Archive pour le Tag 'près'

Près de la moitié des Français jeunes n’ont pas entendu parler de l’holocauste

Près de la moitié des Français jeunes n’ont pas entendu parler de l’holocauste

 

Il ne faut sans doute pas s’étonner de l’antisémitisme qui renaît un peu partout quand on constate que la plupart des jeunes ignorent  tout de l’holocauste. L’ignorance nourrit ainsi les pires outrances faites à l’humanité. Celles faites aux juifs évidemment mais aussi d’autres comme l’esclavage.

Alors que le monde commémore les 80 ans de la libération du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau ce lundi 27 janvier, un sondage réalisé par organisation à but non lucratif Conference on Jewish Material Claims Against Germany et publié jeudi dernier révèlent les lacunes considérables au sujet de la Shoah de nombreux Européens et Américains, notamment parmi les jeunes adultes. Ainsi, 22% des Français n’ont jamais entendu parler du mot «Holocauste» ou «Shoah», une proportion qui monte à 46% chez les jeunes Français âgés de 18 à 29 ans. La différence est spectaculaire avec les autres pays étudiés (Pologne, Hongrie, États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne Autriche, Roumanie) : dans ces pays, seuls de 2% à 6% des personnes interrogées répondent par la négative à cette question (et de 1 à 15% chez les jeunes adultes).

Le président de l’ONG, Gideon Taylor, souligne l’importance de l’éducation et de la sensibilisation au sujet de l’Holocauste pour éviter «les conséquences d’une haine et d’un fanatisme incontrôlés». «Les lacunes alarmantes en matière de connaissances, en particulier parmi les jeunes générations, mettent en évidence le besoin urgent d’une éducation à l’Holocauste plus efficace. Le fait qu’un nombre significatif d’adultes ne puissent pas identifier des faits de base, tels que les 6 millions de Juifs qui ont péri, est profondément inquiétant», ajoute le président de l’organisation.

Cessez-le-feu à Gaza: Près de 50 000 morts et 60 % des bâtiments détruits

Cessez-le-feu à Gaza: Près de 50 000 morts et 60 % des bâtiments détruits

 

Alors qu’un cessez-le-feu s’installe à Gaza après des négociations très complexes soutenues notamment par des États-Unis, l’Égypte et le Koweït, on peut commencer à faire un premier bilan. La guerre aura fait environ 50 000 morts côté palestiniens -(environ 1000 morts chez les israéliens lors de l’attaque du 7 octobre).

Un véritable désastre matériel puisque près de 60 % des bâtiments de Gaza ont été détruits.

Certes la reconstruction va sans doute être encouragées mais sans que soient nécessairement réglée la question de la viabilité économique d’une bande palestinienne sous perfusion financière depuis les dizaines et des dizaines d’années sans parler évidemment des risques de nouveaux affrontements non seulement entre palestiniens et Israéliens mais entre palestiniens aussi.

Le conflit, qui a fait 46.876 morts, selon le ministère de la Santé du Hamas, a aussi causé des destructions considérables dans l’enclave palestinienne. D’après une analyse livrée par deux universitaires américains et arrêtée au 15 janvier, au moins 172.000 immeubles ont ainsi été endommagés ou détruits dans toute la bande de Gaza, soit près de trois bâtiments sur cinq (59,8%).

 

Près de 10 milliards de dette : le bilan économique d’Anne Hidalgo

Près de 10 milliards de dette : le bilan économique d’Anne Hidalgo 

 Anne Hidalgo – qui vient d’annoncer au Monde sa décision de ne pas briguer de troisième mandat - assure avoir «des comptes à l’équilibre». La preuve, selon elle, ils sont «certifiés par un commissaire aux comptes et validés par les agences de notation». Une semaine auparavant, son ancien premier adjoint et ancien adjoint aux finances de la capitale, Emmanuel Grégoire, s’était lui aussi présenté en fervent défenseur du bilan de l’équipe municipale et notamment de son volet financier. En assurant sans sourciller que la Ville, «très bien gérée», n’avait «aucun problème de soutenabilité».   dette de la ville a plus que doublé depuis l’arrivée d’Anne Hidalgo à sa tête en 2014, passant de 4 à 9 milliards.

 

Record météo: En seulement 10 mois près d’un mètre d’eau en France en moyenne

Record météo:  En seulement 10 mois, près d’un mètre d’eau en France en moyenne

 

En seulement 10 mois, près d’un mètre d’eau en France en moyenne. Tout le territoire n’a pas été concerné de la même manière par ces fortes précipitations. Il est tombé 792 millimètres de pluie sur Paris (+25% par rapport à la moyenne annuelle), 996 mm sur Nice (+26%) et 739 mm à Strasbourg (+16%). A l’inverse, Perpignan (Pyrénées-Orientales) a enregistré seulement 300 mm de pluie sur les dix premiers mois de l’année, soit une baisse de 48% par rapport à la moyenne annuelle. Même chose du côté de Caen (Calvados), qui s’en sort mieux avec 624 mm de pluie, mais reste en déficit de 16%.

Les épisodes très pluvieux que la France a vécus ces derniers mois ont provoqué des crues, inondations et éboulements en cascade. « Je crois qu’il faut aujourd’hui regarder la situation en face. Ce sont des épisodes que nous allons vivre de plus en plus régulièrement », a mis en garde la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, le 18 octobre, faisant le lien avec le réchauffement climatique. Comme l’a rappelé fin septembre Christophe Cassou, climatologue et directeur de recherche au CNRS, « un degré de réchauffement conduit à 7% d’humidité en plus dans l’atmosphère ».

Depuis le XIXe siècle, la température moyenne de la Terre s’est réchauffée de 1,1°C. Les scientifiques ont établi avec certitude que cette hausse est due aux activités humaines, consommatrices d’énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz). Ce réchauffement, inédit par sa rapidité, menace l’avenir de nos sociétés et la biodiversité. Mais des solutions – énergies renouvelables, sobriété, diminution de la consommation de viande – existent.

 

Taxe foncière : une hausse de près de 35% en 10 ans

Taxe foncière : une hausse de près de 35% en 10 ans 
 

Les montants de taxes foncières payées par les propriétaires ont bondi de 20% en moyenne en France entre 2018 et 2023, et de 32,9% depuis 2013, principalement à cause de l’inflation des valeurs locatives selon un rapport publié ce mardi.

 

Si cette envolée est liée à « la suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales », qui a poussé beaucoup de communes à augmenter les prélèvements de taxes foncières, et à « la multiplication des taxes additionnelles », elle est surtout due à la hausse des valeurs locatives, qui sert de base au calcul de la taxe foncière.

 

Pour l’UNPI, la progression de près de 33% de la taxe foncière en dix ans, comparée à une inflation de 19% et à une hausse de 7,7% de l’indice des loyers d’habitation de l’Insee, constitue « un traitement fiscal injuste ». En réponse, l’organisation émet cinq revendications visant à partager le coût de ces impôts locaux, à limiter leur hausse et à inciter les travaux de rénovation énergétique.

Déficit Échanges extérieurs : près de 20 milliards sur un an

Déficit  Échanges extérieurs : près de 20 milliards sur un an

La Banque de France a Annoncé un déficit de 19,4 milliards d’euros sur les douze derniers mois. Ce déficit des échanges extérieurs comprend la balance des biens mais aussi des services. Des services en excédent d’environ 40 milliards mais plombés par les 60 milliards de déficits d’échange de biens.  Un indicateur essentiel de la compétitivité du pays et de la situation financière qui s’ajoute au déficit chronique du budget public et de la dette qui en découle (autour de 3100 milliards aujourd’hui soient 110 % du PIB)

Le « sérieux » de Lucie Castets : Près de 10 milliards de dettes à la mairie de Paris

Le « sérieux » de  Lucie Castets : Près de 10 milliards de dettes à la mairie de Paris

Le NFP Pour justifier d’avoir choisi une marionnette pour le poste de première ministre vante surtout le sérieux de l’intéressée. En réalité, celle qui a été conseillère d’Hidalgo et a surtout réussi l’exploit de faire monter le déficit de la mairie de Paris à près de 10 milliards. Une situation qui d’ailleurs pourrait conduire à la mise en tutelle.
Pourtant l’intéressé ne manque pas d’aplomb, ni visiblement d’ambition. Il s’agit en effet pour le poste de première ministre de trouver une majorité, de la diriger, de gouverner le pays et de le sortir de la crise économique et politique. Autant de critères complètement étrangers à cet inconnue marionnette choisie pour être manipulée à volonté par les courants contradictoires de la gauche.

Prix et Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Prix et Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Avec l’inflation, un caddie qui coûtait 100 euros en 2004 revient aujourd’hui à 143 euros, selon un économiste. Mais lorsque la réduction de la taille des produits est prise en compte, il devient encore plus onéreux pour les consommateurs.( info du Figaro)

Pour Quentin Demé, cofondateur du Congrès UPI et professeur d’Économie et Finance, si l’on additionne l’inflation et la réduction de la taille des produits, «c’est une double perte de pouvoir d’achat pour le consommateur»«Un caddie qui vous coûtait 100 euros en 2004, vous coûte désormais près de 143 euros en juin 2024. Premier état de fait : vous remarquez une inflation très importante sur votre caddie en 20 ans. Néanmoins, cette somme reste biaisée puisqu’elle n’intègre pas la pratique de la réduflation. Vous avez certes le même nombre de produits mais plus la même contenance. Ainsi, en intégrant cette pratique pour obtenir le même caddie qu’en 2004 (en supposant que tous les produits aient subi une perte de 14,3%), vous devriez non pas dépenser 143 euros mais près de 167 euros !», pointe le spécialiste.

Pour réaliser ce calcul, Quentin Demé a identifié une augmentation des prix de 43% sur vingt ans, uniquement pour l’inflation, soit environ 1,7% chaque année. Il s’est ensuite appuyé sur une étude menée au Canada au cours des vingt dernières années sur près de 300 produits ayant fait l’objet d’une «shrinkflation» qui démontre qu’en moyenne ceux-ci ont subi une réduction de leur taille de 14,3%. Au cours de son enquête, il a notamment découvert que des sachets de croquettes pour chien étaient passés de 10 à 7 kilogrammes en un an, tandis que leur prix avait évolué de 16,67 euros à 24,90 euros, soit une hausse de 49,7%.

 

Prix et Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Prix et Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Avec l’inflation, un caddie qui coûtait 100 euros en 2004 revient aujourd’hui à 143 euros, selon un économiste. Mais lorsque la réduction de la taille des produits est prise en compte, il devient encore plus onéreux pour les consommateurs.( info du Figaro)

Pour Quentin Demé, cofondateur du Congrès UPI et professeur d’Économie et Finance, si l’on additionne l’inflation et la réduction de la taille des produits, «c’est une double perte de pouvoir d’achat pour le consommateur»«Un caddie qui vous coûtait 100 euros en 2004, vous coûte désormais près de 143 euros en juin 2024. Premier état de fait : vous remarquez une inflation très importante sur votre caddie en 20 ans. Néanmoins, cette somme reste biaisée puisqu’elle n’intègre pas la pratique de la réduflation. Vous avez certes le même nombre de produits mais plus la même contenance. Ainsi, en intégrant cette pratique pour obtenir le même caddie qu’en 2004 (en supposant que tous les produits aient subi une perte de 14,3%), vous devriez non pas dépenser 143 euros mais près de 167 euros !», pointe le spécialiste.

Pour réaliser ce calcul, Quentin Demé a identifié une augmentation des prix de 43% sur vingt ans, uniquement pour l’inflation, soit environ 1,7% chaque année. Il s’est ensuite appuyé sur une étude menée au Canada au cours des vingt dernières années sur près de 300 produits ayant fait l’objet d’une «shrinkflation» qui démontre qu’en moyenne ceux-ci ont subi une réduction de leur taille de 14,3%. Au cours de son enquête, il a notamment découvert que des sachets de croquettes pour chien étaient passés de 10 à 7 kilogrammes en un an, tandis que leur prix avait évolué de 16,67 euros à 24,90 euros, soit une hausse de 49,7%.

 

Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

 Consommation courante des ménages : une inflation de près de 50 % en 20 ans

Avec l’inflation, un caddie qui coûtait 100 euros en 2004 revient aujourd’hui à 143 euros, selon un économiste. Mais lorsque la réduction de la taille des produits est prise en compte, il devient encore plus onéreux pour les consommateurs.( info du Figaro)

Pour Quentin Demé, cofondateur du Congrès UPI et professeur d’Économie et Finance, si l’on additionne l’inflation et la réduction de la taille des produits, «c’est une double perte de pouvoir d’achat pour le consommateur»«Un caddie qui vous coûtait 100 euros en 2004, vous coûte désormais près de 143 euros en juin 2024. Premier état de fait : vous remarquez une inflation très importante sur votre caddie en 20 ans. Néanmoins, cette somme reste biaisée puisqu’elle n’intègre pas la pratique de la réduflation. Vous avez certes le même nombre de produits mais plus la même contenance. Ainsi, en intégrant cette pratique pour obtenir le même caddie qu’en 2004 (en supposant que tous les produits aient subi une perte de 14,3%), vous devriez non pas dépenser 143 euros mais près de 167 euros !», pointe le spécialiste.

Pour réaliser ce calcul, Quentin Demé a identifié une augmentation des prix de 43% sur vingt ans, uniquement pour l’inflation, soit environ 1,7% chaque année. Il s’est ensuite appuyé sur une étude menée au Canada au cours des vingt dernières années sur près de 300 produits ayant fait l’objet d’une «shrinkflation» qui démontre qu’en moyenne ceux-ci ont subi une réduction de leur taille de 14,3%. Au cours de son enquête, il a notamment découvert que des sachets de croquettes pour chien étaient passés de 10 à 7 kilogrammes en un an, tandis que leur prix avait évolué de 16,67 euros à 24,90 euros, soit une hausse de 49,7%.

 

Température : jusqu’à près de 45° en Californie

Température : jusqu’à près de 45° en Californie

 Dans le sud de la Californie en particulier, les températures pourraient atteindre les 38 degrés Celsius, soit 15 degrés de plus que les normales saisonnières. Cette vague de chaleur va «toucher une grande partie de l’ouest des États-Unis dans les prochains jours», écrivent les services météorologiques américains (NWS). «On s’attend à ce que des records de température soient battus ou égalés.». 44° sont attendus à Las Vegas. 
Le Texas est aussi concerné, la ville frontalière de Rio Grande s’attendant à 47°C. Le Mexique voisin a également subi une vague de chaleur. La capitale, pourtant sise à 2.240 mètres d’altitude, a battu fin mai un nouveau record à 34,7°C. Le pays a enregistré 48 décès dus au phénomène observé depuis mars, a déclaré le gouvernement fin mai.

Ces épisodes caniculaires s’inscrivent dans un contexte mondial alarmant. Le changement climatique a causé en moyenne 26 jours de chaleur extrême supplémentaires à travers le monde au cours des douze derniers mois. Ces dernières semaines, de terribles vagues de chaleur ont frappé l’Inde en pleine période d’élections, tuant ainsi, en un seul jour samedi et dans le seul État d’Uttar Pradesh (nord), 33 agents électoraux.

 

SNCF : Près de 100 € par jour pour les cheminots des J.O.

Corporatisme : une prime de près de 100 € par jour pour des cheminots lors des J.O.

 Finalement le corporatisme aura payé la SNCF qui applique d’autant plus le quoi qu’il en coûte que le président va partir. Les cheminots impliqués toucheront donc une prime de près de 100 € par jour.« Le coût global de ces mesures n’aura aucun impact pour les contribuables et pour le prix des billets des clients voyageurs », a précisé la SNCF dans un communiqué.

Une précision douteuse quand on connaît la situation financière de l’entreprise, d’autre part le prix des billets. Un avantage aussi acquis pour ne pas ajouter du chaos social à celui plus politique de la Nouvelle-Calédonie à la veille des J.O.

Les agents de la SNCF recevront ainsi 95 euros brut par jour travaillé pendant les JO, et donc jusqu’à 1900 euros pour vingt jours. Une prime proche de ce qu’exigeaient les syndicats (100 euros brut). Ces derniers n’ont toutefois pas obtenu, en plus, de prime complémentaire, comme demandé. Les organisations syndicales ont jusqu’au mardi 4 juin 2024 pour signer cet accord. « Le coût global de ces mesures n’aura aucun impact pour les contribuables et pour le prix des billets des clients voyageurs », a précisé la SNCF dans un communiqué.NCF:

 

Gaza: «près de 450.000» Gazaouis déplacés de Rafah

Gaza: «près de 450.000» Gazaouis déplacés de Rafah 

 

L’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a affirmé mardi que «près de 450.000» personnes se trouvant à Rafah avaient été déplacées depuis qu’Israël a ordonné le 6 mai l’évacuation d’une partie de cette localité du sud de la bande de Gaza. «Près de 450.000 personnes ont été déplacées de force de Rafah depuis le 6 mai», celles-ci «sont épuisées, affamées, et constamment apeurées», écrit l’Unrwa sur le réseau social X, sans préciser où se sont rendus ces déplacés, ailleurs dans Rafah ou hors de la ville, qui accueille selon l’ONU 1,4 million de personnes. Depuis le 6 mai, l’armée israélienne a sommé les habitants de plusieurs quartiers est de Rafah de les évacuer, avant d’y entamer des bombardements et «opérations ciblées» au sol.

Prix carburants : près de 2 euros

Prix carburants : près de 2 euros

Les prix du carburant toujours à la hausse depuis le début de l’année 2024, selon les calculs de Fig Data, effectués grâce aux données publiques du ministère de la Transition énergétique. Un litre de sans-plomb 98 coûte en moyenne 1,9903 euro, soit une remontée de douze centimes par rapport à janvier. Le cours du sans-plomb 95 (1,9386 euro) et celui de l’E10 (1,9221 euro) suivent aussi cette tendance. Le gazole est également en hausse, à 1,8071 euro.

Sur un an, le tarif du SP-98 est en hausse de 0,8%, comme celui du SP-95 (+ 0,3%) et de l’E10 (+ 0,5%). Le gazole a également augmenté d’1,4%.

Les prix à la pompe suivent les évolutions du baril de Brent. Ce dernier a atteint son record annuel au début de l’automne à 96,55$ en clôture à Londres avant de redescendre. C’était sans compter sur l’irruption d’un nouveau conflit au Proche-Orient, entre le Hamas et Israël, qui a suscité l’inquiétude des marchés et une flambée des prix dans un contexte déjà plombé par les réductions de production saoudienne et russe et l’enlisement du conflit en Ukraine.

Salaire: Hausse de près de 5 % chez Amazon

Salaires: Hausse de près de 5 % chez Amazon

 

Accord une augmentation salariale de 4,8% en moyenne, a annoncé jeudi la direction. 

Chez Amazon,  accord prévoyant une augmentation salariale de 4,8% en moyenne pour les salariés des centres de distribution. Pour les agences de tri et de livraison (29 sites), un accord avait été trouvé en début de semaine. Pour rappel, Amazon France emploie plus de 20.000 salariés en CDI, dont une partie travaille pour Amazon France Logistique, qui gère les entrepôts de grande taille dont huit centres de distribution.

Dans les faits, l’accord majoritaire a été signé pour les centres de distribution par la CFDT (19,5%), l’Unsa (16%) et la CAT (19%), a indiqué Amazon auprès de l’AFP. De leur côté, la CGT (20,5%), Sud Solidaires (18%) et la CFE-CGC (7%) ont refusé de signer l’accord.

L’accord signé prévoit les mêmes évolutions que celui des agences de livraison et de tri à l’exception du congé pour enfant malade, qui existait déjà pour les personnels des centres de distribution, a expliqué à l’AFP le directeur des ressources humaines. « Cet accord représente bien nos préoccupations (…) du bien-être des salariés », s’est-il réjoui.

Au-delà de la hausse du salaire de base de 4,8% en moyenne (hors cadres), il prévoit une prime de partage de la valeur de 1.000 euros pour les agents logistiques ayant au moins un an d’ancienneté.
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