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Hausse des prix: Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Hausse des prix: Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Inflation-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Inflation-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 4,6 % en 2022 et continue de baisser en 2023.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Hausse des prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

hausse des prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 4,6 % en 2022 et continue de baisser en 2023.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Prix-Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

Le scandale de la suppression du ticket de caisse papier

La suppression du ticket de caisse papier constitue un véritable scandale surtout au moment où l’inflation s’envole pour l’achat de l’alimentaire. La hausse des prix a déjà atteint plus de 15 % et elle devrait aller jusqu’à 20 à 25 % d’après les distributeurs eux-mêmes. Or jamais des consommateurs n’ont été aussi regardant sur leurs dépenses pour tenter contrôler leur budget dans ce domaine. Pour preuve la consommation a diminué de 2 %.

Cette mesure prise au nom de l’écologie est à la fois ridicule et scandaleuse car le ticket de caisse représente nettement moins de 1 % des emballages totaux d’un achat moyen.

C’est évidemment un énorme cadeau aux distributeurs pour permettre de masquer l’envolée des prix dans le secteur. concerne également les tickets de cartes bancaires et les bons d’achat. Devant initialement entrer en vigueur le 1er janvier 2023, elle avait de nouveau été reportée au 1er avril.

Le gouvernement avait une nouvelle fois repoussé l’échéance fin mars, sans avancer immédiatement une nouvelle date. Ce sera donc finalement le 1er août, selon un décret publié samedi au Journal officiel.

Dimanche dernier, le cabinet d’Olivia Grégoire, ministre déléguée au Commerce, avait assuré que le nouveau report ne remettait «pas du tout en question le bien-fondé de cette mesure de bon sens» mais relevait d’une décision «pragmatique», adaptée au «contexte» inflationniste.

La fin de l’impression systématique des tickets de caisse à l’issue d’une transaction commerciale – sauf demande explicite du client – découle de la loi «anti-gaspillage et économie circulaire», votée en 2020.

Des associations de consommateurs comme l’UFC-Que Choisir et Familles rurales ont émis de nombreuses réserves face à la suppression annoncée du ticket de caisse. Selon le texte du décret, les tickets faisant état d’une opération bancaire annulée, soumise à un régime de pré-autorisation ou faisant l’objet d’un crédit devront toujours être imprimés automatiquement. Ne sont pas concernés aussi les tickets mentionnant la durée d’une garantie légale.

Fin du ticket modérateur ?

Fin du ticket modérateur ?

Abolir le ticket modérateur à l’hôpital, et offrir aux patients des soins remboursés à 100 % par l’Assurance-maladie. Cette idée, qu’avait déjà défendue le directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, Martin Hirsch, en janvier 2017, revient sur le devant de la scène à la faveur du Ségur de la santé . Le directoire de l’AP-HP, qui réunit les représentants de la communauté médicale, les doyens des facultés de santé et les dirigeants du groupe, l’a inscrite dans sa contribution pour la réforme du système de santé. Elle a été rédigée « après un échange avec les représentants médecins de l’Union régionale des professionnels de santé » (URPS), précise ce document qu’ont pu lire « Les Echos ».

Pourquoi vouloir écarter les complémentaires du champ des remboursements hospitaliers ? D’abord parce que tout le monde n’est pas assuré, si bien que certains patients doivent supporter des restes à charge élevés. L’AP-HP a mené une étude sur 200 dossiers Covid-19 tirés au sort, et constaté qu’un tiers d’entre eux n’étaient financés qu’à 80 % par l’Assurance-maladie, avec en moyenne 1.150 euros à la charge du patient ou de sa mutuelle. Un montant qui peut dépasser 10.000 euros lors d’un passage en réanimation - il n’y a pas de dispense de ticket modérateur.

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