Archive pour le Tag 'gauche'

Olivier Faure-PS- reconnaît qu’il y a un «antisémitisme de gauche»

Olivier Faure reconnaît qu’il y a un «antisémitisme de gauche»

Invité ce 4 mai de BFMTV, Olivier Faure, secrétaire du PS, a reconnu qu’il y a bel et bien «un antisémitisme de gauche». Une manière pour lui de se différencier de l’écologiste Marine Tondelier, qui s’était dite dans un premier temps «embêtée» par cette question, laissant entendre que la présence de Jérôme Guedj aux manifestations était un brin provocante, avant de revenir sur ses propos par la suite.

Pour le patron des socialistes, l’antisémitisme – en pleine recrudescence dans l’Hexagone depuis les attaques terroristes du 7 octobre 2023 en Israël – «traverse toutes les classes de la population». Un phénomène «parfois visible contre Jérôme Guedj, Raphaël Glucksmann (député européen PS-Place Publique), Emma Rafowicz (députée européenne PS), contre tous ceux qui portent un patronyme qui les renvoie à l’idée de leur judéité». «Il existe depuis toujours à l’extrême droite comme à gauche», a insisté le député de Seine-et-Marne, disant «regretter» qu’une «partie de l’extrême gauche» (notamment LFI NDLR) «bascule» dorénavant «dans l’antisémitisme» alors qu’elle était un temps le «refuge des juifs de France qui considéraient qu’elle était la puissance antifasciste devant permettre de repousser le plus loin possible le fascisme».

Présidentielles 2027: Glucksmann pour une union de la gauche sans Mélenchon

Présidentielles 2027: Glucksmann pour une union de la gauche sans Mélenchon

Le député européen Raphaël Glucksmann appelle la gauche à se « rassembler sans LFI » pour un « projet puissant » lors de la prochaine élection présidentielle, dans une interview à La Tribune Dimanche ce 16 mars.

En 2027, « nous devons nous rassembler sans LFI », et « forger un projet puissant », appelle-t-il.

Raphaël Glucksmann assure notamment que son parti, Place publique, fondé en 2018, se tient « prêt à bâtir une offre politique commune avec les socialistes qui sera ensuite ouverte aux humanistes et écologistes qui veulent partir au combat avec nous ». Les deux partis étaient déjà alliés pour les européennes de 2019 et de 2024.

Plaidant pour un « cap clair », l’eurodéputé récuse toute « alliance nationale » avec La France insoumise et son leader Jean-Luc Mélenchon, avec lesquels il se dit « aux antipodes ».

Russie et guerre- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Russie et guerre- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proches de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Qui s’oppose tout autant au renforcement de la défense avec le masque du pacifisme pour cacher leur proximité avec Poutine. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représentée par les communistes s’est alignée sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique. Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

Cette extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représentée par les » insoumis ». À l’extrême droite, le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite, c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Pour ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent ou ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique. Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

 

Conflit Russe- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflit Russe- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

 
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays.

Des réponses de la gauche inadaptées

Des réponses de la gauche inadaptées

 

La réponse des socialistes ou des « insoumis » peut-elle se limiter à des généralités sur la nécessité d’un « retour au peuple », s’interroge dans sa chronique Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ».

 

Pouvoir d’achat, immigration, « wokisme ». Trois des thèmes sur lesquels s’est jouée la victoire de Donald Trump aux Etats-Unis correspondent à ceux sur lesquels prospère le Rassemblement national (RN) de Marine Le Pen. Précisément ceux aussi sur lesquels la gauche est soit impuissante, soit dans le déni, soit aux abonnés absents. En novembre 2024, l’élection du milliardaire avait déclenché outre-Atlantique un début d’autopsie de l’échec démocrate : trop de références aux identités, pas assez à l’économie, trop d’entre-soi… Depuis son retour à la Maison Blanche, le 20 janvier, « la résignation » domine dans le camp progressiste, constate The New York Times.
Impérialisme revendiqué, alliés foulés aux pieds, menaces de guerre commerciale, droit du sol bafoué, lutte contre les discriminations abandonnée, personnes transgenres niées, représailles contre les opposants… Les agressions qui tombent en rafale au rythme des posts sur le réseau social X et des décrets ont tétanisé la gauche. En France, même les « insoumis », qui, en novembre 2024, proclamaient que « seule une gauche radicale et populaire » aurait pu vaincre Trump et que Kamala Harris avait été battue parce qu’elle avait « fait du [François] Hollande », ont baissé d’un ton. L’élection de Trump « met (…) en danger bien des certitudes du monde précédent », a commenté prudemment sur son blog Jean-Luc Mélenchon le jour de l’investiture.

Haro de certains intellectuels de gauche pour enfoncer l’écrivain Boualem Sansal

Haro de certains intellectuels de gauche pour enfoncer l’écrivain Boualem Sansal arrêté en Algérie pour ses publications critiques sur le régime.  .Ce dimanche sur le plateau de C Politique, sur France 5, on laissait entendre que l’auteur n’était pas exempt de tout reproche. Il aurait même «blessé le sentiment national» algérien, selon les propos de l’historien Benjamin Stora, à qui Emmanuel Macron avait confié une mission sur «la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie». Et de conclure finalement que Boualem Sansal leur est bien mérité! Ou quand le service public déraille et finalement au service de la dictature algérienne et de l’islamisme !

Budget Sécu: Contre l’avis de la droite partie recettes votée par la gauche

Budget Sécu: Contre l’avis de la droite partie recettes votée par la gauche

Une nouvelle fois l’assemblée nationale ce singularise avec des votes complètement contradictoires. Ainsi la partie recettes du budget de la Sécu soutenue par le gouvernement a été rejetée par la droite mais par contre approuvé par la gauche. Le monde à l’envers évidemment. De toute manière ce projet de budget au final sera rejeté totalement et renvoyé au Sénat. Autant dire que ces discussions complètement surréalistes n’ont aucun sens.

 

L’Assemblée nationale a approuvé lundi, avec les voix de la gauche, une version profondément remaniée de la partie recettes du budget 2025 de la Sécurité sociale, les députés macronistes et de droite ayant voté contre et le RN s’étant abstenu. Le texte amendé, qui prévoit notamment 17 à 20 milliards de cotisations supplémentaires selon les députés, a été approuvé par 126 voix «pour» et 98 «contre». L’Assemblée va ainsi pouvoir entamer en soirée l’examen de la partie «dépenses» du texte.

 

Les élus du «socle» gouvernemental ont fustigé un texte «vidé de son sens et de tout sérieux, politique et budgétaire», comme l’a résumé François Gernigon (Horizons). «Vous avez créé des taxes et des charges pour près de 17 milliards», a déploré Thibault Bazin (LR) en s’adressant aux élus du Nouveau Front populaire (NFP)«Et là, les victimes, ce ne sont pas les grandes fortunes, ce sont les classes moyennes qui travaillent», a-t-il dit, fustigeant un texte qui «ne ressemble plus à rien».

 

Après le vote, le président du groupe MoDem Marc Fesneau a fait part de son agacement : «quand vous avez RN et NFP qui votent ensemble, vous voyez bien que c’est la collusion du populisme»«À la fin, le gouvernement va dire “voyez, tout ça n’est pas raisonnable, on va laisser ça au Sénat, car eux ce sont des gens responsables et raisonnables”», a-t-il ajouté.

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Qui à gauche pour incarner la souveraineté du pays

Qui à gauche pour incarner la souveraineté du pays

 Façonnée depuis des siècles, la souveraineté est une invention française que le monde entier s’est finalement appropriée. Elle est au cœur de la Nation mais elle n’est pas au centre de l’Europe, estime le groupe de réflexions Mars*. A cet égard, il exhorte une personnalité de gauche à incarner la souveraineté en vue de sortir par le haut de l’impasse du tripartisme actuel.( dans « la Tribune »)

Le concept de souveraineté étant à la mode, le Conseil d’État a décidé cette année de s’en saisir pour en faire le thème de sa grande étude annuelle (1). C’est ainsi que la souveraineté restera dans les annales de la très respectée institution du Palais Royal le premier thème de sa nouvelle section des études, de la prospective et de la coopération (SEPCO), créée par décret du 1er mars dernier en lieu et place de l’ancienne « section du rapport et des études », qui avait été dirigée en leur temps par des noms aussi illustres que Guy Braibant (ancien directeur de cabinet de Charles Fiterman) ou Olivier Schrameck (ancien directeur de cabinet de Lionel Jospin). L’actuelle présidente (depuis 2017) est Martine de Boisdeffre, qui a dirigé les archives de France pendant près de dix ans avant de siéger, notamment, au Haut comité d’évaluation de la condition militaire (HCECM).

Ceci explique peut-être cela. Encore plus volumineux qu’à l’ordinaire, le rapport de près de 600 pages aborde la souveraineté sous toutes ses facettes et remet en quelque sorte les pendules à l’heure, à une époque où d’aucun tend à raconter n’importe quoi sur le sujet. A ce titre, cette mise au point de la part des gardiens du temple de l’État de droit apparaît opportune et salutaire. Chacun fera son miel des longs développements sur tel ou tel aspect de la souveraineté, mais deux méritent, à notre avis, une attention particulière.

D’abord, même si le Conseil d’État ne l’écrit pas ainsi, la souveraineté est une invention française que le monde entier s’est appropriée. Le concept même se traduit si mal dans les autres langues que l’on préfère souvent l’employé presque tel quel. Les rappels historiques du rapport, brefs et de bon aloi, montrent que le concept, forgé à la fin du Moyen-Age, s’est cristallisé à la Renaissance et a fini par s’imposer à l’époque contemporaine. Les notions connexes de démocratie et de citoyenneté, beaucoup plus anciennes car apparues 1500 ans plus tôt, ne rendent pas suffisamment compte de la richesse du concept de souveraineté, qui à trait autant à la liberté qu’à la puissance.

 Trois moments fondateurs de l’Histoire de France ont favorisé l’émergence du concept : 1303, 1648 et 1789. Au XIVe siècle, Philippe le Bel finit par gagner son bras de fer avec la papauté, au point de parvenir à la contrôler pendant tout le temps de son installation en Avignon. La laïcité à la française a des racines profondes. Mais le retour du pape à Rome à la fin du XIVe siècle sonne le glas de cette prétention, et ainsi de l’universalité du concept de laïcité. Si l’Église en Occident est parvenue à se dégager de l’emprise impériale, ce n’est pas pour retomber sous la domination d’un roitelet, fût-il « très-chrétien ». L’histoire de l’Église orientale qui a toujours recherché des accommodements avec l’empereur byzantin, est très différente de ce point de vue, et l’actualité la plus brûlante montre combien cette histoire reste actuelle.

Au moins le roi de France a-t-il dorénavant marqué son autonomie vis-à-vis tant du pape que de l’empereur : « le roy est empereur en son royaume ». Tels sont les débuts de la souveraineté dans l’ordre externe. Mais le système féodal, qui reste prévalent en ce XIVe siècle et limite considérablement les prétentions de la souveraineté royale dans l’ordre interne, précipite la France dans une guerre de libération qui durera plus de cent ans contre le roi d’Angleterre, dont les fiefs français lui conféraient une puissance supérieure à celle d’un roi de France qui ne régnait même plus à Paris. De cette guerre de libération nait un sentiment national nouveau dans ce pays encore largement multiculturel qu’est la France médiévale.

Avec l’apparition de la Réforme au début du XVIe siècle en réaction aux abus des clercs, les guerres de religion finissent d’abattre les prétentions impériales en Occident et le retour à la paix civile implique de reconnaître la souveraineté de centaines de petits princes dans les limites de leurs anciens fiefs devenus des États. Comme le rappelle le Conseil d’État, « l’art de gouverner théorisé par Machiavel en 1532 encourage le processus d’étatisation du pouvoir politique. Abandonnant toutes considérations de morale religieuse, l’idée d’une raison d’État pose comme finalité politique des enjeux strictement profanes, tels que la stabilité de l’établissement politique ou l’intérêt des sujets. » En 1576, le Français Jean Bodin définit la souveraineté comme la puissance « perpétuelle et absolue » de dire le droit après que le Florentin Machiavel l’a inscrit dans le marbre de la pensée politique des temps modernes.

Dans la première moitié du XVIIe siècle, la guerre de Trente ans achève d’ériger la souveraineté en règle d’or dans l’ordre externe. La politique du cardinal de Richelieu, à la fois ministre du roi de France et prince de l’Église romaine, qui s’appuie sur les puissances protestantes contre l’empereur catholique, conduit aux traités de Westphalie qui érige le principe de souveraineté en norme internationale.

La Révolution française achève d’installer la souveraineté en tant que fondement de l’État moderne en substituant définitivement la légitimité issue du peuple à la légitimité héréditaire des prétendues dynasties de droit divin. C’est dorénavant au nom de la souveraineté de la nation que la France de la Révolution et de l’Empire partira à la conquête de l’Europe. Avec le succès que l’on sait : la Sainte-Alliance finit par opposer une résistance farouche à une prétention trop en avance sur son temps. Le « système westphalien », bien que modéré trois siècles plus tard par la création de l’ONU et encadré par les droits humains, prévaut encore aujourd’hui malgré tout.

C’est aussi ce que montre l’étude du Conseil d’État quand il aborde la question européenne. A rebours de nombreuses croyances, de légendes urbaines, voire de « l’espérance » affirmée de certains, il n’existe pas de souveraineté européenne, car la souveraineté, dans l’ordre interne autant qu’externe, s’incarne obligatoirement dans un État (même faible voire failli), et l’Union européenne (UE) n’est pas un État. Car il n’existe ni nation Europe ni peuple européen. C’est tout ce que l’on veut, un machin, une association, un projet, un processus, voire une « espérance », mais ce n’est pas un État. L’UE n’a pas la « compétence de sa compétence ». Elle n’exerce ses prérogatives que parce des États souverains lui ont confié les leurs, dans leur intérêt. Et dans l’ordre interne, imagine-t-on, un seul instant, des « policiers européens » conduire une enquête judiciaire à la demande d’un « parquet européen », ou même rétablir l’ordre lors d’une manifestation dans une grande ville européenne ?

Il n’existe pas davantage « d’intérêt général européen », mais des actes législatifs issus de compromis entre États souverains. L’UE n’existe que dans l’intérêt de ses États membres, parce qu’ils estiment que l’union fait la force dans un certain nombre de domaines limitativement énumérés. Tout le reste n’est que de la littérature et de la communication. Il est heureux que le Conseil d’État rappelle ces réalités juridiques afin de dissiper certains fantasmes et d’apaiser des craintes injustifiées.

Autrement dit, aucun État membre ne peut se voir imposer par l’UE une mesure à laquelle il n’aurait pas consenti. C’est pourquoi, si le droit communautaire l’emporte sur la loi, il ne saurait s’imposer à la Constitution d’un État souverain. Cela emporte deux conséquences possibles : soit l’État modifie sa Constitution pour la mettre en accord avec le droit européen, soit le droit européen ne s’applique pas dans l’État en cause. Dans le cas français, la Constitution a dû être modifiée une demi-douzaine de fois pour cette raison ; mais dans d’autres circonstances, le Conseil constitutionnel a dégagé certains « principes fondamentaux reconnus par les lois de la République », voire une « identité constitutionnelle », qui protègent la souveraineté française dès lors qu’elle est menacée par un acte dérivé ou une jurisprudence européenne. C’est particulièrement le cas en matière de défense avec le principe de « libre disposition de la force armée au gouvernement » de la France.

C’est aussi pour cela qu’en matière de défense, les traités prohibent absolument le vote à la majorité qualifiée : chaque État dispose en l’espèce sinon d’un droit de veto, du moins d’un droit de retrait, car il ne peut entrer en guerre contre sa volonté. La défense, ultima ratio regis, reste le cœur de la souveraineté. Le Conseil d’État rappelle que « en pratique, donc, toute décision ayant une implication militaire ou dans le domaine de la défense ne peut que continuer à relever de l’unanimité des États membres, sauf à modifier le Traité sur l’Union européenne (TUE) par une procédure de révision formelle (avec convocation d’une convention, unanimité des 27 et ratification nationale par la totalité des États membres) ».

A quoi servirait dès lors un commissaire à la défense européen ? A faire de la communication, mais rien de concret. C’est juridiquement impossible. On comprend mieux la démission surprise de Thierry Breton qui avait déclaré cet été en substance : « ce commissaire à la défense existe déjà, c’est moi ! ». Finalement, ce sera un « Mr Nobody », profil qui à vrai dire convient mieux à un ministère sans portefeuille.

L’étude du Conseil d’État, fort opportune en ces temps politiques incertains, renvoie dos à dos « européistes » et « souverainistes » en rappelant aux uns que tout transfert de compétence en matière de défense est juridiquement impossible (à supposer que ce soit politiquement possible) et aux autres qu’il n’y a pas lieu de « crier au loup » puisque l’État de droit protège notre souveraineté. Qui plus est, le principe de la liberté d’association implique également la liberté de sortir d’une association. L’UE n’est pas un empire ni une prison des peuples.

Le Conseil d’État aborde en outre la question de la résilience, de l’esprit de défense et du lien entre la nation et ses armées, mais les développements sont plutôt faibles et convenus, sans idée nouvelle ni originalité. Et sur le point particulier du SNU (service national universel), son enthousiasme tempéré ne semble pas partagé par la Cour des comptes, qui vient justement de rendre public un rapport plutôt critique sur le sujet.

Pour autant, il semble que le Conseil d’État ait oublié de traiter un volet de la souveraineté : l’intelligence économique. Le rapport consacre des développements pertinents sur la guerre économique que conduisent les Etats-Unis avec l’arme de l’exterritorialité du droit et évoque la guerre économique en tant que sous-ensemble de la guerre hybride, mais à aucun moment il n’est question d’intelligence économique, c’est-à-dire de l’utilisation des moyens régaliens de renseignement et d’influence à des buts principalement, voire exclusivement, économiques. Il s’agit pourtant aujourd’hui d’une menace majeure à notre souveraineté.

Dans ce rapport qui fera date, le Conseil d’État replace, non pas « l’église au milieu du village », mais la souveraineté au centre de la Nation. Ce faisant, il recadre un débat politique troublé par la tentative de dépassement du clivage gauche-droite par le centre ou les extrêmes. Quiconque s’inscrit dans le jeu des institutions républicaines ne peut considérer la souveraineté nationale comme un témoin du passé ou une peau de chagrin. A l’inverse, ni la souveraineté ni la nation ne sont des idoles intangibles. La souveraineté s’accommode fort bien de limitations à l’exercice de la force légitime et de transferts de compétences, de même que la nation française trouve son intérêt à coopérer avec les autres nations.

Cela trace peut-être pour la gauche de gouvernement une issue de secours pour sortir de l’impasse où son alliance avec une gauche radicale de moins en moins républicaine l’a conduite. Est-il nécessaire de rappeler que la souveraineté du peuple et de la nation, sont historiquement, en France, des idées de gauche opposée à la réaction de toute résurgence d’une « Sainte-Alliance » ou d’un empire.

A l’inverse, l’Allemagne n’a de son côté aucune difficulté avec l’idée d’empire, car elle a de tout temps dominé celui qui a succédé à Rome en Occident. C’est pourquoi elle pousse à la communautarisation de certaines compétences en matière de défense comme le contrôle des exportations, voire se dit favorable à la prise de décision à la majorité qualifiée y compris sur les questions de défense.

On observera incidemment qu’il n’y a que la France pour parler de souveraineté européenne. Les 26 autres écoutent poliment en disant : « c’est cela, ouiiiii ». Il n’y a que la France pour ne pas comprendre que l’UE ne veut surtout pas croiser le fer avec les Etats-Unis, où elle fait de confortables excédents, ou la Chine, dont les excédents sur les uns sont en partie captés par les autres (qui taxent l’import). Les Européens qui profitent de l’UE n’ont aucune envie de tuer la poule aux œufs d’or pour un concept 100% français qu’ils ne prennent même pas la peine de traduire, histoire de montrer combien cela leur est étranger.

Dans les faits, l’UE ne parle que de résilience (éventuellement avec un « z »), ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Pour résumer, un secteur est résilient si la production en cause est conçue en Allemagne et sous-traitée dans les pays européens à bas coûts de main d’œuvre. C’est dire si l’intégration de l’Ukraine est espérée avec impatience, au nom de la résilience européenne bien sûr.

Vous avez dit « communauté de destin » ? Oui, à condition qu’il y ait en France, pour préserver nos intérêts dans l’UE, une véritable « doctrine de souveraineté » que le Conseil d’État appelle de ses vœux. Ses recommandations en la matière feraient un excellent support de programme politique. « Cette doctrine, qui n’aurait pas vocation à être un document long, consisterait à inviter l’ensemble des acteurs publics à identifier, dans leurs champs de compétences respectifs, les vulnérabilités ou dépendances auxquelles la France est exposée ainsi que les besoins et enjeux pour l’avenir. (…) À cette fin, les ministères pourraient être invités à évaluer, au même titre que les considérations politiques, juridiques ou budgétaires habituelles, le coût en termes de souveraineté et de non-souveraineté des questions soumises à arbitrage ».

Il existe en France de tout temps un « parti » favorable à l’idée de soumettre notre souveraineté à la puissance dominante en Europe, de même qu’il a toujours existé un « parti » qui considère que la morale ou l’idéologie dominante doive prévaloir sur nos intérêts nationaux. Mais cela fait sept siècles que le pouvoir politique cherche à préserver la France de cette guerre civile permanente entre « Guelfes » et « Gibelins », respectivement partisans de la papauté et de l’empire, en proclamant l’indépendance d’un pays libre et souverain.

Le problème, c’est que ce « parti » héritier à la fois de Philipe le Bel, de Richelieu et de Mirabeau, manque aujourd’hui d’une incarnation politique. Il serait dans l’ordre des choses qu’une personnalité de gauche s’en empare en vue de sortir par le haut de l’impasse du tripartisme actuel. Cela suppose certes d’en finir avec les inepties européistes et de renouer avec une tradition républicaine que certains estiment passée de mode. Mais à la lumière de l’incroyable fiasco du prétendu « nouveau front populaire », on se demande s’ils en ont encore la capacité et même l’envie.

* Le groupe Mars, constitué d’une trentaine de personnalités françaises issues d’horizons différents, des secteurs public et privé et du monde universitaire, se mobilise pour produire des analyses relatives aux enjeux concernant les intérêts stratégiques relatifs à l’industrie de défense et de sécurité et les choix technologiques et industriels qui sont à la base de la souveraineté de la France.

 

Raphaël Glucksmann pour une gauche sans Mélenchon

 Raphaël Glucksmann prépare d’ores et déjà l’opinion à une séparation avec Mélenchon lors de la prochaine dissolution de l’Assemblée nationale. Il  dénonce une «stratégie du tout ou rien, dictée par Jean-Luc Mélenchon dès 20h02 le soir du deuxième tour et appliquée par des gens tétanisés à l’idée de lui déplaire», qui «a produit le rien»«C’était voué à l’échec». Déplorant l’intransigeance des principaux leaders du NFP qui n’ont pas voulu négocier sur le programme dans la foulée de leur victoire relative, le parlementaire européen rappelle que la coalition «n’avait pas de majorité».

En cas de législatives en 2025, il assure être «prêt» et espère «faire émerger» d’ici là «une offre politique sociale, démocrate et écolo crédible et puissante»«Le but est d’esquisser un chemin en neuf mois, de fixer un cap clair sur le fond et sur la forme», précise Raphaël Glucksmann. Qui entend capitaliser sur sa notoriété grandissante pour «s’adresser à tous les Français, y compris ceux qui aujourd’hui ne peuvent plus saquer la gauche». La présidentielle de 2027 a beau être «loin» pour lui, il n’écarte pas l’hypothèse. Jusqu’à l’échéance, il cantonne son rôle à participer à «édifier une gauche démocratique assez forte intellectuellement et politiquement pour battre l’extrême droite.»

Grande-Bretagne : la gauche au pouvoir promet la rigueur

Grande-Bretagne : la gauche au  pouvoir promet la rigueur

Il y a en Europe deux types de gauche. La gauche démagogique comme en France qui promet la lune avant des élections ( voir par exemple le tournant économique de Mitterrand puis de Hollande). La gauche en Grande-Bretagne a également fait de grosses bêtises avant de se ressaisir et de devenir un nouveau un parti sérieux de gouvernement. Ainsi les travaillistes désormais au pouvoir promettent-t-il seulement la rigueur et notamment une hausse de fiscalité mais aussi et surtout une réduction des dépenses publiques.

Le  premier ministre a averti les Britanniques que les temps à venir seront douloureux, tant le pays a été « cassé » par les conservateurs. Depuis les jardins de Downing Street, il a averti que « la situation allait empirer  avant de s’améliorer ». Et tracé le cap pour les prochaines années.

Keir Starmer a repris le thème martelé depuis juillet, celui du lourd passif dont son gouvernement hérite. Il a dénoncé le « trou noir économique » laissé, selon lui, par les conservateurs. La chancelière de l’Échiquier, Rachel Reeves, l’a estimé à 22 milliards de livres« La situation est pire que ce que nous avions imaginé », a dit Starmer. Un constat les nouveaux arrivants pouvoirs font souvent mais sans forcément en tirer les conséquences en terme notamment de réduction des dépenses publiques. Exemples en France où la gauche envisagée une dépense d’environ 150 milliards sur 10 ans quand il faudrait au contraire un économiser autant pour réduire le déficit budgétaire et diminuer la dette.

 

Sondage popularité de la gauche: baisse générale

 

Sondage popularité de la gauche: baisse générale

Malgré la nomination d’un candidat unique pour le poste de Premier ministre, tous les leaders de la gauche enregistrent une très forte baisse de popularité. La candidature de Lucie Castets a tendance à faire plouf. D’autant que l’intéressée s’est surtout signalé par sa volonté d’augmenter la fiscalité notamment des expatriés et d’ouvrir la page de sa vie intime dontt en vérité tout le monde se moque. Résultat 15 % d’image positive , une image plutôt psychorigide et bobo de gauche.

À noter que la baisse affecte tous les autres leaders de la gauche. Rien d’étonnant à cela sans doute quand ils promettent 15 milliards de dépenses supplémentaires par an alors qu’il faudrait faire 15 milliards d’économies !

D’après une enquête d’Elabe, la popularité des leaders du nouveau Front populaire s’écroule même au sein des électeurs de la gauche. Fabien Roussel, tête d’affiche avec le plus d’« image positive » dans cet électorat, chute de 8 points sur un mois, à 51 % d’image positive. Raphaël Glucksmann, deuxième, est en recul de 10 points d’un mois sur l’autre, à 49 %. François Ruffin, lui, chute de 11 points, à 45 %, et l’ancien président François Hollande de 14 points, à 43 %. Derrière eux, le socialiste Olivier Faure (-8 points), l’écologiste Marine Tondelier (-9 points) et l’Insoumis Manuel Bompard (-13 points) subissent tous le même sort.

La dynamique positive observée le mois dernier, et l’espoir né avec la formation du Nouveau Front populaire et l’accord programmatique entre les formations de l’alliance, « est quasiment effacée », observe Vincent Thibault, directeur d’études chez Elabe.

 

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