Archive pour le Tag 'Lancement'

Succès pour le lancement d’Ariane 6

Succès pour le lancement d’Ariane 6

Lancement réussi avec Ariane 6  pour l’Agence spatiale européenne . Ariane 6 pourra aussi bien placer des satellites en orbite géostationnaire, à 36.000 kilomètres d’altitude, que mettre en orbite des constellations à quelques centaines de kilomètres de la Terre. 

Pour son premier vol, Ariane 6 a emporté 17 « passagers » à son bord : 11 microsatellites d’universités, différentes expériences ainsi que deux capsules de rentrée atmosphériques, qui doivent préparer le cargo de fret spatial, voulu par les Européens pour ravitailler les stations spatiales.

Décidée en 2014, Ariane 6 pourra aussi bien placer des satellites en orbite géostationnaire, à 36.000 kilomètres d’altitude, comme sa prédécesseure Ariane 5, que mettre en orbite des constellations à quelques centaines de kilomètres de la Terre.

Et, enjeu central : la réussite du vol inaugural marque/est censée marquer le « retour » de l’Europe sur la scène spatiale, selon le patron du transport spatial à l’ESA, Toni Tolker-Nielsen. En effet, depuis le dernier vol d’Ariane 5 il y a un an, les Européens ne peuvent plus mettre en orbite par eux-mêmes un satellite. L’invasion de l’Ukraine leur empêche désormais l’accès au lanceur moyen russe Soyouz. Et l’autre fusée européenne Vega-C est clouée au sol depuis fin 2022, après un accident.

 

Aviation Chine : Lancement du C919, copie conforme ou presque de l’Airbus 320…. construit en Chine !

Aviation Chine : Lancement du C919, copie conforme ou presque de l’Airbus 320…. construit en Chine !

Le C919 va rivaliser avec les avions étrangers comme le Boeing 737 MAX et l’Airbus A320. Une concurrence qui n’est pas étonnante puisque l’Airbus 320 est aussi largement construit en Chine.

En avril, Airbus a d’ailleurs annoncé son intention de doubler ses capacités de production en Chine. Un accord a également été signé pour la construction d’une deuxième chaîne d’assemblage à Tianjin, dans le nord-est du pays, dédiée à l’A320. Le premier site d’assemblage de Tianjin, ouvert en 2008, produit actuellement quatre A320 par mois, mais Airbus espère augmenter cette cadence à six par mois d’ici la fin de l’année 2023.

La mise en service du C919 sur les vols réguliers entre Shanghai et Chengdu est une étape significative pour China Eastern Airlines. Cela témoigne de l’engagement de la Chine à développer son industrie aéronautique et à devenir un acteur majeur sur la scène mondiale.

Les Républicains : en mal existentiel lancement d’une boîte à idées !

Les Républicains : en mal existentiel lancement d’une boîte à idées !


En grande difficulté voir menacé de disparition faute de ligne claire, le parti Républicain lance un nouveau média pour recueillir des idées susceptibles de redonner une colonne vertébrale au parti. Pourtant les ambiguïtés des républicains par rapport à Marcon pourraient bien lui valoir le le sort du parti socialiste, c’est-à-dire la quasi-disparition prochaine.

Les Républicains ont donc lané leur boîte à idées via leur nouveau média 100% digital, mardi matin. Intitulé «Une certaine idée», le titre – qui rappelle une ancienne revue de la droite lancée par Philippe Séguin et animée par Jean de Boishue – est présenté comme un espace de réflexion ouvert à toutes les idées.

«Nous avons puisé dans notre histoire le moyen de faire quelque chose de nouveau en prolongeant la même exigence de qualité. Le support est digital et si nous ne nous interdisons rien pour l’avenir, nous avons pensé ce site pour mettre en valeur trois formats: vidéo, podcast et entretiens à lire. Nous voulons donner la parole aux idées», explique Bartolomé Lenoir, responsable du support numérique, épaulé par une petite équipe, et installé au 4e étage du siège LR. Pour concevoir l’outil, les artisans affirment s’être inspirés des «meilleures pratiques» actuellement à l’œuvre dans le monde des entreprises et des mouvements politiques.

Il s’agit aussi d’accompagner la reconstruction d’un parti menacé de disparition.

Lancement du télescope James Webb pour observer l’origine de l’univers

Lancement du télescope James Webb pour observer l’origine de l’univers

Ce télescope à pour mission de voir plus loin et répondre à cette question qui passionne depuis la nuit des temps : une autre planète Terre est-elle possible ? Car ce nouveau télescope, le plus puissant et le plus grand jamais envoyé dans l’espace, va révolutionner notre façon de voir les atmosphères de ces planètes, reflet de ce qui se passe en surface. À côté de l’étude des exoplanètes, le télescope permettra d’explorer les premiers âges de l’Univers, en remontant jusqu’à seulement quelques centaines de millions d’années après le Big Bang. Les scientifiques pourront ainsi observer les premières galaxies et les premières étoiles.

Cet instrument révolutionnaire est le fruit d’une collaboration internationale dirigée par la NASA pour donner à l’humanité un premier aperçu de l’univers naissant, tel qu’il existait lorsque les premières galaxies se sont formées. Ayant coûté 9 milliards de dollars, il est considéré par la NASA comme le premier observatoire spatial de la prochaine décennie. Il observera principalement le cosmos dans le spectre infrarouge. Ses instruments sont éCe télescope d’une puissance inédite sera lancée par la fusée Ariane.galement idéaux pour rechercher des preuves d’atmosphères potentiellement propices à la vie autour de dizaines d’exoplanètes nouvellement documentées – des corps célestes en orbite autour d’étoiles lointaines – et pour observer des mondes beaucoup plus proches de nous, comme Mars et Titan, la lune glacée de Saturne. En comparaison, Webb est environ 100 fois plus sensible que son prédécesseur, le télescope spatial Hubble, âgé de 30 ans.

Vaccination Coronavirus: lancement de la campagne européenne

Vaccination Coronavirus: lancement de la campagne européenne

Des dimanches commencent la campagne de vaccination européenne. Le bloc communautaire a scellé des contrats avec différents fournisseurs pour s’assurer plus de deux milliards de doses de vaccin et ambitionne de vacciner tous les adultes de l’UE au cours de l’année 2021.

Pour la France, on commencera par vacciner les résidents des EHPAD et les personnels de santé, puis les personnes âgées de plus de 65 ans, enfin le reste de la population.

Le programme de l’UE vise à garantir un accès équitable aux vaccins pour l’ensemble des pays du bloc, après que les chefs d’Etat et de gouvernement européens ont été critiqués pour n’avoir pas su collaborer pour empêcher la propagation du coronavirus début 2020.

Cependant, la Hongrie a pris les devants en commençant à administrer dès samedi des doses du vaccin Pfizer-BioNTech au personnel de santé des hôpitaux de la capitale Budapest.

En France, comme en Allemagne, en Italie, au Portugal ou encore en Espagne, une importante campagne de vaccination va ainsi débuter dimanche et concerner avant tout les professionnels de santé et les résidents des Ehpad.

Nouvelles Technologies: : lancement de plus de 3 000 satellites par Amazon

Nouvelles Technologies: : lancement de plus de 3 000 satellites par Amazon

 

Un projet pharaonique d’Amazon qui pourrait accélérer la domination américaine dans le numérique et rendre caduques des projets comme le câble ou la 5G dans le mobile.  Avec le lancement de 3000 satellites, le projet d’Amazon visera les  Etats-Unis, puis dans le monde entier, et pourrait alimenter des réseaux sans-fils et 5G. Le projet ciblera en priorité les foyers, ainsi que les écoles, hôpitaux, entreprises et d’autres organisations, et pourra rétablir les télécommunications en cas de catastrophe naturelle. Plusieurs entreprises se sont déjà positionnés sur le créneau de l’internet depuis l’espace.

Une constellation. Amazon a obtenu l’approbation des autorités américaines pour déployer une constellation de 3 236 satellites en orbite basse, afin de fournir de l’internet à haut débit partout dans le monde. Le géant du commerce en ligne va investir 10 milliards de dollars dans ce projet baptisé Project Kuiper, a-t-il annoncé.

 

« Nous avons entendu tellement d’histoires récemment sur les personnes qui ne peuvent pas travailler ou étudier parce qu’ils n’ont pas d’internet fiable à la maison », a déclaré Dave Limp, vice-président d’Amazon.  »Kuiper va changer cette situation. Nos 10 milliards d’investissements vont créer des emplois et les infrastructures américaines vont nous aider à combler le fossé », a-t-il estimé.

Ces annonces interviennent alors que le mastodonte SpaceX du milliardaire américain Elon Musk a déjà déployé la constellation Starlink, qui compte quelque 300 satellites en orbite et ambitionne d’en lancer jusqu’à 42 000. En Europe, le gouvernement britannique, associé au conglomérat indien Bharti, a été choisi comme repreneur de l’opérateur de satellites en faillite Oneweb, qui porte un projet similaire.

 

Technologies- Internet haut débit : lancement de plus de 3 000 satellites par Amazon

Technologies-  Internet haut débit : lancement de plus de 3 000 satellites par Amazon

 

Avec le lancement de 3000 satellites, le projet d’Amazon visera les  Etats-Unis, puis dans le monde entier, et pourrait alimenter des réseaux sans-fils et 5G. Le projet ciblera en priorité les foyers, ainsi que les écoles, hôpitaux, entreprises et d’autres organisations, et pourra rétablir les télécommunications en cas de catastrophe naturelle. Plusieurs entreprises se sont déjà positionnés sur le créneau de l’internet depuis l’espace.

Une constellation. Amazon a obtenu l’approbation des autorités américaines pour déployer une constellation de 3 236 satellites en orbite basse, afin de fournir de l’internet à haut débit partout dans le monde. Le géant du commerce en ligne va investir 10 milliards de dollars dans ce projet baptisé Project Kuiper, a-t-il annoncé, jeudi 30 juillet, lors de la publication de très bons résultats trimestriels.

 

« Nous avons entendu tellement d’histoires récemment sur les personnes qui ne peuvent pas travailler ou étudier parce qu’ils n’ont pas d’internet fiable à la maison », a déclaré Dave Limp, vice-président d’Amazon.  »Kuiper va changer cette situation. Nos 10 milliards d’investissements vont créer des emplois et les infrastructures américaines vont nous aider à combler le fossé », a-t-il estimé.

Ces annonces interviennent alors que le mastodonte SpaceX du milliardaire américain Elon Musk a déjà déployé la constellation Starlink, qui compte quelque 300 satellites en orbite et ambitionne d’en lancer jusqu’à 42 000. En Europe, le gouvernement britannique, associé au conglomérat indien Bharti, a été choisi comme repreneur de l’opérateur de satellites en faillite Oneweb, qui porte un projet similaire.

 

Internet haut débit : lancement de plus de 3 000 satellites par Amazon

Internet haut débit : lancement de plus de 3 000 satellites par Amazon

 

Avec le lancement de 3000 satellites, le projet d’Amazon visera les  Etats-Unis, puis dans le monde entier, et pourrait alimenter des réseaux sans-fils et 5G. Le projet ciblera en priorité les foyers, ainsi que les écoles, hôpitaux, entreprises et d’autres organisations, et pourra rétablir les télécommunications en cas de catastrophe naturelle. Plusieurs entreprises se sont déjà positionnés sur le créneau de l’internet depuis l’espace.

Une constellation. Amazon a obtenu l’approbation des autorités américaines pour déployer une constellation de 3 236 satellites en orbite basse, afin de fournir de l’internet à haut débit partout dans le monde. Le géant du commerce en ligne va investir 10 milliards de dollars dans ce projet baptisé Project Kuiper, a-t-il annoncé, jeudi 30 juillet, lors de la publication de très bons résultats trimestriels.

 

« Nous avons entendu tellement d’histoires récemment sur les personnes qui ne peuvent pas travailler ou étudier parce qu’ils n’ont pas d’internet fiable à la maison », a déclaré Dave Limp, vice-président d’Amazon. « Kuiper va changer cette situation. Nos 10 milliards d’investissements vont créer des emplois et les infrastructures américaines vont nous aider à combler le fossé », a-t-il estimé.

Ces annonces interviennent alors que le mastodonte SpaceX du milliardaire américain Elon Musk a déjà déployé la constellation Starlink, qui compte quelque 300 satellites en orbite et ambitionne d’en lancer jusqu’à 42 000. En Europe, le gouvernement britannique, associé au conglomérat indien Bharti, a été choisi comme repreneur de l’opérateur de satellites en faillite Oneweb, qui porte un projet similaire.

 

 

Lancement de la campagne de Trump : virer les immigrés !

Lancement de la campagne de Trump : virer les immigrés

 

 

Trump n’est pas en retard pour lancer sa campagne électorale de 2020. En cause sans doute, les nombreuses bavures, mensonges et autres provocations. Dans l’Amérique profonde certains commencent à douter de l’efficacité de la parole de cette grande gueule médiatique qui se contente surtout de menacer mais agit peu. –témoins, ces négociations commerciales avec la Chine qui n’en finissent pas et pour cause de nombreux effets  se retourne contre les Américains (la balance commerciale chinoise n’a jamais été aussi florissante même si le volume du commerce international tend à diminuer). C’est encore sur le terrain sociétal que le président Trump ce sens le plus à l’aise. Il reprend donc tout simplement son slogan de sa première campagne contre les immigrés. Cette fois,  il promet de les virer par millions. Une promesse aussi peu sérieuse que le fameux mur qu’il avait promis de construire entre le Mexique et les États-Unis et qui n’a jamais vu le jour. Par ailleurs Trump  est toujours englué dans cette affaire de liens de la Russie qui n’a vraiment jamais été clarifiée. Avec un art consommé de la diplomatie de rue, Trump a su se faire de nombreux ennemis dans de nombreux pays du monde et même installer un climat d’incertitude qui menace les échanges internationaux. Trame n’est pas aussi populaire qu’on le dit. Selon un sondage Reuters/Ipsos publié le 11 juin, Donald Trump recueille 40% d’opinions positives alors que 57% des personnes interrogées désapprouvent son action. D’autres sondages le donnent à la traîne dans les principaux Etats derrière ses grands rivaux démocrates, notamment l’ancien vice-président Joe Biden.

Crédit agricole : lancement d’une banque low cost par mobile

Crédit agricole : lancement d’une banque low cost  par mobile

 

Imitant Orange qui va lancer sa banque mobile le 2 novembre, le Crédit agricole proposera à partir de la fin du mois de novembre une offre bancaire simplifiée comportant un compte courant accessible via un téléphone mobile et une carte de paiement, indique le quotidien sur son site internet. Le tarif proposé devrait être proche de celui d‘Orange Bank, avec “un package bien délimité et une tarification très faible, sans frais supplémentaires”.  La banque entend, comme l‘opérateur téléphonique, répondre à la demande d‘une nouvelle génération de consommateurs qui souhaite accéder aussi simplement que possible aux services bancaires les plus basiques, à des prix plancher.  L‘offre du Crédit agricole serait non seulement accessible directement sur mobile mais aussi via les 39 caisses régionales et leurs 7.000 agences. Un client rencontrant des problèmes, ou souhaitant poursuivre vers des offres de crédit ou d’épargne, pourrait ainsi être accueilli par un conseiller.

Lancement de micro-boutiques au PS

Lancement de micro-boutiques au PS

 

Le score du parti socialiste aux présidentielles à beau être catastrophique, les différents leaders veulent se partager les maigres dépouilles.  Il y a eu d’abord cet appel hétérogène lancé par Hidalgo, Aubry et Taubira pour rassembler la gauche à partir de banalités de gauche  sans grand souffle. Il y a aussi cette décision de Benoît à mon de créer sa propre boutiques  trans courant. Les hollandais ne voudront sans doute pas rester dans le vide comme Valls actuellement. Certains d’entre eux ont rejoint Macon, certains  vont le faire, d’autres attachés à la vieille maison vont constituer leur propre courant qui pourrait s’articuler autour de la personnalité de l’ancien porte-parole du gouvernement le Foll.  Le nouveau mouvement créé par Anne Hidalgo, Martine Aubry et Christiane Taubira, baptisé « Dès Demain »,  » ‘est un mouvement qui est citoyen », insiste la maire de Paris ce jeudi 11 mai au micro de RTL. « C’est un mouvement très large, Il y a aujourd’hui un besoin, exprimé depuis longtemps (…) à créer une plateforme, un réseau, un mouvement qui permette de reprendre toutes les initiatives, les solutions qui sont aujourd’hui trouvées en France dans tous les domaines », justifie Anne Hidalgo. Hamon, lui,  va lancer le 1er juillet un mouvement « large, transpartisan », afin de poursuivre le travail « commencé lors de la campagne présidentielle », a-t-il annoncé mercredi sur France Inter. Le 1er juillet, cela veut donc dire après les élections législatives du 11 et 18 juin.  »J’inviterai des hommes et des femmes qui appartiennent aux partis politiques ou n’y appartiennent pas. Je les inviterai à continuer ce travail indispensable pour reconstruire la gauche », a-t-il déclaré, en précisant qu’il ne quitterait pas le Parti socialiste. « Ce sera un mouvement transpartisan, qui se nourrira du travail des intellectuels, de cette innovation citoyenne et démocratique que nous avons mise en oeuvre lors de la campagne présidentielle », a-t-il dit. »Aujourd’hui, on peut appartenir au Parti communiste, aux écologistes, se reconnaître dans différentes candidatures et avoir envie de travailler ensemble », a-t-il ajouté. Mais il n’a pas apprécié que son parti ne reprenne pas ses idées développées pendant la campagne présidentielle.  »Je maintiens l’essentiel des marqueurs qui ont fait ma campagne. Un parti aussi grand soit-il ne peut pas enterrer de belles idées. Surtout des idées qui doivent féconder la rénovation de la gauche. Il y a plus de personnes qui adhèrent à mon projet que de gens qui ont voté pour moi. Je veux m’atteler à l’avenir de ses idées », a-t-il assuré, avant de défendre le revenu universel, le projet phare de sa candidature : « Le débat de la campagne a été particulièrement innovant sur le plan social. Le revenu universel c’était la seule idée nouvelle, et le Parti socialiste l’enterre. »

 

Présidentielle 2017 : le lancement du site pour François Hollande « moi, ancien président, je »

Présidentielle 2017 : le lancement du site pour François Hollande « moi, ancien président, je »

 

Pas de bol comme dit Hollande à propos du cômage et pas de bol pour le lancement de son site « NotreidéedelaFrance.fr ». qui aurait pu s’appeler : « moi, ancien président, je… »  Le président de la République doit regretter d’avoir indexé sa candidaturesur la baisse du chômage. Si Najat-Vallaud Belkacem a tenté de noyer le poisson en parlant de « soubresauts » lors d’un meeting de « Eh oh la gauche » à Grenoble lundi 26 septembre, l’annonce d’une nouvelle de hausse du chômage - 1,4%, soit la pire augmentation depuis septembre 2013 – a plongé les soutiens de François Hollande dans l’embarras. Preuve en est, le lancement du site « NotreidéedelaFrance.fr », prévu pour ce même lundi 26 septembre à 18h, a été décalé de quelques jours à la dernière minute. Les partisans de François Hollande pouvaient difficilement trouver un timing moins approprié quand « NotreidéedelaFrance.fr » a pour objet de vanter le bilan du président sortant. Le site internet censé marquer la seconde étape de l’entrée en campagne n’est toujours pas accessible au public. Officiellement, du côté de « Répondre à Gauche », l’association à l’origine de ce site après avoir soutenu la candidature de François Hollande lors de la primaire socialiste de 2011, on invoque « des problèmes techniques » selon BFM-TV. La concomitance avec l’annonce des mauvais chiffres du chômage apparaît cependant comme l’explication la plus logique. D’autant que, selon certains élus derrière « NotreidéedelaFrance.fr », l’objectif était de surfer sur une nouvelle baisse du chômage au mois d’août. Hollande a raison il n’a vraiment pas de bol avec le chômage

Lancement d’obligation… et de dettes « vertes »

Lancement d’obligation… et de dettes « vertes »

 

L’ingénierie financière française pour augmenter la dette publique ou privée est sans limite. La France se félicite d’être le premier Etat au monde à se lancer sur le marché des « green bonds », ont annoncé vendredi 2 septembre le ministère de l’Environnement et Bercy, confirmant les propos tenus par François Hollande lors de la Conférence environnementale d’avril dernier. En clair on va emprunter encore davantage et mécaniquement augmenter  la. La seule différence c’est qu’on aura passé un coup de peinture verte pour donner une légitimité à ses nouveaux emprunts. Personne ne peut être opposé évidemment aux j’investis dans des styles investissements destinés à l’écologie. Pour autant il aurait sans doute été souhaitable de financer les opérations de transition écologique par redéploiement des moyens financiers existants. Pour deux raisons la première étant  que la protection de l’environnement ne nécessite pas nécessairement de moyens financiers supplémentaires, bien au contraire. Exemple dans l’agriculture. La seconde raison c’est que ces obligations vont contribuer à accroître un endettement déjà démesuré et qu’il sera très délicat d’évaluer le caractère réellement écologique de ces nouveaux emprunts. Même si certains font seront utiles aux entreprises et à la protection de l’environnement. Par ailleurs le statut de ces emprunts verts demeure encore relativement flou quand à la nature et au niveau d’insertion des collectivités et entreprises publiques dans l’opération. Les « green bonds », ces obligations destinées à financer des projets à vocation environnementale, ne seront bientôt plus seulement l’affaire des institutions publiques et des entreprises. L’an prochain, si bien sûr les conditions de marché le permettent, un premier pays s’essaiera à l’émission de « green bonds », et cet Etat n’est autre que la France. L’Hexagone « confirme son rôle moteur, dans la continuité des ambitions de l’accord de Paris sur le Climat de décembre dernier, en devenant le premier Etat au monde à émettre un emprunt vert », a souligné Ségolène Royal, ministre de l’Environnement, vendredi 2 septembre, dans un communiqué publié conjointement avec Michel Sapin. « L’arrivée de l’Etat français sur le marché des obligations vertes permettra d’en accélérer le développement, pour faire de Paris l’une des places financières de référence dans le soutien à la transition énergétique », a complété le ministre de l’Economie et des Finances. Cette annonce est en réalité une confirmation : le 25 avril dernier, dans le cadre de la quatrième Conférence environnementale, le président de la République François Hollande avait indiqué que le pays s’apprêtait à entrer sur le marché des obligations vertes. Dans quelles proportions ? Si le communiqué du ministère de l’Environnement et de Bercy se borne à évoquer « une opération de plusieurs milliards d’euros », celui du WWF France est en revanche beaucoup plus précis, qui mentionne « un engagement concret portant sur 9 milliards d’euros sur trois ans », afin, notamment, de financer les investissements « verts » du troisième Programme d’investissements d’avenir. L’organisation indépendante spécialisée dans la protection de l’environnement « se félicite » par ailleurs dans un communiqué de cette prochaine incursion de l’Etat français sur le marché des « green bonds. » Cité dans le communiqué, Pascal Canfin, directeur général du WWF France, voit dans cette démarche « deux effets positifs importants. » A commencer par la sécurisation « de 9 milliards de financement public pour la transition écologique, quel que soit le résultat des futures échéances électorales. » Ensuite, la France pourrait faire des émules parmi les autres pays qui réfléchissent à investir le marché des obligations vertes, à l’image de la Chine et du Royaume-Uni. Pour mémoire, le jeune marché des « green bonds » s’est développé à partir de 2007, avec des émissions lancées par des institutions publiques telles que la Banque européenne d’investissement et la Banque mondiale, pour financer des projets ayant trait aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique, entre autres. Plus récemment, des entreprises comme EDF, Air Liquide, Engie et Schneider Electric se sont à leur tour lancées sur ce marché, afin, bien sûr, de financer des projets contribuant à la transition écologique, mais également dans le but de diversifier leur base d’investisseurs. Les collectivités territoriales sont elles aussi entrées dans la danse, avec, par exemple, les obligations vertes émises en 2012 par les régions Ile-de-France, Nord-Pas-de-Calais et Provence-Alpes-Côte d’Azur, pour financer des projets de transports en commun ou de rénovation énergétique de bâtiments. Le marché mondial des obligations vertes, qui ne s’élevait encore qu’à 13 milliards de dollars en 2013, a ainsi bondi à 48 milliards de dollars en 2015, et devrait atteindre les 100 milliards cette année, d’après les chiffres de Bercy et du ministère de l’Environnement. Un développement spectaculaire, qui ne doit pas faire oublier que le marché des obligations vertes pèche encore par son manque de transparence sur la qualification « verte » des projets qu’il doit servir à financer.

(Avec AFP et RTL)

Notre Dame des Landes : lancement des travaux

Notre Dame des Landes : lancement des travaux

 

 

La reprise des travaux venet d’être décidée pour le très contestable et contesté aéroport de Notre dame des landes (la moitie de français étaient contre dans le dernier sondage). Et dans l’urgence comme s’il agissait d’une question de principe pour Ayrault et le gouvernement. Pas une urgence pour la gestion de la mobilité mais sans doute pour l’énorme opération d’urbanisme qui pourra être lancé après le déménagement de l’actuel aéroport .  Bref la métropolisation à marche forcée tandis que villes moyennes, petites agglomérations et zones rurale sont laissées  à l’abandon (moins d’emplois, moins d’équipements publics,).  Un appel d’offres pour des travaux de débroussaillage de la desserte routière de l’aéroport a donc été publié lundi au bulletin officiel des annonces de marchés publics. L’échéance est fixée au 23 novembre 2015 pour des travaux « en 2016″. Une rapidité qui contraste avec les nombreux délais qui ont progressivement fait prendre trois ans de retard à un aéroport déclaré d’utilité publique en 2008 et qui devait initialement être inauguré en 2017, une dizaine de km au nord de Nantes, afin de remplacer l’actuel aéroport de Nantes Atlantique situé au sud de l’agglomération. Le projet contesté était en suspens depuis l’automne 2012 mais la tension n’est jamais vraiment retombée et les manifestations se poursuivent. En juillet dernier, les 17 recours déposés par des opposants à l’aéroport ont été tous rejetés par le tribunal administratif de Nantes. Après ces derniers recours, « il faudra alors s’engager dans la construction de Notre-Dame-des-Landes », avait promis en fin d’année dernière le Premier ministre Manuel Valls, favorable comme son prédécesseur Jean-Marc Ayrault à cet aéroport.

Russie : lancement d’un mouvement pro-européen par Khodorkovski

Russie : lancement  d’un mouvement pro-européen par Khodorkovski

 

 

 

Khodorkovski n’est pas forcément le ; mieux placé pour lancer un mouvement démocratique ouvert sur l’Europe mais on voit mal qui pourrait en prendre l’initiative en Russie tellement la société est bloquée par Poutine (Pas d’opposition, pas de liberté d’opinion, pas de médias indépendants). Khodorkovski  est comme Poutine, comme les politiques qui ont le pouvoir économique et politique en Russie un oligarque. En clair  un apparatchik qui comme les autres (Poutine y compris) a pillé le pays. Souvent les  mêmes et d’autres oligarques ont auusi  confisqué le pouvoir politique. Du coup la société est complètement bloquée par cette mafia institutionnalisée ; Du coup Khodorkovski  lance une opposition de l’extérieur du pays. Il avait promis de ne pas se mêler de politique après sa libération en décembre 2013. L’opposant au pouvoir russe Mikhaïl Khodorkovski a pourtant lancé samedi 20 septembre un mouvement, Open Russia (Russie ouverte), destiné à rassembler les forces pro-européennes en Russie en prévision des élections parlementaires de 2016. L’ancien oligarque a indiqué que son nouveau projet, nommé d’après son association caritative éponyme qui avait été fermée après son arrestation, serait une « plateforme » en ligne, et non un parti politique. « Une minorité aura de l’influence si elle est organisée », a-t-il estimé. Le geste ressemble fort à un défi lancé au président russe Vladimir Poutine par l’ancien oligarque, arrêté en 2003 pour « vol par escroquerie à grande échelle » et « évasion fiscale ». Il a toujours dénoncé son incarcération comme une punition pour s’être opposé au président. « Nous sommes en faveur de ce qu’on appelle le choix européen, soit un Etat gouverné par le règne de la loi », a lancé l’ancien patron du pétrolier Ioukos, âgé de 51 ans. « Nous croyons que la thèse selon laquelle ‘la Russie n’est pas l’Europe’ est un mensonge », a-t-il également déclaré. Un temps l’homme le plus riche de Russie, Khodorkovski vit désormais exilé en Suisse. Il n’est pas retourné dans son pays natal depuis sa libération. En marge de ce lancement, Mikhaïl Khodorkovski a révélé ses ambitions présidentielles à l’occasion du 70e anniversaire du journal Le Monde. »Je ne serais pas intéressé par l’idée de devenir président de la Fédération de Russie à un moment où le pays se développerait normalement », a expliqué l’ancien opposant. « Mais s’il apparaissait nécessaire de surmonter la crise et de conduire une réforme constitutionnelle, de redistribuer le pouvoir présidentiel en faveur du système judiciaire, du Parlement et de la société civile, alors je serais prêt … »

 

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