Archive pour le Tag 'motion'

Assemblée nationale : motion de censure pour rien rejetée

Assemblée nationale : motion de censure pour rien rejetée

Comme il fallait s’y attendre la motion de censure présentée par le nouveau front de gauche n’a pas fait recette et a été largement rejeté par l’assemblée. Un résultat prévu d’avance et qui n’avait d’autres objets que de s’agiter avant même que le gouvernement ait  annoncé dans le détail son programme notamment concernant le budget. Bref de -l’agit-prop typique des » insoumis » malheureusement suivis par des socialistes et des écologistes complètement inconséquents. Pire on a fait défendre la motion de par  Olivier Faure qui n’a encore guère brillé dans cet exercice autant sans doute par manque de conviction que par sa mollesse idéologique. Le premier ministre lui à profiter de l’exercice pour affirmer sa personnalité. Bref une occasion perdue encore par la gauche qui se discrédite un peu plus auprès de l’opinion.

 

Attaqué par la gauche Michel Barnier s’est défendu dans le calme et avec, comme souvent, un brin d’humour. « Je n’ai pas besoin qu’on me rappelle que le gouvernement est minoritaire, je le sais. Il n’y a de majorité absolue pour personne », introduit-il. Avant de reprendre, quelques secondes plus tard : « Il y a donc simplement des majorités relatives et parmi ces majorités relatives, ce que je constate, c’est que celle qui accompagne le gouvernement est la moins relative. Vous pouvez raconter ce que vous voulez, c’est la vérité ».

 

Finalement une motion de censure assez peu suivie, prématurée et actuellement hors du champ des préoccupations immédiates de l’opinion. La gauche se trompe aussi de calendrier car le véritable débat interviendra à l’occasion de la discussion sur le budget

Politique et Budget : une motion de censure avant les européennes ?

Politique et Budget : une motion de censure avant les européennes ?

Cette fois le danger d’une majorité pour un vote de censure du gouvernement se rapproche. Il s’agira de le fonder sur l’absence de vote rectificatif du budget qui en fait a été profondément modifié. L’initiative de ce dépôt de vote revient aux Insoumis mais qui devraient être rejoints par un autre dépôt de la part du Rassemblement national.

La question se pose surtout de l’attitude des « Républicains » un peu coincés » dans cette affaire et qui peut-être ne voudront pas faire un cadeau à la majorité à la veille des élections européennes.

Bref le gouvernement pourrait bien être en danger juste avant les sélections européennes qui s’annoncent d’ailleurs catastrophiques pour ceux qui soutiennent Macron. La débâcle électorale ajoutée à une motion de censure serait de nature à faire sauter le gouvernement voire à provoquer la dissolution de l’Assemblée nationale.

Budget : une motion de censure juste avant les européennes ?

Budget : une motion de censure juste avant les européennes ?

Cette fois le danger d’une majorité pour un vote de censure du gouvernement se rapproche. Il s’agira de le fonder sur l’absence de vote rectificatif du budget qui en fait a été profondément modifié. L’initiative de ce dépôt de vote revient aux Insoumis mais qui devraient être rejoints par un autre dépôt de la part du Rassemblement national.

La question se pose surtout de l’attitude des « Républicains » un peu coincés » dans cette affaire et qui peut-être ne voudront pas faire un cadeau à la majorité à la veille des élections européennes.

Bref le gouvernement pourrait bien être en danger juste avant les sélections européennes qui s’annoncent d’ailleurs catastrophiques pour ceux qui soutiennent Macron. La débâcle électorale ajoutée à une motion de censure serait de nature à faire sauter le gouvernement voire à provoquer la dissolution de l’Assemblée nationale.

Une éventuelle motion de censure LR sera votée par le FN

 Une  éventuelle motion de censure LR sera votée par le FN

 En cas de hausses d’impôts, sur fond de mauvais résultats économiques, les bancs de la droite «n’hésiter(ont) pas» à déposer une motion de censure, a fait savoir le patron de LR, Éric Ciotti, dans les colonnes du Parisien. Et  l’initiative  de députés LR pourrait en tout cas être soutenue par les troupes du Rassemblement national (RN), a confirmé ce dimanche le député RN Jean-Philippe Tanguy .Il n’est pas certain que LR concrétise sa menace car il pourrait aussi être victime d’une éventuelle élection législative ( les sondages ne lui donnent actuellement que 7 à 8 % dans la perspective des européennes). Cependant ce chantage auprès du gouvernement pourrait lui donner les moyens de bloquer une partie des moyens du redressement financier et en rendre ensuite responsable le gouvernement.

La menace de renverser le gouvernement est souvent agitée par l’état-major de LR, mais le groupe s’était jusque-là très majoritairement retenu de s’associer au vote des motions de censure déposées par l’opposition lors de l’examen des derniers projets de loi de finances.

Pour espérer censurer l’exécutif, l’initiative doit recueillir la majorité absolue, soit 289 voix. Seule celle, transpartisane, déposée par le groupe Liot (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) pendant la réforme des retraites, en mars 2023, était passé à neuf de petites voix de renverser le gouvernement d’Élisabeth Borne.

Cette fois une majorité pourrait être obtenue avec le soutien de l’opposition notamment du rassemblement national. Le seul problème c’est que cela pourrait entraîner la dissolution de l’Assemblée nationale et de nouvelles élections pas nécessairement favorable à LR.

 

 

Budget : Menace d’une motion de censure

Budget : Menace d’une motion de censure 

 

 

L’idée d’une motion de censure progresse dans l’opposition et en particulier chez les républicains. Cette menace pourrait se réaliser s’il se confirme que le pouvoir enregistre une véritable débâcle aux élections européennes à savoir autour de 18 % des voix. La preuve supplémentaire qu’il serait totalement minoritaire à l’Assemblée nationale, au Sénat mais aussi dans l’opinion. Une motion de censure pourrait être déposée après les européennes et à la veille d’un plan de rigueur pour tenter de rectifier les déséquilibres du budget.

En cas de projet de loi de finances rectificative (PLFR) déposé ce printemps, le président de LR a également estimé «possible» le vote d’un texte de rejet. Un acte d’autant plus imposant que la soixantaine de voix dont est composé le groupe LR au Palais Bourbon, et qui viendrait s’ajouter à celles de toutes les oppositions, pourrait mécaniquement faire tomber le gouvernement. Qui n’a qu’une majorité relative à l’Assemblée nationale. «Je crois qu’aujourd’hui on ne peut pas continuer dans cette situation, dans cette dérive qui met en péril l’avenir de notre nation», a également déploré le parlementaire. Le tout, en ne balayant pas le scénario d‘une censure avant les Jeux Olympiques. «Les JO, ce n’est pas une échéance législative, pas une échéance politique, ça l’est pour Monsieur Macron, pas pour nous», a-t-il insisté.

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UNE MOTION DE CENSURE CONTRE LA RÉFORME DES RETRAITES

UNE MOTION DE CENSURE CONTRE LA RÉFORME DES RETRAITES

« Il faudrait 1150 heures de débats. Or, il nous reste 28 heures », a justifié Marine Le Pen après avoir annoncé déposer une motion de censure contre la réforme des retraites portée par le gouvernement d’Élisabeth Borne.
Ainsi, la présidente du groupe Rassemblement national à l’Assemblée veut « faire un référendum parlementaire pour ou contre la réforme des retraites ».
Cette motion de censure, qui met en cause la responsabilité du gouvernement, devrait être débattue vendredi soir, jour de la fin des débats autour de la réforme à l’Assemblée.
Le vote de l’article 7 impossible dans les délais

« Alors que le délai constitutionnel va toucher à sa fin, il apparaît clairement qu’aucun vote ne sera possible sur l’article 7, pivot du texte, et encore moins sur l’ensemble du projet de loi », ont déclaré Marine Le Pen et 87 de ses collègues dans un communiqué.

À l’occasion du budget, une motion de censure pour rien

À l’occasion du budget, une motion de censure pour rien !

Comme les discussions sur le budget s’éternisent et que nombre d’amendements ne peuvent être liés. Le gouvernement a décidé de mettre fin à la récréation et a sifflé la fin du débat. Le gouvernement utilisera donc l’article 49–3 pour passer en force. De son côté l’opposition ( sauf les « Républicains ») réagit de façon traditionnelle en déposant une motion de censure qui a peu de chances d’être votée.

Les « républicains » ne voteront pas cette censure en dépit de leur opposition sur de nombreux points. De son côté, la gauche de Mélenchon ne votera pas la motion de censure déposée par le rassemblement national. Lequel rassemblement national pourrait peut-être soutenir la motion de la gauche, Ce qui ne changera pas grand-chose résultat final. Bref le cirque habituel à l’assemblée avec des résultats connus d’avance qui sont davantage des postures que des attitudes politiques claires

Interrogé sur la position des députés RN par rapport à la motion de la Nupes, M. Tanguy Chef de file du RN sur ce texte a répondu: « On vote selon l’intérêt de la France ».
« Il n’y a pas encore de consignes qui ont été données. Ce qu’a dit Marine Le Pen, compte tenu des positions de la Nupes encore ces derniers jours, notamment sur le financement de la politique migratoire, le mépris pour le soutien à nos forces de l’ordre, ça nous paraît compliqué de voter une motion de la Nupes », a-t-il précisé.

La patronne du groupe d’extrême droite a exclu « a priori » dès dimanche de voter cette motion de la gauche. Aucune des deux motions n’a de chance d’être adoptée.
Ne disposant que d’une majorité relative au Palais Bourbon, le gouvernement avait permis l’utilisation de cet outil lors du Conseil des ministres mercredi dernier. Mais la Première ministre Élisabeth Borne avait annoncé dimanche qu’il ne serait pas actionné avant mardi ou mercredi, pour que « le débat ait lieu ». Le déclenchement du 49.3 est synonyme d’échec sur ces débats pour le gouvernement.

Brexit : Theresa May face à une motion de censure qui ne sera pas adoptée !

Brexit : Theresa May face à une motion de censure qui ne sera pas adoptée !

 

 

 

 

 

La Grande-Bretagne va encore être le théâtre d’une contradiction supplémentaire. En effet que la chambre des communes vient de rejeter l’accord conclu avec l’union économique pour organiser la transition du Brexit ;  il est clair que cela constitue pour le gouvernement. La logique voudrait qu’un vote intervienne pour renouveler ou non la confiance à Theresa May. Or une motion de censure a été déposée par les travaillistes. Mais elle a peu de sens d’être votée par les conservateurs qui de façon majoritaire contestent Theresa May mais veulent cependant continuer à détenir le pouvoir. En effet il y a de grandes chances qu’ils le perdraient en cas d’élection législative.  À la chambre des Communes, le traité conclu par la dirigeante conservatrice n’a obtenu que 202 voix contre 432, la plus lourde défaite essuyée par un dirigeant britannique depuis les années 1920. Ce vote historique a plongé le Royaume-Uni dans le flou concernant son avenir, à deux mois et demi du Brexit, prévu le 29 mars. Sitôt le résultat connu, le chef de l’opposition travailliste, Jeremy Corbyn, a présenté une motion de censure contre le gouvernement, qualifiant ce résultat de « catastrophique ». Son initiative a peu de chances d’aboutir. Le Parti conservateur de Theresa May et son allié, le petit parti ultraconservateur nord-irlandais DUP, qui ont mené la charge contre l’accord de Brexit, n’ont en effet aucune envie de se voir supplanter par les travaillistes aux rênes du pays. Dès mardi soir, le DUP et plusieurs députés rebelles conservateurs ont annoncé qu’ils soutiendraient Theresa May. Le vote de la motion de censure est prévu à 19H00 GMT. Si elle est adoptée, un nouvel exécutif doit être formé et recevoir la confiance du Parlement dans les 14 jours. En cas d’échec, de nouvelles élections législatives sont convoquées.

Loi travail motion de censure : les frondeurs se déballonnent

Loi travail motion de censure : les frondeurs se déballonnent

Une cinquantaine de députés seulement prêts à déposer une motion de censure à l’occasion de l’adoption de la loi dont une vingtaine de députés socialistes. En clair les frondeurs se sont une nouvelle fois déballonnés. Des frondeurs révolutionnaires mais qui ont cédé face à la menace d’être exclus du parti socialiste.  Plusieurs frondeurs ont refusé cette fois de tenter de censurer le gouvernement. L’approche, dans neuf mois, des élections présidentielle et législatives en a, semble-t-il, dissuadé plusieurs. La direction du PS avait averti que les signataires d’une motion de censure votée seraient exclus du parti et ne pourraient donc pas obtenir leur investiture. Finalement le psychodrame fini en eau de boudin. Les frondeurs très présents dans les médias sont par contre très minoritaires au sein du parti socialiste. Ceci étant la posture des frondeurs manifestant leur intention de renverser le gouvernement laissera sans doute des traces, la division ajoutée au rejet du gouvernement pourrait même menacer l’existence du parti socialiste actuel. Le groupe parlementaire qui compte environ 300 députés pourrait en effet se réduire à environ 50 en 2017 selon les projections d’instituts de sondage. Cette débâcle  pourrait être l’occasion d’un éclatement du parti socialiste actuel voire  de sa disparition. Pourtant rien de nouveau sous le soleil, les clivages qui travaillent  la famille socialiste ont plus d’un siècle avec d’un côté des crypto- marxistes plus ou moins révolutionnaires et de l’autre des réformistes plus ou moins libéraux. Pendant longtemps des leaders ont réussi à donner l’illusion d’une ligne politique unique. Une ligne surtout caractérisée par une radicalisation du discours dans les périodes électorales mais une pratique équivoque lors de l’accession au pouvoir. Ce fut le cas pour Guy Mollet, Mitterrand et maintenant François Hollande. La grande faiblesse de ce parti réside aussi dans sa composition sociologique qui, a la différence des autres parties socio-démocrates, ne comprend que très peu de représentants du monde de la production et du privé. Une sorte de parti de fonctionnaires qui n’entretiennent que des liens approximatifs avec les réalités économiques et sociales. Fort logiquement les frondeurs devraient rejoindre les crypto communistes de Mélenchon quant aux socio-libéraux ils auront beaucoup de mal à exister surtout la droite est capable de se repositionner sur une ligne plus centriste et plus humaniste que celle défendue par Sarkozy.

49-3, motion de censure : des jeux politiciens condamnés

49-3, motion de censure : des jeux politiciens condamnés

 

Les Français ne sont pas dupes des jeux politiciens, de ceux de la gauche comme ceux de la droite. Il est clair que Valls a tenté un coup de com. pour une nouvelle fois montrer que c’est lui l’homme de l’autorité .Mais là,  l’argument d’autorité n’a pas pris. En effet la loi Macron pouvait être votée avec un plus de diplomatie notamment auprès de l’UDI voire de certains députés de gauche récalcitrants. Valls a tenté un coup de poker en considérant que c’était l’occasion pour lui d’afficher encore et encore sa posture de Clemenceau d’opérette . Par ailleurs le 49-3 avec les navettes assemblée sénat va retarder la procédure d’adoption de la loi Macron ( si cette loi est effectivement votée). Sans doute pas de vote définitif avant juillet, ensuite il faudra des décrets à la pelle pour les 300 articles de cette loi fourre-tout. Sans parler du véto du conseil constitutionnel sur nombre de dispositions. Si tout va bien ( en clair  si Valls n’est pas viré avant) la mise en ouvre des orientations ne sera pas possible avant 2016. Coté opposition, ce n’est pas uen bonne opération non plus car le dépôt dune motion de censure relève du cirque politicien. D’autant plus que finalement beaucoup de dispositions auraient pu être votées par la droite, bien davantage encore que par la gauche. En clair le gouvernement et l’assemblée se sont embourbés dans leurs contradictions et cette attitude est bien loin des  attentes desFfrançais en matière de modernisation de l’économie, de soutien à la croissance et à l’emploi.

Loi Macron, 49-3, motion de censure : le flop politique

Loi Macron, 49-3, motion de censure : le flop politique

 

 

La classe  politique voudrait se discréditer un peu plus qu’ elle ne s’y prendrait pas autrement. D’abord cette loi Macron, loi-fourre-tout annoncée  comme la grande reforme de l’économie, le psychodrame à gauche, le 49-3 et la motion de censure  autant d’événement qui font flop. Un loi Macron sorte de vide grenier qui n’aborde pas la question centrale de la compétitivité et de l’  emploi mais qui comporte quand même quelques éléments que la droite aurait certainement voté si elle était au gouvernement ;  mais quelle ne votera pas » la droite fait son travail d’opposition dit-on en guise d’excuse. Ensuite le psychodrame gauche avec un gouvernement qui n’a plus de majorité. Le cou de force de Valls avec l’utilisation du 49-3 sur un sujet qui ne méritait pas autant de solennité martiale. Enfin une motion de censure qui n’a aucune chance d’être  adoptée  et des préoccupations concrètes des français bien loin de ces petits jeux politiciens. En attendant la croissance ne repart pas, l’emploi continue de se dégrader comme les déficits ( deniers en date les retraites complémentaires puis sans doute la retraite du régime général). Tout cela n’est guère glorieux. C’est surtout contre productif car cela diffuse un peu  plus un climat de méfiance et d’attentisme. Personne ne sort grandi de cet épisode .  De ce point de vue les sondages devraient sanctionner les petits jeux politiques de gauche comme de droite. Marine Lepen n’a pas besoin de parler, elle va ramasser la mise en additionnant t des contradictions aux contradictions des protestataires de tout poil. La consultation pour les départementales  devrait se traduire par un désintérêt encore plus grand à l’égard de la politique. Notamment par une  abstention record qui friser les 60% cela d’autant plus que les élections pour les élus des départements sont organisés alors qu’on ne sait pas encore quelles seront  les responsabilités respectives des départements et de régions !  Bilan, Hollande n’a plus  autorité, Valls plus de majorité, aucune alternative ne  se dégage . Toutes les éventuelles réformes sont figées et le pays continue de s’enfoncer dans la morosité économique, sociale et même sociétale .On comprend mieux pourquoi les français sont parmi les  plu pessimistes du monde.




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