Archive pour le Tag 'site'

Un militant d’ultragauche interpellé sur un site SNCF

 Un militant d’ultragauche interpellé sur un site SNCF 

Un militant d’ultragauche a été interpellé ce dimanche 28 juillet sur un site SNCF à Oissel (Seine-Maritime), a appris BFMTV d’une source proche de l’enquête, confirmant une information de l’AFP. Il a été placé en garde à vue pour « pénétration ou circulation dans une dépendance de la voie ferrée interdite au public et association de malfaiteurs », a annoncé le procureur de la République de Rouen.

À ce stade, rien ne permet de relier cet homme aux sabotages commis le vendredi 26 juillet sur plusieurs sites de la SNCF, mais les investigations se poursuivent. Le procureur de la République de Rouen a par ailleurs précisé « qu’aucune dégradation n’a été relevée à ce stade par la SNCF ».

L’ homme, âgé de 28 ans, a déjà été condamné par le passé pour des intrusions sur des sites SNCF. Il est considéré par les autorités comme appartenant à l’ultragauche, a appris BFMTV d’une source proche de l’enquête. Il était équipé d’outils pouvant permettre de commettre des dégradations, a indiqué cette source, sans donner plus de précisions.

Ces outils ont été retrouvés dans le véhicule du suspect ainsi qu’un jeu de clés universelles qui peuvent ouvrir les locaux techniques de la SNCF, a appris BFMTV de source policière. L’homme avait également un livre sur lui: « Le vertige de l’émeute », un essai sociologique sur les événements émeutiers de ces dernières années.

 

Site de rencontre : attention à l’amour escroquerie


Site de rencontre : attention à l’amour escroquerie


Par Stéphane Calé, administrateur du Clusif

31% des Français ont déjà utilisé les services d’un site ou d’une application de rencontre en ligne (étude IFOP pour Facebook). Ce qui fait qu’aujourd’hui, un quart des couples se sont rencontrés en ligne (étude faireparterie.fr).

Malheureusement Cupidon n’est pas le seul à fréquenter la toile, car c’est aussi le terrain de chasse d’un type particulier d’arnaqueurs : les « arnacœurs » qui vont jouer avec les sentiments de leurs proies pour leur dérober de l’argent.

Ce phénomène n’est pas anodin. Ainsi, selon la Federal Trade Commission, ce type d’escroquerie a entrainé, aux États-Unis, un préjudice de 547 millions de dollars en 2021.
Comment procède l’« arnacoeur » ?

Il procède par étapes. Tout d’abord, il effectue des recherches sur sa cible pour connaitre ses centres d’intérêt et ses attentes (par exemple, homme brun musclé), afin de se construire un profil idéal, répondant en tout point à ses critères. Il prend ensuite contact avec sa proie, via un site de rencontre ou un réseau social. Il peut ainsi la faire tomber sous son charme, grâce à ses attentions, ses compliments. Cela lui permet d’obtenir la confiance de sa victime. C’est alors qu’il en profite pour lui soutirer de l’argent, sous un prétexte fallacieux. Par exemple, un de ses proches est atteint d’une terrible maladie et doit suivre en urgence un traitement très coûteux. Ou, habitant à l’étranger, il aimerait vraiment concrétiser cet amour naissant, mais ne dispose malheureusement pas des fonds nécessaires pour acheter le billet d’avion. Ou encore, il prétend souhaiter faire profiter sa victime de l’« Affaire du siècle », grâce à son placement miracle dans les cryptomonnaies, celle-ci pourra alors tripler sa mise en moins de six mois.

Mais l’« arnacoeur » peut aussi utiliser des techniques plus brutales pour arriver à ses fins. Il pourra par exemple, menacer sa victime de révéler des informations, des photographies, des vidéos compromettantes qu’il aura obtenues lors de ces échanges privilégiés, pour lui extorquer l’argent demandé.
La perte d’argent, n’est pas le seul risque qui pèse sur ces victimes potentielles, car elles peuvent également être amenées à participer involontairement à une opération de blanchiment d’argent. L’« arnacoeur », pourra, par exemple, prétexter de problèmes de succession, pour transférer sur le compte bancaire de sa victime de l’argent « sale ». Puis demander ensuite à cette dernière de lui renvoyer cet argent par un mandat, à destination d’un autre pays. La victime peut ainsi se retrouver être la seule à devoir répondre de ce délit auprès de la justice.

Quand on interroge ces victimes, ce n’est généralement pas de ces pertes financières ou des risques juridiques qu’elles ont le plus souffert, mais bien des impacts psychologiques. Cette souffrance morale, liée entre autres à la honte de s’être ainsi fait berner, pouvant même conduire la victime à utiliser des mécanismes de protection psychologique, tel que le déni de reconnaitre la situation, contre toute évidence.

Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, ce type d’arnaque n’est pas né avec Internet, son origine remonterait au XVIe siècle et se nommait alors la « prisonnière espagnole ». A l’époque, la victime recevait une lettre d’une belle et très riche princesse espagnole qui avait été enlevée par des Ottomans. Ceux-ci réclamaient une forte rançon pour la libérer, mais si le destinataire de cette lettre avait la gentillesse de lui avancer cette somme, la belle princesse saurait se montrer reconnaissante et irait même jusqu’à lui accorder sa main.

Alors pourquoi évoquons-nous aujourd’hui les techniques de ces malandrins ? C’est parce que selon une étude réalisée par l’éditeur de logiciels ESET, 52% des personnes interrogées déclarent que la solitude, en cette période de Saint-Valentin, les rend plus vulnérables à ce type d’arnaque. Donc si cela vous arrive ou à l’un de vos proches, n’hésitez pas à porter plainte pour escroquerie aux sentiments, auprès de la plate-forme en ligne THESEE (Traitement Harmonisé des Enquêtes et Signalements pour les E-Escroqueries), accessible depuis le site web officiel de l’administration française.

Le site de rencontre Tinder refuse la campagne de pub de Macron

Le site de rencontre Tinder refuse la campagne de pub de Macron

 

Le mouvement de jeunesse de la macronie  avait l’intention d’investir les sites de rencontre pour faire la pub de Macron. En plus avec des slogans sulfureux comme » on a très envie de vous », référence érotique bien connue qui traduit la démarche douteuse et de très mauvais goût des jeunes d’en marche. 

Un compte qui devait afficher des photos sensuelles et érotiques sur un fond rose évocateur. Sur ces clichés, plusieurs couples hétérosexuels ou homosexuels s’embrassent en arrière-plan d’un slogan : «Je vote. Et toi ? Viens matcher avec la démocratie.» Un langage issu de ces plateformes pour rencontrer l’amour.

Vendredi, les «JAM» avaient déjà lancé une opération du même acabit dans un style plus évocateur. Reprenant les codes de Netflix, les «Jeunes avec Macron» avaient affiché une partie du visage du président de la République à côté d’un slogan très provocateur : «On a très envie de vous». Autant d’appels censés apparaître «inopinés» pour inciter le locataire de l’Élysée à solliciter à nouveau les suffrages des Français.

Un coup de communication que refuse Tinder. L’application de rencontre la plus populaire au monde a immédiatement dénoncé l’initiative des JAM. «Nous n’autorisons pas les faux profils, y compris ceux créés dans le cadre de campagnes politiques», comme le prévoient les conditions générales d’utilisation (CGU). « Nous prenons le sujet de l’usurpation d’identité et de la création de faux profils très au sérieux et avons une politique de tolérance zéro sur ce type de comportement. Si de faux profils sont créés, nous prendrons des mesures adéquates».

De son côté Bumble ne condamne pas l’initiative mais va le surveiller. «Pour garantir que l’application reste un lieu de rencontres respectueux, nous surveillons toute utilisation abusive de l’application [...] notamment la création de faux profils ou l’utilisation de Bumble à d’autres fins que celle des rencontres», explique un porte-parole de l’entreprise.

 

Passe sanitaire : le site ameli.fr de la sécu ne fonctionne pas !

Passe sanitaire : le site ameli.fr de la sécu ne fonctionne pas !

Service momentanément indisponible. Veuillez réessayer plus tard …

C’est le message que peuvent lire des internautes quand ils sollicitent le site  de la sécurité sociale pour obtenir le passe sanitaire officiel.

Des personnes vaccinées ne cessent de tenter d’obtenir en vain le fameux passse  qui devient pourtant obligatoire. La a sécurité sociale se montre une nouvelle fois complètement incapable de gérer ce qui concerne évidemment des millions de personnes. La preuve supplémentaire que la gestion globale de ce pass constitue un véritable fiasco.

Passe sanitaire : le site ameli.fr de la sécu ne fonctionne pas !

Passe sanitaire : le site ameli.fr de la sécu ne fonctionne pas !

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C’est le message que peuvent lire des internautes quand ils sollicitent le site  de la sécurité sociale pour obtenir le passe sanitaire officiel.

Des personnes vaccinées ne cessent de tenter d’obtenir en vain le fameux passse  qui devient pourtant obligatoire. La a sécurité sociale se montre une nouvelle fois complètement incapable de gérer ce qui concerne évidemment des millions de personnes. La preuve supplémentaire que la gestion globale de ce pass constitue un véritable fiasco.

Passe sanitaire : le site ameli.fr ne fonctionne pas !

Passe sanitaire : le site ameli.fr ne fonctionne pas !

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C’est le message que peuvent lire les internautes quand ils sollicitent le site  de la sécurité sociale pour obtenir le passe sanitaire officiel.

Des personnes vaccinées ne cessent de tenter d’obtenir en vain le fameux passse  qui devient pourtant obligatoire. La a sécurité sociale se montre une nouvelle fois complètement incapable de gérer ce qui concerne évidemment des millions de personnes. La preuve supplémentaire que la gestion globale de ce pass constitue un véritable fiasco. 

Attestation–Covid: site pour récupérer le pass

Attestation–Covid: site pour récupérer le pass

 

Le pass sanitaire peut être retiré sur le site  attestation-vaccin.ameli.fr: il permet aux personnes vaccinées contre le Covid-19 de récupérer leur «attestation certifiée de vaccination». Cette attestation «peut être téléchargée et imprimée. Elle comprend un QR Code à scanner, pour intégrer le certificat de vaccination dans l’application TousAntiCovid», indique Caisse nationale d’assurance-maladie.

Les personnes vaccinées avant le 3 mai sont particulièrement concernées puisque, depuis cette date, le document est remis au format papier après chaque injection. Son usage deviendra nécessaire le 9 juin, avec l’entrée en vigueur prévue du pass sanitaire pour les activités rassemblant plus de 1000 personnes.

Site pour l’attestation vaccinale : attestation-vaccin.ameli.fr

Site pour l’attestation vaccinale : attestation-vaccin.ameli.fr

 

L’attestation peut être téléchargée et imprimée. Elle comprend un QR Code à scanner, pour intégrer le certificat de vaccination dans l’application TousAntiCovid.. Son usage deviendra nécessaire le 9 juin, avec l’entrée en vigueur prévue du pass sanitaire pour les activités rassemblant plus de 1000 personnes.

 

Une nouvelle version du certificat «aux normes européennes» sera proposée dès le 21 juin, avec un accès supplémentaire par le compte Ameli, a annoncé Thomas Fatôme. Cette mise à jour sera indispensable pour pouvoir se déplacer au sein de l’Union européenne à partir du 1er juillet.

Le site de l’attestation vaccinale: attestation-vaccin.ameli.fr

Le site de l’attestation vaccinale: attestation-vaccin.ameli.fr

L’Assurance-maladie a annoncé jeudi l’ouverture du site attestation-vaccin.ameli.fr: il permet aux personnes vaccinées contre le Covid-19 de récupérer leur «attestation certifiée de vaccination». Cette attestation «peut être téléchargée et imprimée. Elle comprend un QR Code à scanner,

Son usage deviendra nécessaire le 9 juin, avec l’entrée en vigueur prévue du pass sanitaire pour les activités rassemblant plus de 1000 personnes et sans doute après le 9 juin dans certains lieux publics

Recyclage de papier : la fermeture du dernier site français

Recyclage de papier : la fermeture du dernier site français

Ce sont les contradictions du jour d’après. Contradictions marquées par ceux qui affirment que rien ne changera tandis que d’autres préconisent un changement radical et brutal. La vérité est sans doute entre les deux car la complexité du processus de production, de distribution et de commercialisation est telle qu’on ne changera pas du jour au lendemain. Parmi ces contradictions la perspective de fermeture du dernier site français de recyclage de papier «Le seul site français de recyclage papier risque, si rien n’est fait d’ici le 15 juin (date limite annoncée par UPM), de fermer purement et simplement», s’alarment les élus dans un courrier daté de lundi, adressé au Premier ministre Édouard Philippe et signé notamment par le maire PS de Rouen Yvon Robert, le député PS Christophe Bouillon, les sénateurs PS Didier Marie et Nelly Tocqueville.

Le groupe finlandais UPM avait annoncé en septembre la mise en vente de son usine de Grand-Couronne (agglomération de Rouen) communément appelée Chapelle Darblay. Selon les syndicats, les salariés vont être licenciés le 15 juillet.

Le site emploie 228 salariés et induit au moins 800 emplois indirects, selon le courrier. «Va-t-on laisser 1.000 familles sur le carreau? Faute de recyclage, va-t-on demain être obligé d’enfouir ou de brûler du papier en France? Est-ce cela, la France d’après?», poursuivent les élus.

Les signataires demandent «que la puissance publique intervienne pour imposer à UPM un délai plus long, empêcher la fermeture et sauver le site en facilitant le rachat».

«Le site pourrait devenir recycleur pour des tiers. Des débouchés pour de nouveaux produits, notamment dans le domaine du carton d’emballage et du conditionnement, sont économiquement attractifs. Un repreneur industriel sérieux s’est manifesté», précisent les élus. «Mais les besoins financiers sont importants -le fonds de roulement est estimé autour de 80 millions d’euros- et la crise sanitaire rend les choses bien plus compliquées», admettent-ils.

Selon des représentants du personnel, le groupe belge VPK Packaging notamment était toujours intéressé par le site, même si il n’a pas déposé d’offres dans les délais impartis par le PSE (le 15 mai) car il n’a pas réussi à s’entendre avec le groupe finlandais et en raison de la crise sanitaire. VPK ne voit toutefois pas de concrétisation possible avant fin 2020, début 2021, d’après la même source.

Ce site «unique en France» qui comptait 400 salariés en 2014, a une puissance de recyclage de l’équivalent du tri de 24 millions d’habitants, sa chaudière biomasse peut chauffer une ville de 20.000 habitants et il comprend une station d’épuration pouvant subvenir aux besoins de 400.000 personnes, selon ces sources.

Nucléaire- Bure : le site évacué par la force

Nucléaire- Bure : le site évacué par la force

 

Une décision préventive pour éviter sans doute le recul de Notre Dame des Landes avec cette opération de police sur le site de Bure. L’occasion pour le gouvernement de montrer ses muscles.  Un site où on doit enfouir les déchets nucléaires sur une  période 100 00 ans à 500m sous terre. Les occupants protestent contre les risques de contamination, les risques systémiques et autres dégâts collatéraux pratiquement imprévisibles sur une aussi longue période. Autre point sensible, les risques d’incendie de fûts de déchets placés dans le passé dans un enrobage de bitume qui seront stockés à Bure. Une opération de gendarmerie destinée à évacuer les opposants au projet d’enfouissement de déchets nucléaires à Bure (Meuse) est donc actuellement en cours. La gendarmerie nationale a débuté jeudi 22 février une opération  »visant à mettre fin à l’occupation illégale » du Bois Lejuc, épicentre de la lutte contre le projet Cigéo d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure (Meuse), a annoncé le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb. « Sous l’autorité de la préfète de la Meuse, une opération menée par la gendarmerie a débuté ce matin à 6h15″, déclare sur son compte Twitter le ministre. Ses services mettent ainsi à exécution une décision de justice prise en avril par le Tribunal de Grande Instance de Bar-le-Duc.

Nucléaire: autorisation du site de Bure

Nucléaire: autorisation du site de Bure

 

L’autorisation concernant le site d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure repoussé pour des raisons financières mais aussi techniques et sécuritaires.- L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) a ainsi décidé de repousser d’un an, à la mi-2019, la demande officielle d’autorisation de création de son site de stockage de Bure, dans la Meuse, a déclaré son directeur général. Une manière aussi pour l’agence nationale d’exister  exister car elle fait un peu double emploi avec l’institut de radioprotection et de sûreté nucléaire qui lui aussi rend son avis sur le futur site Dans une interview publiée lundi sur le site internet du Monde, Pierre-Marie Abadie assure que ce report du projet Cigéo n’a rien à avoir avec un avis récent de l’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) qui a soulevé quatre points « susceptibles d’entraîner des modifications de conception du stockage des déchets » sur le futur site. »Nous prévoyons désormais de déposer la demande d’autorisation de création de Cigéo mi-2019″, dit-il. « Nous nous donnons douze mois de plus car, à mi-chemin de l’avant-projet détaillé, nous demandons à nos ingénieurs et aux bureaux d’ingénierie d’intégrer les variantes étudiées et les améliorations réalisées au cours des derniers mois. Il ne s’agit pas d’un report lié à l’avis de l’IRSN, mais d’un choix d’approfondissement du projet, permettant des économies substantielles avec la même exigence de sûreté ».D’un coût de l’ordre de 25 milliards d’euros, selon les dernières estimations, le projet Cigéo est destiné à l’enfouissement par 500 m de profondeur de déchets hautement radioactifs provenant pour l’essentiel de centrales nucléaires. Le « point le plus sensible » soulevé par l’IRSN concerne les risques d’incendie de fûts de déchets placés dans le passé dans un enrobage de bitume qui seront stockés à Bure. Selon Pierre-Marie Abadie, il reviendra soit à l’Andra d’ »optimiser » le stockage de ces déchets particuliers pour prévenir les risques d’incendie, soit aux producteurs de « définir un procédé permettant de neutraliser la réactivité thermique des enrobés, par vitrification par exemple ».

Le site de France info va fusionner avec Paris Match ?

Le site de France info va fusionner avec Paris Match ?

 

À la lecture du site de France Info, on se demande sérieusement si ce site du service public ne va pas fusionner avec celui de Paris-Match. Depuis la création de la chaîne France télévision, le site de France info s’est en effet totalement aligné sur des grands médias comme Paris-Match : de moins en moins d’articles mais de plus en plus de photos, des vidéos et des titres énormes. Bref le poids des mots écrits en gros et le choc des photos. On attend évidemment autre chose d’un site du service public de l’info. À juste titre, les journalistes de la radio France info ont protesté contre l’évolution de la ligne éditoriale qui se banalise en s’alignant sur le Parisien, Paris-Match ou 20 minutes. Dès lors, on  peut s’interroger sur la nécessité de l’existence d’un tel service public. La quête de l’audience à tout prix guide sans doute ceux qui gèrent  la ligne éditoriale de France info. Sur la lancée,  on pourrait conseiller à la direction d’embaucher aussi Cyrille Hanouna qui plaît tellement aux beaufs d’autant que le conseil supérieur de l’audiovisuel menace de l’interdire de chaînes sur C8. Un exemple sur la une  du site de ce samedi 24 décembre : en gros évidemment,  la liste des personnalités préférées des Français. Une information évidemment fondamentale qui se comprend pour le JDD mais qui surprend sur France Info. À quand  comme sur BFM : les plus belles femmes des footballeurs, aussi les plus belles femmes des rugbymans, les  plus belles femmes des golfeurs ou encore les plus belles femmes des politiques. Un sujet qu’on peut développer pendant des jours et des semaines. Il serait temps que la direction de France info se ressaisisse car la fast- info type McDo ne relève pas vraiment du cahier des charges d’une chaîne d’information publique. Un peu court, un peu léger mais quand même trop gras voire indigeste. Bref quand les titres énormes, les images et le bruit constituent  aussi une belle excuse pour la paresse.

 

Le site Alstom de Belfort sauvé mardi par le contribuable

Le site Alstom de Belfort sauvé mardi par le contribuable

Le gagnant de l’affaire Alstom Belfort risque d’être surtout le patron de cet entreprise qui a profité de l’environnement électoral pour contraindre l’État a décidé de commandes en particulier à l’usine de Belfort. Les salariés concernés seront également bénéficiaires du petit chantage exercé par la direction d’Alstom. En fait qui va payer la facture ? Le contribuable inévitablement. En effet grâce à quelque artifice juridique, l’État va contraindre la SNCF à acheter des machines et des rames dont  elle n’a nullement besoin. Et pour cause les parts de marché de la SNCF ne cessent de reculer, elle perd même du trafic sur nombre de créneaux. Ce qui manque à la SNCF ce ne sont pas des machines ou des rames mais des clients. Le rail n’est pas assez compétitif et en matière de transport de personnes ;  surtout pour le TGV le train est beaucoup trop cher. En cause,  la politique des transports qui depuis plus de 30 ans maintenant n’a pas été réactualisée de manière cohérente et encore moins articulée  avec la politique industrielle. En cause, une réforme SNCF avortée qui a oublié de traiter la question essentielle de l’endettement et du financement aussi bien des infrastructures que du matériel. En cause, le fonctionnement d’une entreprise à la gestion bureaucratique. La facture sera payée par le contribuable car la SNCF n’a pas le premier sou pour financer  le matériel qui sera commandé en particulier à Belfort. L’entreprise traîne une dette de plus de 40 milliards, une dette qui un jour ou l’autre sera apurée par l’État. Et pour ne pas aggraver encore une situation dramatique il faudra maintenir et accroître les soutiens financiers publics. Bref le contribuable, mais sans assurance d’obtenir en échange une gestion plus rigoureuse de la SNCF et un train moins cher. Conclusion l’annonce de Valls s’inscrit dans une politique de gribouille Le Premier ministre Manuel Valls a déclaré dimanche que l’activité ferroviaire serait maintenue sur le site de Belfort, qui sera « sauvé » mardi. Le secrétaire d’Etat à l’Industrie, Christophe Sirugue, doit rencontrer mardi matin à Belfort les syndicats et la direction d’Alstom pour leur présenter ses propositions pour le sauvetage du site lors d’une réunion de travail. « Mardi nous sauverons le site d’Alstom à Belfort », a déclaré dimanche le chef du gouvernement lors du « Grand Jury » RTL-Le Figaro-LCI, en ajoutant que « l’activité ferroviaire à Belfort sera[it] maintenue ». « Le secrétaire d’Etat à l’Industrie proposera un certain nombre des pistes concrètes », a poursuivi Manuel Valls en évoquant à la fois le rôle de la commande publique et celui des investissements consentis par l’entreprise.

 

Présidentielle 2017 : le lancement du site pour François Hollande « moi, ancien président, je »

Présidentielle 2017 : le lancement du site pour François Hollande « moi, ancien président, je »

 

Pas de bol comme dit Hollande à propos du cômage et pas de bol pour le lancement de son site « NotreidéedelaFrance.fr ». qui aurait pu s’appeler : « moi, ancien président, je… »  Le président de la République doit regretter d’avoir indexé sa candidaturesur la baisse du chômage. Si Najat-Vallaud Belkacem a tenté de noyer le poisson en parlant de « soubresauts » lors d’un meeting de « Eh oh la gauche » à Grenoble lundi 26 septembre, l’annonce d’une nouvelle de hausse du chômage - 1,4%, soit la pire augmentation depuis septembre 2013 – a plongé les soutiens de François Hollande dans l’embarras. Preuve en est, le lancement du site « NotreidéedelaFrance.fr », prévu pour ce même lundi 26 septembre à 18h, a été décalé de quelques jours à la dernière minute. Les partisans de François Hollande pouvaient difficilement trouver un timing moins approprié quand « NotreidéedelaFrance.fr » a pour objet de vanter le bilan du président sortant. Le site internet censé marquer la seconde étape de l’entrée en campagne n’est toujours pas accessible au public. Officiellement, du côté de « Répondre à Gauche », l’association à l’origine de ce site après avoir soutenu la candidature de François Hollande lors de la primaire socialiste de 2011, on invoque « des problèmes techniques » selon BFM-TV. La concomitance avec l’annonce des mauvais chiffres du chômage apparaît cependant comme l’explication la plus logique. D’autant que, selon certains élus derrière « NotreidéedelaFrance.fr », l’objectif était de surfer sur une nouvelle baisse du chômage au mois d’août. Hollande a raison il n’a vraiment pas de bol avec le chômage

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