Archive pour le Tag 'réponses'

Violence chez les jeunes: « Il y a besoin de réponses fortes », déclare Fabien Roussel (PCF)

 

Violence chez les jeunes: « Il y a besoin de réponses fortes », déclare Fabien Roussel (PCF)

« Nous sommes effondrés par tous ces drames », dit Fabien Roussel ce lundi 22 avril sur BFMTV-RMC, réagissant à plusieurs faits de violences qui ont touché des jeunes ces derniers jours, en leur coûtant parfois la vie.

« Ce ne sont pas des faits divers, ça devient un véritable fait de société », estime le secrétaire national du Parti communiste français, qui décrit « une violence plus forte, plus dure, provoquée par des jeunes de plus en plus jeunes ». Face à cela, il appelle à « des réponses fortes ».

À ce sujet, le député du Nord marque son désaccord avec la politique de l’exécutif, après que le Premier ministre Gabriel Attal a présenté plusieurs mesures jeudi 18 avril lors d’un discours à Viry-Châtillon. L’ancien candidat à la présidentielle s’arrête plus particulièrement sur la possibilité pour les collégiens « d’être scolarisés tous les jours de la semaine entre 8 heures et 18 heures ».

« Sur le principe », Fabien Roussel valide cette disposition, étant favorable à ce que les élèves puissent faire « leurs devoirs à l’école », plutôt qu’à « la maison ».

  »Ça ne doit pas être une punition, une mesure de justice infligée aux jeunes de quartiers », déplore Fabien Roussel.  »Au contraire, l’école publique que nous voulons doit être la même pour toutes et pour tous. »

 

Climat et température: Des réponses pas à la hauteur

Climat et température: Des réponses pas à la hauteur

 

 

 

La maison brûle de plus belle, au point que personne  ne peut plus désormais regarder ailleurs Des réponses pas la hauteurs regarder ailleurs. Vingt ans après le discours prononcé à Johannesburg par Jacques Chirac lors du IVSommet de la Terre, dans lequel il avait mis en garde contre une apathie mortifère face à la catastrophe qui s’annonçait déjà, la nouvelle canicule subie par la France témoigne d’une sombre normalisation.

 

Les Français voient en effet s’installer un dérèglement climatique dans lequel l’exception devient progressivement la règle. Ils ne sont pas les seuls. Partout en Europe et au-delà, les mêmes causes produisent les mêmes conséquences : l’accumulation de chaleur liée aux activités humaines rend progressivement les villes inhospitalières, pèse sur la santé et les ressources essentielles, soumises à des stress inédits. Partout la maison brûle, souvent littéralement.

Les négationnistes du réchauffement climatique ont certes perdu la partie, comme en témoigne la progression spectaculaire, bien que tardive, d’une prise de conscience des menaces structurelles liées au réchauffement, mais leur déroute n’est qu’une piètre consolation face à la multiplication des crises. Deux combats doivent désormais être menés de front au lieu d’un seul : la diminution des émissions de CO2 comme la lutte contre les effets déjà dévastateurs de leur concentration.

 

L’urgence ne laisse guère de place au fatalisme. Il est certes déplorable que les efforts du pays qui reste le gros pollueur par habitant, les Etats-Unis, soient actuellement entravés par pure idéologie ou clientélisme, qu’il s’agisse de la dernière décision de la Cour suprême, restreignant l’action de l’Agence américaine de protection de l’environnement, ou de l’obstruction d’un seul sénateur démocrate, élu d’un Etat charbonnier. L’immobilisme pourtant ne peut plus être une option.

Car les paramètres de la course contre la montre engagée depuis plusieurs décennies restent pour l’instant inchangés, hélas ! Comme le déplore dans nos colonnes la climatologue Valérie Masson-Delmotte, membre éminente du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), « on trottine lentement » derrière un climat qui change au galop.

 

En France, le Haut Conseil pour le climat l’a rappelé en juin : la réponse de l’Etat « progresse » mais reste « insuffisante ». On est encore très, très loin des mesures immédiates et généralisées à tous les secteurs auxquelles le GIEC appelait en avril pour « garantir un avenir vivable ».

Coronavirus: pour des réponses cohérentes et unifiées

Coronavirus: pour des réponses cohérentes et unifiées

 

Deux  anciens hauts responsables américains dénoncent les contradictions de la politique sanitaire et recommande des politiques cohérentes et unifiées.

 

  Timothy R. Franson, M.D., FIDSA, est l’ancien President de l’United States Pharmacopeial Convention, la Pharmacopée américaine. Peter J. Pitts a été commissaire adjoint de la Food and Drug Administration (FDA), l’administration américaine en charge du contrôle des denrées alimentaires et des médicaments de 2001 à 2003. Il est professeur invité à l’Université Paris-Descartes et préside le Center for Medicine in the Public Interest, un organisme indépendant d’étude sur les questions de santé.

 

« Si une nation étrangère venait à débarquer sur les côtes françaises, Paris insisterait-il pour que leurs défenses soient organisées par chaque région ? Le Quai d’Orsay menacerait-il de claquer la porte des Nations Unies en cas d’opinions différentes sur la manière de gérer ce type d’agression au niveau national ? Il y a peu de chances. Des menaces visibles provoquent et nécessitent des réponses unifiées.

Maintenant, prenez le cas d’un ennemi microscopique et discret – la Covid-19 – qui a infligé le mal, la mort, le désespoir et des difficultés économiques à chaque nation, région et ville à travers le monde. En dépit d’avertissements précoces, nous ne nous sommes pas préparés à adopter une approche globale face à cette guerre biologique. Sans connaissance et sans outils, nous n’étions pas armés pour combattre cette attaque biologique sans précédent.

Contrairement à beaucoup d’autres nations, les Etats-Unis ont choisi de ne pas adopter un plan national, déléguant plutôt les responsabilités en matière d’endiguement du virus à chaque Etat, à charge pour eux de traiter un certain nombre de problèmes que cela soit en matière de confinement, de besoins en masques, d’acquisition de respirateurs et autres décisions essentielles en matière de politique sanitaire. Ce qui est difficile à comprendre dès lors que les pathogènes ne connaissent pas les frontières.

Se jouer sciemment des standards médicaux anciens reviendrait à réduire par exemple la durée d’une grossesse. Cela peut se produire mais non sans risques de complications…

Sans traitements disponibles, de premières recherches désordonnées pour trouver des thérapies ont débouché sur des centaines d’essais cliniques concurrentiels dont beaucoup inaboutis et sans objets. Dans les efforts menés pour développer des vaccins à la vitesse de l’éclair, des questions ont été soulevées sur la nécessité de respecter la période d’observation traditionnelle avant une mise sur le marché massive. Se jouer sciemment des standards médicaux anciens reviendrait à réduire par exemple la durée des grossesses, pour utiliser une métaphore. Cela peut se produire mais non sans risques de complications…

Confiance érodée. De plus, la décision de l’administration Trump de se retirer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sans autre réseau alternatif pour assurer l’implication sanitaire de l’Amérique dans la préparation face à la Covid-19 et de futures pandémies devrait être une source d’inquiétude. Un seul pays peut-il se défendre contre des pathogènes qui ne respectent pas les limites géographiques, les bureaucraties ou les hommes politiques ? Quand on voit l’évolution, dans la durée, des conseils contradictoires en matière de masques, de distanciation, de tests, de médicaments et autres sujets, il n’est pas étonnant que la confiance des gens se soit érodée pour déboucher sur des attitudes divergentes et la confusion. La confiance ne peut pas se gagner avec des conseils contradictoires d’hommes politiques, de scientifiques et autres entités. Comme un ancien commissaire de la FDA l’a récemment dit sur CBC News : « quand il s’agit de vaccins, il n’y a pas de marge d’erreur. Difficile de regagner une confiance perdue ».

Ces observations ne sont pas destinées à dénigrer les politiques de notre actuel gouvernement mais plutôt comme un cri de ralliement destiné aux générations à venir à se préparer à affronter des pandémies similaires au-delà du chaos actuel autour de la Covid. Les leçons que devraient tirer nos enfants et petits-enfants de la situation présente sont :

1. Installation d’une infrastructure (personnels et plans de contingence) totalement indépendante chargée de surveiller et de se préparer à tout désastre

2. Un engagement renouvelé en faveur d’une approche nationale pour toute menace microbienne, qu’elle soit étrangère ou domestique et l’adoption de moyens et de méthodologies afin de pouvoir aider tous les Etats américains avec les outils et les capacités nécessaires en temps réel

3. Plus important encore, la création d’une source autorisée unique en matière de conseils et de bonnes pratiques faisant consensus parmi les cliniciens, les épidémiologistes, les professionnels de la santé et autres entités politiques avec l’engagement tacite de toujours privilégier les intérêts en matière de santé publique et d’assurer

4. Un engagement massif dans les réseaux mondiaux de détection et d’échanges de données pour détecter rapidement et affronter les menaces

5. Des approches améliorées en matière d’efforts collaboratifs répondant à des standards scientifiques.

Notre combat contre la Covid-19 sera jugé par l’histoire mais une analyse introspective sans concession de nos succès et échecs actuels doit servir de feuille de route pour protéger les générations futures dans le monde. »

Convention climat : un référendum même bidon pour obtenir 80 % de réponses positives ?

Convention climat : un référendum même bidon pour obtenir 80 % de réponses positives ?

En mal dans les sondages de popularité macro, pourrait se résoudre à proposer un sondage bidon pour obtenir 60 à 80 % de réponses favorables à une question forcément évidente du type pour ou contre l’écologie. Avec des propositions nunuches des 150 citoyens tirés au hasard et qui découvrent la lune. La puissance de la crise sanitaire relance cette hypothèse, à la veille de la présentation d’un «nouveau chemin». La fin de la Convention climat pourrait être l’occasion, pour le chef de l’État, d’expérimenter ce type de consultation, dont la dernière en date remonte à 2005 avec la Constitution européenne. Le référendum est l’un des outils institutionnels dont dispose le président de la République, avec la démission, la dissolution de l’Assemblée, le remaniement. Pourquoi pas aussi un referendum pour ou contre la fiscalité ?

Réponse aux taxes sur les GAFA , Trump veut taxer le vin français

Réponse aux taxes sur les GAFA , Trump veut taxer le vin français

Comment le sait le président Trump ne fait pas dans la dentelle. D’une manière générale il reproche non sans raison à la Chine d’exporter à bon compte aux États-Unis, c’est-à-dire sans les contraintes notamment fiscales,  sociales voir environnementales. Mais un reproche du même type est également adressé à l’Europe en particulier à l’Allemagne et à ses  automobiles. La France est également visée suite à la décision  de mettre en place une taxe sur les Gafa. La France a échoué à étendre cette taxe au plan européen mais a réussi à convaincre le G20 d’engager une réflexion sur le sujet. La réplique de Trump  ne s’est pas fait attendre et le président des États-Unis a décidé de viser l’un des symboles français les plus significatifs à savoir les importations de vins

«La France taxe beaucoup le vin américain et nous taxons peu le vin français», a-t-il critiqué sur CNBC. Pour Donald Trump, les Etats-Unis laissent «le vin français – qui est très bon – [...] entrer» sur le territoire national «pour rien». Une situation dont pâtissent, selon lui, les viticulteurs nationaux, notamment californiens. «Les producteurs viennent me voir, et me disent : Monsieur, nous payons beaucoup d’argent pour vendre nos produits en France, et vous laissez [les vins français] venir pour rien. Ce n’est pas juste». Un raisonnement particulièrement fallacieux mais on connaît la stratégie de communication de Trump. Plus c’est gros plus ça passe et le moment venu il sera toujours possible de faire un pas en arrière à condition d’obtenir cependant des compensations.

 

 

Parcoursup: réponses pour plus des deux tiers

Parcoursup: réponses pour plus des deux tiers

D’une certaine manière le taux de réponses reçues par les étudiants paraît satisfaisant mais ce taux de réponse ne signifie pas pour autant que les étudiants sont satisfaits de ces réponses. En tout cas, le   ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, a déclaré mardi que plus des deux tiers des lycéens concernés avaient reçu à ce jour une réponse favorable à leur demande d’entrée à l’université sur la plateforme de préinscription “Parcoursup”, très critiquée. “Parcoursup” remplace la plateforme informatique “Admission post-bac” (APB), qui a laissé sur le carreau des dizaines de milliers de bacheliers en 2017, tirés au sort là où les demandes étaient supérieures aux capacités d’accueil. “Il y a eu un système l’année dernière dont chacun sait qu’il a été un échec, qui était fondé sur le tirage au sort et qui avait laissé encore à la rentrée beaucoup d’étudiants dans des situations pour le coup réellement angoissantes”, a rappelé le ministre lors des questions d’actualité à l’Assemblée. Le nouveau système est “à la fois plus rationnel et plus humain” et a notamment permis d’améliorer l’orientation des élèves de terminale, a-t-il estimé. “Aujourd’hui, il permet d’avoir, au moment où je vous parle, plus des deux tiers des élèves qui ont reçu une réponse favorable et déjà 200.000 qui ont accepté cette réponse”, a conclu Jean-Michel Blanquer. “C’est déjà clairement un progrès par rapport à l’année dernière.”

« L’état d’urgence et l’unité nationale : ne peuvent être les seules réponses »(Larcher)

« L’état d’urgence et l’unité nationale : ne peuvent être les seules réponses »(Larcher)

Dans une interview JDD Gérard Larcher, président du Sénat estime à juste titre que l’État d’urgence et l’unité nationale sont insuffisants pour faire face au terrorisme. Un constat sans doute juste mais Gérard Larcher n’apporte pourtant pas grand-chose comme solution hormis la mise en œuvre de dispositions législatives bien dérisoires face  à l’enjeu de la guerre terroriste. La preuve sans doute que les plus hauts responsables sont à peu près dans le même état de désarroi que la population elle-même. On aurait sans doute aimé que Gérard Larcher s’explique davantage sur un concept d’État d’urgence visiblement mal adaptée à la situation.

 

 Pour Gérard Larcher, président du Sénat, et deuxième personnage de l’Etat, « il n’y a pas une France de gauche et une France de droite, il y a une France meurtrie ». Extraits.
 

Etes-vous favorable à la prolongation de trois mois de l’état d’urgence?
Par solidarité, par nécessité, oui, j’y suis favorable mais l’état d’urgence et l’unité nationale ne peuvent être les seules réponses à chaque fois qu’un attentat se produit. Les Français attendent plus du président de la République et du gouvernement.

L’arsenal législatif en vigueur actuellement est-il suffisant?
Au Sénat, nous avons voté le 3 juin un texte de loi qui est un dispositif très davantage sur un concept d’État d’urgence visiblement mal adaptée à la situation s complet en matière de perquisitions, d’assignations à résidence ou de traitement de la radicalisation sur Internet. Reste une question qui ne peut être réglée par la seule loi : qu’en est-il de nos services de renseignement? C’est sur ce terrain que nous devons concentrer nos efforts. Car nos forces de sécurité, il faut en être conscient, sont fatiguées, épuisées.

Que proposez-vous concrètement?
Agir!… D’abord que tous les décrets permettant de mettre en œuvre la loi du 3 juin [renforçant la lutte contre le terrorisme] qui sont prêts soient appliqués. Est-ce qu’on donne la possibilité au ministère de l’Intérieur d’assigner à résidence une personne qui revient d’un territoire où interviennent des groupes terroristes? Oui. De procéder à une retenue administrative quand il y a des raisons de penser que le comportement d’un individu est lié à des activités terroristes? Oui. De faire en sorte que consulter des sites djihadistes sur Internet soit un délit? Oui. Il faut renforcer les moyens d’enquête en matière d’écoute et de perquisitions. Il faut porter notre effort de défense à 2% du PIB, au lieu de 1,5% aujourd’hui. Il faut aussi, j’insiste, développer les moyens de renseignement de la police et de la gendarmerie ainsi que les moyens européens, comme Europol.

 

Sarkozy-immigration : un questionnaire débile pour des réponses débiles

Sarkozy-immigration : un questionnaire débile pour des réponses débiles

C’est en substance ce que pense André Lamassoure après le référendum interne organisé par Sarkozy. « Le questionnaire semble inspiré exclusivement par la peur, la crainte des étrangers, évoqués implicitement comme de possibles fraudeurs, voire des délinquants potentiels, en tout cas comme des intrus embarrassants », a-t-il jugé dans un communiqué. En réalité Sarkozy et moins préoccupée de la question de l’immigration que de cadenasser les deux autres candidats à la primaire de la droite. D’où ce questionnaire débile avec réponse débile dont il était inévitable qu’il soit soutenu par 90 % et plus des adhérents concernés. On peut évidemment multiplier ce type de référendum à l’infini en lui octroyant des vertus démocratiques qu’il n’a pas. C’est un peu comme si on demandait aux Français : êtes-vous pour de vrai changement dans le pays ? De ce point de vue Sarkozy ne parvient pas à se débarrasser de sa rhétorique de camelot populiste. Un « plébéien hargneux » à dit Fillon. Le questionnaire sur l’immigration soumis par Nicolas Sarkozy aux adhérents des Républicains « semble inspiré exclusivement par la peur », a estimé mardi Alain Lamassoure, ajoutant aux critiques internes contre l’initiative à plus d’un an de la primaire présidentielle de la droite et du centre. Au total, 53.000 adhérents se sont prononcés par vote électronique la semaine dernière sur douze questions, formulées comme autant de propositions allant de la refondation des accords de Schengen à la suppression de l’aide médicale d’Etat pour les étrangers en situation irrégulière. Elles ont recueilli des taux d’approbation de 91,41% à 97,43%. La méthode, contestée, a été débattue mardi lors du bureau politique des Républicains. Les principaux rivaux de Nicolas Sarkozy à la primaire de 2016, Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire, avaient déploré de ne pas avoir été consultés en amont sur le contenu de ce document appelé à compléter un « socle programmatique commun » pour les candidats. « ‘Oui’, ‘non’, on n’est pas dans une démocratie très évoluée », a estimé François Fillon au « Grand Journal » de Canal+. Le député de Paris n’était pas à la réunion en raison de cet engagement médiatique. Présent en revanche, Alain Juppé a demandé à Nicolas Sarkozy des clarifications sur le « socle commun » lors d’échanges « parfois tendus », ont rapporté des participants. Le président des Républicains a assuré l’ancien Premier ministre que ces propositions n’engageraient pas les candidats à la primaire, ont-ils précisé. Avant la réunion, l’eurodéputé Alain Lamassoure, ancien ministre d’Edouard Balladur et d’Alain Juppé et représentant de l’aile centriste et pro-européenne du parti, avait livré un sévère réquisitoire contre le « questionnaire Sarkozy ». André « Certes, c’est ce que ressentent beaucoup de nos électeurs, et ce que hurlent quotidiennement les réseaux sociaux », poursuit-il. « Mais le rôle d’un parti, qui se réclame du Général de Gaulle et de la démocratie chrétienne, consiste-t-il à justifier tous les préjugés xénophobes, ou à faire courageusement la pédagogie de nos valeurs? », s’interroge-t-il, rappelant que Nicolas Sarkozy est un « Français de deuxième génération ».

 

Hollande – Budget, chômage et retraites : réponses fin août

Hollande - Budget, chômage et retraites : réponses fin août

 

Finalement le débat 2025 sera passé sous la table balayé par les préoccupations immédiates et la crise. Du coup Hollande a bien été contraint de parler des questions concrètes de court terme. Hollande s’est pris les pieds dans le calendrier. Normalement le séminaire du gouvernement devait être consacré à la prospective, un exercice qui aurait d’une part être fait depuis longtemps ;  mais en cette période de rentrée ce sont des réponses immédiates qui sont attendues et non d’hypothétiques perspectives qui dépendront plus des socialistes.  François Hollande a promis des « réponses » avant la fin du mois, alors que des incertitudes pèsent sur les retraites, dont le financement n’est pas assuré après 2020, le budget, en raison de la crise économique ou le chômage, endémique.  Alors que des incertitudes pèsent sur les retraites, dont le financement n’est pas assuré après 2020, le budget, en raison de la crise économique ou le chômage, endémique, François Hollande a promis des « réponses » avant la fin du mois. Des « réponses » pour répondre aux attentes des Français. Le chef de l’Etat a voulu rassurer sur les dossiers chauds de la rentrée – retraites, budget 2014 et chômage –lors du séminaire gouvernemental à l’Élysée, que des « réponses » seraient apportées « d’ici à la fin de ce mois ». « Les réponses seront apportées par le gouvernement d’ici à la fin de ce mois », a déclaré le chef de l’Etat devant le gouvernement réuni quasiment au grand complet pour un séminaire sur « la France dans dix ans », selon le texte de son allocution communiqué à la presse par l’Élysée.




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