Archive pour le Tag 'referendum'

Démocratie–Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Démocratie–Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Après le succès de la marche contre l’antisémitisme de nombreuses autres étapes sont à franchir pour réinstaller partout les valeurs républicaines et lutter contre le racisme.

L’union autour de la valeur de la laïcité pourrait être l’occasion de rappeler que le pays n’est nullement une nation multiculturelle et qu’elle peut s’honorer d’être une nation qui s’appuie sur des valeurs communes républicaines et sociétales.

Depuis déjà un moment le pouvoir en place cherche de nouveaux thèmes pouvant faire l’objet de référendum. Il y a avec la laïcité le thème fédérateur qui permettrait de recadrer les principes fondamentaux de la nation française qui dépasse tous les clivages raciaux, sociétaux ou religieux.

Ce référendum pourrait d’abord rappeler ses grands principes ensuite fixer des objectifs pour favoriser l’appropriation des valeurs françaises à l’école notamment mais pas seulement d’une façon générale dans toute la société.

Ce référendum aurait l’avantage de remettre à jour les concepts français de laïcité et de démocratie que certains ignorent par méconnaissance ou par volonté.

En tout état de cause, la marche contre l’antisémitisme de dimanche ne peut constituer qu’une étape. Elle doit être suivie d’autres pour réinstaller les valeurs fondamentales qui font de la société française une sorte d’exception.

Pour un référendum sur la laïcité

Pour un référendum sur la laïcité

Après le succès de la marche contre l’antisémitisme de nombreuses autres étapes sont à franchir pour réinstaller partout les valeurs républicaines et lutter contre le racisme.

L’union autour de la valeur de la laïcité pourrait être l’occasion de rappeler que le pays n’est nullement une nation multiculturelle et qu’elle peut s’honorer d’être une nation qui s’appuie sur des valeurs communes républicaines et sociétales.

Depuis déjà un moment le pouvoir en place cherche de nouveaux thèmes pouvant faire l’objet de référendum. Il y a avec la laïcité le thème fédérateur qui permettrait de recadrer les principes fondamentaux de la nation française qui dépasse tous les clivages raciaux, sociétaux ou religieux.

Ce référendum pourrait d’abord rappeler ses grands principes ensuite fixer des objectifs pour favoriser l’appropriation des valeurs françaises à l’école notamment mais pas seulement d’une façon générale dans toute la société.

Ce référendum aurait l’avantage de remettre à jour les concepts français de laïcité et de démocratie que certains ignorent par méconnaissance ou par volonté.

En tout état de cause, la marche contre l’antisémitisme de dimanche ne peut constituer qu’une étape. Elle doit être suivie d’autres pour réinstaller les valeurs fondamentales qui font de la société française une sorte d’exception.

Politique -Des d’idées de référendum mais pas de consultations !

Politique -Des d’idées de référendum mais pas de consultations !

Paradoxalement, on n’a sans doute jamais autant parlé de référendums ces dernières années alors qu’aucun n’a été organisé. La dernière preuve est la décision hier dans le cadre de la réunion dite de Saint-Denis d’annuler purement et simplement le projet de référendum sur l’immigration. Des promesses mais aucune consultation. C’est sans doute ce qui marquera le rapport de Macron à ce type de consultation. Le chef de l’État propose en effet d’élargir en permanence le champ et la nature des consultations à des questions sociales ou sociétales mais prend bien soin de ne pas solliciter l’avis des Français par peur d’être mis en minorité.

Le président de la République convie de nouveau les chefs des principaux partis pour un échange à huis clos, le 17 novembre sur l’extension possible du champ des référendums dans une lettre de plusieurs pages.

«Au vu tant du contexte international que des enjeux auxquels la France est confrontée, notre responsabilité est de dépasser nos clivages dans l’intérêt du pays», écrit le chef de l’État dans ce courrier daté de vendredi, que Le Figaro s’est procuré. Un peu plus loin, il ajoute : «Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

«Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

Le problème c’est qu’il risque sans doute y avoir consensus sur l’extension proposée même si la question des droits sociaux et sociétaux n’a pas à figurer dans une constitution mais qu’il y aura toujours aussi peu de consultation du peuple ! Bref ce qu’on appelle de l’agitation

Démocratie-De plus en plus d’idées de référendum mais de moins en moins de consultations !

Démocratie-De plus en plus d’idées de référendum mais de moins en moins de consultations !

Paradoxalement, on n’a sans doute jamais autant parlé de référendums ces dernières années alors qu’aucun n’a été organisé. C’est sans doute ce qui marquera le rapport de Macron à ce type de consultation. Le chef de l’État propose en effet d’élargir en permanence le champ et la nature des consultations à des questions sociales ou sociétales mais prend bien soin de ne pas solliciter l’avis des Français par peur d’être mis en minorité.

Le président de la République convie de nouveau les chefs des principaux partis pour un échange à huis clos, le 17 novembre sur l’extension possible du champ des référendums dans une lettre de plusieurs pages.

«Au vu tant du contexte international que des enjeux auxquels la France est confrontée, notre responsabilité est de dépasser nos clivages dans l’intérêt du pays», écrit le chef de l’État dans ce courrier daté de vendredi, que Le Figaro s’est procuré. Un peu plus loin, il ajoute : «Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

«Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

Le problème c’est qu’il risque sans doute y avoir consensus sur l’extension proposée même si la question des droits sociaux et sociétaux n’a pas à figurer dans une constitution mais qu’il y aura toujours aussi peu de consultation du peuple ! Bref ce qu’on appelle de l’agitation

Quels garde-fous nouveaux en cas de référendum

Quels garde-fous nouveaux en cas de référendum

Interview dans le Monde de Marthe Fatin-Rouge Stéfanini , directrice de recherches au CNRS à Aix-Marseille Université et enseignante en droit constitutionnel comparé. Elle travaille sur la participation citoyenne dans les institutions, en France et à l’étranger, et plus particulièrement sur les modalités de mise en œuvre des différents processus référendaires et leur encadrement.

Comment réagissez-vous à la proposition d’Emmanuel Macron d’élargir le champ du référendum aux questions de société et de soumettre au suffrage universel direct des textes portant sur des sujets comme les questions migratoires ?

Ce projet soulève de nombreuses questions juridiques et reste, en l’état, très flou. L’article 11 de notre Constitution permet au président de la République d’organiser un référendum sur un certain nombre de sujets : organisation des pouvoirs publics, ratification de traités internationaux, réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale.

Si l’on veut élargir le champ à d’autres domaines, il faut réviser la Constitution. Or, les questions migratoires sont encadrées par de nombreux textes du droit européen et international, qui limitent la marge de manœuvre des politiques que l’on peut engager. Le projet de loi référendaire sur les questions migratoires devrait respecter ces engagements internationaux et les droits fondamentaux inscrits dans la Constitution. Il peut exister une contradiction entre, d’un côté, vouloir élargir le champ du référendum en y intégrant les questions migratoires, et, de l’autre, respecter l’Etat de droit, qui impose le respect de normes supérieures. Le projet évoqué par le chef de l’Etat met en lumière l’importance des limites du processus référendaire et du contrôle de ces limites.

Qui vérifie aujourd’hui la conformité de la question soumise à référendum avec ces normes supérieures ?
Seul le référendum d’initiative partagée (parlementaire puis citoyenne), mis en place en 2008, est encadré, et même tellement encadré qu’aucun ne s’est jamais tenu. Lorsque le référendum est d’initiative présidentielle, ce contrôle n’existe pas. Aucune autorité n’est officiellement chargée de vérifier que la proposition référendaire correspond aux domaines définis à l’article 11.

Politique–Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Politique–Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Après le succès de la marche contre l’antisémitisme de nombreuses autres étapes sont à franchir pour réinstaller partout les valeurs républicaines et lutter contre le racisme.

L’union autour de la valeur de la laïcité pourrait être l’occasion de rappeler que le pays n’est nullement une nation multiculturelle et qu’elle peut s’honorer d’être une nation qui s’appuie sur des valeurs communes républicaines et sociétales.

Depuis déjà un moment le pouvoir en place cherche de nouveaux thèmes pouvant faire l’objet de référendum. Il y a avec la laïcité le thème fédérateur qui permettrait de recadrer les principes fondamentaux de la nation française qui dépasse tous les clivages raciaux, sociétaux ou religieux.

Ce référendum pourrait d’abord rappeler ses grands principes ensuite fixer des objectifs pour favoriser l’appropriation des valeurs françaises à l’école notamment mais pas seulement d’une façon générale dans toute la société.

Ce référendum aurait l’avantage de remettre à jour les concepts français de laïcité et de démocratie que certains ignorent par méconnaissance ou par volonté.

En tout état de cause, la marche contre l’antisémitisme de dimanche ne peut constituer qu’une étape. Elle doit être suivie d’autres pour réinstaller les valeurs fondamentales qui font de la société française une sorte d’exception.

Société et Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Société et Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Après le succès de la marche contre l’antisémitisme de nombreuses autres étapes sont à franchir pour réinstaller partout les valeurs républicaines et lutter contre le racisme.

L’union autour de la valeur de la laïcité pourrait être l’occasion de rappeler que le pays n’est nullement une nation multiculturelle et qu’elle peut s’honorer d’être une nation qui s’appuie sur des valeurs communes républicaines et sociétales.

Depuis déjà un moment le pouvoir en place cherche de nouveaux thèmes pouvant faire l’objet de référendum. Il y a avec la laïcité le thème fédérateur qui permettrait de recadrer les principes fondamentaux de la nation française qui dépasse tous les clivages raciaux, sociétaux ou religieux.

Ce référendum pourrait d’abord rappeler ses grands principes ensuite fixer des objectifs pour favoriser l’appropriation des valeurs françaises à l’école notamment mais pas seulement d’une façon générale dans toute la société.

Ce référendum aurait l’avantage de remettre à jour les concepts français de laïcité et de démocratie que certains ignorent par méconnaissance ou par volonté.

En tout état de cause, la marche contre l’antisémitisme de dimanche ne peut constituer qu’une étape. Elle doit être suivie d’autres pour réinstaller les valeurs fondamentales qui font de la société française une sorte d’exception.

Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Antisémitisme : pour un référendum sur la laïcité

Après le succès de la marche contre l’antisémitisme de nombreuses autres étapes sont à franchir pour réinstaller partout les valeurs républicaines et lutter contre le racisme.

L’union autour de la valeur de la laïcité pourrait être l’occasion de rappeler que le pays n’est nullement une nation multiculturelle et qu’elle peut s’honorer d’être une nation qui s’appuie sur des valeurs communes républicaines et sociétales.

Depuis déjà un moment le pouvoir en place cherche de nouveaux thèmes pouvant faire l’objet de référendum. Il y a avec la laïcité le thème fédérateur qui permettrait de recadrer les principes fondamentaux de la nation française qui dépasse tous les clivages raciaux, sociétaux ou religieux.

Ce référendum pourrait d’abord rappeler ses grands principes ensuite fixer des objectifs pour favoriser l’appropriation des valeurs françaises à l’école notamment mais pas seulement d’une façon générale dans toute la société.

Ce référendum aurait l’avantage de remettre à jour les concepts français de laïcité et de démocratie que certains ignorent par méconnaissance ou par volonté.

En tout état de cause, la marche contre l’antisémitisme de dimanche ne peut constituer qu’une étape. Elle doit être suivie d’autres pour réinstaller les valeurs fondamentales qui font de la société française une sorte d’exception.

Politique-De plus en plus d’idées de référendum mais de moins en moins de consultations !

Politique-De plus en plus d’idées de référendum mais de moins en moins de consultations !

Paradoxalement, on n’a sans doute jamais autant parlé de référendums ces dernières années alors qu’aucun n’a été organisé. C’est sans doute ce qui marquera le rapport de Macron à ce type de consultation. Le chef de l’État propose en effet d’élargir en permanence le champ et la nature des consultations à des questions sociales ou sociétales mais prend bien soin de ne pas solliciter l’avis des Français par peur d’être mis en minorité.

Le président de la République convie de nouveau les chefs des principaux partis pour un échange à huis clos, le 17 novembre prochain sur l’extension possible du champ des référendums dans une lettre de plusieurs pages.

«Au vu tant du contexte international que des enjeux auxquels la France est confrontée, notre responsabilité est de dépasser nos clivages dans l’intérêt du pays», écrit le chef de l’État dans ce courrier daté de vendredi, que Le Figaro s’est procuré. Un peu plus loin, il ajoute : «Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

«Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

Le problème c’est qu’il risque sans doute y avoir consensus sur l’extension proposée même si la question des droits sociaux et sociétaux n’a pas à figurer dans une constitution mais qu’il y aura toujours aussi peu de consultation du peuple ! Bref ce qu’on appelle de l’agitation

Démocratie-De plus en plus de thèmes de référendum mais de moins en moins de consultations !

Démocratie-De plus en plus de thèmes de référendum mais de moins en moins de consultations !

Paradoxalement, on n’a sans doute jamais autant parlé de référendums ces dernières années alors qu’aucun n’a été organisé. C’est sans doute ce qui marquera le rapport de Macron à ce type de consultation. Le chef de l’État propose en effet d’élargir en permanence le champ et la nature des consultations à des questions sociales ou sociétales mais prend bien soin de ne pas solliciter l’avis des Français par peur d’être mis en minorité.

Le président de la République convie de nouveau les chefs des principaux partis pour un échange à huis clos, le 17 novembre prochain sur l’extension possible du champ des référendums dans une lettre de plusieurs pages.

«Au vu tant du contexte international que des enjeux auxquels la France est confrontée, notre responsabilité est de dépasser nos clivages dans l’intérêt du pays», écrit le chef de l’État dans ce courrier daté de vendredi, que Le Figaro s’est procuré. Un peu plus loin, il ajoute : «Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

«Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

Le problème c’est qu’il risque sans doute y avoir consensus sur l’extension proposée même si la question des droits sociaux et sociétaux n’a pas à figurer dans une constitution mais qu’il y aura toujours aussi peu de consultation du peuple ! Bref ce qu’on appelle de l’agitation démocratique

De plus en plus de thèmes de référendum mais de moins en moins de consultations !

De plus en plus de thèmes de référendum mais de moins en moins de consultations !

Paradoxalement, on n’a sans doute jamais autant parlé de référendums ces dernières années alors qu’aucun n’a été organisé. C’est sans doute ce qui marquera le rapport de Macron à ce type de consultation. Le chef de l’État propose en effet d’élargir en permanence le champ et la nature des consultations à des questions sociales ou sociétales mais prend bien soin de ne pas solliciter l’avis des Français par peur d’être mis en minorité.

Le président de la République convie de nouveau les chefs des principaux partis pour un échange à huis clos, le 17 novembre prochain sur l’extension possible du champ des référendums dans une lettre de plusieurs pages.

«Au vu tant du contexte international que des enjeux auxquels la France est confrontée, notre responsabilité est de dépasser nos clivages dans l’intérêt du pays», écrit le chef de l’État dans ce courrier daté de vendredi, que Le Figaro s’est procuré. Un peu plus loin, il ajoute : «Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

«Notre objectif sera toujours d’échanger avec franchise et respect, afin de convenir de voies d’action qui pourront trouver des concrétisations rapides».

Le problème c’est qu’il risque sans doute y avoir consensus sur l’extension proposée même si la question des droits sociaux et sociétaux n’a pas à figurer dans une constitution mais qu’il y aura toujours aussi peu de consultation du peuple ! Bref ce qu’on appelle de l’agitation démocratique

Référendum–nouvelle trouvaille de Macron pour inscrire l’IVG dans la constitution

Référendum–nouvelle trouvaille de Macron pour inscrire l’IVG dans la constitution

Macron ne cesse de rechercher des combines pour remonter dans l’estime des Français. Ainsi sa dernière trouvaille vise à inscrire l’IVG dans la constitution. L’objectif est de trouver un thème consensuel pour lui permettre de recueillir une majorité lors d’un référendum. Précédemment par exemple il est envisageait un thème sur l’immigration ou sur l’environnement.

La manœuvre est évidemment très grossière dans la mesure où l’IVG est juridiquement assurée dans son principe et n’est contesté par personne. C’est un peu comme si on demandait aux Français « voulez-vous du beau temps ? ».

C’est évidemment un détournement démagogique de la démocratie. Macron évite évidemment les thèmes sensibles qui justement ont besoin d’un arbitrage.

Par ailleurs, cette manie bien française de changer à tout bout de champ la constitution n’est pas sans poser un problème de stabilité juridique.

Certes l’IVG est un droit, au surplus non contesté, mais on pourrait alors pour des motifs politiciens insérer dans la constitution nombre de droits qui n’y figurent pas. Mais des droits déjà légalisés qui n’ont pas leur place dans la constitution.

Un référendum auberge espagnole !

Un référendum auberge espagnole !


Christophe Béchu, le ministre de l’écologie surprise qui ne sert pas à grand-chose propose tout simplement un référendum auberge espagnole avec une dizaine de questions. Pas vraiment d’ailleurs un référendum mais plutôt un sondage grandeur nature pour essayer de passer par-dessus l’opposition politique et la mettre en difficulté vis-à-vis de l’opinion. Bref , une nouvelle invention politique pour faire oublier que le pouvoir est isolé et très minoritaire dans le pays. Bien entendu , on évitera la question centrale des retraites dans la réforme déjà obsolète et surtout la préoccupation majeure des Français relative au pouvoir d’achat.

L’objectif ne sera pas tellement de faire avancer la démocratie mais d’obtenir le maximum de oui. D’où des questions appelant des réponses positives.

Il y a cependant peu de chances pour que cette consultation soit organisée d’abord pour des questions juridiques et de conformité vis-à-vis de la constitution ensuite et surtout parce que le pouvoir actuel risque de perdre ce référendum tellement il est discrédité dans l’opinion.

D’une certaine manière, on se croirait dans une période préélectorale où l’objectif est de recenser l ‘avis des Français. Or la période doit être à l’action face aux difficultés économiques prévisibles, face à l’inflation, face à l’insécurité et à la dérive des déficits et de la dette.

Déçu serait plus utile s’occupé réellement d’écologie que de vouloir mettre son nez dans la politique générale dans laquelle il n’a jamais montré beaucoup d’efficacité comme élu à Angers« Le référendum permettra de trancher les sujets qu’on traîne depuis des années » (Christophe Béchu)
L’ENTRETIEN DU JEUDY- Alors qu’il a réuni ce mercredi 30 août les chefs des partis politiques pour un sommet inédit, en quête d’accords pour sortir le pays des blocages liés à l’absence de majorité absolue à l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron veut ouvrir la voie à des référendums pour faire « avancer » le pays. Une initiative soutenue par le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, qui confie à Bruno Jeudy rêver d’un référendum avec « une dizaine de questions (…) sur le nombre de parlementaires, le cumul des mandats, les modes de scrutin au niveau local, la proportionnelle aux législatives », ou encore sur l’immigration, la dépénalisation du cannabis et la question du caractère obligatoire du Service national universel…

Nouméa : nouveau référendum ou nouveau statut

Nouméa : nouveau référendum ou nouveau statut


Politiquement la situation est complètement bloquée après le rejet de trois référendums portant sur la perspective de l’indépendance. Économiquement, l’archipel est dans une situation catastrophique alors que parallèlement on n’y trouve le précieux nickel. Macron devra apporter des éléments sur ces deux questions centrales. Pour la politique, soit un nouveau statut, soit un nouveau référendum sur l’indépendance. On pourrait aussi imaginer un nouveau référendum mais portant sur le nouveau statut à condition évidemment que les indépendantistes ne boycottent pas encore la consultation.

À l’issue du « non » au référendum, il s’agit désormais de trouver un statut sur-mesure à la Nouvelle-Calédonie. Mardi, Emmanuel Macron doit rencontrer les forces politiques locales pour échanger sur la question. Indépendantistes et non indépendantistes rechignent, jusqu’ici, à négocier simultanément autour de la même table.

Au plan économique la situation est également dangereuse. Avec un taux d’endettement dépassant les 200 %, le territoire est « sur la voie d’une cessation de paiements », a insisté récemment auprès de l’AFP Yannick Slamet, le membre du gouvernement en charge du budget, le 3 juillet.

Macro semble encore dans le flou quant à l’avenir de cet archipel pourtant stratégique.

L’Élysée n’a pas dit s’il comptait débloquer les négociations sur le corps électoral en vue des élections provinciales de mai 2024, principal point d’achoppement pour la définition d’un nouveau statut de l’archipel.

« À ce stade pour le président de la République, ce qui est important c’est d’inviter l’ensemble de la représentation politique calédonienne à s’entretenir avec lui du futur statut et des négociations en cours », a-t-on seulement expliqué. Bref, rien de nouveau !

Face à la crise: une dissolution ou un référendum pour Jean-Louis Debré

Face à la crise: une dissolution ou un référendum pour Jean-Louis Debré

Pour Jean-Louis Debré, Emmanuel Macron « s’est enfermé dans ce slogan des cent jours, promettant un apaisement du pays ». « Or, force est de constater que ces cent jours », décrétés le 17 avril et dont l’échéance était fixée au 14 juillet, « n’ont pas été à la hauteur de l’espérance présidentielle ». Il ne voit que la dissolution ou un référendum pour sortir de de l’immobilisme politique

Celui qui a présidé l’Assemblée nationale entre 2002 et 2007 rappelle que le général de Gaulle avait « réglé la crise de 1968 par un retour devant le peuple souverain », avec une dissolution de l’Assemblée nationale qui lui était pourtant favorable. « Vous ne pouvez pas passer des textes aussi importants que la réforme des retraites sans avoir une consultation populaire », insiste-t-il. Faute de majorité absolue à l’Assemblée, l’exécutif avait fait adopter le texte en recourant à l’article 49-3, qui permet d’échapper au vote.

Un remaniement pourrait-il calmer les choses ? « Les Français n’ont rien à fiche des changements de ministres. D’ailleurs, on n’en connaît que quatre ou cinq », lance-t-il. L’ancien ministre de l’Intérieur de Jacques Chirac (1995-1997) appelle à des « mesures fortes aux effets immédiats » sur « le problème fondamental du pouvoir d’achat », et « ensuite, s’occuper de réformer l’école, la justice, mais sans partir dans toutes les directions ».

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