Archive pour le Tag 'Vote'

Vote à l’ONU : les États-Unis rejoignent le camp des gangsters

Vote à l’ONU : les États-Unis rejoignent le camp des gangsters

Lundi, trois ans après le début de la guerre en Ukraine, les États-Unis se sont alliés à la Russie – mais aussi à la Corée du Nord – pour la première fois dans le cadre de plusieurs votes à l’ONU portant sur un projet de paix en Ukraine. Ce nouveau positionnement entérine la fin du soutien américain à Kiev, qui était constant sous l’administration Joe Biden depuis le lancement de l’invasion russe. Ces votes esquissent par la même occasion une rupture entre Washington et les pays occidentaux.

 

Automobile électrique–l’assemblée ne vote pas l’interdiction des moteurs thermiques en 2035

Automobile électrique–l’assemblée ne vote pas l’interdiction des moteurs thermiques en 2035

 

L’Assemblée nationale a rejeté l’article d’un projet de loi transposant cette échéance européenne de 2035en droit français.

Pourra-t-on toujours acheter des véhicules thermiques neufs en France après 2035 ? L’Assemblée nationale a voté, lundi 17 février, la suppression d’un article transposant cette nouvelle échéance européenne, à la place du précédent objectif de 2040. Les députés LR, RN et même une élue macroniste ont défendu contre l’avis du gouvernement des amendements de suppression de cette mesure, estimant que les constructeurs automobiles européens ne sont pas prêts et que les véhicules électriques sont encore trop chers.

Budget: vote lundi

Budget: vote lundi

François Bayrou aura recours à lundi à l’article 49.3 de la Constitution pour faire adopter à l’Assemblée nationale le projet de loi de finances (PLF) 2025. 

 

« Maintenant, il faut passer sans tarder à l’adoption. Un pays comme le nôtre ne peut pas rester sans budget. Le seul moyen, c’est d’engager la responsabilité du gouvernement. Ce sera fait ce lundi », a déclaré le Premier ministre au quotidien.

François Bayrou entend aussi engager la responsabilité de son gouvernement sur ce texte « sans retard », en raison d’un « devoir d’urgence ».

« Si tout va bien, dans dix jours, la France aura enfin les budgets indispensables à la vie de la nation », affirme-t-il à la Tribune dimanche.

A la question de savoir s’il craint une censure de son gouvernement en réaction, le Premier ministre met en avant « la colère » prévisible des Français.

Le chef du gouvernement a par ailleurs réitéré sa promesse d’un déficit en 2025 de 5,4%.

Finances publiques : vote sur le budget lundi

Finances publiques : vote sur le budget lundi

François Bayrou aura recours à lundi à l’article 49.3 de la Constitution pour faire adopter à l’Assemblée nationale le projet de loi de finances (PLF) 2025. 

 

« Maintenant, il faut passer sans tarder à l’adoption. Un pays comme le nôtre ne peut pas rester sans budget. Le seul moyen, c’est d’engager la responsabilité du gouvernement. Ce sera fait ce lundi », a déclaré le Premier ministre au quotidien.

François Bayrou entend aussi engager la responsabilité de son gouvernement sur ce texte « sans retard », en raison d’un « devoir d’urgence ».

« Si tout va bien, dans dix jours, la France aura enfin les budgets indispensables à la vie de la nation », affirme-t-il à la Tribune dimanche.

A la question de savoir s’il craint une censure de son gouvernement en réaction, le Premier ministre met en avant « la colère » prévisible des Français.

Le chef du gouvernement a par ailleurs réitéré sa promesse d’un déficit en 2025 de 5,4%.

Budget sécurité sociale : le Sénat vote un jour de travail non rémunéré

Budget sécurité social : le Sénat vote un jour de travail non rémunéré

 

Faire travailler tous les actifs sans rémunération pendant sept heures de plus par an pour renflouer la Sécurité sociale? C’est la mesure choc adoptée mercredi 20 novembre par le Sénat, qui plaide pour cette «contribution de solidarité», censée rapporter 2,5 milliards d’euros chaque année à destination de l’autonomie; cette mesure, qui viendrait s’ajouter à la «journée de solidarité» déjà pratiquée et fléchée  » théoriquement » vers le grand âge et le handicap. Le gouvernement s’est dit défavorable à cette proposition «à ce stade» mais ouvert pour la «retravailler» avec les partenaires sociaux.

La mesure n’est pas définitive à ce stade, loin de là: elle sera débattue la semaine prochaine lors d’une commission mixte paritaire réunissant députés et sénateurs, chargés de trouver un compromis sur ce texte promis au 49.3 lors de son ultime passage à l’Assemblée nationale. Mais la Haute assemblée et son alliage majoritaire de droite et du centre, soutien précieux du gouvernement de Michel Barnier, a voulu imprimer sa marque sur les débats budgétaires inflammables de l’automne, alors que le gouvernement est en quête de 60 milliards d’euros pour combler le déficit. «Nous ne faisons pas cette proposition de gaîté de cœur», mais «aujourd’hui, il nous faut trouver des moyens» pour «financer le mur du grand âge, le virage domiciliaire et la transformation de nos Ehpad», a insisté la sénatrice centriste Élisabeth Doineau.

 

Budget: vote reporté en attendant le 49-3

Budget: vote reporté en attendant le 49-3

 

Non seulement les députés n’ont pas réussi à tenir les délais pour voter la partie recettes du budget mais qui ont surtout complètement dénaturé le budget initial qui additionne les contradictions grâce y compris à des alliances politiciennes de circonstance qui n’ont rien à voir avec le budget mais avec le positionnement vis-à-vis de futures élections. Il est clair que le gouvernement ne pourra accepter ce texte complètement contradictoire qui  d’ailleurs augmente encore le déficit et accroît même la justice fiscale au final ce sont surtout les ménages qui paieront la facture d’une manière ou d’une autre.

Les députés ont par exemple rejeté la surtaxe sur les grandes entreprises, après que celle-ci avait été largement augmentée par la gauche. Les parlementaires de la Chambre basse ont également supprimé un article prévoyant d’alourdir le «malus» pour les voitures essence et diesel. La hausse de la taxation sur l’électricité a même été abrogée par les députés macronistes eux-mêmes.

Ll gauche a réussi à obtenir un nombre important de victoires mais totalement contradictoire et souvent facteur d’augmentation fiscale.  Elle est notamment parvenue à faire voter un impôt sur le patrimoine des milliardaires, à créer une contribution exceptionnelle sur les dividendes des entreprises du CAC 40, à rendre pérenne la contribution exceptionnelle demandée aux entreprises de fret maritime, et à plafonner à 500 millions d’euros la niche fiscale dont bénéficie ce secteur. Ces modifications ne sont toutefois que temporaires : elles ne seront pas adoptées si l’ensemble de la partie «recettes» est retoqué lors du vote solennel, lorsqu’il aura lieu Car pour l’instant ce vote a été reporté à plus tard compte tenu des milliers d’amendements qui devaient être examinés. Par ailleurs, la majorité sénatoriale, de droite, aura tout loisir, lors de la navette parlementaire, de remanier à son tour le projet de loi. Pour l’instant, il faudra en tout cas patienter….en attendant l’inévitable 49-3.

Abrogation de la réforme des retraites : Pas de vote du PS avec le RN

 

 Abrogation de la réforme des retraites : Pas de vote du PS  avec le RN

Pour les députés PS «la proposition de loi du Rassemblement national abrogeant la réforme des retraites repose sur un triple mensonge» : politique, institutionnel et social. Ils mettent en cause notamment l’absence de groupe RN au Sénat qui empêche toute entrée en vigueur du texte, ainsi que la présence dans leur rang de l’ex-LR Éric Ciotti qui propose «la retraite à 66 ans»

Les députés socialistes annoncent cependant qu’ils déposeront un amendement pour abroger la réforme des retraites d’Emmanuel Macron lors de l’examen du budget de la Sécurité sociale (PLFSS). «Le budget de la Sécurité sociale sera examiné avant la niche du RN et fera toute la navette parlementaire avant la fin de l’année, il est donc le véhicule législatif adéquat pour tenter d’abroger cette réforme». 

Politique-Législatives et vote des jeunes

Politique-Législatives et  vote des jeunes

 

 Selon les enquêtes des instituts de sondage, les 18-24 ans ont voté majoritairement à gauche lors du premier tour des législatives, le RN arrivant en seconde position. Le scrutin a été marqué par une forte hausse de la participation

 

« Les jeunes de 18-24 ans continuent de voter en premier lieu et majoritairement pour la gauche, en deuxième lieu pour le Rassemblement national », résume Jean-Daniel Lévy, directeur délégué d’Harris Interactive. « On a une bipolarisation très marquée entre un vote plutôt social écologiste et un vote national conservateur », et par une « tripartition » dans les autres catégories d’âge, complète Laurent Lardeux.

Lors des dernières européennes, les primo-votants avaient également davantage voté en faveur de La France insoumise (LFI) que les autres tranches d’âge. Idem lors des législatives de 2022, où les 18-24 ans avaient voté à 34,9 % pour la Nupes au premier tour – et 8,7 % pour le reste de la gauche -, à 17,5 % pour le camp Macron et 14,1 % pour le RN.

Les jeunes votant RN habitent plutôt dans « des zones péri-urbaines, font des études plutôt courtes, professionnalisantes », rappelle Tristan Boursier, chercheur à Sciences Po Paris et spécialiste de l’extrême droite. « J’ai le sentiment que c’est un vote davantage contestataire », car ils peuvent avoir la sensation « d’être laissés pour compte ».

 

 

Attal : pas de consigne de vote !

Attal : pas de consigne de vote !

Attal a sans doute l’art de humer avant d’autres l’air du temps. Ainsi il a compris que donner des consignes de vote pourraient être improductifs. Du coup, il en appelle à la conscience simplement de chaque électeur même si par ailleurs il n’a pas hésité à faire des appels nombreux pour ne pas donner de voix au rassemblement national.

 

 

Dans le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, réalisé avant le premier tour, 38% des Français se prononçaient en faveur du candidat RN en cas de duel entre la droite nationaliste et le Nouveau Front populaire dans leur territoire. 25% des électeurs iraient vers la gauche, quel que soit le parti derrière la bannière. 9% des personnes interrogées agiraient de même uniquement si l’étiquette partisane leur convenait. «Chacun est libre (…) de faire des commentaires politiques, des déclarations politiques, a fait valoir le premier ministre. Ceux qui sont le plus libres, ce sont les Français qui décident de leur vote.»

Législatives : le vote des jeunes

Législatives : le vote des jeunes

 

 Selon les enquêtes des instituts de sondage, les 18-24 ans ont voté majoritairement à gauche lors du premier tour des législatives, le RN arrivant en seconde position. Le scrutin a été marqué par une forte hausse de la participation

 

« Les jeunes de 18-24 ans continuent de voter en premier lieu et majoritairement pour la gauche, en deuxième lieu pour le Rassemblement national », résume Jean-Daniel Lévy, directeur délégué d’Harris Interactive. « On a une bipolarisation très marquée entre un vote plutôt social écologiste et un vote national conservateur », et par une « tripartition » dans les autres catégories d’âge, complète Laurent Lardeux.

Lors des dernières européennes, les primo-votants avaient également davantage voté en faveur de La France insoumise (LFI) que les autres tranches d’âge. Idem lors des législatives de 2022, où les 18-24 ans avaient voté à 34,9 % pour la Nupes au premier tour – et 8,7 % pour le reste de la gauche -, à 17,5 % pour le camp Macron et 14,1 % pour le RN.

Les jeunes votant RN habitent plutôt dans « des zones péri-urbaines, font des études plutôt courtes, professionnalisantes », rappelle Tristan Boursier, chercheur à Sciences Po Paris et spécialiste de l’extrême droite. « J’ai le sentiment que c’est un vote davantage contestataire », car ils peuvent avoir la sensation « d’être laissés pour compte ».

 

 

Résultats Législatives: un vote de colère

Résultats Législatives: un vote de colère

 

« Le RN est le parti qui dispose de la base électorale la plus solide et la plus complète« . Selon Stéphane Zumsteeg d’IPSOS, le parti de Jordan Bardella est le « seul à ne pas avoir subi de désamour des Français« . Il le décrit comme « le parti le plus attrape-tout de la classe politique. Il n’y a plus de ligne de faiblesse par sexe, par classe d’âge et même par profession » au sein de cet électorat, assure le sondeur. Pour lui, le vote du RN est « un vote de colère, d’incompréhension de la classe politique, et en partie, peut-être, un vote d’aigreur.

 

C’est une France en colère, ce sont des gens qui ont l’impression de faire partie des classes sociales défavorisées, des gens qui ont du mal à boucler leurs fins de mois« , ajoute-t-il.

Hervé Le Bras estime lui qu’il y a « un côté démocratique » dans le vote pour le RN « qu’il ne faut pas négliger. C’est très difficile de dire quel est le ressort du vote RN. » On mettait souvent en avant la colère, mais là, « une des raisons profondes de ce vote est démocratique. Ce sont des Français, ils le disent souvent, qui ont le sentiment de ne pas être écoutés. »

Législatives: un vote de colère

Législatives: un vote de colère

 

« Le RN est le parti qui dispose de la base électorale la plus solide et la plus complète« . Selon Stéphane Zumsteeg d’IPSOS, le parti de Jordan Bardella est le « seul à ne pas avoir subi de désamour des Français« . Il le décrit comme « le parti le plus attrape-tout de la classe politique. Il n’y a plus de ligne de faiblesse par sexe, par classe d’âge et même par profession » au sein de cet électorat, assure le sondeur. Pour lui, le vote du RN est « un vote de colère, d’incompréhension de la classe politique, et en partie, peut-être, un vote d’aigreur.

 

C’est une France en colère, ce sont des gens qui ont l’impression de faire partie des classes sociales défavorisées, des gens qui ont du mal à boucler leurs fins de mois« , ajoute-t-il.

Hervé Le Bras estime lui qu’il y a « un côté démocratique » dans le vote pour le RN « qu’il ne faut pas négliger. C’est très difficile de dire quel est le ressort du vote RN. » On mettait souvent en avant la colère, mais là, « une des raisons profondes de ce vote est démocratique. Ce sont des Français, ils le disent souvent, qui ont le sentiment de ne pas être écoutés. »

Législatives : surtout un vote contre Macron

Législatives : surtout un vote contre Macron

 

Pour à peu près la moitié de la population, les législatives sont considérées comme un vote de sanction d’abord contre Macron et sa politique. D’une façon plus générale,  il y a une demande d’autorité et de cohérence dans tous les champs  d’intérêt général y compris dans le domaine social. Ce qui ne signifie pas un effacement des nombreuses contradictions dans la population et pour tout dire aussi de certains corporatismes.

Le problème c’est que ce vote sanction risque d’aboutir à une situation de blocage rendant les réformes plus difficiles encore.

Dans le vote sanction on vote davantage contre le pouvoir en place que pour ceux qui se présentent comme des alternatives. Enfin il y a l’argument en faveur du RN  » qu’on n’a jamais essayés ».

Tout cela ne crée pas nécessairement une grande cohérence et il est  même vraisemblable que le pays risque de connaître la chienlit et le chaos entre deux blocs qui vont s’affronter sous différentes formes et pas nécessairement de façon toujours démocratique.

Ce vote exprime surtout le ras-le-bol vis-à-vis des formations à profil gouvernemental depuis des dizaines d’années. Une sorte de mélange de professionnels de la politique et de technocrates coupés du terrain. Du coup, les Français tentent l’expérience avec des nouveaux. Justement ce qui a déjà été fait avec Macron dont on a attendu beaucoup et qui a tellement déçu. Un résultat lié aussi au manque d’expérience et à la jeunesse du personnage qui a confondu monarchie et démocratie.

Le problème de la France et qu’elle est déjà en crise grave d’un point de vue économique

Législatives : surtout un vote sanction contre Macron

Pour à peu près la moitié de la population, les législatives sont considérées comme un vote de sanction d’abord contre Macron et sa politique. D’une façon plus générale,  il y a une demande d’autorité et de cohérence dans tous les champs  d’intérêt général y compris dans le domaine social. Ce qui ne signifie pas un effacement des nombreuses contradictions dans la population et pour tout dire aussi de certains corporatismes.

Le problème c’est que ce vote sanction risque d’aboutir à une situation de blocage rendant les réformes plus difficiles encore.

Dans le vote sanction on vote davantage contre le pouvoir en place que pour ceux qui se présentent comme des alternatives. Enfin il y a l’argument en faveur du RN  » qu’on n’a jamais essayés ».

Tout cela ne crée pas nécessairement une grande cohérence et il est  même vraisemblable que le pays risque de connaître la chienlit et le chaos entre deux blocs qui vont s’affronter sous différentes formes et pas nécessairement de façon toujours démocratique.

Ce vote exprime surtout le ras-le-bol vis-à-vis des formations à profil gouvernemental depuis des dizaines d’années. Une sorte de mélange de professionnels de la politique et de technocrates coupés du terrain. Du coup, les Français tentent l’expérience avec des nouveaux. Justement ce qui a déjà été fait avec Macron dont on a attendu beaucoup et qui a tellement déçu. Un résultat lié aussi au manque d’expérience et à la jeunesse du personnage qui a confondu monarchie et démocratie.

Le problème de la France et qu’elle est déjà en crise grave d’un point de vue économique avec une situation financière assez dramatique. Il lui faudra donc encore emprunter et qui serait évidemment irresponsable d’accroître et d’accroître encore le déficit pour satisfaire des demandes parfois légitimes mais coûteuses qui vont affaiblir la compétitivité, la croissance et au total favoriser l’inflation et la perte de pouvoir d’achat.

On pourra constater assez rapidement ce processus tellement les contradictions sont grandes. Ce vote en lui-même est d’une grande confusion car il s’agit officiellement d’un vote pour les législatives. En réalité il s’agit surtout d’une sorte de référendum vote sanction tout autant qu’un vote présidentiel masqué. Une contradiction politique et juridique qui ne sera pas sans conséquences pour preuve avant même le vote le président en renvoyé un rôle honorifique.

 

«Un flic mort, c’est un vote pour le RN en moins» : de l’humour pour Mélenchon !

«Un flic mort, c’est un vote pour le RN en moins» : de l’humour pour Mélenchon !

«Un flic mort, c’est un vote pour le RN en moins». C’est à propos de ce slogan scandé lors de manifestations contre le Rassemblement national, que le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a déclaré au journaliste du JT de M6 qui l’interrogeait : «C’est absurde… mais on a le droit de rigoler quand même»«Pas sur la mort des gens, bien sûr», a-t-il ensuite tenté de nuancer. Provoquant un véritable tollé sur les réseaux sociaux et dans le débat public.

12345...10



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol