Archive pour le Tag 'nationale'

Dissolution de l’Assemblée nationale ?

Dissolution de l’Assemblée nationale ?

En l’état de la constitution, il faudra attendre l’été pour permettre d’organiser de nouvelles élections de l’Assemblée nationale. En attendant, l’assemblée risque d’être paralysée par les trois groupes qui s’y opposent. D’où cette idée d«autodissolution» de l’Assemblée nationale proposée par le député Stéphane Vojetta . Stéphane Vojetta, député des Français de l’étranger (apparenté au groupe macroniste), propose un nouveau concept : «l’autodissolution, ou la démission collective des 577 députés qui forment l’Assemblée nationale».

Emmanuel Macron étant obligé d’attendre le mois de juin 2025 pour redissoudre l’Assemblée, la situation de blocage dans l’hémicycle pose des difficultés au chef de l’État qui doit trouver la personnalité idoine au poste de premier ministre sans risque de censure. Si la piste d’un gouvernement technique, déjà évoquée cet été après les élections législatives, est toujours d’actualité, Stéphane Vojetta demande aux députés de «démissionner simultanément le 1er janvier pour permettre l’émergence d’une majorité claire.

Compte tenu des blocages cette idée est loin d’être saugrenue mais on voit mal beaucoup de députés couper la branche sur laquelle sont ainsi provisoirement pour beaucoup

Assemblée nationale : une majorité …..d’irresponsables

Assemblée nationale : une majorité …..d’irresponsables
Y aura-t-il encore un gouvernement à Noël ? Michel Barnier a choisi le registre de la boutade, cette semaine, lors du congrès des maires : « C’est assez motivant de se dire qu’on peut partir demain matin. » Sans doute l’instinct politique du Damoclès de Matignon lui fait-il pressentir la possible – d’aucuns diront probable – chute de son gouvernement en décembre à la suite d’une motion de censure votée par la gauche et le RN.

 

par Bruno Jeudy, directeur délégué de la rédaction Le TribuneLe Premier ministre ne peut compter sur la responsabilité d’une classe politique si prompte à la critique et à la sédition. La définition du mot « responsable » que donnent les académiciens dans la 9e édition de leur dictionnaire, « qui répond de ses actes, les assume et en supporte les conséquences », ne manque pas d’interpeller les observateurs des partis et de leur attitude à l’Assemblée nationale. En effet, Insoumis, RN ainsi que – plus surprenant – macronistes et LR multiplient les lignes rouges à qui mieux mieux autour du budget.

 

Jean-Luc Mélenchon, pourfendeur de la Ve République, dont il s’est accommodé durant les années Mitterrand et Jospin, pense trouver avec une nouvelle crise politique qu’engendrerait la censure du gouvernement la justification d’une VIe République et… une rampe de lancement pour 2027. Cette impatience d’en découdre a gagné le RN. Alors que Marine Le Pen, depuis le mois de septembre, observait une bienveillante neutralité, les réquisitions dans le procès des assistants parlementaires ont bouleversé la donne. La pétition lancée pour soutenir la cheffe du RN – qui aurait recueilli 100 000 signatures – montre que la base est chauffée à blanc. Avec la tournée promotionnelle de son livre, Jordan Bardella se place déjà en recours en cas d’inéligibilité de la leader frontiste. Il deviendrait, tel Iznogoud, calife après la disqualification de Mme Le Pen.

Si les extrêmes sont gagnés par le désir de renverser le gouvernement, ils ne sont pas les seuls à alimenter ce climat délétère. Les sénateurs LR, en proposant sept heures annuelles de travail supplémentaire sans rémunération, et Laurent Wauquiez, en surjouant le rôle du défenseur du pouvoir d’achat des retraités, ne facilitent pas la tâche de Michel Barnier. Mais ce sont surtout les amis de Gabriel Attal qui semblent donner raison à Talleyrand lorsqu’il remarquait que « le meilleur moyen de renverser un gouvernement, c’est d’en faire partie ». Pas un jour sans que l’hôte de Matignon ne doive rappeler à la discipline gouvernementale des ministres frondeurs à l’image d’Antoine Armand, peu économe de ses provocations !

Dès lors, la France est menacée de se trouver sans budget dans quelques semaines et de sombrer dans une crise financière. L’entretien entre Marine Le Pen et Michel Barnier ce lundi sera décisif. Notre nation a-t-elle les moyens de connaître une nouvelle période d’incertitude et de flottement au moment où le chômage repart à la hausse et où les conflits sociaux se multiplient ? Aux responsables politiques d’en prendre conscience et de se rappeler les propos du philosophe et historien Hippolyte Taine : « Si mauvais que soit un gouvernement, il y a quelque chose de pire, c’est la suppression du gouvernement. »

Le budget dingo rejeté par l’Assemblée nationale

Le budget dingo rejeté par  l’Assemblée nationale

 

Ce budget complètement dingo a été rejeté par l’Assemblée nationale. Rien d’étonnant à cela dès le départ la proposition du gouvernement était déjà en contradiction avec ses propres objectifs ( notamment augmentation préférée des impôts par rapport à la réduction des dépenses). Ensuite les différents courants de l’assemblée de manière complètement contradictoire et souvent paradoxale n’ont eu de cesse de compléter le texte initial déjà bancal avec des impôts supplémentaires.

Du coup en finale la droite a rejeté ce « budget de gauche « incohérent et irresponsable. Le texte initial du gouvernement va donc être expédié au Sénat dans sa forme initiale pour un réexamen complet. Ensuite interviendra une réunion interparlementaire avant sans doute le recours aux 49 -3. On voit mal d’ailleurs comment Sénat et Assemblée nationale pourraient trouver un compromis cohérent visant en particulier au désendettement et à la réduction du déficit budgétaire. Bref le débat à l’Assemblée nationale n’a servi strictement à rien.

La partie « recettes » du texte a été approuvé par 192 députés, issus du Nouveau Front populaire, contre 362, membres des quatre groupes de la coalition gouvernementale et du Rassemblement national et de ses alliés ciottistes.

Une majorité de députés rejette le matraquage fiscal et ne peut pas légiférer contre le droit », a aussitôt réagi le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, à l’issue du scrutin.

« La culture de compromis et de coalition ne s’est pas vue. Je le regrette. L’examen du texte au Sénat va permettre de retrouver des amendements discutés à l’Assemblée nationale. Ce travail n’a pas servi à rien », a-t-il poursuivi devant un hémicycle bondé, après une séance de questions au gouvernement.

Le gouvernement Barnier s’apprête donc à retrouver une version du texte qu’il avait présentée il y a un mois jour pour jour après moults reports.

Député LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

Député LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

Il est clair que nombre de députés atterris là au gré des circonstances et des vagues politiques n’ont pas leur place au Parlement ainsi le député LFI Thomas Portes a-t-il menacé l’un de ses collègues en séance en hurlant : «Ferme ta gueule ! On va s’occuper de toi» .Le député LFI Thomas Portes N’en est pas à sa première provocation, c’est même un peu ses spécialités comme d’une façon générale celle de nombre de membres du parti des Insoumis.

Il faut dire que Thomas Portes n’en est pas à sa première provocation. En pleine réforme des retraites au printemps 2023, il s’était affiché en photo sur ses réseaux sociaux, le pied sur un ballon à l’effigie du ministre du Travail d’alors Olivier Dussopt. Plus récemment, il s’était opposé à la participation des athlètes israéliens aux Jeux olympiques de Paris pour protester contre la politique de Benyamin Netanyahou.

Thomas Portes , l ’ancien sous-chef de guerre de la SNCF à Montauban a conservé la dialectique musclée d’un ancien membre de la CGT qui ne s’embarrasse pas des règles de simple politesse puisque finalement en faveur d’un régime de démocrature ou effectivement on a l’habitude de régler le sort des opposants. Bref, un communiste provocateur à la mode de 1950.

L’Assemblée nationale aurait sans doute intérêt à se montrer plus rigoureuse vis-à-vis de la tenue des débats si elle ne veut pas se déconsidérer un peu plus vis-à-vis de l’opinion

 

Arrêter le matraquage fiscal de l’Assemblée nationale !

Arrêter le matraquage fiscal de  l’Assemblée nationale !

Sur le fond comme sur la forme, l’Assemblée nationale ne cesse de se discréditer auprès de l’opinion. En cause sur la forme: une absence totale de retenue et même de tenue. Sur le fond ,un véritable cirque ou foire à l’impôt qui traduit d’une part une incompétence économique mais aussi une responsabilité et une démagogie lamentable.

Finalement le gouvernement n’est soutenu par personne et les députés, par ailleurs le plus souvent absents ( exemple François Hollande qui n’a voté qu’une fois quand d’autres ont voté une centaine de fois) s’en donnent à cœur joie pour mettre le bordel avec des amendements contradictoires, fantaisistes et contre-productifs tant sur le plan économique que social.

Les députés voudraient casser la croissance qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Ainsi en créant des charges fiscales supplémentaires d’un montant de l’ordre de 40 milliards, ils sont à peu près assuré de tuer la croissance en 2025. Ce qui mécaniquement va générer une augmentation des dépenses sociales, des déficits et une réduction des ressources fiscales.

Bref le contraire de l’objectif recherché. Il serait temps de mettre fin à ce cirque qui nous discrédite aussi au plan international et qui se traduira inévitablement par une hausse des taux d’intérêt et de l’inflation dont  la facture sera payée par les ménages. La plupart de ses 577 députés ne servent à rien, beaucoup ne sont là que pour servir le chaos avec l’espoir fou d’une révolution. Des révolutionnaires de papier, payés par le contribuables,  qui en fait se nourrissent de la politique et n’entretiennent avec l’intérêt général que des relations très anecdotiques quand ils ne soutiennent pas des régimes comme celui de Poutine , du Hamas ou encore du Hezbollah. Ne parlons pas du honteux soutien des « écolos » et des » insoumis » au député drogué.

LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

Il est clair que nombre de députés atterrit la au gré des circonstances et des vagues politiques n’ont pas leur place au Parlement ainsi le député LFI Thomas Portes a-t-il menacé l’un de ses collègues en séance en hurlant : «Ferme ta gueule ! On va s’occuper de toi» .Le député LFI Thomas Portes N’en est pas à sa première provocation, c’est même un peu ses spécialités comme d’une façon générale celle de nombre de membres du parti des Insoumis.

Il faut dire que Thomas Portes n’en est pas à sa première provocation. En pleine réforme des retraites au printemps 2023, il s’était affiché en photo sur ses réseaux sociaux, le pied sur un ballon à l’effigie du ministre du Travail d’alors Olivier Dussopt. Plus récemment, il s’était opposé à la participation des athlètes israéliens aux Jeux olympiques de Paris pour protester contre la politique de Benyamin Netanyahou.

Thomas Portes , l ’ancien sous-chef de guerre de la SNCF à Montauban a conservé la dialectique musclée d’un ancien membre de la CGT qui ne s’embarrasse pas des règles de simple politesse puisque finalement en faveur d’un régime de démocrature ou effectivement n’a l’habitude de régler le sort des opposants. Bref, un communiste provocateur à la mode de 1950.

L’Assemblée nationale aurait sans doute intérêt à se montrer plus rigoureuse vis-à-vis de la tenue des débats si elle ne veut pas se déconsidérer un peu plus vis-à-vis de l’opinion

 

Mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale !

Mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale !

Sur le fond comme sur la forme, l’Assemblée nationale ne cesse de se discréditer auprès de l’opinion. En cause sur la forme: une absence totale de retenue et même de tenue. Sur le fond ,un véritable cirque ou foire à l’impôt qui traduit d’une part une incompétence économique mais aussi une responsabilité et une démagogie lamentable.

Finalement le gouvernement n’est soutenu par personne et les députés, par ailleurs le plus souvent absents ( exemple François Hollande qui n’a voté qu’une fois quand d’autres ont voté une centaine de fois) s’en donnent à cœur joie pour mettre le bordel avec des amendements contradictoires, fantaisistes et contre-productifs tant sur le plan économique que social.

Les députés voudraient casser la croissance qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Ainsi en créant des charges fiscales supplémentaires d’un montant de l’ordre de 40 milliards, ils sont à peu près assuré de tuer la croissance en 2025. Ce qui mécaniquement va générer une augmentation des dépenses sociales, des déficits et une réduction des ressources fiscales.

Bref le contraire de l’objectif recherché. Il serait temps de mettre fin à ce cirque qui nous discrédite aussi au plan international et qui se traduira inévitablement par une hausse des taux d’intérêt et de l’inflation dont  la facture sera payée par les ménages. La plupart de ses 577 députés ne servent à rien, beaucoup ne sont là que pour servir le chaos avec l’espoir fou d’une révolution. Des révolutionnaires de papier, payés par le contribuables,  qui en fait se nourrissent de la politique et n’entretiennent avec l’intérêt général que des relations très anecdotiques quand ils ne soutiennent pas des régimes comme celui de Poutine , du Hamas ou encore du Hezbollah. Ne parlons pas du honteux soutien des « écolos » et des » insoumis » au député drogué.

Il est urgent de mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale

Il est urgent de mettre fin au cirque de l’Assemblée nationale

Sur le fond comme sur la forme, l’Assemblée nationale ne cesse de se discréditer auprès de l’opinion. En cause sur la forme: une absence totale de retenue et même de tenue. Sur le fond ,un véritable cirque ou foire à l’impôt qui traduit d’une part une incompétence économique mais aussi une responsabilité et une démagogie lamentable.

Finalement le gouvernement n’est soutenu par personne et les députés, par ailleurs le plus souvent absents ( exemple François Hollande qui n’a voté qu’une fois quand d’autres ont voté une centaine de fois) s’en donnent à cœur joie pour mettre le bordel avec des amendements contradictoires, fantaisistes et contre-productifs tant sur le plan économique que social.

Les députés voudraient casser la croissance qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Ainsi en créant des charges fiscales supplémentaires d’un montant de l’ordre de 40 milliards, ils sont à peu près assuré de tuer la croissance en 2025. Ce qui mécaniquement va générer une augmentation des dépenses sociales, des déficits et une réduction des ressources fiscales.

Bref le contraire de l’objectif recherché. Il serait temps de mettre fin à ce cirque qui nous discrédite aussi au plan international et qui se traduira inévitablement par une hausse des taux d’intérêt et de l’inflation dont  la facture sera payée par les ménages. La plupart de ses 577 députés ne servent à rien, beaucoup ne sont là que pour servir le chaos avec l’espoir fou d’une révolution. Des révolutionnaires de papier, payés par le contribuables,  qui en faie se nourrissent de la politique et n’entretiennent avec l’intérêt général que des relations très anecdotiques quand ils ne soutiennent pas des régimes comme celui de Poutine , du Hamas ou encore du Hezbollah. Ne parlons pas du honteux soutien des « écolos » et des » insoumis » au député drogué.

Absentéisme inadmissible à l’Assemblée nationale : Bayrou condamne

Absentéisme inadmissible à l’Assemblée nationale : Bayrou condamne

 François Bayrou juge « inadmissible » et « criminelle » l’absence de certains députés pendant les débats concernant notamment le budget.

François Bayrou attaque les députés de la coalition gouvernementale. Invité de BFM Politique ce dimanche 27 octobre, le président du Modem a été interrogé sur l’absentéisme des parlementaires du bloc central lors de l’ouverture des débats sur le budget 2025 à l’Assemblée nationale, qui doivent reprendre le 5 novembre.

« Dans une situation aussi grave que celle du pays aujourd’hui, dans une situation institutionnelle aussi inédite, avoir des parlementaires qui considèrent qu’ils ont mieux à faire qu’être présents à leur banc à l’Assemblée nationale est purement et simplement inadmissible », dénonce-t-il.

 

 

Assemblée nationale : incompétence et vulgarité

Assemblée nationale : incompétence et vulgarité
L’Assemblée nationale a certes été parfois le lieu d’affrontements un peu rudes entre des députés porteurs de stratégies et d’idéologies différentes. Pour autant en général , le débat s’est le plus souvent déroulé dans le respect et avec une certaine tenue. Aujourd’hui l’Assemblée nationale ressemble plutôt à une école maternelle avec nombre de députés complètement incompétents sortis d’on sait où grâce à leur relation dans des partis politiques gangrenés par de pseudos technocrates et des arrivistes.

La plupart n’ont pas assumé la moindre fonction électorale avant d’être élu député. D’où cette pluie d’amendements plus contradictoires les uns que les autres lors de l’examen du budget 2025.

Un budget normalement destiné à diminuer les déficits et qui va être augmenté par les incohérences des députés engagés dans une véritable foire à l’impôt et à la démagogie. S’ajoute à cela la vulgarité de trop nombreux députés qui n’ont même pas le respect de leurs fonctions, en hurlant, en s’agitant, en se montrant avec le drapeau du Hamas, en faisant des bras d’honneur et même en consommant de la drogue avec le soutien de la gauche. Une curieuse manière de s’attaquer à fléau mortel qui pourrit désormais une grande partie du pays.

Inutile de tourner autour du pot, nombres de députés n’ont pas leur place à l’Assemblée nationale ils n’ont pas la légitimité que confère l’expérience locale et militante. Ils ont encore moins la compétence nécessaire examiner des problèmes forcément complexes et qui ne peuvent être résolus par des solutions simplistes et démagogiques.
De ce point de vue ,l’Assemblée nationale offre un spectacle indigne qui ne grandit pas la fonction politique. Pour preuve 90 % des Français  considèrent les partis politiques comme discrédités et inefficaces.

 

Assemblée nationale : des députés incompétents et vulgaires

Assemblée nationale : des députés incompétents et vulgaires
L’Assemblée nationale a certes été parfois le lieu d’affrontement un peu rude entre des députés porteurs de stratégies et d’idéologies différentes. Pour autant  en général ,le débat s’est le plus souvent déroulé dans le respect et avec une certaine tenue. Aujourd’hui l’Assemblée nationale ressemble plutôt à une école maternelle avec nombre de députés complètement incompétents sortis d’on sait où grâce à leur relation dans des partis politiques gangrenés par de pseudos technocrates. La plupart n’ont pas assumé la moindre fonction électorale avant d’être élu député. D’où cette pluie d’amendements plus contradictoires les uns que les autres lors de l’examen du budget 2025.

 

Un budget normalement destiné à diminuer les déficits et qui va être augmenté par les incohérences des députés engagés dans une véritable foire à l’impôt et à la démagogie. S’ajoute à cela la vulgarité de trop nombreux députés qui n’ont même pas le respect de leurs fonctions, en hurlant, en s’agitant, en se  montrant avec le drapeau du Hamas, en faisant des bras d’honneur et même en consommant de la drogue avec le soutien de la gauche. Une curieuse manière de s’attaquer à fléau mortel qui pourrit désormais une grande partie du pays.

Inutile de tourner autour du pot, nombres de députés n’ont pas leur place à l’Assemblée nationale ils n’ont pas la légitimité que confère l’expérience locale et militante. Ils ont encore moins la compétence nécessaire examiner des problèmes forcément complexes et qui ne peuvent être résolu par des solutions simplistes et démagogiques.
De ce point de vue l’Assemblée nationale offre un spectacle indigne qui ne grandit pas la fonction politique. Pour preuve 90 % dans un sondage récent montre que les Français considèrent les partis politiques comme discrédités et inefficaces.

 

Assemblée nationale : motion de censure pour rien rejetée

Assemblée nationale : motion de censure pour rien rejetée

Comme il fallait s’y attendre la motion de censure présentée par le nouveau front de gauche n’a pas fait recette et a été largement rejeté par l’assemblée. Un résultat prévu d’avance et qui n’avait d’autres objets que de s’agiter avant même que le gouvernement ait  annoncé dans le détail son programme notamment concernant le budget. Bref de -l’agit-prop typique des » insoumis » malheureusement suivis par des socialistes et des écologistes complètement inconséquents. Pire on a fait défendre la motion de par  Olivier Faure qui n’a encore guère brillé dans cet exercice autant sans doute par manque de conviction que par sa mollesse idéologique. Le premier ministre lui à profiter de l’exercice pour affirmer sa personnalité. Bref une occasion perdue encore par la gauche qui se discrédite un peu plus auprès de l’opinion.

 

Attaqué par la gauche Michel Barnier s’est défendu dans le calme et avec, comme souvent, un brin d’humour. « Je n’ai pas besoin qu’on me rappelle que le gouvernement est minoritaire, je le sais. Il n’y a de majorité absolue pour personne », introduit-il. Avant de reprendre, quelques secondes plus tard : « Il y a donc simplement des majorités relatives et parmi ces majorités relatives, ce que je constate, c’est que celle qui accompagne le gouvernement est la moins relative. Vous pouvez raconter ce que vous voulez, c’est la vérité ».

 

Finalement une motion de censure assez peu suivie, prématurée et actuellement hors du champ des préoccupations immédiates de l’opinion. La gauche se trompe aussi de calendrier car le véritable débat interviendra à l’occasion de la discussion sur le budget

Assemblée nationale : Marine Le Pen veut rapidement de nouvelles élections

Assemblée nationale : Marine Le Pen veut rapidement de nouvelles élections

D’ores et déjà Marine Le Pen appel à de nouvelles élections législatives le plus rapidement possible c’est-à-dire à l’issue du délai constitutionnel d’un an. Un appel qui évidemment fragilise encore un peu plus le très fragile premier ministre Michel Barnier. Un premier ministre qui éprouve déjà les pires difficultés à trouver un gouvernement crédible même si évidemment les candidats sont nombreux mais pas forcément très représentatifs des grands courants de l’assemblée.
Michel Barnier sera sans doute condamné à construire un gouvernement de  bric et de broc et sous la triple surveillance du Front National, du nouveau front populaire et même des macronistes. La première grande bataille Michel Barnier sera évidemment la discussion du budget. Ce pourrait d’ailleurs être la seule bataille du premier ministre avant motion de censure.

«C’est celui qui a fait le moins de voix qui est chargé de constituer un gouvernement. Ça ne peut pas tenir», a déclaré la cheffe de file des députés RN, appelant à de «nouvelles élections législatives» à l’issue du délai constitutionnel d’un an. Le RN s’est certes engagé à ne pas censurer «a priori» Michel Barnier, permettant son entrée à Matignon. Mais pour Marine Le Pen, cette situation n’a pas vocation à durer, alors que le chef du gouvernement est issu des rangs de LR, arrivé quatrième aux législatives.

 

 

Assemblée nationale et budget 2025 : 49-3 et motions de censure

Assemblée nationale et budget 2025 : 49-3 et motions de censure

Officiellement, il n’y a plus de gouvernement sauf pour la gestion des affaires courantes. Du coup, la préparation du budget 2025 se trouve perturbée;  en effet,  des arbitrages politiques devraient avoir lieu avant le 15 août. Or cette date ne sera pas respecté faute de gouvernement. En attendant, Bercy  l’administration compétente, a adressé aux ministères  ses lettres de cadrage. Reste cependant une hypothèque de taille. En effet Bercy se place dans l’hypothèse d’une réduction des déficits alors que le nouveau front de gauche prévoit l’équivalent en dépenses supplémentaires. Une différence de taille. Mais finalement après des joutes sans doute très spectaculaires  à l’Assemblée nationale,  le budget 2025 risque d’être adopté dans le cadre de l’article 49–3 donc sans vote ; La vraie question n’est pas de savoir si il  y a un risque de motion de censure mais quand elle sera déposée;  sans doute sitôt après l’adoption du budget . 

Bruno Lemaire se targue de 15 milliards d’économies très hypothétiques. Dix milliards annoncés début 2024 auraient déjà été actés dans les dépenses de l’État et la hausse de la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité doit permettre de récupérer 5 milliards d’euros. Restent encore à trouver 10 milliards d’euros d’économies hypothétiques : 5 milliards vont donc être demandés aux ministères, deux milliards aux collectivités locales et trois milliards devraient être dégagés par une taxation des rentes plus efficace sur les énergéticiens, a rappelé le ministre en juillet.

En effet, le pays a dépassé l’an dernier la limite de déficit public fixée à 3% du produit intérieur brut (PIB) par le Pacte de stabilité, qui limite aussi la dette à 60% du PIB. Le déficit français a ainsi dérapé à 5,5% en 2023. Il doit aussi réduire sa dette qui s’est creusée à presque 3.160 milliards d’euros à fin mars, soit près de 111% du PIB.

 

La France, dont la dette atteint 110% du PIB, a été la plupart du temps en procédure de déficit excessif depuis la création de l’euro au tournant des années 2000. Elle en était toutefois sortie en 2017.

Gouvernement et Assemblée nationale : Yaël Braun-Pivet réélue annonce la suite

Gouvernement et  Assemblée nationale : Yaël Braun-Pivet réélue annonce la suite 

Finalement la dissolution de l’Assemblée nationale n’aura pas servi à grand-chose. Le clan au pouvoir grâce à des alliances avec les « ex républicains » notamment conserve de justesse la présidence. D’une certaine manière il faut dire que la gauche qui pourtant a fait le plein de ses voix n’avait pas fait la démonstration ces jours derniers de sa capacité à gouverner et même à diriger l’Assemblée nationale.


Cette élection annonce en quelque sorte la suite à savoir le moment venu après le pourrissement de la gauche engluée dans ses contradictions et ses invectives, l’avenue d’un nouveau gouvernement reposant sur une majorité relative. Sans doute pas un gouvernement qui va recueillir l’enthousiasme mais qui va apparaître à beaucoup comme autrement plus pertinent qu’une gauche complètement folle qui a perdu sa propre boussole et surtout qui oublie l’état dramatique des finances du pays.

A l’issu du troisième tour de scrution, la présidente sortante Yaël Braun-Pivet a été réélue avec 220 voix, suivie du communiste André Chassaigne (207 voix), a annoncé le doyen de l’Assemblée national et président temporaire de cette séance, José Gonzalez, député Rassemblement national.

 

Au-delà de l’enjeu des postes stratégiques à l’Assemblée, c’est l’ensemble du paysage politique qui peine à se décanter, dix jours après les législatives anticipées. Le Nouveau Front populaire est arrivé en tête, mais sans majorité claire, et il s’est montré incapable jusqu’ici de proposer son candidat commun pour Matignon, sur fond de désaccord entre insoumis et socialistes.

 

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