Archive pour le Tag 'jeunes'

Chine: Preuve du ralentissement chômage des jeunes en hausse

 Chine: Preuve du ralentissement, chômage des jeunes en hausse 

Une forte hausse du chômage des jeunes d’au moins 6 % a été constatée en Chine pour atteindre un taux de 17 %. La conséquence directe d’une croissance atone et même qui se contracte. Une mauvaise nouvelle pour la Chine mais aussi pour l’ensemble de l’économie mondiale compte tenu des interactions systémiques entre les pays d’échanges.( Europe et États-Unis compris). En cause la morosité de la consommation, l’endettement généralisé et la baisse des exportations.

Le 31 juillet, le Bureau national des statistiques (NBS) a publié son indice des directeurs d’achat (PMI) pour juillet qui s’est établi à 49,4 ( Sous le niveau de 50 il y a décroissance)

Au deuxième trimestre, la croissance s’est fortement tassée sur un an (+4,7%), selon des chiffres officiels publiés mi-juillet. Ce rythme était en deçà des attentes d’analystes et de celui du premier trimestre (+5,3%). Il est aussi le plus faible depuis début 2023, quand la Chine levait ses restrictions draconiennes contre le Covid-19, qui pénalisaient l’activité. Par ailleurs, les ventes au détail n’ont progressé en juin que de 2% sur un an. L’essoufflement de cet indicateur clé traduit une consommation toujours morose.

Encore une rixe entre jeunes qui fait un mort

Encore une rixe entre jeunes qui fait un mort

 

Sur fond de rivalité pour une jeune fille à la sortie d’une discothèque à Mâcon, deux groupes se sont retrouvés pour en découdre à Prissé, près de Mâcon en Saône-et-Loire, dans la nuit du vendredi 2 au samedi 3 juillet.
Cinq personnes ont été placées en garde à vue après la mort d’un jeune homme de 19 ans ce samedi 3 août lors d’une rixe à Prissé (Saône-et-Loire), près de Mâcon, a indiqué ce dimanche 4 août le parquet de la ville.

« Il y a actuellement cinq personnes en garde à vue dont la jeune fille » qui aurait fait l’objet d’une rivalité, a indiqué dimanche en fin de journée la procureure de la République de Mâcon Anne-Lise Furstoss.

 

 

 

 

Politique-Législatives et vote des jeunes

Politique-Législatives et  vote des jeunes

 

 Selon les enquêtes des instituts de sondage, les 18-24 ans ont voté majoritairement à gauche lors du premier tour des législatives, le RN arrivant en seconde position. Le scrutin a été marqué par une forte hausse de la participation

 

« Les jeunes de 18-24 ans continuent de voter en premier lieu et majoritairement pour la gauche, en deuxième lieu pour le Rassemblement national », résume Jean-Daniel Lévy, directeur délégué d’Harris Interactive. « On a une bipolarisation très marquée entre un vote plutôt social écologiste et un vote national conservateur », et par une « tripartition » dans les autres catégories d’âge, complète Laurent Lardeux.

Lors des dernières européennes, les primo-votants avaient également davantage voté en faveur de La France insoumise (LFI) que les autres tranches d’âge. Idem lors des législatives de 2022, où les 18-24 ans avaient voté à 34,9 % pour la Nupes au premier tour – et 8,7 % pour le reste de la gauche -, à 17,5 % pour le camp Macron et 14,1 % pour le RN.

Les jeunes votant RN habitent plutôt dans « des zones péri-urbaines, font des études plutôt courtes, professionnalisantes », rappelle Tristan Boursier, chercheur à Sciences Po Paris et spécialiste de l’extrême droite. « J’ai le sentiment que c’est un vote davantage contestataire », car ils peuvent avoir la sensation « d’être laissés pour compte ».

 

 

Législatives : le vote des jeunes

Législatives : le vote des jeunes

 

 Selon les enquêtes des instituts de sondage, les 18-24 ans ont voté majoritairement à gauche lors du premier tour des législatives, le RN arrivant en seconde position. Le scrutin a été marqué par une forte hausse de la participation

 

« Les jeunes de 18-24 ans continuent de voter en premier lieu et majoritairement pour la gauche, en deuxième lieu pour le Rassemblement national », résume Jean-Daniel Lévy, directeur délégué d’Harris Interactive. « On a une bipolarisation très marquée entre un vote plutôt social écologiste et un vote national conservateur », et par une « tripartition » dans les autres catégories d’âge, complète Laurent Lardeux.

Lors des dernières européennes, les primo-votants avaient également davantage voté en faveur de La France insoumise (LFI) que les autres tranches d’âge. Idem lors des législatives de 2022, où les 18-24 ans avaient voté à 34,9 % pour la Nupes au premier tour – et 8,7 % pour le reste de la gauche -, à 17,5 % pour le camp Macron et 14,1 % pour le RN.

Les jeunes votant RN habitent plutôt dans « des zones péri-urbaines, font des études plutôt courtes, professionnalisantes », rappelle Tristan Boursier, chercheur à Sciences Po Paris et spécialiste de l’extrême droite. « J’ai le sentiment que c’est un vote davantage contestataire », car ils peuvent avoir la sensation « d’être laissés pour compte ».

 

 

Macron, Bardella, Attal: trop jeunes et trop inexpérimentés

Macron, Bardella, Attal:  trop jeunes et  trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Sociologie Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Sociologie Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Politique-Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Macron, Bardella, Attal: Bien trop jeunes et bien trop inexpérimentés

Les facteurs explicatifs de la crise politique en France sont évidemment nombreux et interagissent de manière systémique. Parmi ceux-là il faut toutefois relever le manque de maturité et d’expérience de quelques responsables nationaux. D’abord évidemment le président de la république mais aussi Bardella et Attal qui au préalable ne pouvaient justifier d’une grande expérience politique voir même d’aucun passé de responsable d’une collectivité un peu significative.

Certes l’âge n’est pas forcément un handicap, on peut facilement le surmonter avec une expérience de gestion d’une collectivité. Or beaucoup trop de nouveaux responsables sont propulsés au plan national surtout par le jeu des appareils et l’éclairage des médias. Une fois au pouvoir faute de maturité, ils se fracassent sur les réalités.

Le cas le plus significatif est évidemment celui de Macron entré en politique via les postes de conseillers sans jamais au préalable avoir eu à gérer l’intérêt collectif directement et concrètement . C’est un peu vrai pour Attal mais aussi pour Bardella.

Pour assurer des fonctions un tel niveau,  il faut évidemment avoir accumulé sagesse et expérience, avoir connu des succès mais aussi les échecs et avoir été capables de se remettre en cause.  Bref un parcours de citoyenneté engagée  et un âge de compétence qui ne peut guère être atteint avant 40 ou 50 ans. Après cela il ne faut pas s’étonner que Macron agisse parfois comme un adolescent en lançant sans doute la France dans une crise politique mais aussi économique et sociale dont on mesure sans doute mal aujourd’hui l’ampleur et les conséquences.

Élections européennes : 70 % d’abstention chez les jeunes

Élections européennes : 70 % d’abstention chez les jeunes

 

 

 

L’abstention d’une façon générale pourrait se situer en France autour de 50 % mais atteindre 70 % chez les jeunes. Ils sont 50% à estimer que l’action de l’Union européenne va dans le bon sens pour aider l’Ukraine face à la Russie (31% répondent « non, pas du tout » ou « non, plutôt pas »), un chiffre qui baisse à 44% pour la lutte contre le changement climatique (contre 40%). Le thème du climat devrait pourtant selon eux être la priorité de l’Union européenne pour les prochaines années (33%), devant la lutte contre la pauvreté et les inégalités (25%), le combat pour un avenir meilleur en Europe (24%) et la limitation de l’immigration en Europe (24%), même si de fortes disparités existent selon les affinités politiques.

Le Rassemblement national recueille 34% d’intentions de vote, un niveau similaire aux sondages réalisés auprès de personnes de plus de 18 ans, avec jusqu’à 54% de soutien chez les jeunes actifs occupés dans les catégories socioprofessionnelles inférieures, comme les employés ou les ouvriers. Mais d’après ce sondage, Valérie Hayer et sa liste Renaissance recueillent 7,5% d’intentions de vote, soit deux fois moins que les dernières enquêtes sur la population générale publiées par les différents instituts. Le désaveu est le plus fort chez les catégories socioprofessionnelles supérieures (8%), soutiens traditionnels du camp macroniste.

Selon les résultats de ce sondage, c’est La France insoumise qui arrive en deuxième position chez les jeunes, avec 14% d’intentions de vote. Attractive chez les demandeurs d’emploi (14%), les étudiants (15%) et les femmes (18%), elle devance la liste Parti socialiste-Place publique de Raphaël Glucksmann (12%), alors que les rapports de force sont inversés dans les enquêtes portant sur l’ensemble de la population. L’eurodéputé de Place publique enregistre son meilleur score chez les catégories socioprofessionnelles supérieures (21%) et les 18-21 ans (14%).

 

* Enquête publiée par Franceinfo et réalisée du 16 au 20 mai 2024, par internet, selon la méthode des quotas, auprès d’un échantillon représentatif de 1 165 personnes âgées de 18 à 29 ans, en France.

 

Transports : un coût de plus de 300 € pour les jeunes urbains mais de plus de 500 € pour les ruraux

Transports : un coût de plus de 300 € pour les jeunes urbains mais de plus de 500 € pour les ruraux

Selon une étude publiée jeudi par l’Institut Terram et Chemins d’avenirs, le budget mensuel dans les transports s’élève en moyenne à 528 euros pour les jeunes ruraux (dont 461 euros pour le véhicule individuel), contre 307 euros pour les jeunes urbains.

Cet éloignement a un impact significatif sur la vie quotidienne et l’accès aux services puisque plus de la moitié (57%) des jeunes issus des zones rurales très peu denses a dû renoncer à pratiquer des activités culturelles en raison de contraintes de déplacement, contre 40% des jeunes urbains.

Les effets de cet éloignement se manifestent également lors de la recherche d’un emploi, 38% des jeunes ruraux en recherche d’emploi ayant déjà renoncé à un entretien d’embauche en raison de difficultés de déplacement.

Se déplacer, une sour

Violence chez les jeunes: « Il y a besoin de réponses fortes », déclare Fabien Roussel (PCF)

 

Violence chez les jeunes: « Il y a besoin de réponses fortes », déclare Fabien Roussel (PCF)

« Nous sommes effondrés par tous ces drames », dit Fabien Roussel ce lundi 22 avril sur BFMTV-RMC, réagissant à plusieurs faits de violences qui ont touché des jeunes ces derniers jours, en leur coûtant parfois la vie.

« Ce ne sont pas des faits divers, ça devient un véritable fait de société », estime le secrétaire national du Parti communiste français, qui décrit « une violence plus forte, plus dure, provoquée par des jeunes de plus en plus jeunes ». Face à cela, il appelle à « des réponses fortes ».

À ce sujet, le député du Nord marque son désaccord avec la politique de l’exécutif, après que le Premier ministre Gabriel Attal a présenté plusieurs mesures jeudi 18 avril lors d’un discours à Viry-Châtillon. L’ancien candidat à la présidentielle s’arrête plus particulièrement sur la possibilité pour les collégiens « d’être scolarisés tous les jours de la semaine entre 8 heures et 18 heures ».

« Sur le principe », Fabien Roussel valide cette disposition, étant favorable à ce que les élèves puissent faire « leurs devoirs à l’école », plutôt qu’à « la maison ».

  »Ça ne doit pas être une punition, une mesure de justice infligée aux jeunes de quartiers », déplore Fabien Roussel.  »Au contraire, l’école publique que nous voulons doit être la même pour toutes et pour tous. »

 

Violence des jeunes : l’excuse de minorité ne doit plus être la règle (Xavier Bertrand)

Violence des jeunes : l’excuse de minorité ne doit plus être la règle (Xavier Bertrand)

 

Pour Xavier Bertrand, « il y a trop d’impunité dans notre pays ». Revenant sur la violence des mineurs, le président Les Républicains de la région des Hauts-de-France estime ce jeudi 18 avril sur BFMTV-RMC que « l’excuse de minorité ne peut plus être appliquée systématiquement ». Celle-ci consiste en « une atténuation de responsabilité » des mineurs « en raison de leur âge », précise le Code pénal.

Elle implique une « présomption de non-discernement ». « La justice considère ainsi qu’un mineur de moins de 13 ans qui commet une infraction n’est pas capable, en principe, de mesurer la portée de son acte », précise le ministère de la Justice. Par ailleurs, « les peines encourues par les mineurs sont toujours réduites de moitié par rapport à celles prévues pour les personnes majeures. »

 

« Qu’ils soient (jugés) comme des adultes », estime Xavier Bertrand, plaidant pour des « réponses qui soient dures ». Le Grenelle sur la violence des mineurs, demandé par Emmanuel Macron? « Ce n’est pas ce qu’il faut », juge-t-il, demandant des « actes ».

Selon l’élu de droite, l’excuse de minorité « ne doit plus être la règle ». S’il est déjà possible pour le juge de la lever exceptionnellement, Xavier Bertrand considère néanmoins que si cela devient la règle, les juges n’auront plus la possibilité de « mettre de côté » la condamnation d’un mineur.

Interdiction totale du tabac pour les jeunes au Royaume-Uni

Interdiction totale du tabac pour les jeunes au Royaume-Uni

Au Royaume-Uni,la vente de cigarettes deviendrait interdite à toute personne née après 2009, entrainant, à terme, une interdiction totale du tabac dans le pays.

 

En effet, le Premier ministre conservateur Rishi Sunak a lancé à l’automne, à la surprise générale, une politique très ambitieuse de lutte contre le tabagisme. « Nous devons essayer d’empêcher les adolescents de commencer à fumer », avait dit Rishi Sunak en octobre, quand il a parlé pour la première fois de ce projet, lors du congrès du parti conservateur. Downing Street avait alors estimé qu’un tel projet pourrait permettre « d’éliminer presque complètement le tabagisme chez les jeunes dès 2040 ».

 

Mais Rishi Sunak fait face à une forte opposition au sein des Tories, dont plusieurs élus ont annoncé qu’ils voteraient contre un texte qu’ils jugent contraires aux libertés individuelles.

Le tabagisme est la principale cause de mortalité évitable au Royaume-Uni, selon le gouvernement. Il est responsable d’environ 80.000 décès par an. Par ailleurs, il coûte au service de santé public, le NHS, et à l’économie environ 20 milliards d’euros par an. Quatre fumeurs sur cinq ont commencé avant l’âge de 20 ans et restent dépendants jusqu’à la fin de leur vie, même si la plupart d’entre eux ont essayé d’arrêter, selon des chiffres du gouvernement.

« Une grande majorité des fumeurs aimerait ne jamais avoir commencé », a souligné sur la BBC le professeur Chris Whitty, conseiller médical en chef du gouvernement britannique. Mais « une fois qu’ils sont devenus dépendants, ils n’ont plus le choix ». Il a critiqué l’industrie du tabac qui « gagne de l’argent en rendant dépendantes des personnes qui vivent généralement dans les régions les plus défavorisées du pays ».

 

La lecture en disparition chez les jeunes au profit des écrans

La lecture en disparition chez les jeunes au profit des écrans

 Le Figaro révèle une étude alarmante, commandée par le Centre National du livre et confiée à Ipsos, sur la pratique de lecture chez les 7-19 ans. Les écrans récréatifs prennent toujours plus de place dans leur quotidien.

«Nous tirons la sonnette d’alarme.» Les résultats de la nouvelle étude sur les jeunes et la lecture du Centre national du livre (CNL), que révèle Le Figaro, sont préoccupants. Les 16-19 ans consacrent 1h25 par semaine à la lecture contre 5h10 par jour sur les écrans. « On ne peut plus inverser la tendance, on ne peut que la corriger », déplore Régine Hatchondo, présidente du CNL. Comment en est-on arrivé à un tel décrochage ?
Dans cette étude menée auprès de 1500 jeunes Français âgés de 7 à 19 ans, interrogés du 25 janvier au 2 février 2024, on découvre l’ampleur du problème. Le diagnostic se résume à un seul mot : écran. « Il y a eu une utopie Internet, on s’est laissé éblouir », explique Régine Hatchondo. Et d’ajouter : « Il y a désormais un enfermement addictif avec le numérique. On peut parler de drogue, et en cela, de nouvelle guerre de l’opium. » À l’heure où nous sommes inondés d’images permanentes, saturés d’informations, l’écran est à portée de main…

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