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Moral des Français: Petite hausse en raison des JO

Moral des Français: Petite hausse en raison des JO

Certes le moral des Français reste très en dessous de sa moyenne de longue période mais bénéficie cependant d’une hausse d’un point grâce à l’enthousiasme manifesté vis-à-vis des JO. Le niveau du moral des Français témoigne cependant d’une inquiétude non seulement pour le présent mais aussi pour l’avenir.

 

socio-économique. Le moral des ménages s’est redressé de 1 point au mois d’août, pour retrouver son plus haut niveau depuis le début de la guerre en Ukraine, a annoncé l’Insee mercredi. À 92, l’indicateur reste cependant bien au-dessous de sa moyenne de longue période de 100, précise l’Institut de la statistique.

Croissance : une toute petite hausse- fragile- du PIB au premier trimestre

Croissance : une toute petite hausse fragile du PIB au premier trimestre

 

Bonne nouvelle avec une progression de seulement 2,2 % de l’inflation sur un an . Une mauvaise nouvelle qui en est peut-être la conséquence à savoir une toute petite hausse du PIB de 02 % au premier trimestre. Une activité par ailleurs très fragile si l’on en juge par les inquiétudes des ménages vis-à-vis du pouvoir d’achat. Même si  les prix à la consommation seraient stables, après une hausse de 0,5% en avril. Ce ralentissement serait lié à une forte baisse des prix de l’énergie, compensée en partie par les hausses des prix de l’alimentation et, dans une moindre mesure, des produits manufacturés, indique l’Insee.

 

L’Insee Indique un ralentissement de la consommation des ménages, en hausse de 0,1% au premier trimestre 2024 contre 0,2% au quatrième trimestre 2023. Cette tendance s’est accentuée en avril : la consommation des ménages a reculé de 0,8% ce mois-ci, contre une croissance de 0,2% attendue par le consensus et une hausse de 0,4% en mars. L’Insee attribue ce recul à la baisse de la consommation de produits alimentaires.

Croissance économique: confirmation d’une petite hausse dans l’union européenne

Croissance économique: confirmation d’une petite hausse dans l’union européenne

Une toute petite croissance de 0,8 % en 2024 pour la zone euro mais qui pourrait être bousculée par l’environnement géopolitique. Ce mercredi, la Commission européenne a confirmé sa prévision d’une croissance de 0,8% en 2024 en zone euro, assortie d’une inflation plus faible que prévu à 2,5% (contre 2,7% anticipés jusqu’ici).

 

Selon l’estimation provisoire d’Eurostat publiée en fin de matinée, au premier trimestre de 2024, le PIB a ainsi augmenté de 0,3 % dans l’UE, le chiffre étant le même dans la zone euro. « Cette croissance, qui s’appuie sur une large base dans l’ensemble des États membres, marque la fin d’une période prolongée de stagnation économique qui avait commencé au dernier trimestre de 2022 », analyse la Commission.

Selon l’exécutif européen, cette dynamique lui permet de tabler, en 2024, sur une croissance du PIB de 1,0 % dans l’UE, et 0,8 % en zone euro. Encore plus loin dans le temps, en 2025, la Commission table sur un PIB qui devrait augmenter à 1,6 % dans l’UE et à 1,4 % dans la zone euro. Pour mémoire, l’année dernière, la zone euro s’est enlisée dans la stagnation, la progression de PIB plafonnant à 0,4%.

Par ailleurs, la Commission s’attend à un rebond des échanges qui devrait soutenir les exportations alors que l’économie mondiale fait preuve de résilience. « Cependant, étant donné la reprise de la demande intérieure dans l’UE, une augmentation des importations compensera largement la contribution positive des exportations à la croissance », précise la Commission européenne.

La commission souligne le ralentissement plus net que prévu des prix à la consommation, avec la perspective de se rapprocher de la cible de 2% fixée par la BCE. D’après Eurostat, en zone euro, l’inflation devrait atteindre 2,4 % en avril cette année, son point le plus bas depuis deux ans.

De sorte qu’en 2024, elle devrait atteindre 2,5 % au niveau annuel (contre 5,4 % en 2023), puis 2,1 % en 2025. En élargissant cette statistique à l’UE, la Commission table sur une inflation à 2,7 % en 2024 (contre 6,4 % en 2023), puis à 2,2 % en 2025. Pour rappel, en zone euro, le dernier pic inflationniste a été enregistré en octobre 2022, à +10,6 %.

 

Malgré ces nouvelles économiques relativement positives, la Commission européenne reste cependant sur ses gardes en raison de l’incertitude géopolitique qui règne actuellement à différents endroits du globe.

Quant à la France, Eurostat table en 2024 sur une croissance de 0,7% en 2024, et 1,3% en 2025.

Activité économique: confirmation d’une petite hausse dans l’union européenne

Activité économique: confirmation d’une petite hausse dans l’union européenne

Une toute petite croissance de 0,8 % en 2024 pour la zone euro mais qui pourrait être bousculée par l’environnement géopolitique. Ce mercredi, la Commission européenne a confirmé sa prévision d’une croissance de 0,8% en 2024 en zone euro, assortie d’une inflation plus faible que prévu à 2,5% (contre 2,7% anticipés jusqu’ici).

 

Selon l’estimation provisoire d’Eurostat publiée en fin de matinée, au premier trimestre de 2024, le PIB a ainsi augmenté de 0,3 % dans l’UE, le chiffre étant le même dans la zone euro. « Cette croissance, qui s’appuie sur une large base dans l’ensemble des États membres, marque la fin d’une période prolongée de stagnation économique qui avait commencé au dernier trimestre de 2022 », analyse la Commission.

Selon l’exécutif européen, cette dynamique lui permet de tabler, en 2024, sur une croissance du PIB de 1,0 % dans l’UE, et 0,8 % en zone euro. Encore plus loin dans le temps, en 2025, la Commission table sur un PIB qui devrait augmenter à 1,6 % dans l’UE et à 1,4 % dans la zone euro. Pour mémoire, l’année dernière, la zone euro s’est enlisée dans la stagnation, la progression de PIB plafonnant à 0,4%.

Par ailleurs, la Commission s’attend à un rebond des échanges qui devrait soutenir les exportations alors que l’économie mondiale fait preuve de résilience. « Cependant, étant donné la reprise de la demande intérieure dans l’UE, une augmentation des importations compensera largement la contribution positive des exportations à la croissance », précise la Commission européenne.

La commission souligne le ralentissement plus net que prévu des prix à la consommation, avec la perspective de se rapprocher de la cible de 2% fixée par la BCE. D’après Eurostat, en zone euro, l’inflation devrait atteindre 2,4 % en avril cette année, son point le plus bas depuis deux ans.

De sorte qu’en 2024, elle devrait atteindre 2,5 % au niveau annuel (contre 5,4 % en 2023), puis 2,1 % en 2025. En élargissant cette statistique à l’UE, la Commission table sur une inflation à 2,7 % en 2024 (contre 6,4 % en 2023), puis à 2,2 % en 2025. Pour rappel, en zone euro, le dernier pic inflationniste a été enregistré en octobre 2022, à +10,6 %.

 

Malgré ces nouvelles économiques relativement positives, la Commission européenne reste cependant sur ses gardes en raison de l’incertitude géopolitique qui règne actuellement à différents endroits du globe.

Quant à la France, Eurostat table en 2024 sur une croissance de 0,7% en 2024, et 1,3% en 2025.

Activité économique: confirmation d’une petite hausse dans l’Union européenne

Activité économique: confirmation d’une petite hausse dans l’union européenne

Une toute petite croissance de 0,8 % en 2024 pour la zone euro mais qui pourrait être bousculée par l’environnement géopolitique. Ce mercredi, la Commission européenne a confirmé sa prévision d’une croissance de 0,8% en 2024 en zone euro, assortie d’une inflation plus faible que prévu à 2,5% (contre 2,7% anticipés jusqu’ici).

 

Selon l’estimation provisoire d’Eurostat publiée en fin de matinée, au premier trimestre de 2024, le PIB a ainsi augmenté de 0,3 % dans l’UE, le chiffre étant le même dans la zone euro. « Cette croissance, qui s’appuie sur une large base dans l’ensemble des États membres, marque la fin d’une période prolongée de stagnation économique qui avait commencé au dernier trimestre de 2022 », analyse la Commission.

Selon l’exécutif européen, cette dynamique lui permet de tabler, en 2024, sur une croissance du PIB de 1,0 % dans l’UE, et 0,8 % en zone euro. Encore plus loin dans le temps, en 2025, la Commission table sur un PIB qui devrait augmenter à 1,6 % dans l’UE et à 1,4 % dans la zone euro. Pour mémoire, l’année dernière, la zone euro s’est enlisée dans la stagnation, la progression de PIB plafonnant à 0,4%.

Par ailleurs, la Commission s’attend à un rebond des échanges qui devrait soutenir les exportations alors que l’économie mondiale fait preuve de résilience. « Cependant, étant donné la reprise de la demande intérieure dans l’UE, une augmentation des importations compensera largement la contribution positive des exportations à la croissance », précise la Commission européenne.

La commission souligne le ralentissement plus net que prévu des prix à la consommation, avec la perspective de se rapprocher de la cible de 2% fixée par la BCE. D’après Eurostat, en zone euro, l’inflation devrait atteindre 2,4 % en avril cette année, son point le plus bas depuis deux ans.

De sorte qu’en 2024, elle devrait atteindre 2,5 % au niveau annuel (contre 5,4 % en 2023), puis 2,1 % en 2025. En élargissant cette statistique à l’UE, la Commission table sur une inflation à 2,7 % en 2024 (contre 6,4 % en 2023), puis à 2,2 % en 2025. Pour rappel, en zone euro, le dernier pic inflationniste a été enregistré en octobre 2022, à +10,6 %.

 

Malgré ces nouvelles économiques relativement positives, la Commission européenne reste cependant sur ses gardes en raison de l’incertitude géopolitique qui règne actuellement à différents endroits du globe.

Quant à la France, Eurostat table en 2024 sur une croissance de 0,7% en 2024, et 1,3% en 2025.

Croissance : confirmation d’une petite hausse dans l’Union européenne

Croissance : confirmation d’une petite hausse dans l’union européenne

Une toute petite croissance de 0,8 % en 2024 pour la zone euro mais qui pourrait être bousculée par l’environnement géopolitique.

Ce mercredi, la Commission européenne a confirmé sa prévision d’une croissance de 0,8% en 2024 en zone euro, assortie d’une inflation plus faible que prévu à 2,5% (contre 2,7% anticipés jusqu’ici).

 

Selon l’estimation provisoire d’Eurostat publiée en fin de matinée, au premier trimestre de 2024, le PIB a ainsi augmenté de 0,3 % dans l’UE, le chiffre étant le même dans la zone euro. « Cette croissance, qui s’appuie sur une large base dans l’ensemble des États membres, marque la fin d’une période prolongée de stagnation économique qui avait commencé au dernier trimestre de 2022 », analyse la Commission.

Selon l’exécutif européen, cette dynamique lui permet de tabler, en 2024, sur une croissance du PIB de 1,0 % dans l’UE, et 0,8 % en zone euro. Encore plus loin dans le temps, en 2025, la Commission table sur un PIB qui devrait augmenter à 1,6 % dans l’UE et à 1,4 % dans la zone euro. Pour mémoire, l’année dernière, la zone euro s’est enlisée dans la stagnation, la progression de PIB plafonnant à 0,4%.

Par ailleurs, la Commission s’attend à un rebond des échanges qui devrait soutenir les exportations alors que l’économie mondiale fait preuve de résilience. « Cependant, étant donné la reprise de la demande intérieure dans l’UE, une augmentation des importations compensera largement la contribution positive des exportations à la croissance », précise la Commission européenne.

La commission souligne le ralentissement plus net que prévu des prix à la consommation, avec la perspective de se rapprocher de la cible de 2% fixée par la BCE. D’après Eurostat, en zone euro, l’inflation devrait atteindre 2,4 % en avril cette année, son point le plus bas depuis deux ans.

De sorte qu’en 2024, elle devrait atteindre 2,5 % au niveau annuel (contre 5,4 % en 2023), puis 2,1 % en 2025. En élargissant cette statistique à l’UE, la Commission table sur une inflation à 2,7 % en 2024 (contre 6,4 % en 2023), puis à 2,2 % en 2025. Pour rappel, en zone euro, le dernier pic inflationniste a été enregistré en octobre 2022, à +10,6 %.

 

Malgré ces nouvelles économiques relativement positives, la Commission européenne reste cependant sur ses gardes en raison de l’incertitude géopolitique qui règne actuellement à différents endroits du globe.

Quant à la France, Eurostat table en 2024 sur une croissance de 0,7% en 2024, et 1,3% en 2025.

Croissance: Une petite hausse de 0.2% au premier trimestre ( BDF)

Croissance:  Une petite hausse de 0.2% au premier trimestre ( BDF)

 La Banque de France réaffirme sa prévision de croissance de 0,2 % au premier trimestre ( après 0,1 % au trimestre précédent). Une hausse qui serait due essentiellement au service et sans doute sûrement à la vague de hausse des prix dans ce domaine.

« Selon les chefs d’entreprise participant à notre enquête (…), l’activité aurait  progressé en mars dans les services marchands, notamment ceux orientés vers les ménages, et est restée stable dans l’industrie et le bâtiment », note la BdF dans son enquête réalisée auprès d’environ 8.500 entreprises.

Les prix des matières premières et des produits finis poursuivent leur déclin, tandis que les tensions en mer Rouge n’entraînent pas de hausse des tensions d’approvisionnement dans l’ensemble, indique la BdF.

La BdF constate par ailleurs une normalisation du comportement de fixation des prix, les fréquences de hausses de prix revenant pour l’ensemble des secteurs à leurs niveaux pré-Covid.

Notons ici qu’on parle de fréquence de révision des prix et non de niveaux des prix !

 

Une petite croissance de 0.2% au premier trimestre ( BDF)

Une petite croissance de 0.2% au premier trimestre ( BDF)

 La Banque de France réaffirme sa prévision de croissance de 0,2 % au premier trimestre ( après 0,1 % au trimestre précédent). Une hausse qui serait due essentiellement au service et sans doute sûrement à la vague de hausse des prix dans ce domaine.

« Selon les chefs d’entreprise participant à notre enquête (…), l’activité aurait  progressé en mars dans les services marchands, notamment ceux orientés vers les ménages, et est restée stable dans l’industrie et le bâtiment », note la BdF dans son enquête réalisée auprès d’environ 8.500 entreprises.

Les prix des matières premières et des produits finis poursuivent leur déclin, tandis que les tensions en mer Rouge n’entraînent pas de hausse des tensions d’approvisionnement dans l’ensemble, indique la BdF.

La BdF constate par ailleurs une normalisation du comportement de fixation des prix, les fréquences de hausses de prix revenant pour l’ensemble des secteurs à leurs niveaux pré-Covid.

Notons ici qu’on parle de fréquence de révision des prix et non de niveaux des prix !

 

Une petite taxe sur les profits pour compenser la grosse taxe sociale

Une petite taxe sur les profits pour compenser la grosse ponction  sociale

 

Autant le premier ministre a été clair et offensif sur la nécessité de réduire certaines dépenses sociales notamment concernant les chômeurs autant il a été discret sur l’éventualité d’une petite taxe sur les profits. C’est tout juste s’il a évoqué la question en indiquant que rien n’était exclu. La vérité sans doute c’est que la réduction des dépenses sociales s’effectuerait notamment à travers une fiscalité qui comporte une large assiette et dont le rendement serait très important. À l’inverse une taxe sur les riches s’exercerait sur une assiette très réduite mais très symbolique avec cependant un rendement faible. L’action du gouvernement pour réduire la dette passerait à la fois par une réduction des dépenses comme celle du régime d’allocation chômage mais aussi par la fiscalité et le blocage des revenus.

La taxe sur les profits sera là pour donner une caution sociale au plan de rigueur qui concernera le plus grand nombre.

En plein débat sur le dérapage des finances publiques, le chef du gouvernement a timidement ouvert la porte à une taxation sur les superprofits ( 150 milliards pour les plus grandes entreprises en 2023) . Après une brèche ouverte par la présidente (Renaissance) de l’Assemblée nationale, Yaël Braun Pivet, la semaine dernière, Gabriel Attal a déclaré ce jeudi « ne pas avoir de dogme, ni de tabou sur les profits exceptionnels liés à des situations de crise ».

Cette annonce intervient en pleine crise des finances publiques, amplifiée par les mauvais chiffres du déficit de 2023 à 5,5% du PIB, contre 4,9% initialement dévoilés mardi dernier. Faute de croissance économique, les recettes ont plongé l’année dernière précipitant le solde des finances publiques dans le rouge.

Economie France : Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Economie France : Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Le produit intérieur brut (PIB) de la France devrait croître de 0,2% au dernier trimestre de l’année 2023, a indiqué mercredi 10 janvier la Banque de France, révisant en hausse sa précédente estimation de croissance (0,1%). Si jamais les 0,2% attendus par la Banque de France au quatrième trimestre se confirmaient et que le chiffre de croissance des trois autres trimestres de l’année 2023 n’était pas révisé, la croissance française pour l’ensemble de l’année atteindrait alors 0,9%, a expliqué Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

Le gouvernement parie, lui, sur une croissance d’1% en 2023, après 2,5% en 2022. La révision à la hausse de la croissance du 4e trimestre résulte d’une «bonne surprise sur l’activité en décembre», qui a progressé à une vitesse «un peu plus soutenue que ce qui était anticipé» par les chefs d’entreprise, selon Olivier Garnier. L’industrie a ainsi connu une expansion de son activité, en particulier dans la chimie, la pharmacie, l’automobile et la métallurgie, là où les patrons s’attendaient plutôt à un tassement.

Dans les services, la croissance de l’activité a été plus forte que prévu en décembre. Enfin, dans le bâtiment, l’activité a continué de progresser dans le second œuvre et s’est stabilisée dans le gros œuvre.

Pour le mois de janvier» 2024, l’activité progresserait, mais moins vite qu’en décembre, dans l’industrie et les services, tandis que celle du bâtiment se contracterait. Le pessimisme règne sur les carnets de commandes: dans le gros œuvre, ils ont atteint en décembre leur plus bas niveau depuis septembre 2014.

Economie: Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Economie: Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Le produit intérieur brut (PIB) de la France devrait croître de 0,2% au dernier trimestre de l’année 2023, a indiqué mercredi 10 janvier la Banque de France, révisant en hausse sa précédente estimation de croissance (0,1%). Si jamais les 0,2% attendus par la Banque de France au quatrième trimestre se confirmaient et que le chiffre de croissance des trois autres trimestres de l’année 2023 n’était pas révisé, la croissance française pour l’ensemble de l’année atteindrait alors 0,9%, a expliqué Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

Le gouvernement parie, lui, sur une croissance d’1% en 2023, après 2,5% en 2022. La révision à la hausse de la croissance du 4e trimestre résulte d’une «bonne surprise sur l’activité en décembre», qui a progressé à une vitesse «un peu plus soutenue que ce qui était anticipé» par les chefs d’entreprise, selon Olivier Garnier. L’industrie a ainsi connu une expansion de son activité, en particulier dans la chimie, la pharmacie, l’automobile et la métallurgie, là où les patrons s’attendaient plutôt à un tassement.

Dans les services, la croissance de l’activité a été plus forte que prévu en décembre. Enfin, dans le bâtiment, l’activité a continué de progresser dans le second œuvre et s’est stabilisée dans le gros œuvre.

Pour le mois de janvier» 2024, l’activité progresserait, mais moins vite qu’en décembre, dans l’industrie et les services, tandis que celle du bâtiment se contracterait. Le pessimisme règne sur les carnets de commandes: dans le gros œuvre, ils ont atteint en décembre leur plus bas niveau depuis septembre 2014.

Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Le produit intérieur brut (PIB) de la France devrait croître de 0,2% au dernier trimestre de l’année 2023, a indiqué mercredi 10 janvier la Banque de France, révisant en hausse sa précédente estimation de croissance (0,1%). Si jamais les 0,2% attendus par la Banque de France au quatrième trimestre se confirmaient et que le chiffre de croissance des trois autres trimestres de l’année 2023 n’était pas révisé, la croissance française pour l’ensemble de l’année atteindrait alors 0,9%, a expliqué Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

Le gouvernement parie, lui, sur une croissance d’1% en 2023, après 2,5% en 2022. La révision à la hausse de la croissance du 4e trimestre résulte d’une «bonne surprise sur l’activité en décembre», qui a progressé à une vitesse «un peu plus soutenue que ce qui était anticipé» par les chefs d’entreprise, selon Olivier Garnier. L’industrie a ainsi connu une expansion de son activité, en particulier dans la chimie, la pharmacie, l’automobile et la métallurgie, là où les patrons s’attendaient plutôt à un tassement.

Dans les services, la croissance de l’activité a été plus forte que prévu en décembre. Enfin, dans le bâtiment, l’activité a continué de progresser dans le second œuvre et s’est stabilisée dans le gros œuvre.

Pour le mois de janvier» 2024, l’activité progresserait, mais moins vite qu’en décembre, dans l’industrie et les services, tandis que celle du bâtiment se contracterait. Le pessimisme règne sur les carnets de commandes: dans le gros œuvre, ils ont atteint en décembre leur plus bas niveau depuis septembre 2014.

Croissance deuxième trimestre : petite hausse …fragile

Croissance deuxième trimestre : petite hausse …fragile

Hausse du PIB de 0,5 % au 2e trimestre, surtout grâce à l’exportation livraison d’un paquebot. Bercy confirme sa prévision d’une croissance de 1 % en 2023.

Une inquiétude toutefois pour l’avenir: la faiblesse de la consommation.

La consommation des ménages a fléchi de 0,4 % au deuxième trimestre, avec un repli marqué de 2,7 % dans l’alimentaire et malgré une relance de 0,9 % sur le mois de juin. Elle recule pour le sixième trimestre de suite, toujours affecté par une inflation à deux chiffres. Dans une publication distincte, l’Insee a toutefois fait état d’un net rebond (2,5 %) de la consommation alimentaire sur le seul mois de juin.

La hausse des prix à la consommation a une nouvelle fois ralenti en juillet, s’établissant à 4,3 % sur un an après avoir atteint 4,5 % en juin et plus de 6 % en début d’année, a également annoncé l’Insee. Cette décélération s’explique à la fois par une moindre augmentation des prix alimentaires (hausse de 12,6 % sur un an, contre 13,7 % en juin) et un recul plus marqué qu’en juin des prix de l’énergie (baisse de 3,8 %, contre 3 % précédemment).

Economie-Croissance deuxième trimestre : petite hausse …fragile

Economie-Croissance deuxième trimestre : petite hausse …fragile

Hausse du PIB de 0,5 % au 2e trimestre, surtout grâce à l’exportation livraison d’un paquebot. Bercy confirme sa prévision d’une croissance de 1 % en 2023.

Une inquiétude toutefois pour l’avenir la faiblesse de la consommation.

La consommation des ménages a fléchi de 0,4 % au deuxième trimestre, avec un repli marqué de 2,7 % dans l’alimentaire et malgré une relance de 0,9 % sur le mois de juin. Elle recule pour le sixième trimestre de suite, toujours affecté par une inflation à deux chiffres. Dans une publication distincte, l’Insee a toutefois fait état d’un net rebond (2,5 %) de la consommation alimentaire sur le seul mois de juin.

La hausse des prix à la consommation a une nouvelle fois ralenti en juillet, s’établissant à 4,3 % sur un an après avoir atteint 4,5 % en juin et plus de 6 % en début d’année, a également annoncé l’Insee. Cette décélération s’explique à la fois par une moindre augmentation des prix alimentaires (hausse de 12,6 % sur un an, contre 13,7 % en juin) et un recul plus marqué qu’en juin des prix de l’énergie (baisse de 3,8 %, contre 3 % précédemment).

Croissance deuxième trimestre : petite hausse

Croissance deuxième trimestre : petite hausse

Hausse du PIB de 0,5 % au 2e trimestre, surtout grâce à l’exportation livraison d’un paquebot. Bercy confirme sa prévision d’une croissance de 1 % en 2023.

Une inquiétude toutefois pour l’avenir la faiblesse de la consommation.

La consommation des ménages a fléchi de 0,4 % au deuxième trimestre, avec un repli marqué de 2,7 % dans l’alimentaire et malgré une relance de 0,9 % sur le mois de juin. Elle recule pour le sixième trimestre de suite, toujours affecté par une inflation à deux chiffres. Dans une publication distincte, l’Insee a toutefois fait état d’un net rebond (2,5 %) de la consommation alimentaire sur le seul mois de juin.

La hausse des prix à la consommation a une nouvelle fois ralenti en juillet, s’établissant à 4,3 % sur un an après avoir atteint 4,5 % en juin et plus de 6 % en début d’année, a également annoncé l’Insee. Cette décélération s’explique à la fois par une moindre augmentation des prix alimentaires (hausse de 12,6 % sur un an, contre 13,7 % en juin) et un recul plus marqué qu’en juin des prix de l’énergie (baisse de 3,8 %, contre 3 % précédemment).

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