Archive pour le Tag 'papier !'

La « nationalité de papier » ?

La « nationalité de papier » ?

par
Jacques Amar
Maître de conférences HDR en droit privé, CR2D, Université Dauphine-PSL, docteur en sociologie, Université Paris Dauphine – PSL; dans The Conversation

« Français de papier » : depuis la Première Guerre mondiale, cette expression ressurgit périodiquement dans le débat et encore tout récemment dans les discussions du projet de loi « Reconstruction », consécutives aux émeutes qui ont éclaté la première quinzaine de juillet. L’expression, utilisée alors par la droite et l’extrême-droite et qui a provoqué de vives remous dans l’hémicycle, vise à critiquer les règles d’acquisition de la nationalité française et à stigmatiser l’immigration comme source de tous les maux. Certaines personnes seraient françaises, mais sans attaches viscérales à la France : disposant d’un passeport, elles réduiraient la nationalité à un bout de papier.

Schématiquement, l’acquisition de la nationalité d’un pays dépend en général soit du droit du sol, soit du droit du sang. Dans le premier cas, la nationalité est attribuée à la personne qui naît sur un territoire donné, principe retenu par les pays d’immigration afin de favoriser l’intégration ; dans le second, les enfants héritent à leur naissance de la nationalité de leurs parents, principe cette fois favorisé par les pays d’émigration.

La pratique a néanmoins développé une autre technique : l’achat de passeport. Il existe ainsi une catégorie de personnes disposant d’une ou de plusieurs nationalités de papiers pour des raisons davantage fiscales que fondées sur un amour immodéré de la patrie.

Rendre compte de ce marché très particulier comme nous tentons de le faire dans nos travaux et s’interroger sur sa portée en cas de contrôle fiscal pose plus largement la question des liens entre nationalité et fiscalité.

Nombreux sont les États, dont la France, qui définissent des politiques visant à se rendre attractifs pour les personnes disposant de hauts revenus. L’idée est de permettre à ces individus de trouver dans les réglementations en vigueur des incitations à acquérir une autre nationalité.

Les stratégies peuvent être très diverses. Le premier pays à avoir adopté ce type de politique a été l’archipel de Saint-Christophe-et-Niévès (Saint Kitts and Nevis) en 1984. L’argument de vente, encore utilisé aujourd’hui, s’avère simple : en 2023, contre un versement de 170 000 dollars au Sustainable growth fund, qui vise à développer la santé, l’éducation et les infrastructures sur les îles, un couple et deux enfants se voient attribuer un passeport qui leur permet de circuler librement dans tous les États du Commonwealth. Une « promotion » de 25 000 dollars court même jusqu’en février 2024.

Antigua et la Barbade ont adopté la même politique avec le même argument : ces politiques migratoires visent à compenser l’absence de ressources de ces États. Au Vanuatu, le commerce des passeports constitue une source majeure de revenus pour l’État.

En droit européen, le résident d’un pays membre de l’espace Schengen peut y circuler librement et bénéficie pleinement des libertés fondamentales consacrées par le Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Cela vaut notamment s’il décide de créer une entreprise ou de s’installer dans un autre État membre.

Certains États ajoutent même, afin d’attirer des personnes ne disposant pas de la nationalité d’un pays membre de l’espace Schengen, la possibilité d’acquérir un visa spécial qui fera office de permis de résidence. En contrepartie d’un investissement dans un pays qui propose ce type de visa – Belgique, Chypre, Espagne, Grèce, Italie, Malte, Portugal –, la personne ainsi que son conjoint et ses enfants obtiennent les mêmes droits que ceux d’un résident d’un État membre de l’espace Schengen.

Chaque pays pose ses conditions. Par exemple, en Italie, il faut investir 250 000 euros dans une start-up italienne ou 500 000 euros (au lieu de 1 000 000 euros auparavant) dans une entreprise locale. En Autriche, la réglementation distingue l’acquisition du titre de résidence pour un montant minimum de 40 000 euros investis dans une entreprise autrichienne et l’acquisition directe de la nationalité en contrepartie d’un investissement de 10 millions d’euros dans une entreprise ou d’une contribution d’au moins 3 millions d’euros à un fonds de développement gouvernemental.

Dans un communiqué de presse en date du 15 février 2022, le Parlement européen indiquait que ces programmes ont bénéficié à près de 130 000 personnes entre 2011 et 2019, générant plus de 21,8 milliards d’euros de recettes pour les pays concernés. Le marché serait en pleine expansion ; en 2014, à l’échelle mondiale, il était évalué à 25 milliards de dollars.

Si le Parlement européen s’est prononcé pour l’interdiction de la vente de passeports de pays membres de l’espace Schengen, il ne remet pas en cause le principe de l’acquisition d’un statut de résident en contrepartie d’un investissement. En dépit de menaces de procédures européennes, les États membres peuvent considérer qu’il est financièrement plus rémunérateur de poursuivre de telles politiques.

Il aura fallu la guerre entre la Russie et l’Ukraine pour que l’Union européenne mette fin au programme des « visas dorés » tout simplement parce la volonté affichée de saisir des avoirs (dont notamment des biens immobilier ou mobilier de valeur, tels que des yachts de luxe) détenus par des personnes de nationalité russe visées nominativement est moins aisé à partir du moment où elles disposent d’un visa, voire d’une nationalité d’un pays de l’Union européenne.

En droit français, l’imposition d’une personne dépend généralement de l’identification de son domicile fiscal et non de sa nationalité. Lorsqu’une personne dispose d’intérêts économiques entre deux pays liés par une convention fiscale, la nationalité n’intervient comme critère d’imposition qu’en dernier lieu, c’est-à-dire si les administrations fiscales n’ont pas réussi à identifier un lieu de résidence habituelle. En cas de double nationalité, il revient aux États de se mettre d’accord sur le lieu d’imposition de la personne, sans que cela n’exclue au passage une double imposition. En privilégiant la résidence sur la nationalité, il est apparemment sans conséquence pour l’État qu’une personne cumule plusieurs nationalités.

Cependant, le fait de disposer de deux nationalités avec deux adresses distinctes crée mécaniquement un obstacle à la taxation. Il faut alors que l’administration fiscale identifie le lieu de résidence du contribuable et les flux de revenus pour pouvoir les imposer et qu’ensuite elle effectue une démarche auprès de l’autre État concerné. Un autre élément peut en outre compliquer fortement ces procédures : la possibilité que certains États offrent aux individus de changer complètement leur état civil.

Bien évidemment, il est possible de mettre à jour ce type d’artifice, mais à la double condition de renforcer les moyens de contrôle et que les États coopèrent en matière de transmission d’informations. Le fait que les États, à commencer par la France, simplifient les procédures pour modifier l’état civil offre incontestablement de nouvelles opportunités pour les personnes qui cherchent à éluder l’impôt.

La tentation est ainsi grande de chercher également en droit français à faciliter l’imposition des personnes non résidentes sur le territoire français à partir d’un critère de nationalité. Ce point a fait l’objet d’un débat parlementaire au printemps lors de la ratification de la convention fiscale entre Andorre et la France, dont la rédaction est le décalque de celle de la convention France- États-Unis. En l’occurrence, cette convention stipule :

« Nonobstant les dispositions de tout autre article de la présente Convention : la France peut imposer les personnes physiques de nationalité française résidentes d’Andorre comme si la présente Convention n’existait pas. »

Cette évolution, rupture conceptuelle par rapport à l’approche classique fondée sur le lieu de résidence de la personne, si elle se généralisait pourrait entraîner une multiplication des demandes de renonciation à la nationalité française.

En résumé, l’expression du désir d’appartenance à une Nation, l’adhésion aux valeurs nationales, à l’heure de la mondialisation dépendrait davantage du montant des impôts que la personne peut être amenée à acquitter. Libre à la personne de choisir sa nationalité en fonction des avantages qu’elle procure. Nous arrivons ainsi à un stade où la nationalité n’échappe pas à la logique de marchandisation. Les « Français de papier » ne sont pas celles et ceux qui sont visés par ceux qui utilisent cette expression aujourd’hui.

Hausse des prix: Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Hausse des prix: Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Inflation-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Inflation-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 4,6 % en 2022 et continue de baisser en 2023.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Hausse des prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

hausse des prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 4,6 % en 2022 et continue de baisser en 2023.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Politique-Bientôt un chèque du gouvernement pour le papier toilette ?

Politique-Bientôt un chèque du gouvernement pour le papier toilette ?

 

Après l’augmentation de nombre de produits d’alimentation ou d’entretien, le papier toilette devrait lui aussi s’inscrire dans une tendance inflationniste. La hausse pour le consommateur pourrait atteindre autour de 15 %. À la décharge des industriels les coûts des intrants ont monté jusqu’à 30 % pour certains.

On imagine que le monde politique sera sensible à cette envolée de produits indispensables dans la vie quotidienne. On en vient à espérer que le gouvernement ( ou les candidats de l’opposition pour 2022-) prennent conscience de la gravité problème en décidant par exemple comme pour d’autres biens la cordée un chèque PQ à chaque Français. En effet tous les Français sont concernés par l’usage du PQ est un geste politique pourrait être électoralement payant surtout si on inscrit sur les rouleaux de papier » financé par le gouvernement ».

Politique–Bientôt un chèque pour le papier toilette ?

Bientôt un chèque pour le papier toilette ?

 

Après l’augmentation de nombre de produits d’alimentation ou d’entretien, le papier toilette devrait lui aussi s’inscrire dans une tendance inflationniste. La hausse pour le consommateur pourrait atteindre autour de 15 %. À la décharge des industriels les coûts des intrants ont monté jusqu’à 30 % pour certains.

On imagine que le monde politique sera sensible à cette envolée de produits indispensables dans la vie quotidienne. On en vient à espérer que le gouvernement ( ou les candidats de l’opposition pour 2022-) prennent conscience de la gravité problème en décidant par exemple comme pour d’autres biens la cordée un chèque PQ à chaque Français. En effet tous les Français sont concernés par l’usage du PQ est un geste politique pourrait être électoralement payant surtout si on inscrit sur les rouleaux de papier » financé par le gouvernement ».

Bientôt un chèque pour le papier toilette ?

 

 

Après l’augmentation de nombre de produits d’alimentation , d’entretien rt de l’énergie, le papier toilette devrait lui aussi s’inscrire dans une tendance inflationniste. La hausse pour le consommateur pourrait atteindre autour de 15 %. À la décharge des industriels les coûts des intrants ont monté jusqu’à 30 % pour certains.

On imagine que le monde politique sera sensible à cette envolée de produits indispensables dans la vie quotidienne. On en vient à espérer que le gouvernement ( ou les candidats de l’opposition pour 2022-) prennent conscience de la gravité problème en décidant par exemple comme pour d’autres biens d’accorder  un chèque PQ à chaque Français. En effet tous les Français sont concernés par l’usage du PQ et un geste politique pourrait être électoralement payant surtout si on inscrit sur les rouleaux de papier » financé par le gouvernement ».

Macron craint le sultan de papier Erdogan

Macron craint le sultan de papier Erdogan 

 

Peut-être pour détourner l’attention d’un contexte économique social et sanitaire difficile ,Macron a évoqué le danger que pourrait représenter Erdogan à l’occasion des échéances électorales de 2022. Un danger largement surestimé car Erdogan est un sultan menacé du fait  de l’écroulement de son économie, il est  par ailleurs largement contesté sur le plan démocratique.

Faut-il rappeler qu’il a perdu les élections locales à Istanbul il n’est pas sûr que Erdogan gagnent les élections présidentielles en 2023. D’où le durcissement idéologique à l’intérieur parallèlement à la multiplication des attaques contre les démocraties occidentales à l’extérieur.

 

La seule faiblesse de l’union européenne vis-à-vis de la Turquie c’est sans doute d’avoir conclu un accord en 2016 pour réguler les flux migratoires. En gros l’union économique paye la Turquie- qui a bien besoin de cette ressource financière– pour freiner l’immigration à destination de l’Europe.

 

Presse-écrite papier : une crise conjoncturelle ou structurelle ?

Presse-écrite papier : une crise conjoncturelle ou structurelle ?

 

 

Il est clair que la presse écrite a connu une crise sans précédent en particulier du fait de la fermeture des points de vente depuis le début de la crise. Tous les titres sont touchés. On constate un certain report sur les versions numériques. Les consultations d’information sur le net auraient augmenté de leur de 30 %.

Les chiffres 2020 de fréquentation de sites de presse compilés par l’ACPM confirment cet effet booster du Covid : 2,7 milliards de visites en moyenne par mois en 2020 versus 2 milliards en 2019, soit une progression de 33 %, avec un pic en mars de 3,8 milliards lors du premier confinement.

La hausse des fréquentations des sites d’infos via le net provient notamment des préoccupations de l’opinion vis-à-vis de la crise sanitaire.

La question se pose de savoir si la presse écrite sous forme de papier va remonter la pente ou non après la crise sanitaire. Sans doute pas car ce type d’infos s’inscrit dans une tendance baissière depuis des années. Certes l’info par le Web se développe mais le problème c’est qu’elle est grandement accessible et ce qu’on ne trouve pas sur un site on le retrouve sur un autre.

Se pose donc la question de la rentabilité des grands titres par voie numérique. Pas sûr que les lecteurs soient décidés à payer pour obtenir une info par ailleurs disponible gratuitement ailleurs et souvent davantage documenté, plus objective aussi plus rapide. Pour s’en convaincre il suffit de vérifier la Une numérique des grands titres qui reste souvent figée pendant plusieurs jours.

Certes les abonnés numériques vont sans doute progresser mais ils ne viendront pas compenser la perte de lecteurs sur  supports traditionnels d’autant que la crise de la presse repose aussi sur la crédibilité de ligne éditoriale aujourd’hui en grande majorité dans les mains de financiers .

Recyclage de papier : la fermeture du dernier site français

Recyclage de papier : la fermeture du dernier site français

Ce sont les contradictions du jour d’après. Contradictions marquées par ceux qui affirment que rien ne changera tandis que d’autres préconisent un changement radical et brutal. La vérité est sans doute entre les deux car la complexité du processus de production, de distribution et de commercialisation est telle qu’on ne changera pas du jour au lendemain. Parmi ces contradictions la perspective de fermeture du dernier site français de recyclage de papier «Le seul site français de recyclage papier risque, si rien n’est fait d’ici le 15 juin (date limite annoncée par UPM), de fermer purement et simplement», s’alarment les élus dans un courrier daté de lundi, adressé au Premier ministre Édouard Philippe et signé notamment par le maire PS de Rouen Yvon Robert, le député PS Christophe Bouillon, les sénateurs PS Didier Marie et Nelly Tocqueville.

Le groupe finlandais UPM avait annoncé en septembre la mise en vente de son usine de Grand-Couronne (agglomération de Rouen) communément appelée Chapelle Darblay. Selon les syndicats, les salariés vont être licenciés le 15 juillet.

Le site emploie 228 salariés et induit au moins 800 emplois indirects, selon le courrier. «Va-t-on laisser 1.000 familles sur le carreau? Faute de recyclage, va-t-on demain être obligé d’enfouir ou de brûler du papier en France? Est-ce cela, la France d’après?», poursuivent les élus.

Les signataires demandent «que la puissance publique intervienne pour imposer à UPM un délai plus long, empêcher la fermeture et sauver le site en facilitant le rachat».

«Le site pourrait devenir recycleur pour des tiers. Des débouchés pour de nouveaux produits, notamment dans le domaine du carton d’emballage et du conditionnement, sont économiquement attractifs. Un repreneur industriel sérieux s’est manifesté», précisent les élus. «Mais les besoins financiers sont importants -le fonds de roulement est estimé autour de 80 millions d’euros- et la crise sanitaire rend les choses bien plus compliquées», admettent-ils.

Selon des représentants du personnel, le groupe belge VPK Packaging notamment était toujours intéressé par le site, même si il n’a pas déposé d’offres dans les délais impartis par le PSE (le 15 mai) car il n’a pas réussi à s’entendre avec le groupe finlandais et en raison de la crise sanitaire. VPK ne voit toutefois pas de concrétisation possible avant fin 2020, début 2021, d’après la même source.

Ce site «unique en France» qui comptait 400 salariés en 2014, a une puissance de recyclage de l’équivalent du tri de 24 millions d’habitants, sa chaudière biomasse peut chauffer une ville de 20.000 habitants et il comprend une station d’épuration pouvant subvenir aux besoins de 400.000 personnes, selon ces sources.

Nantes: Trois manifestants arrêtés pour un homard géant en papier mâché

Trois manifestants arrêtés pour un homard géant en papier mâché

 

 

Tout a été fait à Nantes samedi dernier pour limiter les éventuels débordements de la manifestation. La police a même interpellé et arrêté trois manifestants au motif qu’ils transportaient un homard géant en papier mâché sur un camion « à la façon des chars de carnaval. La conséquence de l’action dirigée par un parquet qui dans certaines provinces est plus sévère contre les manifestants mêmes pacifiques que contre les délinquants politico- financiers. Voir à cet égard la grande bienveillance dont a bénéficié Richard Ferrand de la part du parquet de Brest qui a tout simplement à enterré l’affaire (affaire qui heureusement rebondit à Lille après avoir été délocalisée). Ne parlons pas des nombreuses affaires politiques ou financières qui n’ont jamais donné lieu à la moindre incarcération sauf depuis l’affaire Balkany et il aura fallu attendre une trentaine d’années !

Beaucoup d’arrestations insensées avant même la manif. Par exemple, le garde du corps d’une journaliste télé est au commissariat.

Un homard géant en papier mâché était préparé de longue date pour la manifestation. La police a tendu un véritable guet apens : le véhicule qui devait le transporter est saisi avec son contenu et 3 personnes raflées. Absolument tout est fait pour annihiler les contestations.

lls ont tous les cinq été placés en garde à vue. Garde à vue prolongée pour 24 heures dimanche midi.

Sur les cinq personnes arrêtées le samedi matin, le parquet a demandé la mise en examen des cinq pour association de malfaiteurs.
Pour deux d’entre eux, il demandait en plus, la mise en examen pour participation à un groupement établi en vue de la préparation de commission d’infraction de violence et de dégradation.

Bilan : les 5 personnes sont libres mais deux sont placées sous contrôle judiciaires.

Les avocats réagissent, ce soir au téléphone Maître Pierre Huriet commente :

Pour nous (les trois avocats), nous pensons que le problème n’est pas le problème de l’action policière ; c’est le parquet qui dirigeait l’enquête, c’est le parquet qui demandait l’ouverture d’informations et la mise en examen de tout le monde, avec pour tous, des contrôles judiciaires qui leur interdisaient de quitter Nantes….On considère qu’ici, on a de la part du parquet de Nantes une dangereuse instrumentalisation des procédures judiciaires, des procédures pénales, pour faire passer des messages au monde militant, et ça, et on tient au terme, c’est quelque chose qui est choquant.

Presse : vers la fin du papier ?

Presse : vers la fin du papier ?

On pourrait bien s’orienter assez rapidement vers la fin de la presse sur papier voire même de certains médias classiques notamment régionaux. Les médias classiques qui résistent le mieux aussi bien sur papier que par voie numérique sont les médias qui apportent une certaine valeur ajoutée comme le Figaro, le Monde, l’équipe ou encore le Parisien. Certes on ne peut sans doute pas comparer le lecteur Figaro,  du Monde à celui du Parisien ou de 20 minutes car la demande d’information est très différente ; relativement approfondie dans un cas et assez superficielle dans l’autre. Près de 60% des Français lisent des articles issus de quotidiens ou de magazines sur leur smartphone. Ils n’étaient que 47% en septembre 2017. Les grandes marques de la presse quotidienne nationale dominent le palmarès mais il faut prendre en compte une consultation de plus en plus importante de sites de second rang mais dont la ligne éditoriale et plus indépendante et plus élaborée. La presse quotidienne nationale domine le classement des marques de presse les plus lues. Les magazines sont en embuscade, mais ils ont subi une érosion de leur lectorat entre avril et juin: -3,7% pour Femme Actuelle (6e avec 18,8 millions de lecteurs), -4% pour Télé Loisirs (même audience, 7e), -6,8% pour Marmiton (14 millions, 9e), -4% pour Voici (13,8 millions, 11e). Du côté des newsmagazines, Le Point a perdu 1,4 million de lecteurs en trois mois pour un total de 9,9 millions. Libération en a aussi perdu 1,2 million, à 8,6 millions de lecteurs. Décrochage également pour Courrier International, avec 1,6 million de lecteurs en moins, à 4,7 millions. A contrario, Public a gagné un million de lecteurs en un trimestre (9,1 millions). C’est la plus grosse progression du panel aux côtés de Sud-Ouest, qui a trouvé 920.000 lecteurs de plus (7,5 millions).

L’Express papier supprimé ?

L’Express papier supprimé ?

 

Sans doute le premier de la liste en effet l’Express est menacé de suppression dans sa version papier. On le sait la crise est générale dans la presse écrite et d’autres titres pourraient bien emprunter le même chemin c’est-à-dire n’exister que sur Internet. Pas sûr cependant que le succès soit assuré car la concurrence est rude sur la toile avec des dizaines voir des centaines de sites qui sont autrement plus pointus et plus pertinents que des grands médias qui ménagent la chèvre et le chou pour ne pas contrarier le pouvoir et les annonceurs. C’est un donc véritable coup de tonnerre qui retentit dans le ciel déjà passablement tourmenté de L’Express. Sollicité par la Société des journalistes de l’hebdomadaire d’actualité propriété du groupe Altice Média, Alain Weill, le patron et créateur de NextradioTV (BFMTV, RMC, RMC Découverte, BFM Business) aujourd’hui lié au groupe Altice, a reçu ses représentants jeudi 2 juin après-midi. Devant eux, Alain Weill, désormais directeur général de SFR Média au sein de SFR Group (PDG Michel Combes) a tenu à marquer sa prise de pouvoir et son autorité : il a annoncé que le PDG Marc Laufer, qualifié au passage d’homme de la restructuration et non du développement, allait quitter ses fonctions. Le rôle de Christophe Barbier à la tête de L’Express n’est pas remis en cause, mais Alain Weill souhaiterait qu’il abandonne la chaine info iTélé, dans laquelle il intervient chaque matin, pour rejoindre BFM TV. Bernard Mourad, notamment en charge des acquisitions, conserverait ses fonctions auprès d’Alain Weill. Contacté par Challenges, le groupe Altice précise que « Marc Laufer, à la demande d’Alain Weill, pilotera les actifs presse dans SFR Média pour assurer le développement des activités presse au sein du grand projet de convergence au sein de SFR ». A l’issue, soit dans quelques mois, Marc Laufer retournera à des projets entrepreneuriaux « comme il en avait convenu avec Patrick Drahi ». Concernant l’hebdomadaire L’Express lui-même, Alain Weil a indiqué qu’il ne croyait pas à l’avenir du papier, qui représente pourtant à ce jour l’essentiel des revenus. Il pense que le titre doit basculer en totalité sur Internet et envisage de repenser l’offre éditoriale du titre dès janvier 2017. La formule actuelle ne date pourtant que de trois mois. En s’appuyant sur son expérience du reformatage réussi de la radio RMC Info, Alain Weill veut centrer L’Express sur quelques thématiques qui feraient la différence face à la concurrence. Il entend constituer un comité de réflexion sur le sujet et ouvrir un chantier éditorial pour mettre en œuvre ce repositionnement stratégique. L’Express, qui vient de réduire d’un tiers les effectifs de sa rédaction, un long parcours de réformes.

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