Archive pour le Tag 'présidentielle'

Roumanie : la Cour constitutionnelle annule l’élection présidentielle sous influence russe

Roumanie : la Cour constitutionnelle annule l’élection présidentielle  sous influence russe

 la Cour constitutionnelle « annulé la totalité » du scrutin présidentiel afin de « s’assurer de sa validité comme de sa légalité », et demande à ce que « l’intégralité du processus électoral » soit reportée. L’avant-veille, le président Klaus Iohannis avait dénoncé  l’utilisation du réseau social TikTok dans la campagne et pointait du doigt des ingérences russes. Elena Lasconi, la candidate de centre droit, a déploré une décision « illégale et immorale » qui « bafoue la démocratie »

La Cour a fait savoir qu’une nouvelle date de scrutin serait communiquée ultérieurement tandis que le mandat du chef de l’État, initialement censé s’achever le 21 décembre, sera prolongé jusqu’à ce que son successeur prenne ses fonctions.

Présidentielle -Lucie Castets et Marine Tondelier : Un appel indirect à la candidature de Mélenchon !!!

Présidentielle -Lucie Castets et Marine Tondelier : Un appel indirect à la candidature de Mélenchon !!!

 

Les deux responsables nationales qui en réalité ne pèsent  pas  lourd au plan politique lancent  un appel pour une candidature unique de toute la gauche qui n’est autre qu’un soutien indirect à Mélenchon ! Toujours avec un discours surréaliste type gauche bobo. ( Interview dans la Tribune ) 

Vous lancez aujourd’hui un appel à l’ensemble de la gauche à « organiser et construire un projet commun ». N’est-ce pas utopiste ?

LUCIE CASTETS – Nous voulons réunir le plus largement possible la société civile, des associations, les mouvements politiques qui se créent, les partis existants, mais aussi des élus locaux, des étudiants, des chefs d’entreprise, etc. Il faut donner au Nouveau Front populaire un nouvel élan et un espace. Nous souhaitons créer comme une maison commune aux citoyens et aux partis politiques. Notre objectif est de rassembler le plus largement possible, sans aucune exclusive, pour se remettre au travail. Notre appel est une déclaration d’amour au NFP ! Nous souhaitons continuer à alimenter notre projet en allant sur le terrain. En soulevant ce capot, nous allons faire venir des gens beaucoup plus largement que ceux déjà très politisés à gauche.

MARINE TONDELIER – Le NFP, on y contribue activement, on le porte, on l’aime, et ce sont les raisons pour lesquelles nous sommes très lucides sur ses forces mais aussi sur ses quelques faiblesses. Des personnes aimeraient pouvoir s’y engager mais ne trouvent pas forcément ni la porte d’entrée ni leur place. Pour des syndicalistes, des personnes issues de la société civile, des citoyens tout simplement, il y a parfois une envie de contribuer activement, mais le NFP n’offre pas aujourd’hui cette possibilité. Notre appel n’est pas une initiative concurrente du NFP mais vise à l’élargir, à le prolonger, à l’ancrer. Nous devons renforcer sa faculté à pouvoir gagner la prochaine élection présidentielle et à faire face à tous les défis qui ne manqueront pas de se poser à nous dans les semaines et mois qui viennent. La vie politique française est devenue tellement imprévisible qu’il va falloir être prêt tout le temps. Considérez que nous avons prévu que notre camp le soit !

Vous lancez l’idée d’une « candidature commune » avec une condition : ne pas « placer tel ou tel nom comme préalable ».

L.C. – Le seul prérequis, c’est de ne pas partir avec un seul nom en tête, ne pas avoir son candidat ou son écurie, pour commencer à travailler. Sinon, on a déjà perdu.

M.T. – Cette initiative n’appartient à personne, pas même à nous ! Nous sommes depuis le début dans un état d’esprit collectif et unitaire, en respectant la diversité et l’identité des uns et des autres. Alors sans doute que toute initiative comporte une part de risque, mais celui de ne rien faire serait bien plus grand. Ce ne serait conforme ni à nos tempéraments ni à la hauteur du moment.

Il faut passer à l’action sans attendre le truc idéal. Sinon, l’histoire s’écrira sans nous.

 

Quel est le risque à lancer cet appel ?

M.T. – Déjà, nous sommes deux femmes [Rires.] L’expérience nous a malheureusement appris ce que ça provoquait par principe chez certains. On a appris à faire avec ! Mais surtout, cela fait des semaines que tout le monde bute sur plusieurs questions : d’où l’impulsion doit-elle venir, qui, quand, comment, dans quel périmètre de base ? Beaucoup de discussions ont eu lieu, et avec Lucie nous en sommes arrivées à la conclusion que maintenant, il fallait passer à l’action sans attendre le truc idéal sur lequel tout le monde serait parfaitement d’accord. Sinon, l’histoire s’écrira tout simplement sans nous, et la gauche et les écologistes seront condamnés à voir les trains passer.

Est-ce aussi un message envoyé aux Insoumis, pour qui la candidature de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle relève toujours de l’évidence ?

M.T. – Chacun a le droit d’avoir des préférences et des idées de noms à mettre sur la table, c’est bien normal. Mais tel ou tel nom ne peut pas être posé comme un préalable. On ne peut pas fonctionner comme cela lorsqu’on aspire à une aventure qui ne se gagnera que collectivement.

Présidentielle : Mélenchon propose déjà « sa » candidature commune

Présidentielle : Mélenchon propose déjà « sa » candidature commune

 

Et de menacer déjà ceux qui ne le soutiendraient pas : «La comédie qui consiste à venir à chaque élection prendre des circonscriptions et grignoter le programme, est terminée». Une curieuse manière en vérité de rechercher l’union mais c’est du mélenchonisme .

Il est vrai il est vrai qu’à gauche c’est plutôt la division avec d’abord le refus des communistes de soutenir Mélenchon. Le souhait aussi des écolos de ne pas se dissoudre en permanence dans une gauche qui les marginalise. Enfin au parti socialiste c’est toujours l’opposition mais le camp social-démocrate hostile au LFI se renforcent d’autant plus que Mélenchon se radicalise encore.

Fin octobre, le patron du parti communiste Fabien Roussel, qui a perdu son siège de député du Nord en juin, a fait valoir que s’il devait se représenter, «ce ne serait pas dans une alliance avec LFI». Les différentes candidatures à gauche lors de la présidentielle de 2022 avaient diminué les chances de Jean-Luc Mélenchon d’accéder au second tour de la présidentielle.

 

Nomination cabinet présidentielle : Trump choist les plus extrémistes et les plus tordus

Nomination cabinet présidentielle : Trump choisit les plus extrémistes et les plus tordus

Finalement Trump choisit des personnalités qui lui ressemblent au sein de son cabinet. La plupart se caractérisent par leur extrémisme autant que par leur incompétence. Reste à savoir si le Sénat américain acceptera un cabinet présidentiel aussi fantaisiste et provocateur. Sans parler évidemment des affrontements possibles entre des personnalités relativement tordues.

Les annonces de Donald Trump des nominations pour son futur cabinet s’enchaînent ces derniers jours, avec des personnalités controversées. Parmi les dernières en date, celle du vaccinosceptique Robert F. Kennedy Jr au ministère de la Santé

Certains sénateurs républicains ont publiquement affiché leurs réserves face à des candidat peu sérieux. Ne parlons t pas évidemment d’Elon Musk chargé à la fois de tout et de rien au sein du cabinet et qui se considère déjà comme une sorte de coprésident en participant notamment aux discussions de Trump avec les responsables politiques étrangers !

 

Élection présidentielle États-Unis : Trump en tête à 5 heures

Élection présidentielle États-Unis : Trump en tête à  5 heures

Même si les élections sont encore loin d’être jouées,  il semble bien que Donald Trump possède ce jour à cinq heures du matin une légère avance.

Le président sortant est donné vainqueur dans 21 États mais aucun État-clé n’a pour l’instant été remporté ni par lui, ni par Kamala Harris.

La vice-présidente est en très grande difficulté en Géorgie et en Caroline du Nord où Donald Trump a dans ces deux États plus de 95% de l’emporter selon une estimation du New York Times.

Seule sortie de secours en cas de défaite pour elle dans ces deux États-Unis: l’emporter dans le Wisconsin, le Michigan et la Pennsylvanie, les autres États-clés où elle est toutefois distancée à ce stade du dépouillement.

Présidentielle États-Unis : quasi égalité

Présidentielle États-Unis : quasi égalité

Les deux prétendants sont dans une situation de quasi égalité qui va imposer le dépouillement de la totalité des bulletins avant de déclarer le vainqueur. en effet, les deux prétendants à la Maison-Blanche sont dans un mouchoir de poche ;cependant l’ex-président républicain est désormais en tête dans cinq États-clés. Par précaution manipula toire Trump a déjà déclaré qu’il n’accepterait le résultat que dans certaines conditions. Bref, qui serait prêt à favoriser le chaos s’il n’est pas élu.

La plupart des observateurs s’accordent pour décrire l’élection, entre deux candidats que tout oppose et dans un pays extraordinairement polarisé, comme l’une des plus serrées de l’histoire américaine.

Présidentielle Moldavie : Victoire de la démocratie

Présidentielle  Moldavie : Victoire de la démocratie

 Victoire de la démocrate Maïa Sandu face à un candidat pro-russe pour un second mandat présidentiel et en dépit des manœuvres de Poutine

 

 

 

Attal aussi candidat à la présidentielle

Attal aussi candidat à la présidentielle

Deux semaines après la déclaration de candidature d’Édouard Philippe pour le «prochain» scrutin, Attal affirme aussi ses prétentions dans ce domaine. 

Ce positionnement pour le prochain scrutin traduit évidemment des ambitions personnelles mais renforce aussi l’hypothèse de la problématique d’un départ anticipé de Macron en cas d’approfondissement de la crise politique. Dans le cas où l’ancien ministre de l’Éducation nationale porterait les couleurs du bloc central, il recueillerait 22% des voix au premier tour, loin derrière les 35% de Marine Le Pen, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro Magazine et Sud Radio publié la semaine dernière.

 

Alors que le Nouveau-Front-Populaire a remporté le second tour des élections législatives de 2024, Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Le Figaro Magazine a interrogé les Français concernant leurs intentions de vote au prochaine élection présidentielle.

 

Dans l’ensemble des scénarios testés, Marine Le Pen conserverait sa place en première position, avec des intentions de vote oscillant entre 34 et 35%. Bénéficiant d’un électorat attrape-tout, Marine Le Pen apparait comme la personnalité politique que les Français souhaitent voir le plus à la présidence de la République après Emmanuel Macron (39% de souhait) devant Edouard Philippe (35%) et Gabriel Attal (33%).

 

Entre Edouard Philippe et Gabriel Attal, le candidat qui ferait le meilleur score face à Marine Le Pen est l’actuel maire du Havre Edouard Philippe avec 27% d’intentions de vote (contre 24% pour Gabriel Attal). Les deux anciens Premiers Ministres semblent capitaliser sur leur distance prise avec Emmanuel Macron (+3 points pour Edouard Philippe et + 4 points pour Gabriel Attal par rapport à avril).

 

En s’intéressant à la gauche, si Jean-Luc Mélenchon arrivait systématiquement troisième avec des intentions de vote entre 9 et 10% (-4 points par rapport à avril dernier), le rapport de force avec les autres partis de gauche s’est rééquilibré : François Hollande, testé pour la première fois, recueillerait une intention de vote non négligeable de 7 et 8% (il se positionne à 1.5 points de Jean-Luc Mélenchon). Quant à lui, Olivier Faure recueillerait 4% des intentions de vote.  Fabien Roussel, avec 5-6% des intentions de vote est en légère hausse par rapport à avril dernier (+1,5 point) tout comme Marine Tondelier (+ 3 points).

 

 

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

 

Donald Trump reconnu coupable de 34 délits de falsifications de documents comptables, destinées à cacher, juste avant sa victoire à la présidentielle de 2016, un paiement  une actrice de films X Veut repousser la sentence de son brossé après la présidentielle !

 

Donald Trump, premier ex-président des États-Unis à avoir été condamné au pénal, fin mai à New York, voudrait que le prononcé de sa peine soit repoussé de mi-septembre à l’après l’élection présidentielle du 5 novembre, selon une requête de son avocat. Le candidat républicain, qui rêve de retourner à la Maison Blanche, ne cesse depuis des mois d’user d’arguties pour retarder ses procès et surtout faire annuler ce verdict.

 

 

Présidentielle–Venezuela : plusieurs pays reconnaissent la victoire de l’opposition

Présidentielle–Venezuela : plusieurs pays reconnaissent la victoire de l’opposition

Alors que l’autorité électorale a ratifié  la victoire frauduleuse de Nicolas Maduro, plusieurs pays reconnaissent la victoire de son opposant . Les Etats-Unis, le Pérou, l’Argentine et l’Uruguay dénoncent des fraudes massives du président socialiste réélu. 

Plusieurs pays ont accusé le président socialiste au pouvoir depuis 2013 de fraudes massives, et affirmé que son opposant avait remporté la victoire. « Sur la base de preuves accablantes, il est clair pour l’Uruguay qu’Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu la majorité des voix lors des élections présidentielles au Venezuela », a par exemple écrit le ministre des Affaires étrangères uruguayen, Omar Paganini, sur le réseau social X.
Des milliers de personnes ont été interpellées lors de manifestations spontanées qui ont éclaté dans le pays dans les deux jours qui ont suivi le scrutin, faisant au moins 11 morts civils, selon les organisations de défense des droits humains.

Présidentielle américaine: Obama pour que Biden se retire

Présidentielle américaine: Obama pour que Biden se retire

Les uns après les autres, les responsables démocrates s’interrogent sérieusement sur les possibilités de victoire de Bident. Le mouvement devrait s’amplifier d’une part après les gaffes de l’intéressé et compte tenu de l’agression de Trump ; un événement qui vient évidemment renforcer les chances de l’ancien président. Cette fois c’est Obama qui se lâche , une opinion qui devrait être suivie par d’autres.

L’ancien président Barack Obama a déclaré à ses alliés ces derniers jours que le chemin de la victoire de Joe Biden s’était considérablement réduit et qu’il pensait que le président américain devait sérieusement envisager la viabilité de sa candidature, a rapporté jeudi 18 juillet le Washington Post, citant plusieurs personnes informées de la réflexion de M. Obama. Le journal précise que l’ancien président n’a pas réagi à cette information.

La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a également averti en privé M. Biden que les démocrates pourraient perdre la possibilité de prendre le contrôle de la Chambre des représentants s’il ne s’éloignait pas de la course. C’est ce qu’affirment plusieurs personnes au fait de ces conversations privées, qui ont parlé sous le couvert de l’anonymat.

 

Depuis son débat calamiteux fin juin face à Donald Trump, au cours duquel il a souvent peiné à articuler sa pensée, Joe Biden est sous pression d’une partie des démocrates qui doutent de sa capacité à affronter et battre le candidat républicain le 5 novembre.

Macron a tué la majorité présidentielle d’après Édouard Philippe

Macron a tué la majorité présidentielle d’après Édouard Philippe

Une franche critique d’Édouard Philippe à l’égard de Macron qui d’après lui aurait tué la majorité présidentielle avec cette décision de dissoudre l’assemblée nationale. Une critique par ailleurs largement partagée dans cette majorité et qui témoignent du divorce entre Macron et ses soutiens habituels.

 
Édouard Philippe souhaite désormais créer une nouvelle majorité parlementaire qui fonctionnera sur des bases différentes de l’ancienne majorité présidentielle.» Un horizon pour lequel l’ex-chef du gouvernement entre 2017 et 2020 se dit «prêt». «C’est ce que j’essaye de réaliser, et c’est pour ça que j’en parle avant le premier tour pour avoir une chance de le réaliser après le second», a-t-il pointé.
Dans nos colonnes il y a quelques jours, Édouard Philippe affirmait déjà «ne pas croire que la même architecture de la majorité puisse être reproduite à l’identique avec uniquement une ou deux personnalités qui nous rejoindraient.» Aucun parti du bloc central «n’étant en mesure, à lui seul, d’être majoritaire», il plaidait pour une «recomposition d’une toute nouvelle majorité parlementaire.»
Celui qui lorgne l’Élysée en 2027 avait également rappelé sur TF1 que le président avait pris la décision de dissoudre «seul» et de manière «souveraine» !  Allusion évidemment à la posture jupitérienne de Macron.

Sondage européennes : La liste majorité présidentielle encore en baisse

Sondage européennes : La liste majorité présidentielle encore en baisse

 

Dans le dernier sondage Elabe pour La Tribune Dimanche et BFMTV, elle perd encore du terrain en chutant de 1 point en quinze jours. Avec 15,5 % elle atteint son score le plus faible. « L’entrée en campagne d’Emmanuel Macron, le 26 avril à la Sorbonne, ne produit pas d’effet de mobilisation au-delà de son cœur, mais même au sein de celui-ci, cela reste insuffisant car seuls 54 % de ses électeurs du premier tour en 2022 votent pour Valérie Hayer », relève Bernard Sananès, le président d’Elabe.

Parallèlement, les franges du macronisme sont grignotées. Sur sa gauche, la liste PS menée par Raphaël Glucksmann gagne 1 point, récoltant 13 % des suffrages. Avec la majorité présidentielle, l’écart n’a jamais été aussi serré : 2,5 points. Sur sa droite, la liste LR, avec François-Xavier Bellamy à sa tête, progresse de 1 point, se situant à 7,5 %.

 

Si elle est stable, la liste RN de Jordan Bardella continue, elle, de faire très largement la course en tête avec 32 %. « Son socle est désormais très consolidé, explique Bernard Sananès. Neuf des électeurs potentiels de cette liste sur 10 se déclarent sûrs de leur choix. Les deux premiers enjeux de cette campagne pour les Français sont le pouvoir d’achat et l’immigration. Ce sont deux thèmes très favorables au RN. »

* Par rapport au baromètre d’avril. Sondage Elbe pour La Tribune Dimanche et BFM TV effectué du 15 au 17 mai 2024 auprès d’un échantillon de 1 503 personnes, représentatif des résidents de France Métropolitaine âgés de 18 ans et plus, dont 1 398 inscrits sur les listes électorales. Infographie Camille

Sondage Présidentielle : Marine Le Pen gagnante de la présidentielle en 2027

Sondage Présidentielle : Marine Le Pen gagnante de la présidentielle en 2027

D’après un sondage IFOP-Fiducial pour Sud Radio, Marine Le Pen s’impose d’une courte tête devant les potentiels candidats de la majorité.

Les données des intentions de vote pour le premier tour révèlent une constante : Marine Le Pen du Rassemblement National maintient une position dominante, avec un soutien compris entre 33% et 36%. Cependant, cette avance n’est pas à prendre pour acquise, car d’autres candidats, tels que Jean-Luc Mélenchon et certains candidats hypothétiques comme Jordan Bardella, montrent une force croissante avec 30% à 33% d’intentions de vote dans certaines configurations.

Les données récentes des intentions de vote pour l’élection présidentielle de 2024 offrent un aperçu détaillé des tendances électorales en France. Au premier tour, Marine Le Pen domine avec 34 % des voix, suivie de près par Édouard Philippe à 24 %, Gabriel Attal à 20 %, Bruno Le Maire à 14 %, et Gérald Darmanin à 12 %.

Cependant, une analyse plus approfondie des données révèle des variations significatives selon les hypothèses. Par exemple, dans l’hypothèse Philippe, Le Pen maintient son avance avec 36 %, tandis que dans l’hypothèse Attal, elle obtient également 36 %. Avec Le Maire, elle récolte 35 %, et avec Darmanin, elle atteint 36 %.

Ces variations témoignent de la volatilité des intentions de vote et soulignent l’importance des différentes dynamiques politiques. Par exemple, le soutien à Marine Le Pen varie de 33 % à 36 % selon les hypothèses.

Si Marine Le Pen semble bien placée pour se qualifier au second tour, la compétition s’intensifie pour savoir qui sera son adversaire. Des personnalités telles qu’Édouard Philippe et Gabriel Attal, ainsi que Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, se disputent la deuxième place. Les données des intentions de vote pour le second tour montrent des scénarios divers :

- Marine Le Pen affronterait Édouard Philippe ou Gabriel Attal, avec des scores de 60% contre 40% ou 58% contre 42% respectivement.
- Face à Bruno Le Maire ou Gérald Darmanin, Marine Le Pen obtiendrait 55% des voix contre 45%.

Les sondages d’opinion révèlent un duel serré entre les principaux candidats en lice pour le second tour. Selon les derniers chiffres, Marine Le Pen et Édouard Philippe sont au coude-à-coude, avec des pourcentages oscillant autour de 49% et 51% respectivement. Ces résultats mettent en évidence la polarisation de l’électorat et l’importance de chaque voix dans cette élection hautement disputée.

Les données fournissent également des hypothèses intéressantes sur les différents scénarios possibles pour le second tour. Dans le cas d’un affrontement entre Édouard Philippe et Marine Le Pen, les chiffres montrent une légère avance pour cette dernière, avec 51% des intentions de vote contre 49% pour son adversaire. Cette configuration met en lumière les dynamiques complexes de cette élection et les défis auxquels sont confrontés les candidats dans la mobilisation de leur électorat.

Sondage Présidentielle : la menace Attal pour Édouard Philippe

Présidentielle : la menace Attal pour Édouard Philippe

La menace Attal se précise pour Édouard Philippe; en effet Dans un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, l’ancien premier ministre est le meilleur candidat de la majorité pour la prochaine présidentielle à (49%). Gabriel Attal réalise une percée fulgurante (+15 points depuis septembre) et atteint 44% d’opinion favorable. Les deux devancent très largement les autres «poids lourds» du camp Macron, Bruno Le Maire (30%), Gérald Darmanin (23%) et François Bayrou (19%).

Alors que la question du mode de désignation d’un successeur d’Emmanuel Macron est à l’agenda des stratèges du parti présidentiel, 40% des Français plébiscitent la tenue d’une primaire ouverte à tous les Français «se sentant proches» des idées du président.

Emmanuel Macron, qui ne peut se représenter pour un troisième mandat consécutif tentera-t-il de désigner lui-même son héritier ? L’option ne séduit en tout cas pas les Français (7%), ni ses sympathisants (11%), pourtant très légitimistes. Une courte majorité (41%) des Français considère que le président «aura un rôle important mais pas décisif» dans la nomination tandis que 38% pensent qu’il n’en «aura pas vraiment».

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