Archive pour le Tag '‘unité'

Terrorisme : une unité de façade au plan européen

Terrorisme : une unité de façade au plan européen

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que la rencontre entre le président français, le chancelier autrichien- en vidéoconférence avec la chancelière allemande Angela Merkel, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte, le président du Conseil européen Charles Michel et la présidente de la Commission européenne, Ursula van der Leyen n’a pas débouché sur grand-chose.

Comme d’habitude, on s’est surtout attaché  à proclamer l’importance des valeurs démocratiques de l’Europe mais le sujet central de la mobilité et du contrôle des frontières n’a pas été traité ni même abordé. Tout au plus Ursula van der Leyen, la présidente de la commission, a-t-elle promis un vague plan pour le 9 décembre.

Parallèlement , Macron s’est exprimé dans les médias en insistant sur la question de la remise en cause de Schengen plus exactement de son aménagement. Un dispositif passoire qui permet à l’immigration illégale de ce déplacer dans n’importe quel pays d’Europe dès lors qu’elle est enregistrée dans le premier pays d’accueil.

Il ne s’agit sans doute pas d’interdire l’immigration mais d’organiser sa régulation à partir notamment de quotas pour des raisons économiques et à partir de vrais critères rigoureux pour les réfugiés politiques.

Macron qui n’a jamais non plus porté beaucoup d’intérêt à cette question depuis son élection est sans doute sensible au fait  qu’un sondage IFOP pour Sud-Radio et la chaîne télé CNews  montre que 80 à 90 % des Français souhaitent l’expulsion des individus étrangers des fichiers S et la déchéance de nationalité pour les délinquants binationaux.

Pour l’instant l’Europe s’en tient à des discours convenus rapportés par les médias officiels:

Lors d’une conférence de presse commune, tous ont souligné l’importance de défendre les valeurs et les libertés fondamentales de l’Europe. Ces attaques “sont contre notre art de vivre, notre liberté, elles sont destinées à semer angoisse et terreur”, a dit la chancelière Angela Merkel. “Il ne s’agit pas d’un combat entre l’islam et la chrétienté. Ce qui est en cause c’est de défendre le modèle de société démocratique”, a-t-elle ajouté.Charles Michel est revenu sur l’importance de “faire reculer l’apologie du terrorisme” via un combat contre les messages de haine en ligne et une meilleure formation des imams en Europe.

Ursula van der Leyen a annoncé pour le 9 décembre un nouveau projet de la commission visant à lutter contre le terrorisme en Europe. Elle a souligné l’importance d’”agir à la racine du mal” en faisant en sorte que “les jeunes aient une vision et une perspective pour l’avenir”.

Coupe du monde de foot : enfin un court moment d’unité et d’espérance dans un paysage d’une tristesse à mourir

Coupe du monde de foot : enfin un court moment d’unité et d’espérance dans un paysage d’une tristesse à mourir

Pourquoi autant d’enthousiasme maintenant autour de l’équipe de France de foot dans le cadre de la coupe du monde. Sans doute parce qu’il y a dans ce pays un énorme besoin d’espérer, de se libérer de sortir de cette morosité qui caractérise l’environnement économique, social et politique. L’élection de Macron avait fait naître beaucoup d’espoirs chez certains qui espérait l’émergence d’un monde un peu différent, porteur de plus de dynamisme mais aussi de justice. Hélas un an après,  nombre d’espérances sont déçues. Certes Macon engage nombre de réformes mais il le fait sans le soutien actif des acteurs et même sans les consulter. Sa politique dont  certains éléments sont sans doute nécessaires manquent cruellement d’adhésion active des plus concernés et souffrent d’un déséquilibre entre décisions  économique et mesures sociales. Le plus grave sans doute c’est que Macon ne suscite pas l’enthousiasme. Il se comporte comme un monarque républicain certes dynamique mais triste. Triste aussi comme la plupart de ses ministres, de ses parlementaires ou de son parti en marche. Tous ont davantage des profils de notaires, de comptables ou d’huissiers plutôt que de manager des forces vives de la nation. Bref, la France n’a guère le moral et cela se retrouve dans les sondages concernant aussi bien le personnel politique que les Français eux-mêmes. Du coup partager même pendant une très courte période un moment d’enthousiasme, de fierté de rassemblement national sera toujours sera toujours ça de pris dans un paysage socio-économique d’une aussi morne grisaille. Bien entendu d’ici 15 jours comment en 98, la plus récente victoire du monde de l’équipe de France de foot, les réalités reprendront le pas. En attendant il faut goûter avec la plus grande gourmandise, c’est éphémère mouvement de joie partagée.

Coupe du monde de foot : enfin un court moment d’unité et d’espérance dans un paysage d’une tristesse à mourir

Coupe du monde de foot : enfin un court moment d’unité et d’espérance dans un paysage d’une tristesse à mourir

Pourquoi autant d’enthousiasme maintenant autour de l’équipe de France de foot dans le cadre de la coupe du monde. Sans doute parce qu’il y a dans ce pays un énorme besoin d’espérer, de se libérer de sortir de cette morosité qui caractérise l’environnement économique, social et politique. L’élection de Macron avait fait naître beaucoup d’espoirs chez certains qui espérait l’émergence d’un monde un peu différent, porteur de plus de dynamisme mais aussi de justice. Hélas un an après,  nombre d’espérances sont déçues. Certes Macon engage nombre de réformes mais il le fait sans le soutien actif des acteurs et même sans les consulter. Sa politique dont  certains éléments sont sans doute nécessaires manquent cruellement d’adhésion active des plus concernés et souffrent d’un déséquilibre entre décisions  économique et mesures sociales. Le plus grave sans doute c’est que Macon ne suscite pas l’enthousiasme. Il se comporte comme un monarque républicain certes dynamique mais triste. Triste aussi comme la plupart de ses ministres, de ses parlementaires ou de son parti en marche. Tous ont davantage des profils de notaires, de comptables ou d’huissiers plutôt que de manager des forces vives de la nation. Bref, la France n’a guère le moral et cela se retrouve dans les sondages concernant aussi bien le personnel politique que les Français eux-mêmes. Du coup partager même pendant une très courte période un moment d’enthousiasme, de fierté de rassemblement national sera toujours sera toujours ça de pris dans un paysage socio-économique d’une aussi morne grisaille. Bien entendu d’ici 15 jours comment en 98, la plus récente victoire du monde de l’équipe de France de foot, les réalités reprendront le pas. En attendant il faut goûter avec la plus grande gourmandise, c’est éphémère mouvement de joie partagée.

Grève SNCF : unité syndicale….. Jusqu’au 28 juin

Grève SNCF : unité syndicale….. Jusqu’au 28 juin

 

 

Il est vraisemblable que l’unit syndicale ne tiendra pas au-delà du 28 juin dernier jour d’action  prévu pas intersyndicale ; de toute manière la mobilisation va s’éteindre progressivement d’autant que les divergences  sont nettement apparues entre les différents syndicats. Le début du conflit le 3 avril. La CGT, CFDT, l’UNSA et Sud Rail se rencontraient pour une nouvelle réunion sur l’avenir de la grève intermittente annoncée initialement pour durer jusqu’au 28 juin. Le climat est toutefois particulièrement tendu entre les quatre organisations. Sud Rail, la CGT et l’UNSA reprochent à la CFDT d’avoir annoncé sans concertation qu’elle souhaitait une trêve de la grève pendant la semaine du baccalauréat afin d’acheminer les jeunes vers les épreuves. Pour le secrétaire fédéral de Sud Rail, Bruno Poncet, il faut “mettre la pression sur le gouvernement” pour “gagner le retrait de cette réforme” plutôt que de parler de suspension. Il a fait savoir pendant la réunion qu’il “ne voyait pas l’intérêt d’une interfédérale” si la CFDT maintenait son appel. L’UNSA, pour sa part, lui reproche sa volte-face sur le sujet, alors qu’elle avait elle-même fait cette proposition lors de la dernière rencontre intersyndicale. Elle estime que la CFDT met “en porte-à-faux” l’union syndicale. “Nous, on a toujours eu cette volonté de travailler jusqu’au bout du conflit en intersyndicale. Aujourd’hui, force est de constater que certains ont pris un autre chemin”, a déclaré le secrétaire général de la fédération, Roger Dillenseger. Plusieurs dizaines de cheminots grévistes se sont retrouvés devant les locaux de la SNCF où se tient cette rencontre, dans le dixième arrondissement de Paris, pour manifester leurs craintes face à un arrêt possible du mouvement. Certains ont tenté de forcer l’entrée du bâtiment. A l’issue de la rencontre, la CGT-Cheminots a voulu se montrer rassurante quant à la force du mouvement. “Les organisations syndicales, CGT, UNSA, Sud Rail et CFDT ont analysé l’état du rapport de force qui démontre que les cheminots sont toujours hostiles à la réforme”, a déclaré son secrétaire général, Laurent Brun. Il a appelé les cheminots à “se mobiliser massivement” sur la journée du 28 juin, dernière date prévue de la grève, pour montrer qu’ils restaient “déterminés” et a prévenu que si la tripartite du 15 juin était “improductive”, de nouvelles mobilisations seraient programmées. Les députés français ont adopté mercredi, à une large majorité de 452 voix contre 80, la réforme de la SNCF appelée à entrer en vigueur le 1er janvier 2020. Issu de l’accord trouvé lundi en commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat, le texte doit être définitivement entériné jeudi par un vote en séance à la chambre haute.

« L’état d’urgence et l’unité nationale : ne peuvent être les seules réponses »(Larcher)

« L’état d’urgence et l’unité nationale : ne peuvent être les seules réponses »(Larcher)

Dans une interview JDD Gérard Larcher, président du Sénat estime à juste titre que l’État d’urgence et l’unité nationale sont insuffisants pour faire face au terrorisme. Un constat sans doute juste mais Gérard Larcher n’apporte pourtant pas grand-chose comme solution hormis la mise en œuvre de dispositions législatives bien dérisoires face  à l’enjeu de la guerre terroriste. La preuve sans doute que les plus hauts responsables sont à peu près dans le même état de désarroi que la population elle-même. On aurait sans doute aimé que Gérard Larcher s’explique davantage sur un concept d’État d’urgence visiblement mal adaptée à la situation.

 

 Pour Gérard Larcher, président du Sénat, et deuxième personnage de l’Etat, « il n’y a pas une France de gauche et une France de droite, il y a une France meurtrie ». Extraits.
 

Etes-vous favorable à la prolongation de trois mois de l’état d’urgence?
Par solidarité, par nécessité, oui, j’y suis favorable mais l’état d’urgence et l’unité nationale ne peuvent être les seules réponses à chaque fois qu’un attentat se produit. Les Français attendent plus du président de la République et du gouvernement.

L’arsenal législatif en vigueur actuellement est-il suffisant?
Au Sénat, nous avons voté le 3 juin un texte de loi qui est un dispositif très davantage sur un concept d’État d’urgence visiblement mal adaptée à la situation s complet en matière de perquisitions, d’assignations à résidence ou de traitement de la radicalisation sur Internet. Reste une question qui ne peut être réglée par la seule loi : qu’en est-il de nos services de renseignement? C’est sur ce terrain que nous devons concentrer nos efforts. Car nos forces de sécurité, il faut en être conscient, sont fatiguées, épuisées.

Que proposez-vous concrètement?
Agir!… D’abord que tous les décrets permettant de mettre en œuvre la loi du 3 juin [renforçant la lutte contre le terrorisme] qui sont prêts soient appliqués. Est-ce qu’on donne la possibilité au ministère de l’Intérieur d’assigner à résidence une personne qui revient d’un territoire où interviennent des groupes terroristes? Oui. De procéder à une retenue administrative quand il y a des raisons de penser que le comportement d’un individu est lié à des activités terroristes? Oui. De faire en sorte que consulter des sites djihadistes sur Internet soit un délit? Oui. Il faut renforcer les moyens d’enquête en matière d’écoute et de perquisitions. Il faut porter notre effort de défense à 2% du PIB, au lieu de 1,5% aujourd’hui. Il faut aussi, j’insiste, développer les moyens de renseignement de la police et de la gendarmerie ainsi que les moyens européens, comme Europol.

 

Corse : « Ne pas attendre de nous d’être garants de l’unité de la république » (Talamoni)… tu m’étonnes !

Corse : « Ne pas attendre de nous d’être garants de l’unité de la république » (Talamoni)… tu m’étonnes !

Alors que la Corse est comme sur le continent en prise avec des conflits identitaires, Talamoni ne peut s’empêcher d’en rajouter une couche comme s’il était déjà investi de la mission de négocier l’indépendance de la Corse.  Faut-il d’abord rappeler qu’il n’a aucune compétence pour traiter des questions régaliennes aussi que la » très grande majorité » des corses  indépendantistes est à laquelle il se réfère ne représente que 5 % des électeurs.  De ce point de vue l’amalgame pernicieux qu’il opère  entre indépendantistes et autonomistes vise  sans doute à cacher sa très faible représentativité.  À l’occasion de la visite du ministre de l’intérieur, il aurait mieux fait une nouvelle fois de se taire, lui, le Mandela d’opérette du peuple corse, pourtant élu de la république et  qui veut rendre officielle une langue comprise par moins de 10 % de la population !  .Bernard Cazeneuve s’est donc rendu à Ajaccio mercredi dans le quartier sensible où des pompiers avaient été agressés la nuit de Noël, ce qui avait provoqué plusieurs jours de manifestations et de débordements racistes. Le ministre de l’Intérieur a affiché la fermeté du gouvernement et rencontré les responsables locaux. « Un échange apaisé », selon le président de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni.  Bernard Cazeneuve a condamné dans un discours ce midi à Ajaccio les agressions de deux pompiers et d’un policier le 24 décembre dans un quartier sensible de la ville et les « violences gratuites » qui ternissent l’image de la Corse. Le ministre de l’Intérieur a aussi martelé combien le respect et la fraternité sont d’importantes valeurs. Il a satisfait l’Assemblée en annonçant un plan d’action pour le quartier des Jardins de l’Empereur, avec à la fois plus de sécurité dans la copropriété, et plus de moyens pour les associations du quartier. Pour le président de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni, « le ministre de l’Intérieur est venu prendre acte de l’apaisement qui était opéré depuis plusieurs heures et auquel nous (les élus locaux) avons largement contribué et c’est très bien« , a-t-il réagi mercredi soir sur France info. « Cela nous a donné l’occasion d’avoir un échange avec lui à la préfecture. Un échange apaisé au cours duquel nous avons réaffirmé que nous étions disponibles pour le dialogue, que nous avons été mandatés par les Corses pour défendre un certain nombre d’idées et que, bien entendu, c’est sur la base de ce mandat que nous voulons discuter avec Paris dans les semaines à venir« , indique-t-il. « Mais encore une fois, nous pensons qu’il faut aujourd’hui construire de façon apaisée un dialogue qui permette de mettre en place les bases d’une solution politique de manière générale« , poursuit Jean-Guy Talamoni. « L’Etat doit incarner et faire respecter l’unité de la République tout en prenant en compte la riche singularité de votre île« , a également insisté le ministre de l’Intérieur, tout en prenant soin de féliciter les élus nationalistes pour leur victoire aux régionales et de leur adresser ses vœux de succès.  »Je crois que personne n’attend de nous que nous soyons garants de l’unité de la République française« , répond  Jean-Guy Talamoni.

PS-référendum sur l’unité de la gauche : un bide annoncé et confirmé

PS-référendum sur  l’unité de la gauche : un bide annoncé et confirmé

 

 

Des chiffres tout à faiat approximatifs et finalemenet faibles. Une question ambigüe et au final une consultation qui n’apporte strictement rien. Près de 90% de votants auraient  dit « oui » à l’union de la gauche et des écologistes pour les élections régionales de décembre lors du référendum organisé par le Parti socialiste, selon des estimations annoncées dimanche par Jean-Christophe Cambadélis. Au total, 251.327 personnes (135.027 dans les points de vote, 116.300 sur internet) ont répondu à la question « Face à la droite et à l’extrême droite, souhaitez-vous l’unité de la gauche et des écologistes aux élections régionales? » Selon les estimations livrées par le premier secrétaire du PS, qui espérait une participation de 200.000 à 300.000 votants, 89,74% ont dit « oui », 10,26% ont dit « non ». Pudiquement, sur le site créé pour ce référendum, le PS explique que dans les fédérations de Charente, Cotes d’Armor, Creuse, Finistère, Ille-et-Vilaine, Landes, Meuse, Nièvre, Somme et Tarn-et-Garonne, l’adresse des points de vote est… «À venir». Dans la Nièvre aussi, on avait, semble-t-il, mieux à faire. «La réaction spontanée de plein de militants, c’est que ce truc ne servait à rien et n’avait ni queue ni tête. Personne ne voulait l’organiser. Moi-même, je ne voulais pas perdre de temps avec cette connerie», confie le responsable du PS dans la Nièvre, Sylvain Mathieu.

Vote de confiance : Aubry pas pour l’unité mais pour l’indépendance de chacun

Vote de confiance : Aubry pas pour l’unité mais pour l’indépendance de chacun

Un sérieux avertissement pour Valls (qui n’exclut pas un accident lors du vote)  de la part d’Aubry ; « L’unité ne veut rien dire, j’ai été premier secrétaire du PS », a-t-elle rappelé. Et de marteler qu »‘on fait l’unité en parlant du fond, on ne fait pas l’unité en disant ‘unité, unité, unité’. On fait l’unité sur un projet, on fait l’unité sur des valeurs, sur un sens et sur des réponses ». Elle a aussi réaffirmé son souhait de « contribuer à ce que nous nous mettions tous d’accord effectivement sur des propositions qui permettent des résultats en matière de croissance, en matière d’emploi tout en réduisant les déficits ». Dimanche dernier, sur Europe 1, quand on lui demandait  si elle voterait la question de confiance à Manuel Valls, elle avait botté en touche, répondant simplement : « Je ne suis pas député. » Depuis le week end dernier, la maire de Lille et Manuel Valls s’affrontent par médias interposés. Lundi, Martine Aubry avait appelé le chef du gouvernement à ne « pas se crisper », et avait tenté de calmer le jeu. La veille, l’ancienne première secrétaire du PS avait déclaré qu’elle allait faire des propositions pour infléchir la politique économique « dans les semaines qui viennent », afin que « la croissance revienne ». « Il faut faire des réformes, mais nous ne faisons pas d’austérité », lui avait rétorqué dans la foulée Manuel Valls depuis l’Italie. « Martine Aubry, comme chacun le sait parfaitement, a bénéficié d’enseignants en plus, de policiers en plus à Lille. C’est ça l’austérité? C’est quoi un infléchissement?, avait-il insisté. Ce que j’attends des socialistes (…) c’est de faire corps, nos divisions, elles minent. » Il y a quinze jours, Manuel Valls et Martine Aubry s’étaient déjà opposés sur l’encadrement des loyers. Le Premier ministre souhaitait limiter l’encadrement des loyers qu’à la capitale. La maire de Lille avait, elle, demandé que cette mesure emblématique de la loi Alur (la loi Duflot) soit appliquée dans la ville qu’elle administre. Ce que le chef du gouvernement avait fini par accepter.

 




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