Archive pour le Tag 'referendum'

Retraites : Bayrou envisage un référendum pour dépasser les corporatismes et les incompétences

Retraites : Bayrou envisage un référendum pour dépasser les corporatismes et les incompétences
Les partenaires sociaux risquent de faire une grave erreur en accroissant leur clivage et leurs contradictions. Macron les avait complètement ignorés, c’était donc l’occasion de réinsérer les organisations représentatives dans le dialogue social. Mais certains déjà préfèrent partir avant même que les travaux est déjà commencé comme FO. Pas vraiment une grande perte compte-tenu de la compétence de son secrétaire général. Il faudra aussi compter avec le radicalisme de la CGT , du corporatisme d’autres. Du coup ,Bayrou envisage de surmonter les oppositions en élargissant le débat dans le cadre  d’un référendum. Un piège qui pourrait bien discréditer encore un peu plus des organisations déjà en perte de vitesse du fait de leur manque de compétence et de courage

 

 

« J’ai toujours dit que lorsque des questions sont bloquées, lorsqu’il n’y a pas de résolution possible, le référendum est une issue », explique le chef du gouvernement.« Il faut que nous nous interrogions sur une trajectoire, peut-être à vingt ans, pour parvenir à un rééquilibrage, avec des méthodes différentes, novatrices. »
Dans une lettre de mission envoyée mercredi soir, François Bayrou demande désormais aux partenaires sociaux de rétablir l’équilibre du système dans un délai de cinq ans, ce qui implique de trouver 6 milliards d’euros d’économies supplémentaires d’ici 2030. Jusqu’à présent, le gouvernement exigeait simplement que les comptes ne soient pas « dégradés ». Mais le Premier ministre exclut toute baisse des pensions : « L’accepter, ce serait rendre impossible la réforme », tranche-t-il. « La retraite, disait-on autrefois, est un salaire différé. Je fais droit à cette approche. »

Il estime également qu’un système par points, esquissé sous l’ancien Premier ministre Édouard Philippe, « ne sera probablement pas la solution retenue, car elle est très exigeante ». Pour autant, il reconnaît ses trois avantages : « garantir l’équilibre financier du système, offrir un choix plus individualisé du départ en retraite et donner aux partenaires sociaux la responsabilité de la gestion, du moins dans le privé. »

me obtenue par l’AFP. François Bayrou a promis que si les partenaires sociaux parviennent à un accord pour amender la très impopulaire réforme de 2023, le texte sera soumis au Parlement.

(Avec AFP)

Politique–Loi ou référendum sur l’immigration ?

Politique–Loi ou référendum sur l’immigration ?
Retailleau, le ministre de la justice serait partisan d’un référendum sur l’immigration, il rejoint d’une certaine manière la proposition de Darmanin, ministre de la justice. Sur cette question évidemment très sensible, le premier ministre tente de prendre de la hauteur. Il n’exclut pas de légiférer.

Par contre il souhaite un débat préalable et large. «La question pour moi, a voulu préciser le maire de Pau, est beaucoup plus large : qu’est-ce que c’est d’être français ? À quels droits et, surtout, à quels devoirs cela ouvre-t-il ? À quoi croyons-nous ensemble ? À quoi adhérons-nous en entrant dans la communauté nationale ? À quoi adhèrent ceux qui naissent français ? Au nom de quelle légitimité devient-on français ?»

Pour lui un changement de loi paraît nécessaire dans la mesure où le dispositif législatif ne permet pas par exemple de renvoyer chez lui en Algérie cet influenceur pourtant condamné à plus de 10 ans de prison.

À noter que la gauche dans son ensemble considère la question comme hors sujet ! Encore un déni de réalité même si un référendum n’est pas forcément pertinent juridiquement (Il faudrait sans doute modifier la constitution) et politiquement (Un plébiscite a priori mais qui pourrait se transformer en référendum anti Macron) .

Loi ou référendum sur l’immigration ?

Loi ou référendum sur l’immigration ?

Retailleau, le ministre de la justice serait partisan d’un référendum sur l’immigration, il rejoint d’une certaine manière la proposition de Darmanin, ministre de la justice. Sur cette question évidemment très sensible le premier ministre tente de prendre de la hauteur. Il n’exclut pas de légiférer.
Par contre il souhaite un débat préalable et large.  «La question pour moi, a voulu préciser le maire de Pau, est beaucoup plus large : qu’est-ce que c’est d’être français ? À quels droits et, surtout, à quels devoirs cela ouvre-t-il ? À quoi croyons-nous ensemble ? À quoi adhérons-nous en entrant dans la communauté nationale ? À quoi adhèrent ceux qui naissent français ? Au nom de quelle légitimité devient-on français ?» 
Pour lui un changement de loi paraît nécessaire dans la mesure où le dispositif législatif ne permet pas par exemple de renvoyer chez lui en Algérie cet influenceur pourtant condamné à plus de 10 ans de prison.

 

 

Macron essaye d’exister avec de vagues projets de référendum

Macron essaye d’exister avec de vagues projets de référendum

Le président de la république depuis la dissolution de l’Assemblée nationale et sa recomposition hétéroclite qui n’offre aucune certitude de stabilité se trouve lui aussi privé de pouvoir. Pour exister, il multiplie donc les déplacements l’étranger et  tente de donner un coup de vernis positif à la situation politique du pays comme par exemple :la non-censure obtenue par Bayrou , l’amorce de la « culture du compromis » qu’il attendait de voir émerger depuis 2022 !.

Le président souligne aussi avec beaucoup d’hypocrisie un progrès de la démocratie sociale à propos du conclave sur les retraites. Une vraie hypocrisie pour Macron qui s’est toujours efforcé de tuer la concertation dans les institutions et qui s’est affranchi de la concertation avec les organisations sociales.

Bref le président essaye de récupérer à son compte quelques aspects positifs de la vie politique sur laquelle pourtant il n’a plus de prise.

D’où la réaffirmation de lancer plusieurs référendums dont pourtant ils ne précisent pas l’objet. L’essentiel pour lui étend de donner l’impression qu’il consulte directement les Français. Le problème c’est que ça popularité est tellement basse qu’il aurait les plus grandes chances de voir un référendum quelque soit le motif devenir une consultation anti Macon.

 

Après le référendum contre Macron, le référendum contre le RN

Après le référendum contre Macron, le référendum contre le RN

L’ambiguïté du statut juridique des législatives se confirme chaque jour. Beaucoup considèrent que le premier tour a surtout été un référendum contre Macron. Ce que confirment d’ailleurs certains sondages qui montrent que la moitié des électeurs voulaient surtout sanctionner le président. Le second tour pourrait lui être un référendum contre le rassemblement national. En tout cas c’est ce que pense le député européen Raphaël Glucksmann. Cela démontre à l’évidence qu’à défaut de front républicain cohérent les adversaires du RN adoptent une position défensive.

Invité de TF1 lundi soir, le député européen PS-PP Raphael Glucksmann a dressé les enjeux du second tour : «C’est un référendum pour ou contre le RN. Voulez-vous oui ou non de l’extrême droite au pouvoir en France ? Qu’il soit dirigé par la famille Le Pen ?» «Il faut un vote, un bloc démocrate. Si on arrive à bloquer la majorité RN, nous aurons une assemblée éclectique, éclatée, nous devrons nous comporter en adultes, voir comment on gère cette situation», a exhorté l’essayiste.

Concernant les désistements, il a jugé qu’il «n’y a jamais de choix qui nous fait plaisir, mais (il) veut que l’on hiérarchise les menaces, les périls (…) et aujourd’hui, il faut savoir s’effacer.»

Législatives : une participation record pour ce référendum contre Macron

Législatives : une  participation  record pour ce referendum contre Macron

 

Le taux de participation au premier tour des élections législatives atteint 67,5% pour la France entière, selon les dernières estimations de l’institut Elabe pour BFMTV, RMC et « La Tribune Dimanche ».

On observe une participation record pour le premier tour des législatives qui pour une grande partie se sont transformés en référendum contre Macron. Ce qu’ont d’ailleurs démontré plusieurs sondages mettant en avant que 50 % des votants voulaient régler leur compte au président de la république. Du coup,  le camp présidentiel qui n’a obtenu qu’autour de 20 % pourraient bien s’inscrire progressivement dans la voie de l’extinction. Malheureusement la crise politique est loin d’être terminée car il n’est pas du tout certain que se dégage une majorité absolue et même dans ce cas les conflits seront importants entre un éventuel gouvernement RN et Macron

Avec 67,5% de suffrages exprimés ce dimanche selon Elabe pour BFMTV, RMC et « La Tribune Dimanche », cela faisait plus de vingt-cinq ans que la participation n’avait pas été aussi élevée pour un premier tour d’élections législatives en France.

La dernière fois remonte à la dissolution de 1997, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur (67,9%). Depuis, la participation n’avait cessé de s’effondrer (64,4% en 2002, 60,4% en 2007, 57,2% en 2012 et 48,7% en 2017), jusqu’à atteindre son plus bas niveau historique lors des dernières élections législatives en 2022 (47,5%), avec moins d’un inscrit sur deux se rendant aux urnes. Pour mémoire, le plus haut niveau de participation depuis le début de la Ve République avait été atteint en 1978 avec 82,8%.

Le séisme de la dissolution de l’Assemblée nationale annoncée par Emmanuel Macron le 9 juin, et les enjeux du scrutin, qui pourrait ouvrir la voie à l’accession de l’extrême droite au pouvoir, ont fortement mobilisé les Français. À 17 heures, le taux de participation atteignait déjà 59,39%, soit 20 points de plus qu’en 2022.

Autre record : la barre des deux millions de procurations pour participer aux scrutins des législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet a été franchie mercredi soir, a-t-on appris jeudi auprès du ministère de l’Intérieur.

 

Référendum national pour la Nouvelle-Calédonie : encore une initiative irresponsable de Macron

Référendum national pour la Nouvelle-Calédonie : encore une initiative irresponsable de Macron

 

Une nouvelle fois le président de la république prend une initiative irresponsable vis-à-vis de la Nouvelle-Calédonie en menaçant en réalité d’un référendum national. C’est évidemment en plus en contradiction avec le souhait de trouver un accord local comme le prévoient les accords de Nouméa.

La première provocation de Macron a été de bousculer le calendrier électoral et de  modifier plus rapidement que prévu l’évolution du collège électoral. Ce référendum national maintenant constitue en fait une sorte de chantage qui va encore compliquer un peu plus une situation déjà difficile

Le président de la République s’est dit prêt à soumettre au référendum national la réforme contestée, notamment si les élus locaux échouaient à s’accorder entre eux, dans un entretien au Parisien.
Emmanuel Macron s’est dit prêt à soumettre au référendum national la réforme contestée du corps électoral en Nouvelle-Calédonie, notamment si les élus locaux échouaient à s’accorder sur le sujet, dans un entretien au Parisien paru samedi 25 mai. «Je peux aller à tout moment au référendum» sur cette réforme déjà adoptée par le Sénat puis l’Assemblée, a fait valoir Emmanuel Macron, qui avait déjà effleuré l’hypothèse jeudi, de Nouméa. Il s’agit d’une simple «lecture de la Constitution», non pas d’«une intention», a précisé dimanche Emmanuel Macron, en marge d’une visite d’État en Allemagne.

De toute évidence le message de Macon est brouillé du fait de son en même temps permanent qui hésite entre fermeté et dialogue. Dernier exemple la levée sans doute prématuré de l’État d’urgence

«Ils m’ont tous donné l’engagement de reprendre la discussion globale», a indiqué Emmanuel Macron, estimant qu’«on ne pourra pas dire que je n’ai pas donné le maximum pour donner toutes ses chances à la paix». Le chef de l’État avait ainsi ouvert la porte à un vote des Calédoniens sur un potentiel accord né des discussions entre élus locaux. Avec l’espoir de faire baisser la tension qui restait toujours vive samedi. «Même si on arrive à la fin des violences, il faudra revivre ensemble. C’est ça le plus dur», est convenu le chef de l’État.

Nouvelle-Calédonie : un référendum national ?

Nouvelle-Calédonie : un référendum national ?

Faute d’accord local Macron a déclaré qu’il envisageait éventuellement un référendum national. 

Après un vote dans les mêmes termes des deux chambres, le président peut en effet choisir, pour entériner une réforme constitutionnelle, de convoquer un référendum ou bien le Congrès, c’est-à-dire la réunion des députés et sénateurs à Versailles. C’est cette dernière option qui était jusque-là privilégiée, alors que les parlementaires devaient entériner ce dégel du corps électoral avant la «fin juin», avait indiqué mi-mai Emmanuel Macron.

«Ils m’ont tous donné l’engagement de reprendre la discussion globale», a indiqué Emmanuel Macron, estimant qu’«on ne pourra pas dire que je n’ai pas donné le maximum pour donner toutes ses chances à la paix».

Les « Insoumis » demandent un référendum sur le budget !!!

Les Insoumis demandent un référendum sur le budget !!!

 

 

 

Sans doute en mal de proposition, le parti de Mélenchon réclame un référendum sur la coupe de 10 milliards du budget. D’abord un référendum sans doute inconstitutionnel; Ensuite surtout une pure démagogie; C’est un comme si on demandait aux Français s’ils  souhaitent payer moins d’impôts.!

 

 

D’un côté un gouvernement incompétent et qui manque de courage en matière de gestion budgétaire et de l’autre l’extrême-gauche complètement irresponsable qui veut un référendum à propos des 10 milliards de coupes envisagées pour un budget de 2024 déjà obsolète. Après 10 milliards de coupes dans les dépenses pour 2024, le ministre se ménagerait déjà une éventuelle issue de secours pour mettre en place d’autres mesures d’urgence dans les prochains mois. 
Quelle que soit leur nature, ces coupes soudaines dans un budget à peine adopté ne manqueront pas de faire crier les oppositions et de crisper les membres du gouvernement, priés – bien que dans des proportions différentes – de se serrer la ceinture. Le texte initialement adopté à grands coups de 49.3 était déjà le fruit d’un compromis difficile entre l’impératif de réduction des déficits, le mantra de la majorité de ne pas augmenter les impôts et la pression des ministères qui réclamaient du budget pour faire face à l’inflation. Ainsi, alors qu’en rentrant dans la séquence, Bercy n’avait de cesse de jurer que ce PLF serait celui du retour au sérieux budgétaire, le budget 2024 ne présentait pas d’économies structurelles d’ampleur en dehors de celles réalisées sur la fin du bouclier tarifaire (14 milliards de moins, tout de même, grâce à la fin de cette aide exceptionnelle).

Pour l’instant, Bercy et Matignon évitent un nouveau psychodrame en optant pour des mesures d’économies par décret, et pour cause puisque le gouvernement n’a pas de majorité.

De toute façon , le référendum demandé par les « Insoumis  » est exclu à la fois ridicule et irresponsable.

 

Les Insoumis pour un référendum sur le budget !!!

Les Insoumis pour un référendum sur le budget !!!

 

 

 

Sans doute en mal de proposition, le parti de Mélenchon réclame un référendum sur la coupe de 10 milliards du budget. D’abord un référendum sans doute inconstitutionnel; Ensuite surtout une pure démagogie; C’est un comme si on demandait aux Français s’ils  souhaitent payer moins d’impôts.!

 

 

Après 10 milliards de coupes dans les dépenses pour 2024, le ministre se ménagerait déjà une éventuelle issue de secours pour mettre en place d’autres mesures d’urgence dans les prochains mois.
Quelle que soit leur nature, ces coupes soudaines dans un budget à peine adopté ne manqueront pas de faire crier les oppositions et de crisper les membres du gouvernement, priés – bien que dans des proportions différentes – de se serrer la ceinture. Le texte initialement adopté à grands coups de 49.3 était déjà le fruit d’un compromis difficile entre l’impératif de réduction des déficits, le mantra de la majorité de ne pas augmenter les impôts et la pression des ministères qui réclamaient du budget pour faire face à l’inflation. Ainsi, alors qu’en rentrant dans la séquence, Bercy n’avait de cesse de jurer que ce PLF serait celui du retour au sérieux budgétaire, le budget 2024 ne présentait pas d’économies structurelles d’ampleur en dehors de celles réalisées sur la fin du bouclier tarifaire (14 milliards de moins, tout de même, grâce à la fin de cette aide exceptionnelle).

Pour l’instant, Bercy et Matignon évitent un nouveau psychodrame en optant pour des mesures d’économies par décret, et pour cause puisque le gouvernement n’a pas de majorité.

De toute façon , le référendum demandé par les « Insoumis  » est exclu à la fois ridicule et irresponsable.

 

Projet de loi Immigration : 74% des Français pour un referendum

Projet de loi Immigration : 74% des Français pour un referendum

Les Français ne font guère confiance au gouvernement pour aboutir à un texte satisfaisant sur l’immigration. Le texte initial qui a été rejeté par l’Assemblée nationale ne recueille d’ailleurs que 25 % de soutien. Selon Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro , les trois quarts des Français (74%) demandent à être directement consultés sur le sujet.

Toutefois, si une courte majorité du pays (53%) estime que la motion de rejet a été «une bonne chose», seuls 28% des sondés se disent favorables à l’abandon pur et simple d’une loi. Dans le détail, le projet «d’équilibre» défendu par le gouvernement est moins populaire (25%) que celui, plus coercitif, que réclament Les Républicains (45%).

Au-delà du regard qu’ils portent sur le fond des mesures, les Français s’accordent dans leur sévérité vis-à-vis de l’exécutif. Une majorité d’entre eux pointe ainsi un «échec» pour Gérald Darmanin (62%), mais aussi Élisabeth Borne (62%) et Emmanuel Macron (61%). Plus d’un sondé sur deux (54%) estime même que le chef de l’État aurait dû accepter la démission du ministre de l’Intérieur, qui la lui a présentée au soir du camouflet reçu au Palais Bourbon.

Résultat, dans le contexte actuel, le pays réclame un remaniement gouvernemental d’ampleur, avec un changement de premier ministre (63%). Quelque 56% disent aussi souhaiter une dissolution de l’Assemblée nationale, en dépit de la fin de non-recevoir que le président de la République a opposée sur ce sujet aux demandes du Rassemblement national et de La France Insoumise.

Conscientes de la victoire qu’ils ont remportée face à l’exécutif – une première depuis le début de la législature -, les différentes forces d’opposition tentent depuis de capitaliser sur la séquence. Notamment auprès de leurs électorats respectifs qui, contrairement aux Français dans leur ensemble, leur en savent plutôt gré : Marine Le Pen est saluée par 66% des sympathisants RN contre 36% du pays ; Jean-Luc Mélenchon par 45% (Nupes) contre 31% ; et Éric Ciotti par 36% (LR) contre 21%. Une opération que chacun aura donc réussi auprès de sa base.

Immigration :74% des Français pour un referendum

Immigration :74% des Français pour un referendum

Les Français ne font guère confiance au gouvernement pour aboutir à un texte satisfaisant sur l’immigration. Le texte initial qui a été rejeté par l’Assemblée nationale ne recueille d’ailleurs que 25 % de soutien. Selon Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro , les trois quarts des Français (74%) demandent à être directement consultés sur le sujet.

Toutefois, si une courte majorité du pays (53%) estime que la motion de rejet a été «une bonne chose», seuls 28% des sondés se disent favorables à l’abandon pur et simple d’une loi. Dans le détail, le projet «d’équilibre» défendu par le gouvernement est moins populaire (25%) que celui, plus coercitif, que réclament Les Républicains (45%).

Au-delà du regard qu’ils portent sur le fond des mesures, les Français s’accordent dans leur sévérité vis-à-vis de l’exécutif. Une majorité d’entre eux pointe ainsi un «échec» pour Gérald Darmanin (62%), mais aussi Élisabeth Borne (62%) et Emmanuel Macron (61%). Plus d’un sondé sur deux (54%) estime même que le chef de l’État aurait dû accepter la démission du ministre de l’Intérieur, qui la lui a présentée au soir du camouflet reçu au Palais Bourbon.

Résultat, dans le contexte actuel, le pays réclame un remaniement gouvernemental d’ampleur, avec un changement de premier ministre (63%). Quelque 56% disent aussi souhaiter une dissolution de l’Assemblée nationale, en dépit de la fin de non-recevoir que le président de la République a opposée sur ce sujet aux demandes du Rassemblement national et de La France Insoumise.

Conscientes de la victoire qu’ils ont remportée face à l’exécutif – une première depuis le début de la législature -, les différentes forces d’opposition tentent depuis de capitaliser sur la séquence. Notamment auprès de leurs électorats respectifs qui, contrairement aux Français dans leur ensemble, leur en savent plutôt gré : Marine Le Pen est saluée par 66% des sympathisants RN contre 36% du pays ; Jean-Luc Mélenchon par 45% (Nupes) contre 31% ; et Éric Ciotti par 36% (LR) contre 21%. Une opération que chacun aura donc réussi auprès de sa base.

Démocratie–Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Démocratie–Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Après le succès de la marche contre l’antisémitisme de nombreuses autres étapes sont à franchir pour réinstaller partout les valeurs républicaines et lutter contre le racisme.

L’union autour de la valeur de la laïcité pourrait être l’occasion de rappeler que le pays n’est nullement une nation multiculturelle et qu’elle peut s’honorer d’être une nation qui s’appuie sur des valeurs communes républicaines et sociétales.

Depuis déjà un moment le pouvoir en place cherche de nouveaux thèmes pouvant faire l’objet de référendum. Il y a avec la laïcité le thème fédérateur qui permettrait de recadrer les principes fondamentaux de la nation française qui dépasse tous les clivages raciaux, sociétaux ou religieux.

Ce référendum pourrait d’abord rappeler ses grands principes ensuite fixer des objectifs pour favoriser l’appropriation des valeurs françaises à l’école notamment mais pas seulement d’une façon générale dans toute la société.

Ce référendum aurait l’avantage de remettre à jour les concepts français de laïcité et de démocratie que certains ignorent par méconnaissance ou par volonté.

En tout état de cause, la marche contre l’antisémitisme de dimanche ne peut constituer qu’une étape. Elle doit être suivie d’autres pour réinstaller les valeurs fondamentales qui font de la société française une sorte d’exception.

Pour un référendum sur la laïcité

Pour un référendum sur la laïcité

Après le succès de la marche contre l’antisémitisme de nombreuses autres étapes sont à franchir pour réinstaller partout les valeurs républicaines et lutter contre le racisme.

L’union autour de la valeur de la laïcité pourrait être l’occasion de rappeler que le pays n’est nullement une nation multiculturelle et qu’elle peut s’honorer d’être une nation qui s’appuie sur des valeurs communes républicaines et sociétales.

Depuis déjà un moment le pouvoir en place cherche de nouveaux thèmes pouvant faire l’objet de référendum. Il y a avec la laïcité le thème fédérateur qui permettrait de recadrer les principes fondamentaux de la nation française qui dépasse tous les clivages raciaux, sociétaux ou religieux.

Ce référendum pourrait d’abord rappeler ses grands principes ensuite fixer des objectifs pour favoriser l’appropriation des valeurs françaises à l’école notamment mais pas seulement d’une façon générale dans toute la société.

Ce référendum aurait l’avantage de remettre à jour les concepts français de laïcité et de démocratie que certains ignorent par méconnaissance ou par volonté.

En tout état de cause, la marche contre l’antisémitisme de dimanche ne peut constituer qu’une étape. Elle doit être suivie d’autres pour réinstaller les valeurs fondamentales qui font de la société française une sorte d’exception.

Politique -Des d’idées de référendum mais pas de consultations !

Politique -Des d’idées de référendum mais pas de consultations !

Paradoxalement, on n’a sans doute jamais autant parlé de référendums ces dernières années alors qu’aucun n’a été organisé. La dernière preuve est la décision hier dans le cadre de la réunion dite de Saint-Denis d’annuler purement et simplement le projet de référendum sur l’immigration. Des promesses mais aucune consultation. C’est sans doute ce qui marquera le rapport de Macron à ce type de consultation. Le chef de l’État propose en effet d’élargir en permanence le champ et la nature des consultations à des questions sociales ou sociétales mais prend bien soin de ne pas solliciter l’avis des Français par peur d’être mis en minorité.

Le président de la République convie de nouveau les chefs des principaux partis pour un échange à huis clos, le 17 novembre sur l’extension possible du champ des référendums dans une lettre de plusieurs pages.

«Au vu tant du contexte international que des enjeux auxquels la France est confrontée, notre responsabilité est de dépasser nos clivages dans l’intérêt du pays», écrit le chef de l’État dans ce courrier daté de vendredi, que Le Figaro s’est procuré. Un peu plus loin, il ajoute : «Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

«Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

Le problème c’est qu’il risque sans doute y avoir consensus sur l’extension proposée même si la question des droits sociaux et sociétaux n’a pas à figurer dans une constitution mais qu’il y aura toujours aussi peu de consultation du peuple ! Bref ce qu’on appelle de l’agitation

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