Archive pour le Tag 'confirmé'

Immobilier: La chute se confirme

Immobilier: La chute se confirme

Jusque-là beaucoup d’observateurs se montraient discrets à propos de la crise qui est en train d’affecter l’immobilier. Une crise à la fois conjoncturelle mais aussi structurelle. Une crise conjoncturelle du fait de la raréfaction des crédits qui ont diminué de l’ordre de 50 %. Une conséquence directe de la hausse des taux décidés par la banque centrale européenne. Mais aussi une crise structurelle en raison de la folle envolée des prix au cours de ces 10 à 20 ans. Des prix qui écartent du marché nombre d’acquéreurs notamment les jeunes. Une crise qu’aborde clairement le journal les Échos

Tous les indicateurs virent au rouge vif sur le ou plutôt les marchés de l’immobilier d’habitation français. Le segment du logement ancien, qui restait à des niveaux élevés malgré une nette correction engagée l’an dernier, suscite de plus en plus d’inquiétudes.

Sur un an, à fin décembre 2023, la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) table désormais sur une chute de 17 à 18 % de transactions, à 920.000 ou 930.000 ventes. Une estimation qui, selon Henry Buzy-Cazaux, président de l’Institut du management des services immobiliers (Imsi), « ne rend pas compte de la réalité ». « On a des chiffres impressionnistes, de quelques grands réseaux nationaux, mais pas d’indicateur unifié. Pour moi, la baisse est plutôt de l’ordre de 35 % », assure-t-il.

Russie : Le bourreau confirme la mort de Prigojine

Russie : Le bourreau confirme la mort de Prigojine

Comble d’hypocrisie le Kremlin confirme la liquidation de Prigogine mais s’interroge encore pour ces pour savoir s’il s’agit éventuellement d’un accident. Bref le bourreau transformé en enquêteur.

Cet assassinat par Poutine ne renforce pas réellement le pouvoir du dictateur. Il révèle en effet la grande nervosité d’un chef de l’État qui a du mal à maîtriser les différents courants qui traversent le Kremlin.
Cette fragilité pourrait se traduire dans les mois à venir par une épidémie de règlement de comptes dont la Russie a l’habitude.

La Russie a confirmé dimanche, « à l’issue d’expertises génétiques », la mort du patron du groupe paramilitaire russe Wagner, Evguéni Prigojine. Le jet privé transportant Prigojine et sa garde rapprochée s’était écrasé mercredi en fin d’après-midi dans la région de Tver, au nord-ouest de Moscou, faisant dix morts.

Les Occidentaux ont clairement attribuer la responsabilité de ce crime chef de l’Etat russe. mais Kremlin a démenti avoir ordonné d’assassiner Evguéni Prigojine, qualifiant de « spéculations » ces insinuations. Le plus proche allié de Moscou, le président du Bélarus Alexandre Loukachenko, a soutenu le Kremlin en affirmant « ne pas pouvoir imaginer » le président russe donnant l’ordre d’assassiner le patron de Wagner. Evoquant l’enquête, Vladimir Poutine a promis qu’elle serait menée « dans son intégralité » et qu’elle aboutirait à une conclusion connue évidemment d’avance,. comme le résultat des élections

Malgré la disparition de son chef, Wagner reste actif en Afrique mais son avenir est désormais en suspens. Un accusé d’exactions, d’exécutions extrajudiciaires et de tortures.

Politique- Macron confirme son immobilisme

Politique- Macron confirme son immobilisme

À l’occasion d’un discours tenu hier à Bornes les Mimosas, on attendait que le président s’explique sur cette « initiative politique majeure » qu’il a annoncée. En fait, Macron n’a rien dit sans doute simplement parce qu’ils ne sait pas lui-même de quoi sera faite cette fameuse initiative. Une nouvelle preuve de sa paralysie . Ce qui caractérise la politique globale de Macron ces derniers mois, c’est surtout sa discrétion et surtout son immobilisme. Macron on est tellement conscient qu’il a annoncé une « grande initiative politique » pour la rentrée ; en réalité une simple rencontre avec les chefs des partis politiques et qui pourrait faire pchitt comme la nouvelle majorité qu’il avait souhaitée avec les Républicains. On aura évidemment remarqué d’abord que lors de la très forte mobilisation contre la réforme des retraites, Macron à chaque grande manifestation a choisi de s’éloigner voire de partir à l’étranger. Finalement, il s’est assez peu exprimé sur cette grande mobilisation laissant à la première ministre bien isolée le soin de boucher les trous de la contestation( avec quelques vaines concertations). Après quelques semaines, La réforme est déjà obsolète et il faut reprendre l’ouvrage et sans doute faire sauter le verrou idiot de la mesure d’âge qui bloque toute évolution. C’est-à-dire ne prendre en compte que la durée de cotisation modulée en fonction de la pénibilité et de la situation des femmes. Même discrétion de Macron lors de la crise des quartiers et du putsch au Niger.

À peine fini, le mouvement de protestation contre la réforme des retraites a débouché sur la crise très violente des quartiers. Pas seulement des quartiers connus mais dans la plupart des agglomérations françaises moyennes et même petites. Là aussi Macron s’est surtout caractérisé par son grand mutisme. Il aura fallu des semaines et des semaines pour qu’il dise quelques mots sur les facteurs explicatifs de cette explosion.

Même aujourd’hui, il minimise encore les causes renvoyant aux parents la seule responsabilité comme si la société et l’État notamment l’école pouvaient se dispenser d’une analyse de leur faillite.

Au plan international, après les bavardages inutiles et particulièrement longs et ridicules de Macron avec Poutine, c’est aussi la grande discrétion en particulier à propos de la faiblesse des moyens fournis par la France. Quant aux perspectives de négociations entre les parties, elles sont renvoyées aux calendes grecques et le rôle de Macron également.

Autre échec assez dramatique aussi, celui de la force Barkhane rejetée dans des différents pays du Sahel : Mali, Burkina et maintenant Niger. Pas seulement un échec militaire d’une force complètement sous dimensionnée par rapport aux enjeux mais surtout un échec de la politique diplomatique et de développement. On continue la bonne vieille politique de développement entre institutions officielles de sorte que nombre de financements se perdent dans les sables ou dans les poches alors qu’il faudrait une politique de développement fondé sur des contrats précis et suivis . Une politique de développement via des contrats concrets et régulièrement évalués.

Une nouvelle fois, on aura observé une ou deux interventions très dures du président de la république , puis progressivement une modération de ses propos pour enfin maintenant constater le grand silence face à la complexité de la situation au Niger, au Sahel et dans la sous région.

Bref, on ne peut qu’acter le fait que désormais le président se réfugie depuis sa dernière élection dans l’immobilisme.

Immobilier : la chute se confirme

Immobilier : la chute se confirme

On se dirige tout doucement vers une chute qui pourrait atteindre jusqu’à 50 % de baisse dans les logements neufs. En effet, les réservations de logements neufs auprès des promoteurs immobiliers ont chuté de 39,9% sur un an au deuxième trimestre 2023.

Ce repli est plus fort pour les maisons (-44,9% sur un an et -16,3% par rapport au trimestre précédent) mais concerne aussi les appartements (-39,5% sur un an et -10,1% par rapport au trimestre précédent).

Le nombre de permis de construire délivrés pour l’immobilier neuf continue de diminuer, écartant toute perspective de reprise du marché. Sur un an , le total cumulé des permis de construire délivrés par les mairies a diminué de 18 % .

Contrairement aux résidences, les maisons individuelles isolées, les lotissements et les immeubles connaissent une baisse par rapport à la période pré-pandémique.

Les promoteurs pâtissent d’un contexte économique très défavorable. Tout d’abord, la remontée rapide des taux d’intérêt réduit le pouvoir d’achat des emprunteurs. Ensuite, la hausse des coûts de construction se répercute sur les prix de vente.

Autre sujet d’inquiétude dans le secteur, la diminution, annoncée par le gouvernement, des aides à la construction neuve, avec la suppression programmée de la niche fiscale Pinel et le recentrage des prêts à taux zéro.

Economie-Balance commerciale : déficit record et déclin confirmé de la France

Economie-Balance commerciale : déficit record et déclin confirmé de la France

La situation de la balance commerciale constitue en quelque sorte le principal indicateur de compétitivité d’un pays. Malheureusement le déficit record de la France témoigne du déclin du pays en particulier concernant son industrie.

Après un déficit commercial record en 2021, la balance des échanges de biens de la France a enregistré un plongeon historique en 2022 à 164 milliards d’euros. « Sur ce total, la moitié est imputable à cette balance énergétique et l’autre moitié est liée au déficit structurel qui lui se maintient », indiquait ce mardi le ministre du commerce extérieur.En cause surtout , le manque de compétitivité et l’écroulement de l’industrie dans le pays.

« Ce déficit structurel s’explique par la désindustrialisation du pays. Vingt-cinq ans de désindustrialisation se paient très cher », a- dit Olivier Becht, ministre du commerce extérieur.
Le gouvernement compte justement inverser la tendance et veut mettre l’accent sur la réindustrialisation pour relancer l’activité à l’international, après des années de baisse de la part de l’industrie dans la production. « Quand on regarde nos voisins, on a encore une marche, voire deux, voire trois, que l’on pourrait monter si nous avions une meilleure culture de l’international », a encore affirmé Olivier Becht, ministre du commerce extérieur .

Le déficit enregistré en 2022 est deux fois supérieur à celui de 2021 et 2,5 fois plus haut que la moyenne de la dernière décennie. « Le chiffre global de 2022 n’est pas une surprise. Il vient confirmer les chiffres des 11 premiers mois de l’année », expose Denis Ferrand, économiste et directeur général à COE-Rexecode interrogé par La Tribune.

>Balance commerciale : déficit record et déclin confirmé de la France

Balance commerciale : déficit record et déclin confirmé de la France

Après un déficit commercial record en 2021, la balance des échanges de biens de la France a enregistré un plongeon historique en 2022 à 164 milliards d’euros. « Sur ce total, la moitié est imputable à cette balance énergétique et l’autre moitié est liée au déficit structurel qui lui se maintient », indiquait ce mardi le ministre du commerce extérieur.En cause surtout , le manque de compétitivité et l’écroulement de l’industrie dans le pays.

« Ce déficit structurel s’explique par la désindustrialisation du pays. Vingt-cinq ans de désindustrialisation se paient très cher », a- dit Olivier Becht, ministre du commerce extérieur.
Le gouvernement compte justement inverser la tendance et veut mettre l’accent sur la réindustrialisation pour relancer l’activité à l’international, après des années de baisse de la part de l’industrie dans la production. « Quand on regarde nos voisins, on a encore une marche, voire deux, voire trois, que l’on pourrait monter si nous avions une meilleure culture de l’international », a encore affirmé Olivier Becht, ministre du commerce extérieur .

Le déficit enregistré en 2022 est deux fois supérieur à celui de 2021 et 2,5 fois plus haut que la moyenne de la dernière décennie. « Le chiffre global de 2022 n’est pas une surprise. Il vient confirmer les chiffres des 11 premiers mois de l’année », expose Denis Ferrand, économiste et directeur général à COE-Rexecode interrogé par La Tribune.

Bassines en Charente-Maritime : Le Conseil d’État confirme l’interdiction

Bassines en Charente-Maritime : Le Conseil d’État confirme l’interdiction

Le Conseil d’État a confirmé vendredi l’interdiction de remplir les cinq bassines controversées à usage agricole. Celles-ci font l’objet de nombreuses manifestations en Charente-Maritime.

Dans son jugement du 17 mai, la cour administrative d’appel avait interdit de les remplir, notant « l’insuffisance » ou « l’absence de données » de certains aspects des études d’impact avancées par les irrigants. Selon la cour, l’absence de sources de certains chiffres avancés ou des mesures ne permettait pas un « ajustement pertinent » du remplissage des réserves.

Pour demander l’annulation de l’arrêt de la cour administrative d’appel de Bordeaux, l’association syndicale de défense des bassines soutenait que ce dernier était entaché « d’une insuffisance de motivation en ce qu’il se fonde sur des motifs hypothétiques » et plusieurs « dénaturations des pièces du dossier ». Mais pour le Conseil d’État, « aucun de ces moyens n’est de nature à permettre l’admission du pourvoi ».

« On s’y attendait. On va refaire une demande d’autorisation encore une fois avec une nouvelle étude d’impact, mais cela prend du temps », a réagi à l’AFP Thierry Boucard, qui préside l’association, qui « n’a aucune obligation à reboucher les réserves » car « légales ». « Si on abandonne, c’est 5,5 millions d’euros perdus, dont 67 % d’argent public », a-t-il déploré. Avec cette décision, « on donne un permis de les dégrader ».

Voeux Macron: Le bla-bla confirmé

Voeux Macron: Le bla-bla confirmé

Traditionnellement, les vœux d’un président de la république se résument à quelques souhaits de bonheur et de santé. Quelques minutes tout au plus. Le bavard président de la république actuel en a fait une nouvelle tribune rallongeant chaque année son propos. Aujourd’hui encore , le président a adopté la tonalité moralisatrice d’un curé de campagne pour débiter pendant 20 minutes son sermon.

Celui qui n’a cessé de reculer la réforme des retraites, cette fois le promet avec la certitude de ceux qui laissent déjà transpirer leur trouille .

Sur la réforme des retraites, Emmanuel Macron a confirmé son intention de lancer « rapidement » la réforme du système de retraites, en vue d’une application « dès la fin de l’été ».

« Cette année sera en effet celle d’une réforme des retraites qui vise à assurer l’équilibre de notre système pour les années et décennies à venir », a déclaré le président lors de son allocution télévisée.

Le problème ce qu’il pourrait bien y avoir un détournement de motifs conflictuels avec des mouvements plus ou moins corporatistes concernant la question centrale qui occupe les français; à savoir, la perte de pouvoir d’achat

Sur la question environnementale, le propos du président s’est montré relativement anecdotique, histoire de nourrir le soutien des naifs écolos qui espèrent encore la lune de sa part.

La France doit « gagner » la « bataille » de la « transition écologique », a déclaré Emmanuel Macron, promettant d’« accélérer le déploiement des énergies renouvelables » en parallèle du « lancement de la construction de nouvelles centrales » nucléaires. Il a également évoquer le déploiement des voitures électriques dans le cadre du plan France 2030.

Le président a voulu aussi rassurer sur la crise de l’énergie

Et tout de suite d’ajouter sa contradiction majeure« nous continuons de remettre en service nos réacteurs nucléaires comme prévu, nous y arriverons », a-t-il assuré.

Le président a aussi évoqué de manière assez brève le Covid . Sans doute aussi pour éviter d’avoir à s’expliquer sur la nouvelle crise des hôpitaux qui se double de celle des médecins généralistes. Bref, effectivement le bla-bla habituel d’autant que rien n’est certain en matière de réforme des retraites. Une réforme de plus en plus allégée puisqu’elle ne s’appliquerait pas aux fonctionnaires et régimes spéciaux grâce à la « clause du grand-père ». Une réforme qui par ailleurs serait différée dans le temps. Bref une réformette injuste et peu efficace.

Covid France 9 août 2022 : aucun cas nouveau confirmé en 24 heures

 

Covid France 9 août 2022 : aucun cas nouveau confirmé en 24 heures 

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Par La rédaction · Publié le 9 août 2022 à 01h00
Découvrez les derniers chiffres concernant l’épidémie de covid-19 en France. D’après le dernier bilan de Santé Publique France, la France fait état de +109 morts supplémentaires au total. On recense ce lundi 8 août 2022, 152.711 morts au total et 0 nouveaux cas confirmés en 24h.

En France, le dernier bilan fourni par les autorités sanitaires concernant la pandémie de Covid-19, fait état d’au moins 0 cas confirmés soit 0 en 24h.

On enregistre lundi 8 août 2022 :  aucun cas nouveau confirmé en 24 heures ,  152.711 morts au total, +109 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.054 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 123.657 (+109 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,65 le taux d’incidence à 325,62 et la tension hospitalière à 22,2 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 18.648 (-45) personnes hospitalisées et 1.121 (-26) malades en réanimation.

 

Bilan des régions:

  • Ile-de-France : 4.936 (-96) hospitalisées, 359 (-12) en réanimation et +19 décès en 24h
  • Grand Est : 1.333 (+8) hospitalisés, 82 (-4) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.613 (-6) hospitalisés, 106 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.836 (-22) hospitalisés, 80 (-6) en réanimation et +14 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.810 (+17) hospitalisé, 78 (-3) en réanimation et +11 décès en 24h
  • Bretagne: 638 (-1) hospitalisés, 37 (+6) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Normandie : 1.059 (-2) hospitalisés, 39 (-8) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.376 (-28) hospitalisés, 85 (-4) en réanimation et +19 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 430 (+9) hospitalisés, 40 (+3) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Occitanie: 1.436 (+28) hospitalisés, , 91 (-2) en réanimation et +9 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 865 (+10) hospitalisés, 41 (0) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 757 (+26) hospitalisés, 40 (+2) en réanimation et +6 décès en 24h

Economie-Industrie automobile : la catastrophe européenne se confirme

Economie-Industrie automobile : la catastrophe  européenne se confirme

Les ventes de voitures se sont encore effondrées de 20% en Europe en mars, note l’Association européenne des constructeurs (ACEA).

En cause, les précipitations de l’Europe pour brusquer le transfert de véhicules thermiques vers des véhicules électriques. Sans parler du renforcement incohérent des normes.

Du coup ,les acheteurs potentiels de voitures sont complètement désorientés d’une part parce qu’ils ne sont pas convaincus de la fiabilité de l’électrique, d’autre part parce qu’il faut au moins multiplier le prix par deux au moins .
Il n’est même pas certain que le véhicule électrique s’imposera avant le véhicule à hydrogène. D’où l’attentisme des automobilistes qui pour l’instant préfèrent prolonger la durée de leur véhicule. D’une certaine manière , l’union européenne a tué son industrie automobile.Le contexte était déjà particulièrement mauvais pour les ventes de voiture. La guerre en Ukraine, menée par la Russie, vient renforcer la spirale baissière prise par le marché depuis la crise Covid, et la pire depuis 40 ans.

Seul Kia continue sur sa lancée (+10,1%) tandis que Hyundai baisse de 8,2%. Toyota recule de 12,2%, BMW-Mini de 20,5%, Mercedes-Smart de 13,6%

Les principaux marchés ont connu des baisses à deux chiffres, à l’image de l’Allemagne (-17,5%), la France (-19,5%), l’Italie (-29,7%), l’Espagne (-30,2%), la Pologne (-17,4%),la Belgique (-17,7%) ou la Suède (-39,5%). Près de l’UE, le marché britannique recule aussi de 14,3%.

En 2021, avec seulement 9,7 millions de véhicules vendus dans l’Union européenne, les immatriculations de voitures neuves ont fait pire qu’en 2020, pire qu’en 2013 ou 1993 années marquées d’une pierre noire.

 

Industrie automobile : la catastrophe industrielle se confirme

Industrie automobile : la catastrophe industrielle se confirme

. Les ventes de voitures se sont encore effondrées de 20% en Europe en mars, note l’Association européenne des constructeurs (ACEA).

En cause, les précipitations de l’Europe pour brusquer le transfert de véhicules thermiques vers des véhicules électriques. Sans parler du renforcement des normes.

Du coup ,les acheteurs potentiels de voitures sont complètement désorientés d’une part parce qu’ils ne sont pas convaincus de la fiabilité de l’électrique, d’autre part parce qu’il faut au moins multiplier le prix par deux au moins .
Il n’est même pas certain que le véhicule électrique s’imposera avant le véhicule à hydrogène. D’où l’attentisme des automobilistes qui pour l’instant préfèrent prolonger la durée de leur véhicule. D’une certaine manière , l’union européenne a tué son industrie automobile.Le contexte était déjà particulièrement mauvais pour les ventes de voiture. La guerre en Ukraine, menée par la Russie, vient renforcer la spirale baissière prise par le marché depuis la crise Covid, et la pire depuis 40 ans.

Seul Kia continue sur sa lancée (+10,1%) tandis que Hyundai baisse de 8,2%. Toyota recule de 12,2%, BMW-Mini de 20,5%, Mercedes-Smart de 13,6%

Les principaux marchés ont connu des baisses à deux chiffres, à l’image de l’Allemagne (-17,5%), la France (-19,5%), l’Italie (-29,7%), l’Espagne (-30,2%), la Pologne (-17,4%),la Belgique (-17,7%) ou la Suède (-39,5%). Près de l’UE, le marché britannique recule aussi de 14,3%.

En 2021, avec seulement 9,7 millions de véhicules vendus dans l’Union européenne, les immatriculations de voitures neuves ont fait pire qu’en 2020, pire qu’en 2013 ou 1993 années marquées d’une pierre noire.

 

Conflit Ukraine : du bluff confirmé ?

Conflit Ukraine : du bluff confirmé ? 

 

 

Tandis que le ton avait fortement monté entre Poutine et Biden à propos de l’Ukraine, certains se demandent si la tension ne correspond pas en faiteà des coups  politiques qui servent les intérêts intérieurs des protagonistes ( Biden et Poutine qui connaissent une sérieuse baisse de crédibilité et de popularité dans leuer pays respectifs). « C’est un coup de bluff bilatéral », a estimé samedi 12 février sur franceinfo Florent Parmentier, secrétaire général du CEVIPOF-Sciences Po. Aussi sans doute pour Macron qui se sert de l’Ukraine pour sa campagne électorale et qui intervient dans un conflit en faisant semblant d’être le médiateur. Un médiateur d’ailleurs aussitôt contredit par les autorités russes quand il attribue à Poutine des propos qui n’a pas prononcés.Ce qui fait croire aussi croire à une grande opération de bluff, c’est que les Russes n’ont pas pour habitude de prévenir quand ils investissent militairement un territoire.

 

Comment expliquez-vous les récents propos de Joe Biden sur une possible « attaque imminente » de la Russie en Ukraine ?

Florent Parmentier : Joe Biden n’a pas une opinion publique derrière lui qui est pro-guerre. L’opinion publique américaine est assez indifférente à la question de l’Ukraine donc Joe Biden doit vendre à son opinion publique et à ses alliés une victoire qui passerait par le fait de ne pas avoir d’invasion russe en Ukraine. Pour cela, il doit accentuer la pression, la tension. Plus elle est élevée plus le fait de ne pas avoir de conflit sera vécu comme une victoire : Joe Biden en faiseur de paix face à une Russie qui avait foncièrement envie d’en découdre avec l’Ukraine. Par ailleurs, Joe Biden doit rassurer les Européens les plus inquiets. Les Polonais, les Etats baltes. Il doit montrer que c’est lui qui est à la tête du leadership entre les Etats-Unis d’un côté et les Européens de l’autre. Rien ne serait pire, pour ces pays, que de voir que les Américains sont indifférents au sort de ce qu’il se passe à leurs frontières. Et puis, il s’agit de garantir la crédibilité de l’Otan et la clause de solidarité en cas d’attaque prévue par l’article 5.

C’est un coup de bluff ?

C’est un coup de bluff bilatéral. De l’autre côté on peut aussi penser que le fait, pour la Russie, de mettre autant d’hommes dans les troupes n’est pas rationnel si vous n’attaquez pas tout de suite. Si vous attendez avant d’attaquer, vous vous privez de 50% de l’efficacité d’une attaque, de l’effet de surprise. Ce qui fait dire que du côté de la Russie, l’enjeu n’est pas prioritairement d’envahir l’Ukraine. Peut-être que ce n’est même pas l’enjeu du tout. L’enjeu c’est d’obtenir une forme de garantie de sécurité, une remise en cause de l’architecture de sécurité en Europe. C’est probablement ce que vient chercher Vladimir Poutine et c’est là-dedans que la France s’est engouffrée avec l’idée d’essayer de faire des propositions qui pourraient convenir aux deux, confirmer l’engagement américain sur le sol européen et correspondre aux attentes de la Russie. La question qui se pose, c’est de savoir si ça conviendra aussi aux Ukrainiens.

Donc Vladimir Poutine n’est pas en train de préparer une invasion ?

Vladimir Poutine, à ce stade, est le maître des horloges. Il n’a pas d’élection, d’enjeux de politique intérieure, à se poser. Donc il peut faire durer cette position très inconfortable pour les Européens et les Etats-Unis et cette pression sur l’Ukraine. Attaquer ne serait pas rationnel. En revanche, la question que chacun doit se poser c’est, que se passe-t-il le jour d’après pour la Russie si elle attaque l’Ukraine ? De ce point de vue-là, il n’y a pas grand-chose à gagner pour la Russie. Il y a plus à gagner si la Russie arrive à faire accepter aux Ukrainiens les conclusions des accords de Minsk de 2014 et 2015 qui sont aujourd’hui jugés à Kiev comme étant très défavorables aux intérêts ukrainiens.

Bourse: comme prévu la correction se confirme

Bourse: comme prévu la correction se confirme

Après l’envolée évidemment très excessive des cours en fin d’année 2021, la situation se régularise avec une vague de prises de bénéfices qui provoque la correction.Pour la justifier on invoque notamment les risques géopolitiques du côté de l’Ukraine et les craintes d’un relèvement de taux.( Bien modestes cependant au regard de l’inflation réelle). En réalité nombre de gros investisseurs prennent leurs bénéfices après des hausses de cours  complètement irrationnels en 2021.

À Paris, le CAC 40 a perdu 3,97% lundi à 6.787,79 points. Ailleurs en Europe, le Dax allemand et la Bourse de Milan sont sur la même ligne. Wall Street vire également au rouge vif: en séance, l’indice Dow Jones perdait 2,40% à 33.449,39 points. L’indice élargi S&P 500 lâchait 3,04% à 4.264,31 points, et était de 11,2% en dessous de son sommet de début janvier, ce qui le plaçait en zone de correction. Volatil, le Nasdaq s’inscrivait en repli de 3,72% à 13.257,13 points après avoir glissé de plus de 4%.

La bourse de Paris avait enregistré un record de progression au cours de l’année dernière de l’ordre de 30 %. Une évolution complètement anachronique par rapport aux résultats économiques effectifs des entreprises. Surtout la conséquence des masses de liquidités déversées par la banque centrale et qui ne sont pas toutes affectées ensuite aux investissements ou même au soutien de l’exploitation des entreprises. Une grande partie de cet argent gratuit s’est trouvée impliquer dans ce qu’on peut appeler une vraie spéculation.

Depuis son sommet de la fin du mois de novembre, le Nasdaq a désormais lâché plus de 15%. La semaine dernière, l’indice des valeurs technologiques américaines a abandonné 5,6%, enregistrant ainsi sa pire performance depuis le début de la pandémie. De son côté le Dow Jones a cédé 4,5%. Bref, Wall Street a essuyé sa pire semaine depuis la panique boursière de mars 2020.La correction n’est sans doute pas terminée même s’il y aura vraisemblablement quelques mouvements de yo-yo.

Afghanistan : retrait américain au 31 août confirmé

Afghanistan : retrait américain au 31 août confirmé

 

 

 

Le président Biden après avoir envisagé un départ après le 31 août Afghanistan est revenu sur ses propositions. Cela d’autant plus que les talibans menaçaient les États-Unis de représailles. Lors d’un sommet virtuel avec ses homologues du G7, le président des Etats-Unis a donc  opposé pour l’instant une fin de non-recevoir aux alliés de Washington. Les dirigeants européens notamment plaident avec insistance pour une prolongation de la présence militaire américaine, afin de laisser plus de temps aux évacuations d’Afghans jugés à risque dans leur propre pays depuis la prise du pouvoir par les talibans.

Foot-Messi au PSG : le Qatar confirme

Foot-Messi au PSG : le Qatar confirme

Faute de moyens financiers suffisants, le FC Barcelone a dû renoncer à conclure un nouveau contrat avec sa vedette Lionel Messi. Le club est en effet affronté à de graves difficultés financières. Le salaire actuel de Lionel Messi tournait autour de 140 millions par an. Certes pour un éventuel nouveau contrat il avait consenti à diminuer de façon significative sa rémunération.

 

Cependant cela pesait encore trop sur la masse salariale de Barcelone dont les comptes sont dans le viseur des autorités internationales. D’après les déclarations du frère de l’émir du Qatar, Lionel Messi pourrait signer au PSG pour deux ans, plus une saison en option.

La venue de Messi constituerait un événement international susceptible de renforcer encore l’image mondiale du PSG qui avec le meilleur joueur du monde pourrait espérer remporter la compétition européenne.  Une réserve toutefois, il faudra que le PSG se trouve un véritable avant centre. M Bappé n’a pas le profil en dépit de son énorme talent.

 

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