Archive pour le Tag 'Caisse'

Fin des tickets de caisse : une arnaque ?

Fin des tickets de caisse : une arnaque ?


La ministre déléguée au Commerce Olivia Grégoire qui ne sert décidément à rien prend cependant une décision idiote en confirmant la fin en août de l’impression systématique des tickets de caisses. Et d’ajouter l’hypocrisie à l’incompétence « La ministre avait souhaité un report au moment où l’inflation des prix en grandes surfaces était au maximum. (Or) depuis plusieurs semaines, on observe un reflux de l’inflation », a expliqué le cabinet d’Olivia Grégoire, reconnaissant que l’inflation « reste très élevée » mais assurant que le reflux « va se poursuivre » !

Le ticket de caisse pour les biens de consommation courants dans les grandes surfaces constitue pourtant un outil de gestion essentielle des budgets notamment les plus modestes. Il s’agit en effet de la dépense la plus importante des ménages après le loyer. Faute de ticket, il est clair que certains vont en profiter pour glisser des hausses injustifiées comme c’est le cas depuis l’envolée de l’inflation. Plusieurs associations de consommateurs, dont l’UFC-Que Choisir et Familles rurales, avaient rappelé que ce ticket est « un outil de gestion du budget familial » de nombreux ménages, qui permet de « vérifier l’exactitude du montant de la transaction ».

La facturette ne va pas disparaître: les clients qui le souhaitent pourront toujours demander son impression, pour lever un doute sur un prix par exemple. Dans certains cas, un ticket reste imprimé systématiquement: au restaurant ou à l’hôtel, quand la garantie doit être rappelée sur le ticket (pour de l’électroménager ou de la téléphonie par exemple), pour les opérations annulées ou encore quand le ticket concerne une prestation de services (coiffeur, garagiste…) d’un montant supérieur à 25 euros.

Fin mars, l’association Perifem qui réunit les acteurs de la distribution autour de questions énergétiques ou environnementales estimait que les Français sont « encore plus de la moitié à dire vouloir demander un ticket sous format papier ».

Hausse des prix: Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Hausse des prix: Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Inflation-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Inflation-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 4,6 % en 2022 et continue de baisser en 2023.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Hausse des prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

hausse des prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 4,6 % en 2022 et continue de baisser en 2023.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

CFDT: une caisse de grève de 140 millions

CFDT: une caisse de grève de 140 millions

Depuis 1973, la CFDT dispose d’une caisse de grève pour compenser en partie à ses adhérents les pertes liées aux arrêts de travail. Cette caisse est alimentée par une partie des cotisations.

En 2023, le premier syndicat de salariés du privé dispose d’un trésor de guerre de 141 millions d’euros pour soutenir ses adhérents en cas de grève.

La CFDT dispose de quoi verser à ses 600 000 adhérents une compensation financière équivalant à 86 % du SMIC pendant 7 jours de grève. Les conditions sont claires : il faut être adhérent, avoir cotisé depuis plus de six mois, ne pas seulement être inscrit au début d’un conflit et avoir passé plus de sept heures à faire la grève.

La compensation s’élève à 7,70 euros de l’heure. Quant aux nouveaux membres, ils ne peuvent que recevoir la moitié de la somme. Mais cette assistance financière a des limites mais elle peut être très utile dans le cas de conflit Locaux.

Pour l’heure, la CFDT est pleinement engagée contre la réforme des retraites. Plus d’un million de manifestants se sont mobilisés en France, jeudi 19 janvier, alors que le temps semble jouer pour l’exécutif. Les syndicats, unis, ont appelé à une nouvelle journée de grève pour le 31 janvier.

Un influenceur youtubeur disparaît avec la caisse des cryptomonnaies

Un influenceur  youtubeur disparaît avec  la caisse des cryptomonnaies

 

Encore plusieurs centaines de personne arnaquées par un influenceur de placements de cryptommonnaies sur internet.

Sous le pseudo « Crypto Gouv », l’homme « a créé une chaîne Youtube dans laquelle il proposait des explications sur la manière d’investir en commun dans des projets en cryptomonnaie et NFT sur Discord et Telegram » (deux applications de messagerie), explique à l’AFP l’avocat au barreau de Lyon.

L’enquête, ouverte notamment pour escroquerie, a été confiée à la section de recherche de Paris.

Les arnaques au cryptomonnaies ont le vent en poupe. Selon les régulateurs AMF et ACPR, en charge de la protection des épargnants, les arnaques aux cryptos explosent, avec un préjudice moyen qui a doublé en quelques mois, de 20.000 à 40.000 euros.

Pour opérer en France, une entreprise doit faire la demande du statut « PSAN » (prestataire de services sur les actifs numériques) auprès de l’AMF (Autorité des marchés financiers).

Autre fléau dans le monde des cryptomonnaies, celui du blanchiment d’argent via ces nouveaux réseaux. En particulier dans le secteur de la Finance Décentralisée (DeFi), celui aurait cru de 263% au cours des deux premiers trimestres 2022, selon les données de CryptoMonday.

En 2021, les escroqueries aux cryptomonnaies ont atteint 7,7 milliards de dollars dérobés dans le monde, soit une augmentation de 81% par rapport à 2020 – année en fort recul pendant la pandémie par rapport à 2019, selon le cabinet Chainalysis.

 

Vue de Paris : »La France des territoires va mieux  » (Eric Lombard, DG de la Caisse des dépôts )

Vue de Paris : »La France des territoires va  mieux  » (Eric Lombard, DG de la Caisse des dépôts )

Le directeur général de la Caisse des dépôts et consignations ouvre dans un livre-témoignage les portes et les fenêtres sur les mutations de la finance au regard de ses quatre ans passés à la tête de l’institution plus que bicentenaire de la rue de Lille. Il affirme que la France des territoires va mieux… sans doute vue de Paris; En effet, globalement nous assistons plutôt un phénomène de désertification du territoire en dehors des grandes métropoles. 

 

La  caisse de dépôt gère notamment une grande partie de l’épargne notamment du livret A rémunéré aujourd’hui à 1 % quand l’inflation a atteint 3 % sur un an en 2021 et qu’elle progressera encore au minimum de 3,5 % sur un an d’ici la moitié de 2022. De quoi faciliter la gestion de la caisse de dépôt au détriment des épargnants  ! NDLR

 

 

 

Vous racontez dans « Au cœur de la finance utile, à quoi sert votre épargne ? », publié ce mois-ci aux Editions de l’Observatoire, votre expérience de quatre années à la tête de la CDC. Ce livre est un appel pour un second mandat à l’issue de la présidentielle ?

ERIC LOMBARD : Ce n’est pas l’objectif de ce livre. J’ai été nommé par le président de la République sur un projet. Si Emmanuel Macron est rééluil faudra penser la suite du projet pour la Caisse. En revanche, j’ai voulu expliquer le rôle de la Caisse des Dépôts, car c’est le Livret A, c’est l’argent des Français et cela nous oblige. Et la CDC a beaucoup changé, j’ai aussi voulu le montrer.

On a coutume de dire qu’une chatte n’y retrouverait pas ses petits…

Quand je suis arrivé, c’était encore vrai pour un directeur général ! Venu du privé, d’une grande entreprise du secteur de l’assurance, j’ai découvert qu’il existait vingt directions qui rapportaient au directeur général, sans compter les présidents de filiales. Tant est si bien qu’il y avait des réunions à près de trente personnes. C’est pourquoi très vite, j’ai poussé pour que nous fassions quelque chose de plus opérationnel regroupant quatre métiers et en créant cinq fonctions transversales. En cinq ans, nous avons triplé le bilan du groupe. De 400 milliards d’euros, il avoisine désormais les 1.200 milliards d’euros, notamment depuis le rapprochement entre CNP et La Poste.

Vous dénoncez dans le livre les dérèglements du capitalisme et la montée des inégalités. La situation s’est aggravée avec la crise du Covid, selon vous ?

Depuis la crise financière de 2008 et au cours de la dernière décennie, on a assisté à un déséquilibre croissant dans la répartition des richesses qui est devenu aujourd’hui massif et constitue selon moi un frein et un danger pour la stabilité économique. Cela vient du fait que la rentabilité du capital est excessive, au regard de celle du travail. L’équilibre social qui a permis les 30 Glorieuses est rompu et les intérêts des managers sont désormais alignés sur le monde de la finance. Les investisseurs financiers ont continué de réclamer des rendements de 8 à 10% dans un monde de taux zéro voire négatifs.

Caisse de retraite : bientôt à sec

Caisse de retraite : bientôt à sec

 

Comme c’était prévisible le régime général des retraites risque de connaître des graves difficultés financières. En réalité on s’est peu préoccupé de l’équilibre démographique pendant très longtemps et ce n’est qu’en 99 qu’on a commencés à percevoir les conséquences du papy boom. Ce n’est qu’à cette date qu’un fonds de réserve a été constitué en. Un fonds de réserve dont les actifs représentent environ 35 milliards mais dont 15 milliards seulement seront mobilisables en 2025.  Une goutte d’eau  quand on sait qu’il faut financer la retraites d’environ 13 millions de personnes dont la retraite du régime général est de l’ordre de 1000 euros. (Soit 150 milliards par an !) Bref en cas de dérive des fiances du régime génal pas de quoi financer un mois de retites ! Le fond de réserve pour les retraites (FFR) constitué en prévision du “papy-boom” ne pourra que très marginalement éponger le déficit du régime général, selon des prévisions du Conseil d’orientation des retraites (COR), publiées jeudi. Le FRR, qui a été crée en 1999 en prévision de l’arrivée massive des générations du “baby-boom” d’après-guerre à la retraite à partir de 2020, était doté d’une valeur d’actifs de 36 milliards d’euros à la fin de 2016. Mais il est “largement sous-dimensionné face aux déficits restant à couvrir”, selon le COR pour qui ce résultat n’est “pas surprenant” vu qu’on lui a retiré en 2010 ses sources de financement et détourné de son objectif premier. Alimenté à la base par des prélèvements sociaux ainsi que, entre 2000 et 2006, les excédents de la CNAV (Caisse nationale d’assurance vieillesse), il n’a plus d’autres sources de financement depuis la réforme des retraites de 2010 que le fruit de ses placements, dont le rendement annuel moyen est de 4,2%. Le FRR verse par ailleurs chaque année depuis 2011 et jusqu’en 2024 (date à laquelle il n’a plus d’objectif), 2,1 milliards d’euros à la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) pour éponger les déficits des organismes chargés d’assurer les prestations du régime de base de l’assurance vieillesse.

Banque Populaire et Caisse d’Epargne: 11.000 suppressions d’emplois

Banque Populaire et Caisse d’Epargne:  11.000 suppressions d’emplois

François Pérol, le président du groupe, prévoit  11.000 départs – à la retraite ou liés à la rotation « naturelle » des effectifs – dans les années à venir au sein des Banques Populaires et des Caisses d’Epargne et au remplacement d’un peu moins de deux départs sur trois. Des suppressions qui s’inscrivent dans le scénario catastrophe générale des banques en matière d’emplois. Un secteur qui pourrait connaître le sort de la sidérurgie ou presque. En cause l’insuffisance de rentabilité des activités bancaires. Le taux de rentabilité des activités de dépôt est plombé par le coût de main-d’œuvre (notamment nombre  d’agences et personnel) Il est par ailleurs menacé par la future existence de nouveaux moyens de paiement et la dématérialisation de certaines opérations mais le second volet de l’activité des banques, l’activité d’investissement souffre aussi d’un manque de retour financier lui aussi très gourmand en personnel. Dans un premier temps est donc probable que les banques européennes devront s’aligner si les critères de gestion des banques américaines qui ont supprimé près de 7 % des postes quand les banques européennes n’ont supprimé que 4 %. À plus long terme c’est peut-être l’existence même des les activités bancaires en tout cas leur structure actuelle qui pourrait être en cause et engendrer jusqu’à la moitié des emplois existants d’ici 10 ans. Les réductions d’effectifs vont devoir encore s’accentuer et s’accélérer si le secteur bancaire européen veut améliorer sa rentabilité et se rapprocher des niveaux atteints par les banques américaines, estiment des investisseurs. « Nous interprétons les suppressions de postes comme le signe d’un changement structurel et pas seulement conjoncturel vers des banques de plus petite taille », a dit Jamie Clarke, qui codirige la recherche macroéconomique de la société de gestion Liontrust. Moins d’un tiers des banques de la zone euro présentaient une structure leur permettant d’espérer dégager une rentabilité satisfaisante sur la durée contre 80% des banques américaines, selon une étude sur 300 grandes banques internationales publiée l’année dernière par le Fonds monétaire international. « Les banques américaines ont presque toutes fait ce qu’il y avait à faire et sont sur une pente ascendante », dit Chris Wheeler, analyste sur le secteur bancaire chez Atlantic Equities. La baisse des effectifs peut certes résulter de cessions d’activités en bloc sans se traduire nécessairement pas des destructions d’emploi. Mais les changements technologiques poussent les banques à fermer des agences ou à migrer vers des systèmes moins intensifs en main-d’œuvre. « Nous sommes dans un marché durablement baissier pour l’emploi dans le secteur bancaire parce que nous voyons que la technologie et l’automation détruisent finalement des postes dans la banque de détail », dit à Reuters Xavier VanHove, associé de la société de gestion THS Partners. De nombreuses banques européennes sont en pleine réflexion sur le sort de leurs activités de banque d’investissement avec des activités de marché particulièrement sur la sellette car gourmandes en fonds propres et aux marges comprimées par les évolutions technologiques. Pour BCPR cela se traduira  par une réduction de ses caisses régionales, qui passeront au maximum à douze pour Banque Populaire (contre quinze actuellement) et à quatorze pour Caisse d’Epargne (contre 17 aujourd’hui). Dans le cadre de cette feuille de route, BPCE compte s’appuyer sur le numérique pour améliorer sa relation avec les clients. En cela, il prend un virage similaire à celui de la plupart de ses concurrents, qui ont tous mis l’accent sur cette dimension technologique pour les années à venir alors que les clients viennent de moins en moins en agence. Sur la période 2017/2020, il va investir 750 millions d’euros pour accélérer ses développements numériques, au cœur desquels la jeune pousse Fidor, banque en ligne acquise en 2016, doit tenir une place centrale.

 

Deux ans de prison ferme pour Guéant pour avoir tapé dans la caisse

 

Deux ans de Prison ferme pour Guéant pour avoir tapé dans la caisse

 

En clair Guéant a tapé dans la caisse des fonds secrets. Il est donc condamné en appel à deux ans de prison.  .Il s’agit de l’affaire des 10 000 euros mensuels reçus de fonds secrets par Guéant ; une affaire pas très claire  (pas plus que la vente de la vente par Guéant  de deux tableaux  à 500  000 euros à un intermédiaire malaisien !)    Guéant a perçu des primes de cabinet en espèces alors qu’il dirigeait le cabinet de Nicolas Sarkozy place Beauvau. »Il s’est expliqué longuement sur ce système qui existait depuis 1926, et qui concernait au ministère de l’Intérieur jusqu’à 400 personnes », avait explique son avocat. Selon lui, Claude Guéant a détaillé aux enquêteurs comment, lorsque Lionel Jospin avait mis fin à l’utilisation des fonds spéciaux pour les primes de collaborateur de cabinet, le ministère de l’Intérieur « a maintenu l’exception ». « À l’Intérieur, il a fallu trois ans pour mettre les choses à niveau. On ne pouvait pas dire aux gens, du jour au lendemain, que leur traitement était amputé. Les dotations de l’État pour compenser ces pertes de revenus sont passées de 434.000 euros en 2002 à une somme de l’ordre d’1,3 million d’euros en 2005. Entre-temps, le ministère de l’Intérieur, privé de fonds spéciaux, a assuré la transition par ses frais d’enquête et de surveillance (FES) », avait dit son  l’avocat. Claude Guéant recevait tous les mois une enveloppe de l’ordre de 10.000 euros en espèces puisés des FES de la police et versée par Michel Gaudin, alors directeur général de la police nationale. Ce dernier a confirmé le montant lors de sa garde à vue simultanée. Claude Guéant aurait admis avoir conservé pour lui environ 4.000 euros mensuels au titre des compléments de salaires, de 2002 à 2004. Il a également déclaré avoir « redistribué » les 6.000 euros restants entre plusieurs autres membres du cabinet dont le directeur de cabinet adjoint, le délégué police et le chef de cabinet. Interrogés par les enquêteurs préalablement à la garde à vue de Claude Guéant, Daniel Canepa, ancien directeur adjoint, Jacques Lamotte, ancien contrôleur général des services actifs de la police nationale, et Michel Camux, ancien chef de cabinet de Nicolas Sarkozy, auraient bel et bien confirmé avoir reçu des espèces.. Rappelons qu’l y a eu aussi l’affaire sur sa vente suspecte de tableaux, cédés 500.000 euros en 2008 à un avocat de Malaisie, quelques semaines avant l’achat d’un appartement parisien. Selon plusieurs experts, les deux tableaux d’un peintre flamand du XVIIe ont été largement surévalués. « Nous avons remis aux enquêteurs une expertise qui démontre que la vente de ces deux toiles s’est faite à un prix raisonnable », avait réplique l’avocat du ministre. Enfin, autre dossier, celui de l’arbitrage de Bernard Tapie dans le volet Adidas. Notons enfin que Guéant a aussi été entendu et mis en garde à vue dans l’affaire Tapie où il est intervenu.

EDF-RTE : jeu d’écriture avec la Caisse des Dépôts

EDF-RTE : jeu d’écriture avec  la Caisse des Dépôts

Pour alléger l’endettement d’EDF l’État consent à opérer un jeu d’écriture qui consiste à vendre la moitié de filiale RTE (réseau de transport d’électricité) à la Caisse des Dépôts (CDC), avec laquelle il était en négociations exclusives. Une sorte de jeu d’écriture à l’intérieur des structures étatiques puisque la caisse de dépôt dépend de l’Etat. De toute manière légalement RTE ne pouvait être vendue qu’à un acteur public. Pas sûr cependant que cette  opération soit suffisante à la fois pour désendetter EDF et pour lui permettre de faire face à ses énormes investissements. Il faut d’abord apurer une énorme dette de 40 milliards, ensuite trouver 50 milliards pour les travaux permettant de prolonger la durée de vie du parc nucléaire actuel. Financer aussi au moins en partie les 25 à 50 milliards du site d’enfouissement des déchets nucléaires de Bure en Moselle enfin faire face à un besoin de financement de 200 milliards à terme pour le renouvellement du parc nucléaire. En clair EDF ne pourra jamais faire face seule à ces défis mêmes avec une augmentation régulière du prix de ‘l’électricité  (il est prévu une augmentation moyenne de 2,5 % par an  pendant plusieurs années) ou par des seules suppressions d’effectifs. Dans l’opération de vente de la moitié de RTE à la caisse de dépôt EDF pourra récupérer seulement 4 milliards d’euros Les montants évoqués pour: la valorisation totale de RTE avait a été fixée à 8,45 milliards d’euros, soit 1,5 milliard de plus que les premières propositions au début des négociations. Une très légère variation a cependant été enregistrée puisque dans l’intervalle, le tarif d’utilisation des réseaux – le Turp 5, qui fixe les conditions de rémunération des réseaux de transport et de distribution pour la période 2017-2021 – a été fixé. A l’arrivée, dans le cadre de la cession de 49,9% de RTE, EDF va percevoir un peu plus de 4 milliards d’euros. L’ouverture du capital de RTE entre dans le cadre du programme de cessions prévu par EDF – 10 milliards d’euros à l’horizon de 2020 – dédié à la réduction de son endettement et au financement de plusieurs lourds investissements. L’électricien doit racheter Areva NP, le pôle réacteurs et services d’Areva dans le cadre de la restructuration de la filière nucléaire française. Il mène également un programme de modernisation de ses centrales nucléaires – «le grand carénage» – et prévoit enfin de construire deux réacteurs de nouvelle génération EPR en Grande-Bretagne.

La caisse noire de l’UIMM : pour qui ?

La caisse noire de l’UIMM : pour qui ?

 

Procès en appel pour la caisse noire de l’ UIMM qui servait à fluidifier les relations sociales avec de l’argent liquide. Visiblement il y avait quelques fuites.  Les syndicats ont-ils bénéficié de la caisse noire du patronat ? L’ex-patron Denis Gautier-Sauvagnac et trois cadres de l’UIMM, la puissante fédération de la métallurgie, sont rejugés en appel à partir de lundi pour le détournement de millions d’euros destinés. En première instance, Denis Gautier-Sauvagnac avait créé la surprise à l’audience en désignant clairement les syndicats représentatifs comme les bénéficiaires de ces enveloppes d’argent liquide, mais sans en apporter la preuve. En réplique, les responsables CGT, CFDT FO et CFTC l’avaient mis au défi de donner des noms, Laurent Berger (CFDT) s’interrogeant sur ce que cachait ce « syndicalisme bashing » consistant pour le patronat à désigner « à la vindicte populaire les syndicats ». Retraits d’importantes sommes d’argent liquide, destruction des traces comptables, omerta sur les bénéficiaires… Au centre du procès, qui se tiendra jusqu’au 4 novembre, figure l’une des plus anciennes et influentes fédérations patronales françaises, l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM). Regroupant les puissantes entreprises de l’automobile, du nucléaire, comme de la construction navale, aéronautique ou ferroviaire, elle est prépondérante dans les négociations sociales et l’élection du patron des patrons français. Parmi les prévenus rejugés en appel figurent un de ses anciens patrons, Denis Gautier-Sauvagnac, condamné en première instance à trois ans de prison dont un ferme et 375.000 euros d’amende, et l’UIMM en tant que personne morale, condamnée à 150.000 euros d’amende. Dans ses attendus, le tribunal avait estimé que M. Gautier-Sauvagnac avait eu « une participation centrale, en connaissance de cause et pendant des années », au fonctionnement d’un « système occulte de distribution d’importants fonds en espèces ».  Les trois autres cadres de l’époque appelés à comparaître sont Dominique de Calan, délégué général de l’UIMM condamné à un an avec sursis et 150.000 euros d’amende en première instance, Dominique Renaud, chef comptable condamnée à huit mois avec sursis, et Jacques Gagliardi, cadre condamné à six mois de prison avec sursis.

 

 

Montebourg nommé vice-président d’Habitat ….et Macron guichetier à la Caisse d’Epargne ?

Montebourg nommé  vice-président d’Habitat ….et Macron guichetier à la Caisse d’Epargne  ?

 

Montebourg reconverti vice président d’ une  marque de meubles, chez « Habitat ». On espère évidemment qu’il ne va pas couler la société dont la gestion n’est déjà pas florissante. Après les départementales nombre d’anciens élus PS devront aussi envisager leur reconversion.  On parle pour Ségolène d’un poste dans un élevage de grenouilles, pour Marisol Touraine d’une  place dans une société vétérinaire, pour Valls dune fonction  d’aboyeur sur France 2 dans l’émission de Patrick Sébastien et pour Hollande, le gourmand, d’uen responsabilité comme goûteur chez Mc Do. Seul le p’tit Macron semble s’en sortir honorablement compte tenu de son double passé de banquier et de ministre, il pourraiat obtenir une  place de guichetier à la Caisse d’Epargne. Bref des talents justement récompensés en fonction de leurs mérites. . Comme celui de Montebourg qui a pourtant confondu «  made in France » avec  « fabriqué en France ». Pas seulement uen question de sémantique mais d’équilibre de la balance commerciale. (Avec «  made in France », on peut  doubler au moins le prix d’une  marchandise fabriquée à l’étranger, » Fabriqué en France » « c’est lorsqu’effectivement la plus grand partie est physiquement conçue en France.  Arnaud Montebourg L’ancien ministre de l’Economie a été nommé vice-président du conseil d’administration d’Habitat, a indiqué jeudi Cafom, la maison-mère de la chaîne d’ameublement, confirmant une information du Monde.  « Je vous confirme que M. Montebourg arrive en tant que vice-président chez Habitat. A priori, cela prend effet dès aujourd’hui », a également déclaré à l’AFP un représentant de l’enseigne.  Arnaud Montebourg sera plus précisément en charge de l’innovation, indique Cafom dans un communiqué. « Cette nomination s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement d’Habitat mise en oeuvre depuis sa reprise en 2011 par le groupe Cafom.  Cette stratégie vise à imposer durablement Habitat comme un porte-drapeau de l’excellence française en matière de design », explique le communiqué. « J’ai rencontré Arnaud Montebourg au moment où nous annoncions le rapatriement en France de la production d’une partie de nos collections. Nous partageons un certain nombre de valeurs et souhaitons tous les deux faire rayonner la marque France à l’international », a expliqué Hervé Giaoui, président de Cafom et d’Habitat, cité dans le communiqué.   »Il y a des gens qui m’ont dit: attention, tu vas faire une com’ très négative », a-t-il poursuivi, cette fois au micro de BFM Business. « Mais ce n’est pas un plan com’. L’intérêt, c’est d’avoir quelqu’un à mes côtés qui a envie de réussir. Je pense qu’Arnaud Montebourg a envie de prouver qu’il est capable d’entreprendre, et cela m’a beaucoup plu. Je vais pouvoir compter sur quelqu’un qui s’investit à fond ».   »Habitat est une marque capable de porter haut les couleurs du Made in France. Je suis très heureux de rejoindre Hervé et ses équipes et enthousiaste à l’idée de contribuer à accélérer la politique d’innovation de cette marque emblématique », a quant à lui déclaré l’ancien locataire de Bercy, lui aussi cité dans le communiqué.  Cafom, maison-mère d’Habitat, a réduit ses pertes en 2014, passant de -4,9 millions en 2013 à -0,2 million. Son chiffre d’affaires a progressé de 3% à 371 millions d’euros. Habitat possède 27 magasins en France. L’enseigne est aussi présente en Espagne et en Allemagne.

 




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