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Politique–LE DÉPUTÉ LFI CARLOS MARTENS BILONGO déjà bénéficiaire d’un logement social le sous-louait

Politique–LE DÉPUTÉ LFI CARLOS MARTENS BILONGO déjà bénéficiaire d’un logement social le sous-louait

Le député insoumis du Val-d’Oise Carlos Martens Bilongo a continué de bénéficier, après son élection en juin 2022, d’un logement social à Villiers-le-Bel qu’il sous-louait à l’une de ses sœurs, alors qu’il était dans le même temps propriétaire de deux autres appartements.

Nouvelle affaire impliquant Carlos Martens Bilongo. Une semaine après l’ouverture d’une enquête le visant pour « fraude fiscale » et « blanchiment », BFMTV révèle que le député LFI a bénéficié jusqu’en décembre 2022, soit six mois après son élection, d’un logement social qu’il sous-louait à l’une de ses sœurs à Villiers-le-Bel, dans le Val-d’Oise, alors qu’il était dans le même temps propriétaire de deux autres appartements.

Ces informations figurent dans le signalement qu’a effectué la cellule anti-blanchiment de Bercy à la justice il y a quelques semaines à propos du député, a appris BFMTV. C’est ce signalement qui a conduit le parquet de Pontoise à ouvrir, mi-avril, une enquête préliminaire pour des faits de fraude fiscale, blanchiment de fraude fiscale, abus de biens sociaux et manquement aux obligations de déclaration auprès de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP).

Sous-location à sa sœur
Interrogé par BFMTV sur cette enquête préliminaire, Carlos Martens Bilongo indiquait la semaine dernière qu’il devait faire le point avec son comptable et ses avocats, tout en démentant avoir voulu être malhonnête.

D’après les éléments des enquêteurs de la cellule de Bercy (Tracfin), Carlos Martens BIlongo aurait quitté ce logement social en 2020, mais le logement est resté occupé par l’une de ses sœurs qui lui versait, pour cela, un loyer. Interrogé sur ce point, Carlos Martens Bilongo n’a pas démenti.

« Oui, ma sœur vivait avec moi. Et elle participait au loyer », a-t-il concédé.
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Le député LFI Carlos Martens Bilongo visé par une enquête pour fraude fiscale et blanchiment
Concernant le fait qu’il possédait, par ailleurs, deux autres logements, il s’est justifié en indiquant que l’un était « un investissement locatif », le second étant « en travaux entre 2018 et 2020″ ce qui, selon lui, l’empêchait d’y habiter.

Un député LFI accusé d’abus de biens sociaux

Un député LFI accusé d’abus de biens sociaux

député LFI du Val-d’Oise Carlos Martens Bilongo estt visé par une enquête préliminaire pour «blanchiment de fraude fiscale», «abus de biens sociaux» et «manquement de déclaration à la HATVP» depuis avril dernier. Il est aussi également poursuivi pour «fraude fiscale». Face à ces accusations, l’élu insoumis a répliqué dans la soirée, via un communiqué. Et affirme n’avoir «jamais eu de contrôle fiscal ni à titre personnel ni pour (ses) sociétés.». Ce qui évidemment ne constitue pas un argument. Les investigations à son encontre ont démarré à la suite d’un signalement auprès de Tracfin, la cellule anti-blanchiment du ministère de l’Économie et des Finances.

«Je n’ai jamais ouvert de compte bancaire à l’étranger à titre personnel et je viens de vérifier avec mon expert-comptable qui m’assure que c’est également le cas pour mes sociétés», a martelé Carlos Martens Bilongo. «À ma connaissance, l’intégralité des sommes versées sur mes comptes sociétés a été déclarée en bonne et due forme», ajoute le député, qui souhaite être «transparent» vis-à-vis de l’opinion publique. L’élu avait déclaré sur Twitter le 18 avril dernier que «les Français en (avaient) ras le bol de la fraude fiscale qui coûte 100 milliards euros par an».

Politique-LFI et Mélenchon : une guerre de succession ?

Politique-LFI et Mélenchon : une guerre de succession ?


Une nouvelle fois et LFI a étalé ses divergences de manière publique. D’abord parce que la décision de maintenir nombre d’amendements à l’assemblée n’a été empoprtée que par quelques voix. Ensuite parce qu’il y a eu deux conférences de presse organisées parallèlement l’une par les frondeurs notamment par la députée LFI Raquel Garrido, Clémentine Autain, Alexis Corbière, Éric Coquerel, François Ruffin. Autant de responsables qui contestent d’ailleurs pour des motifs différents la ligne de Mélenchon mais qui sont aussi candidats pour le remplacer.

Des responsables qui a réussi de moins en moins la gestion autoritaire de Mélenchon sur le parti.

Le vieux lio Lyon n’a pourtant pas dit son dernier mot ni ses réelles intentions vis-à-vis de 2017. Il pourrait bien nouveau présenter sa candidature et c’est aussi lui qui accordera les précieuses investitures pour les législatives et autres élections. Il avait d’ailleurs mis pour cela à la tête de LFI l’un de ses proches par ailleurs assez contesté

Mélenchon lors de sa conférence de presse a en quelque sorte tancée les députés de LSI en leur recommandant de ne pas retirer leurs amendements est en quelque sorte de faire durer le plaisir pour éviter le vote sur l’article 7 du projets du gouvernement
À l’issue d’une nouvelle journée de contestation marquée par une mobilisation en baisse, l’ancien prétendant à la présidentielle a d’ailleurs mis en garde le gouvernement : «On ne baissera pas le ton, nulle part, tant que j’y serai (…) on gagnera». Un message destiné au gouvernement mais aussi à LFI notamment assez frondeurs.

LFI et Mélenchon : une guerre de succession ?

LFI et Mélenchon : une guerre de succession ?


Une nouvelle fois et LFI a étalé ses divergences de manière publique. D’abord parce que la décision de maintenir nombre d’amendements à l’assemblée n’a été empoprtée que par quelques voix. Ensuite parce qu’il y a eu deux conférences de presse organisées parallèlement l’une par les frondeurs notamment par la députée LFI Raquel Garrido, Clémentine Autain, Alexis Corbière, Éric Coquerel, François Ruffin. Autant de responsables qui contestent d’ailleurs pour des motifs différents la ligne de Mélenchon mais qui sont aussi candidats pour le remplacer.

Des responsables qui a réussi de moins en moins la gestion autoritaire de Mélenchon sur le parti.

Le vieux lio Lyon n’a pourtant pas dit son dernier mot ni ses réelles intentions vis-à-vis de 2017. Il pourrait bien nouveau présenter sa candidature et c’est aussi lui qui accordera les précieuses investitures pour les législatives et autres élections. Il avait d’ailleurs mis pour cela à la tête de LFI l’un de ses proches par ailleurs assez contesté

Mélenchon lors de sa conférence de presse a en quelque sorte tancée les députés de LSI en leur recommandant de ne pas retirer leurs amendements est en quelque sorte de faire durer le plaisir pour éviter le vote sur l’article 7 du projets du gouvernement
À l’issue d’une nouvelle journée de contestation marquée par une mobilisation en baisse, l’ancien prétendant à la présidentielle a d’ailleurs mis en garde le gouvernement : «On ne baissera pas le ton, nulle part, tant que j’y serai (…) on gagnera». Un message destiné au gouvernement mais aussi à LFI notamment assez frondeurs.

Clémentine Autain (LFI) et la SNCF : la politique degré zéro

Clémentine Autain (LFI) et la SNCF : la politique degré zéro

 

Clémentine Autain incarne à merveille la politique degré zéro. D’abord,  elle proteste pour avoir subi retard de train mais évidemment au contraire encourage en général les grèves de l’entreprise qui bloque le service public. Le pire c’est qu’elle attribue le retard dont elle a  été victime au fait que la SNCF a été privatisée ! En réalité la SNCF n’a pas été privatisée mais renationalisée à 100 %. Clémentine Autain reprend  les slogans du parti communiste qu’elle a quitté pour LFI.

Une déclaration pathétique comme elle a l’habitude d’en faire car  la députée qui ne brille pas par son intelligence et sa compétence mais se caractérise surtout par des saillies bêtes et caricaturales. Elle n’hésite pas non plus d’ailleurs à attaquer la direction de LFI en espérant être en prendre la direction.

Bref une députée, politicienne de métier, qui ne grandit pas l’image du parlementaire du fait de la nullité régulière de ses propos.

Bloquée dimanche soir dans un train pendant plus de deux heures en gare de Marmande (Lot-et-Garonne), l’élue a cru bon d’expliquer ce retard par la supposée «privatisation» de la SNCF sur Twitter. Selon elle, la compagnie ferroviaire, qui ne serait plus totalement publique, en subirait les conséquences : «On sait quand on part, jamais quand on arrive.» Poursuivant sa démonstration, Clémentine Autain l’affirme : «Depuis l’Angleterre de (Margaret) Thatcher, on sait comment ça finit, par une renationalisation. Tout ça pour ça…».

Les internautes, de leur côté, n’ont pas manqué de se moquer du message de l’Insoumise. «Comment pouvez-vous dire de telles bêtises ? Essayez au moins de vous renseigner avant de dire telles inepties», ironise notamment Treyens sur Twitter. Il faut dire que la publication de Clémentine Autain n’est pas passée sous les radars sur le réseau social : en 24 heures, elle a été vue plus de 2,7 millions de fois.

 

 

LFI et Mélenchon: pas d’héritier naturel !

LFI et Mélenchon: pas d’héritier naturel  !

 

Mélenchon a remis les pendules à l’heure vis à vis de son éventuelle succession. Pour l’instant , il ne voit que lui. De quoi faire taire les voix discordantes des prétendants qui se font  un peu trop entendre à LFI.

S’il souhaite être remplacé, l’ex-candidat de La France Insoumise a rappelé sur France 2 que «ce sont les circonstances qui font les candidatures». Manière de ne pas totalement exclure un retour.

 Mélenchon trouve du talents à beaucoup mais il signifie en même temps qu’aucun n’émerge à sa hauteur sans doute tant sur le plan politique qu’intellectuel; En outre il se réserve la possibilité d’une candidature en 2027.
 Beaucoup s’interrogent  sur le rôle que jouera le ténor de LFI. L’Insoumis a dans un premier temps voulu être clair en affirmant : «Je ne suis pas candidat à ma succession. Qu’est-ce qu’il faut que je dise de plus?»,
«Je veux terminer mon travail intellectuel. En juin ou juillet prochain, je ferai paraître le livre La Révolution citoyenne, je veux réussir l’installation de la fondation (fondation La Boétie, sorte de cercle d’études au sein de LFI, NDLR)… Et à ce moment-là, ma foi, je pourrai dire que j’ai fait le travail», a-t-il expliqué.

Malgré tout, Jean-Luc Mélenchon revendique sa volonté d’être remplacé. «Ils sont nombreux à avoir du talent, à être capable (d’être candidat). Si quelqu’un a réussi, dans l’intervalle, à se faire aimer, eh bien ça se fera tout seul, naturellement. Quel besoin d’aller encombrer la discussion avec ma personne?», a-t-il demandé.

Selon lui, le député LFI Adrien Quatennens, qu’il considère comme «un ami cher», continue de faire partie de ses potentiels successeurs, malgré sa condamnation pour violence conjugale. «Les républicains disent qu’une sanction permet au condamné de se réhabiliter», a-t-il voulu rappeler. Jean-Luc Mélenchon estime néanmoins qu’«il faudra qu’il regagne ses galons, ça c’est clair et il le sait».

Politique- LFI et Nupes : Un risque d’explosion

Politique- LFI et Nupes : Un risque d’explosion

« Nous, membres de la France insoumise et de la Nupes demandons l’exclusion d’Adrien Quatennens », peut-on lire dans une tribune de militants de LFI mais aussi de la NUPES. Inutile de tourner autour du pot, ce sont certains militants exclus de la direction de LFI et des écologistes radicaux d((écologie les Verts qui sont à la manœuvre.

Pourtant en adhérant à la Nupes, ces militants auraient dû savoir qu’ils adhéraient en même temps au centralisme démocratique habituel des organisations procommunistes. Et Mélenchon n’a jamais caché sa sensibilité de ce point de vue. Témoin la manière dont il a imposé aussi le nouveau patron de LFI et les autres dirigeants non pas élus mais choisis en fonction de leurs « compétences particulières ».

« Nous demandons une démocratie interne plus juste où les représentants seront nommés et légitimés par les militant-e-s et non pas essentiellement par le cercle restreint par le bureau national », écrivent-ils encore.La formulation de démocratie plus juste pose question. Il n’y a pas en effet de démocratie plus ou moins juste mais une démocratie ou une dictature. Quand on est dans un parti pro communiste, il faut en accepter le principe et les modalités.

« Appliquez vos promesses, agissez: oui, le privé est politique, aucun agresseur n’a sa place dans nos partis, nos organisations, nos institutions, dans nos hémicycles », exhortent les signataires.
Suspendu pour quatre mois de son groupe à l’Assemblée nationale dans la foulée de sa condamnation, début décembre, à quatre mois de prison avec sursis pour des « violences » sur son épouse, le député du Nord s’était déclaré victime d’un « lynchage médiatique » et a refusé de démissionner.

Ce qui est en cause dans ces protestations c’est la future existence non seulement de LFI mais aussi de la Nupes dans certains adhérents naïfs et ou hypocrites constatent aujourd’hui le caractère autoritaire forcément antidémocratique.

LFI et Nupes : Un risque d’explosion

LFI et Nupes : Un risque d’explosion

« Nous, membres de la France insoumise et de la Nupes demandons l’exclusion d’Adrien Quatennens », peut-on lire dans une tribune de militants de LFI mais aussi de la NUPES. Inutile de tourner autour du pot, ce sont certains militants exclus de la direction de LFI et des écologistes radicaux d((écologie les Verts qui sont à la manœuvre.

Pourtant en adhérant à la Nupes, ces militants auraient dû savoir qu’ils adhéraient en même temps au centralisme démocratique habituel des organisations procommunistes. Et Mélenchon n’a jamais caché sa sensibilité de ce point de vue. Témoin la manière dont il a imposé aussi le nouveau patron de LFI et les autres dirigeants non pas élus mais choisis en fonction de leurs « compétences particulières ».

« Nous demandons une démocratie interne plus juste où les représentants seront nommés et légitimés par les militant-e-s et non pas essentiellement par le cercle restreint par le bureau national », écrivent-ils encore.La formulation de démocratie plus juste pose question. Il n’y a pas en effet de démocratie plus ou moins juste mais une démocratie ou une dictature. Quand on est dans un parti pro communiste, il faut en accepter le principe et les modalités.

« Appliquez vos promesses, agissez: oui, le privé est politique, aucun agresseur n’a sa place dans nos partis, nos organisations, nos institutions, dans nos hémicycles », exhortent les signataires.
Suspendu pour quatre mois de son groupe à l’Assemblée nationale dans la foulée de sa condamnation, début décembre, à quatre mois de prison avec sursis pour des « violences » sur son épouse, le député du Nord s’était déclaré victime d’un « lynchage médiatique » et a refusé de démissionner.

Ce qui est en cause dans ces protestations c’est la future existence non seulement de LFI mais aussi de la Nupes dans certains adhérents naïfs et ou hypocrites constatent aujourd’hui le caractère autoritaire forcément antidémocratique.

Affaire de la gifle d’ADRIEN QUATENNENS: DES MILITANTS DE LFI RÉCLAMENT L’EXCLUSION DU DÉPUTÉ… et l’explosion de LFI

Affaire de la gifle d’ADRIEN QUATENNENS: DES MILITANTS DE LFI RÉCLAMENT L’EXCLUSION DU DÉPUTÉ… et l’explosion de LFI

« Nous, membres de la France insoumise et de la Nupes demandons l’exclusion d’Adrien Quatennens », peut-on lire dans une tribune de militants de LFI mais aussi de la NUPES. Inutile de tourner autour du pot, ce sont certains militants exclus de la direction de LFI et des écologistes radicaux d((écologie les Verts qui sont à la manœuvre.

Pourtant en adhérant à la Nupes, ces militants auraient dû savoir qu’ils adhéraient en même temps au centralisme démocratique habituel des organisations procommunistes. Et Mélenchon n’a jamais caché sa sensibilité de ce point de vue. Témoin la manière dont il a imposé aussi le nouveau patron de LFI et les autres dirigeants non pas élus mais choisis en fonction de leurs « compétences particulières ».

« Nous demandons une démocratie interne plus juste où les représentants seront nommés et légitimés par les militant-e-s et non pas essentiellement par le cercle restreint par le bureau national », écrivent-ils encore.La formulation de démocratie plus juste pose question. Il n’y a pas en effet de démocratie plus ou moins juste mais une démocratie ou une dictature. Quand on est dans un parti pro communiste, il faut en accepter le principe et les modalités.

« Appliquez vos promesses, agissez: oui, le privé est politique, aucun agresseur n’a sa place dans nos partis, nos organisations, nos institutions, dans nos hémicycles », exhortent les signataires.
Suspendu pour quatre mois de son groupe à l’Assemblée nationale dans la foulée de sa condamnation, début décembre, à quatre mois de prison avec sursis pour des « violences » sur son épouse, le député du Nord s’était déclaré victime d’un « lynchage médiatique » et a refusé de démissionner.

Ce qui est en cause dans ces protestations c’est la future existence non seulement de LFI mais aussi de la Nupes dans certains adhérents naïfs et ou hypocrites constatent aujourd’hui le caractère autoritaire forcément antidémocratique.

Politique: LFI: Alexis Corbière attaque la direction stalienne

Politique: LFI: Alexis Corbière attaque la direction stalienne

Le député de Seine-Saint-Denis, écarté de la nouvelle direction de La France insoumise (LFI) – au même titre que François Ruffin, Clémentine Autain, Eric Coquerel ou Raquel Garrido – appelle de ses vœux un fonctionnement plus démocratique.( intreview dans le Monde)

L’annonce de la nouvelle direction de LFI a déclenché un vent de colère cette semaine. Que s’est-il passé ?
Cette situation insatisfaisante est le produit d’une méthode que j’ai moi-même du mal à saisir. J’ai en tout cas un radical désaccord avec le résultat, conséquence d’un processus qui ne joue pas collectif, n’associe pas assez les militants et n’intègre pas les différentes sensibilités de notre mouvement qui s’incarnent dans certaines « personnalités », comme on dit. Cela nous empêche d’arriver à un consensus. Certains ont beau s’en réclamer, il n’est pas là. Beaucoup de militants sont désarçonnés.
Je serai franc, mon problème ne porte pas sur l’absence de tel ou telle. Même si je ne compte que des amis dans cette direction, le premier désaccord que j’exprime, c’est notamment que dix-huit de ses vingt et un membres sont aujourd’hui parlementaires, avec le plus souvent des profils sociologiques comparables. Pourquoi ne pas plutôt rechercher une forme de « parité sociale » ? Avec des dirigeants issus des zones rurales, des quartiers populaires, des militants syndicaux, associatifs et surtout issus des classes populaires. Pourquoi ne pas avoir quelque chose qui ressemble mieux à la société, à ce que nous sommes et à notre électorat ? Remettons l’ouvrage sur le métier, reprenons la discussion. Et évitons que notre mouvement dit « gazeux » ne devienne un mouvement brumeux. Je lance un appel à l’apaisement, à l’unité. Je veux en être le garant.

Que ferez-vous si vous n’êtes pas entendu ?
Je demanderai une explication. Je ne connais rien d’autre en politique que la discussion pour dépasser les moments de tension. Il faut fabriquer du commun. Il ne sert à rien d’avoir des phrases définitives à ce stade.

Souhaitez-vous rejoindre cette coordination ?
Si ma personne est un problème, je ne suis pas candidat. Ce qui m’intéresse en revanche, c’est qu’une certaine tradition politique y soit portée. Je suis un républicain, social, écologiste, attaché à la laïcité émancipatrice authentique, qui essaie – c’est mon côté prof d’histoire – de rattacher le combat que nous menons à une histoire politique. Je souhaite que ce courant d’idées existe plus nettement dans cette nouvelle équipe dirigeante, non par nostalgie mais parce que je suis persuadé qu’il est une clé pour gagner demain, et en particulier en 2027.

LFI: les héritiers partagent déjà l’héritage

LFI: les héritiers partagent déjà l’héritage

Il est possible que le retour de Mélenchon s’impose rapidement à la tête du mouvement LFI. Un parti qui pourrait éclater tellement les héritiers se partagent déjà les dépouilles d’un Mélenchon qui n’est pourtant pas encore mort.

Le problème de ce parti qui représente un courant non négligeable désormais en politique, c’est qu’il est surtout incarné par Mélenchon et que les lieutenants ne sont pas à la hauteur. Aussi Bompard successeur de Mélenchon, lui, a fait le ménage en écartant tous les héritiers potentiels. Il utilise en cela la bonne vieille méthode communiste et stalinienne.

Le problème c’est que la plupart des dauphins ne sont vraiment pas du calibre de Mélenchon ni sur le plan politique, ni sur le plan intellectuel et encore moins sur le plan du charisme. Clémentine Autain ( transfuge du PC) par exemple qui depuis des mois tente de se placer en prenant du champ avec Mélenchon. Elle se verrait bien à la place de Mélenchon voir comme candidate présidentielle en multipliant les interventions publiques contre la direction de LFI. Une pratique de dénonciation médiatique habituelle chez elle notamment lorsqu’elle était communiste. Éric Coquerel aussi. Ou encore François Ruffin au profil davantage syndicaliste que politique. Et même plus le plus équilibré Alexis Corbière !

Lors d’une Assemblée représentative du mouvement Insoumis – composée de 160 personnes dont cent militants « tirés au sort »au sein des groupes d’action, l’unité de base – une nouvelle direction – la «coordination des espaces» – a été présentée. Les principaux responsables n’ont pas été réellement élus mais choisis « en fonction de leurs compétences » On y trouve des ténors dont Mathilde Panot, chef de file des députés insoumis ou Manon Aubry, coprésidente du Groupe de la gauche au Parlement européen.

LFI: Un stalinien pour remplacer Mélenchon

LFI: Un stalinien pour remplacer Mélenchon !

Le député LFI des Bouches-du-Rhône Manuel Bompard officiellement nommé à la tête du mouvement lors du rassemblement des cadres et des militants à Paris

Depuis le retrait, en septembre dernier, du député Adrien Quatennens, accusé de violences conjugales, Manuel Bompard assurait à sa place la coordination opérationnelle du mouvement.

À noter que LFI se passera d’élections pour désigner les principaux responsables se fent simplement à leur haut niveau de compétences. Ce qui par parenthèse permettra d’écarter notamment François Ruffin.

Concernant les fonctions de François Ruffin dans le mouvement, le député de la Somme, peu investi par le passé dans les instances, ne sera pas inclus dans la direction opérationnelle, mais il sera intégré dans une nouvelle instance, appelée le « conseil politique », qui sera dédiée à la « discussion stratégique ».

Ce mouvement va de plus « changer de nature », selon l’ancien directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon. Cette restructuration passera ainsi par la constitution de boucles départementales censées favoriser la communication entre les groupes d’action locaux. Une école des cadres sera aussi créée et prise en charge par l’Institut La Boétie, lancé en juillet 2020. La fondation insoumise, dont Jean-Luc Mélenchon prendra la direction .

Le principal problème rencontré LFI c’est qu’en fait il est pratiquement impossible de remplacer Mélenchon tellement il incarne le mouvement et le réduit même trop souvent à sa propre personne. Et le successeur aura bien du mal à faire preuve d’autant de charisme. Le risque étant que LFI se transforme tout simplement en classique organisation politique d’extrême gauche et se condamne un mouvement d’opposition minoritaire voire anecdotique.

À noter aussi que le nouveau « secrétaire national » a fait toute sa carrière professionnelle dans la politique. Bref un véritable apparatchik à la mode stalinienne.

Comme Mélenchon, Corbières, LFI , contre l’envoi d’armes en Ukraine !

Comme Mélenchon, Corbières, LFI , contre l’envoi d’armes en Ukraine !

 

 

Le député LFI ,Alexis Corbières  est défavorable à un renfort militaire en Ukraine, comme son candidat Jean-Luc Mélenchon. «Le problème des armes, c’est qu’aujourd’hui, c’est tel type de matériel. Demain, on va s’apercevoir que ce n’est pas efficace, on va monter en gamme. Et puis, finalement, on va dire qu’il faut envoyer l’aviation française et puis l’armée française … Vous voyez à quoi ça nous amène?», a-t-il mis  en garde sur France Info.

Une position pacifiste en apparence honorable mais très discutable au moment où les ukrainiens se font massacrer et qui d’une certaine façon discrédite  définitivement Mélenchon comme président potentiel. Comme un parfum de souvenirs des positions face à un certain pacte germano soviétique des communistes français  en août 1939 !

Alexis Corbière, LFI , contre l’envoi d’armes en Ukraine

Corbière, LFI , contre l’envoi d’armes en Ukraine

 

 

Le député LFI ,Alexis Corbières  est défavorable à un renfort militaire en Ukraine, comme son candidat Jean-Luc Mélenchon. «Le problème des armes, c’est qu’aujourd’hui, c’est tel type de matériel. Demain, on va s’apercevoir que ce n’est pas efficace, on va monter en gamme. Et puis, finalement, on va dire qu’il faut envoyer l’aviation française et puis l’armée française … Vous voyez à quoi ça nous amène?», a-t-il mis  en garde sur France Info.

Une position pacifiste n apparence honorable mais très discutable au moment où les ukrainiens se font massacrer et qui d’une certaine façon discrédite  définitivement Mélenchon comme président potentiel. Comme un parfum de souvenirs des positions face à un certain pacte germano soviétique des communistes français  en août 1939 !

LFI: « l’union sans la gauche »

LFI: « l’union sans la gauche »

Plus la gauche s’écroule dans l’opinion est plus nombreux sont ceux qui réclament une illusoire union mais sans y croire réellement. La vérité sans doute c’est qu’il n’y a plus rien à réunir tellement les effectifs sont devenus insignifiants dans les différentes chapelles de gauche et surtout tellement sont grandes les divergences idéologiques. Des divergences idéologiques qui vont de l’approche communiste, en passant par le gauchisme, la social-démocratie et l’écologie bobo.

Pourtant deux leaders des insoumis, Clémentine Autain et François Ruffin défendent  encore l’utopie de l’union de la gauche. Justement une union que réfute même Mélenchon.

Devant la presse, la semaine dernière, Jean-Luc Mélenchon se moquait encore des discours «creux et vides» des partisans du rassemblement. «Je dis creux et vides parce que nous savions tous que tout le monde aurait son candidat. C’est une simagrée car tout le monde connaissait d’avance les points d’atterrissage», avait affirmé le candidat de LFI.Mélenchon aussi et pour l’union mais sans la gauche autre que la sienne !

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