Archive pour le Tag 'enfin'

Nucléaire : l’EPR de Flamanville enfin en fonctionnement

Nucléaire : l’EPR de Flamanville enfin  en fonctionnement

Avec une dizaine d’années de retard et un dépassement de plus de 10 milliards de son coup, l’EPR va enfin entrer en fonctionnement. En cause d’innombrables défectuosités liées certes à la technique mais aussi et peut-être surtout à la perte de compétences d’EDF. EDF qui n’avait pas construit en France de nouvelles centrales depuis 25 ans. Le réacteur de Civaux 2, raccordé au réseau électrique en juin 1999, est le dernier réacteur nucléaire à avoir été mis en service depuis l’EPR de Flamanville, 25 ans plus tard.

 

Finalement, une goutte d’eau dans l’océan de difficultés que le chantier a rencontré. Le dernier né des réacteurs nucléaires d’EDF sur le sol français accuse 12 ans de retard et un dépassement de budget de plus de 10 milliards d’euros pour atteindre 13,2 milliards. Il sert aussi d’étalon à EDF qui entend bien puiser dans cette expérience, tout comme celle que le groupe acquiert à l’étranger notamment à Hinkley Point en Grande Bretagne, pour mieux maîtriser la construction des six prochains EPR 2.  «Nous partageons nos retours d’expérience. Il y a un énorme effort sur ce point et sur l’industrialisation. Nous acquérons des compétences», rassure Régis Clément.

 

JO Rugby à sept : le réveil enfin

JO Rugby à sept : le réveil enfin

L’équipe de France à 7, méconnaissable  s’est enfin réveillé et a dominé ce jeudi les Argentins (26-14), en quarts de finale du tournoi olympique. Un réveil magnifique dans une ambiance folle.

Bien plus libérés que lors de leurs premières sorties, les Bleus, solides en défense et précis en attaque, prenaient logiquement les devants grâce à un essai d’Andy Timo (7-0, 4e). Et de doubler la mise, dans une ambiance complètement folle, par Aaron Grandidier (14-0, 5e). Intenables, les septistes tricolores mettaient leurs adversaires complètement sous l’éteignoir. Et inscrivaient un troisième essai avant la pause, après arbitrage vidéo, sur un superbe plongeon en coin d’Aaron Grandidier, en feu (21-0, 7e).

« Julian Assange enfin libre « 

    « Julian Assange enfin libre « 

    Julian Assange enfin libre. Le lanceur d’alerte, incarcéré depuis 2019 dans une prison au Royaume-Uni, a trouvé un accord avec l’administration Biden, rapportent plusieurs médias américains, dont nos confrères de CNN et de NBC.

    Concrètement, le fondateur de WikiLeaks a conclu un accord de plaider coupable avec le ministère américain de la Justice. En échange, il ne sera pas extradé vers les États-Unis. Au contraire, les procureurs américains réclameront une peine de 62 mois, ce qui équivaut au temps passé par Julian Assange en prison en Angleterre, explique CNN.

    Détenu depuis 2019 dans une prison de haute sécurité de Londres, il se bat pour ne pas être livré à la justice américaine, qui le poursuit pour avoir rendu publics à partir de 2010 plus de 700.000 documents confidentiels sur les activités militaires et diplomatiques américaines, en particulier en Irak et en Afghanistan.

    Parmi ces documents figure une vidéo montrant des civils, dont deux journalistes de l’agence Reuters, tués par les tirs d’un hélicoptère de combat américain en Irak en juillet 2007. Il encourait en théorie jusqu’à 175 ans de prison en vertu de la loi sur l’espionnage.

     

    Croissance Royaume-Uni : enfin un rebond

    Croissance Royaume-Uni : enfin un rebond

    Enfin un rebond de la croissance, de 0,6% au premier trimestre mais les effets de la crise de l’inflation pèsent encore .

    Après une légère contraction au second semestre 2023, l’économie britannique a repris des couleurs en début d’année. Les chiffres publiés vendredi montrent que le PIB a crû de 0,6%, grâce à un regain d’activité du commerce de détail, des transports et du secteur des soins de santé privés.

    Cette croissance dépasse les prévisions des économistes. Elle s’explique par le ralentissement de l’inflation (+3,2% en mars, sur un an) et la poursuite de la hausse des salaires. Ces deux tendances ont conduit à une très légère augmentation du pouvoir d’achat des Britanniques qui a surtout dopé le secteur des services (+0,7%). La production industrielle britannique a elle aussi progressé (+0,8 %) alors que le secteur de la construction a chuté de 0,9 %.

     

    EPR de Flamanville: Enfin le démarrage

    EPR de Flamanville: Enfin le démarrage

    Les raisons du retard d’environ une douzaine d’années pour le démarrage de l’EP est Flamanville s’expliquent par de nombreuses raisons : complexité technique, perte de compétences, insuffisance d’évaluation, nouvelles contraintes etc. Finalement le projet aura largement dérapé sur le plan financier mais permettra en tout cas va contribuer à redonner à la France une compétence technique et espérons-le économique dans le domaine du nucléaire. L’expérience sera utile pour lancer de nouveaux programmes EPR2. 

     

    Plombé par des dérapages à répétition, le chantier accumule finalement douze années de retard. Mécaniquement, la facture explose. Elle se chiffre désormais à 13,2 milliards d’euros selon EDF, soit quatre fois les 3,3 milliards d’euros envisagés initialement. Même l’addition du chantier pharaonique du tunnel sous la Manche n’a pas autant flambé.

    Ces multiples déboires ont largement été imputés au « désapprentissage » de la filière nucléaire après l’absence de projets de construction pendant une dizaine d’années, contrastant avec un rythme très soutenu, allant jusqu’à 30 chantiers en simultané, durant la présidence de Valéry Giscard d’Estaing.

    Société-Violence des mineurs : L’excuse de minorité enfin remise en cause ?

    Société-Violence des mineurs : L’excuse de minorité enfin remise en cause ?

     De nombreuses réactions évidemment certains considérant que les mesures vis-à-vis de la violence des mineurs ne sont pas assez dures et concrètes. D’autres, plutôt à gauche, qui défendent une position de bisous nounours en opposant sanction, prévention et accompagnement.

    Face à la multiplication des faits divers de délinquance impliquants des mineurs, « on ne peut pas rester les bras ballants », a assuré Eric Dupond-Moretti, vendredi 19 avril sur RTL, défendant les annonces faites la veille par le Premier ministre. Jeudi, Gabriel Attal a annoncé l’ouverture d’une série de chantiers pour réformer la justice des mineurs, lors d’une visite à Viry-Châtillon, où un adolescent de 15 ans est mort après avoir été agressé à la sortie de son collège. Dans cette affaire, quatre jeunes hommes, dont trois mineurs, ont été mis en examen pour « assassinat »

    Pour répondre à ce type de violence, le Premier ministre a promis de « réinstaurer l’autorité, partout et pour tous ». Il a évoqué plusieurs pistes sur le plan judiciaire, et notamment la possibilité d’atténuer le principe d’excuse de minorité, qui implique des sanctions moins sévères pour les moins de 18 ans que pour les majeurs.  Emmanuel Macron a demandé à Gabriel Attal, lors du Conseil des ministres du mercredi 17 avril, de lancer une concertation pour trouver des solutions au  »surgissement de l’ultraviolence », en particulier parmi les plus jeunes, avec l’objectif d’aboutir à un projet de loi avant l’été.

    Le lendemain, devant le parvis de l’hôtel de ville de Viry-Châtillon, le Premier ministre a souligné l’urgence de réformer la justice des mineurs. « Il y a deux fois plus d’adolescents impliqués pour coups et blessures, quatre fois plus pour trafic de drogue, et sept fois plus dans les vols avec armes que dans la population générale », a-t-il énuméré jeudi, en ciblant également « l’entrisme islamiste qui va croissant ».

    « L’autorité et la règle commune sont trop souvent défiées par certains jeunes », a estimé Gabriel Attal. Une situation qui découle, selon lui, de la différence entre les peines appliquées selon l’âge des mis en cause. « Aujourd’hui si deux jeunes, l’un de 17 ans et l’autre de 18 ans, commettent un vol (…) et qu’ils sont arrêtés en même temps, celui de 18 ans pourra être jugé et sanctionné le jour même, a rappelé le Premier ministre. Alors que pour celui de 17 ans, (…) s’ensuivra une procédure plus longue et différenciée. » Cela renforce « le sentiment d’impunité chez les jeunes », juge le Premier ministre.

    De nombreuses réactions évidemment certains considérant que les mesures ne sont pas assez dures et concrètes. D’autres, plutôt à gauche, qui défendent une position de bisous nounours en opposant sanctions, prévention et accompagnement.

    Violence des mineurs : L’excuse de minorité enfin remise en cause ?

    Violence des mineurs : L’excuse de minorité enfin remise en cause ?

     De nombreuses réactions évidemment certains considérant que les mesures vis-à-vis de la violence des mineurs ne sont pas assez dures et concrètes. D’autres, plutôt à gauche, qui défendent une position de bisous nounours en opposant sanction, prévention et accompagnement.

    Face à la multiplication des faits divers de délinquance impliquants des mineurs, « on ne peut pas rester les bras ballants », a assuré Eric Dupond-Moretti, vendredi 19 avril sur RTL, défendant les annonces faites la veille par le Premier ministre. Jeudi, Gabriel Attal a annoncé l’ouverture d’une série de chantiers pour réformer la justice des mineurs, lors d’une visite à Viry-Châtillon, où un adolescent de 15 ans est mort après avoir été agressé à la sortie de son collège. Dans cette affaire, quatre jeunes hommes, dont trois mineurs, ont été mis en examen pour « assassinat »

    Pour répondre à ce type de violence, le Premier ministre a promis de « réinstaurer l’autorité, partout et pour tous ». Il a évoqué plusieurs pistes sur le plan judiciaire, et notamment la possibilité d’atténuer le principe d’excuse de minorité, qui implique des sanctions moins sévères pour les moins de 18 ans que pour les majeurs.  Emmanuel Macron a demandé à Gabriel Attal, lors du Conseil des ministres du mercredi 17 avril, de lancer une concertation pour trouver des solutions au  »surgissement de l’ultraviolence », en particulier parmi les plus jeunes, avec l’objectif d’aboutir à un projet de loi avant l’été.

    Le lendemain, devant le parvis de l’hôtel de ville de Viry-Châtillon, le Premier ministre a souligné l’urgence de réformer la justice des mineurs. « Il y a deux fois plus d’adolescents impliqués pour coups et blessures, quatre fois plus pour trafic de drogue, et sept fois plus dans les vols avec armes que dans la population générale », a-t-il énuméré jeudi, en ciblant également « l’entrisme islamiste qui va croissant ».

    « L’autorité et la règle commune sont trop souvent défiées par certains jeunes », a estimé Gabriel Attal. Une situation qui découle, selon lui, de la différence entre les peines appliquées selon l’âge des mis en cause. « Aujourd’hui si deux jeunes, l’un de 17 ans et l’autre de 18 ans, commettent un vol (…) et qu’ils sont arrêtés en même temps, celui de 18 ans pourra être jugé et sanctionné le jour même, a rappelé le Premier ministre. Alors que pour celui de 17 ans, (…) s’ensuivra une procédure plus longue et différenciée. » Cela renforce « le sentiment d’impunité chez les jeunes », juge le Premier ministre.

    De nombreuses réactions évidemment certains considérant que les mesures ne sont pas assez dures et concrètes. D’autres, plutôt à gauche, qui défendent une position de bisous nounours en opposant sanctions, prévention et accompagnement.

     

     

    Interdire enfin les Smartphones en classe

    Interdire enfin les Smartphones en classe

    Après des décennies de déni, un consensus s’est enfin imposé dans le débat public sur la nécessité de remettre de l’autorité à l’école. Seulement, il ne suffit pas de décréter un retour de l’ordre pour qu’il s’opère concrètement. Pour cela, il est impératif de provoquer une rupture dans les habitudes de nos enfants qui peuvent nuire à leur parcours scolaire. C’est le cas, en particulier, de leur relation aux écrans. Nos enfants passent dix fois plus de temps sur les écrans qu’à lire. En 2023, les jeunes de 7 à 19 ans ont lu 19 petites minutes par jour, contre 3 heures et 11 minutes passées devant un écran, selon une étude publiée par le Centre national du livre.

     (par Agnès Evren, sénatrice de Paris, vice-présidente des Républicains) dans la Tribune

    Et sans surprise ils ne privilégient que rarement les documentaires, les pépites du cinéma ou tout autre contenu qui les tireraient vers le haut : en 2022, dans le monde, les enfants ont passé en moyenne près de deux heures par jour sur… TikTok. Les jeunes sont victimes de la bataille de l’attention que se livrent les plateformes. Alors qu’auparavant l’école marquait une rupture dans leur journée, la vie scolaire se confond désormais avec la vie à la maison : scroller, poster, liker et partager du contenu.

    Si les écrans sont à bien des égards porteurs de progrès et d’opportunités, l’hyper-connexion a des effets délétères sur nos enfants. Un usage abusif des écrans, en particulier chez les mineurs, a un impact sur la santé physique (déséquilibre alimentaire, mauvaises postures, troubles du sommeil, manque d’activité, fatigue visuelle) et mentale (repli sur soi et désocialisation, troubles dépressifs).

    Les smartphones contribuent aussi à la baisse de niveau de nos enfants à l’école. Ils représentent une source majeure de perturbations et de distractions pour les élèves, nuisant à leur capacité de concentration. L’Unesco recommande d’interdire les smartphones dans les écoles, soulignant qu’un temps d’écran élevé a un effet négatif sur la stabilité émotionnelle des élèves. Or, l’école doit être le lieu de la transmission des savoirs et des apprentissages.

    Sans l’attention pleine et entière de chaque élève, nous n’enrayerons pas l’effondrement du niveau scolaire. Enfin, l’hyperconnexion fragilise la vie de l’école : fragmentation communautaire, prolifération des fake news, harcèlement. Sur ce dernier point, les réseaux sociaux sont devenus un élément consubstantiel au cyberharcèlement, à la cyberintimidation et plus largement à la violence à l’école. Un nombre croissant de jeunes filment des bagarres à l’école, ou des conflits entre élèves et enseignants, et postent les vidéos sur les réseaux. L’éducation à un usage raisonnable et intelligent des écrans constitue donc une priorité. Exigeante, elle relève d’abord des parents, et il faut autant que possible accompagner les familles en ce sens.

    Mais il y a une mesure simple à prendre immédiatement pour remettre les smartphones à leur juste place : les sortir des écoles et des collèges. Les téléphones portables n’ont pas leur place en classe.

    En effet, l’élève n’a pas besoin d’un smartphone, ni en cours pour suivre un enseignement, ni pendant les pauses pour se reposer, se divertir ou socialiser. Le temps scolaire doit être préservé de ces comportements addictifs et consacré à d’autres sources de découverte du monde, au lien avec l’adulte enseignant, aux contenus plus longs, au travail collectif et aux interactions humaines.

    L’interdiction de l’usage du téléphone portable, prévue dans une loi de 2018, n’est pas appliquée dans les faits. En effet, malgré cette interdiction « dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges et pendant toute activité liée à l’enseignement qui se déroule à l’extérieur de leur enceinte », de nombreux élèves continuent en pratique à utiliser leurs smartphones au sein de leur établissement, y compris sur leur temps d’étude.

    Or, l’efficacité d’une interdiction véritablement suivie d’effets a déjà été étayée par l’exemple de l’Espagne, les deux régions de Galice et de Castille-León ayant interdit l’utilisation de téléphones portables dans les écoles à partir de 2014. Une étude espagnole a établi en 2022 des réductions notables de l’incidence de cyberharcèlement dans les deux régions, et l’Espagne est le pays présentant le plus bas niveau de cyberharcèlement par les garçons.

    Éclairés par ces résultats et face à l’urgence, ne tergiversons pas : interdisons le port du téléphone portable à l’intérieur des établissements scolaires.

    Ukraine-Les États-Unis votent enfin le nouveau soutien

    Ukraine-Les États-Unis votent enfin le nouveau soutien

     

    Après des mois de paralysie, le congrès vote enfin le nouveau soutien à l’Ukraine. Des mesures qui représentent 61 milliards de dollars pour l’Ukraine. 
    Le Congrès américain a fini par voter la reprise de l’aide militaire à l’Ukraine. Après des mois de blocage, la Chambre des représentants réunie en session extraordinaire samedi a approuvé un budget de 95 milliards de dollars d’aide à l’Ukraine, à Israël et à Taïwan. Les démocrates et les républicains se sont unis pour voter massivement ces mesures, jusqu’à présent bloquées par une minorité d’élus républicains trumpistes. Des élus ont applaudi le vote de la Chambre et ont brandi des drapeaux ukrainiens bleu et jaune.

    Votées en textes séparés, ces mesures représentent 61 milliards de dollars pour l’Ukraine, 26 milliards de dollars pour Israël et l’aide humanitaire aux civils dans les zones de conflit, dont Gaza, et 8 milliards de dollars pour la région Indo-Pacifique, et en particulier Taïwan. L’aide à l’Ukraine a été approuvée par 311 voix contre 112.

    Les États-Unis votent enfin le nouveau soutien à l’Ukraine

    Les États-Unis votent enfin le nouveau soutien à  l’Ukraine

     

    Après des mois de paralysie, le congrès vote enfin le nouveau soutien à l’Ukraine. Des mesures qui représentent 61 milliards de dollars pour l’Ukraine. 
    Le Congrès américain a fini par voter la reprise de l’aide militaire à l’Ukraine. Après des mois de blocage, la Chambre des représentants réunie en session extraordinaire samedi a approuvé un budget de 95 milliards de dollars d’aide à l’Ukraine, à Israël et à Taïwan. Les démocrates et les républicains se sont unis pour voter massivement ces mesures, jusqu’à présent bloquées par une minorité d’élus républicains trumpistes. Des élus ont applaudi le vote de la Chambre et ont brandi des drapeaux ukrainiens bleu et jaune.

    Votées en textes séparés, ces mesures représentent 61 milliards de dollars pour l’Ukraine, 26 milliards de dollars pour Israël et l’aide humanitaire aux civils dans les zones de conflit, dont Gaza, et 8 milliards de dollars pour la région Indo-Pacifique, et en particulier Taïwan. L’aide à l’Ukraine a été approuvée par 311 voix contre 112.

    Violence des mineurs : une réflexion enfin !

    Violence des mineurs : une réflexion enfin !

     Emmanuel Macron a demandé à Gabriel Attal de lancer une grande concertation sur la question des violences des mineurs. Le président de la République veut que cette concertation commence jeudi, alors que plusieurs faits divers impliquant des jeunes ont marqué les esprits ces dernières semaines.

     

    Alors que plusieurs faits divers violents, impliquant des mineurs, ont marqué l’actualité dernièrement, avec par exemple l’agression de Samara à la sortie de son collège à Montpellier ou la mort de Shemseddine à Viry-Châtillon, le président de la République souhaite lancer cette concertation avec la « même mobilisation d’ampleur » que les mesures lancées contre les violences faites aux femmes.

    « Quand l’horreur des féminicides a saisi la société, grâce à la mobilisation des associations, nous avons lancé le Grenelle des violences conjugales qui nous a permis de mettre tout le monde autour de la table et de produire des résultats majeurs sur lequel nous travaillons aujourd’hui encore », a déclaré Emmanuel Macron lors du Conseil des ministres, toujours selon ce participant. Il souhaite impliquer plusieurs acteurs, « maires, associations, parents, professeurs ».

    Selon Emmanuel Macron, « le surgissement de l’ultraviolence dans le quotidien, chez des citoyens de plus en plus jeunes, exige un travail de temps long et qui engage tous acteurs. C’est seulement ainsi que nous pourrons mettre fin au processus de décivilisation que j’ai dénoncé ». Le Premier ministre Gabriel Attal sera en déplacement jeudi à Viry-Châtillon sur le thème de l’autorité.

    Foot-PSG-Barça: enfin ….ouf !

    Foot-PSG-Barça: enfin ….ouf !

     

    Enfin un résultat très satisfaisant et surtout un match plein pour une équipe parisienne dont on commençait à douter de son avenir surtout après le départ prévu de son leader Mbappé.

    Il est vrai que que tout au long de la saison le PSG n’a pas montré grand chose ni dans la ligue des champions et encore moins dans le championnat de France très ennuyeux qu’il va encore remporter.

    Un championnat de France sorte de deuxième division du monde du football européen loin derrière l’Angleterre, l’Espagne, l’Allemagne et l’Italie.

    Du coup les meilleurs joueurs recrutés au PSG ont tendance aussi à se laisser endormir par le rythme de sénateur du championnat de ligue 1. Mais cette fois le PSG a tenu le pari est réussi à son tour la  le Barça.

    Reste à savoir maintenant si les parisiens vont continuer sur ce rythme pour pouvoir affronter maintenant en demi-finale Dortmund. Encore une équipe allemande qui n’a pas pour habitude de lâcher prise ni dans son championnat national ni en Europe

    Sept ans après la terrible remontada, les Parisiens ont donc à leur tour retourné la situation (4-1), mardi en Catalogne, avec un doublé de Kylian Mbappé.

    Attentat Russie : Poutine reconnaît enfin la responsabilité de l’État islamique

    Attentat Russie : Poutine reconnaît enfin la responsabilité de l’État islamique

    Il aura fallu trois jours pour que Poutine reconnaisse enfin la responsabilité de l’État islamique même s’il maintient de vagues liens de  avec l’Ukraine. Pourtant la plupart des pays avaient dénoncé par avance toute instrumentalisation de cette affaire et toute relation avec l’Ukraine. Cela d’autant plus que la Russie avait été prévenue par les renseignements américains. Malheureusement toujours isolé dans sa tour d’ivoire, Poutine avait méprisé cette information.

    C’est un coup dur pour les services de renseignements de Poutine préoccupés surtout de corruption, de répression en interne et de règlement de comptes en Ukraine. C’est aussi un coup dur pour Poutine qui démontre ainsi sa fragilité au sein même de ce « sud global  » très ambigu caractérisé par les régimes politiques essentiellement autoritaires.

    «Nous savons que (ce) crime a été commis par des islamistes radicaux ayant une idéologie contre laquelle le monde islamique se bat lui-même depuis des siècles», a-t-il déclaré lors d’une réunion gouvernementale. «Ce qui nous intéresse, c’est le commanditaire» a déclaré Poutine n’écartant pas les liens avec l’Ukraine. Pourtant la plupart des pays dans le monde admettent la responsabilité de l’État islamique qui a d’ailleurs revendiqué l’attentat.

    La lutte contre le terrorisme «nécessite une coopération internationale totale», a estimé lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, mais celle-ci «n’existe pas du tout». Le président français Emmanuel Macron a quant à lui assuré avoir proposé à Moscou «une coopération accrue» sur le sujet, précisant que la branche de l’EI «impliquée» dans l’attaque de vendredi avait mené ces derniers mois «plusieurs tentatives» sur le sol français.

    Etat de guerre enfin reconnu en Russie

    Etat de guerre enfin reconnu en Russie

    La Russie qui pendant longtemps a considéré l’attaque de l’Ukraine comme une opération spéciale reconnaît aujourd’hui la situation de guerre.

    Pour la première fois, la Russie se considère en « état de guerre » en Ukraine du fait de l’intervention des pays occidentaux, a déclaré le Kremlin, vendredi 22 mars.
      « Nous sommes en état de guerre. Oui, [l’invasion de l’Ukraine] a commencé comme une opération militaire spéciale, mais dès que l’Occident est devenu un participant au conflit et du côté ukrainien, cela est devenu une guerre pour nous », a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov à l’hebdomadaire Argumenty i Fakty (« Faits et arguments »).  Dmitri Peskov a précisé que la Russie ne pouvait laisser exister à ses frontières un Etat capable de tout pour prendre le contrôle de la Crimée, considérée comme partie intégrante de la Russie par Moscou. Dans l’entretien, le porte-parole du Kremlin a également rappelé l’objectif du pouvoir russe : la conquête des régions ukrainiennes de Kherson, Donetsk, Lougansk et Zaporijjia.
     Le changement de ton est spectaculaire : depuis deux ans, le Kremlin réprimait (via des amendes et des peines de prison) l’utilisation du mot « guerre », parlant d’« opération militaire spéciale ».

    Le déficit commercial français se réduit…enfin!

    Le déficit commercial français se réduit…enfin!


    Le déficit commercial de la France s’est réduit en novembre 2023 à 7,4 milliards d’euros, favorisé par une progression des exportations et un recul des importations, selon des données des Douanes publiées ce mardi. La balance commerciale s’est alors améliorée de 300 millions d’euros par rapport au mois d’octobre qui avait affiché un déficit de 7,7 milliards d’euros, selon des chiffres actualisés par rapport au mois précédent.

    Dans le détail, les exportations françaises ont progressé de 200 millions d’euros sur un mois, pour atteindre 49,6 milliards d’euros, tandis que les importations ont diminué de 100 millions d’euros pour s’afficher à 57 milliards d’euros, indiquent les Douanes.

    Cumulé sur douze mois, soit depuis février, le déficit commercial s’améliore également et a atteint fin novembre 110,3 milliards d’euros, laissant présager d’un résultat autour de 100 milliards d’euros lors de la publication annuelle le mois prochain. Pour rappel, sur l’ensemble de l’année 2022, il avait culminé à un montant record de 164 milliards d’euros, plombé par le coût de l’énergie importée par la France.

    C’est, en effet, la facture énergétique qui, après avoir lourdement pesé sur la balance commerciale française durant toute l’année 2022 montre des signes d’amélioration depuis plusieurs mois, qui explique, en partie, les bons résultats de novembre. Le solde énergétique s’est amélioré, porté par la baisse du prix des produits énergétiques importés. Le déficit de la balance énergétique est désormais de 5 milliards d’euros, en amélioration de 100 millions d’euros par rapport à octobre.

    Hors énergie, le solde commercial français continue aussi de s’améliorer, en déficit de 4,3 milliards contre 4,6 milliards d’euros le mois précédent. Du côté des échanges de services, l’excédent est stable, à 2 milliards d’euros, a indiqué la Banque de France dans un communiqué également publié mardi.

    Au total, le solde des transactions courantes (un indicateur qui englobe à la fois les échanges de biens, de services et de revenus) est déficitaire de 2,8 milliards d’euros, après un déficit de 3,4 milliards d’euros le mois précédent.

    Fin 2022, 145.700 entreprises françaises exportaient. Le gouvernement veut porter ce nombre à 200.000 d’ici à 2030.

    (Avec AFP)

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