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Politique Rencontre syndicats- Macron: Le nouveau coup du mépris

Politique Rencontre syndicats- Macron: Le nouveau coup du mépris

Le monarque Macron a de nouveau manifesté son mépris vis-à-vis des corps intermédiaires d’abord en utilisant des procédures d’urgence au parlement ainsi privé de débat ensuite en refusant de rencontrer les syndicats.

Pour un peu on aurait pu s’attendre à ce qu’il substitue au parlement et au syndicat une nouvelle convention bidon. La président de la république répond clairement « à la demande d’audience des syndicats : c’est non! . Et pour bien se faire comprendre, Macron invite les syndicats à voir le concierge, c’est-à-dire Élisabeth Borne qui elle-même renvoie au ministre du travail. Ce dernier n’a pas non plus envisagé une rencontre .

Macron a donc répondu par le mépris ce vendredi à la lettre adressée par l’intersyndicale sur la réforme des retraites, en réaffirmant sa détermination à mener à bien le projet de loi.
« Le gouvernement est, comme il l’a toujours été, à votre écoute pour avancer par le dialogue, trouver des solutions innovantes, sans transiger sur la nécessité de restaurer un équilibre durable de notre régime de retraite », écrit-il, tout en se disant attentif aux « angoisses » d’une partie des Français. Il a par ailleurs refusé de rencontrer lui-même les syndicats.

« Emmanuel Macron fait du Macron. Il méprise les relations syndicales », a affirmé vendredi 10 mars sur franceinfo Fabien Villedieu, délégué syndical Sud-Rail, à la veille d’une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites, et alors que le chef de l’État n’a pas répondu favorablement à la demande des organisations syndicales d’être reçues.

Emmanuel Macron « méprise les corps intermédiaires, il méprise la mobilisation, il méprise tout le rapport de force qui est créé, toute cette souffrance, tous les gens qui sont mobilisés, tous les gens qui souffrent », martèle Fabien Villedieu. Le délégué Sud-Rail reproche au président de la République d’avoir « fermé la porte » à la discussion et dénonce « une forme de mépris total ».

« Au lieu d’essayer de trouver des solutions, de s’investir, de mouiller sa chemise, Emmanuel Macron ferme la porte, refuse de discuter. »

Fabien Villedieu constate que la situation est « bloquée » depuis le début de la contestation. « Ça fait un mois et demi qu’on se mobilise. Ça fait un mois et demi que, visiblement, les interlocuteurs qu’on a ne suffisent pas. » Les syndicats avaient « essayé, naïvement peut-être, d’impliquer le président de la République pour essayer de sortir par le haut de cette crise sociale » estime-t-il, pointant « une fin de non-recevoir » du chef de l’Etat.

rencontre avec Macron: Le nouveau coup du mépris

Rencontre syndicats- Macron: Le nouveau coup du mépris

Le monarque Macron a de nouveau manifesté son mépris vis-à-vis des corps intermédiaires d’abord en utilisant des procédures d’urgence au parlement ainsi privé de débat ensuite en refusant de rencontrer les syndicats.

Pour un peu on aurait pu s’attendre à ce qu’il substitue au parlement et au syndicat une nouvelle convention bidon. La président de la république répond clairement « à la demande d’audience des syndicats e: c’est non. Et pour bien se faire comprendre, Macron invite les syndicats à voir le concierge, c’est-à-dire Élisabeth Borne qui elle-même renvoie au ministre du travail. Ce dernier n’a pas non plus envisagé une rencontre .

Macron a donc répondu par le mépris ce vendredi à la lettre adressée par l’intersyndicale sur la réforme des retraites, en réaffirmant sa détermination à mener à bien le projet de loi.
« Le gouvernement est, comme il l’a toujours été, à votre écoute pour avancer par le dialogue, trouver des solutions innovantes, sans transiger sur la nécessité de restaurer un équilibre durable de notre régime de retraite », écrit-il, tout en se disant attentif aux « angoisses » d’une partie des Français. Il a par ailleurs refusé de rencontrer lui-même les syndicats.

« Emmanuel Macron fait du Macron. Il méprise les relations syndicales », a affirmé vendredi 10 mars sur franceinfo Fabien Villedieu, délégué syndical Sud-Rail, à la veille d’une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites, et alors que le chef de l’État n’a pas répondu favorablement à la demande des organisations syndicales d’être reçues.

Emmanuel Macron « méprise les corps intermédiaires, il méprise la mobilisation, il méprise tout le rapport de force qui est créé, toute cette souffrance, tous les gens qui sont mobilisés, tous les gens qui souffrent », martèle Fabien Villedieu. Le délégué Sud-Rail reproche au président de la République d’avoir « fermé la porte » à la discussion et dénonce « une forme de mépris total ».

« Au lieu d’essayer de trouver des solutions, de s’investir, de mouiller sa chemise, Emmanuel Macron ferme la porte, refuse de discuter. »

Fabien Villedieu constate que la situation est « bloquée » depuis le début de la contestation. « Ça fait un mois et demi qu’on se mobilise. Ça fait un mois et demi que, visiblement, les interlocuteurs qu’on a ne suffisent pas. » Les syndicats avaient « essayé, naïvement peut-être, d’impliquer le président de la République pour essayer de sortir par le haut de cette crise sociale » estime-t-il, pointant « une fin de non-recevoir » du chef de l’Etat.

Site de rencontre : attention à l’amour escroquerie


Site de rencontre : attention à l’amour escroquerie


Par Stéphane Calé, administrateur du Clusif

31% des Français ont déjà utilisé les services d’un site ou d’une application de rencontre en ligne (étude IFOP pour Facebook). Ce qui fait qu’aujourd’hui, un quart des couples se sont rencontrés en ligne (étude faireparterie.fr).

Malheureusement Cupidon n’est pas le seul à fréquenter la toile, car c’est aussi le terrain de chasse d’un type particulier d’arnaqueurs : les « arnacœurs » qui vont jouer avec les sentiments de leurs proies pour leur dérober de l’argent.

Ce phénomène n’est pas anodin. Ainsi, selon la Federal Trade Commission, ce type d’escroquerie a entrainé, aux États-Unis, un préjudice de 547 millions de dollars en 2021.
Comment procède l’« arnacoeur » ?

Il procède par étapes. Tout d’abord, il effectue des recherches sur sa cible pour connaitre ses centres d’intérêt et ses attentes (par exemple, homme brun musclé), afin de se construire un profil idéal, répondant en tout point à ses critères. Il prend ensuite contact avec sa proie, via un site de rencontre ou un réseau social. Il peut ainsi la faire tomber sous son charme, grâce à ses attentions, ses compliments. Cela lui permet d’obtenir la confiance de sa victime. C’est alors qu’il en profite pour lui soutirer de l’argent, sous un prétexte fallacieux. Par exemple, un de ses proches est atteint d’une terrible maladie et doit suivre en urgence un traitement très coûteux. Ou, habitant à l’étranger, il aimerait vraiment concrétiser cet amour naissant, mais ne dispose malheureusement pas des fonds nécessaires pour acheter le billet d’avion. Ou encore, il prétend souhaiter faire profiter sa victime de l’« Affaire du siècle », grâce à son placement miracle dans les cryptomonnaies, celle-ci pourra alors tripler sa mise en moins de six mois.

Mais l’« arnacoeur » peut aussi utiliser des techniques plus brutales pour arriver à ses fins. Il pourra par exemple, menacer sa victime de révéler des informations, des photographies, des vidéos compromettantes qu’il aura obtenues lors de ces échanges privilégiés, pour lui extorquer l’argent demandé.
La perte d’argent, n’est pas le seul risque qui pèse sur ces victimes potentielles, car elles peuvent également être amenées à participer involontairement à une opération de blanchiment d’argent. L’« arnacoeur », pourra, par exemple, prétexter de problèmes de succession, pour transférer sur le compte bancaire de sa victime de l’argent « sale ». Puis demander ensuite à cette dernière de lui renvoyer cet argent par un mandat, à destination d’un autre pays. La victime peut ainsi se retrouver être la seule à devoir répondre de ce délit auprès de la justice.

Quand on interroge ces victimes, ce n’est généralement pas de ces pertes financières ou des risques juridiques qu’elles ont le plus souffert, mais bien des impacts psychologiques. Cette souffrance morale, liée entre autres à la honte de s’être ainsi fait berner, pouvant même conduire la victime à utiliser des mécanismes de protection psychologique, tel que le déni de reconnaitre la situation, contre toute évidence.

Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, ce type d’arnaque n’est pas né avec Internet, son origine remonterait au XVIe siècle et se nommait alors la « prisonnière espagnole ». A l’époque, la victime recevait une lettre d’une belle et très riche princesse espagnole qui avait été enlevée par des Ottomans. Ceux-ci réclamaient une forte rançon pour la libérer, mais si le destinataire de cette lettre avait la gentillesse de lui avancer cette somme, la belle princesse saurait se montrer reconnaissante et irait même jusqu’à lui accorder sa main.

Alors pourquoi évoquons-nous aujourd’hui les techniques de ces malandrins ? C’est parce que selon une étude réalisée par l’éditeur de logiciels ESET, 52% des personnes interrogées déclarent que la solitude, en cette période de Saint-Valentin, les rend plus vulnérables à ce type d’arnaque. Donc si cela vous arrive ou à l’un de vos proches, n’hésitez pas à porter plainte pour escroquerie aux sentiments, auprès de la plate-forme en ligne THESEE (Traitement Harmonisé des Enquêtes et Signalements pour les E-Escroqueries), accessible depuis le site web officiel de l’administration française.

Politique-Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

Politique-Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que la rencontre du président français et du président de l’Ukraine s’est déroulé dans une ambiance très tiède. Pourtant, Macron n’a cessé de gesticuler pour se rapprocher physiquement de Zelensky lors des photos officielles.

Et de multiplier à l’outrance les poignées de main et les tapes dans le dos.

Une attitude que ne semblait pas apprécier particulièrement le président de l’Ukraine.

Évidemment, il y a le contentieux après la déclaration de Macron qui avait affirmé à plusieurs fois « qu’il ne fallait pas humilier la Russie ». Mais il y a aussi le présent surtout nourri de propos bienveillants pour l’Ukraine mais peu suivis  d’effet en matière de fourniture d’armement. Preuve encore cette annonce de Macron de fournir six canons supplémentaires ; une véritable aumône quand les Russes en disposent de centaines.

Et pour l’avenir ce curieux statut qui serait attribué à l’Ukraine comme candidat immédiat à l’union européenne. Un artifice sémantique qui ne change strictement rien au délai nécessaire entré dans l’Union à savoir au moins 10 ans voir 15 ans.

La vérité c’est que le président français n’avait pas grand-chose de nouveau a apporté est sans doute ne le souhaitait-il pas. Une rencontre relevant surtout de la communication et qui laisse en l’état l’isolement de l’Ukraine face à la Russie. Il paraît en effet de plus en plus clair que les Européens en majorité souhaiteraient bien que Ukraine sacrifie une partie de son territoire pour calmer Poutine. Bref l’esprit Munich quoi qui gagne une Europe  politiquement fatiguée et résignée.

Politique-Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que la rencontre du président français et du président de l’Ukraine s’est déroulé dans une ambiance très tiède. Pourtant, Macron n’a cessé de gesticuler pour se rapprocher physiquement de Zelensky lors des photos officielles.

Et de multiplier à l’outrance les poignées de main et les tapes dans le dos.

Une attitude que ne semblait pas apprécier particulièrement le président de l’Ukraine.

Évidemment, il y a le contentieux après la déclaration de Macron qui avait affirmé à plusieurs fois « qu’il ne fallait pas humilier la Russie ». Mais il y a aussi le présent surtout nourri de propos bienveillants pour l’Ukraine mais peu suivis  d’effet en matière de fourniture d’armement. Preuve encore cette annonce de Macron de fournir six canons supplémentaires ; une véritable aumône quand les Russes en disposent de centaines.

Et pour l’avenir ce curieux statut qui serait attribué à l’Ukraine comme candidat immédiat à l’union européenne. Un artifice sémantique qui ne change strictement rien au délai nécessaire entré dans l’Union à savoir au moins 10 ans voir 15 ans.

La vérité c’est que le président français n’avait pas grand-chose de nouveau a apporté est sans doute ne le souhaitait-il pas. Une rencontre relevant surtout de la communication et qui laisse en l’état l’isolement de l’Ukraine face à la Russie. Il paraît en effet de plus en plus clair que les Européens en majorité souhaiteraient bien que Ukraine sacrifie une partie de son territoire pour calmer Poutine. Bref l’esprit Munich quoi qui gagne une Europe  politiquement fatiguée et résignée.

Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

Rencontre Zélensky-Macron: très tiède

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que la rencontre du président français et du président de l’Ukraine s’est déroulé dans une ambiance très tiède. Pourtant, Macron n’a cessé de gesticuler pour se rapprocher physiquement de Zelensky lors des photos officielles.

Et de multiplier à l’outrance les poignées de main et les tapes dans le dos.

Une attitude que ne semblait pas apprécier particulièrement le président de l’Ukraine.

Évidemment, il y a le contentieux après la déclaration de Macron qui avait affirmé à plusieurs fois « qu’il ne fallait pas humilier la Russie ». Mais il y a aussi le présent surtout nourri de propos bienveillants pour l’Ukraine mais peu suivis  d’effet en matière de fourniture d’armement. Preuve encore cette annonce de Macron de fournir six canons supplémentaires ; une véritable aumône quand les Russes en disposent de centaines.

Et pour l’avenir ce curieux statut qui serait attribué à l’Ukraine comme candidat immédiat à l’union européenne. Un artifice sémantique qui ne change strictement rien au délai nécessaire entré dans l’Union à savoir au moins 10 ans voir 15 ans.

La vérité c’est que le président français n’avait pas grand-chose de nouveau a apporté est sans doute ne le souhaitait-il pas. Une rencontre relevant surtout de la communication et qui laisse en l’état l’isolement de l’Ukraine face à la Russie. Il paraît en effet de plus en plus clair que les Européens en majorité souhaiteraient bien que Ukraine sacrifie une partie de son territoire pour calmer Poutine. Bref l’esprit Munich quoi qui gagne une Europe  politiquement fatiguée et résignée.

Ukraine : Poutine pris au piège d’une rencontre avec Zelensky

Ukraine : Poutine pris au piège d’une rencontre avec  Zelensky

 

D’après les négociateurs ukrainiens, les conditions sont suffisantes pour une rencontre Zelensky-Poutine.

Une belle nouvelle évidemment si cela peut déboucher sinon sur un accord au moins sur un arrêt des combats.
Reste qu’il s’agit d’ores et déjà d’une véritable claque pour Poutine qui avait nié l’existence de l’Ukraine et la légitimité de son président considéré comme un un clown voie comme un drogué voir .

De son côté, l’Ukraine montre ainsi son sens des responsabilités et remet aussi à niveau la posture politique de son président.
Une couleuvre qui sera difficile à avaler pour Poutine qui a toujours affiché le plus grand mépris vis-à-vis des dirigeants de l’Ukraine.

Le seul fait d’envisager une rencontre Zelensky-Poutine témoigne de la défaite du dictateur russe.

Pour preuve des difficultés à se résoudre un jour à une rencontre, Poutine envoie des seconds couteaux dans les négociations pour ne pas se compromettre. Mais des seconds couteaux suffisamment importants pour d’ores et déjà engager des négociations incontournables si Poutine ne veut pas faire plonger la Russie dans une crise politique et économique encore plus dramatique.

Les pourparlers entre la Russie et l’Ukraine mardi à Istanbul ont été «substantiels» et ouvrent la voie à une rencontre entre les présidents Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky pour mettre fin au conflit qui a débuté il y a plus d’un mois, ont estimé les négociateurs des deux camps après trois heures de discussions.

A l’issue de ces négociations qui se tenaient au palais de Dolmabahçe à Istanbul, le chef de la délégation russe et représentant du Kremlin, Vladimir Medinski, a fait état de «discussions substantielles» et dit que les propositions «claires» de l’Ukraine en vue d’un accord allaient être «étudiées très prochainement et soumises au président» Vladimir Poutine.

Il a estimé qu’un sommet entre Poutine et Zelensky serait possible en cas d’accord pour mettre fin aux hostilités. Depuis le début de l’invasion russe le 24 février, Moscou avait toujours écarté cette proposition de Kiev.

Signe que les discussions ont avancé, le vice-ministre de la Défense russe Alexandre Fomine a annoncé que Moscou allait «réduire radicalement (son) activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv», dans le nord du pays, les négociations sur un accord sur la neutralité de l’Ukraine «entrant dans une phase pratique».

 

Sommet union européenne à Versailles : une rencontre inadaptée aux enjeux du moment

Sommet union européenne à Versailles : une rencontre inadaptée aux enjeux du moment

 

D’une certaine manière, le sommet européen de Versailles qui devait se tenir notamment sur la question de la menace russe en Ukraine a  éludé le problème. On peut dire que les décisions certes importantes sont cependant relativement intemporelles puisqu’il s’agit de renforcer la souveraineté économique voire d’envisager une politique de défense le moment venu. Sur le strict terrain de l’énergie on a convenu que l’union européenne devrait se passer du gaz russe d’ici 2027. Quant à l’éventuelle candidature de l’Ukraine à l’union européenne elle a été renvoyée aux calendes grecques. En attendant 2027, l’union européenne reconnaît sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie et va donc continuer d’alimenter financièrement la dictature qui répand la terreur et la mort en Ukraine.

Sans doute pour masquer les noms décisions et les contradictions de l’union européenne, Macron a indiqué que l’Europe prendrait des sanctions encore plus massives si la Russie durcissait encore son entreprise de guerre. Des mots de synthèse très vagues qui cachent  en réalité les nombreuses oppositions en Europe tant sur le plan économique que politique vis-à-vis de la Russie.

Le site de rencontre Tinder refuse la campagne de pub de Macron

Le site de rencontre Tinder refuse la campagne de pub de Macron

 

Le mouvement de jeunesse de la macronie  avait l’intention d’investir les sites de rencontre pour faire la pub de Macron. En plus avec des slogans sulfureux comme » on a très envie de vous », référence érotique bien connue qui traduit la démarche douteuse et de très mauvais goût des jeunes d’en marche. 

Un compte qui devait afficher des photos sensuelles et érotiques sur un fond rose évocateur. Sur ces clichés, plusieurs couples hétérosexuels ou homosexuels s’embrassent en arrière-plan d’un slogan : «Je vote. Et toi ? Viens matcher avec la démocratie.» Un langage issu de ces plateformes pour rencontrer l’amour.

Vendredi, les «JAM» avaient déjà lancé une opération du même acabit dans un style plus évocateur. Reprenant les codes de Netflix, les «Jeunes avec Macron» avaient affiché une partie du visage du président de la République à côté d’un slogan très provocateur : «On a très envie de vous». Autant d’appels censés apparaître «inopinés» pour inciter le locataire de l’Élysée à solliciter à nouveau les suffrages des Français.

Un coup de communication que refuse Tinder. L’application de rencontre la plus populaire au monde a immédiatement dénoncé l’initiative des JAM. «Nous n’autorisons pas les faux profils, y compris ceux créés dans le cadre de campagnes politiques», comme le prévoient les conditions générales d’utilisation (CGU). « Nous prenons le sujet de l’usurpation d’identité et de la création de faux profils très au sérieux et avons une politique de tolérance zéro sur ce type de comportement. Si de faux profils sont créés, nous prendrons des mesures adéquates».

De son côté Bumble ne condamne pas l’initiative mais va le surveiller. «Pour garantir que l’application reste un lieu de rencontres respectueux, nous surveillons toute utilisation abusive de l’application [...] notamment la création de faux profils ou l’utilisation de Bumble à d’autres fins que celle des rencontres», explique un porte-parole de l’entreprise.

 

Présidentielle 2022 : Macron sur les sites de rencontre !

Présidentielle 2022 : Macron sur les sites de rencontre !

Le mouvement de jeunesse de la macronie  investit les sites de rencontre pour faire la pub de Macron. En plus avec des slogans sulfureux comme » on a très envie de vous », référence érotique bien connue qui traduit la démarche douteuse et de très mauvais goût des jeunes d’en marche. 

Un compte qui affichera des photos sensuelles et érotiques sur un fond rose évocateur. Sur ces clichés, plusieurs couples hétérosexuels ou homosexuels s’embrassent en arrière-plan d’un slogan : «Je vote. Et toi ? Viens matcher avec la démocratie.» Un langage issu de ces plateformes pour rencontrer l’amour.

Vendredi, les «JAM» avaient déjà lancé une opération du même acabit dans un style plus évocateur. Reprenant les codes de Netflix, les «Jeunes avec Macron» avaient affiché une partie du visage du président de la République à côté d’un slogan très provocateur : «On a très envie de vous». Autant d’appels censés apparaître «inopinés» pour inciter le locataire de l’Élysée à solliciter à nouveau les suffrages des Français.

Si l’allusion érotique avait fait le tour des réseaux sociaux, elle était aussi un moyen de faire la promotion de la nouvelle plateforme des macronistes – «Avec Vous» – en attendant l’entrée du président de la République dans la bataille. 

Une sulfureuse rencontre entre un conseiller de Macron et Marion Maréchal-Le Pen

Une sulfureuse rencontre  entre un conseiller de Macron et Marion Maréchal-Le Pen

On se demande bien quel était  la finalité politique de la rencontre entre Bruno Roger-Petit, conseiller du chef de l’État et Marion Maréchal Le Pen. Un déjeuner,-organisé à l’initiative du conseiller de l’Élysée,-qui sent un peu la tambouille politique. Cela d’autant plus que Marion Maréchal Le Pen représente effectivement un courant mais pour l’instant sans parti et sans intention de se présenter en 2022. Par contre elle peut nuire à Marine Le Pen.

La nouvelle de leur rencontre a aussitôt suscité de nombreuses réactions.

«Bruno Roger-Petit est passé par un ami pour me proposer de me rencontrer», explique au Monde l’ex-députée du Vaucluse, qui se dit intriguée par cette entrevue. «J’ai accepté : je ne refuse jamais de discuter par principe. Surtout que j’étais assez curieuse de connaître celui qui s’amusait à me traiter de nazie toutes les deux semaines quand j’étais députée», ajoute Marion Maréchal-Le Pen.

 

Également contacté, Bruno Roger-Petit n’a pas nié avoir rencontré Marion Maréchal, mais souligne que ce rendez-vous n’a eu lieu qu’«à titre personnel» : «Je voulais savoir ce qu’elle avait à dire et si elle était en résonance avec l’état de l’opinion – ce qui n’est pas le cas. J’ai dû constater que nous étions en désaccord», a précisé le conseiller. On a de la peine à croire qu’il ne le savait pas avant !

 «Il y a des gens qu’on ne  »sonde » pas  »à titre personnel », on les combat à titre collectif. Marion Maréchal et toute sa clique en font clairement partie» a par exemple réagi Astrid Panosyan, co-fondatrice du mouvement En Marche! sur Twitter.

 

 «Le prétendu  »nouveau » monde est en train de basculer vers du très très rance» s’est émue Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la Culture de François Hollande.

G7–Iran : une rencontre un jour peut-être ! (Trump)

G7–Iran : une rencontre un jour peut-être ! (Trump)  

 

 

La mise en scène de Macron aura été réussie surtout à propos de l’Iran. Reste qu’il s’agissait plutôt d’un acte de théâtral car il n’était nullement besoin de faire venir un responsable iranien pour connaître les positions de son pays. Le résultat c’est une promesse très vague d’éventuelle rencontre entre le président des États-Unis et le président iranien. Sans doute pour ne pas casser l’ambiance, Trump à consenti à dire que cette rencontre aurait lieu un jour peut-être si les conditions sont réunies. Pas d’engagement clair et ferme, seulement la continuité de la position du président américain.

Cette question qui a dominé le sommet a permis au passage éclipsé les deux questions importantes relatives à l’environnement et aux risques d’une nouvelle crise économique et financière mondiale.

Et, a poursuivi le chef de l’Etat français qui s’exprimait au côté de Donald Trump, “si le président iranien Hassan Rohani acceptait une rencontre avec le président américain, ma conviction c’est qu’un accord peut être trouvé”.

“Je souhaite que dans les prochaines semaines sur la base de ces échanges nous puissions réussir à avoir un entretien au sommet entre le président Rohani et le président Trump” auquel la France et ses partenaires européens pourraient être “pleinement associés”.”

“Nous avons créé les conditions de cette rencontre et d’un accord”, a-t-il ajouté, même s’il “faut toujours être prudent”. Les conventions conditions d’une rencontre sont déjà aléatoires quant à la perspective d’un accord il paraît encore bien illusoire.

Interrogé à ce sujet lors de la même conférence de presse, Donald Trump s’est dit prêt à rencontrer son homologue iranien “quand les circonstances seront réunies”,

 

“Ce que nous voulons est très simple”, avait-il dit. “Ça doit être non-nucléaire. Nous allons parler des missiles balistiques, nous allons parler du calendrier”.

“Mais ils doivent arrêter le terrorisme. Je pense qu’ils vont changer. Je le pense vraiment. Je pense qu’il y a une occasion pour eux qui se présente”, avait-il ajouté. “Ce que nous voulons c’est un bon Iran, un Iran vraiment fort, nous ne cherchons à changer le régime”.

Donald Trump avait par ailleurs fait savoir qu’il n’avait pas souhaité rencontrer pour sa part le ministre iranien à Biarritz, estimant que cela aurait été prématuré.

Cette période apparente de détente, entre Hassan Rohani et Donald Trump qui seront tous les deux à New York fin septembre pour l’Assemblée générale des Nations unies, intervient à quelques jours de l’ultimatum fixé par Téhéran aux Européens pour répondre à ses demandes concernant le respect de l’accord de 2015 sur le programme nucléaire iranien.

Signe de la difficulté de la négociation, deux responsables iraniens et un diplomate ont fait savoir dimanche à Reuters que l’Iran souhaitait exporter au minimum 700.000 barils de pétrole par jour et idéalement jusqu’à 1,5 million de bpj et ont répété que le programme de missiles balistiques de l’Iran ne pouvait et ne serait pas négociable.

Rencontre de Macron et des intellectuels : une caricature de débat ?

Rencontre de Macron et  des intellectuels : une caricature de débat ?

 

 

 

Mitterrand et Giscard ne se sont jamais consolés de n’être pas des écrivains, Sarkosy de n’être pas un milliardaire.  Macron, lui, se rêve en intellectuel, ce pourquoi il les sollicite peu. La rencontre à l’Elysée de Macron avec les intellectuels a donné lieu à peu d’échos tout simplement parce qu’elle n’a pas apporté grand chose. Faute d’appréciation qualitative, on se rabat sur une évaluation quantitative : le débat à duré plus de 8 Heures, un record. Mais un record à la mode de Castro qui finissait pour user son auditoire. Ce qu’a fait d’ailleurs Macron puisque la plupart des participants sont  partis avant la fin. Pas étonnant, en dépit de la pertinence des questions,  ce débat n’a rien appris de nouveau ; bref n’a servi à rien sauf à donner un vernis de théoricien à Macron.  Le problème avec Macron c’est qu’il se considère lui –même comme un intellectuel et délivre même des brevets de compétence ! Une soixantaine d’intellectuels pourtant avaient bien voulu répondre à l’invitation de Macron pour débattre des différentes dimensions de la crise actuelle. On avait ainsi autour de la table des psychologues, des climatologues, des sociologues, des philosophes et quelques représentants de sciences dures. Certes le niveau était sans doute un peu plus élevé que lors des réunions organisées dans le cadre du grand débat. Pourtant on a surtout relevé que ces intellectuels s’écartaient très peu du champ de leurs spécialités et avait bien du mal à procéder à une analyse globale et cohérente des facteurs explicatifs de la crise est encore davantage des perspectives d’avenir. Sans doute la conséquence du choix de ces intellectuels dont beaucoup sont assez conformistes et légitimistes. Notons que certains experts ont refusé de participer à l’exercice qui n’était pas un véritable débat d’intellectuels mais plutôt une sorte de questionnements et de réponses sur la politique actuelle du pouvoir. Un exercice dans lequel Macron excelle  puisqu’il peut en rester à des généralités voire des banalités sur fond de dialectique sorte de cocktail pseudo littéraire et de latin de messe  d’énarque. Il ne pouvait en être autrement car Macron  à une approche très réductrice du concept de démocratie et en particulier de l’idée de débat. Pour lui le débat s’inscrit dans une pédagogie de maître d’école  primaire. De toute manière, on ne débat pas avec 60 personnes, en juxtapose au mieux des questionnements de manière forcément sommaire. On ne se soumet pas à la synthèse et à la conclusion d’un seul homme fut-il  président de la république. Disons le clairement ces intellectuels qui ont bien du mal à être reconnus comme tels ont été instrumentalisés par Macron. Rencontre de Macron et  des intellectuels : une caricature de débat ?

 

Rencontre Macron avec les intellectuels : une caricature de débat ?

Rencontre Macron avec les intellectuels : une caricature de débat ?

 

 

 

Faute d’appréciation qualitative, on se rabat sur une évaluation quantitative : le débat à duré plus de 8 Heures, un record. Mais un record à la mode de Castro qui finissait pour user son auditoire. Ce qu’a fait fait d’ailleurs Macron puisque la majorité des participants est partie avant la fin. Pas étonnant, en dépit de la pertinence des questions,  ce débat n’a rien appris de nouveau ; bref n’a servi à rien sauf à donner un vernis de théoricien à Macron.  Le problème avec Macron c’est qu’il se considère lui –même comme un intellectuel et délivre même des brevets de compétence ! Une soixantaine d’intellectuels pourtant avaient bien voulu répondre à l’invitation de Macron pour débattre des différentes dimensions de la crise actuelle. On avait ainsi autour de la table des psychologues, des climatologues, des sociologues, des philosophes et quelques représentants de sciences dures. Certes le niveau était sans doute un peu plus élevé que lors des réunions organisées dans le cadre du grand débat. Pourtant on a surtout relevé que ces intellectuels s’écartaient très peu du champ de leurs spécialités et avait bien du mal à procéder à une analyse globale et cohérente des facteurs explicatifs de la crise est encore davantage des perspectives d’avenir. Sans doute la conséquence du choix de ces intellectuels dont beaucoup sont assez conformistes et légitimistes. Notons que certains experts ont refusé de participer à l’exercice qui n’était pas un véritable débat d’intellectuels mais plutôt une sorte de questionnements et de réponses sur la politique actuelle du pouvoir. Un exercice dans lequel Macron excelle  puisqu’il peut en rester à des généralités voire des banalités sur fond de dialectique sorte de cocktail pseudo littéraire et de latin de messe  d’énarque. Il ne pouvait en être autrement car Macron  à une approche très réductrice du concept de démocratie et en particulier de l’idée de débat. Pour lui le débat s’inscrit dans une pédagogie de maître d’école  primaire. De toute manière, on ne débat pas avec 60 personnes, en juxtapose au mieux des questionnements de manière forcément sommaire. On ne se soumet pas à la synthèse et à la conclusion d’un seul homme fut-il  président de la république. Disons le clairement ces intellectuels qui ont bien du mal à être reconnus comme tels ont été instrumentalisés par Macron.

 

Macron rencontre les partenaires sociaux : il était temps

Macron rencontre les partenaires sociaux : il était temps

 

Macron a sans doute intérêts à donner un autre contenu aux discussions avec les partenaires sociaux car jusque là, force est de constater qu’il s’est complètement assis sur la négociation. Ses rapports indirects le plus souvent se sont limités à une concertation dont il n’a pas tenu compte. Or de gros dossiers très complexes et politiquement dangereux vont venir comme les retraites ou le régime chômage. Macron ne pourra pas passer en force ces réformes à moins de mettre en cause encore davantage sa popularité. Officiellement, l’objet de cette rencontre est donc  de discuter des grands chantiers économiques et sociaux qui seront mis en œuvre dans les prochains mois. Mais les organisations syndicales espèrent un changement de méthode de la part de l’exécutif. Plusieurs d’entre elles, dont Force ouvrière et la CFDT, avaient demandé ce rendez-vous et en avaient fait une condition pour renouer un dialogue rompu depuis les réformes du Code du travail, de la formation professionnelle et de l’assurance chômage. “J’espère qu’il y aura un avant et un après 17 juillet”, a dit à Reuters le secrétaire général de FO, Pascal Pavageau. “Depuis un an, c’est : ‘je marche seul, je décide tout seul, sans les contrepoids, les contrepouvoirs’.” “J’espère sincèrement que, sur la méthode, tout va rentrer dans l’ordre. Ça n’enlèvera rien des désaccords de fond, d’orientation et de politique mais ça permettra au moins de reparler entre l’exécutif et les interlocuteurs sociaux.”

Le secrétaire général de la CFDT note pour sa part déjà un changement de ton de l’exécutif, depuis le discours d’Emmanuel Macron devant le Parlement réuni en congrès le 9 juillet. “Si je me fie au discours du Congrès, j’entends une prise de conscience que la question sociale ne peut être maltraitée et il me semble qu’il y a le souci d’écouter un peu plus les organisations … Alors je dis ‘chiche’”, dit Laurent Berger dans une interview publiée lundi par L’Opinion. Selon une source à l’Elysée, le chef de l’Etat abordera avec ses interlocuteurs les réformes déjà engagées, pour voir comment ils peuvent se saisir des “leviers mis à leur disposition”, en matière de négociation d’entreprise et de branche, notamment.

Il évoquera également les thèmes que les uns et les autres souhaitent aborder dans l’année à venir et rappellera “ses priorités” : “La pauvreté, la lutte contre la précarité et la pénurie de recrutement qu’on voit poindre aujourd’hui et le sujet du retour à l’activité et à l’emploi.”

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