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Sondage police: avis favorables pour 57% des Français

Sondage police: avis favorables pour 57% des Français

Selon le dernier sondage Ifop réalisé pour Le Figaro, ils sont respectivement 43% et 14% à ressentir de la confiance ou de la sympathie envers les forces du maintien de l’ordre, soit un total de 57% d’avis positifs. La police inspire de l’inquiétude ou de l’hostilité pour 32% des interrogés, tandis que 11% d’entre eux n’ont pas d’opinion. «Il y a une tension extrême dans le pays liée à la contestation de la réforme des retraites. Une majorité silencieuse est en demande d’ordre et de sécurité et c’est la police qui incarne ça», analyse Frédéric Dabi, directeur général de l’institut.

«L’image de la police reste extrêmement clivée», précise toutefois le sondeur. Politiquement d’abord, la police n’inspirant confiance ou sympathie qu’à 20% des sympathisants de La France insoumise, et 35% de ceux des écologistes. Les chiffres sont plus élevés en ce qui concerne les proches du Parti socialiste (60%), du Rassemblement national (61%) et plus encore de Renaissance (84%) et des Républicains (90%). Le clivage est aussi générationnel, puisque les opinions positives des plus jeunes (18-24 ans) à l’égard de la police ne dépassent pas les 37%. À l’inverse des 65 ans et plus (74%).

Si sa prise de position s’est fait attendre après la mort du jeune Nahel, Marine Le Pen est la personnalité politique qui sort la moins affaiblie des émeutes qui traversent le pays : 39% des Français se disent satisfaits par son attitude. C’est davantage qu’Emmanuel Macron (33%), et bien plus encore que Jean-Luc Mélenchon, dont les troupes tentent pourtant de porter la voix des quartiers populaires. Accusé par les bancs de la droite d’attiser la colère, le candidat malheureux de la présidentielle récolte pas moins de 80% d’avis défavorables.

Un résultat similaire pour le président de Reconquête!, Éric Zemmour, dont le discours de fermeté ne semble pas avoir convaincu les Français et qui ne récolte que 22% d’opinions favorables. Tout comme le président des Républicains, Éric Ciotti (24%), lequel plaide depuis plusieurs jours pour instaurer l’état d’urgence.

« Des juges plus favorables aux grévistes» !!!

«Des juges plus favorables aux grévistes» !!!
Par Corinne Lhaïk

par Joël Grangé est avocat associé, Flichy Grangé avocats.

Un article qui peut se discuter d’abord parce qu’il évite de distinguer la nature des conflits. Or la plupart dans le privé concernent des questions de licenciements collectifs qui ne sont que rarement remis en cause par une décision de justice même en cas biens sociaux, de mauvaise gestion ou de délocalisation peut justifiée. NDLR

Alors que la contestation sur la réforme des retraites présentée par le gouvernement avance, les organisations syndicales invitent les salariés ou les agents à recourir à la grève et envisagent différentes formes de mouvement. C’est l’occasion de rappeler que le droit de grève est un droit constitutionnel. L’article 7 du Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 le proclame par la formule : «Le droit de grève s’exerce dans le cadre des lois qui le réglementent ». En dehors des services publics, le législateur n’est pas beaucoup intervenu, si ce n’est pour interdire à l’employeur de remplacer les salariés grévistes par des salariés temporaires.

Toute action des salariés destinée à perturber le fonctionnement de l’entreprise ne constitue pas pour autant une grève. Ainsi, la grève ne légitime pas les atteintes aux biens et aux personnes. La dégradation de matériel ou de marchandises ou encore les violences physiques ne constituent pas une grève. Elle n’autorise pas non plus les atteintes à la liberté du travail des non-grévistes et même à la liberté d’entreprendre.

Le silence législatif a conduit les juges à définir ce qu’il convenait d’entendre par grève et les conditions dans lesquelles elle pouvait s’exercer. La grève se définit comme une cessation totale et collective du travail en vue d’obtenir la satisfaction de revendications professionnelles. Cependant, force est de constater que dans le cadre de cette définition, les juges ont tendance à retenir des positions de plus en plus favorables aux grévistes. La grève n’a pas besoin d’être majoritaire au sein du personnel, il suffit de deux salariés… Elle n’est pas subordonnée à un préavis (sauf dans certains services publics). Cette bienveillance des juges peut se comprendre. Il s’agit d’un ultime mode de pression. Le droit de grève est exigeant pour le salarié puisqu’il entraîne une privation de rémunération.

Pour autant, et c’est la difficulté, les modalités de la grève autorisées par les juges sont de moins en moins strictes et conduisent parfois à autoriser des mouvements dont les conséquences sont pour les entreprises sans commune mesure avec la concession inhérente en principe à ce droit de grève, l’abandon de sa rémunération.

Grande souplesse. La jurisprudence sur les débrayages répétés est symptomatique d’une grande souplesse des juges du fond et de la chambre sociale de la Cour de cassation qui englobe dans la notion de grève des pratiques diversifiées. En effet, certaines situations sont distinguées alors même que leurs effets ressentis pour les entreprises sont similaires. Plus précisément, la grève perlée, soit le ralentissement des cadences sans arrêt de travail à proprement dit, n’est pas considérée comme une grève. Or, ce mouvement peut pourtant être assimilé dans ses effets aux grèves de très courte durée dont la brièveté n’affecte pas la régularité. Un arrêt de travail d’un quart d’heure minimum toutes les heures pendant dix jours ou encore un arrêt de travail de deux fois cinq minutes par heure ont pu être reconnus comme des grèves licites.

En outre, si la grève tournante est interdite dans le secteur public, elle est permise dans le secteur privé. Les grèves tournantes prennent la forme d’arrêts de travail de durée variable, affectant successivement les différents secteurs de l’entreprise. Ainsi, des mouvements d’arrêt de travail qui se succèdent presque continuellement pendant plus d’un mois notamment dans un atelier occupé par 600 salariés et ayant entraîné une paralysie croissante de la fabrication puis l’arrêt total de l’atelier ont pu être jugés licites. Ces grèves infligent pourtant un sérieux dommage à l’employeur du fait d’un arrêt continu du travail.

« La grève, bien que licite, peut être abusive. Cet abus est caractérisé dès lors que la grève entraîne la désorganisation de l’entreprise. Mais l’abus du droit de grève est quant à lui de plus en plus rarement retenu »

On relève d’ailleurs que les grévistes empruntent de plus en plus ces voies de conflits beaucoup plus ponctuels et ciblés. On observe en effet la multiplication des cas des grèves de très courte durée créant une rupture dans le parallélisme entre les pertes consenties par les uns et par les autres.

La grève, bien que licite, peut être abusive. Cet abus est caractérisé dès lors que la grève entraîne la désorganisation de l’entreprise. Mais l’abus du droit de grève est quant à lui de plus en plus rarement retenu. Les tribunaux sont très restrictifs sur la notion de désorganisation de l’entreprise : il faudrait une véritable mise en péril, manifeste et anormale, de l’existence de l’entreprise. Il n’y a pas abus du droit de grève lorsque la perturbation n’est que la conséquence normale de la limitation de la durée du travail. Une perte importante et anormale de production provoquée par des arrêts de courtes durées ne rend pas pour autant la grève abusive.

Pourtant, cette distinction opérée entre désorganisation de l’entreprise et celle de la production apparaît artificielle, la survie de l’entreprise étant incontestablement liée au maintien de sa production.

Indulgence. Ce régime particulièrement indulgent érigé par la jurisprudence mériterait d’être mieux encadré surtout lorsque, comme cela risque d’être le cas, les premières victimes de l’exercice du droit de grève n’ont aucun moyen d’agir sur ses causes. Théoriquement la grève est un ultime mode de pression sur celui qui décide. Ici, la réforme des retraites n’est pas décidée par les entreprises mais par le gouvernement.
Ainsi, sans vouloir nier le caractère constitutionnel du droit de grève, il semble nécessaire de pallier le silence du législateur et de rétablir un exercice raisonné du droit de grève en recherchant une proportionnalité entre l’ampleur du mouvement, ses causes et ses conséquences.

Joël Grangé est avocat associé du cabinet Flichy Grangé avocats, spécialisé en droit du travail

Sondage-Réforme assurance-chômage: 60 % favorables

Sondage-Réforme assurance-chômage: 60 % favorables

 

Six Français sur dix sont favorables au projet de réforme du gouvernement de rendre les règles d’indemnisation plus ou moins favorables selon la conjoncture, selon un sondage Elabe pour « Les Echos », « Radio classique » et l’institut Montaigne.

Réalisé en ligne entre les 1er et 3 août, le sondage  montre que 60 % des Français se disent « favorables » aux changements envisagés. Précisément, 11 % d’entre eux déclarent l’être « très », 49 % « plutôt ». Pour rappel, il s’agit de faire en sorte que les règles d’indemnisations collent à la conjoncture : plus restrictives quand la conjoncture, donc l’emploi, est favorable et vice et versa .

Pour près de six Français sur dix, la raison principale du taux de chômage toujours élevé (il est de 7,3 % de la population active, en baisse) tient au fait qu’elles n’encouragent pas au retour à l’emploi. Les salaires insuffisants sont la deuxième raison invoquée (42 %).

« Finalement, les Français font crédit à Emmanuel Macron du bilan favorable de l’emploi », résume Bernard Sananès. Favorable, mais pas au point de croire à l’objectif de plein-emploi fixé par le chef de l’Etat d’ici à 2027. Seuls 24 % des sondés le jugent crédible.

 

Sondage passe vaccinal: 66 % favorables

Sondage passe vaccinal: 66 % favorables

Alors que les députés examineront, début janvier, le projet de loi prévoyant de transformer le passe sanitaire en passe vaccinal, 66% des Français se disent favorables à ce nouveau dispositif, selon un sondage Odoxa, réalisé avec Backbone Consulting pour le Figaro, à l’occasion de Noël (*).

Une fermeté gouvernementale approuvée très majoritairement, donc. Indépendamment des opinions politiques. Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon se sont engagés à revenir sur le passe vaccinal s’ils étaient élus à la présidence de la République, mais leurs sympathisants ne les suivent pas. Ceux de la France Insoumise sont 65% à approuver le projet, tandis que les sympathisants du Rassemblement y sont favorables à 59%.

Les plus jeunes, moins vaccinés et davantage concernés par les sorties, sont plus réticents (53% y sont favorables chez les moins de 35 ans, contre 78% chez les plus de 65 ans. Les catégories sociales professionnelles inférieures sont également plus nuancées (59% d’approbation), notamment les ouvriers (48% y sont opposés).

Sondage passe vaccinal: 66 % favorables

 Passe vaccinal:  66% des Français se disent favorables  selon un sondage Odoxa, réalisé avec Backbone Consulting pour le Figaro, à l’occasion de Noël.

Les plus jeunes, moins vaccinés et davantage concernés par les sorties, sont plus réticents (53% y sont favorables chez les moins de 35 ans, contre 78% chez les plus de 65 ans. Les catégories sociales professionnelles inférieures sont également plus nuancées (59% d’approbation), notamment les ouvriers (48% y sont opposés).

Alliance écolos–PS: seulement 40 % favorables à gauche

Alliance écolos–PS: seulement 40 % favorables à gauche

 

Une éventuelle alliance entre le parti socialiste et les écolos pour la candidature aux présidentielles ne changeraient sans doute pas grand-chose. Dans les sondages Jadot est en effet crédité de l’ordrede 8 % et Hidalgo de 6 %. L’addition ne ferait pas 14 % mais sans doute pas plus de 10 %. En dépit du caractère un peu gauchisant d’ Hidalgo, de nombreuses divergences demeurent entre les deux partis. Et les écolos se souviennent de la politique des socialistes quand ils sont au pouvoir . Même si on envisageait l’impossible union de la gauche réunissant écolos, parti socialiste et insoumis on ne parviendrait même pas à 30 %.

 

Dernier aspect et non des moindres si Hidalgo devait retirer sa candidature ce serait sans doute la disparition totale et définitive du parti socialiste sur la scène politique française.

 

Certes cette disparition est cependant programmée mais elle peut encore s’étirer assez longtemps dans le temps en s’appuyant sur les solides bastions locaux du parti socialiste notamment les élus. Ce qu’on a pu vérifier l’heure des élections régionales et des élections communales. Selon un sondage Ifop paru dans le Journal du Dimanche, 53% des électeurs de gauche sont en faveur d’une alliance.

 

Défense : 64 % favorables à l’industrie française

Défense : 64 % favorables à l’industrie française

 

 

 

Selon un sondage IFOP 64% des Français ont une bonne image de l’industrie de l’armement (contre 23% une mauvaise image). Soit les deux tiers des Français. Ils ont également une bonne image de l’industrie aéronautique (79%), ce qui est le plus haut niveau enregistré parmi l’ensemble des filières industrielles citées dans le sondage. Là aussi un pied de nez aux écologistes les plus radicaux qui veulent rayer de la carte industrielle l’aéronautique en France.

Cerise sur le gâteau, le budget de la Défense en France, qui représente 1,9% du PIB, est pour 47% des sondés insuffisant (contre 34% suffisant). Contrairement à ce que laissent entendre les ONG, les Français restent également favorables à l’exportation de matériel d’armements (67% favorables, contre 33%), à la condition de mettre en place plus de contrôle et plus de transparence.

L’enjeu de la souveraineté est important pour preuve, l’industrie française de défense est indispensable pour assurer l’indépendance et la souveraineté de la France, selon 75% des sondés. L’importance de la souveraineté de la France en matière d’industrie de défense est jugée essentielle ou importante pour 80% des Français (contre 7%). Tout comme l’importance de la capacité de la France à se fournir de façon autonome en matière d’équipements de défense (80% des sondés).

outre, les trois quarts des Français reconnaissent à l’industrie de défense française une fonction régalienne : 72% considèrent qu’elle fournit aux forces armées les moyens d’assurer leurs missions ; 70% lui reconnaissent également un rôle dans le rayonnement de la France à l’international. Les deux tiers des sondés s’accordent également sur son impact économique et technologique positif : elle concentre beaucoup de R&D (69%) et elle a un impact économique positif (63%). En revanche, l’industrie de l’armement devra assurer un dialogue plus important avec les Français. C’est également un axe de travail pour les prochains candidats à la présidentielle. Car 67% des sondés estiment que les questions de défense ne sont pas assez évoquées dans le débat public.

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(1) L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage Nouvelle-Calédonie : les Français favorables à une indépendance

Sondage Nouvelle-Calédonie : les Français favorables à une indépendance

Selon un sondage* l’institut Harris Interactive réalisé fin avril, 86% de la population a une bonne image de l’archipel du Pacifique, français depuis 1853. Mais une large majorité (66%) se déclare favorable à l’indépendance de ce territoire de 280.000 habitants, un scénario au centre des tensions historiques entre les deux camps opposés en Nouvelle-Calédonie – les loyalistes pro-France et les indépendantistes.

Seuls 33% des citoyens désapprouvent l’hypothèse d’une séparation d’avec la France.

* Méthodologie : enquête réalisée en ligne du 27 au 29 avril 2021 pour le ministère des Outre-mer, sur un échantillon de 1.042 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus. Méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle et région de l’interviewé.

 

Sondage pass sanitaire : 63 % favorables

Sondage pass sanitaire : 63 % favorables

 

 

Selon un sondage Elabe  pour BFM, 63 % des Français seraient pour la création d’un pass sanitaire. Un pass qui permettrait d’assister à certaines manifestations mais ne concernerait pas les actes de la vie quotidienne. Les députés discutent actuellement de son principe et des modalités d’application. Par ailleurs, les caisses de sécurité sociale envisagent  d’adresser une attestation officielle de vaccination aux personnes intéressées.

 

Sondage COVID-19: 67% DES FRANÇAIS FAVORABLES À DES CONFINEMENTS LOCAUX LE WEEK-END

Sondage COVID-19: 67% DES FRANÇAIS FAVORABLES À DES CONFINEMENTS LOCAUX LE WEEK-END

 

.Selon le sondage hebdomadaire « Opinion en direct » réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV, 67% des Français, soit 2 sur 3, sont favorables à l’instauration d’un confinement le week-end dans « les zones les plus touchées par l’épidémie ». Dans le détail, 36% des personnes interrogées s’y disent « assez favorables », 31% « très favorables ». A contrario, 32% sont « opposés », 20% « assez opposés » et 12% « très opposés ».

Mais face à la dégradation des indicateurs sanitaires, on relève toutefois une forte hausse du nombre de pronostics de reconfinement dans les semaines à venir: 60% des Français pensent qu’il y aura un troisième confinement national dans les prochaines semaines, une hausse de 12 points par rapport à la semaine dernière.

A contrario, un autre chiffre est en légère baisse: 62% (-4 points), soit 6 Français sur 10, estiment que la crise sanitaire a pour l’heure été mal gérée. sensiblement identique.

La cote de popularité du président de la République s’améliore légèrement par rapport à octobre dernier. Le chef de l’État voit son dynamisme salué à 67% (+4 points), sa sympathie progresse de 7 points et s’établit à 49%. Il est toutefois toujours perçu comme « autoritaire » par 67% des personnes interrogées (+5 points) et par 64% comme étant « arrogant ».

Sondage vaccination : 56% des Français maintenant favorables

 Sondage vaccination : 56% des Français maintenant favorables

 

Selon un sondage Harris Interactive pour LCI, réalisé ce jeudi , 56% des Français indiquent qu’ils souhaitent se faire vacciner contre le Covid-19. Il s’agit d’une hausse notable par rapport au dernier sondage en date du 9 décembre, au cours duquel moins d’un Français sur deux (45%) souhaitait recevoir une dose de vaccin.

 

Dans le détail, 26% de la population se fera « certainement » vacciner (contre 16% le 9 décembre), et 30% se fera « probablement » administrer un remède. Du côté des réticents, 24% des Français indiquent qu’ils ne vont  »probablement pas » se faire vacciner, et 20% ne vont « certainement pas » le faire.

 

 

Vaccination : baisse des Français favorables

Vaccination : baisse des Français favorables

“En novembre 2020, seule la moitié des personnes interrogées (53%) répondait vouloir certainement ou probablement se faire vacciner contre la COVID-19. Ce résultat est en baisse par rapport au mois de juillet quand 64% disaient avoir l’intention de le faire”, indique SPF.

Selon l’enquête de France CoviPrev, les hommes (64%), les CSP+ (60%) et les personnes âgées de plus de 65 ans (72%) sont les plus enclins à se faire vacciner, précise Santé publique France.

A l’inverse, 44% seulement des femmes interrogées répondent qu’elles se feront “certainement ou probablement” vacciner. Par classe d’âge, ce sont les 25-34 ans qui sont les moins nombreux à fournir la même réponse (33%) et, pour ce qui est des catégories socioprofessionnelles, ce sont les inactifs (45%).

Le gouvernement français a détaillé jeudi son plan de vaccination de la population française contre le coronavirus en trois phases, avec priorité donnée aux publics les plus fragiles dès que les doses vaccinales seront disponibles.

Sondage déconfinement :79% favorables

Sondage déconfinement :

selon le baromètre quotidien CoviDirect OpinionWay-Organ’Ice pour « Les Echos » ,  pas moins de 79 % des Français sont ainsi favorables à la limitation à 10 personnes des rassemblements sur la voie publique. Une hausse de 2 points par rapport à la fin avril. Seuls 18 % y sont opposés. Les personnes qui se disent favorables à la fermeture des cafés et restaurants« jusqu’à début juin au moins » restent majoritaires, à 55 %, malgré une baisse de 7 points depuis la fin avril. Même le maintien de la fermeture des parcs et jardins en zone rouge et la limitation des déplacements à moins de 100 kilomètres du domicile, qui font l’un comme l’autre polémique , divisent. Ces mesures sont approuvées par 51 % des Français. Dans tous les cas, la part de ceux qui sont « tout à fait opposés » à la poursuite de ces restrictions ne dépasse pas celle de ceux qui y sont « tout à fait favorables ».

Même  volonté de prudence, sur fond d’inquiétude persistante vis-à-vis du Covid-19 et de défiance à l’égard de l’exécutif (57 % n’ont pas confiance en lui pour limiter les effets de l’épidémie), et même doute partagé sur opportunité des élections municipales.

 

SONDAGE réforme des retraites: 32% seulement favorables

SONDAGE réforme des retraites: 32% seulement favorables

Selon ,  un sondage Elabe pour BFMTV, 32% se disent favorables à la mise en place de la retraite par points envisagée par le gouvernement, ils sont 43% à se dirent opposés (dont 23% très opposés). Le pourcentage d’indécis reste élevé puisqu’ils sont 24% à se dire aujourd’hui ni pour, ni contre. La crainte  qui arrive en tête et qui est stable depuis le dernier sondage, c’est l’obligation de travailler plus longtemps. 74% des personnes interrogées citent en premier cet inconvénient de la réforme. Le deuxième point d’inquiétude concerne le montant des pensions. 68% des Français craignent qu’elles baissent avec la réforme. Mais sur ce point, ils semblent avoir un peu plus confiance puisqu’ils étaient 74% à le craindre en juillet dernier. Troisième crainte soulevée: l’obligation de faire appel à des organismes privés pour compléter la retraite pour 54% des personnes interrogées. En revanche, la suppression des régimes spéciaux de la fonction publique n’inquiète qu’une minorité d’entre elles (26%).

Les Français dans leur majorité ne se font d’ailleurs guère de doute sur la concertation avec les partenaires sociaux et la consultation citoyenne. Pour 61% d’entre eux, tout est déjà décidé et les débats ne seront pas utiles.

Méthodologie

Sondage réalisé les 1er et 2 octobre 2019 sur internet auprès d’un échantillon de 1.002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas.

Service militaire obligatoire : les militaires pas favorables

Service militaire obligatoire : les militaires pas favorables

Devant les représentants de l’armée hier Emmanuel Macron qui a rappelé avec autorité qu’il était le chef des armées remettant ainsi à sa place le chef d’état-major de Villiers a réitéré sa décision d’instaurer un service universel obligatoire. Une proposition qui ne semble guère appréciée par les militaires de carrière. En cause, le fait que cela affecterait une partie du budget de l’armée mais aussi un reflexe  corporatiste. Certes la mesure n’est certainement pas gratuite mais on peut certainement se passer des casernes classiques dont beaucoup d’ailleurs ont été vendues en utilisant les équipements collectifs notamment sportifs existants. En outre dans les grandes agglomérations il serait toujours possible de libérer le soir les plus appelés pour éviter d’avoir à les coucher. Notons qu’avant la suppression du service militaire obligatoire c’était déjà une possibilité pour nombre d’appelés. Enfin l’idée générale est de faire adhérer aux valeurs républicaines, à l’effort et à la discipline ce qui ne nécessite pas forcément un encadrement des seuls militaires professionnels. De ce point de vue d’un garde nationale pourrait être sollicité. La promesse d’Emmanuel Macron était de mettre en place un service national d’un mois, obligatoire pour les jeunes, hommes et femmes, âgés de 18 à 21 ans et déclarés « aptes ». Cela représente 600 000 jeunes à former chaque année. L’objectif de ce service national est, selon le Président, de renforcer la cohésion républicaine. Deux mois après l’élection d’Emmanuel Macron et alors que les militaires défilent sur les Champs-Elysées pour le 14-Juillet, la promesse du président de la République est confrontée aux réalités budgétaires et aux réticences des militaires.  Le projet n’est cependant pas enterré par la majorité présidentielle. Certes, le président de la République a omis d’en parler devant le congrès à Versailles au début du mois de juillet mais son Premier ministre s’en est chargé, lors de sa déclaration de politique générale devant les députés. « Le gouvernement mettra en place un nouveau service national conformément aux engagements du président de la République, a assuré Édouard Philippe. La réflexion sur les formes qu’il prendra sera conduite avant la fin de l’année 2017. » 

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