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Société–Les couches moyennes : c’est qui ?

Société–Les couches moyennes : c’est qui ?

Selon les critères retenus les couches moyennes auquel Macron a promis des réductions d’impôts varient entre 40 et 50 pour cent de la population. Pourtant près de 80 % de la population s’estime faire partie de cette catégorie. Au total et très schématiquement, selon les calculs des différents organismes, on compte en France environ 20 % de riches, 20 % de pauvres et donc 60 % qui peuvent se considérer comme couches moyennes

D’après le centre d’observation de la société, il n’existe aucune définition officielle des classes moyennes. L’Insee, par exemple, n’utilise pas un découpage en trois grandes classes, populaires, moyennes et aisées. Les travaux sur le sujet s’appuient le plus souvent sur les revenus (comme ceux de l’Observatoire des inégalités) et très rarement sur les professions. Pourtant, celles-ci permettent une approche plus complète de la position sociale, en prenant en compte plus globalement la position dans la hiérarchie sociale.

Pour combler ce manque nous proposons une estimation réalisée à partir des catégories socioprofessionnelles de l’Insee. Les classes moyennes, composées des emplois situés entre ceux qui exécutent et ceux qui décident , comprennent l’intégralité des professions intermédiaires (anciens « cadres moyens »), une partie des ouvriers et des employés, une partie des cadres et des non-salariés. Nous avons déterminé des coefficients : par exemple, nous avons estimé que 20 % des cadres supérieurs appartiennent aux classes moyennes (voir encadré). Cette construction est arbitraire et critiquable2, mais elle a le mérite de donner des ordres de grandeur et de débattre à partir d’éléments tangibles.

Selon les calculs du centre d’observation de la société , la part des classes aisées – principalement des cadres supérieurs – a doublé, de 9 % à 19 %, entre 1982 et 2021. En dépit du ralentissement de la croissance au milieu des années 1970 et des crises économiques à répétition, l’économie française a continué à créer des emplois, souvent qualifiés.

Le cœur des couches moyennes est composé des professions intermédiaires. Entre 1982 et 2021, leur part s’est elle aussi accrue de 19 % à 25 % des emplois. Si l’on y ajoute une fraction des ouvriers, des employés ainsi que des cadres supérieurs, nos estimations aboutissent à une progression de l’ensemble des classes moyennes de 39 % à 42 % des emplois en trente ans. Depuis 2014, leur proportion a même dépassé celle des catégories populaires. Il n’y a donc ni moyennisation généralisée, ni déclin des classes moyennes. Cette évolution est cohérente avec les observations de l’OCDE qui estime que la part des classes moyennes définies sur la base des revenus a augmenté en France entre le milieu des années 1980 et le milieu des années 2010, contrairement à d’autres pays . Par ailleurs, la part des classes populaires – surtout des employés et des ouvriers – a diminué assez nettement, de 49 % à 38,5 %. Un phénomène lié au déclin de l’emploi industriel et, dans les années récentes, de celui des employés, fortement touchés par la progression du chômage dans les années qui ont suivi la crise financière de 2008.

La part des classes moyennes progresse modestement, au fil de l’élévation globale de la qualification des emplois. Mais cette expansion quantitative peut être marquée par des fragilités. Les classes moyennes ne sont pas « étranglées », mais voient leurs revenus stagner depuis 2008. Dans l’emploi, la crainte du chômage reste vive pour les salariés du privé. Les classes moyennes sont aussi touchées par la hausse du prix des logements et profitent beaucoup moins du système scolaire que cadres supérieurs.

L’évolution actuelle est-elle destinée à durer ? Pas forcément. La baisse de l’emploi qualifié des employés et des ouvriers, dont la partie supérieure appartient à l’univers des classes moyennes, joue en sens inverse. Depuis presque dix ans, la part des professions intermédiaires n’augmente plus. Beaucoup dépendra du type d’emplois créés dans les années qui viennent. Pour l’heure, nous n’assistons pas à un phénomène de polarisation sociale, mais rien ne dit que nous pourrons l’éviter demain.

Pour calculer la répartition des professions en catégories « populaires », « moyennes » et « aisées », le le centre d’observation de la société a appliqué à chaque catégorie socioprofessionnelle des coefficients de répartition . Nous considérons que les classes moyennes englobent l’ensemble des professions intermédiaires, la moitié des artisans, commerçants et chefs d’entreprise, ainsi qu’un cinquième des cadres supérieurs, des ouvriers et des employés. Les classes populaires regroupent 80 % des employés et des ouvriers et 30 % des indépendants (agriculteurs, artisans, commerçants et chefs d’entreprise). Les classes aisées rassemblent le reste : 80 % des cadres supérieurs et 20 % des indépendants. Ce découpage est discutable. Une partie des professions intermédiaires (notamment chez les jeunes ou les personnes en emploi précaire) est sans doute plus proche des catégories populaires que des classes moyennes, dont il faudrait les extraire. On pourrait inversement inclure une part plus importante d’ouvriers et d’employés au sein des classes moyennes. Pour aller plus loin, il faudrait notamment utiliser le critère du statut d’emploi (privé ou public), devenu très discriminant avec le chômage de masse.

Au total et très schématiquement, selon les calculs des différents organismes, on compte en France environ 20 % de riches, 20 % de pauvres et donc 60 % qui peuvent se considérer comme couchent moyennes.

Les couches moyenne : c’est qui ?

Les couches moyenne : c’est qui ?

Selon les critères retenus les couches moyennes auquel Macron a promis des réductions d’impôts varient entre 40 et 50 pour cent de la population. Pourtant près de 80 % de la population s’estime faire partie de cette catégorie.

D’après le centre d’observation de la société n’existe aucune définition officielle des classes moyennes. L’Insee, par exemple, n’utilise pas un découpage en trois grandes classes, populaires, moyennes et aisées. Les travaux sur le sujet s’appuient le plus souvent sur les revenus (comme ceux de l’Observatoire des inégalités) et très rarement sur les professions. Pourtant, celles-ci permettent une approche plus complète de la position sociale, en prenant en compte plus globalement la position dans la hiérarchie sociale.

Pour combler ce manque nous proposons une estimation réalisée à partir des catégories socioprofessionnelles de l’Insee. Les classes moyennes, composées des emplois situés entre ceux qui exécutent et ceux qui décident , comprennent l’intégralité des professions intermédiaires (anciens « cadres moyens »), une partie des ouvriers et des employés, une partie des cadres et des non-salariés. Nous avons déterminé des coefficients : par exemple, nous avons estimé que 20 % des cadres supérieurs appartiennent aux classes moyennes (voir encadré). Cette construction est arbitraire et critiquable2, mais elle a le mérite de donner des ordres de grandeur et de débattre à partir d’éléments tangibles.

Selon les calculs du centre d’observation de la société , la part des classes aisées – principalement des cadres supérieurs – a doublé, de 9 % à 19 %, entre 1982 et 2021. En dépit du ralentissement de la croissance au milieu des années 1970 et des crises économiques à répétition, l’économie française a continué à créer des emplois, souvent qualifiés.

Le cœur des couches moyennes est composé des professions intermédiaires. Entre 1982 et 2021, leur part s’est elle aussi accrue de 19 % à 25 % des emplois. Si l’on y ajoute une fraction des ouvriers, des employés ainsi que des cadres supérieurs, nos estimations aboutissent à une progression de l’ensemble des classes moyennes de 39 % à 42 % des emplois en trente ans. Depuis 2014, leur proportion a même dépassé celle des catégories populaires. Il n’y a donc ni moyennisation généralisée, ni déclin des classes moyennes. Cette évolution est cohérente avec les observations de l’OCDE qui estime que la part des classes moyennes définies sur la base des revenus a augmenté en France entre le milieu des années 1980 et le milieu des années 2010, contrairement à d’autres pays . Par ailleurs, la part des classes populaires – surtout des employés et des ouvriers – a diminué assez nettement, de 49 % à 38,5 %. Un phénomène lié au déclin de l’emploi industriel et, dans les années récentes, de celui des employés, fortement touchés par la progression du chômage dans les années qui ont suivi la crise financière de 2008.

La part des classes moyennes progresse modestement, au fil de l’élévation globale de la qualification des emplois. Mais cette expansion quantitative peut être marquée par des fragilités. Les classes moyennes ne sont pas « étranglées », mais voient leurs revenus stagner depuis 2008. Dans l’emploi, la crainte du chômage reste vive pour les salariés du privé. Les classes moyennes sont aussi touchées par la hausse du prix des logements et profitent beaucoup moins du système scolaire que cadres supérieurs.

L’évolution actuelle est-elle destinée à durer ? Pas forcément. La baisse de l’emploi qualifié des employés et des ouvriers, dont la partie supérieure appartient à l’univers des classes moyennes, joue en sens inverse. Depuis presque dix ans, la part des professions intermédiaires n’augmente plus. Beaucoup dépendra du type d’emplois créés dans les années qui viennent. Pour l’heure, nous n’assistons pas à un phénomène de polarisation sociale, mais rien ne dit que nous pourrons l’éviter demain.

Pour calculer la répartition des professions en catégories « populaires », « moyennes » et « aisées », le le centre d’observation de la société a appliqué à chaque catégorie socioprofessionnelle des coefficients de répartition . Nous considérons que les classes moyennes englobent l’ensemble des professions intermédiaires, la moitié des artisans, commerçants et chefs d’entreprise, ainsi qu’un cinquième des cadres supérieurs, des ouvriers et des employés. Les classes populaires regroupent 80 % des employés et des ouvriers et 30 % des indépendants (agriculteurs, artisans, commerçants et chefs d’entreprise). Les classes aisées rassemblent le reste : 80 % des cadres supérieurs et 20 % des indépendants. Ce découpage est discutable. Une partie des professions intermédiaires (notamment chez les jeunes ou les personnes en emploi précaire) est sans doute plus proche des catégories populaires que des classes moyennes, dont il faudrait les extraire. On pourrait inversement inclure une part plus importante d’ouvriers et d’employés au sein des classes moyennes. Pour aller plus loin, il faudrait notamment utiliser le critère du statut d’emploi (privé ou public), devenu très discriminant avec le chômage de masse.

Au total et très schématiquement, selon les calculs des différents organismes, on compte en France environ 20 % de riches, 20 % de pauvres et donc 60 % qui peuvent se considérer comme couchent moyennes.

Salaires : baisse moyenne de 10%

Salaires : baisse moyenne de 10%

Sur presque deux ans les salaires ont perdu de l’ordre de 3 à 4 % de 4,3 % entre le début 2021 et le troisième trimestre 2022. Mais dans la même période l’inflation a atteint presque 7 % (6,8 %).). Il faudra ajouter évidemment l’inflation pour l’année en cours prévue, elle aussi, autour de 7 %. Fin 2023%, la perte de pouvoir d’achat pour les salariés pourrait être proche de 10% en deux ans en euros constants.

Le SMIC lui a été dévalorisé à plusieurs reprises et a bénéficié d’une augmentation de 8 % sur la même période.

Des variations toutefois à relativiser compte tenu de l’indice des prix obsolètes de l’INSEE qui mesure l’inflation. Un indice qui ne tient pas compte de l’évolution structurelle de la véritable augmentation des prix. En effet les Français ont assez significativement modifié la répartition de leurs dépenses et leur niveau.

En réaction aux fortes pertes de pouvoir d’achat les Français ont diminué leurs achats de produits alimentaires de l’ordre de 10 % en euros constants.
Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on assiste à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation .

Après le baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis, l es Français modifient leurs achats. an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Premier enseignement : si l’ensemble des dépenses moyennes des Français reste stable en 2022, sans surprise le budget alloué au carburant a augmenté de 29% en 2022 d’après le baromètre. « Cela vient d’une mobilité accrue l’année dernière par rapport à 2021 mais aussi et surtout de la hausse des prix de l’essence », précise Myriam Dassa.

Evolution des Salaires : baisse moyenne de 10%

Evolution des Salaires : baisse moyenne de 10%

Sur presque deux ans les salaires ont perdu de l’ordre de 3 à 4 % de 4,3 % entre le début 2021 et le troisième trimestre 2022. Mais dans la même période l’inflation a atteint presque 7 % (6,8 %).). Il faudra ajouter évidemment l’inflation pour l’année en cours prévue, elle aussi, autour de 7 %. Fin 2023%, la perte de pouvoir d’achat pour les salariés pourrait être proche de 10% en deux ans en euros constants.

Le SMIC lui a été dévalorisé à plusieurs reprises et a bénéficié d’une augmentation de 8 % sur la même période.

Des variations toutefois à relativiser compte tenu de l’indice des prix obsolètes de l’INSEE qui mesure l’inflation. Un indice qui ne tient pas compte de l’évolution structurelle de la véritable augmentation des prix. En effet les Français ont assez significativement modifié la répartition de leurs dépenses et leur niveau.

En réaction aux fortes pertes de pouvoir d’achat les Français ont diminué leurs achats de produits alimentaires de l’ordre de 10 % en euros constants.
Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on assiste à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation .

Après le baromètre Digital Payments publié mercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixis, l es Français modifient leurs achats. an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Premier enseignement : si l’ensemble des dépenses moyennes des Français reste stable en 2022, sans surprise le budget alloué au carburant a augmenté de 29% en 2022 d’après le baromètre. « Cela vient d’une mobilité accrue l’année dernière par rapport à 2021 mais aussi et surtout de la hausse des prix de l’essence », précise Myriam Dassa.

A l’inverse, les consommateurs ont réduit leurs dépenses pour l’alimentation, qui reste néanmoins le plus gros poste de dépense des ménages (13% de leur budget total). Ainsi, alors même que l’inflation des produits de supermarchés s’est établie à 12% sur un an en décembre d’après l’institut IRI, le baromètre BPCE recense une baisse de 9% des dépenses alimentaires dans les magasins avec un panier moyen qui diminue de 4,6%.

En effet la décroissance a même été encore plus forte si on retire les effets de l’inflation sur la valeur des produits achetés. Aux prix de l’année précédente, on constate alors une baisse non plus de 4,6 mais de 9,1% en 2022

La baisse est encore plus marquée dans les enseignes bio qui ont subi une baisse de la dépense de leurs clients de 10%. « On a bien vu ce phénomène de baisse de la consommation alimentaire avec la crise du bio ces derniers mois », rappelle Yves Tyrode, directeur général Digital & Payments de BPCE.

Dans la même logique d’une recherche d’économies face à la hausse du coût de la vie, « les consommateurs ont cherché à faire jouer la concurrence dans les télécoms », ajoute Myriam Dassa. Ainsi le budget alloué aux forfaits de téléphone et d’internet a diminué de 3% en 2022.

Salaires : baisse moyenne de 10%

Salaires : baisse moyenne de 10%

Sur presque deux ans les salaires ont perdu de l’ordre de trois à 4 % de 4,3 % entre le début 2021 et le troisième trimestre 2022. Mais dans la même période l’inflation a atteint presque 7 % (6,8 %).). Il faudra ajouter évidemment l’inflation pour l’année en cours prévue, elle aussi, autour de 7 %. Fin 2023%, la perte de pouvoir d’achat pour les salariés pourrait être proche de 10% en deux ans en euros constants.

Le SMIC lui a été dévalorisé à plusieurs reprises et a bénéficié d’une augmentation de 8 % sur la même période.

Des variations toutefois à relativiser compte tenu de l’indice des prix obsolètes de l’INSEE qui mesure l’inflation. Un indice qui ne tient pas compte de l’évolution structurelle de la véritable augmentation des prix. En effet les Français ont assez significativement modifié la répartition de leurs dépenses et leur niveau.

En réaction aux fortes pertes de pouvoir d’achat les Français ont diminué leurs achats de produits alimentaires de l’ordre de 10 % en euros constants.
Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on assiste à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation .

Après le baromètre Digital Payments publié cmercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixisl, es Français modifient leurs achats. an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Premier enseignement : si l’ensemble des dépenses moyennes des Français reste stable en 2022, sans surprise le budget alloué au carburant a augmenté de 29% en 2022 d’après le baromètre. « Cela vient d’une mobilité accrue l’année dernière par rapport à 2021 mais aussi et surtout de la hausse des prix de l’essence », précise Myriam Dassa.

A l’inverse, les consommateurs ont réduit leurs dépenses pour l’alimentation, qui reste néanmoins le plus gros poste de dépense des ménages (13% de leur budget total). Ainsi, alors même que l’inflation des produits de supermarchés s’est établie à 12% sur un an en décembre d’après l’institut IRI, le baromètre BPCE recense une baisse de 9% des dépenses alimentaires dans les magasins avec un panier moyen qui diminue de 4,6%.

En effet la décroissance a même été encore plus forte si on retire les effets de l’inflation sur la valeur des produits achetés. Aux prix de l’année précédente, on constate alors une baisse non plus de 4,6 mais de 9,1% en 2022

La baisse est encore plus marquée dans les enseignes bio qui ont subi une baisse de la dépense de leurs clients de 10%. « On a bien vu ce phénomène de baisse de la consommation alimentaire avec la crise du bio ces derniers mois », rappelle Yves Tyrode, directeur général Digital & Payments de BPCE.

Dans la même logique d’une recherche d’économies face à la hausse du coût de la vie, « les consommateurs ont cherché à faire jouer la concurrence dans les télécoms », ajoute Myriam Dassa. Ainsi le budget alloué aux forfaits de téléphone et d’internet a diminué de 3% en 2022.

Social: Salaires : baisse moyenne de 3 à 4 %

Social: Salaires : baisse moyenne de 3 à 4 %

Sur presque deux ans les salaires ont perdu de l’ordre de trois à 4 % de 4,3 % entre le début 2021 et le troisième trimestre 2022. Mais dans la même période l’inflation a atteint presque 7 % (6,8 %).). Il faudra ajouter évidemment l’inflation pour l’année en cours prévue elle aussi autour de 7 %. Fin 2023%, la perte de pouvoir d’achat pour les salariés pourrait être proche de 10% en deux ans.

Le SMIC lui a été dévalorisé à plusieurs reprises et a bénéficié d’une augmentation de 8 % sur la même période.

Des variations toutefois à relativiser compte tenu de l’indice des prix obsolètes de l’INSEE qui mesure l’inflation. Un indice qui ne tient pas compte de l’évolution structurelle de la véritable augmentation des prix. En effet les Français ont assez significativement modifié la répartition de leurs dépenses et leur niveau.

En réaction aux fortes pertes de pouvoir d’achat les Français ont diminué leurs achats de produits alimentaires de l’ordre de 10 % en euros constants.
Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on assiste à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation .

Après le baromètre Digital Payments publié cmercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixisl, es Français modifient leurs achats. an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Premier enseignement : si l’ensemble des dépenses moyennes des Français reste stable en 2022, sans surprise le budget alloué au carburant a augmenté de 29% en 2022 d’après le baromètre. « Cela vient d’une mobilité accrue l’année dernière par rapport à 2021 mais aussi et surtout de la hausse des prix de l’essence », précise Myriam Dassa.

A l’inverse, les consommateurs ont réduit leurs dépenses pour l’alimentation, qui reste néanmoins le plus gros poste de dépense des ménages (13% de leur budget total). Ainsi, alors même que l’inflation des produits de supermarchés s’est établie à 12% sur un an en décembre d’après l’institut IRI, le baromètre BPCE recense une baisse de 9% des dépenses alimentaires dans les magasins avec un panier moyen qui diminue de 4,6%.

En effet la décroissance a même été encore plus forte si on retire les effets de l’inflation sur la valeur des produits achetés. Aux prix de l’année précédente, on constate alors une baisse non plus de 4,6 mais de 9,1% en 2022

La baisse est encore plus marquée dans les enseignes bio qui ont subi une baisse de la dépense de leurs clients de 10%. « On a bien vu ce phénomène de baisse de la consommation alimentaire avec la crise du bio ces derniers mois », rappelle Yves Tyrode, directeur général Digital & Payments de BPCE.

Dans la même logique d’une recherche d’économies face à la hausse du coût de la vie, « les consommateurs ont cherché à faire jouer la concurrence dans les télécoms », ajoute Myriam Dassa. Ainsi le budget alloué aux forfaits de téléphone et d’internet a diminué de 3% en 2022.

Salaires : une baisse moyenne de 3 à 4 %

Salaires : une baisse moyenne de 3 à 4 %

Sur presque deux ans les salaires ont perdu de l’ordre de trois à 4 % de 4,3 % entre le début 2021 et le troisième trimestre 2022. Mais dans la même période l’inflation a atteint presque 7 % (6,8 %).)

Le SMIC lui a été dévalorisé à plusieurs reprises et a bénéficié d’une augmentation de 8 % sur la même période.

Des variations toutefois à relativiser compte tenu de l’indice des prix obsolètes de l’INSEE qui mesure l’inflation. Un indice qui ne tient pas compte de l’évolution structurelle de la véritable augmentation des prix. En effet les Français ont assez significativement modifié la répartition de leurs dépenses et leur niveau.

En réaction aux fortes pertes de pouvoir d’achat les Français ont diminué leurs achats de produits alimentaires de l’ordre de 10 % en euros constants.
Compte tenu de la flambée très significative de l’alimentaire chiffrée à 12 % sur un an, on assiste à un transfert des dépenses contraintes vers les dépenses ajustables comme l’alimentation .

Après le baromètre Digital Payments publié cmercredi 1er février par le deuxième plus gros groupe bancaire de France, BPCE, qui rassemble la Caisse d’Épargne, la Banque Populaire, la Banque Palatine et le groupe Natixisl, es Français modifient leurs achats. an en novembre et octobre, l’année de la reprise de l’économie a aussi été celle de la baisse du pouvoir d’achat pour les Français.

Premier enseignement : si l’ensemble des dépenses moyennes des Français reste stable en 2022, sans surprise le budget alloué au carburant a augmenté de 29% en 2022 d’après le baromètre. « Cela vient d’une mobilité accrue l’année dernière par rapport à 2021 mais aussi et surtout de la hausse des prix de l’essence », précise Myriam Dassa.

A l’inverse, les consommateurs ont réduit leurs dépenses pour l’alimentation, qui reste néanmoins le plus gros poste de dépense des ménages (13% de leur budget total). Ainsi, alors même que l’inflation des produits de supermarchés s’est établie à 12% sur un an en décembre d’après l’institut IRI, le baromètre BPCE recense une baisse de 9% des dépenses alimentaires dans les magasins avec un panier moyen qui diminue de 4,6%.

En effet la décroissance a même été encore plus forte si on retire les effets de l’inflation sur la valeur des produits achetés. Aux prix de l’année précédente, on constate alors une baisse non plus de 4,6 mais de 9,1% en 2022

La baisse est encore plus marquée dans les enseignes bio qui ont subi une baisse de la dépense de leurs clients de 10%. « On a bien vu ce phénomène de baisse de la consommation alimentaire avec la crise du bio ces derniers mois », rappelle Yves Tyrode, directeur général Digital & Payments de BPCE.

Dans la même logique d’une recherche d’économies face à la hausse du coût de la vie, « les consommateurs ont cherché à faire jouer la concurrence dans les télécoms », ajoute Myriam Dassa. Ainsi le budget alloué aux forfaits de téléphone et d’internet a diminué de 3% en 2022.

UE-Compétitivité et coût du travail dans l’UE: La France au-dessus de la moyenne

UE-Compétitivité  et coût du travail dans l’UE: La France au-dessus de la moyenne

Le coût du travail en France comparé à ceux de l’union européenne se situe parmi les plus élevés. Un coût du travail surtout affecté par un manque de productivité (effet 35 heures Et faible rapport actifs-salariés) et par le poids des charges (Environ 30 % du salaire)

Les différences sont importantes dans l’UE, s’échelonnant de 6,5 euros en Bulgarie à 47 euros au Luxembourg. La France (38,70 euros) est au-dessus de la moyenne européenne qui se situe à 28,20 euros.
Article rédigé par

Le coût moyen de la main-d’œuvre en France était en 2020 de 38,70 euros par heure travaillée, figurant au 5e rang des plus élevés de l’Union européenne, selon une enquête européenne réalisée tous les quatre ans et publiée mercredi 4 janvier par l’Insee. Le coût horaire s’élève même à 39,20 euros dans les sociétés de dix salariés ou plus du secteur marchand non agricole (hors services aux ménages).

Ce coût du travail s’avère très hétérogène dans l’UE, s’échelonnant de 6,50 euros en Bulgarie à 47 euros au Luxembourg. Dans l’UE de 2020, la moyenne est de 28,20 euros de l’heure travaillée. La France est derrière Le Luxembourg, le Danemark, la Suède et la Belgique, mais devant l’Allemagne (37,2 euros).

La part des salaires dans le coût de la main-d’œuvre varie sensiblement selon les pays en fonction du mode de financement de la protection sociale. Ainsi, les cotisations sociales et autres charges ne représentent que 12,5% du coût du travail au Danemark du fait d’un financement de la protection sociale par l’impôt. A l’inverse, elles représentent 26,7% du coût du travail en Espagne, 28,4% en Italie et 30,6% en France, un des niveaux les plus forts en Europe après la Suède.

En France, le coût horaire varie significativement selon le secteur d’activité, l’implantation géographique ou encore la taille de la société. Il est le plus élevé dans le secteur des activités financières et de l’assurance (60,30 euros) et le moins élevé dans l’hébergement-restauration (23,80 euros). Il s’élève à 42,50 euros dans les sociétés de plus de 1 000 salariés, soit 10,50 euros de plus que dans celles employant 10 à 49 salariés. Cet écart est très marqué dans l’industrie (21,50 euros de différence). Ce coût moyen est aussi nettement supérieur en Ile-de-France à 48,30 euros contre 35,60 euros sur le reste du territoire.

Durée de la Retraite : Une moyenne de 25 ans supérieure; à celle de l’OCDE

Durée de la Retraite : Une moyenne de 25 ans; supérieure à celle de l’OCDE

Les Français restent très majoritairement opposés au report de l’âge de la retraite à 65 ans. En cause peut-être une large sous-estimation du temps réel moyen de la retraite qui est
En France de 25 ans, soit 5 ans de plus que dans les autres pays de l’OCDE.

Les Français sous-estiment largement le nombre d’années qu’ils passeront à la retraite. Selon un sondage réalisé par Odoxa pour Abeille Assurances, ils considèrent que cette période va durer 18 ans en moyenne. Les actifs âgés de 40 à 54 ans considèrent même que cette parenthèse sera encore plus courte (17 ans).

Or, selon les chiffres de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), les Français passent en moyenne 25 ans à la retraite. C’est 5 ans de plus que les habitants des 37 autres pays de la zone. L’âge effectif moyen de sortie du marché du travail en France (environ 61 ans) est le plus faible après celui de la République slovaque, et près de 4 ans plus bas que la moyenne OCDE, d’après le panorama des pensions 2019 publié par l’institution. Les paramètres du système de retraite et les régimes spéciaux contribuent à limiter l’emploi après 60 ans, précise ce bilan comparatif.

Retraite : Une durée moyenne de 25 ans supérieure à celle de l’OCDE

Retraite : Une durée moyenne de 25 ans supérieure à celle de l’OCDE

Les Français restent très majoritairement opposés au report de l’âge de la retraite à 65 ans. En cause peut-être une large sous-estimation du temps réel moyen de la retraite qui est
En France de 25 ans, soit 5 ans de plus que dans les autres pays de l’OCDE.

Les Français sous-estiment largement le nombre d’années qu’ils passeront à la retraite. Selon un sondage réalisé par Odoxa pour Abeille Assurances, ils considèrent que cette période va durer 18 ans en moyenne. Les actifs âgés de 40 à 54 ans considèrent même que cette parenthèse sera encore plus courte (17 ans).

Or, selon les chiffres de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), les Français passent en moyenne 25 ans à la retraite. C’est 5 ans de plus que les habitants des 37 autres pays de la zone. L’âge effectif moyen de sortie du marché du travail en France (environ 61 ans) est le plus faible après celui de la République slovaque, et près de 4 ans plus bas que la moyenne OCDE, d’après le panorama des pensions 2019 publié par l’institution. Les paramètres du système de retraite et les régimes spéciaux contribuent à limiter l’emploi après 60 ans, précise ce bilan comparatif.

Réchauffement climatique : L’Europe au-dessus de la moyenne mondiale !

Réchauffement climatique : L’Europe au-dessus de la moyenne mondiale !

Si les discours sont particulièrement nombreux concernant la problématique climatique en Europe par contre la réalité oblige à constater que dans les faits les politiques n’ont pas réussi à freiner les tendances.( Même si les émissions polluantes ont tendance maintenant à se tasser mais il faut évidemment donner du temps au temps). Au contraire en matière de réchauffement climatique, l’Europe se situe au-dessus de la moyenne mondiale

Les températures en Europe ont subi une élévation considérable au cours de la période 1991-2021, avec un réchauffement d’environ +0,5 °C par décennie, révèle un rapport élaboré par l’Organisation météorologique mondiale (OMM) des Nations unies et le service européen sur le changement climatique Copernicus. «Il s’agit du réchauffement le plus rapide des six régions définies par l’OMM», a souligné le secrétaire général de l’OMM, le Finlandais Petteri Taalas.

Conséquence du rapide réchauffement en Europe, les glaciers alpins ont perdu 30 mètres d’épaisseur entre 1997 et 2021. Autre conséquence, la calotte glaciaire du Groenland fond progressivement, contribuant à accélérer l’élévation du niveau de la mer. Au cours de l’été 2021, le Groenland a pour la première fois enregistré de la pluie à son point le plus élevé, la station Summit.
L’Europe «offre l’image vivante d’une planète qui se réchauffe et elle nous rappelle que même les sociétés bien préparées ne sont pas à l’abri des conséquences des phénomènes météorologiques extrêmes», a fait remarquer Petteri Taalas. «En 2021, une série d’événements météorologiques et climatiques extrêmes se sont produits dans diverses régions d’Europe. Les inondations d’une gravité exceptionnelle qui ont provoqué un nombre sans précédent de morts et de dégâts dans certaines parties de l’Europe occidentale et centrale en juillet, et les incendies destructeurs qui ont dévasté l’Europe du Sud-Est cet été, resteront dans la mémoire des nations touchées et dans les archives climatologiques internationales», a-t-il ajouté.

SONDAGE popularité Macron : toujours en baisse

SONDAGE popularité Macron : toujours en baisse

 

Bien qu’il faille relativiser ( sur le plan méthodologique) le sondage du JDD qui agglomère les différents sondages pour en tirer une moyenne, Macron semble continuer de plonger dans l’opinion.

 

. Dans les baromètres de popularité, le Président a perdu 5 points depuis le mois de mars 2022, et ne recueille que 39 % de soutien. Par ailleurs la Première ministre ne décolle pas et demeure autour de 37 %.

Engie: remise moyenne de 100 euros pour les moins favorisés

 

 

Engie: remise moyenne de 100 euros pour les moins favorisés

 

 

Sans doute pour échapper aussi à une taxe sur les superprofits , Engie va accorder en novembre une remise de 100 euros en moyenne par client bénéficiaire du chèque énergie, a indiqué la directrice générale du groupe Catherine MacGregor dans un entretien publié jeudi sur le site du Parisien . La remise sera proportionnelle au montant du chèque énergie, et le coût de cette mesure s’élève à 90 millions d’euros pour Engie, pour 880.000 clients concernés, a confirmé le groupe à l’AFP.

«Nous sommes conscients de la réalité inflationniste et soucieux des difficultés rencontrées par nos clients, que ce soient les ménages ou les industriels», a souligné Catherine MacGregor dans Le Parisien. Le groupe, qui doit présenter ses résultats vendredi, a également mis en place un fonds de soutien de 60 millions d’euros à destination des petites et moyennes entreprises, «qui va leur permettre d’avoir accès à des garanties dont elles ont besoin pour acheter de l’énergie», voire à «des facilités de paiement quand elles peinent à payer les factures».

Ce geste ne répond pas au débat lancé au Parlement en juillet sur la mise en place d’une taxe sur les surprofits réalisés par les grands groupes, affirme la dirigeante. TotalEnergies avait annoncé par exemple une remise de 20 centimes d’euros par litre de carburant à la pompe entre septembre et novembre dans toutes ses stations-service, puis de 10 centimes par litre sur le reste de l’année.

 


Covid France 11 juillet 2022 : moyenne journalière de 128 000 cas en 24 heures

Covid France 11 juillet 2022 : moyenne journalière  de 128 000 cas en 24 heures 

On enregistre une  moyenne journalière de  128 000 cas en 24 heures  , 150.017 morts au total, +74 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.915 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 121.102 (+74 en 24h). 

Le taux de reproductivité R est de 1,45 le taux d’incidence à 1.278,84 et la tension hospitalière à 20,3 %. Le taux de positivité est à 13,1 %.

La France compte actuellement 17.944 (+225) personnes hospitalisées et 1.027 (-8) malades en réanimation. 

dDernier bilan des régions

  • Ile-de-France : 4.899 (+40) hospitalisées, 346 (-7) en réanimation et +12 décès en 24h 
  • Grand Est : 1.165 (+5) hospitalisés, 59 (-12) en réanimation et +6 décès en 24h 
  • Hauts de France : 1.548 (+40) hospitalisés, 88 (-1) en réanimation et +6 décès en 24h  
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.725 (+16) hospitalisés, 86 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h 
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.473 (+12) hospitalisé, 68 (+4) en réanimation et +8 décès en 24h 
  • Bretagne: 701 (+27) hospitalisés, 32 (0) en réanimation et +7 décès en 24h 
  • Normandie : 1.106 (-21) hospitalisés, 44 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h 
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.299 (+8) hospitalisés, 71 (+4) en réanimation et +4 décès en 24h 
  • Pays de la Loire : 531 (+7) hospitalisés, 34 (-3) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Occitanie: 1.376 (+25) hospitalisés, , 92 (+9) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 760 (+35) hospitalisés, 36 (0) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 756 (+24) hospitalisés, 33 (0) en réanimation et +1 décès en 24h

Covid 4 juillet 2022: près de 100 000 cas en moyenne quotidienne

 

 

Covid  4 juillet 2022: près de 100 000 cas  en moyenne quotidienne

 

Non seulement la campagne électorale a fait l’impasse la question sanitaire  liée à la Covid mais le danger est toujours autant ignoré par un gouvernement irresponsable. Pire, le ministère de la santé avec le départ de la ministre battu aux élections est aux abonnés absents. Quant à l’administration et a décidé déjà depuis plusieurs semaines de ne plus publier de statistiques les week-ends considérant que la situation s’améliore !

En réalité les statistiques françaises sont particulièrement mauvaises comparées aux autres pays. Ainsi en France on a même atteint 125 000 contaminations nouvelles dans les dernières publiées vendredi 1er juillet. Et les hospitalisations reprennent aussi nettement à la hausse.

La semaine du 20 au 26 juin, la hausse des nouvelles hospitalisations s’est également poursuivie (+19%) après une augmentation de 26% la semaine précédente. Jeudi, 15.836 personnes étaient hospitalisées avec un diagnostic Covid. Les taux d’hospitalisation étaient particulièrement élevés chez les 80-89 ans (35,4 pour 100.000 habitants) et les 90 ans et plus (61,8 pour 100.000), précise Santé publique France. Sur la semaine étudiée, le nombre de décès à l’hôpital et en établissements et services médico-sociaux a aussi augmenté après plusieurs semaines de baisse (225, +3%).

À peu près toutes les protections ont été levées en France en raison du contexte électoral afin de ne pas déplaire aux Français. Il serait pourtant urgent de rétablir les mesures d’hygiène en particulier dans les lieux clos et les transports; de relancer aussi la politique de vaccination.

 

  • En France, on a enregistré une hausse moyenne de moyenne sur 7 jours de 97 592 cas par jour sur 7 jour au 2 juillet 222. ,  +125.066 ces dernières 24h, +52 morts en 24h soit 149.585 au total. Le nombre total de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.904 (+1) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 120.681 (+51 en 24h). 53.562.287 personnes sont totalement vaccinées contre la covid-19 en France.
  • L’Espagne recense aux dernières remontées, 12.734.038 (0) cas au total. Le pays dénombre, le jeudi 30 juin 2022, 107.906 morts au total soit 0 depuis le dernier bilan. 95.071.546 doses de vaccin ont été administrées.
  • Le Portugal enregistre +25 morts en 24h ce mercredi 29 juin 2022 portant le total à 24.149 morts depuis le début de la pandémie et +10.657 nouveaux cas en 24h soit un total de 5.171.236 cas confirmés. 24.616.852 doses de vaccin ont été administrées.
  • Au Royaume-Uni, on compte +14.586 nouveaux cas en 24h, soit 22.720.797 cas au total depuis le début de l’épidémie. Le pays enregistre, ce mercredi 29 juin 2022, +12 morts en 24h soit 180.330 morts au total. 103.703.976 doses de vaccin ont été administrées.
  • En Italie, on note +86.900 nouveaux cas ces dernières 24h. On compte +72 décès en 24h ce vendredi 1 juillet 2022. Le nombre de décès est désormais de 168.425 au total depuis le début de l’épidémie. Le nombre total de cas recensés est de 18.610.011. 138.272.875 doses de vaccin ont été administrées.
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