Archive pour le Tag 'moyenne'

Patrimoine du gouvernement : une moyenne de 2 620 000 €

Patrimoine du gouvernement : une moyenne de 2 620 000 €

Éric Lombard figure en tête les plus gros patrimoines du gouvernement avec près de 21.000.000 d’euros nets. La moyenne du patrimoine net de l’ensemble des membres du gouvernement s’élève à environ 2.620.000 euros. Manuel Valls, ministre d’État des Outre-mer, a déclaré l’actif le plus faible : environ 130.000 euros. Mais, après déduction du passif, c’est le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, qui présente le plus petit patrimoine net (77.821 euros), derrière Charlotte Parmentier-Lecoq, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées (113.477 euros).

Inflation prix alimentaire : 1,4 % en moyenne en 2025

Inflation prix alimentaire : 1,4 % en moyenne en 2025

Pas de flambée des prix cette année pour l’alimentaire. En cause, une inflation générale relativement faible et une demande assez stagnante. Même si autour de cette moyenne de 1,4 % on trouvera des écarts selon la nature des produits.

Cette progression est loin des demandes initiales des grands groupes de l’agroalimentaire (entre + 6 % et + 8 % en moyenne) et des PME (+ 3 %), alors que les distributeurs réclamaient, eux, des baisses de 3 %, 5 % voire 10 %. En outre, il ne s’agit que d’une moyenne. Les résultats des négociations bouclées début mars font apparaître de fortes disparités entre les produits avec d’importantes hausses des prix du cacao, du café ou encore des biscuits secs. À l’inverse, les prix des pâtes, des huiles ou encore des eaux sont supposés baisser.

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Des manifestations concurrentes dimanche à la participation très moyenne

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation très moyenne

Trois manifestations concurrentes auront lieu dimanche celle du rassemblement national pour protester contre les décisions de justice qui visent pratiquement à interdire à Marine Le Pen de se présenter aux élections présidentielles de 2027. L’autre en réplique en quelque sorte, celle de l’extrême gauche notamment des Insoumis et des Ecolos précisément contre l’extrême droite. Il y aura aussi le rassemblement de » Renaissance » prévue depuis longtemps et qui va se retrouve marginalisée entre les deux extrêmes

Si ces manifestations entrent dans le cadre normal de la démocratie, leur ampleur n’a pas à la hauteur de ce qu’espèrent leurs organisateurs. On pourrait même sans doute admettre que les participations ont été relativement faibles au regard des troupes que la rue rassemble assez régulièrement en France .

Si le trouble est certain du côté de militants du rassemblement national après la décision de justice négative concernant Marine Le Pen, il en va différemment de l’opinion qui ne s’est pas trop offusquée de la décision judiciaire brutale en première instance.

De la même manière et presque par résonance, il n’est pas certain que l’opinion publique se passionne pour manifester son opposition à l’extrême droite dans la rue.

D’autres sujets viennent sans doute en priorité chez les Français comme la question du pouvoir d’achat, de la sécurité, de l’Ukraine et des retraites.

La manifestation place de la République de l’extrême gauche se veut une réplique au «meeting de soutien à Marine Le Pen» organisé par le RN à partir de 15H00 de l’autre côté de la Seine, place Vauban, derrière les Invalides.

Enfin la manifestation de  » Renaissance » vise à relancer ce parti et en particulier la candidature de Gabriel Attal aux présidentielles

Lecture, sciences, maths…les salariés français sous la moyenne

Lecture, sciences, maths…les  salariés français sous la moyenne

 

Conséquence notamment des très mauvaises résultats obtenus par les élèves français dans les classements internationaux, les salariés sont aussi en dessous de la moyenne des connaissances générales parmi les pays riches.

Avec un tel handicap de départ, rien d’étonnant à voir les adultes montrer, eux aussi, de vraies carences dans tous les savoirs de base. Publiée ce mardi 10 décembre, la nouvelle enquête de l’OCDE sur les compétences des adultes, qui interroge environ 160.000 personnes âgées de 16 à 65 ans dans 31 pays, en apporte la preuve formelle

Les mauvais résultats des élèves Français dans les compétences de base ne disparaissent pas à l’âge adulte. La dernière étude Pisa, référence mondiale dans l’évaluation des collégiens, soulignait une nouvelle fois les lacunes des jeunes du pays en lecture, sciences et mathématiques. Dans aucune de ces catégories, la septième puissance mondiale ne parvient à faire mieux que la 26e place. Début décembre, l’évaluation internationale Timss, qui se concentre uniquement sur les mathématiques était largement plus alarmante, plaçant l’Hexagone en dernière position parmi les pays de l’Union européenne.

 

Fonctionnaire de Paris :40 jours jours d’arrêts pour maladie en moyenne

Fonctionnaire de Paris :40 jours jours d’arrêts pour maladie en moyenne

Alors que le gouvernement entend lutter contre ce fléau chez les fonctionnaires, le cas de la Ville de Paris interpelle : en 2023, les agents de la municipalité ont été absents 39 jours en moyenne.

La mairie de Paris est-elle championne du monde d’absentéisme ? Mardi, au Sénat, le ministre de la Fonction publique, Guillaume Kasbarian, est revenu sur ce sujet qu’il avait déjà développé quelques semaines plus tôt dans nos colonnes. L’occasion pour le membre du gouvernement de pointer du doigt la gestion coûteuse des ressources humaines à la mairie de Paris, dans un contexte de disette budgétaire. Dans les rangs des agents de la capitale, «le taux d’absentéisme atteint 9,14%, soit le double du secteur privé, a souligné le ministre. Le nombre de jours d’absence par agent et par an est assez parlant : 11,6 jours dans le privé, 14,5 jours dans la fonction publique, 39,6 jours à la Ville de Paris», a-t-il égrené, interpellé par la sénatrice Agnès Evren, lors des questions au gouvernement.

 

Record météo: En seulement 10 mois près d’un mètre d’eau en France en moyenne

Record météo:  En seulement 10 mois, près d’un mètre d’eau en France en moyenne

 

En seulement 10 mois, près d’un mètre d’eau en France en moyenne. Tout le territoire n’a pas été concerné de la même manière par ces fortes précipitations. Il est tombé 792 millimètres de pluie sur Paris (+25% par rapport à la moyenne annuelle), 996 mm sur Nice (+26%) et 739 mm à Strasbourg (+16%). A l’inverse, Perpignan (Pyrénées-Orientales) a enregistré seulement 300 mm de pluie sur les dix premiers mois de l’année, soit une baisse de 48% par rapport à la moyenne annuelle. Même chose du côté de Caen (Calvados), qui s’en sort mieux avec 624 mm de pluie, mais reste en déficit de 16%.

Les épisodes très pluvieux que la France a vécus ces derniers mois ont provoqué des crues, inondations et éboulements en cascade. « Je crois qu’il faut aujourd’hui regarder la situation en face. Ce sont des épisodes que nous allons vivre de plus en plus régulièrement », a mis en garde la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, le 18 octobre, faisant le lien avec le réchauffement climatique. Comme l’a rappelé fin septembre Christophe Cassou, climatologue et directeur de recherche au CNRS, « un degré de réchauffement conduit à 7% d’humidité en plus dans l’atmosphère ».

Depuis le XIXe siècle, la température moyenne de la Terre s’est réchauffée de 1,1°C. Les scientifiques ont établi avec certitude que cette hausse est due aux activités humaines, consommatrices d’énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz). Ce réchauffement, inédit par sa rapidité, menace l’avenir de nos sociétés et la biodiversité. Mais des solutions – énergies renouvelables, sobriété, diminution de la consommation de viande – existent.

 

Il manque aux Français 900 euros en moyenne par mois pour «bien vivre», selon une étude

Il manque aux Français 900 euros en moyenne par mois pour «bien vivre», selon une étude

D’après une récente étude menée par l’Observatoire Société et Consommation (ObSoCo) pour la banque en ligne BforBank*, portant sur le rapport des Français à l’argent, Il manquerait en moyenne environ 900 € pour bien vivre. Le problème pour les bas revenus c’est que pratiquement 80 % des moyens financiers sont présentés par des dépenses contraintes ( logement, alimentation, transport, biens et services indispensables). Il ne reste que de l’ordre de 20 % en moyenne pour le superflu type vacances ou loisir en général.

Comme différents sondages similaires l’ont déjà montré, peu de Français sont réellement satisfaits de leurs revenus. Seuls quatre sur dix (39%) ressentent en effet une forme de «bien-être financier».

Le supplément de revenu idéal est par ailleurs plus élevé chez les 55-64 ans (1014 euros), chez les familles avec enfants (1077 euros) et chez les habitants de région parisienne (1044 euros). Il manque aussi plus d’argent aux hommes (943 euros) qu’aux femmes (852 euros).

 

De tels résultats semblent dépeindre un tableau sombre. D’autant que plus de trois Français sur quatre (76%) estiment que leur situation financière contribue directement à leur bien-être. Pourtant, 68% des Français ressentent un «bien-être général». Et plus de la moitié des sondés (55%) se disent satisfaits de leur vie actuelle. L’argent ne ferait-il pas (complètement) le bonheur ?

*Étude de l’ObSoCo pour BforBank, réalisée du 21 au 30 août 2023 auprès d’un échantillon de 2000 personnes représentatives de la population
France métropolitaine de 18 à 75 ans.

Patrimoine des Français : Une moyenne de près de 500 000 € mais très inégale

Patrimoine des Français : Une moyenne de près de 500 000 € mais très inégale

 Un chiffre impressionnant en moyenne de 500 000 € pour le patrimoine des Français mais répartis de façon très inégalitaire et en plus qui résulte surtout de l’envolée folle des prix de l’immobilier.

Dans son dernier rapport, la Banque de France annonce que le patrimoine net de tous les ménages français s’est envolé ces 15 dernières années, passant de 8712 milliards d’euros en 2009 à 14.041 milliards d’euros lors du deuxième trimestre 2023. Cela représente une hausse de 61% en euros courants (c’est-à-dire pas corrigés par rapport à l’inflation) et de 23% en euros constants (ajustés en fonction de l’inflation). À noter qu’une augmentation spectaculaire a eu lieu entre 2009 et 2021 (de 8712 à 14.076 milliards d’euros), avant de se stabiliser après la crise du Covid-19. Désormais, le patrimoine net moyen d’un ménage se chiffre à 446.000 euros (+ 48% en euros courants, + 13% en euros constants depuis fin 2009).

Pour autant, cette hausse de la richesse ne s’est pas faite de manière homogène. Elle a, sans surprise, profité aux plus fortunés, notamment du fait de la forte croissance du prix de l’immobilier. Les 60% des foyers les plus riches détiennent, en effet, 99% du total de l’immobilier net d’emprunts. Dans une moindre mesure, cette tendance s’explique aussi par la progression de la valeur du patrimoine professionnel, celle des dépôts ou encore celle de l’assurance-vie et retraite.

Toujours est-il que la moitié des ménages vivant en France détiennent 95% du patrimoine total, et les 10% des ménages les plus fortunés possèdent plus de la moitié du patrimoine total. Les 10% de Français avec les plus grandes fortunes possèdent 7609 milliards d’euros (soit 54,2% de l’ensemble des richesses), alors qu’ils ne possédaient « que » 4593 milliards d’euros (soit 52,7%) en 2009. L’indice de Gini – indicateur synthétique permettant de rendre compte du niveau d’inégalité pour une variable et sur une population donnée – a gagné 0,7 point sur la période (70,0% en 2009, contre 70,7% au deuxième trimestre 2023).

D’ailleurs, la médiane est la parfaite illustration de ces disparités. Alors que le montant moyen du patrimoine d’un habitant de l’Hexagone et des territoires d’outre-mer est de 446.000 euros, la médiane n’est, elle, que de 185.000 euros. Cela signifie que la moitié des ménages français dispose d’un patrimoine égal ou inférieur à 185.000 euros. D’ailleurs, elle n’a augmenté que de 5% en euros constants ces quinze dernières années.

Dans les faits, le patrimoine est beaucoup plus inégalement réparti en France que les revenus. Par exemple, « les 10% des ménages qui perçoivent les plus hauts revenus disposent d’un revenu disponible moyen « seulement » trois fois supérieur au revenu médian 13, les 10% des ménages les plus fortunés possèdent en moyenne près de huit fois le patrimoine médian », note la Banque de France.

Economie- Inflation France 2023: 5 à 6 % en moyenne

Inflation France 2023: 5 à 6 % en moyenne

En moyenne , l’inflation aura sans doute été de l’ordre de 5 à 6 % pour l’année 2023. Une moyenne à différencier de l’évolution en niveau sur un an. Cette inflation a légèrement progressé à 3,7% sur un an en décembre, après 3,5% en novembre, en raison de «l’accélération» des prix de l’énergie et des services, selon des données provisoires publiées jeudi par l’Institut national de la statistique (Insee).

Les prix de l’énergie ont augmenté de 5,6% sur un an en décembre (contre 3,1% en novembre) et ceux des services de 3,1% (après 2,8%). Les prix de l’énergie, qui représente moins d’un dixième du panier de consommation des ménages, baisseraient toutefois sur un mois, à l’inverse de ceux des services (environ la moitié du panier). Les prix de l’alimentation, qui avaient été le principal moteur de l’inflation en 2023 avec un sommet à presque 16% au printemps, ont en revanche continué à ralentir, avec une hausse de 7,1% sur un an en décembre (contre 7,7% en novembre).

Mais les prix des produits frais ont suivi la tendance inverse, s’inscrivant en hausse de 8,8% en décembre, après 6,6% en novembre. Les prix des produits manufacturés ont ralenti, à +1,4% en décembre sur un an, après +1,9%. L’indice des prix à la consommation harmonisé, permettant les comparaisons européennes, s’est également inscrit en hausse en décembre, à 4,1% sur un an, contre 3,9% en novembre.

Inflation France 2023: 5 à 6 % en moyenne

Inflation France 2023: 5 à 6 % en moyenne

En moyenne , l’inflation aura sans doute été de l’ordre de 5 à 6 % pour l’année 2023. Une moyenne à différencier de l’évolution en niveau sur un an. Cette inflation a légèrement progressé à 3,7% sur un an en décembre, après 3,5% en novembre, en raison de «l’accélération» des prix de l’énergie et des services, selon des données provisoires publiées jeudi par l’Institut national de la statistique (Insee).

Les prix de l’énergie ont augmenté de 5,6% sur un an en décembre (contre 3,1% en novembre) et ceux des services de 3,1% (après 2,8%). Les prix de l’énergie, qui représente moins d’un dixième du panier de consommation des ménages, baisseraient toutefois sur un mois, à l’inverse de ceux des services (environ la moitié du panier). Les prix de l’alimentation, qui avaient été le principal moteur de l’inflation en 2023 avec un sommet à presque 16% au printemps, ont en revanche continué à ralentir, avec une hausse de 7,1% sur un an en décembre (contre 7,7% en novembre).

Mais les prix des produits frais ont suivi la tendance inverse, s’inscrivant en hausse de 8,8% en décembre, après 6,6% en novembre. Les prix des produits manufacturés ont ralenti, à +1,4% en décembre sur un an, après +1,9%. L’indice des prix à la consommation harmonisé, permettant les comparaisons européennes, s’est également inscrit en hausse en décembre, à 4,1% sur un an, contre 3,9% en novembre.

France Inflation: 5 à 6 % en moyenne en 2023

France Inflation: 5à 6 % en moyenne en 2023

En moyenne , l’inflation aura sans doute été de l’ordre de 5 à 6 % pour l’année 2023. Une moyenne à différencier de l’évolution en niveau sur un an. Cette inflation a légèrement progressé à 3,7% sur un an en décembre, après 3,5% en novembre, en raison de «l’accélération» des prix de l’énergie et des services, selon des données provisoires publiées jeudi par l’Institut national de la statistique (Insee).

Les prix de l’énergie ont augmenté de 5,6% sur un an en décembre (contre 3,1% en novembre) et ceux des services de 3,1% (après 2,8%). Les prix de l’énergie, qui représente moins d’un dixième du panier de consommation des ménages, baisseraient toutefois sur un mois, à l’inverse de ceux des services (environ la moitié du panier). Les prix de l’alimentation, qui avaient été le principal moteur de l’inflation en 2023 avec un sommet à presque 16% au printemps, ont en revanche continué à ralentir, avec une hausse de 7,1% sur un an en décembre (contre 7,7% en novembre).

Mais les prix des produits frais ont suivi la tendance inverse, s’inscrivant en hausse de 8,8% en décembre, après 6,6% en novembre. Les prix des produits manufacturés ont ralenti, à +1,4% en décembre sur un an, après +1,9%. L’indice des prix à la consommation harmonisé, permettant les comparaisons européennes, s’est également inscrit en hausse en décembre, à 4,1% sur un an, contre 3,9% en novembre.

Patrons du CAC : une rémunération moyenne de 6,7 millions d’euros en 2022

Patrons du CAC : une rémunération moyenne de 6,7 millions d’euros en 2022

La rémunération moyenne des dirigeants du CAC 40 au titre de 2022 atteint 6,7 millions d’euros, soit une hausse de 29% par rapport à 2019, année antérieure à la crise sanitaire. C’est près de 90 fois la somme versée à leurs salariés, selon Proxinvest.

Proxinvest rappelle que dans ses calculs, elle intègre toutes les formes de rémunération. Ce qui inclut le fixe, le bonus annuel, les jetons de présence, les avantages en nature, les stock-options et actions gratuites de performance valorisées à leur date d’attribution, l’intéressement en numéraire et les autres formes indirectes de rémunération.

Autre ordre de grandeur qui risque de faire grincer des dents, un dirigeant du CAC 40 gagne, en moyenne, 89 fois plus que ses salariés. « Si ce chiffre s’inscrit en baisse par rapport aux 110 fois de 2021, il reste le plus élevé comparé aux autres années », précise l’AFP.

« Si les rémunérations inférieures ou égales à 0,5 million d’euros, ne sont observées que dans 2 sociétés (dont une contrôlée par l’Etat), les rémunérations supérieures à 5 millions d’euros demeurent nombreuses », précise Proxinvest. La société recense 29 cas dans le SBF 120 en 2022, après 31 en 2021 et 24 en 2019.

Rémunération SNCF : hausse moyenne de 4,6 %

Rémunération SNCF : hausse moyenne de 4,6 %

Le groupe ferroviaire vient de proposer aux syndicats une hausse moyenne des rémunérations de 4,6% comprenant une hausse générale de 1,8%.Ces deux dernières années, la hausse des rémunérations a globalement progressé de 12% en moyenne, soit 6% par an.

En 2024, la direction de la SNCF propose une hausse de la masse salariale de 4,6% en moyenne.

«C’est deux points de plus que le niveau de l’inflation estimé à 2,6% l’an prochain, souligne le nouveau DRH. Ces deux dernières années, la hausse des rémunérations a globalement progressé de 12% en moyenne, soit 6% par an, et même de 14% pour les plus bas salaires». Sur les trois dernières années, les salaires le plus faibles du groupe ferroviaire auront en moyenne été revalorisés de 21%, indique la SNCF.

La hausse de 4,6% proposée par la SNCF aux syndicats comprend une augmentation générale de 1,8% pour tous les salariés. S’ajoutent des mesures individuelles pour 2% et 0,8% de hausses sur les bas salaires. Le coût global pour l’entreprise est de 300 millions d’euros.

L’entreprise ferroviaire, qui a profité d’un record de trafic cette année, a également fixé à 400 euros la prime de partage de la valeur distribuée à l’ensemble de 150.000 salariés. Les primes de nuit, de travail le dimanche et les jours fériés seront aussi relevées de 4%. Les organisations syndicales ont jusqu’au 22 novembre pour signer ou non cet accord. Si tel n’est pas le cas, l’entreprise peut prendre la décision de manière unilatérale.

La SNCF cherche à rester attractive pour continuer à embaucher. Elle a recruté 8000 personnes cette année. « Alors que l’année 2022 avait marqué une stagnation des effectifs, les recrutements menés en 2023 ont marqué une hausse de 2,2% du nombre de salariés. Ils devraient encore progresser en 2024 », précise Philippe Bru.

Santé- Rendez-vous ophtalmos : 48 jours en moyenne….mais jusqu’à huit ou neuf mois

Santé- Rendez-vous ophtalmos : 48 jours en moyenne….mais jusqu’à huit ou neuf mois


Encore une moyenne qui ne signifie pas grand-chose tellement les écarts sont importants. En effet, d’après le Syndicat national des ophtalmologistes (Snof), le délai moyen pour obtenir un rendez-vous de contrôle de la vue chez un ophtalmo était 48 jours, contre 52 jours en 2022 et 68 jours en 2019.Des délais qui se raccourcissent en moyenne mais qui s’allongent dans les déserts médicaux puisqu’il faut attendre assez souvent entre huit et neuf mois. On retrouve des délais aussi invraisemblables chez les cardiologues.

Le délai médian était de son côté de 24 jours, contre 30 en 2022 ou 43 en 2019. Pour obtenir un rendez-vous plus urgent, lié à l’apparition de symptômes (points noirs, filaments, etc…), le délai moyen a pour sa part légèrement réaugmenté à 8 jours, contre 7 jours en 2022 mais 27 en 2019, selon les chiffres du Snof. Le délai médian était de 4 jours, contre 5 jours en 2022 et 10 jours en 2019, première année de cette étude.

La poursuite en 2023 de la réduction du délai de prise de rendez-vous s’explique notamment par le développement du «travail aidé» chez les ophtalmos, de plus en plus nombreux (78% en 2023) à exercer avec des assistants médicaux, orthoptistes ou autres professionnels, selon le Snof. Par ailleurs, le nombre de médecins ophtalmologistes est en cours de stabilisation, après les reculs de ces dernières années. «Les effectifs globaux devraient commencer à augmenter en 2024», selon le Snof.

Rendez-vous ophtalmos : 48 jours en moyenne….mais jusqu’à huit ou neuf mois

Rendez-vous ophtalmos : 48 jours en moyenne….mais jusqu’à huit ou neuf mois


Encore une moyenne qui ne signifie pas grand-chose tellement les écarts sont importants. En effet d’après le Syndicat national des ophtalmologistes (Snof), le délai moyen pour obtenir un rendez-vous de contrôle de la vue chez un ophtalmo était 48 jours, contre 52 jours en 2022 et 68 jours en 2019.Des délais qui se raccourcisse en moyenne mais qui s’allonge dans les déserts médicaux puisqu’il faut attendre assez souvent entre huit et neuf mois.

Le délai médian était de son côté de 24 jours, contre 30 en 2022 ou 43 en 2019. Pour obtenir un rendez-vous plus urgent, lié à l’apparition de symptômes (points noirs, filaments, etc…), le délai moyen a pour sa part légèrement réaugmenté à 8 jours, contre 7 jours en 2022 mais 27 en 2019, selon les chiffres du Snof. Le délai médian était de 4 jours, contre 5 jours en 2022 et 10 jours en 2019, première année de cette étude.

La poursuite en 2023 de la réduction du délai de prise de rendez-vous s’explique notamment par le développement du «travail aidé» chez les ophtalmos, de plus en plus nombreux (78% en 2023) à exercer avec des assistants médicaux, orthoptistes ou autres professionnels, selon le Snof. Par ailleurs, le nombre de médecins ophtalmologistes est en cours de stabilisation, après les reculs de ces dernières années. «Les effectifs globaux devraient commencer à augmenter en 2024», selon le Snof.

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