Archive pour le Tag 'déjà'

Foot-LE PSG ET L’OM en rodage ou déjà cuits ?

Foot-LE PSG ET L’OM en rodage ou déjà cuits ?


Rien ne semble aller pour les grands clubs de foot en France. Il se pourrait bien qu’on constate leur élimination totale des coupes d’Europe d’ici peu. Par ailleurs, les grands clubs démarrent de façon très pénible même dans le championnat de France. C’est vrai pour le PSG, pour Lyon, pour Lens, sans doute aussi bientôt pour l’OM qui piétine en dépit d’un calendrier favorable.

Visiblement le football des clubs français souffre de handicaps structurels liés au manque d’engagement des joueurs et à la médiocrité du jeu. Bref, c’est vraiment l’ennui dans le football français quand d’autres évidemment comme en Angleterre présentent un autre intérêt.

Certains accordent des circonstances atténuantes au PSG et à l’OM en considérant qu’il faut leur donner du temps pour que les modifications relatives au changement d’entraîneur et à l’effectif donnent des effets positifs.

En attendant, le spectacle est particulièrement insipide.

Libye : déjà 11.300 morts (ONU)

Libye : déjà 11.300 morts (ONU)

Au moins 11.300 personnes sont mortes et 10.100 restent portées disparues dans la seule ville de Derna, dans l’est de la Libye, ravagée il y a près d’une semaine par des inondations sans précédent, selon un bilan publié par un organisme de l’ONU, citant le Croissant rouge libyen.

«Selon le Croissant-Rouge libyen, ces inondations sans précédent ont fait environ 11.300 morts et 10.100 disparus dans la seule ville de Derna», a annoncé le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) dans un point de situation samedi soir.

Marseille Chicago : déja 44 morts et une fusillade extérieure qui touche les habitants dans leur appartement

Marseille Chicago : déjà 44 morts et une fusillade extérieure qui touche les habitants dans leur appartement

. On compte depuis le début de l’année déjà 44 morts à Marseille découlant directement de la guerre des gangs à Marseille. En outre maintenant des victimes complètement étrangères au trafic. En effet des règlements de comptes mortels et qui touchent des habitants chez eux; En effet, une nouvelle fusillade s’est produit ce dimanche soir à Marseille dans la cité Saint-Thys dans le 10e arrondissement de Marseille. Une jeune femme a été très gravement blessée à la tête par un tir de kalachnikov. Au moment des faits, la jeune femme se trouvait au 3e étage d’un immeuble de la cité. Elle était dans sa chambre au sein de son appartement qu’elle occupe avec sa mère. La jeune femme a été touchée à la tête par la balle qui a traversé un mur.

Âgée de 24 ans, elle a été prise en charge par les marins-pompiers puis transportée à l’hôpital avec un pronostic vital engagé.

En plus de l’appartement de la jeune femme de 24 ans, deux autres logements ont été touchés par les tirs de kalachnikov sans faire davantage de blessés. Il s’agit des appartements d’une femme de 79 ans qui habite juste au-dessus, au 4e étage de l’immeuble.

Le logement d’une autre femme, âgée elle de 86 ans, a également été « impacté » par les tirs.

Marseille et drogue : déjà 32 morts en huit mois

Marseille et drogue : déjà 32 morts en huit mois


Marseille sans doute l’une des plus belles villes de France demeure malheureusement aussi la ville où on enregistre des crimes à répétition en raison en particulier du trafic de drogue. Chaque jour ou presque des bandes rivales règlent leurs comptes.

Pour les Bouches-du-Rhône, c’est « l’usage de stupéfiant » qui avait déjà le plus augmenté en 2022. Il a connu une hausse de 36,6 % contre 13 % sur l’ensemble du territoire.

Pas moins de 22 598 infractions ont été relevées dans le département pour cette catégorie dont environ 18 600 à Marseille. Cela ne veut pour autant pas dire que la violence liée au trafic a diminué.

Si l’année 2021 avait déjà été entachée de 49 tentatives d’homicide liées aux stupéfiants à Marseille, 2022 en a comptabilisé 65, pour la mort de 33 individus. Un record. Mais ce record sera encore largement dépassé en 2023.

Le résultat aussi d’un manque de légitimité et d’autorité de la part de l’État dont d’ailleurs beaucoup de services ont déserté des quartiers entiers. De ce point de vue, on comprend mal la mollesse du pouvoir politique y compris du gouvernement et du ministre de l’intérieur, lui aussi plus prolixe en paroles qu’en actions.

Marseille Chicago : déjà 32 morts en huit mois

Marseille Chicago : déjà 32 morts en huit mois


Marseille sans doute l’une des plus belles villes de France demeure malheureusement aussi la ville où on enregistre des crimes à répétition en raison en particulier du trafic de drogue. Chaque jour ou presque des bandes rivales règlent leurs comptes.

Pour les Bouches-du-Rhône, c’est « l’usage de stupéfiant » qui Avait déjà le plus augmenté en 2022. Il a connu une hausse de 36,6 % contre 13 % sur l’ensemble du territoire.

Pas moins de 22 598 infractions ont été relevées dans le département pour cette catégorie dont environ 18 600 à Marseille. Cela ne veut pour autant pas dire que la violence liée au trafic a diminué.

Si l’année 2021 avait déjà été entachée de 49 tentatives d’homicide liées aux stupéfiants à Marseille, 2022 en a comptabilisé 65, pour la mort de 33 individus. Un record. Mais ce record sera encore largement dépassé en 2023.

Le résultat aussi d’un manque de légitimité et d’autorité de la part de l’État dont d’ailleurs beaucoup de services ont déserté des quartiers entiers. De ce point de vue, on comprend mal la mollesse du pouvoir politique y compris du gouvernement et du ministre de l’intérieur, lui aussi plus prolixe en paroles qu’en actions.

Le chauffage électrique déjà coûteux après les hausses d’EDF encore plus cher

Le chauffage électrique déjà coûteux après les hausses d’EDF encore plus cher

Après la hausse de 10% du tarif réglementé de vente de l’électricité de mardi 1er août, la facture annuelle d’un consommateur moyen chauffé à l’électricité passera ainsi de 1.640 à 1.800 euros par an, selon les calculs du gouvernement, lequel rappelle que les Français bénéficieront néanmoins d’un tarif parmi les plus bas d’Europe.

«Malgré les deux hausses successives depuis le début d’année, le tarif réglementé de vente d’électricité en France reste en dessous de la moyenne européenne, qui se situe aux alentours de 25 centimes le kilowattheure. Dans l’Hexagone, la moyenne se situe autour de 22 centimes le kilowattheure », confirme Jacques Percebois, professeur émérite à l’université de Montpellier, spécialiste de l’économie de l’énergie.

En France, la facture d’électricité se décompose en trois tiers : le coût de fourniture (c’est-à-dire les coûts de production et d’approvisionnement sur le marché de gros), les taxes, et un plus petit tiers correspondant au coût des réseaux (liés aux investissements réalisés dans le réseau de transport d’électricité géré par RTE et le réseau de distribution géré par Enedis).

Ainsi, pour protéger le pouvoir d’achat des ménages, l’Etat français n’a pas augmenté le coût des taxes en 2022 contrairement aux années précédentes. Il a même supprimé la Taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE), en maintenant toutefois la TVA. Et, malgré la hausse de 10% entrée en vigueur ce mardi 1er août, l’État continuera de prendre en charge plus d’un tiers de la facture des ménages (37% contre 43% actuellement). « Sans le bouclier tarifaire, les consommateurs français Aurait payé 0,40 € le kilowattheure. Compte tenu des besoins financiers d’EDF la hausse va insinuer et du coup risque de remettre en cause par exemple la compétitivité du chauffage électrique y compris par les pompes à chaleur.

Climat : déjà la surchauffe

Climat : déjà la surchauffe

Il est clair que les risques de catastrophes sont susceptibles de se multiplier avec des températures nettement au-dessus des moyennes enregistrées au cours des années passées. De quoi faire monter la température des océans, favoriser les incendies et la fonte précoce des neiges comme dans les pôles ou l’Himalaya. Sans parler des conséquences sur l’agriculture.

La planète a connu le début du mois de juin le plus chaud jamais enregistré. Cette mesure a été rendue publique le 15 juin par le service européen Copernicus qui surveille le changement climatique. Les moyennes relevées sur le début du mois battent les précédents records avec une « marge substantielle ».

Par ailleurs, la barre des 1,5°C de réchauffement par rapport aux niveaux préindustriels a déjà été dépassée. Le scénario le plus optimiste de l’accord de Paris en 2015 est donc vraisemblablement hors de portée.

Moins connue, mais inquiétante, la chaleur persistante et croissante des mers et des océans n’est pas à prendre à la légère. Une carte des mers et des océans a été mise à disposition par la Nasa. Elle permet de constater que la température de l’eau est trop élevée, notamment sur les côtes françaises. Cela s’explique simplement, l’eau captant beaucoup plus la chaleur de l’atmosphère que les continents.

Parallèlement évidemment ces températures excessives favorisent les les incendies surtout quand en plus l’eau manque

Retraites : le régime réformé déjà financièrement obsolète ?

Retraites : le régime réformé déjà financièrement obsolète ?

En matière d’évaluation, le conseil d’orientation des retraites (COR) a souvent fait évoluer ses pronostics dans un sens comme dans un autre. Ainsi un moment a prévu l’équilibre avant de dramatiser comme à nouveaux en ce moment. Il vient en effet dans un nouveau rapport de fair état d’une situation toujours dégradée du régime de retraite. En clair, la réforme serait déjà financièrement obsolète. En cause en vérité, les perspectives de croissance qui conditionne les recettes des retraites. Or dans ce domaine les prévisions économiques et sociales sont tout à fait aléatoires.

Non seulement la réforme des retraites était justifiée, mais elle ne suffira pas à rétablir les comptes. Très attendu, le nouveau rapport du Conseil d’orientation des retraites(COR), qui doit être rendu public jeudi , fait état d’une situation toujours dégradée du régime de retraite. En 2022, le système de retraite était en excédent de 4,4 milliards d’euros, soit 0,2 % du PIB.

Cette situation devrait se prolonger cette année avec un excédent de 3,6 milliards d’euros, soit 0,1 % du PIB. Mais ces bons résultats ne devraient pas durer. «le solde du système resterait négatif à moyen terme dans l’ensemble des scénarios envisagés par les experts du COR et ne reviendrait positif au milieu des années 2040 que dans le scénario où la croissance atteindrait 1,6% du PIB», indique le rapport. Ici cette date Il faudra sans doute s’attendre à la sortie de nouveaux scénarios contradictoires de la part d’un conseil d’orientation des retraites pas tout à fait pertinent.

Climat et météo : des températures déjà trop élevées

Climat et météo : des températures déjà trop élevées


Une mer Méditerranée et un océan Atlantique aux eaux chaudes, trop chaudes pour cette période de l’année. Une carte des mers et océans de la Nasa relève que la température de l’eau est anormalement élevée sur la façade atlantique et le long du littoral méditerranéen en France.

Pour l’agro-climatologue Serge Zaka, « Notre océan est en surchauffe! En France, la température atteint déjà 25°C dans l’eau en Méditerranée et 24°C sur le Pays Basque, en juin, avant même l’été! », écrit-il encore sur Twitter.

À l’échelle globale, la température de l’eau en surface sur la partie nord de l’océan Atlantique est également plus élevée, de l’ordre d’environ 0,5°C de plus que la moyenne des dernières années selon la plateforme météo Climate Reanalyzer.

« Ce 10 juin, la température de la surface a atteint les +1,2°C par rapport à la moyenne 1981-2022″, affirme encore Serge Zaka, s’appuyant de données de Climate Reanalyzer.

Un constat qui s’observe même à l’échelle mondiale. Dans un bulletin publié le 8 juin dernier à l’occasion de la journée mondiale de l’océan, Météo-France soulignait que « la surface moyenne des océans n’a jamais été aussi chaude en mai, après un mois d’avril déjà record ».

« La température moyenne à la surface des océans (toujours hors zones prises par les glaces) en mai était d’environ 19,7°C, soit 0,26°C au-dessus de la moyenne 1991-2020 d’après le service européen Copernicus », précisait encore l’agence météorologique.

Température: Déjà de nouveaux records

Température: Déjà de nouveaux records

Le phénomène El Niño caractérisé par des températures de surface plus chaudes que la normale dans l’océan Pacifique équatorial. Mais ses conséquences s’étendent sur l’ensemble de la planète.

El Niño est un phénomène caractérisé par des températures de surface plus chaudes que la normale dans l’océan Pacifique équatorial. Mais il a des conséquences pour toute la planète. Il « pourrait conduire à de nouveaux records de températures » dans certaines régions, a déclaré dans un communiqué la climatologue Michelle L’Heureux. « Le changement climatique peut exacerber ou atténuer certains impacts liés à El Niño », a-t-elle précisé.

En mai, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) avait averti que la période 2023-2027 serait, avec quasi-certitude, la plus chaude jamais enregistrée sur Terre. Et ce, sous l’effet combiné d’El Niño et du réchauffement climatique provoqué par les émissions de gaz à effet de serre. El Niño se produit environ tous les deux à sept ans, et les climatologues prévoyaient depuis plusieurs mois son arrivée pour cette année.

Trois records battus en une journée, et ce n’est pas une bonne nouvelle : mardi 23 mai, les données relevées par le Climate Change Institute de l’université du Maine ont montré que la température à la surface de la Terre et celle de la surface des océans ont atteint un maximum jamais observé pour cette date de l’année. Au même moment, l’étendue des glaces de mer n’avait jamais été aussi faible. Une simultanéité relevée dans un tweet de Leon Simons, un entrepreneur et chercheur membre du club de Rome néerlandais.

« Le fait de battre des records n’est pas étonnant, analyse Françoise Vimeux, climatologue à l’Institut pour la recherche sur le développement. En une seule journée, c’est le hasard. Mais au fil du temps, les impacts du réchauffement climatique s’intensifient. »

Ces dernières semaines, les scientifiques observent « des records de températures à la surface des mers entre les latitudes 60° Nord et 60° Sud, poursuit le spécialiste. Pour la glace de mer en Antarctique, il me semble que c’est un record absolu, ou alors on le frôle ».

Depuis la mi-avril, l’année 2023 est encore plus hors norme, puisqu’elle bat toutes les années précédentes, avant même qu’El Niño, attendu pour l’été, ne tire encore les températures mondiales à la hausse.

Réchauffement climatique: Déjà de nouveaux records de températures

Réchauffement climatique: Déjà de nouveaux records de températures

Le phénomène El Niño caractérisé par des températures de surface plus chaudes que la normale dans l’océan Pacifique équatorial. Mais ses conséquences s’étendent sur l’ensemble de la planète.

El Niño est un phénomène caractérisé par des températures de surface plus chaudes que la normale dans l’océan Pacifique équatorial. Mais il a des conséquences pour toute la planète. Il « pourrait conduire à de nouveaux records de températures » dans certaines régions, a déclaré dans un communiqué la climatologue Michelle L’Heureux. « Le changement climatique peut exacerber ou atténuer certains impacts liés à El Niño », a-t-elle précisé.

En mai, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) avait averti que la période 2023-2027 serait, avec quasi-certitude, la plus chaude jamais enregistrée sur Terre. Et ce, sous l’effet combiné d’El Niño et du réchauffement climatique provoqué par les émissions de gaz à effet de serre. El Niño se produit environ tous les deux à sept ans, et les climatologues prévoyaient depuis plusieurs mois son arrivée pour cette année.

Au G7, Macron fait déjà la pub pour son nouveau « pacte financier mondial »

Au G7, Macron fait déjà la pub pour son nouveau « pacte financier mondial »


Encore de la com la part de Marcon qui propose lors d’une réunion fin juin à Paris « un nouveau pacte financier mondial.
Le président français reprend la problématique du climat et de la pauvreté pour ce qu’il appelle pompeusement un « nouveau pacte financier mondial. »
La vérité est moins grandiose. Il s’agit de modifier les conditions d’accès au financement notamment du fonds monétaire international et de la banque mondiale. Un éternel objectif mais qui n’a pas grand-chose à voir avec un nouveau pacte financier mondial qui imposerait notamment la fin de la lutte entre les monnaies, les taux de change, la fin de l’évasion fiscale et des conditions de concurrence fiscales sociales inégales. Aussi une vraie taxation des mouvements des transactions financières .

Comme d’habitude, Macron se saoule de mots et on accouchera encore d’une souris. Certes si un accord se fait ce sera toujours mieux que rien mais ce sera quand même une avancée toujours marginale qui n’a rien à voir avec une nouvelle régulation financière au plan mondial.

Emmanuel Macron a profité du sommet du G7 pour faire la promotion du « nouveau pacte financier » mondial qu’il appelle de ses voeux pour éviter de « choisir entre la lutte contre la pauvreté et la lutte pour le climat ».

Paris avait lancé l’idée de ce sommet à l’automne dernier lors de la COP27 en Egypte avec la Première ministre de la Barbade Mia Mottley, dont la petite île caribéenne est en première ligne face aux menaces du changement climatique.

L’objectif est ambitieux: réformer l’architecture de la finance mondiale pour mieux répondre aux défis du réchauffement climatique.

« Nous allons porter un agenda de réforme du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale pour davantage offrir de financements aux pays qui en ont le plus besoin », a expliqué Emmanuel Macron. Il entend aussi « développer plus de financements privés par des mécanismes de garantie ».

« C’est le seul moyen d’éviter une division du monde », a-t-il encore insisté, relevant que « de plus en plus de pays du Sud ont le sentiment » qu’on « leur demande de faire des efforts climatiques alors qu’on ne les a pas suffisamment aidés pour lutter contre la pauvreté ».

Météo: comme en Espagne, déjà des pointes de chaleur en France

Météo: comme en Espagne, déjà des pointes de chaleur en France


En France, on pourra dans un premier temps parler de douceur avec des pointes à 25 ou 26°C jeudi, soit huit degrés au-dessus des normales de saison. Le mercure grimpera encore vendredi Et pourrait atteindre presque 30°

Le mercure devrait encore augmenter vendredi sous l’effet de la chaleur espagnole, au point que les températures dans le Sud-Ouest pourraient cette fois être supérieures de 10 à 12°C aux moyennes habituellement enregistrées fin avril. On pourrait s’approcher des 30°C aux pieds des Pyrénées dans l’après-midi.

Les températures que la France connaîtra à partir de ce jeudi sont liées à un épisode météorologique extrême qui touche actuellement la péninsule ibérique. Le mercure a déjà largement dépassé les 30°C mercredi dans le sud de l’Espagne, notamment dans la capitale andalouse, Séville, où un record mensuel à 36,9°C a été enregistré. Les 36,5°C ont été atteints à Cordoue et 35,5°C à Huelva. Ces records de chaleur pour une fin avril pourraient être battus dès ce jeudi.

« Si les prévisions se confirment, ce serait la canicule la plus intense de celles enregistrées en avril depuis qu’il existe des données », c’est-à-dire depuis 1961, prévenait il y a quelques jours le porte-parole de l’AEMET Rubén del Campo dans un article du quotidien El País.

Le record de chaleur européen pour un mois d’avril, déjà détenu par l’Espagne, pourrait lui aussi être battu. Le 9 avril 2011, la commune d’Orihuela, dans la région d’Alicante, au sud-est de l’Espagne, avait enregistré 39°C, mais selon les météorologues espagnols, la barre des 40°C apparaît atteignable cette semaine au vu de l’intensité de l’épisode de chaleur actuel.

Météo: Déjà des pointes de chaleur en France

Météo: Déjà des pointes de chaleur en France


En France, on pourra dans un premier temps parler de douceur avec des pointes à 25 ou 26°C jeudi, soit huit degrés au-dessus des normales de saison. Le mercure grimpera encore vendredi Et pourrait atteindre presque 30°

Le mercure devrait encore augmenter vendredi sous l’effet de la chaleur espagnole, au point que les températures dans le Sud-Ouest pourraient cette fois être supérieures de 10 à 12°C aux moyennes habituellement enregistrées fin avril. On pourrait s’approcher des 30°C aux pieds des Pyrénées dans l’après-midi.

Les températures que la France connaîtra à partir de ce jeudi sont liées à un épisode météorologique extrême qui touche actuellement la péninsule ibérique. Le mercure a déjà largement dépassé les 30°C mercredi dans le sud de l’Espagne, notamment dans la capitale andalouse, Séville, où un record mensuel à 36,9°C a été enregistré. Les 36,5°C ont été atteints à Cordoue et 35,5°C à Huelva. Ces records de chaleur pour une fin avril pourraient être battus dès ce jeudi.

« Si les prévisions se confirment, ce serait la canicule la plus intense de celles enregistrées en avril depuis qu’il existe des données », c’est-à-dire depuis 1961, prévenait il y a quelques jours le porte-parole de l’AEMET Rubén del Campo dans un article du quotidien El País.

Le record de chaleur européen pour un mois d’avril, déjà détenu par l’Espagne, pourrait lui aussi être battu. Le 9 avril 2011, la commune d’Orihuela, dans la région d’Alicante, au sud-est de l’Espagne, avait enregistré 39°C, mais selon les météorologues espagnols, la barre des 40°C apparaît atteignable cette semaine au vu de l’intensité de l’épisode de chaleur actuel.

Retraites : La réforme financièrement déjà obsolète

Retraites : La réforme financièrement déjà obsolète


La plupart des observateurs un peu indépendants avait déjà noté que la réforme des retraites était particulièrement mal bâtie et évidemment mal conduite. Maintenant, on semble prendre conscience que cette réformette un peu tordue sera rapidement obsolète dans la mesure où l’État a surestimé la croissance et les recettes à attendre et inversement a sous-estimé des dépenses L’objectif d’équilibre des retraites en 2030 serait illusoire. En outre, le bilan ne serait pas très favorable si on prend en compte les dépenses supplémentaires du régime du chômage et de la sécurité sociale. Bref il se pourrait que le chantier des retraites doive de nouveaux être traité un peu plus sérieusement.

L’institut Rexecode révèle, en effet, que le régime général des retraites serait toujours déficitaire en 2030 malgré la réforme tant contestée. En janvier dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, avait indiqué que le relèvement de l’âge légal de 62 ans à 64 ans pourrait rapporter 17,5 milliards d’euros bruts aux caisses de retraite. L’objectif du gouvernement était de parvenir à l’équilibre budgétaire d’ici 2030 alors que le déficit prévu était de 13,5 milliards d’euros. Au total, l’exécutif disposait donc d’un gain d’environ 4 milliards d’euros pour financer les mesures de compensation ajoutées lors des débats parlementaires.

Or, la note de Rexecode souligne que les gains espérés par la réforme pourraient être compensés par d’autres dépenses. « Un enseignement de cette note est que si cette réforme fait baisser les dépenses, cet effet est très atténué par des mesures d’accompagnement », explique ainsi à La Tribune, Olivier Redoulès, économiste et directeur des études chez Rexecode.

Tout d’abord, la réforme a prévu de mettre en oeuvre à partir du premier septembre prochain des mesures d’exemption et d’accompagnement à l’âge d’ouverture des droits à partir de 64 ans. Le coût global de ces mesures est estimé à 5,9 milliards d’euros. Sur cette enveloppe, 3,1 milliards d’euros doivent être fléchés vers le maintien de l’âge légal de départ à 62 ans pour les personnes inaptes ou invalides. Le reste (1,7 milliard) doit servir à revaloriser les petites pensions de retraite.

La facture pourrait également grimper pour l’Unédic, l’organisme paritaire en charge des dépenses et recettes de l’assurance-chômage, et pour la caisse nationale de l’assurance-maladie. « Sur l’assurance-chômage, les dépenses vont augmenter de 1,5 milliard d’euros. Plusieurs personnes vont se retrouver ni en emploi, ni à la retraite, ni au chômage. Ces transferts sociaux représentent 2 milliards », ajoute l’économiste. Concernant les dépenses de santé, elles pourraient s’envoler en raison du coût des arrêts de travail notamment après 62 ans. Le système des retraites pourrait certes faire des économies, mais une partie des dépenses pourrait donc se reporter sur d’autres organismes.

Sur le volet recettes, le gouvernement espère que sa réforme va doper l’activité et faire bondir les rentrées fiscales et sociales. « L’effet de la réforme passe surtout par les recettes. Ce surcroît va au-delà du système des retraites. Cette réforme améliore les recettes publiques en créant de la richesse », résume, en effet, Olivier Redoulès. L’institut table sur 300.000 emplois supplémentaires d’ici 2030 et un surcroît de produit intérieur brut (PIB) de 1.1 point. Au total, la hausse du nombre d’emplois pourrait générer un gain pour les recettes publiques de 11 milliards d’euros en 2027 et de 18 milliards d’euros en 2030. Cette enveloppe prend en compte l’ensemble des prélèvements (cotisations d’assurance vieillesse, impôt sur le revenu, TVA).

Il reste que de nombreux aléas pèsent sur les projections retenues par l’exécutif. « Cette réforme ne règle pas tout. Dans l’étude d’impact, le gouvernement avait montré que l’équilibre devait être assuré d’ici 2030. L’hypothèse du chômage de 4,5% était optimiste. Si on revient sur des hypothèses plus réalistes du Conseil d’orientation des retraites d’un chômage de 7%, le déficit pourrait être plus important que prévu (7 milliards d’euros en 2030), et encore davantage avec des hypothèses de croissance plus prudentes (20 milliards d’euros) », explique l’économiste.

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