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Joe Biden et Xi Jinping: Reprise de contact utile dans une atmosphère internationale guerrière

Joe Biden et Xi Jinping: Reprise de contact utile dans une atmosphère internationale guerrière


Lors de la rencontre des chefs d’états respectifs des États-Unis et de la Chine aucun grand dossier faisant l’objet de différents n’a été réellement réglé. La rencontre a seulement permis d’évoquer les positions respectives des uns et des autres en particulier par exemple sur Taiwan. Somme ce sommet a quand même des vertus dans une ambiance guerrière celle qui consiste à reprendre officiellement des relations militaires au niveau des hauts commandements. Cela pour éviter notamment d’éventuels bavures et d’entretenir un climat actuellement délétère au plan international.

En même temps les deux grandes puissances d’une certaine manière réaffirment leur présence sous-entendue leur capacité à reprendre éventuellement les choses en main en cas de dérapage dans telle ou telle zone mondiale.

Aujourd’hui l’ONU, comme hier, ne joue plus aucun rôle en matière de médiation dans les conflits très importants en raison de la paralysie notamment du conseil de sécurité mais aussi de la personnalité secrétaire générale qui se comporte davantage comme un agitateur producteur de tweets que comme un médiateur.

De toute manière ni les États-Unis, ni la Chine n’ont vraiment accordé un grand crédit à l’ONU et préfère passer par-dessus cet organisme pour influencer les choses de ce monde

Joe Biden, en campagne pour un second mandat, et Xi Jinping, confronté à une situation économique et sociale dégradée en Chine, ont au fond intérêt à ce que la rivalité entre leurs pays reste sous contrôle au fil d’une année 2024 potentiellement tumultueuse, avec des élections présidentielles aux États-Unis et à Taïwan.

Washington demande aussi à la Chine, proche partenaire de l’Iran et de la Russie, de ne pas envenimer les grandes crises internationales: le conflit entre Israël et le Hamas ainsi que la guerre en Ukraine.

Les deux dirigeants ont fait de «vrais progrès» face aux «défis mondiaux», a assuré Joe Biden sur le réseau social X (anciennement Twitter).

Le président américain avait appelé, dans un court propos introductif face à la presse au début de la réunion, à gérer la rivalité de manière «responsable», pour «s’assurer qu’elle ne dégénère pas en conflit». Xi Jinping, qui a mis en garde contre les conséquences «insupportables» d’une confrontation, a lui estimé, selon une traduction en anglais, que la Chine et les États-Unis ne pouvaient pas se «tourner le dos». «La planète est assez grande pour que nos deux pays prospèrent», a-t-il assuré, alors que Washington et Pékin se livrent une concurrence féroce, qu’elle soit économique, technologique, stratégique ou militaire.

«Nos rencontres ont toujours été franches, directes et utiles», a assuré Joe Biden, qui avait rencontré Xi Jinping plusieurs fois avant de devenir président, et qui se targue de particulièrement bien le cerner. «Je crois fermement en un avenir prometteur pour la relation bilatérale», a dit Xi Jinping, tout en mettant en garde contre toute tentation, pour les États-Unis, de «remodeler» la Chine.

Aucun communiqué conjoint n’est attendu à l’issue de la rencontre mais Joe Biden a prévu de donner plus de détails lors d’une conférence de presse. Xi Jinping et Joe Biden s’étaient parlé pour la dernière fois il y a un an, en marge du sommet du G20 de Bali. Depuis, la relation bilatérale n’a cessé de se tendre, menaçant même de dérailler franchement avec le survol du territoire américain par un ballon chinois en début d’année. Washington avait dénoncé une opération d’espionnage, ce que la Chine avait démenti.

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Rencontre syndicats – Borne : Désaccord sur les sujets

Réunion des syndicats avec Elisabeth: Désaccord sur les sujets


Pour Élisabeth Borne la rencontre qu’elle organise aujourd’hui avec les syndicats est surtout existentielle . Elle vise à conforter la première ministre dans la confirmation de son poste. Du coup leur ordre du jour paraît relativement flou puisqu’on y parlera du travail en général mais qui sera pratiquement interdit d’évoquer l’application de la réforme des retraites ou encore la question cruciale des salaires.

Conséquence les syndicats risquent d’être profondément déçus et l’expliqueront dès leur sortie de Matignon. Ils annonceront sans doute que la rentrée de septembre sera chaude.

La plupart des syndicats souhaite traiter la question des salaires et du pouvoir d’achat et regrettent que ce point ne soit pas à l’ordre du jour tandis que l’inflation reste élevée. C’est la première préoccupation des Français, et pour la majorité des syndicats, impossible de s’en tenir aux seules dispositions de la loi sur le partage de la valeur ajoutée.

Par ailleurs, la loi Plein Emploi, qui est actuellement discutée au Sénat, agit comme un puissant irritant. Tous les syndicats sont vent debout contre la volonté de la majorité d’obliger les bénéficiaires du RSA, à suivre un contrat d’engagement, qui les contraint à des heures de formation ou de travail. Cette nuit, les sénateurs ont voté deux articles clés de ce texte : l’inscription automatique des bénéficiaires du RSA sur les listes des demandeurs d’emploi ( et donc la possible radiation ) et la généralisation de ce contrat d’engagement. Surtout, les sénateurs sont allés plus loin que le gouvernement, en inscrivant une durée hebdomadaire d’au moins 15 heures d’activité. Là où l’exécutif ne souhaitait pas mettre de quotas. Pour les syndicats, ces dispositions vont précariser encore davantage les plus fragiles.

Dans ce contexte, la réunion à Matignon pourrait bien tourner court. Sans attendre sa tenue ce mercredi à 10 heures, les syndicats ont d’ores et déjà prévu de se retrouver fin août, en intersyndicale, pour discuter de la rentrée sociale. Ils n’excluent pas de nouvelles grèves et journées d’action.

Borne et les syndicats: encore une rencontre inutile et une manipulation médiatique

Borne et les syndicats: encore une rencontre inutile et une manipulation médiatique

La réunion de Borne avec les syndicats relève de la pure communication. En effet la première ministre n’avait strictement rien à dire de nouveau à propos de la réforme des retraites. Elle a fait comme d’habitude une longue introduction sur l’intérêt du dialogue social. Le problème c’est qu’elle refuse de négocier sur les retraites. Ce qui a justifié le départ des syndicats.Il ne pouvait évidemment rien sortir de positif de la rencontre avec une Première ministre en sursis et par ailleurs prisonnière de l’ entêtement de Macron qui ne veut rien entendre de la colère concernant la réforme des retraites.

Élisabeth Borne a tenté sans doute un dernier geste envers les syndicats pour sauver sa place. Ainsi elle invite l’intersyndicale a participé à un débat sans vrai mandat du président la république et sans ordre du jour. On connaît évidemment déjà le résultat. Les syndicats ont évidemment parlé de retraite et de leur refus de 64 ans et la première ministre de son côté a rappelé que la réforme suit son chemin démocratique jusqu’au conseil constitutionnel. Et l’on va vaguement évoquer d’éventuelles chantiers sociaux dont la plus grande responsabilité n’incombe d’ailleurs pas à l’État . Bref un vrai dialogue de sourds. Borne va vouloir parler d’avenir qu’elle n’a plus ! Et les syndicats vont souhaiter parler du présent que veut ignorer Borne.

Un nouvel échec première ministre qui s’est pourtant pourtant félicitée de la réunion ! Bref une manipulation médiatique.

Conclusion, la première ministre veut encore montrer qu’elle existe. Et les syndicats qui ont participé à la réunion ont montré de leur côté qu’elle ne sert à rien

Borne et les syndicats: encore une rencontre inutile et une manipulation médiatique

Borne et les syndicats: encore une rencontre inutile et une manipulation médiatique

La réunion de Borne avec les syndicats relève de la pure communication. En effet la première ministre n’avait strictement rien à dire de nouveau à propos de la réforme des retraites. Elle a fait comme d’habitude une longue introduction sur l’intérêt du dialogue social. Le problème c’est qu’elle refuse de négocier sur les retraites. Ce qui a justifié le départ des syndicats.Il ne pouvait évidemment rien sortir de positif de la rencontre avec une Première ministre en sursis et par ailleurs prisonnière de l’ entêtement de Macron qui ne veut rien entendre de la colère concernant la réforme des retraites.

Élisabeth Borne a tenté sans doute un dernier geste envers les syndicats pour sauver sa place. Ainsi elle invite l’intersyndicale a participé à un débat sans vrai mandat du président la république et sans ordre du jour. On connaît évidemment déjà le résultat. Les syndicats ont évidemment parlé de retraite et de leur refus de 64 ans et la première ministre de son côté a rappelé que la réforme suit son chemin démocratique jusqu’au conseil constitutionnel. Et l’on va vaguement évoquer d’éventuelles chantiers sociaux dont la plus grande responsabilité n’incombe d’ailleurs pas à l’État . Bref un vrai dialogue de sourds. Borne va vouloir parler d’avenir qu’elle n’a plus ! Et les syndicats vont souhaiter parler du présent que veut ignorer Borne.

Un nouvel échec première ministre qui s’est pourtant pourtant félicitée de la réunion ! Bref une manipulation médiatique.

L’intersyndicale est donc invitée aujourd’hui à Matignon. Le gouvernement veut reprendre le dialogue rompu après le retour au 49.3 pour passer la réforme des retraites et l’embrasement social qui a suivi. L’exécutif ne semble pourtant pas ouvert à la discussion sur la réforme des retraites. Le Conseil constitutionnel a de son côté annoncé qu’il rendrait ses décisions sur le texte en principe le 14 avril.

Reste à savoir sur quel sujet les discussions porteront. Si Matignon a confirmé l’invitation, l’ordre du jour n’est pas connu. Cela constitue une pratique assez inhabituelle. Mais pour le pouvoir l’important est de faire semblant de montrer sa bonne volonté en invitant les syndicats à parler même de n’importe quoi. Une sorte de piège dans les syndicats ne pourront se sortir que s’il dénonce l’absence total de pouvoir de la première ministre et la manipulation médiatique de la rencontre.

Les syndicats ne pouvaient pas ne pas répondre à cette invitation puisqu’à plusieurs reprises ils avaient demandé à être reçus.

Mais l’exécutif maintient que le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans s’appliquera. Par la voix d’Olivier Véran son porte-parole, le gouvernement a encore écarté à l’issue du Conseil des ministres mardi, l’hypothèse d’une pause dans l’application de la réforme.

Conclusion, la première ministre veut encore montrer qu’elle existe. Et les syndicats qui ont participé à la réunion ont montré de leur côté qu’elle ne sert à rien

Rencontre de Borne avec les syndicats: une rencontre inutile

Rencontre de Borne avec les syndicats: une rencontre inutile et une manipulation médiatique

Il ne peut évidemment rien sortir de positif de la rencontre avec une Première ministre en sursis et par ailleurs prisonnière de l’entêtement de Macron qui ne veut rien entendre de la colère concernant la réforme des retraites.

Élisabeth Borne tente sans doute un dernier geste envers les syndicats pour sauver sa place. Ainsi elle invite l’intersyndicale a participé à un débat sans vrai mandat du président la république et sans ordre du jour. On connaît évidemment déjà le résultat. Les syndicats vont évidemment parler de retraite et de leur refus de 64 ans et la première ministre de son côté va rappeler que la réforme suit son chemin démocratique jusqu’au conseil constitutionnel. Et l’on va vaguement évoquer d’éventuelles chantiers sociaux dont la plus grande responsabilité n’incombe d’ailleurs pas à l’État . Bref un vrai dialogue de sourds. Borne va vouloir parler d’avenir qu’elle n’a plus ! Et les syndicats vont souhaiter parler du présent que veut ignorer Borne

L’intersyndicale est donc invitée aujourd’hui à Matignon. Le gouvernement veut reprendre le dialogue rompu après le retour au 49.3 pour passer la réforme des retraites et l’embrasement social qui a suivi. L’exécutif ne semble pourtant pas ouvert à la discussion sur la réforme des retraites. Le Conseil constitutionnel a de son côté annoncé qu’il rendrait ses décisions sur le texte en principe le 14 avril.

Reste à savoir sur quel sujet les discussions porteront. Si Matignon a confirmé l’invitation, l’ordre du jour n’est pas connu. Cela constitue une pratique assez inhabituelle. Mais pour le pouvoir l’important est de faire semblant de montrer sa bonne volonté en invitant les syndicats à parler même de n’importe quoi. Une sorte de piège dans les syndicats ne pourront se sortir que s’il dénonce l’absence total de pouvoir de la première ministre et la manipulation médiatique de la rencontre.

Les syndicats ne pouvaient pas ne pas répondre à cette invitation puisqu’à plusieurs reprises ils avaient demandé à être reçus.

Mais l’exécutif maintient que le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans s’appliquera. Par la voix d’Olivier Véran son porte-parole, le gouvernement a encore écarté à l’issue du Conseil des ministresmardi, l’hypothèse d’une pause dans l’application de la réforme.

Conclusion, la première ministre veut encore montrer qu’elle existe. Et les syndicats qui participeront à la réunion veulent montrer de leur côté qu’elle ne sert à rien

Borne et les syndicats : Une rencontre pour rien ?

Borne et les syndicats : Une rencontre pour rien ?


Élisabeth Borne tente sans doute un dernier geste envers les syndicats pour sauver sa place. Ainsi elle invite l’intersyndicale a participé à un débat sans mandat du président la république et sans ordre du jour. On connaît évidemment déjà le résultat. Les syndicats vont évidemment parler de retraite et de leur refus de 64 ans et la première ministre de son côté va rappeler que la réforme suit son chemin démocratique jusqu’au conseil constitutionnel. Et l’on va vaguement évoquer d’éventuelles chantiers sociaux dont la plus grande responsabilité n’incombe d’ailleurs pas à l’État . Bref un vrai dialogue de sourds.Borne va vouloir parler d’avenir qu’elle n’a plus ! Et les syndicats vont souhaiter parler du présent que veut ignorer Borne

L’intersyndicale est donc invitée en début de semaine prochaine à Matignon. Le gouvernement veut reprendre le dialogue rompu après le retour au 49.3 pour passer la réforme des retraites et l’embrasement social qui a suivi. L’exécutif ne semble pourtant pas ouvert à la discussion sur la réforme des retraites. Le Conseil constitutionnel a de son côté annoncé qu’il rendrait ses décisions sur le texte de « On ira. On en a parlé entre nous. Oui, on pense collectivement qu’il faut y aller pour porter nos propositions », a confirmé Laurent Berger. Les autres syndicats ont réagi à l’invitation avec plus de réserve. « On a encore besoin d’en discuter en intersyndicale », a tempéré la codéléguée de Solidaires, Murielle Guilbert, tout comme François Hommeril, président de la CFE-CGC souhaite « une discussion entre nous au préalable ».

Reste à savoir sur quel sujet les discussions porteront. Si Matignon a confirmé l’invitation, l’ordre du jour n’est pas connu. « Ce qui est sûr c’est que nous on ira discuter des retraites. Et du travail parce que ça va avec, mais (surtout) des retraites ! », a prévenu Laurent Berger.

De son côté, l’exécutif maintient que le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans s’appliquera. Par la voix d’Olivier Véran son porte-parole, le gouvernement a encore écarté à l’issue du Conseil des ministres mardi, l’hypothèse d’une pause dans l’application de la réforme.

Conclusion, la première ministre veut encore montrer qu’elle existe. Et des syndicats qui participeront à la réunion comme ceux qui risquent de refuser de s’y rendre veulent montrer de leur côté qu’elle ne sert à rien

Borne et les syndicats : Une rencontre pour parler de tout et de rien avec une première ministre sur le départ

Borne et les syndicats : Une rencontre pour parler de tout et de rien avec une première ministre sur le départ

Élisabeth Borne tente sans doute un dernier geste envers les syndicats pour sauver sa place. Ainsi elle invite l’intersyndicale a participé à un débat sans mandat du président la république et sans ordre du jour. On connaît évidemment déjà le résultat. Les syndicats vont évidemment parler de retraite et de leur refus de 64 ans et la première ministre de son e côté va rappeler que la réforme suit sono chemin démocratique jusqu’au conseil constitutionnel.

Bref un vrai dialogue de sourds

Une réunion sans intérêt pour essayer de piéger les absents comme la CGT sans doute avec l’argument bidon : « vous voyez bien que les syndicats ne veulent pas négocier ! »

L’intersyndicale est donc invitée en début de semaine prochaine à Matignon. Le gouvernement veut reprendre le dialogue rompu après le retour au 49.3 pour passer la réforme des retraites et l’embrasement social qui a suivi. L’exécutif ne semble pourtant pas ouvert à la discussion sur la réforme des retraites. Le Conseil constitutionnel a de son côté annoncé qu’il rendrait ses décisions sur le texte de « On ira. On en a parlé entre nous. Oui, on pense collectivement qu’il faut y aller pour porter nos propositions », a confirmé Laurent Berger. Les autres syndicats ont réagi à l’invitation avec plus de réserve. « On a encore besoin d’en discuter en intersyndicale », a tempéré la codéléguée de Solidaires, Murielle Guilbert, tout comme François Hommeril, président de la CFE-CGC souhaite « une discussion entre nous au préalable ».

Reste à savoir sur quel sujet les discussions porteront. Si Matignon a confirmé l’invitation, l’ordre du jour n’est pas connu. « Ce qui est sûr c’est que nous on ira discuter des retraites. Et du travail parce que ça va avec, mais (surtout) des retraites ! », a prévenu Laurent Berger.

De son côté, l’exécutif maintient que le report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans s’appliquera. Par la voix d’Olivier Véran son porte-parole, le gouvernement a encore écarté à l’issue du Conseil des ministres mardi, l’hypothèse d’une pause dans l’application de la réforme.

Conclusion, la première ministre veut encore montrer qu’elle existe. Et des syndicats qui participeront à la réunion comme ceux qui risquent de refuser de s’y rendre veulent montrer de leur côté qu’elle ne sert à rien

Politique Rencontre syndicats- Macron: Le nouveau coup du mépris

Politique Rencontre syndicats- Macron: Le nouveau coup du mépris

Le monarque Macron a de nouveau manifesté son mépris vis-à-vis des corps intermédiaires d’abord en utilisant des procédures d’urgence au parlement ainsi privé de débat ensuite en refusant de rencontrer les syndicats.

Pour un peu on aurait pu s’attendre à ce qu’il substitue au parlement et au syndicat une nouvelle convention bidon. La président de la république répond clairement « à la demande d’audience des syndicats : c’est non! . Et pour bien se faire comprendre, Macron invite les syndicats à voir le concierge, c’est-à-dire Élisabeth Borne qui elle-même renvoie au ministre du travail. Ce dernier n’a pas non plus envisagé une rencontre .

Macron a donc répondu par le mépris ce vendredi à la lettre adressée par l’intersyndicale sur la réforme des retraites, en réaffirmant sa détermination à mener à bien le projet de loi.
« Le gouvernement est, comme il l’a toujours été, à votre écoute pour avancer par le dialogue, trouver des solutions innovantes, sans transiger sur la nécessité de restaurer un équilibre durable de notre régime de retraite », écrit-il, tout en se disant attentif aux « angoisses » d’une partie des Français. Il a par ailleurs refusé de rencontrer lui-même les syndicats.

« Emmanuel Macron fait du Macron. Il méprise les relations syndicales », a affirmé vendredi 10 mars sur franceinfo Fabien Villedieu, délégué syndical Sud-Rail, à la veille d’une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites, et alors que le chef de l’État n’a pas répondu favorablement à la demande des organisations syndicales d’être reçues.

Emmanuel Macron « méprise les corps intermédiaires, il méprise la mobilisation, il méprise tout le rapport de force qui est créé, toute cette souffrance, tous les gens qui sont mobilisés, tous les gens qui souffrent », martèle Fabien Villedieu. Le délégué Sud-Rail reproche au président de la République d’avoir « fermé la porte » à la discussion et dénonce « une forme de mépris total ».

« Au lieu d’essayer de trouver des solutions, de s’investir, de mouiller sa chemise, Emmanuel Macron ferme la porte, refuse de discuter. »

Fabien Villedieu constate que la situation est « bloquée » depuis le début de la contestation. « Ça fait un mois et demi qu’on se mobilise. Ça fait un mois et demi que, visiblement, les interlocuteurs qu’on a ne suffisent pas. » Les syndicats avaient « essayé, naïvement peut-être, d’impliquer le président de la République pour essayer de sortir par le haut de cette crise sociale » estime-t-il, pointant « une fin de non-recevoir » du chef de l’Etat.

rencontre avec Macron: Le nouveau coup du mépris

Rencontre syndicats- Macron: Le nouveau coup du mépris

Le monarque Macron a de nouveau manifesté son mépris vis-à-vis des corps intermédiaires d’abord en utilisant des procédures d’urgence au parlement ainsi privé de débat ensuite en refusant de rencontrer les syndicats.

Pour un peu on aurait pu s’attendre à ce qu’il substitue au parlement et au syndicat une nouvelle convention bidon. La président de la république répond clairement « à la demande d’audience des syndicats e: c’est non. Et pour bien se faire comprendre, Macron invite les syndicats à voir le concierge, c’est-à-dire Élisabeth Borne qui elle-même renvoie au ministre du travail. Ce dernier n’a pas non plus envisagé une rencontre .

Macron a donc répondu par le mépris ce vendredi à la lettre adressée par l’intersyndicale sur la réforme des retraites, en réaffirmant sa détermination à mener à bien le projet de loi.
« Le gouvernement est, comme il l’a toujours été, à votre écoute pour avancer par le dialogue, trouver des solutions innovantes, sans transiger sur la nécessité de restaurer un équilibre durable de notre régime de retraite », écrit-il, tout en se disant attentif aux « angoisses » d’une partie des Français. Il a par ailleurs refusé de rencontrer lui-même les syndicats.

« Emmanuel Macron fait du Macron. Il méprise les relations syndicales », a affirmé vendredi 10 mars sur franceinfo Fabien Villedieu, délégué syndical Sud-Rail, à la veille d’une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites, et alors que le chef de l’État n’a pas répondu favorablement à la demande des organisations syndicales d’être reçues.

Emmanuel Macron « méprise les corps intermédiaires, il méprise la mobilisation, il méprise tout le rapport de force qui est créé, toute cette souffrance, tous les gens qui sont mobilisés, tous les gens qui souffrent », martèle Fabien Villedieu. Le délégué Sud-Rail reproche au président de la République d’avoir « fermé la porte » à la discussion et dénonce « une forme de mépris total ».

« Au lieu d’essayer de trouver des solutions, de s’investir, de mouiller sa chemise, Emmanuel Macron ferme la porte, refuse de discuter. »

Fabien Villedieu constate que la situation est « bloquée » depuis le début de la contestation. « Ça fait un mois et demi qu’on se mobilise. Ça fait un mois et demi que, visiblement, les interlocuteurs qu’on a ne suffisent pas. » Les syndicats avaient « essayé, naïvement peut-être, d’impliquer le président de la République pour essayer de sortir par le haut de cette crise sociale » estime-t-il, pointant « une fin de non-recevoir » du chef de l’Etat.

Site de rencontre : attention à l’amour escroquerie


Site de rencontre : attention à l’amour escroquerie


Par Stéphane Calé, administrateur du Clusif

31% des Français ont déjà utilisé les services d’un site ou d’une application de rencontre en ligne (étude IFOP pour Facebook). Ce qui fait qu’aujourd’hui, un quart des couples se sont rencontrés en ligne (étude faireparterie.fr).

Malheureusement Cupidon n’est pas le seul à fréquenter la toile, car c’est aussi le terrain de chasse d’un type particulier d’arnaqueurs : les « arnacœurs » qui vont jouer avec les sentiments de leurs proies pour leur dérober de l’argent.

Ce phénomène n’est pas anodin. Ainsi, selon la Federal Trade Commission, ce type d’escroquerie a entrainé, aux États-Unis, un préjudice de 547 millions de dollars en 2021.
Comment procède l’« arnacoeur » ?

Il procède par étapes. Tout d’abord, il effectue des recherches sur sa cible pour connaitre ses centres d’intérêt et ses attentes (par exemple, homme brun musclé), afin de se construire un profil idéal, répondant en tout point à ses critères. Il prend ensuite contact avec sa proie, via un site de rencontre ou un réseau social. Il peut ainsi la faire tomber sous son charme, grâce à ses attentions, ses compliments. Cela lui permet d’obtenir la confiance de sa victime. C’est alors qu’il en profite pour lui soutirer de l’argent, sous un prétexte fallacieux. Par exemple, un de ses proches est atteint d’une terrible maladie et doit suivre en urgence un traitement très coûteux. Ou, habitant à l’étranger, il aimerait vraiment concrétiser cet amour naissant, mais ne dispose malheureusement pas des fonds nécessaires pour acheter le billet d’avion. Ou encore, il prétend souhaiter faire profiter sa victime de l’« Affaire du siècle », grâce à son placement miracle dans les cryptomonnaies, celle-ci pourra alors tripler sa mise en moins de six mois.

Mais l’« arnacoeur » peut aussi utiliser des techniques plus brutales pour arriver à ses fins. Il pourra par exemple, menacer sa victime de révéler des informations, des photographies, des vidéos compromettantes qu’il aura obtenues lors de ces échanges privilégiés, pour lui extorquer l’argent demandé.
La perte d’argent, n’est pas le seul risque qui pèse sur ces victimes potentielles, car elles peuvent également être amenées à participer involontairement à une opération de blanchiment d’argent. L’« arnacoeur », pourra, par exemple, prétexter de problèmes de succession, pour transférer sur le compte bancaire de sa victime de l’argent « sale ». Puis demander ensuite à cette dernière de lui renvoyer cet argent par un mandat, à destination d’un autre pays. La victime peut ainsi se retrouver être la seule à devoir répondre de ce délit auprès de la justice.

Quand on interroge ces victimes, ce n’est généralement pas de ces pertes financières ou des risques juridiques qu’elles ont le plus souffert, mais bien des impacts psychologiques. Cette souffrance morale, liée entre autres à la honte de s’être ainsi fait berner, pouvant même conduire la victime à utiliser des mécanismes de protection psychologique, tel que le déni de reconnaitre la situation, contre toute évidence.

Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, ce type d’arnaque n’est pas né avec Internet, son origine remonterait au XVIe siècle et se nommait alors la « prisonnière espagnole ». A l’époque, la victime recevait une lettre d’une belle et très riche princesse espagnole qui avait été enlevée par des Ottomans. Ceux-ci réclamaient une forte rançon pour la libérer, mais si le destinataire de cette lettre avait la gentillesse de lui avancer cette somme, la belle princesse saurait se montrer reconnaissante et irait même jusqu’à lui accorder sa main.

Alors pourquoi évoquons-nous aujourd’hui les techniques de ces malandrins ? C’est parce que selon une étude réalisée par l’éditeur de logiciels ESET, 52% des personnes interrogées déclarent que la solitude, en cette période de Saint-Valentin, les rend plus vulnérables à ce type d’arnaque. Donc si cela vous arrive ou à l’un de vos proches, n’hésitez pas à porter plainte pour escroquerie aux sentiments, auprès de la plate-forme en ligne THESEE (Traitement Harmonisé des Enquêtes et Signalements pour les E-Escroqueries), accessible depuis le site web officiel de l’administration française.

Politique-Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

Politique-Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que la rencontre du président français et du président de l’Ukraine s’est déroulé dans une ambiance très tiède. Pourtant, Macron n’a cessé de gesticuler pour se rapprocher physiquement de Zelensky lors des photos officielles.

Et de multiplier à l’outrance les poignées de main et les tapes dans le dos.

Une attitude que ne semblait pas apprécier particulièrement le président de l’Ukraine.

Évidemment, il y a le contentieux après la déclaration de Macron qui avait affirmé à plusieurs fois « qu’il ne fallait pas humilier la Russie ». Mais il y a aussi le présent surtout nourri de propos bienveillants pour l’Ukraine mais peu suivis  d’effet en matière de fourniture d’armement. Preuve encore cette annonce de Macron de fournir six canons supplémentaires ; une véritable aumône quand les Russes en disposent de centaines.

Et pour l’avenir ce curieux statut qui serait attribué à l’Ukraine comme candidat immédiat à l’union européenne. Un artifice sémantique qui ne change strictement rien au délai nécessaire entré dans l’Union à savoir au moins 10 ans voir 15 ans.

La vérité c’est que le président français n’avait pas grand-chose de nouveau a apporté est sans doute ne le souhaitait-il pas. Une rencontre relevant surtout de la communication et qui laisse en l’état l’isolement de l’Ukraine face à la Russie. Il paraît en effet de plus en plus clair que les Européens en majorité souhaiteraient bien que Ukraine sacrifie une partie de son territoire pour calmer Poutine. Bref l’esprit Munich quoi qui gagne une Europe  politiquement fatiguée et résignée.

Politique-Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que la rencontre du président français et du président de l’Ukraine s’est déroulé dans une ambiance très tiède. Pourtant, Macron n’a cessé de gesticuler pour se rapprocher physiquement de Zelensky lors des photos officielles.

Et de multiplier à l’outrance les poignées de main et les tapes dans le dos.

Une attitude que ne semblait pas apprécier particulièrement le président de l’Ukraine.

Évidemment, il y a le contentieux après la déclaration de Macron qui avait affirmé à plusieurs fois « qu’il ne fallait pas humilier la Russie ». Mais il y a aussi le présent surtout nourri de propos bienveillants pour l’Ukraine mais peu suivis  d’effet en matière de fourniture d’armement. Preuve encore cette annonce de Macron de fournir six canons supplémentaires ; une véritable aumône quand les Russes en disposent de centaines.

Et pour l’avenir ce curieux statut qui serait attribué à l’Ukraine comme candidat immédiat à l’union européenne. Un artifice sémantique qui ne change strictement rien au délai nécessaire entré dans l’Union à savoir au moins 10 ans voir 15 ans.

La vérité c’est que le président français n’avait pas grand-chose de nouveau a apporté est sans doute ne le souhaitait-il pas. Une rencontre relevant surtout de la communication et qui laisse en l’état l’isolement de l’Ukraine face à la Russie. Il paraît en effet de plus en plus clair que les Européens en majorité souhaiteraient bien que Ukraine sacrifie une partie de son territoire pour calmer Poutine. Bref l’esprit Munich quoi qui gagne une Europe  politiquement fatiguée et résignée.

Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que la rencontre du président français et du président de l’Ukraine s’est déroulé dans une ambiance très tiède. Pourtant, Macron n’a cessé de gesticuler pour se rapprocher physiquement de Zelensky lors des photos officielles.

Et de multiplier à l’outrance les poignées de main et les tapes dans le dos.

Une attitude que ne semblait pas apprécier particulièrement le président de l’Ukraine.

Évidemment, il y a le contentieux après la déclaration de Macron qui avait affirmé à plusieurs fois « qu’il ne fallait pas humilier la Russie ». Mais il y a aussi le présent surtout nourri de propos bienveillants pour l’Ukraine mais peu suivis  d’effet en matière de fourniture d’armement. Preuve encore cette annonce de Macron de fournir six canons supplémentaires ; une véritable aumône quand les Russes en disposent de centaines.

Et pour l’avenir ce curieux statut qui serait attribué à l’Ukraine comme candidat immédiat à l’union européenne. Un artifice sémantique qui ne change strictement rien au délai nécessaire entré dans l’Union à savoir au moins 10 ans voir 15 ans.

La vérité c’est que le président français n’avait pas grand-chose de nouveau a apporté est sans doute ne le souhaitait-il pas. Une rencontre relevant surtout de la communication et qui laisse en l’état l’isolement de l’Ukraine face à la Russie. Il paraît en effet de plus en plus clair que les Européens en majorité souhaiteraient bien que Ukraine sacrifie une partie de son territoire pour calmer Poutine. Bref l’esprit Munich quoi qui gagne une Europe  politiquement fatiguée et résignée.

Ukraine : Poutine pris au piège d’une rencontre avec Zelensky

Ukraine : Poutine pris au piège d’une rencontre avec  Zelensky

 

D’après les négociateurs ukrainiens, les conditions sont suffisantes pour une rencontre Zelensky-Poutine.

Une belle nouvelle évidemment si cela peut déboucher sinon sur un accord au moins sur un arrêt des combats.
Reste qu’il s’agit d’ores et déjà d’une véritable claque pour Poutine qui avait nié l’existence de l’Ukraine et la légitimité de son président considéré comme un un clown voie comme un drogué voir .

De son côté, l’Ukraine montre ainsi son sens des responsabilités et remet aussi à niveau la posture politique de son président.
Une couleuvre qui sera difficile à avaler pour Poutine qui a toujours affiché le plus grand mépris vis-à-vis des dirigeants de l’Ukraine.

Le seul fait d’envisager une rencontre Zelensky-Poutine témoigne de la défaite du dictateur russe.

Pour preuve des difficultés à se résoudre un jour à une rencontre, Poutine envoie des seconds couteaux dans les négociations pour ne pas se compromettre. Mais des seconds couteaux suffisamment importants pour d’ores et déjà engager des négociations incontournables si Poutine ne veut pas faire plonger la Russie dans une crise politique et économique encore plus dramatique.

Les pourparlers entre la Russie et l’Ukraine mardi à Istanbul ont été «substantiels» et ouvrent la voie à une rencontre entre les présidents Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky pour mettre fin au conflit qui a débuté il y a plus d’un mois, ont estimé les négociateurs des deux camps après trois heures de discussions.

A l’issue de ces négociations qui se tenaient au palais de Dolmabahçe à Istanbul, le chef de la délégation russe et représentant du Kremlin, Vladimir Medinski, a fait état de «discussions substantielles» et dit que les propositions «claires» de l’Ukraine en vue d’un accord allaient être «étudiées très prochainement et soumises au président» Vladimir Poutine.

Il a estimé qu’un sommet entre Poutine et Zelensky serait possible en cas d’accord pour mettre fin aux hostilités. Depuis le début de l’invasion russe le 24 février, Moscou avait toujours écarté cette proposition de Kiev.

Signe que les discussions ont avancé, le vice-ministre de la Défense russe Alexandre Fomine a annoncé que Moscou allait «réduire radicalement (son) activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv», dans le nord du pays, les négociations sur un accord sur la neutralité de l’Ukraine «entrant dans une phase pratique».

 

Sommet union européenne à Versailles : une rencontre inadaptée aux enjeux du moment

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D’une certaine manière, le sommet européen de Versailles qui devait se tenir notamment sur la question de la menace russe en Ukraine a  éludé le problème. On peut dire que les décisions certes importantes sont cependant relativement intemporelles puisqu’il s’agit de renforcer la souveraineté économique voire d’envisager une politique de défense le moment venu. Sur le strict terrain de l’énergie on a convenu que l’union européenne devrait se passer du gaz russe d’ici 2027. Quant à l’éventuelle candidature de l’Ukraine à l’union européenne elle a été renvoyée aux calendes grecques. En attendant 2027, l’union européenne reconnaît sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie et va donc continuer d’alimenter financièrement la dictature qui répand la terreur et la mort en Ukraine.

Sans doute pour masquer les noms décisions et les contradictions de l’union européenne, Macron a indiqué que l’Europe prendrait des sanctions encore plus massives si la Russie durcissait encore son entreprise de guerre. Des mots de synthèse très vagues qui cachent  en réalité les nombreuses oppositions en Europe tant sur le plan économique que politique vis-à-vis de la Russie.

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