Archive pour le Tag 'l’Algérie'

Encore un « OQTF » refoulé par l’Algérie

Encore un « OQTF » refoulé par l’Algérie

Un OQTF dans avec des papiers en règle refoulé par l’Algérie. Une provocation évidemment du pays qui n’accepte plus de reprendre ses délinquants pour des motifs politiques.

 

À sa sortie de prison, le préfet de Savoie a prononcé une obligation de quitter le territoire français (OQTF) pour un délinquant et il a été placé le 19 novembre en centre de rétention à Lyon, dans l’attente de son expulsion. À l’approche du délai maximal de rétention, il a été embarqué, escorté par des policiers, à bord d’un vol pour l’Algérie, qui s’est posé à Oran dans la nuit du 10 au 11 février.

 

Bien qu’il ait une carte d’identité en cours de validité, les autorités algériennes ont refusé de l’admettre au motif qu’il n’avait pas de laissez-passer consulaire, et il a été immédiatement renvoyé vers la France, selon ces documents judiciaires. Accusé de s’être rebellé pendant la tentative d’expulsion et d’avoir mordu un des agents, il a été jugé lundi en comparution immédiate pour «outrage et violence».

Pour ces faits, il a été condamné par le tribunal correctionnel de Lyon à 6 mois d’emprisonnement ferme, et trois d’interdiction du territoire national, conformément aux réquisitions. «Pour les policiers, les reconduites vers l’Algérie, ça devient mission impossible», regrette Laurent Bohé, avocat des policiers lyonnais qui se sont constitués partie civile dans ce dossier. «Jusqu’à présent, il suffisait d’une pièce d’identité en cours de validité pour reconduire les ressortissants algériens, ou un laisser-passer consulaire (…) Désormais, comment faire ?» s’interroge-t-il, en déplorant que ces opérations soient devenues «hasardeuses».

Politique–OQTF : 81% des Français pour des sanctions contre l’Algérie

Politique–OQTF : 81% des Français pour  des sanctions  contre  l’Algérie

Selon un sondage de l’institut CSA, une très large majorité de Français réclame des sanctions économiques en cas de refus de la part de l’Algérie de reprendre ses ressortissants expulsés du territoire français.

Les relations entre la France et l’Algérie sont toujours très dégradées. Et cela d’autant plus que l’oligarchie  en place à Alger se sert de la rente anticoloniale pour justifier la dictature et le détournement des richesses . L’Algérie a refusé au début du mois d’accueillir un de ses ressortissants, un influenceur expulsé par la France, en raison de menaces de mort proférées en ligne. Mardi dernier, Alger a convoqué l’ambassadeur de France pour dénoncer des «traitements dégradants» auxquels auraient été soumis des passagers algériens arrivés dans des aéroports parisiens, selon un communiqué officiel.

 

OQTF : 81% des Français pour des sanctions contre l’Algérie

OQTF : 81% des Français pour  des sanctions  contre  l’Algérie

Selon un sondage de l’institut CSA, une très large majorité de Français réclame des sanctions économiques en cas de refus de la part de l’Algérie de reprendre ses ressortissants expulsés du territoire français.

Les relations entre la France et l’Algérie sont toujours très dégradées. Le pays a refusé au début du mois d’accueillir un de ses ressortissants, un influenceur expulsé par la France, en raison de menaces de mort proférées en ligne. Mardi dernier, Alger a convoqué l’ambassadeur de France pour dénoncer des «traitements dégradants» auxquels auraient été soumis des passagers algériens arrivés dans des aéroports parisiens, selon un communiqué officiel.

 

Sondage: 72 % des Français favorables à des sanctions contre l’Algérie

Sondage: 72 % des Français favorables à des sanctions contre l’Algérie

Après le refus de l’Algérie de reprendre un délinquant notoire, l’influenceur extrémiste  Doualemn, un sondage réalisé par l’institut CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD révèle que 72 % des Français souhaitent geler les avoirs des dignitaires algériens qui résident en France.

Sept Français sur dix des CSP+ et des CSP- sont pour le gel des avoirs des dignitaires algériens qui résident en France. Les inactifs sont plus sévères : 75 % d’entre eux approuvent l’idée.  Jean-Noël Barrot, s’est dit « stupéfait » que les autorités algériennes aient « refusé de reprendre un de leurs ressortissants », au lendemain du renvoi en France d’un influenceur algérien, un multirécidiviste condamné à plus de 11 ans d’emprisonnement au total.

72 % des Français favorables à des sanctions contre l’Algérie

72 % des Français favorables à des sanctions contre l’Algérie

Au refus de l’Algérie de reprendre un délinquant notoire, l’influenceur extrémiste  Doualemn, un sondage réalisé par l’institut CSA pour CNews, Europe 1 et le JDD révèle que 72 % des Français souhaitent geler les avoirs des dignitaires algériens qui résident en France.

Sept Français sur dix des CSP+ et des CSP- sont pour le gel des avoirs des dignitaires algériens qui résident en France. Les inactifs sont plus sévères : 75 % d’entre eux approuvent l’idée.  Jean-Noël Barrot, s’est dit « stupéfait » que les autorités algériennes aient « refusé de reprendre un de leurs ressortissants », au lendemain du renvoi en France d’un influenceur algérien, un multirécidiviste condamné à plus de 11 ans d’emprisonnement au total.

Immigration: un projet de loi sauf pour l’Algérie !

Immigration: un projet de loi sauf pour l’Algérie !


Le projet de loi de Darmanin av ait par avance dans l’aile. Le gouvernement a échoué pour trouver une majorité pour faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens; le même gouvernement a rejeté la dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour. Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Immigration: Pourquoi un projet de loi sauf pour l’Algérie !

Immigration: Pourquoi un projet de loi sauf pour l’Algérie !


Le projet de loi de Darmanin a de plus en plus de plomb dans l’aile.Alors que le gouvernement est toujours à la recherche d’une majorité pour tenter de faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens, le même gouvernement a rejeté la dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour.
Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Pourquoi un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !

Pourquoi un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !


Alors que le gouvernement est toujours à la recherche d’une majorité pour tenter de faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens, le même gouvernement a rejeté La dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour.
Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Politique-Un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !

Politique-Un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !


Alors que le gouvernement est toujours à la recherche d’une majorité pour tenter de faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens, le même gouvernement a rejeté La dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour.
Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !

Un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !


Alors que le gouvernement est toujours à la recherche d’une majorité pour tenter de faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens, le même gouvernement a rejeté La dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour.
Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

France – l’Algérie: quelle réconciliation !

 France – l’Algérie: quelle réconciliation !

 

Un papier du Monde relativise la réconciliation entre la France et l’Algérie motivée en réalité par la nécessité de solliciter le gaz algérien

Depuis des décennies, les relations franco-algériennes n’ont été qu’une succession de périodes de tension et de réconciliation plus ou moins longues. La visite de trois jours que vient d’effectuer Emmanuel Macron en Algérie a le mérite de mettre un terme à plusieurs mois de crise diplomatique.

Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, et son homologue français ont signé une déclaration commune appelant à une « nouvelle dynamique irréversible ». Si l’irréversibilité est sujette à caution, l’élan, lui, semble réel, et guidé par la volonté partagée de repartir sur de nouvelles bases.

Les déclarations d’Emmanuel Macron sur un système algérien « politico-militaire » accusé d’entretenir une « rente mémorielle » et ses interrogations faussement ingénues sur l’existence d’une nation algérienne avant la colonisation avaient constitué le point d’orgue de la brouille. Celle-ci s’était nourrie auparavant des frustrations françaises dues à la mauvaise volonté affichée par Alger sur les principaux dossiers en cours : immigration, contrats commerciaux, travail de mémoire.

Les déclarations et les gestes qui ont ponctué la visite du président français marquent donc un retournement spectaculaire du climat entre les deux pays. Même si la substance des échanges a pu décevoir à certains égards, le symbolique revêt une importance particulière dans le contexte très psychologique et émotionnel de la relation franco-algérienne.

L’autre progrès significatif concerne la tenue d’une réunion au plus haut sommet des responsables militaires et du renseignement des deux pays. Cette rencontre, inédite depuis l’indépendance, laisse augurer d’une coopération au Sahel, au moment crucial où la France quitte le Mali.

Sur le fond, l’une des avancées notables porte sur la question des visas. Agacé par la mauvaise volonté d’Alger pour accueillir ses ressortissants expulsés de France, Paris avait décidé, à l’automne 2021, de diviser par deux le nombre de visas octroyés aux Algériens. La tension semble avoir baissé d’un cran : la France accepte d’assouplir sa position dans le cadre d’une immigration choisie, tandis que l’Algérie s’engage à lutter davantage contre l’immigration clandestine.

Quant à la question énergétique, il aurait été naïf d’attendre de ce voyage monts et merveilles. Du fait d’un manque criant d’investissements et d’une demande intérieure en forte croissance, le potentiel d’exportation de gaz de l’Algérie reste limité, et ne peut représenter à court terme une solution aux difficultés d’approvisionnement européennes, liées à la guerre russo-ukrainienne.

Si ce début de réconciliation est encourageant, il risque de buter sur trois limites. La première peut venir des franges conservatrices du régime algérien, qui voient d’un mauvais œil un retour en grâce de l’influence française. La deuxième concerne le Maroc, qui redoute que ce réchauffement ne contrecarre son plan d’autonomie du Sahara occidental, sujet de discorde avec Alger. Rabat a néanmoins des moyens de pression sur Paris en modulant son contrôle de l’immigration vers l’Europe ou sa précieuse coopération sur le terrorisme islamique. La France se retrouve ainsi prise entre les intérêts divergents d’un Maroc qui vient de normaliser ses relations avec Israël et une Algérie qui se sent de plus en plus isolée.

L’Espagne:Vague migratoire en provenance du Maroc mais aussi de l’Algérie

L’Espagne:Vague migratoire en provenance du Maroc mais aussi de l’Algérie  

 

 

Les mouvements migratoires en provenance du Maroc ont dépassé toutes les limites ces derniers jours avec notamment l’arrivée de 5000 personnes en une seule journée. Mais à cela s’ajoutent  les migrants en provenance de l’Algérie victime à la fois de la crise économique mais aussi politique. Le Pouvoir algérien après avoir été très tolérant et affiché même certaine complicité avec le mouvement Hirak veut maintenant le cadenasser complètement. Pour cela,  il emprisonne d’ailleurs des manifestants.

Selon les autorités espagnoles , « la situation est devenue incontrôlable en Algérie, où des trafiquants tunisiens participent aux expéditions » vers l’Espagne.

Le livreur raciste été expulsé vers l’Algérie

Le livreur raciste été expulsé vers l’Algérie

C’est le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin qui l’a annoncé dans un tweet samedi : «le « livreur » de repas à domicile qui avait déclaré ne pas vouloir servir des clients juifs a été expulsé aujourd’hui du territoire national, après avoir purgé sa peine de prison» a-t-il précisé.

 

Il s’était personnellement engagé à le faire expulser du territoire, alors que l’homme de 19 ans était déjà sous le coup d’une Obligation de quitter le territoire français (OQTF).

Jugé en comparution immédiate, le livreur algérien avait été condamné à quatre mois de prison ferme avec mandat de dépôt pour avoir refusé deux fois de suite de prendre la commande d’un restaurant casher, au motif qu’il ne «livre pas les juifs».

 

Il a effectué les trois quarts de sa peine, et a été expulsé dès sa sortie de prison vers l’Algérie, dont il possède la nationalité.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol