Archive pour le Tag 'présidentielle'

« Un candidat social-démocrate à la présidentielle » ?

« Un  candidat social-démocrate à la présidentielle » ? 

Face à une extrême droite dominante et une gauche fragmentée en Europe, Jean-Christophe Cambadélis plaide pour une refondation du Parti socialiste et l’émergence d’un candidat social-démocrate . ( dans La Tribune)

Le monde s’est installé dans le national-populisme, nouveau visage de l’extrême droite, et les États-Unis viennent, avec le président Donald Trump, de lui donner un nouveau souffle. « Le nationalisme, c’est la guerre », prévenait François Mitterrand le 17 janvier 1995. En effet, la combinaison de celui-ci et des protectionnismes agressifs reproduit les engrenages que nous avions connus avant la Seconde Guerre mondiale. Dans le même temps, nous sommes face à une offensive contre l’État de droit, le droit international, mais aussi l’État social et les défis écologiques.

La vague est planétaire : elle donne des gouvernements illibéraux s’attaquant à toutes les avancées progressistes. La fusion entre ces gouvernements et le capitalisme numérique menace la démocratie, dénoncée comme un modèle faible et sans résultat. La xénophobie a fait son retour, tout à la fois contre l’immigration, accusée de vouloir remplacer ou métisser les identités, et contre les Juifs, dénoncés comme collectivement responsables, parce que Juifs, du gouvernement d’extrême droite israélienne. Nous sommes instruits par l’Histoire de ce que donne ce type de conjoncture.

L’Europe, qui a tant profité des dividendes de la paix, est tout à coup sidérée et comprend qu’elle est maintenant seule. Le cessez-le-feu en Ukraine voulu par l’administration américaine aux conditions de Poutine ne peut, à terme, que « surexciter l’agresseur », comme le disait déjà le général de Gaulle en 1961. L’Europe est pourtant le seul continent, la seule puissance capable, si elle en prend conscience, de dépasser les égoïsmes nationaux, de faire face et de défendre les acquis de son modèle, enfant des Lumières et de l’État de droit, qui s’est imposé au monde, et de maîtriser les défis qui assaillent l’humanité.

Elle peut, elle doit prendre à bras-le-corps sa défense, sa spécificité numérique, son projet écologique ou sa protection sociale face à la précarité de masse. Les Européens ont toutes les ressources nécessaires pour être à la hauteur des défis de l’Histoire. Il ne manque qu’une volonté. Il n’est pas trop tard, même si partout sur notre continent l’extrême droite est au pouvoir ou en passe de l’être, même si, il y a peu, les extrêmes droites du continent ont manifesté leur allégeance au trumpisme.

La France sera bientôt confrontée à ce défi malheureux, et c’est à elle qu’il revient de dire non au cours des événements. Pourtant, nul n’ignore que l’extrême droite est devenue la référence du paysage médiatique et a envahi les urnes de notre pays. Les droites classiques ont été largement contaminées par son idéologie de la préférence nationale, cheval de Troie d’un gouvernement autoritaire.

Dans un sursaut auquel on ne croyait plus lors de la dramatique dissolution, le front républicain a pu stopper la marche au pouvoir de l’extrême droite. Il n’est pas certain qu’il en sera de même lors de la présidentielle à venir. Personne ne peut croire que les Français se réuniront contre l’extrême droite sur des solutions d’extrême gauche portées par un populisme de gauche. Le désordre en toute chose comme réponse aux désordres de la nation ne saurait être la solution.

La rupture dans le Nouveau Front populaire vient d’être publiquement actée par son leader. Le Parti socialiste va tenir son congrès. Son enjeu ne peut être celui d’un replâtrage du cartel des gauches obsolètes, ni celui de la défense d’une continuité du programme de rupture du ­Nouveau Front populaire sans ceux qui l’ont conçu.

Suivre ce chemin sera tout à la fois un drame pour le pays, la marginalisation pour la gauche et le moyen le plus sûr de dégager la route à l’extrême droite. Il faut une nouvelle direction au PS. L’urgence est de définir un nouveau dessein, un nouveau programme pour rassembler la France et bâtir une candidature sociale-démocrate, seule capable de faire échec à la préférence nationale qui menace la France et à la fausse radicalité qui pervertit et handicape la gauche.

La décomposition de l’autorité présidentielle

La décomposition de l’autorité présidentielle

 

 

La chute du gouvernement Barnier rappelle la difficulté française à rétablir la logique parlementaire, l’ancrage des réflexes présidentialistes et la nécessité de vivre dans un parlementarisme déprésidentialisé, analysent, dans une tribune au « Monde », les juristes Denis Baranger, Bruno Daugeron et Jean-Marie Denquin.

 
Pour quiconque aurait en mémoire les principes du gouvernement parlementaire, la chute du gouvernement Barnier n’est ni une surprise ni un accident. Elle était même entièrement prévisible dès la formation de ce ministère. Celui-ci n’avait pas été porté sur les fonts baptismaux avec de grands atouts : sa composition rassemblait des partis électoralement faibles et idéologiquement hétérogènes. Il ne jouissait pas d’une majorité décidée à le soutenir à l’Assemblée nationale, même par la voie d’un simple accord de « non-censure ».

Un tel gouvernement était donc exposé à toutes les adversités. Elles se sont conjuguées pour le mener à sa perte, au travers d’une motion de censure coagulant deux oppositions mutuellement hostiles : d’un côté, le Rassemblement national (RN) (et ses alliés) ; de l’autre, l’ensemble de la gauche. Les majorités ponctuelles qui ont émergé pendant ces quatre mois, et permis de faire voter quelques dispositions législatives, n’ont pas suffi à conjurer ce péril, pas plus que les efforts du premier ministre pour apaiser, par telle ou telle concession ou geste diplomatique, le mécontentement de la cheffe du RN.
Rien n’autorisait donc à croire aux chances du malade, du moment qu’on avait compris que sa survie ne dépendait plus que de l’Assemblée nationale. Selon la logique parlementaire qu’impose notre Constitution, c’est elle seule qui décide du sort du gouvernement. Pas besoin donc d’être un mage, ou une intelligence artificielle, pour prédire ce qui allait se produire.

Il faut dire que c’est une bien curieuse équation qui semble avoir présidé à la naissance de ce gouvernement, malgré un décorum traditionnel. Le soutien présidentiel, concédé après de longues tergiversations, a ressemblé à la fameuse corde soutenant le pendu. Si le président s’est accordé un droit de regard sur la composition du gouvernement, il est resté, de gré ou surtout de force, éloigné de la décision politique proprement dite, dont M. Barnier a déclaré avec raison qu’elle ne relevait « que de lui seul ». En même temps, son soutien parlementaire, ou ce qui en tenait lieu – et qui restera sous le nom, quelque peu ironique, de « bloc central » – était constamment ébréché par les ambitions personnelles ….

Politique: Le délitement de l’autorité présidentielle

Le délitement de l’autorité présidentielle

 

La chute du gouvernement Barnier rappelle la difficulté française à rétablir la logique parlementaire, l’ancrage des réflexes présidentialistes et la nécessité de vivre dans un parlementarisme déprésidentialisé, analysent, dans une tribune au « Monde », les juristes Denis Baranger, Bruno Daugeron et Jean-Marie Denquin.
Pour quiconque aurait en mémoire les principes du gouvernement parlementaire, la chute du gouvernement Barnier n’est ni une surprise ni un accident. Elle était même entièrement prévisible dès la formation de ce ministère. Celui-ci n’avait pas été porté sur les fonts baptismaux avec de grands atouts : sa composition rassemblait des partis électoralement faibles et idéologiquement hétérogènes. Il ne jouissait pas d’une majorité décidée à le soutenir à l’Assemblée nationale, même par la voie d’un simple accord de « non-censure ».

Un tel gouvernement était donc exposé à toutes les adversités. Elles se sont conjuguées pour le mener à sa perte, au travers d’une motion de censure coagulant deux oppositions mutuellement hostiles : d’un côté, le Rassemblement national (RN) (et ses alliés) ; de l’autre, l’ensemble de la gauche. Les majorités ponctuelles qui ont émergé pendant ces quatre mois, et permis de faire voter quelques dispositions législatives, n’ont pas suffi à conjurer ce péril, pas plus que les efforts du premier ministre pour apaiser, par telle ou telle concession ou geste diplomatique, le mécontentement de la cheffe du RN.
Rien n’autorisait donc à croire aux chances du malade, du moment qu’on avait compris que sa survie ne dépendait plus que de l’Assemblée nationale. Selon la logique parlementaire qu’impose notre Constitution, c’est elle seule qui décide du sort du gouvernement. Pas besoin donc d’être un mage, ou une intelligence artificielle, pour prédire ce qui allait se produire.

Il faut dire que c’est une bien curieuse équation qui semble avoir présidé à la naissance de ce gouvernement, malgré un décorum traditionnel. Le soutien présidentiel, concédé après de longues tergiversations, a ressemblé à la fameuse corde soutenant le pendu. Si le président s’est accordé un droit de regard sur la composition du gouvernement, il est resté, de gré ou surtout de force, éloigné de la décision politique proprement dite, dont M. Barnier a déclaré avec raison qu’elle ne relevait « que de lui seul ». En même temps, son soutien parlementaire, ou ce qui en tenait lieu – et qui restera sous le nom, quelque peu ironique, de « bloc central » – était constamment ébréché par les ambitions personnelles ….

Le délitement de l’autorité présidentielle

Le délitement de l’autorité présidentielle

 

La chute du gouvernement Barnier rappelle la difficulté française à rétablir la logique parlementaire, l’ancrage des réflexes présidentialistes et la nécessité de vivre dans un parlementarisme déprésidentialisé, analysent, dans une tribune au « Monde », les juristes Denis Baranger, Bruno Daugeron et Jean-Marie Denquin.
Pour quiconque aurait en mémoire les principes du gouvernement parlementaire, la chute du gouvernement Barnier n’est ni une surprise ni un accident. Elle était même entièrement prévisible dès la formation de ce ministère. Celui-ci n’avait pas été porté sur les fonts baptismaux avec de grands atouts : sa composition rassemblait des partis électoralement faibles et idéologiquement hétérogènes. Il ne jouissait pas d’une majorité décidée à le soutenir à l’Assemblée nationale, même par la voie d’un simple accord de « non-censure ».

Un tel gouvernement était donc exposé à toutes les adversités. Elles se sont conjuguées pour le mener à sa perte, au travers d’une motion de censure coagulant deux oppositions mutuellement hostiles : d’un côté, le Rassemblement national (RN) (et ses alliés) ; de l’autre, l’ensemble de la gauche. Les majorités ponctuelles qui ont émergé pendant ces quatre mois, et permis de faire voter quelques dispositions législatives, n’ont pas suffi à conjurer ce péril, pas plus que les efforts du premier ministre pour apaiser, par telle ou telle concession ou geste diplomatique, le mécontentement de la cheffe du RN.
Rien n’autorisait donc à croire aux chances du malade, du moment qu’on avait compris que sa survie ne dépendait plus que de l’Assemblée nationale. Selon la logique parlementaire qu’impose notre Constitution, c’est elle seule qui décide du sort du gouvernement. Pas besoin donc d’être un mage, ou une intelligence artificielle, pour prédire ce qui allait se produire.

Il faut dire que c’est une bien curieuse équation qui semble avoir présidé à la naissance de ce gouvernement, malgré un décorum traditionnel. Le soutien présidentiel, concédé après de longues tergiversations, a ressemblé à la fameuse corde soutenant le pendu. Si le président s’est accordé un droit de regard sur la composition du gouvernement, il est resté, de gré ou surtout de force, éloigné de la décision politique proprement dite, dont M. Barnier a déclaré avec raison qu’elle ne relevait « que de lui seul ». En même temps, son soutien parlementaire, ou ce qui en tenait lieu – et qui restera sous le nom, quelque peu ironique, de « bloc central » – était constamment ébréché par les ambitions personnelles ….

Roumanie : la Cour constitutionnelle annule l’élection présidentielle sous influence russe

Roumanie : la Cour constitutionnelle annule l’élection présidentielle  sous influence russe

 la Cour constitutionnelle « annulé la totalité » du scrutin présidentiel afin de « s’assurer de sa validité comme de sa légalité », et demande à ce que « l’intégralité du processus électoral » soit reportée. L’avant-veille, le président Klaus Iohannis avait dénoncé  l’utilisation du réseau social TikTok dans la campagne et pointait du doigt des ingérences russes. Elena Lasconi, la candidate de centre droit, a déploré une décision « illégale et immorale » qui « bafoue la démocratie »

La Cour a fait savoir qu’une nouvelle date de scrutin serait communiquée ultérieurement tandis que le mandat du chef de l’État, initialement censé s’achever le 21 décembre, sera prolongé jusqu’à ce que son successeur prenne ses fonctions.

Présidentielle -Lucie Castets et Marine Tondelier : Un appel indirect à la candidature de Mélenchon !!!

Présidentielle -Lucie Castets et Marine Tondelier : Un appel indirect à la candidature de Mélenchon !!!

 

Les deux responsables nationales qui en réalité ne pèsent  pas  lourd au plan politique lancent  un appel pour une candidature unique de toute la gauche qui n’est autre qu’un soutien indirect à Mélenchon ! Toujours avec un discours surréaliste type gauche bobo. ( Interview dans la Tribune ) 

Vous lancez aujourd’hui un appel à l’ensemble de la gauche à « organiser et construire un projet commun ». N’est-ce pas utopiste ?

LUCIE CASTETS – Nous voulons réunir le plus largement possible la société civile, des associations, les mouvements politiques qui se créent, les partis existants, mais aussi des élus locaux, des étudiants, des chefs d’entreprise, etc. Il faut donner au Nouveau Front populaire un nouvel élan et un espace. Nous souhaitons créer comme une maison commune aux citoyens et aux partis politiques. Notre objectif est de rassembler le plus largement possible, sans aucune exclusive, pour se remettre au travail. Notre appel est une déclaration d’amour au NFP ! Nous souhaitons continuer à alimenter notre projet en allant sur le terrain. En soulevant ce capot, nous allons faire venir des gens beaucoup plus largement que ceux déjà très politisés à gauche.

MARINE TONDELIER – Le NFP, on y contribue activement, on le porte, on l’aime, et ce sont les raisons pour lesquelles nous sommes très lucides sur ses forces mais aussi sur ses quelques faiblesses. Des personnes aimeraient pouvoir s’y engager mais ne trouvent pas forcément ni la porte d’entrée ni leur place. Pour des syndicalistes, des personnes issues de la société civile, des citoyens tout simplement, il y a parfois une envie de contribuer activement, mais le NFP n’offre pas aujourd’hui cette possibilité. Notre appel n’est pas une initiative concurrente du NFP mais vise à l’élargir, à le prolonger, à l’ancrer. Nous devons renforcer sa faculté à pouvoir gagner la prochaine élection présidentielle et à faire face à tous les défis qui ne manqueront pas de se poser à nous dans les semaines et mois qui viennent. La vie politique française est devenue tellement imprévisible qu’il va falloir être prêt tout le temps. Considérez que nous avons prévu que notre camp le soit !

Vous lancez l’idée d’une « candidature commune » avec une condition : ne pas « placer tel ou tel nom comme préalable ».

L.C. – Le seul prérequis, c’est de ne pas partir avec un seul nom en tête, ne pas avoir son candidat ou son écurie, pour commencer à travailler. Sinon, on a déjà perdu.

M.T. – Cette initiative n’appartient à personne, pas même à nous ! Nous sommes depuis le début dans un état d’esprit collectif et unitaire, en respectant la diversité et l’identité des uns et des autres. Alors sans doute que toute initiative comporte une part de risque, mais celui de ne rien faire serait bien plus grand. Ce ne serait conforme ni à nos tempéraments ni à la hauteur du moment.

Il faut passer à l’action sans attendre le truc idéal. Sinon, l’histoire s’écrira sans nous.

 

Quel est le risque à lancer cet appel ?

M.T. – Déjà, nous sommes deux femmes [Rires.] L’expérience nous a malheureusement appris ce que ça provoquait par principe chez certains. On a appris à faire avec ! Mais surtout, cela fait des semaines que tout le monde bute sur plusieurs questions : d’où l’impulsion doit-elle venir, qui, quand, comment, dans quel périmètre de base ? Beaucoup de discussions ont eu lieu, et avec Lucie nous en sommes arrivées à la conclusion que maintenant, il fallait passer à l’action sans attendre le truc idéal sur lequel tout le monde serait parfaitement d’accord. Sinon, l’histoire s’écrira tout simplement sans nous, et la gauche et les écologistes seront condamnés à voir les trains passer.

Est-ce aussi un message envoyé aux Insoumis, pour qui la candidature de Jean-Luc Mélenchon à l’élection présidentielle relève toujours de l’évidence ?

M.T. – Chacun a le droit d’avoir des préférences et des idées de noms à mettre sur la table, c’est bien normal. Mais tel ou tel nom ne peut pas être posé comme un préalable. On ne peut pas fonctionner comme cela lorsqu’on aspire à une aventure qui ne se gagnera que collectivement.

Présidentielle : Mélenchon propose déjà « sa » candidature commune

Présidentielle : Mélenchon propose déjà « sa » candidature commune

 

Et de menacer déjà ceux qui ne le soutiendraient pas : «La comédie qui consiste à venir à chaque élection prendre des circonscriptions et grignoter le programme, est terminée». Une curieuse manière en vérité de rechercher l’union mais c’est du mélenchonisme .

Il est vrai il est vrai qu’à gauche c’est plutôt la division avec d’abord le refus des communistes de soutenir Mélenchon. Le souhait aussi des écolos de ne pas se dissoudre en permanence dans une gauche qui les marginalise. Enfin au parti socialiste c’est toujours l’opposition mais le camp social-démocrate hostile au LFI se renforcent d’autant plus que Mélenchon se radicalise encore.

Fin octobre, le patron du parti communiste Fabien Roussel, qui a perdu son siège de député du Nord en juin, a fait valoir que s’il devait se représenter, «ce ne serait pas dans une alliance avec LFI». Les différentes candidatures à gauche lors de la présidentielle de 2022 avaient diminué les chances de Jean-Luc Mélenchon d’accéder au second tour de la présidentielle.

 

Nomination cabinet présidentielle : Trump choist les plus extrémistes et les plus tordus

Nomination cabinet présidentielle : Trump choisit les plus extrémistes et les plus tordus

Finalement Trump choisit des personnalités qui lui ressemblent au sein de son cabinet. La plupart se caractérisent par leur extrémisme autant que par leur incompétence. Reste à savoir si le Sénat américain acceptera un cabinet présidentiel aussi fantaisiste et provocateur. Sans parler évidemment des affrontements possibles entre des personnalités relativement tordues.

Les annonces de Donald Trump des nominations pour son futur cabinet s’enchaînent ces derniers jours, avec des personnalités controversées. Parmi les dernières en date, celle du vaccinosceptique Robert F. Kennedy Jr au ministère de la Santé

Certains sénateurs républicains ont publiquement affiché leurs réserves face à des candidat peu sérieux. Ne parlons t pas évidemment d’Elon Musk chargé à la fois de tout et de rien au sein du cabinet et qui se considère déjà comme une sorte de coprésident en participant notamment aux discussions de Trump avec les responsables politiques étrangers !

 

Élection présidentielle États-Unis : Trump en tête à 5 heures

Élection présidentielle États-Unis : Trump en tête à  5 heures

Même si les élections sont encore loin d’être jouées,  il semble bien que Donald Trump possède ce jour à cinq heures du matin une légère avance.

Le président sortant est donné vainqueur dans 21 États mais aucun État-clé n’a pour l’instant été remporté ni par lui, ni par Kamala Harris.

La vice-présidente est en très grande difficulté en Géorgie et en Caroline du Nord où Donald Trump a dans ces deux États plus de 95% de l’emporter selon une estimation du New York Times.

Seule sortie de secours en cas de défaite pour elle dans ces deux États-Unis: l’emporter dans le Wisconsin, le Michigan et la Pennsylvanie, les autres États-clés où elle est toutefois distancée à ce stade du dépouillement.

Présidentielle États-Unis : quasi égalité

Présidentielle États-Unis : quasi égalité

Les deux prétendants sont dans une situation de quasi égalité qui va imposer le dépouillement de la totalité des bulletins avant de déclarer le vainqueur. en effet, les deux prétendants à la Maison-Blanche sont dans un mouchoir de poche ;cependant l’ex-président républicain est désormais en tête dans cinq États-clés. Par précaution manipula toire Trump a déjà déclaré qu’il n’accepterait le résultat que dans certaines conditions. Bref, qui serait prêt à favoriser le chaos s’il n’est pas élu.

La plupart des observateurs s’accordent pour décrire l’élection, entre deux candidats que tout oppose et dans un pays extraordinairement polarisé, comme l’une des plus serrées de l’histoire américaine.

Présidentielle Moldavie : Victoire de la démocratie

Présidentielle  Moldavie : Victoire de la démocratie

 Victoire de la démocrate Maïa Sandu face à un candidat pro-russe pour un second mandat présidentiel et en dépit des manœuvres de Poutine

 

 

 

Attal aussi candidat à la présidentielle

Attal aussi candidat à la présidentielle

Deux semaines après la déclaration de candidature d’Édouard Philippe pour le «prochain» scrutin, Attal affirme aussi ses prétentions dans ce domaine. 

Ce positionnement pour le prochain scrutin traduit évidemment des ambitions personnelles mais renforce aussi l’hypothèse de la problématique d’un départ anticipé de Macron en cas d’approfondissement de la crise politique. Dans le cas où l’ancien ministre de l’Éducation nationale porterait les couleurs du bloc central, il recueillerait 22% des voix au premier tour, loin derrière les 35% de Marine Le Pen, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro Magazine et Sud Radio publié la semaine dernière.

 

Alors que le Nouveau-Front-Populaire a remporté le second tour des élections législatives de 2024, Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Le Figaro Magazine a interrogé les Français concernant leurs intentions de vote au prochaine élection présidentielle.

 

Dans l’ensemble des scénarios testés, Marine Le Pen conserverait sa place en première position, avec des intentions de vote oscillant entre 34 et 35%. Bénéficiant d’un électorat attrape-tout, Marine Le Pen apparait comme la personnalité politique que les Français souhaitent voir le plus à la présidence de la République après Emmanuel Macron (39% de souhait) devant Edouard Philippe (35%) et Gabriel Attal (33%).

 

Entre Edouard Philippe et Gabriel Attal, le candidat qui ferait le meilleur score face à Marine Le Pen est l’actuel maire du Havre Edouard Philippe avec 27% d’intentions de vote (contre 24% pour Gabriel Attal). Les deux anciens Premiers Ministres semblent capitaliser sur leur distance prise avec Emmanuel Macron (+3 points pour Edouard Philippe et + 4 points pour Gabriel Attal par rapport à avril).

 

En s’intéressant à la gauche, si Jean-Luc Mélenchon arrivait systématiquement troisième avec des intentions de vote entre 9 et 10% (-4 points par rapport à avril dernier), le rapport de force avec les autres partis de gauche s’est rééquilibré : François Hollande, testé pour la première fois, recueillerait une intention de vote non négligeable de 7 et 8% (il se positionne à 1.5 points de Jean-Luc Mélenchon). Quant à lui, Olivier Faure recueillerait 4% des intentions de vote.  Fabien Roussel, avec 5-6% des intentions de vote est en légère hausse par rapport à avril dernier (+1,5 point) tout comme Marine Tondelier (+ 3 points).

 

 

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

 

Donald Trump reconnu coupable de 34 délits de falsifications de documents comptables, destinées à cacher, juste avant sa victoire à la présidentielle de 2016, un paiement  une actrice de films X Veut repousser la sentence de son brossé après la présidentielle !

 

Donald Trump, premier ex-président des États-Unis à avoir été condamné au pénal, fin mai à New York, voudrait que le prononcé de sa peine soit repoussé de mi-septembre à l’après l’élection présidentielle du 5 novembre, selon une requête de son avocat. Le candidat républicain, qui rêve de retourner à la Maison Blanche, ne cesse depuis des mois d’user d’arguties pour retarder ses procès et surtout faire annuler ce verdict.

 

 

Présidentielle–Venezuela : plusieurs pays reconnaissent la victoire de l’opposition

Présidentielle–Venezuela : plusieurs pays reconnaissent la victoire de l’opposition

Alors que l’autorité électorale a ratifié  la victoire frauduleuse de Nicolas Maduro, plusieurs pays reconnaissent la victoire de son opposant . Les Etats-Unis, le Pérou, l’Argentine et l’Uruguay dénoncent des fraudes massives du président socialiste réélu. 

Plusieurs pays ont accusé le président socialiste au pouvoir depuis 2013 de fraudes massives, et affirmé que son opposant avait remporté la victoire. « Sur la base de preuves accablantes, il est clair pour l’Uruguay qu’Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu la majorité des voix lors des élections présidentielles au Venezuela », a par exemple écrit le ministre des Affaires étrangères uruguayen, Omar Paganini, sur le réseau social X.
Des milliers de personnes ont été interpellées lors de manifestations spontanées qui ont éclaté dans le pays dans les deux jours qui ont suivi le scrutin, faisant au moins 11 morts civils, selon les organisations de défense des droits humains.

Présidentielle américaine: Obama pour que Biden se retire

Présidentielle américaine: Obama pour que Biden se retire

Les uns après les autres, les responsables démocrates s’interrogent sérieusement sur les possibilités de victoire de Bident. Le mouvement devrait s’amplifier d’une part après les gaffes de l’intéressé et compte tenu de l’agression de Trump ; un événement qui vient évidemment renforcer les chances de l’ancien président. Cette fois c’est Obama qui se lâche , une opinion qui devrait être suivie par d’autres.

L’ancien président Barack Obama a déclaré à ses alliés ces derniers jours que le chemin de la victoire de Joe Biden s’était considérablement réduit et qu’il pensait que le président américain devait sérieusement envisager la viabilité de sa candidature, a rapporté jeudi 18 juillet le Washington Post, citant plusieurs personnes informées de la réflexion de M. Obama. Le journal précise que l’ancien président n’a pas réagi à cette information.

La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, a également averti en privé M. Biden que les démocrates pourraient perdre la possibilité de prendre le contrôle de la Chambre des représentants s’il ne s’éloignait pas de la course. C’est ce qu’affirment plusieurs personnes au fait de ces conversations privées, qui ont parlé sous le couvert de l’anonymat.

 

Depuis son débat calamiteux fin juin face à Donald Trump, au cours duquel il a souvent peiné à articuler sa pensée, Joe Biden est sous pression d’une partie des démocrates qui doutent de sa capacité à affronter et battre le candidat républicain le 5 novembre.

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