Archive pour le Tag 'suppression'

Voitures électriques- Une suppression théorique des bonus sur les voitures étrangères

Voitures électriques- Une suppression théorique des bonus sur les voitures étrangères


La France vient de sortir un Décret qui supprimerait les bonus sur les voitures étrangères en particulier en provenance de la Chine. Une décision qui risque d’être remise en question d’abord par l’union européenne qui ne pourra pas tolérer une discrimination à l’intérieur de l’Europe. Ensuite il est vraisemblable que la Chine va aussi saisir l’organisation mondiale du commerce. Et de toute manière ,il faut s’attendre à des mesures de rétorsion vis-à-vis des produits français. Enfin et surtout les mesures restrictives vis-à-vis des voitures étrangères sont relatives puisque seulement environ 40 % des voitures françaises viennent effectivement de France, le reste étant importé du fait de l’écroulement de l’industrie française. Dans les faits, ce sont surtout les voitures chinoises qui vont être subventionnées. D’abord par l’État chinois qui a subventionné massivement l’industrie de la voiture électrique ensuite par l’Europe qui soutient des véhicules en apparence européens mais en réalité construits en partie ou en totalité en Chine.

A noter en particulier que la plupart des batteries viennent de Chine et presque aucun véhicule ne pourra bénéficier de ces 5.000 euros de bonus.

Au-delà des conditions d’attribution du bonus se pose aussi la question de savoir si c’est bien le rôle de l’État de financer des véhicules individuels. Pour des motifs environnementaux, il conviendrait sans doute d’orienter les aides de l’État vers les transports collectifs.

Les conditions d’attribution du bonus sont tellement complexes pour ne pas dire tordues qu’il se pourrait bien qu’aucun véhicule même français ne puisse en bénéficier

Enfin dernière objection évidemment le prix excessif des voitures électriques dans le prix d’achat est à peu près le double de celui d’un véhicule thermique.

La semaine dernière, l’Europe a d’ailleurs lancé une enquête sur les subventions massives de la Chine attribuées à son industrie. Ce bonus marquera une première riposte d’un pays européen face aux protectionnismes chinois et américains. L’Allemagne, autre industrie automobile puissante, ne souhaite pas mettre en place un tel dispositif, craignant une riposte trop forte qui mettrait en danger sa propre industrie.

Une suppression théorique des bonus sur les voitures étrangères

Une suppression théorique des bonus sur les voitures étrangères


La France vient de sortir un Décret qui supprimerait les bonus sur les voitures étrangères en particulier en provenance de la Chine. Une décision qui risque d’être remise en question d’abord par l’union européenne qui ne pourra pas tolérer une discrimination à l’intérieur de l’Europe. Ensuite il est vraisemblable que la Chine va aussi saisir l’organisation mondiale du commerce. Et de toute manière ,il faut s’attendre à des mesures de rétorsion vis-à-vis des produits français. Enfin et surtout les mesures restrictives vis-à-vis des voitures étrangères sont relatives puisque seulement environ 40 % des voitures françaises viennent effectivement de France, le reste étant importé du fait de l’écroulement de l’industrie française. Dans les faits, ce sont surtout les voitures chinoises qui vont être subventionnées. D’abord par l’État chinois qui a subventionné massivement l’industrie de la voiture électrique ensuite par l’Europe qui soutient des véhicules en apparence européens mais en réalité construits en partie ou en totalité en Chine.

A noter en particulier que la plupart des batteries viennent de Chine et presque aucun véhicule ne pourra bénéficier de ces 5.000 euros de bonus.

Au-delà des conditions d’attribution du bonus se pose aussi la question de savoir si c’est bien le rôle de l’État de financer des véhicules individuels. Pour des motifs environnementaux, il conviendrait sans doute d’orienter les aides de l’État vers les transports collectifs.

Les conditions d’attribution du bonus sont tellement complexes pour ne pas dire tordues qu’il se pourrait bien qu’aucun véhicule même français ne puisse en bénéficier

Enfin dernière objection évidemment le prix excessif des voitures électriques dans le prix d’achat est à peu près le double de celui d’un véhicule thermique.

La semaine dernière, l’Europe a d’ailleurs lancé une enquête sur les subventions massives de la Chine attribuées à son industrie. Ce bonus marquera une première riposte d’un pays européen face aux protectionnismes chinois et américains. L’Allemagne, autre industrie automobile puissante, ne souhaite pas mettre en place un tel dispositif, craignant une riposte trop forte qui mettrait en danger sa propre industrie.

Engie contre la suppression des chaudières à gaz !

Engie contre la suppression des chaudières à gaz !

D’une certaine manière Engie est un peu victime de son discours sur la promotion des énergies vertes. Le plus souvent, une illusion. En effet l’électricité verte d’Engie est évidemment celle d’EDF produite à 70 % par le nucléaire. Le gouvernement veut aussi s’attaquer à la pollution du gaz et propose la suppression des chaudières à partir de 2026. NJ entame une campagne de protestation contre cette suppression et propose du gaz vert aussi peu convaincant que son électricité verte. NJ a au moins raison sur un point la suppression brutale des chaudières à gaz va constituer une inégalité supplémentaire en particulier entre la ville et les zones moins denses.

Selon l’énergéticien, adosser des petites pompes à chaleur électriques aux chaudières à gaz existantes, plutôt que de supprimer totalement ces dernières, permettrait d’éviter des milliards d’euros de surcoûts pour le système énergétique. Il demande au gouvernement d’accorder des aides aux ménages modestes pour ce type d’hybridation.

Ainsi, alors que le gouvernement travaille sur une trajectoire impliquant le remplacement de 3 millions de chaudières à gaz entre 2022 et 2030 (soit environ 450.000 chaque année) par des pompes à chaleur électriques (PAC), réputées trois fois plus efficaces, l’énergéticien tricolore propose un tout autre scénario : remplacer ces vieilles chaudières par des chaudières 30% plus performantes (les fameuses THPE) ou par des solutions hybrides.

L’autre grand argument d’Engie repose sur le verdissement du gaz, grâce à la production de biogaz issue en grande partie des méthaniseurs. Alors que le biogaz ne représente aujourd’hui qu’un peu plus de 2% de la consommation totale de gaz en France, le groupe, comme le reste de la filière, assure qu’il pourra représenter 20% de la consommation totale de gaz à l’horizon 2030, puis 100% en 2050. A cette échéance, la consommation de gaz globale sera sensiblement moins importante, en raison de l’électrification des usages et des économies d’énergie.

Or, aujourd’hui, le gouvernement s’interroge sur les conflits d’usage de la biomasse qui peut être utilisée pour la production de biogaz pour les bâtiments et l’industrie mais aussi pour la production de biocarburants afin de décarboner la mobilité lourde. « Même avec des usages importants, on utiliserait que 60% du potentiel de la biomasse totale », se défend Cécile Prévieu, tout en reconnaissant que « tout le monde veut du gaz vert ».

La filière gazière bénéficie aussi du soutien de l’association de consommateurs UFC-Que Choisir, qui se montre très critique sur l’objectif du gouvernement de remplacer plusieurs millions de chaudières à gaz par des PAC électriques. Ce serait « potentiellement très coûteux pour les consommateurs » et son bilan environnemental serait « incertain », a estimé, ce mardi, l’association.

Suppression d ’Anticor : recul des libertés publiques 

Suppression d ’Anticor : recul des libertés publiques 

par
TRIBUNE
Paul Cassia

Professeur de droit public, membre du conseil d’administration de l’association Anticor

Dans une tribune au « Monde », le professeur de droit Paul Cassia, membre du conseil d’administration de l’association Anticor, s’alarme de la « construction illibérale » organisée selon lui par le gouvernement, touche après touche.

Vendredi 23 juin 2023, un contre-pouvoir citoyen est tombé. Le tribunal administratif de Paris a fait disparaître avec effet rétroactif l’arrêté du 2 avril 2021 par lequel l’ancien premier ministre Jean Castex avait renouvelé l’agrément que l’association Anticor possédait depuis 2015 pour saisir un juge indépendant lorsque le procureur de la République, placé sous l’autorité du ministre de la justice, classe sans suite un dossier en matière de probité publique.

Il faut dire que Jean Castex avait mal motivé son arrêté : il a délivré l’agrément tout en faisant savoir, de manière pour le moins curieuse et non étayée, qu’Anticor ne remplissait pas les conditions d’indépendance et de bonne information de ses membres.

Mais de là à ce qu’un tribunal administratif considère d’abord qu’un ex-adhérent a intérêt à agir contre une décision favorable à son association [l’arrêté qui avait renouvelé l’agrément d’Anticor pour trois ans était contesté par deux dissidents de l’association, mais seul l’un d’eux avait vu sa démarche être jugée recevable en justice], puis reprenne sans la vérifier l’affirmation gouvernementale selon laquelle des conditions de délivrance de l’agrément n’étaient pas remplies, et enfin accepte que les dizaines de procédures pénales lancées par Anticor depuis 2021 puissent être remises en cause, il y avait un pas considérable que les juges administratifs parisiens ont franchi.

L’action en justice formée par l’ex-adhérent n’était pas formellement dirigée contre Anticor, mais contre un acte administratif du premier ministre. C’était donc à Matignon de défendre cet acte, ce qui n’a été fait que mollement, sans même que les services du premier ministre plaident au cours des audiences publiques devant le tribunal administratif, comme si la probabilité d’une défaite en justice ne déplaisait pas à l’exécutif.

D’autant que ce dernier, au demeurant, avait la possibilité de rectifier l’agrément tout au long des deux années de procédure devant le tribunal administratif. De fait, au-delà des enjeux juridiques, l’annulation de l’agrément d’Anticor met en lumière un problème politique, un conflit d’intérêts largement dénoncé : pour faire respecter l’état de droit, une association doit obtenir du gouvernement l’autorisation d’agir, alors même que ses actions peuvent agacer le pouvoir.

Carrefour: suppression de 1000 postes


Carrefour prévoit jusqu’à « 979 départs » dans ses sièges en France, « à l’exclusion des magasins et entrepôts », sur « la base du strict volontariat », détaille un communiqué transmis à l’AFP ce lundi. Au cours d’un CSE (instance de représentation du personnel), le distributeur a annoncé à ses partenaires sociaux une « nouvelle organisation des sièges en France ». Celui-ci inclut un plan de départs volontaires dans ses bureaux à Massy (Essonne), Evry (Essonne) et Mondeville (Calvados). Les différentes sources interrogées par l’AFP estiment qu’environ 7.000 personnes travaillent dans les sièges du distributeur.

« Ce n’est pas vraiment une surprise car Alexandre Bompard avait déjà annoncé cette réduction d’effectifs dans les sièges, explique de son côté Bruno Moutry, représentant syndical pour la CFDT au comité de groupe, et salarié au siège de Mondeville. Après l’inquiétude est quand même là quand on entend ce type d’annonces. On sort quand même de 1400 suppressions d’emplois en 2021, 1600 en 2019, donc c’est une continuité dans la réduction des effectifs des sièges. »

Après avoir longtemps été le premier employeur privé de France, avec plus de 110.000 employés, Carrefour emploie 85.000 aujourd’hui dans l’Hexagone. Les syndicats ont dénoncé à plusieurs reprises ces dernières années les suppressions de postes. Ils ont notamment pointé le passage des magasins en location-gérance, une forme de système de franchise dans laquelle Carrefour reste propriétaire du fonds de commerce, décrite comme une casse sociale à bas bruit pour les organisations syndicales.

En novembre 2022, à l’occasion de la présentation de son plan stratégique à horizon 2026 pour le distributeur, son PDG Alexandre Bompard avait, déjà, annoncé un nouveau plan d’« économies de coûts » de l’ordre 4 milliards d’euros passant notamment par « des réductions d’effectifs significatives dans chacun » des sièges européens.

Le PDG du groupe n’avait alors pas donné d’indication sur l’ampleur de ces réductions, indiquant simplement qu’« en Europe, il y a un potentiel énorme de mutualisation à exploiter » et que « tout ce qui doit être mutualisé dans notre organisation va l’être ». Les réductions d’effectifs dans d’autres pays européens n’ont pour l’instant pas été communiquées.

Pourtant, Carrefour a réalisé en 2022 un chiffre d’affaires en hausse de 16% à 90,8 milliards d’euros, et un bénéfice net bondissant à 1,35 milliard d’euros, soit 26% de mieux que l’année précédente. Ses résultats financiers du premier semestre 2023 seront connus le 26 juillet.

(avec AFP)

Les écolos et le maire de de Grenoble veulent la suppression des jours fériés religieux

Les écolos et le maire de de Grenoble veulent la suppression des jours fériés religieux

Les écolos qui ont réussi à se faire élire maire dans les grandes villes se caractérisent par des prises de position de plus en plus anachroniques et fantaisistes. Ainsi le maire de Grenoble propose-t-il de supprimer les jours fériés religieux. (Une majorité des sympathisants des écolos y seraient aussi favorables d’après sondage); Il propose à la place des fêtes de nature plus civile comme par exemple extension du mariage aux personnes homosexuelles. Si les écolos s’écroulent aux prochaines élections, on saura pourquoi ! Le maire de Grenoble serait sans doute mieux de se préoccuper de la sécurité de sa ville qui est une des moins sûres de France.En outre et surtout le maire de Grenoble fait une grande confusion entre la dimension cultuelle et culturelle des jours fériés. Un amalgame qui conduit à une grande confusion sociétale et idéologique.

Sur le réseau social Twitter, l’édile grenoblois a d’abord proposé de supprimer les jours fériés religieux afin de «rendre le calendrier plus pluraliste». Invité par la suite sur BFMTV ce lundi, l’élu EELV a détaillé sa proposition, en plaidant pour la possibilité de choisir ses jours fériés «en fonction des convictions spirituelles».

Éric Piolle s’est prononcé sur ce sujet épineux à la suite des nombreuses absences scolaires constatées le jour de l’Aïd, fête musulmane qui marque la rupture du jeûne du mois de ramadan. «Je rappelle que les élèves et les agents ont le droit d’être absents pour des fêtes religieuses», a notamment tenu à commenter le maire grenoblois.

L’élu écologiste a aussi proposé d’établir de nouveaux jours fériés qui soient «des signes attachés à notre Histoire», évoquant la Commune de Paris, des fêtes liées aux droits de la femme ou des personnes LGBT comme le jour de l’extension du mariage aux personnes homosexuelles, ou encore l’abolition de l’esclavage qui est actuellement férié uniquement dans les départements outre-mer.

Aujourd’hui, les jours fériés sont au nombre de 11 en France, à l’exception de l’Alsace, de la Moselle et des DOM-TOM, en raison de particularismes locaux. Six sont de nature religieuse, les cinq autres commémorent des grandes dates de l’histoire.

démocratie: Pour la suppression de l’article 40 de la constitution

démocratie: Pour la suppression de l’article 40 de la constitution

Jean-François Kerléo

Professeur de droit public dans le Monde
Le juriste plaide, dans une tribune au « Monde », pour qu’un véritable contrôle s’exerce en amont du dépôt des textes.
Les Français (re)découvrent enfin l’existence de leur Parlement, avec la nouvelle dynamique des pratiques insufflée par l’absence de majorité absolue. Les regards se sont braqués de manière inédite sur des procédures bien connues, comme le fameux article 49.3, mais aussi méconnues, tel l’article 40 de la Constitution, brandi par la majorité pour éviter d’avoir à discuter la proposition de loi du groupe LIOT (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires) qui veut revenir sur l’allongement de l’âge légal de la retraite à 64 ans. Longtemps ignorée de l’opinion publique, cette disposition est pourtant centrale pour comprendre la séparation des pouvoirs et la place qu’y tient le Parlement.

Lire aussi la tribune : Article réservé à nos abonnés Eric Coquerel : « Ceux qui brandissent l’article 40 mettent à mal le droit de l’opposition »

L’article 40 interdit à un parlementaire d’imposer ou d’alourdir une charge publique qui ne peut jamais être compensée, au contraire d’une diminution des ressources publiques qui peut, quant à elle, être « gagée » par une augmentation de ressources simultanée. Un grand classique consiste alors à gager le texte par une augmentation de la taxe sur le tabac. Mais, en général, le texte proposé n’entraîne pas une diminution aussi importante des ressources que celle qui découle de l’adoption de la proposition de loi de LIOT, ici environ 18 milliards d’euros. Or, comme l’affirme le Conseil constitutionnel, le gage doit être crédible, suffisant et immédiat, ce qui suppose de respecter une certaine proportionnalité.

Encore faut-il qu’un contrôle soit réalisé, et, à ce sujet, une autre polémique a surgi ces derniers jours. Fruit d’une longue maturation de pratiques, les modalités d’application de l’article 40 ont conduit à accorder un rôle de premier plan au président de la commission des finances. Certes, un contrôle systématique préalable au dépôt d’une proposition de loi est effectué par une délégation du bureau de l’Assemblée, mais la grande tolérance de ce premier filtre pose plus de difficultés qu’elle n’en résout. L’irrecevabilité peut ensuite être soulevée à tout moment, par le gouvernement ou un député. En l’absence de réaction, des textes contraires à la Constitution peuvent donc être adoptés.

Le maire EELV de Grenoble veut la suppression des jours fériés religieux

Le maire EELV de Grenoble veut la suppression des jours fériés religieux

Les écolos si on réussit à se faire élire maire dans les grandes villes ce caractérise par des prises de position de plus en plus anachronique et fantaisiste. Ainsi le maire de Grenoble propose-t-il de supprimer les jours fériés religieux. Il propose à la place des fêtes de nature plus civile comme par exemple extension du mariage aux personnes homosexuelles. Si les écolos s’écroulent aux prochaines élections, on saura pourquoi ! Le maire de Grenoble serait sans doute mieux de se préoccuper de la sécurité de sa ville qui est une des moins sûres de France.

Sur le réseau social Twitter, l’édile grenoblois a d’abord proposé de supprimer les jours fériés religieux afin de «rendre le calendrier plus pluraliste». Invité par la suite sur BFMTV ce lundi, l’élu EELV a détaillé sa proposition, en plaidant pour la possibilité de choisir ses jours fériés «en fonction des convictions spirituelles».

Éric Piolle s’est prononcé sur ce sujet épineux à la suite des nombreuses absences scolaires constatées le jour de l’Aïd, fête musulmane qui marque la rupture du jeûne du mois de ramadan. «Je rappelle que les élèves et les agents ont le droit d’être absents pour des fêtes religieuses», a notamment tenu à commenter le maire grenoblois.

L’élu écologiste a aussi proposé d’établir de nouveaux jours fériés qui soient «des signes attachés à notre Histoire», évoquant la Commune de Paris, des fêtes liées aux droits de la femme ou des personnes LGBT comme le jour de l’extension du mariage aux personnes homosexuelles, ou encore l’abolition de l’esclavage qui est actuellement férié uniquement dans les départements outre-mer.

Aujourd’hui, les jours fériés sont au nombre de 11 en France, à l’exception de l’Alsace, de la Moselle et des DOM-TOM, en raison de particularismes locaux. Six sont de nature religieuse, les cinq autres commémorent des grandes dates de l’histoire.

La suppression des vols intérieurs en France augmente les émissions de CO2 de l’aérien !

La suppression des vols intérieurs en France augmente les émissions de CO2 de l’aérien !

Un curieux plaidoyer en faveur du maintien des lignes intérieures dans le journal la Tribune qui affirme même que la suppression des vols intérieurs augmenterait les émissions de CO2 ! Bref un débat parfois sous influence de certains corporatismes. Surtout avec des arguments très spécieux.

« Ces maigres résultats n’ont rien de surprenant. Ce sont les seules liaisons sur lesquelles existe une alternative ferroviaire en moins de 2h30 comme l’exige la loi, dans la mesure où tous les vols vers Roissy-Charles-de-Gaulle en sont exemptés pour ne pas fragiliser le hub d’Air France.

Si cette loi ne sert donc pas à grand-chose pour lutter contre le réchauffement climatique, « aller plus loin » dans l’interdiction ne contribuera pas davantage à faire baisser les émissions de CO2. Au contraire, elle risque même de les… augmenter. Car, au regard de la valeur stratégique des créneaux de décollage dans les aéroports, du prix des avions qu’il faut rentabiliser et des personnels qu’il faut bien faire travailler, il est évident que les compagnies réaffecteront leur flotte positionnée sur le réseau domestique vers d’autres destinations étrangères moyen-courriers. Avec à la clé non seulement une durée des vols plus importante et par conséquent plus émettrice en CO2, mais aussi une réglementation plus favorable sur la compensation carbone !!! Celle-ci est en effet inexistante sur les vols vers les pays étrangers alors qu’elle est obligatoire sur les vols intérieurs.

Sans réduire dans le même temps le nombre de créneaux de décollage dans les aéroports, comme l’a fait par exemple Amsterdam, supprimer des vols intérieurs n’aura aucun impact sur la baisse des émissions, laquelle, dans tous les cas, ne peut être que très limitée. Le transport aérien intérieur représente 4% des émissions de CO2 en France. Et près de deux fois moins si l’on exclut les vols vers l’Outre-mer. »

« Cette loi n’est donc qu’un leurre pour contenter les opposants à l’aviation sans trop pénaliser un secteur d’activité indispensable à l’activité économique et à l’aménagement du territoire. Pas tant pour relier Paris aux régions françaises, où il va de soi que le train est la meilleure solution, que pour connecter les métropoles régionales entre elles, des axes très mal desservis par la SNCF. »….comme par le transport aérien !

Hausse des prix: Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Hausse des prix: Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Inflation-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Inflation-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 4,6 % en 2022 et continue de baisser en 2023.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Hausse des prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

hausse des prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 4,6 % en 2022 et continue de baisser en 2023.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Nucléaire : suppression du plafond de production à 50% et condamnation la politique de Hollande et Macron

Nucléaire : suppression du plafond de production à 50% et condamnation la politique de Hollande et Macron

On se souvient que Hollande, assisté de Macon,avait massacré la filière nucléaire en fixant la part de cette énergie à 50 % maximum. Un verrou qui vient de sauter à l’assemblée nationale. Et pour cause,cette politique a tué l’avantage énergétique de la France qui a même été contrainte d’importer de l’électricité de l’extérieur.

Avec une mauvaise foi incroyable, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a expliqué qu’elle ne veut «ni plafond ni plancher» sur le sujet. m

Dans le sillage du Sénat, l’Assemblée nationale a supprimé lundi soir l’objectif de réduction à 50% de la part de l’énergie nucléaire dans le mix électrique français d’ici à 2035, lors de l’examen du projet de loi d’accélération du nucléaire. Introduit par le Sénat, l’article adopté en première lecture fait sauter un «verrou» introduit dans la loi en 2015 sous la présidence de François Hollande pour réduire la part du nucléaire, que l’exécutif souhaite désormais relancer.

Avec une hypocrisie lamentable la ministre a déclaré «J’étais très heureuse d’avoir contribué au discours de Belfort» d’Emmanuel Macron, consacré notamment à la relance du nucléaire en février 2022, mais la loi en cours d’examen «est supposée être une loi technique» d’accélération, pas une loi de programmation sur le mix énergétique.

La ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a expliqué qu’elle ne veut «ni plafond ni plancher» sur le sujet, alors que l’énergie nucléaire représente environ 70% de la production d’électricité habituellement, mais seulement 63% en 2022 en raison des arrêts de plusieurs réacteurs pour corrosion.
________________________________________
À VOIR AUSSI – «La loi nucléaire révèle une prise de conscience de l’échec de l’anti-nucléarisme»

12345...13



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol