de 1003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les personnes ont été interrogées par Internet les 19 et 20 mai 2020.

Sondage popularité Macron en baisse : 66 % des Français mécontents

Sondage popularité Macron en baisse :  66 % des Français mécontents

Selon le dernier baromètre BVA réalisé pour La Tribune, Orange et RTL , la  part des répondants ayant une opinion défavorable à l’égard du Président de la République a atteint 66% au mois de décembre (+ 2 points par rapport à novembre). Emmanuel Macron retrouve un niveau d’impopularité qu’il n’avait pas connu depuis juillet dernier. A l’inverse, les répondants ayant une opinion favorable sont moins nombreux en proportion (34% en décembre contre 36% en novembre).  Le poids des opinions négatives est particulièrement marqué chez les sympathisants du Rassemblement national (90%), de la gauche (75%) et du Parti socialiste (72%). Chez les Républicains, la part des mécontents est moins visible (56%). Enfin, Emmanuel Macron conserve un soutien sans faille chez les proches de la République en Marche (98% de bonnes opinions).

La cote de popularité d’Edouard Philippe est légèrement meilleure. Selon les chiffres communiqués par BVA, le locataire de Matignon collecte 59% d’opinions négatives (+1 point par rapport à novembre). Surtout, ce taux se maintient à un niveau relativement stable depuis la rentrée alors que le Premier ministre est en première ligne sur la réforme des retraites. La part des opinions favorables est quant à elle de 40% au mois de décembre, c’est un point de moins qu’en novembre. Dans une approche plus historique, la comparaison des résultats collectés par l’institut de sondages montre que la courbe de popularité du Premier ministre est restée supérieure à celle du Président de la République depuis le mois de décembre 2017, même si l’écart peut fortement varier d’un mois à l’autre.

Au classement des partis politiques les plus populaires, Europe Ecologie-les Verts occupe toujours la première place avec 50% de réponses positives. Il faut néanmoins noter que, après avoir atteint un pic à 61% en mai dernier au moment des élections européennes, les Verts sont en perte de vitesse en cette fin d’année alors que le scrutin des élections municipales se profile. EELV est suivi de la République en Marche avec 33% d’opinions favorables. Le parti de la majorité connaît également une baisse de popularité par rapport à octobre (36%). Enfin, les Républicains occupent la troisième marche du podium avec 30% de réponses positives.

(*)Méthode : Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet du 11 au 12 décembre 2019. L’enquête s’appuie sur un échantillon de 968 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, profession de la personne de référence du ménage et de la personne interrogée, région et catégorie d’agglomération.

Salaire : 55 % mécontents

Salaire : 55 % mécontents

 

 

 

Alors qu’une étude de l’INSEE sort aujourd’hui pour montrer que les salaires ont augmenté en 2016 (comme d’habitude les chiffres de  l’INSEE sortent avec deux ans de retard !) Sans doute pour prouver que le salaire a (0,5 % !) Et que le niveau est satisfaisant. Une autre étude de l’Ifop publiée ce mercredi portant sur les salariés d’entreprises privées et publiques montrent que 55 % des salariés ne sont pas satisfaits de cette rémunération. Dans le détail, 38% des employés estiment le montant de leur salaire «pas vraiment satisfaisant» et «17% pas du tout satisfaisant». Par conséquent, en moyenne, les Français se verraient bien augmenter de 519,6 euros par mois pour être «pleinement» satisfaits de leur rémunération.

Ce sont les salariés gagnant plus de 3000 euros nets par mois qui sont les moins satisfaits de leur situation. Ils sont 78% à trouver que leur rémunération est trop faible en raison vraisemblablement de l’impôt sur le revenu et du faite qu’il passe à côté de la plupart des aides asociales. Les Français estiment «bien gagner leur vie» à partir d’un salaire net de 2351 euros par mois. À noter que les habitants de la région parisienne fixent ce seuil à 2789 euros quand les Français de «Province» l’établissent à 2254 euros.

 

Sondage Grand débat: 69% mécontents du bidonnage d’Edouard Philippe

 

Sondage Grand débat: 69% mécontents du bidonnage d’Edouard Philippe

Édouard Philippe a tordu les résultats du Grand débat pour justifier ses orientations. Ce que pensent  en particulier 62 % des Français à propos de la question fiscale. On se souvient que le Premier ministre avait beaucoup insisté pour lier l’exaspération fiscale et la nécessité d’une baisse générale des impôts. . Or ce que souhaitent des Français n’est pas prioritairement  la question de la baisse moyenne des impôts mais la question de l’injustice fiscale, c’est-à-dire la répartition même de l’impôt. Selon l’enquête Odoxa-Dentsu Consulting pour  Franceinfo. 62 % estiment que c’est avant tout «la façon dont les impôts et les prélèvements sont répartis» qui pose problème. «Il existe un consensus absolu à ce sujet dans le pays. Les sympathisants de tous les partis politiques sont de cet avis, comme les Français de toutes les catégories sociales, les jeunes comme les vieux, les ruraux comme les urbains», souligne Gaël Sliman, le président fondateur d’Odoxa.  Par ailleurs, les Français sont partagés quant à la manière de réformer la fiscalité. Les CSP - attendent avant tout une baisse de la TVA (30 % des Français toutes catégories confondues le pensent aussi), les CSP + préféreraient une baisse de l’impôt sur le revenu (opinion partagée par 29 % des Français). Le rétablissement de l’ISF est plébiscité par 22 % des Français, mais c’est la solution qui convainc le plus les sympathisants de La France insoumise. Enfin, une baisse de la CSG est réclamée par 19 % des Français (les 65 ans et plus plébiscitent cette option avant toutes les autres). Pour financer les baisses d’impôts, 49 % des Français pensent qu’il faut réduire le coût des services publics, en diminuant le nombre de fonctionnaires. 12 % évoquent l’augmentation de l’âge légal de départ à la retraite et 10 % voudraient augmenter les déficits. Surtout, 28 % rejettent ces trois propositions, car ils préfèrent «qu’on ne baisse pas le niveau global des impôts». D’une manière générale, 69 % des Français ne se disent pas satisfaits par la restitution qui a été faite du grand débat national.

 

Sondage popularité gouvernement : en baisse, 75% mécontents

Sondage popularité gouvernement : en baisse, 75% mécontents

Les Français sont de plus en plus critiques vis-à-vis de l’action du gouvernement, 75 % sont mécontents, selon le sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro publié jeudi 3 janvier. En outre, les ministres deviennent de plus en plus impopulaire, notamment le Premier ministre. À noter aussi le score catastrophique du carriériste ministre de l’environnement, qui ne recueille que 12 % d’opinions favorables !

 

Le jugement des personnes interrogées s’est dégradé depuis le mois d’avril 2018 où six Français sur dix (59%) portaient alors un regard négatif sur l’exécutif.   Le désaveu est massif à gauche comme à l’extrême droite. Neuf sympathisants socialistes sur dix (90%) désapprouvent le gouvernement, tout comme les proches de La France insoumise (89%). Le rejet est encore plus fort (96%) chez les Français se disant proches du Rassemblement national. Et les trois-quarts (77%) des personnes interrogées ayant une proximité avec Les Républicains se disent également mécontents. Sans surprise, la proportion s’inverse totalement du côté des sympathisants de La République en marche. 86% des Marcheurs se disent satisfaits de l’action du gouvernement.   Selon le sondage, le gouvernement mécontente non seulement les Français les moins aisés (87%) et les ouvriers (82%), mais aussi les cadres (54%) et les CSP+ (67%), ainsi que la France rurale et périurbaine (77 à 79%), et les citadins (70% à 74%).

Le sondage a testé l’image des principaux ministres. Et là encore, le jugement des Français se dégrade. En moyenne les membres du gouvernement enregistrent seulement 21% de bonnes opinions contre le double de mauvaises. Et il y a pratiquement autant de Français qui ne savent pas qui sont les ministres.   Le plus populaire est Jean-Yves Le Drian. Le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères recueille 34% de bonnes opinions contre 30% de mauvaises. C’est le seul ministre ayant un solde de sympathie positif. Derrière lui, seuls Jean-Michel Blanquer, Marlène Schiappa et Agnès Buzyn limitent les dégâts. Le ministre de l’Education nationale totalise 26% d’opinions favorables, contre 33% de mauvaises, la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes le suit avec 22% de positif contre 37%, juste devant la ministre des Solidarités et de la Santé (21% contre 35%).   Les ministres les plus mal notés sont Édouard Philippe (54% de mauvaises opinions) et Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur (53%). Le Premier ministre recule ainsi de six points par rapport à la précédente mesure effectuée en avril dernier à l’occasion du bilan du premier anniversaire du gouvernement. Pour certains membres du gouvernement, les niveaux de popularité sont d’une étonnante faiblesse : 12% de bonnes opinions seulement pour François de Rugy et 13% à 16% pour Nicole Belloubet, Benjamin Griveaux, Muriel Penicaud et Gérald Darmanin.

Cette enquête Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro a été réalisée par internet les 2 et 3 janvier 2019, sur un échantillon de 1 004 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

Transports routiers: les pays de l’Est et la France mécontents

Transports routiers: les pays de l’Est  et la France mécontents

 

 

Les pays de l’est et la France protestent contre la réforme du transport routier en particulier le cabotage qui permet aux pavillons étrangers de faire du trafic intérieur dans d’autres pays que le pavillon d’origine. Mais les raisons sont différentes. La commission propose de simplifier le cabotage en réduisant la période à 5 jours au lieu de 7 actuellement mais sans limitation comme aujourd’hui du nombre d’opérations. Les pays de l’Est qui profitent  surtout du cabotage- qui permet de détourner les législations nationales- juge le texte nouveau trop restrictif. L’inverse pour la France qui considère ces orientations trop laxistes. Le ministre bulgare des Transports a appelé mardi les gouvernements d’Europe centrale et orientale à faire front commun contre le projet de réforme du transport routier porté par la Commission européenne, accusé de porter atteinte à la compétitivité de ce secteur très implanté à l’est de l’UE Le projet « nuit surtout aux pays situés à la périphérie de l’Europe: la Bulgarie et la Roumanie ». Les gouvernements d’Europe centrale et orientale « doivent adopter une position commune, actuellement il n’y en a pas », a déclaré le ministre Ivaïlo Moskovski lors d’une réunion de transporteurs bulgares, polonais et hongrois. Le « paquet mobilité 1″ porté par la Commission européenne doit être adopté à la majorité qualifiée au parlement et au Conseil de l’UE. Il est cependant critiqué tant par les pays de l’Est que par la France, chacun considérant que le projet donnerait un avantage concurrentiel à l’autre. La ministre française des Transports Elisabeth Borne a estimé vendredi que le projet en l’état faciliterait, au lieu de supprimer, « le dumping économique et social » des transporteurs routiers des pays d’Europe centrale et orientale.

Chômage -Sondage Macron : 63% mécontents

Chômage -Sondage Macron : 63% mécontents

Selon le dernier baromètre BVA/La Tribune (*) sur les questions de l’économie, 63% des interrogés se déclarent insatisfaits des réformes engagées par Emmanuel Macron et son gouvernement pour réduire le nombre de chômeurs. D’une manière générale, l’échantillon interrogé par l’organisme de sondages reste critique à l’égard de la politique économique du gouvernement. Même si le degré de satisfaction augmente de 3 points depuis février dernier, 55% des Français jugent mauvaise la politique économique menée actuellement par le gouvernement, un quart estimant que cette dernière est très mauvaise (24%). A l’inverse, seuls 4 répondants sur 10 soutiennent les réformes économiques de Matignon (40% la jugent bonne). La compétitivité des entreprises représente le domaine d’action économique qui génère le plus de satisfaction. Ils sont 46% à être satisfaits.  Les plus vulnérables sur le marché du travail se montrent les  plus critiques à l’égard des réformes du tandem Macron-Philippe. Chez les employés et les ouvriers, seuls 30% déclarent être satisfaits des mesures engagées par la Présidence de la République sur le plan économique.

(*)Méthode : enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par Internet du 14 au 15 mai 2018. La représentativité de l’échantillon a été assurée grâce à la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, CSP du chef de famille et de la personne interrogée, après stratification par région et catégorie d’agglomération.

Un an à L’Elysée : 57% mécontents

Un an à L’Elysée : 57% mécontents

Rien n’est perdu pour Macron qui sera surtout attendu sur ses résultats en fin de mandat mais ce n’est pas gagné d’avance car après un an à l’Elysée. Selon l’institut de sondage BVA, 57 % des Français se déclarent plutôt mécontents. Le problème majeur de Macron c’est que d’une certaine manière il a été élu par défaut non par d’adhésion à son programme mais faute d’autre candidat crédible et surtout par rejet de Marine Le Pen. Macron a été élu en gros par le centre gauche mais mène une politique de droite qui manque sérieusement d’équilibre social.   La popularité d’Emmanuel Macron a donc décliné de près de 20 points, passant de 62% d’opinions favorables à 43% fin avril. Les annonces impopulaires du début du quinquennat, telles que la suppression de l’impôt sur la fortune, la baisse des APL ou la fin des emplois aidés, correspondent à la forte baisse du début de mandat. Le sondage  permet d’observer qu’Emmanuel Macron est en perte de vitesse chez les retraités. S’il a largement été soutenu par les plus de 65 ans au moment de l’élection présidentielle, le chef de l’État semble payer la hausse de la CSG. Auprès de cette catégorie, la popularité du président a perdu 26 points en douze mois. Et cette tendance n’est guère meilleure chez les employés et ouvriers, avec une baisse de 17 points. En matière de revenus, le décrochage est particulièrement visible chez les ménages gagnant moins de 1, 500 euros par mois avec 34 points en moins. Sans surprise, cette baisse est beaucoup moins marquée chez les ménages aux revenus supérieurs à 3. 500 euros (-11points). Enfin, la baisse la moins spectaculaire concerne les 18-34 ans avec « seulement » 11 points en moins. La ligne de fracture est également visible au niveau géographique. 80 % des Français estiment qu’Emmanuel Macron ne ­comprend pas la situation des habitants des zones rurales.  Sur l’ensemble des actions menées par la présidence de la République, seule celle exercée pour « restaurer l’image de la France dans le monde » est saluée par une majorité de Français. Sur la croissance économique, les avis sont partagés. 47 % des interrogés considèrent le bilan d’Emmanuel Macron comme positif et autant perçoivent l’action du chef de l’État comme un échec. En réalité, son action n’a pas grand-chose à voir avec l’ensemble des bonnes performances économiques tricolores en 2017. Exceptés les deux derniers thèmes évoqués, tous les autres domaines d’action sont considérés comme un échec par une majorité de répondants, plus particulièrement en matière d’immigration (78%), de pouvoir d’achat (78%) et de fiscalité (70%).Pour BVA, les mesures relatives à la CSG et à l’ISF sont venues plomber la popularité du président auprès d’une partie des Français et « nourrir l’image de « président des riches »». Plus de 80 % des répondants déclarent d’ailleurs ne pas avoir le sentiment de profiter personnellement de la politique mise en œuvre par l’exécutif. En revanche, les résultats révèlent une forme d’attentisme :

« 43 % des Français sont encore prêts à attendre de voir quels seront les résultats avant de juger. »

Sondage gouvernement : 59% mécontents

Sondage gouvernement : 59% mécontents

(59%) « mécontents » de l’action du gouvernement et 64% sur les questions économiques et sociales d’après un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et Le Figaro du 26 avril. 23% disent être « très mécontents » et 36% « plutôt mécontents ». 36% considèrent être « plutôt satisfaits », et seulement 4% admettent être « très satisfaits ».  Seuls l’Europe et l’international totalisent 54% de satisfaits. L’insatisfaction est majoritaire dans tous les autres domaines : 53% de personnes interrogées sont insatisfaites sur les questions liée à la sécurité, 54% sur celles liées à l’éducation, et 64% sur les questions économiques et sociales.   Mis à part les sympathisants La République en marche, satisfaits à 92% par la politique du gouvernement, toutes les autres catégories de la population partagent un jugement négatif : 88% de mécontents parmi les sympathisants de La France insoumise, 59% parmi ceux du Parti socialiste, 57% chez Les Républicains et 77% au sein du Front national.

 

*Enquête réalisée auprès d’un échantillon de 1 007 Français représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogés par internet les 25 et 26 avril 2018.

 

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