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LFI attaque ses partenaires du NFP

LFI  attaque  ses partenaires du NFP

 La France insoumise conteste de sérieusement la participation de ses partenaires du NSP aux réunions de Macron et d’une certaine manière hypothèque l’avenir du NFP. 

 

Sur X, Manuel Bompard, le coordinateur de La France insoumise a pointé les incohérences de ses alliés de Nouveau Front populaire.

« Un gouvernement d’intérêt général de Olivier Faure à Bruno Retailleau? Comment peut-on être élus pour défendre le programme du Nouveau Front Populaire et envisager de participer à un tel attelage? Vous êtes tombés sur la tête? », s’est-il interrogé.

L’interrogation est sans doute fondée car les orientations de LFI sont évidemment incompatibles avec la plupart programment des autres partis.

L’enjeu d’ailleurs moins de participer au réunions de Macron que de se positionner vis-à-vis de l’échéance présidentielle. Et la problématique de l’avenir du NFP est davantage liée à cette échéance qu’au problème du  gouvernement et de budget. LFI ne veut pas perdre son hégémonie électorale sur NFP pour cette échéance présidentielle.

 

 

LFI refuse de rencontrer Macron

 

 

La France insoumise (LFI) a annoncé vendredi soir qu’elle refusait de se rendre lundi à l’Elysée pour des consultations avec le président Emmanuel Macron en vue de la nomination d’un nouveau Premier ministre et d’un nouveau gouvernement.

« Nous sommes prêts à gouverner sur le programme pour lequel nous avons été élus », écrit le coordinateur national de LFI Manuel Bompard dans un communiqué, ajoutant qu’ »aucune discussion autre que la nomination d’un gouvernement du Nouveau Front Populaire ne saurait avoir lieu avec le chef de l’État ». « Nous n’irons donc pas à l’Elysée ce lundi », a-t-il ajouté.

 

Olivier Faure et les chefs des groupes parlementaires socialistes Boris Vallaud et Patrick Kanner ont été reçus vendredi à la mi-journée par Emmanuel Macron. Ils lui ont demandé de nommer un Premier ministre de gauche.

 

Emmanuel Macron a également reçu vendredi les représentants du parti Les Républicains (LR) et deux du bloc central composé des partis qui le soutiennent. Puis il a invité lundi les Ecologistes, qui réservent leur réponse jusqu’à samedi, les communistes, qui se rendront bien au rendez-vous, et LFI.
Le chef de l’Etat envisage de nommer un nouveau Premier ministre en début de semaine prochaine, après le renversement par une motion de censure du gouvernement de Michel Barnier.

 

Retraites et LFI : l’arroseur arrosé

Retraites et LFI : l’arroseur arrosé

Cette fois , LFI  a été empêchée de soumettre au vote de l’Assemblée nationale la proposition d’abrogation de la réforme des retraites. En cause, plus d’un millier d’amendements qui ont bloqué le vote contraint par le temps. Il faut rappeler que de son côté , LFI avaient déposé plus de 10 000 amendements lors de l’adoption de cette réforme des retraites. Ou l’arroseur arrosé !

Par parenthèse une annulation de vote qui arrange bien aussi les socialistes qui auraient pu être contraints de voter non seulement contre la réforme de retraite d’Élisabeth Bornes mais aussi contre celle de Hollande !

Bref un véritable pataquès qui se caractérise par un climat d’école maternelle de députés complètement irresponsables et immatures indignes même pour certains de représenter leurs électeurs.

À l’occasion de la niche parlementaire de La France insoumise, macronistes et mélenchonistes ont, comme en février 2023, âprement combattu autour du contesté report de l’âge de départ à la retraite, sans pour autant que la loi n’ait pu être votée, au terme d’une journée qui s’est achevée jeudi soir à minuit, marquée par de vives tensions dans l’hémicycle.

 

Politique-Abrogation du délit d’apologie du terrorisme: LFI montre son vrai visage

Politique-Abrogation du délit d’apologie du terrorisme: LFI montre son vrai visage

 

En soutenant l’abrogation du délit d’apologie du terrorisme, LFI montre son vrai visage et ses relations avec les mouvements terroristes en particulier l’islamisme. LFI avec sa proposition ouvrirait alors le champ à tous les discours radicaux, antirépublicains et antisémites.

La France insoumise (LFI) a en effet déposé ce mardi 19 novembre à l’Assemblée une proposition de loi visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme. Jugeant cette « proposition de loi gravissime », Gabriel Attal, président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée nationale, a demandé, dans une lettre envoyée ce samedi 23 novembre, aux autres groupes du NFP à se « désolidariser clairement » de LFI.

« Une limite fondamentale a été franchie: celle du respect que nous devons à toutes les victimes du terrorisme. Car les dispositions qui sont visées sont précisément celles qui nous permettent aujourd’hui de réprimer les prêcheurs de haine qui menacent notre pays et les valeurs de la République », écrit l’ancien Premier ministre.

Abrogation du délit d’apologie du terrorisme: LFI montre son vrai visage

Abrogation du délit d’apologie du terrorisme: LFI montre son vrai visage

 

En soutenant l’abrogation du délit d’apologie du terrorisme, LFI montre son vrai visage et ses relations avec les mouvements terroristes en particulier l’islamisme. LFI avec sa proposition ouvrirait alors le champ à tous les discours radicaux, antirépublicains et antisémites.

La France insoumise (LFI) a en effet déposé ce mardi 19 novembre à l’Assemblée une proposition de loi visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme. Jugeant cette « proposition de loi gravissime », Gabriel Attal, président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée nationale, a demandé, dans une lettre envoyée ce samedi 23 novembre, aux autres groupes du NFP à se « désolidariser clairement » de LFI.

« Une limite fondamentale a été franchie: celle du respect que nous devons à toutes les victimes du terrorisme. Car les dispositions qui sont visées sont précisément celles qui nous permettent aujourd’hui de réprimer les prêcheurs de haine qui menacent notre pays et les valeurs de la République », écrit l’ancien Premier ministre.

LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

LFI-Comportement de voyou à l’Assemblée nationale

Il est clair que nombre de députés atterrit la au gré des circonstances et des vagues politiques n’ont pas leur place au Parlement ainsi le député LFI Thomas Portes a-t-il menacé l’un de ses collègues en séance en hurlant : «Ferme ta gueule ! On va s’occuper de toi» .Le député LFI Thomas Portes N’en est pas à sa première provocation, c’est même un peu ses spécialités comme d’une façon générale celle de nombre de membres du parti des Insoumis.

Il faut dire que Thomas Portes n’en est pas à sa première provocation. En pleine réforme des retraites au printemps 2023, il s’était affiché en photo sur ses réseaux sociaux, le pied sur un ballon à l’effigie du ministre du Travail d’alors Olivier Dussopt. Plus récemment, il s’était opposé à la participation des athlètes israéliens aux Jeux olympiques de Paris pour protester contre la politique de Benyamin Netanyahou.

Thomas Portes , l ’ancien sous-chef de guerre de la SNCF à Montauban a conservé la dialectique musclée d’un ancien membre de la CGT qui ne s’embarrasse pas des règles de simple politesse puisque finalement en faveur d’un régime de démocrature ou effectivement n’a l’habitude de régler le sort des opposants. Bref, un communiste provocateur à la mode de 1950.

L’Assemblée nationale aurait sans doute intérêt à se montrer plus rigoureuse vis-à-vis de la tenue des débats si elle ne veut pas se déconsidérer un peu plus vis-à-vis de l’opinion

 

Député LFI drogué: La gauche pas claire, Retailleau condamne

Député LFI drogué: La gauche pas claire , Retailleau condamne

 

Les policiers ont trouvé 1,35g de 3-MMC, une drogue de synthèse, sur le député LFI Andy Kerbrat.  La 3-MMC, 3-methylmethcathinone, est en plein essor en France, notamment dans les milieux festifs, prise comme une cocaïne à moitié prix. 

« Un député a un devoir d’exemplarité »: Bruno Retailleau a appelé le député LFI à « tirer les conséquences de ses actes ». « Alors que le narcobanditisme s’installe en France avec son cortège de violences, il n’est pas tolérable de voir un député de la République acheter des drogues de synthèse à un dealer de rue », tance le ministre de l’Intérieur qui a déclaré ces dernières semaines vouloir « faire la guerre » au « narcoterrorisme ».

« Consommer de la drogue, ce n’est pas seulement détruire sa santé, c’est également nourrir des réseaux criminels », dénonce de son côté la secrétaire d’État Laurence Garnier.

Plusieurs personnalités de gauche, comme Sandrine Rousseau, ont, à l’inverse, apporté leur soutien au parlementaire âgé de 34 ans.

« La consommation de drogue et l’addiction sont un enjeu de soin, de santé psychique et d’accompagnement. Tu as reconnu, tu es dans un parcours de soin. Reviens-nous en forme », a écrit la députée de Paris, qui ajoute au micro de BFMTV qu’Andy Kerbrat « est très affecté » et qu’il « vient de rentrer dans un parcours de soin ».

Même son de cloche du côté de la présidente des députés insoumis: « L’addiction est un problème de santé », a confié Mathilde Panot, qui espère qu’Andy Kerbrat puisse vite reprendre son activité parlementaire.

La sénatrice écologiste Mélanie Vogel souhaite « bon courage dans le chemin de soin » emprunté par Andy Kerbrat, et regrette que la politique française soit « focalisée sur la répression plutôt que sur l’essentiel: le soin ».

Du côté du groupe Ensemble pour la République, le député Denis Masséglia estime qu’ »une personne qui souffre d’addiction n’a pas à être traitée comme un criminel et humiliée devant tous » et que « la pénalisation des consommateurs de drogues est une impasse ».

 

Sandrine Rousseau et Mélenchon soutiennent le député LFI pris en flagrant délit de drogue

Sandrine Rousseau et Mélenchon soutiennent le député  LFI pris en flagrant délit de drogue

 

 La députée Sandrine Rousseau a réagi à l’interpellation de son collègue LFI Andy Kerbrat, arrêté le week-end dernier à Paris alors qu’il achetait 1,35 g de 3-MMC, une drogue de synthèse en vogue dans la capitale.

«Il faut changer notre regard sur les consommateurs de drogue», a-t-elle plaidé, appelant également Andy Kerbrat à ne pas démissionner.

«Je l’ai soutenu parce que je pense que, comme il a reconnu les faits et qu’il n’a pas essayé de s’en cacher et qu’il a dit qu’il entrait dans une procédure de soins, nous devons regarder ça comme ça, c’est un problème de santé publique», a-t-elle défendu.

 

De son côté Mélenchon a protesté contre le fait que les informations concernant le consommateur de drogue aient  été rendu publiques.

 

Comptes LFI en 2017 : Sophia Chikirou mise en examen

Comptes  LFI en 2017 : Sophia Chikirou mise en examen 

La députée LFI de Paris, Sophia Chikirou, a été mise en examen mardi 24 septembre dans la matinée pour « escroquerie aggravée »  dans l’affaire des comptes de campagne 2017 du candidat à la présidentielle Jean-Luc Mélenchon, dont elle est proche, a appris franceinfo de source judiciaire.

Après un peu plus de deux heures d’interrogatoire, la députée de la sixième circonscription de Paris a été mise en examen pour « escroquerie aggravée », « abus de biens sociaux » et « recel d’abus de confiance ».

La justice soupçonne Mediascop, la société de conseil en communication de la députée, d’avoir surfacturé certaines prestations lors de la campagne de Jean-Luc Mélenchon en 2017, ce que nie l’élue de 45 ans. LFI a réagi par communiqué, dénonçant « un acharnement judiciaire et médiatique insupportable. »  « La France insoumise dénonce une opération politico-judiciaire sans fin, commencée en 2018 ciblant l’entourage de Jean-Luc Mélenchon. En 6 ans, le dossier ne comporte pas une pièce supplémentaire depuis le premier jour », poursuit le communiqué.

En 2018, la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), puis la cellule française de renseignement financier Tracfin, avaient adressé des signalements au parquet de Paris, qui avait ouvert une enquête préliminaire, confiée à des juges en novembre de la même année.

 

Coquerel (LFI) ministre de l’Économie !

 Coquerel (LFI)  ministre de l’Économie  !

Éric Coquerel, Sur LCI a déclaré qu’il serait prêt à assumer la responsabilité du poste de ministre de l’économie. Une idée qu’il met «met ça comme ça sur la table» !

La première objection c’est que l’intéressé n’a jamais fait montre d’une grande compétence c’est le moins qu’on puisse dire en matière financière y compris comme président de la commission des finances de l’assemblée. On objectera que la première ministre sollicitée par le NFP ancienne conseillère financière de la maire de Paris a bien réussi l’exploit de faire monter le déficit du budget parisien après de 10 milliards et que Macron lui-même est aussi largement responsable du dramatique dérapage de la dette.  La seconde objection c’est que la candidature de Coquerel ne serait jamais acceptée par Macron et à peu près tout le reste de l’assemblée, NFP excepté.

On peut alors être sur qu’un gouvernement comprenant un insoumis comme ministre des finances aurait sans doute une durée de vie maximale de 48 heures !

 

 

 

Postes à l’ assemblée : ni soutien au RN ni soutien au NFP pour Renaissance

Postes à l’ assemblée : ni soutien au RN ni soutien au NFP pour Renaissance

Le groupe macroniste refuse de soutenir le RN et LFI pour des postes à l’Assemblée

Aucun soutien du groupe Renaissance aux candidats du Rassemblement national ou de La France insoumise pour les élections aux postes-clés du Palais Bourbon (présidence, vice-présidences, questure…), qui se tiendront à partir de jeudi.

Cette ligne tranche avec l’attitude adoptée en 2022, quand des membres du RN et de LFI avaient accédé à des vice-présidences de l’Assemblée avec le soutien d’une partie des députés du camp présidentiel, dans le cadre d’un accord sur la répartition des postes.

Assemblée :les ex LFI exclus par Mélenchon inscrits désormais chez les écolos

Assemblée :les ex LFI exclus par Mélenchon inscrits désormais chez les écolos 

Les frondeurs de La France insoumise ont trouvé une piste d’atterrissage. Clémentine Autain, Danielle Simonnet, Alexis Corbière, Hendrik Davi et François Ruffin, en rupture de ban avec Jean-Luc Mélenchon, siègeront au sein du groupe parlementaire des Écologistes.

 

L’arrivée parmi les députés écologistes de ces poids lourds politiques, en particulier les présidentiables ( !) Clémentine Autain et François Ruffin, suscite de l’inquiétude chez certains Verts. «Ce n’est plus le groupe des écolos, c’est le groupe de François Ruffin», s’étrangle un écologiste. Sandrine Rousseau, députée très identifiée, ne verrait pas d’un très bon œil ce transfert. «Pour elle, ça fait de la concurrence» sur le terrain de la radicalité , estime un ancien proche de Yannick Jadot. Pour les Verts les plus modérés, ce rapprochement symbolise surtout la conversion idéologique de la direction du mouvement au logiciel mélenchoniste. «On accrédite l’idée qu’eux et nous, c’est un peu pareil, tout en faisant un sacré pied de nez aux socialistes», regrette un élu écolo.

Législatives– LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire

Législatives– LFI  pourrait perdre la majorité au sein  du front populaire

 

Théoriquement sur le papier  LFI a le plus de chance de gagner au deuxième tour des législatives dans le cadre du nouveau front populaire. Reste que LFI constitue  pour beaucoup d’électeurs une sorte d’épouvantail. En outre, nombre d’électeurs ne pourront jamais voter LFI. De sorte qu’au total LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire.

Dans le détail, entre 58 à 72 sièges reviendraient à LFI (contre 75 en 2022) au soir du 7 juillet. Entre 33 à 43 sièges deviendraient socialistes (contre 31 en 2022) et de 28 à 38 sièges pour EELV (23 en 2022). Et enfin 6 à 12 pour le Parti communiste (ils étaient 22 dans le groupe gauche démocrate et républicaine) qui sort affaibli après ce premier tour à l’image de la défaite dès le premier tour de son secrétaire national Fabien Roussel. Cependant parmi les dissidents, une majorité de bien placés est issue de La France insoumise.

Macron refuse de gouverner avec LFI

Macron refuse  de gouverner avec LFI

« Se désister aujourd’hui pour des élus de gauche face au Rassemblement national ne signifie pas gouverner demain avec LFI », a martelé, selon plusieurs participants, le chef de l’Etat lors du dernier Conseil des ministres du gouvernement.

 

Macron est passé d’une position relativement ambiguë vis-à-vis de la gauche à une posture plus proche du front républicain. Sous-entendu, il pourrait s’accommoder d’un gouvernement de démocrates mais sans LFI est évidemment sans le RN.

Le problème c’est que la majorité sera relativement introuvable car aucun des trois camps qui dominent le champ politique actuellement n’obtiendra sans doute la majorité absolue. Il faudra sans doute adopter une ligne politique minimaliste et repousser les grandes réformes aux calendes.

L’hypothèse d’un gouvernement comprenant des personnalités de gauche du centre et de droite semble émerger désormais. À l’inverse l’hypothèse d’une majorité du rassemblement national semble de plus en plus écartée  du fait de l’insuffisance de réserves de voix pour le parti de Marine Le Pen , aussi en raison des désistements et des particularités locales.

Alors qu’il ne reste que trois jours avant la clôture de la campagne officielle, vendredi à minuit, le paysage électoral s’est simplifié.

Il y avait plus de 4.000 candidats avant le premier tour, ils seront encore un peu plus de 1.100 dimanche. Surtout, le nombre des triangulaires s’est fortement réduit par le jeu de désistements : selon un décompte effectué par « Les Echos », 215 candidats se sont désistés sur plus de 300 triangulaires possibles à l’issue du premier tour.

Politique- LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire

Politique- LFI  pourrait perdre la majorité au sein  du front populaire

 

Théoriquement sur le papier  LFI a le plus de chance de gagner au deuxième tour des législatives dans le cadre du nouveau front populaire. Reste que LFI constitue  pour beaucoup d’électeurs une sorte d’épouvantail. En outre, nombre d’électeurs ne pourront jamais voter LFI. De sorte qu’au total LFI pourrait perdre la majorité au sein du front populaire.

Dans le détail, entre 58 à 72 sièges reviendraient à LFI (contre 75 en 2022) au soir du 7 juillet. Entre 33 à 43 sièges deviendraient socialistes (contre 31 en 2022) et de 28 à 38 sièges pour EELV (23 en 2022). Et enfin 6 à 12 pour le Parti communiste (ils étaient 22 dans le groupe gauche démocrate et républicaine) qui sort affaibli après ce premier tour à l’image de la défaite dès le premier tour de son secrétaire national Fabien Roussel. Cependant parmi les dissidents, une majorité de bien placés est issue de La France insoumise.

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