Archive pour le Tag 'LR'

Wauquiez (LR) : pas de coalition…. pour l’instant !

Wauquiez (LR) : pas de coalition…. pour l’instant !

Le groupe LR prend désormais le nom de « Droite républicaine » à l’assemblée nationale et ses pieds qui a été élus à sa tête. Laurent Wauquiez s’est montré droit dans ses bottes en refusant toute perspective de coalition avec Macon. Le problème c’est que ce n’est pas forcément la vie de la totalité des élus de cette « droite républicaine » dont beaucoup ne sont pas prêts à accepter tacitement une présence des « insoumis dans un gouvernement ». Cela s’accommoderait d’un accord avec les macronistes.

 

Wauquiez, nouveau patron des députés LR

Wauquiez, nouveau patron des députés LR

Il est assez vraisemblable Wauquiez devienne  le nouveau patron des députés LR. Il a promis une ligne politique beaucoup plus claire et déjà obtenue de nombreux soutiens. Le seul problème c’est que Wauquiez a surtout pour objectif l’échéance de 2027, ce qui risque de compliquer les relations entre LR et l’ancienne majorité. Ne parlons pas d’une éventuelle union avec la gauche qui hypothèquerait  les chances de Wauquiez en 2027. Sans parler évidemment des différences idéologiques très marquées.

Retailleau (LR) veut un nouveau parti

 Retailleau (LR) veut un nouveau parti

 Bruno Retailleau Le patron des républicains au Sénat estime que le parti « les républicains » est fini. En cause la course à la gamelle entamée déjà depuis longtemps avec le recrutement par Macron d’anciens républicains tentés aujourd’hui soit de rejoindre un hypothétique gouvernement d’union,  soit de rejoindre le Rassemblement national.
Or pour lui. «La politique ne peut pas se résumer à de la petite cuisine, à de la tambouille, à une course à la gamelle (…) C’est de proposer à la France quelque chose de nouveau»
.

Passant après le président du MoDem François Bayrou, celui du RN Jordan Bardella et le premier secrétaire du PS Olivier Faure sur le plateau de TF1, Bruno Retailleau a sérieusement tancé «les trois nuances de gauche qui veulent toujours plus de dépenses.» Selon lui, la droite est seule à «proposer plus de fermeté et d’autorité pour l’ordre public, et une économie qui respire un peu pour les chefs d’entreprise, les commerçants et les artisans.»

LR: Investiture pour tous les députés sortants sauf Ciotti

LR: Investiture pour tous les députés sortants sauf Ciotti

Les Républicains ont décidé mercredi 12 juin de réinvestir tous leurs députés sortants aux législatives anticipées, à l’exception de leur président tout juste exclu, Éric Ciotti.

«Il y aura un candidat LR contre Eric Ciotti dans sa circonscription», a ajouté Olivier Marleix, qui s’exprimait à la sortie d’une commission nationale d’investiture des Républicains.

 

LR et macronistes menacés de disparition

D’après une étude du Figaro, sur la base des résultats du 9 juin, 536 duels sur 577 pourraient opposer le parti nationaliste au «Front populaire». Ce serait la disparition de LR comme des macronistes si les résultats des législatives étaient à peu près identiques à ceux des européennes. 

La liste de Jordan Bardella est arrivée en tête dans 457 circonscriptions, soit huit sur dix, les autres se répartissant entre Manon Aubry (48), Valérie Hayer (39), Raphaël Glucksmann (30), François-Xavier Bellamy (2) et Marion Maréchal (1). Certes le jeu des alliances peut changer les choses et on pourrait assister à des duels entre d’une part le bloc RN et ses alliés face à la gauche  regroupée au sein du « Front populaire ».

Après les européennes leRN  théoriquement compter sur le soutien des électeurs à hauteur de 31 % auxquels s’ajoutent ceux d’une partie de Marion Maréchal et certains LR soit au moins  35 %. En face la gauche ne peut compter que sur 30 %. Le parti de macro avec 14 % et LR avec 7 % risque de se trouver marginalisés même avec certaines alliances entre eux. Bien entendu la campagne électorale peut  encore modifier les rapports de force mais sans doute par les grandes tendances.

 

Tambouille politique : Ciotti exclu des LR

Tambouille politique : Ciotti exclu des LR

Du grand-guignol avec cette décision d’Éric Ciotti de fermer à clé le siège du LR pour que ne se tienne pas une réunion du bureau politique. Une réunion qui s’est évidemment tenue et qui a prononcé l’exclusion de l’intéressé, ancien président des LR, et qui s’est rallié au RN sans en discuter avec le moindre responsable.

 

Sans doute le Niçois n’avait-il pas anticipé l’ampleur de la levée de boucliers dans son camp en acceptant de nouer une telle alliance. Les ténors du parti ont aussitôt dénoncé l’initiative d’un seul homme, « un accord entre Ciotti et le RN ». L’annonce a d’autant plus surpris que le député des Alpes-Maritimes n’a pas évoqué cette option lors d’un entretien au Sénat la veille au soir, dans le bureau de Gérard Larcher, en présence de Bruno Retailleau, François-Xavier Bellamy et Annie Genevard.

Ciotti i conteste cette décision et ses arguments juridiques ne sont pas sans fondement mais de toute manière politiquement il est condamné à porter pendant longtemps le titre de traître parmi ses anciens amis et sans doute au-delà.

 

La position de Ciotti, une impasse pour les responsables LR

 La position de Ciotti, une impasse pour les responsables LR

 
Dimanche dernier, les Français ont sévèrement sanctionné le macronisme qui n’aura jamais réussi à sortir notre République de l’impuissance. Au fond, il n’aura jamais tenu sa promesse originelle de surmonter la crise d’efficacité qui plombe notre démocratie depuis des décennies. Le président de la République se présente comme rempart au «populisme», en oubliant qu’il s’agit du thermomètre électoral des problèmes réels des Français, au premier rang desquels figurent une immigration hors de contrôle ainsi qu’une croissante insécurité quotidienne, économique et culturelle, ou encore l’absence de juste valorisation du travail. Ce n’est pas en cultivant en même temps l’indécision et l’ambiguïté que l’on réglera ces problèmes. Ce n’est pas dans la continuité avec la politique à l’œuvre que les Républicains s’inscrivent, mais dans une ambition forte et sérieuse de rupture.

Oui, la France a besoin d’une autre politique, la France a besoin d’un profond changement, mais le pays ne sortira pas de l’impuissance en faisant le choix de l’incompétence. La France ne relèvera pas la tête en s’épuisant dans les divisions et les conflits permanents. Aussi légitimes que soient les motifs de colère, donner un blanc-seing au Rassemblement national serait une profonde erreur qui ajouterait au désordre alimenté depuis des mois par l’extrême-gauche et creuserait encore davantage les fractures au sein de notre nation. Cela exposerait notre pays à l’instabilité politique et financière, au moment où il doit faire face à des crises multiples. Les défis français ne se relèveront pas par des slogans simplistes, mais par un travail sérieux, rigoureux, courageux.

Une éventuelle motion de censure LR sera votée par le FN

 Une  éventuelle motion de censure LR sera votée par le FN

 En cas de hausses d’impôts, sur fond de mauvais résultats économiques, les bancs de la droite «n’hésiter(ont) pas» à déposer une motion de censure, a fait savoir le patron de LR, Éric Ciotti, dans les colonnes du Parisien. Et  l’initiative  de députés LR pourrait en tout cas être soutenue par les troupes du Rassemblement national (RN), a confirmé ce dimanche le député RN Jean-Philippe Tanguy .Il n’est pas certain que LR concrétise sa menace car il pourrait aussi être victime d’une éventuelle élection législative ( les sondages ne lui donnent actuellement que 7 à 8 % dans la perspective des européennes). Cependant ce chantage auprès du gouvernement pourrait lui donner les moyens de bloquer une partie des moyens du redressement financier et en rendre ensuite responsable le gouvernement.

La menace de renverser le gouvernement est souvent agitée par l’état-major de LR, mais le groupe s’était jusque-là très majoritairement retenu de s’associer au vote des motions de censure déposées par l’opposition lors de l’examen des derniers projets de loi de finances.

Pour espérer censurer l’exécutif, l’initiative doit recueillir la majorité absolue, soit 289 voix. Seule celle, transpartisane, déposée par le groupe Liot (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) pendant la réforme des retraites, en mars 2023, était passé à neuf de petites voix de renverser le gouvernement d’Élisabeth Borne.

Cette fois une majorité pourrait être obtenue avec le soutien de l’opposition notamment du rassemblement national. Le seul problème c’est que cela pourrait entraîner la dissolution de l’Assemblée nationale et de nouvelles élections pas nécessairement favorable à LR.

 

 

Une loi pour protéger les consommateurs des arnaques énergétiques

Une loi pour protéger les consommateurs des arnaques énergétiques Annonce le ministre de l’énergie et de l’industrie.

Interview dans la tribune

 

Question à Roland Lescure ministre de l’énergie et de l’industrie: À propos des pompes à chaleur, les arnaques à l’installation se multiplient. Que comptez-vous faire pour protéger les consommateurs ?

Il est hors de question que quelques individus mettent à bas cette stratégie ambitieuse au prétexte de s’enrichir. Nous serons intraitables, et l’ensemble des ministères concernés y travaille. Des annonces devraient être faites prochainement, notamment pour renforcer les contrôles. Chez les fournisseurs d’énergie aussi, il y a eu des comportements de voyous. L’État [par l'intermédiaire de la Commission de régulation de l'énergie, la CRE] a donc engagé trois enquêtes sur trois fournisseurs. Nous allons tout faire pour sanctionner les comportements déviants. La loi viendra par ailleurs renforcer le pouvoir de contrôle de l’Etat, pour mettre un terme à ces comportements.

Ces mesures devaient constituer un des volets du projet de loi relatif à la souveraineté énergétique, qui n’est plus à l’agenda. Il y a aura donc un nouveau projet de loi ?

Nous allons évaluer les chemins. Cette année, nous avons déjà adopté l’extension du TRV [tarif réglementé de ventes] d’électricité à toutes les très petites entreprises via une proposition de loi votée à l’unanimité. L’objectif est de faire adopter les mesures souhaitées, mais pas forcément au même moment. Celles-ci concernent la protection des consommateurs, la régulation du marché de l’électricité, les grandes orientations de production et nos barrages.

Selon Les Échos, la facture des six futurs réacteurs nucléaires EPR2 aurait déjà grimpé de 30 % pour s’établir à 67,4 milliards d’euros, contre les 51,7 milliards annoncés initialement par EDF. Comment expliquer un tel dérapage, et faut-il en redouter d’autres ?

Le chantier n’a pas encore démarré donc on ne peut pas parler de dérapage. En revanche, ces vingt dernières années, l’industrie nucléaire n’a pas brillé par sa capacité à livrer dans les temps et en respectant les budgets. Mais le management a évolué, les relations avec les industriels aussi, et j’ai confiance en EDF. Pour autant, faisons-nous un chèque en blanc ? Non. Nous avons organisé une gouvernance au sein de l’État pour surveiller de très près tous les projets, avec la mise en place d’un Conseil de politique nucléaire et d’une délégation interministérielle au nouveau nucléaire, qui va challenger tous les chiffrages et la conduite des opérations. J’entends que les estimations d’EDF sont réévaluées. Mais elles n’ont été ni validées, ni échelonnées dans le temps, ni financées. Or, le coût du financement et la durée de construction joueront énormément. Par ailleurs, l’entreprise s’est engagée dans un programme d’optimisation du projet et de ses coûts. Tout cela sera évalué en temps et en heure lorsque nous aurons des projets suffisamment finalisés. Nous ne signerons pas de chèque sans avoir eu de devis détaillé.

Loi immigration : Retailleau (LR) mange son chapeau

Loi immigration : Retailleau (LR) mange son chapeau

Le fameux article trois de la future loi immigration a donc été supprimé notamment sur demande de Bruno Retailleau chef de file des Républicains au Sénat. Une sorte de victoire pour un article qui prévoyait la régularisation des travailleurs sans papiers dans les métiers en tension. Le problème c’est qu’un autre article viendra le remplacer. Mais l’honneur est sauf. Le compromis autour d’un nouvel article qui prévoit lui aussi des régularisations de l’immigration était de toute façon inévitable compte tenu du clivage même au sein des républicains. Finalement comme prévu cette loi immigration ne changera pas grand-chose et ne répond pas en tout cas à l’enjeu. Notons que c’est presque la trentième lois sur le sujet.

Après l’accord trouvé mardi soir par la majorité sénatoriale, les parlementaires de la Chambre Haute ont donc voté, ce mercredi, un amendement de suppression de l’article décrié du gouvernement. Un autre article, qui prévoit lui le durcissement des critères prévus par la circulaire Valls, va quant à lui être adopté.

Mais après d’âpres négociations, les deux parties étaient parvenues à un accord, mardi soir. L’article 3 est supprimé, mais il est remplacé par un autre article, le 4B, qui prévoit lui le durcissement des critères prévus par la circulaire Valls, entrée en vigueur en 2012. Cette circulaire autorisait la demande de titre de séjour aux étrangers en situation irrégulière qui vivent en France depuis au moins cinq ans, qui ont travaillé au moins huit mois dans les deux dernières années et disposent d’un contrat de travail ou d’une promesse d’embauche. Elle sera désormais inscrite dans la loi.

Pour le gouvernement, l’honneur est également sauf, il autorise la suppression d’un article mais remplacé par un autre qui sur le fond n’est pas très éloigné de l’article trois. Bref surtout une bataille d’affichage.

Retailleau (LR): interdire les manifs !

Retailleau (LR): interdire les manifs !

Le président des républicains au Sénat déjà en mal dans les sondages et même battu à la tête de son parti par le peu reluisant Ciotti propose purement et simplement d’interdire les manifestations dans le cadre d’une loi anticasseurs. Il ne faudra pas s’étonner ensuite si les républicains continuent de s’enfoncer dans l’opinion au point de suivre vraisemblablement le chemin des socialistes pour disparaître complètement.

Certes la prévention et les sanctions vis-à-vis des casseurs est nécessaire de la même manière que la régulation des manifestations. Reste qu’on ne peut pas s’attaquer à une liberté aussi fondamentale sans en même temps faire preuve de l’attitude la plus réactionnaire qui soit et même liberticide.

On trouve là toutes les contradictions d’un parti « républicain » qui ne parvient pas à se positionner entre une ligne relativement très droitière comme celle de Ciotti et de Retailleau et celle d’un Bertrand plus moderne et plus modéré.

interview:

Pourquoi soutenez-vous la possibilité d’une interdiction administrative de manifester ?

Cette mesure est plus que jamais nécessaire, puisqu’on a désormais affaire à une véritable guérilla, organisée sur le modèle de groupe paramilitaires, et les outils que nous avons pour protéger la société, pour protéger le droit de manifester en toute quiétude, de façon pacifique, tranquille, est profondément remis en cause par ces individus. Il y a une forme de dialectique entre l’épée et le bouclier, c’est-à-dire qu’eux perfectionnent leurs techniques pour tenter de tuer du flic, pour atteindre un certain nombre de biens, et il faut que le bouclier que constitue la loi puisse évoluer à proportion de la dangerosité de ces nouvelles techniques de guérillas urbaines. Il y a un ensauvagement, et on a vu des groupuscules se déployer à Notre-Dame-des-Landes, à Sainte-Soline, mais aussi désormais dans beaucoup de manifestations. Si on veut préserver le droit constitutionnel à manifester, on doit se pourvoir des outils à la hauteur des menaces que constituent ces groupes et ces individus.

Les Républicains soutiendront-ils le gouvernement sur cette mesure ?
Bien sûr qu’on soutiendra. Il y a deux solutions, soit le gouvernement fait des propositions et a un vecteur rapidement, soit nous en ferons nous aussi. Il n’y a aucune raison que je change d’avis par rapport à la proposition de loi que j’avais déposée en 2018. Je veux simplement dire qu’Emmanuel Macron a une forme de responsabilité. Notre-Dame-des-Landes est le creuset fondateur de ces nouvelles violences. C’est là que sont nés Les Soulèvement de la terre. Pour que l’action publique, l’autorité de l’Etat puisse être efficace, il faut une parfaite cohérence. Encore une fois, le « en même temps » macronien a été pris à défaut au regard de cette exigence de cohérence. Comment faire pour lutter efficacement contre ces individus que l’on combat à Sainte-Soline, alors qu’on leur a donné raison à Notre-Dame-des-Landes ? Je souhaite que la loi évolue et qu’on trouve une rédaction à la fois efficace pour les forces de l’ordre, pour l’Etat et pour protéger la société.

Très clairement, je fais plus confiance à Gérald Darmanin qu’à Christophe Castaner


Avez-vous confiance en Gérald Darmanin, plus qu’en Christophe Castaner alors ministre à l’époque de votre proposition de loi, pour porter ce combat ?

Très clairement, je fais plus confiance à Gérald Darmanin qu’à Christophe Castaner sur ce plan là. Je me souviens des propos ambigus que ce dernier avait eus lorsqu’il s’était dit prêt à mettre un genou à terre, ce qui était le geste emblématique des manifestations du comité Adama Traoré. Cela avait beaucoup choqué les policiers.

Quels ajustements devront-ils être faits pour que la mesure soit validée par le Conseil constitutionnel ?
Il faut qu’on puisse trouver une rédaction qui soit à la fois adaptée, nécessaire, mais surtout proportionnée. Je pense que la rédaction qui était la mienne, et qui est celle que le Sénat avait votée en 2018, répondait à ces exigences. Nous avions mis trois garde-fous. Le premier était que l’interdiction concernait les individus appartenant à des groupuscules violents ou ayant commis des actes délictuels à l’occasion de précédentes manifestations. Le deuxième était que la mesure d’interdiction ne pouvait excéder dans le temps la durée de la manifestation. Et en troisième point, nous avions limité le périmètre de l’interdiction à la manifestation et aux abords immédiats de la manifestation. De plus, il y avait une obligation de notification de l’arrêté 48 heures avant la date prévue de la manifestation, pour qu’éventuellement la personne qui était frappée par cette interdiction puisse se pourvoir en référé auprès du juge.

Darmanin est un agitateur pour le député LR Aurélien Pradié

Darmanin est un agitateur pour le député LR Aurélien Pradié

Pour Alain Pradié, député LR, vice-président exécutif des Républicain, Darmanin est un agitateur, témoin ses propos accusant les opposants à la réforme de la retraite de bordéliser le pays. S Gérald Darmanin veut faire la leçon à la Nupes, qu’il commence à se la faire à lui-même», a rétorqué Aurélien Pradié. «On peut être opposé à cette réforme-là sans être un affreux gauchiste qui voudrait bordéliser le pays», a-t-il renchéri.

Aurélien Pradié a aussi dénoncé dénoncé le «coup de menton» de la première ministre Élisabeth Borne. Critiqué par le député du Lot, le report à l’âge de départ à 64 ans «n’est plus négociable», a en effet affirmé cette dernière, invitée ce matin sur Franceinfo.

«le petit coup de menton de ce matin commence à me faire penser que, au fond, les macronistes ne changeront jamais». Le gouvernement compte pourtant sur le vote des députés LR pour obtenir une majorité dans l’hémicycle. «Je ne serai pas dans une opposition bête et méchante, comme personne chez les Républicains, mais nous avons une condition sur la table», a-t-il averti.

Le député du Lot (LR) s’est dit prêt à ne pas voter la réforme en cas de rejet de l’amendement permettant à ceux qui ont commencé à travailler «avant 21 ans» de partir «dès leurs 43 ans de cotisation».

LR et Ciotti: un risque de disparition

LR et Ciotti: un risque de disparition

Eric Ciotti est devenu président du parti Les Républicains (LR) avec 53,7 % des suffrages face à Bruno Retailleau (46,3 %). La tâche est immense, il lui faudra rapidement clarifier la ligne idéologique ou le parti attaqué de toute part disparaîtra. Il y a déjà plusieurs défections depuis l’élection de Ciotti.

Érection qui devient président du parti Les Républicains (LR) mais une immense tâche l’attend car l’organisation est menacée de disparaître. Les républicains sont en effet attaqués de toutes parts. D’abord par Macron qui ne cesse de lui sucer le sang en recrutant un par un des responsables avec la promesse d’un portefeuille ministériel. Dernier recrutement en date celui d’EStrosi, le maire de Nice qui attend depuis longtemps ce marocain.
Mais il y a aussi Édouard Philippe qui a créé son propre parti à la fois pour décrire LR et les annexer en vue des élections présidentielles de 2027. L’extrême droite de son côté entend récupérer l’ancienne audience des Républicains. Elle récupère aussi certains responsables comme Mariani.

Le parti est également miné de l’intérieur. Le premier démolisseur et Sarkozy qui n’a cessé de taper sur le parti qu’il a créé sans doute pour espérer un peu de clémence de la part du pouvoir et de la justice compte tenu des casseroles qu’il traîne encore. Enfin il y a un urgent besoin de clarification idéologique pour savoir si les républicains sont en fait des libéraux sociaux des conservateurs très à droite proches du Front National .

Le nouveau patron des Républicains dispose de peu temps même s’il peut s’appuyer sur des réseaux locaux encore solides avec de nombreux élus notamment dans les milieux ruraux. P tenter de sortir le parti du marasme, un travail colossal attend la nouvelle équipe dirigeante. « C’est une rude tâche, c’est une tâche herculéenne », a considéré M. Retailleau le candidat battu par Ciotti.

LR et Ciotti: clarifier rapidement ou disparaitre

LR et Ciotti: clarifier rapidement ou disparaitre

Eric Ciotti est devenu président du parti Les Républicains (LR) avec 53,7 % des suffrages face à Bruno Retailleau (46,3 %). La tâche est immense, il lui faudra rapidement clarifier la ligne idéologique ou le parti attaqué de toute part disparaîtra. Il y a déjà plusieurs défections depuis l’élection de Ciotti.

Érection qui devient président du parti Les Républicains (LR) mais une immense tâche l’attend car l’organisation est menacée de disparaître. Les républicains sont en effet attaqués de toutes parts. D’abord par Macron qui ne cesse de lui sucer le sang en recrutant un par un des responsables avec la promesse d’un portefeuille ministériel. Dernier recrutement en date celui d’EStrosi, le maire de Nice qui attend depuis longtemps ce marocain.
Mais il y a aussi Édouard Philippe qui a créé son propre parti à la fois pour décrire LR et les annexer en vue des élections présidentielles de 2027. L’extrême droite de son côté entend récupérer l’ancienne audience des Républicains. Elle récupère aussi certains responsables comme Mariani.

Le parti est également miné de l’intérieur. Le premier démolisseur et Sarkozy qui n’a cessé de taper sur le parti qu’il a créé sans doute pour espérer un peu de clémence de la part du pouvoir et de la justice compte tenu des casseroles qu’il traîne encore. Enfin il y a un urgent besoin de clarification idéologique pour savoir si les républicains sont en fait des libéraux sociaux des conservateurs très à droite proches du Front National .

Le nouveau patron des Républicains dispose de peu temps même s’il peut s’appuyer sur des réseaux locaux encore solides avec de nombreux élus notamment dans les milieux ruraux. P tenter de sortir le parti du marasme, un travail colossal attend la nouvelle équipe dirigeante. « C’est une rude tâche, c’est une tâche herculéenne », a considéré M. Retailleau le candidat battu par Ciotti.

LR: Ciotti ou Retailleau ?

LR: Ciotti ou Retailleau ?

Pour le premier tour des élections à la présidence des républicains Éric Ciotti a été placé en tête (42,73%) par les adhérents de sa formation politique. Il devance Bruno Retailleau (34,45%), ainsi qu’Aurélien Pradié (22,29%).

Cependant rien n’est joué car tout dépendra du report des voix obtenues par Aurélien Pradié. Le choix du président des républicains est d’une certaine manière existentiel car la représentation des « républicains » s’est considérablement réduite à l’Assemblée nationale.Le parti est très tiraillé entre son attirance pour le Front National et celle pour le partie Renaissance. En cause, l’absence d’une ligne politique claire et mobilisatrice. Son ancrage sur le terrain demeure cependant assez forte dans ses bastions traditionnels notamment ruraux.

Les « Républicains ont le choix entre une ligne droitière assez dure d’Éric Ciotti assez proche du Rassemblement National sur de nombreux sujets et entre le classique Bruno Retailleau qui peine à incarner le renouveau du parti.

Cette première place était pressentie pour l’élu sudiste, régulièrement présenté comme le favori de cette élection interne. LR A en effet un besoin urgent de se distinguer des troupes de Macron dont certains se rallient au pouvoir inciter notamment par Sarkozy. Impossible de le voir dans le costume d’outsider après le congrès LR de 2021, destiné à designer le candidat du parti pour l’élection présidentielle. Le député des Alpes-Maritimes avait créé la surprise en l’emportant au premier tour, avant de s’incliner face à Valérie Pécresse au second.
Tenant d’une ligne durePour le premier tour des élections à la présidence des républicains Éric Ciotti.

Même si Éric Ciotti s’avançait en futur vainqueur pour cette élection, les révélations du Canard enchaîné sur le cumul d’emplois politiques de son ex-femme doublée de l’ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet national financier (PNF), auraient pu faire dérailler le député. D’autant plus dans une famille politique encore marquée par la défaite de François Fillon à la présidentielle de 2017.

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