Archive pour le Tag 'nouveau'

Sondage : 86 % prévoient un nouveau gouvernement en 2025

Sondage : 86 % prévoient un nouveau gouvernement en 2025

 

 

Dans l’esprit des Français le gouvernement Bayrou est déjà condamné, en effet 86 % à penser que le président de la République devra nommer un nouveau premier ministre en 2025, selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une prévision qui transcende les clivages politiques, une majorité des sympathisants de Renaissance (72 %) étant également de cet avis.

Il est clair pour la plupart des Français très informés de la situation politique qui occupe chaque jour les médias que le nouveau gouvernement de Bayrou ne tiendra pas longtemps en raison tout simplement de l’absence de soutien de la moindre majorité même très relative à l’Assemblée nationale. Ce qui reste de la majorité est par ailleurs très divisé entre les partisans data le, ceux d’Édouard Philippe, ce de Darmanin, voire de Retailleau et d’autres.

Sur le budget par exemple l’Assemblée nationale ne pourra pas trouver la synthèse nécessaire et Bayrou sera condamné à utiliser le passage en force avec application de l’article 49–3. Et on voit mal sur quels sujets l’assemblée nationale pourrait dégager une majorité. Il y a sans doute la loi concernant Mayotte mais une loi tellement théorique qu’elle n’engagera pas grand monde.

 

 

Trump veut à nouveau totalement autoriser Tik-Tok !

Trump veut à  nouveau  totalement autoriser  Tik-Tok !

 

Trump qui a bénéficié du soutien de Tik-Tok  veut suspendre la loi qui menace ce réseau social des Chinois.( Interdit en Chine !). Et d’affirmer sans complexe  «Le président Trump est le seul à posséder l’expertise nécessaire pour conclure des accords, le mandat des urnes, et la volonté politique pour négocier une solution afin de sauver la plateforme tout en répondant aux préoccupations de sécurité nationale exprimées par l’État»! 

 

En avril dernier, le Congrès a très largement voté en faveur d’une loi imposant à la maison-mère de TikTok, ByteDance, de vendre ses activités américaines avant le 19 janvier, faute de quoi l’application serait interdite. Elle vise à prévenir les risques d’espionnage et de manipulation par les autorités chinoises des utilisateurs de TikTok, qui en revendique 170 millions aux États-Unis.

 

La dette : priorité du nouveau ministre de l’économie

 

La dette : priorité du nouveau ministre de l’économie

Le discours est à usage interne quand le premier ministre- comme le nouveau ministre de l’économie- considère que la question de l’endettement est centrale. Un message aussi à usage externe aussi pour  rassurer les institutions extérieures notamment financières. Le nouveau ministre de l’économie a au moins le mérite comme technicien de bien connaître la problématique financière et de manière plus large économique. Le problème évidemment pour lui sera de savoir de quels espaces de manœuvre il dispose pour opérer un redressement en même temps qu’un travail de réindustrialisation. Le temps risque de lui manquer compte tenu de la faible assise sur laquelle repose au Parlement le nouveau gouvernement Bayrou.

« Plus nous sommes endettés, plus la dette coûte, plus elle étouffe le pays. Nous devons réduire le déficit sans tuer la croissance. C’est cet équilibre que nous devons rechercher et c’est le sens du projet de budget pour 2025 que nous allons poursuivre », a développé le nouveau ministre de l’économie, Eric Lombard, au cours de la cérémonie de passation de pouvoirs avec Antoine Armand au ministère de l’économie et des finances, ce lundi soir.

Un peu plus tôt dans la journée, le premier ministre, François Bayrou, a plaidé pour un retour de l’objectif de déficit public « autour » de 5 % ou « un peu plus » en 2025, là où son prédécesseur Michel Barnier avait mis la barre à 5 %. Egalement chargé de la souveraineté industrielle et numérique, Eric Lombard sera épaulé de deux ministres et trois ministres délégués, dont Amélie de Montchalin au ministère du budget, qui sera chargée de bâtir un budget.

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Baisse des taux d’intérêt : Nouveau pas des États-Unis

Baisse des taux d’intérêt : Nouveau  pas des États-Unis

 La Réserve fédérale américaine (Fed) a abaissé mercredi ses taux directeurs pour la troisième fois en autant de réunions mais a laissé entendre que le rythme de son assouplissement monétaire allait désormais ralentir en raison d’un taux de chômage relativement stable et d’un recul moins important de l’inflation.

« L’activité économique a continué de se développer à un rythme soutenu, avec un taux de chômage qui reste faible et une inflation qui reste élevée », a écrit le FOMC, le comité de politique monétaire de la banque centrale, dans son communiqué publié à l’issue d’une réunion de deux jours.

Les responsables de la banque centrale américaine, dans leurs nouvelles projections, ne prévoient désormais plus que deux réductions supplémentaires de taux d’un quart de point de pourcentage d’ici fin 2025.

 

 

Nouveau premier ministre : les écolos iront à l’Élysée

Nouveau premier ministre : les écolos iront à l’Élysée

 

Les Écologistes ont annoncé samedi 7 décembre qu’ils acceptaient l’invitation d’Emmanuel Macron pour un rendez-vous lundi à l’Élysée sur fond de formation du futur gouvernement, au contraire de La France insoumise qui a prévenu vendredi soir qu’elle ne s’y rendrait pas. «Les Écologistes se rendront à ce rendez-vous pour y avoir une discussion exigeante de méthode avec le président de la République», indique le parti dans un communiqué.

La délégation verte sera composée de Marine Tondelier, secrétaire nationale, et des deux chefs de groupe parlementaire, Cyrielle Chatelain et Guillaume Gontard. «Dans l’impasse politique dans laquelle notre pays se trouve, la stabilité de ce gouvernement ne peut exister que dans un dialogue avec les partis qui ont participé au Front républicain», ont ajouté Les Écologistes.

 

Immobilier : nouveau coup dur après la censure

Immobilier- Nouveau coup dur après la censure pour un secteur immobilier déjà englué dans une grave crise. Les mesures de soutien à l’immobilier contenues  dans le projet de budget disparaissent avec la censure du gouvernement. Parallèlement la dégradation de la situation financière publique va encore accentuer la hausse des taux d’intérêt dont on attendait pourtant une baisse significative après le net tassement de l’inflation; enfin,  il y a surtout les incertitudes c’est-à-dire le report des projets des entreprises et des particuliers qui vont attendre un éclaircissement de la crise politique avant de se lancer dans des investissements

La motion de censure Pour un secteur immobilier déjà englué dans une grave crise. Les mesures de soutien à l’immobilier contenu dans le projet de budget disparaissent avec la censure du gouvernement. Parallèlement la dégradation de la situation financière publique va encore accentuer la hausse des taux d’intérêt dont on attendait pourtant une baisse significative après le net tassement de l’inflation enfin il y a surtout les incertitudes c’est-à-dire le report des projets des entreprises et des particuliers qui vont attendre un éclaircissement de la crise politique avant de se lancer dans des investissements.

Un scénario du pire pour les acteurs de l’immobilier. « Nous devrons certainement alors nous référer au budget de 2024. Or, celui-ci n’avait aucune mesure de soutien au neuf, ni à l’ancien », explique à La Tribune, le président de la fédération de l’immobilier (Fnaim), Loïc Cantin. Ce carambolage politique intervient alors que les professionnels du bâtiment alertent sur une crise sectorielle de la construction et de l’immobilier. Au total, 150.000 emplois directs et 20.000 entreprises sont menacés.

Plus important encore pour les représentants du secteur : une série d’amendements des sénateurs ouvrant le prêt à taux zéro (PTZ) à l’ensemble du territoire et aux maisons individuelles neuves. Le dispositif est jusqu’à présent réservé aux appartements neufs dans des zones tendues.Des mesures « très utiles pour les jeunes ménages qui ne parviennent actuellement pas à devenir propriétaire » et qui pourrait bien aider à la relance des achats immobiliers, note Olivier Salleron de la FFB.

 

Pour un nouveau service national citoyen

Pour un nouveau service national citoyen

 Alors que le projet de loi de finances 2025 se précise pour faire face aux défis économiques, plusieurs dispositifs comme le SNU sont aujourd’hui dans le viseur du gouvernement. L’un d’eux pourrait être supprimé dans le cadre de ce budget, à l’initiative de Laurent Lafon, président de la commission de la Culture, de l’Éducation et de la Communication, et avec le soutien possible d’Éric Jeansannetas, prêt à déposer un amendement. Ce dispositif ne fait plus l’unanimité, et beaucoup questionnent son efficacité. Face à cette situation, la création d’un nouveau service national citoyen devient un impératif. (Un papier intéressant mais cependant qui fait l’impasse sur le caractère obligatoire de ce service, son rôle de brassage social et de défense des valeurs du pays NDLR).


Collectif (*)

Les commissions des finances du Sénat et de l’Assemblée nationale ont toutes deux voté pour la suppression du projet de Service national universel expérimenté depuis 2018. Le gouvernement quant à lui ne semble pas complètement décidé, mais confirme l’impossibilité de généraliser le projet, notamment pour des raisons budgétaires.

Nous proposons de refondre le projet de SNU en un parcours citoyen, comprenant d’une part une Éducation morale et civique (EMC) et une Éducation à la Défense revisitées et renforcées tout au long du parcours scolaire, avec éventuellement une ou deux semaines dédiées, au collège, à ces questions. Et d’autre part le développement du Service civique, qui propose aux jeunes, entre 16 et 25 ans, de consacrer 6 à 12 mois de leur vie à servir l’intérêt général, tout en gagnant en expérience et compétences. Car nous le savons tous, même si nous en avions les moyens, ce n’est pas en proposant aux 800 000 jeunes d’une classe d’âge un séjour éducatif de 12 jours que nous changerons en profondeur et durablement la relation de nos jeunes avec notre pays et ferons naître la « société de l’engagement » que nous appelons tous de nos vœux.

Créé en 2010 justement pour donner une suite civile et volontaire au service national suspendu en 1996, le Service civique a aujourd’hui largement fait ses preuves : plus de 800 000 jeunes mobilisés depuis sa création, 150 000 sur la seule année 2024. Des jeunes qui s’engagent sur la durée, 8 mois en moyenne, auprès des services publics et des associations pour contribuer à relever les défis sociaux et environnementaux auxquels notre pays doit faire face. Des jeunes de tous milieux sociaux, décrocheurs scolaires comme diplômés du supérieur, des jeunes à l’image des jeunesses de France, à qui l’on confie de vraies missions utiles au pays, et à qui l’on propose une véritable expérience d’engagement sur le terrain, indemnisée, accompagnée. Avec un impact éprouvé : plus de 70% trouvent un emploi ou repartent en formation qualifiante après leur service, beaucoup deviennent ensuite bénévoles, ou s’engagent dans les métiers du lien, et les structures qui les accueillent sont satisfaites à plus de 90% du soutien que ces jeunes leur apportent.

Certes le service civique est à améliorer, notamment pour promouvoir, voire généraliser les missions collectives, qui permettent l’expérience de mixité ; l’indemnité versée aux jeunes qui est, sur certains territoires, insuffisante ; ou encore le contrôle des missions qui leur sont confiées, pour qu’elles viennent bien soutenir le travail des professionnels salariés et non les remplacer. Mais le Service civique, s’il est enfin promu et valorisé massivement dans toutes les sphères de la société, et notamment dans les établissements d’enseignement secondaire et supérieur, peut devenir une étape naturelle dans le parcours de vie de tous nos jeunes, adaptée aux enjeux du 21e siècle et aux aspirations et besoins de notre jeunesse.

Aussi, Madame la Présidente de l’Assemblée nationale, Monsieur le Président du Sénat, Mesdames les Présidentes et Messieurs les Présidents de groupes parlementaires, nous vous invitons à insister pour que notre pays ne continue pas à investir l’argent qu’il n’a pas dans un « service national » au rapport coût/bénéfice contestable, et à ressortir la « proposition de loi visant à renforcer le Service Civique » qui avait été votée à l’unanimité au Sénat au printemps dernier…

Ainsi nous respecterons à la fois la voix de la société civile et celle de notre démocratie représentative, en renonçant à un dispositif trop coûteux et non généralisable, et en consolidant un dispositif inscrit au code du service national, ayant fait ses preuves, et qui ne demande qu’à être développé pour qu’un jour, tous nos jeunes puissent vivre une « année de césure citoyenne », au service des autres, d’eux-mêmes… et de la cohésion de notre pays.

_______

*Co-signataires

Marie Trellu-Kane, Présidente fondatrice d’Unis-Cité
Claire Thoury, Présidente du Mouvement Associatif
Maelle Nizan, Présidente de la FAGE
Mathieu Adenot, Président d’ANIMAFAC
Hélène Lacassagne, Présidente de la Ligue de l’Enseignement

Élections Sénégal : le nouveau pouvoir conforté

Élections Sénégal : le nouveau pouvoir conforté

 

Le Pastef , parti du président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, arrive en tête dans une grande majorité des bureaux de vote sénégalais.

Dimanche, le porte-parole du gouvernement sénégalais a fait savoir que le parti au pouvoir avait remporté «une large victoire» aux législatives, ce qui devrait lui permettre d’appliquer  » l’agenda de rupture et de justice sociale »  avec lequel il a été amené au pouvoir il y a huit mois.

Bassirou Diomaye Faye a été élu président au premier tour en mars, dénué de toute expérience exécutive mais tiré vers le sommet par l’enthousiasme et l’aspiration au changement d’une population jeune et éprouvée par trois années de confrontation politique et de crise économique. Son bouillant mentor Ousmane Sonko, qui aurait dû être à sa place si sa candidature n’avait été invalidée, est devenu Premier ministre.

Pendant des mois, ces avocats d’un «panafricanisme de gauche» ont mené une cohabitation conflictuelle avec une Assemblée toujours dominée par l’ancienne majorité présidentielle. M. Faye l’a dissoute dès que les délais constitutionnels l’ont permis, en septembre. Environ 7,3 millions d’électeurs étaient donc appelés dimanche à élire 165 députés qui siégeront pour cinq ans.

Reste maintenant le plus dur : à savoir, tenir les promesses !

 

Social : François Hommeril, leader syndical national et nouveau chômeur !

Social :  François Hommeril, leader syndical national  et nouveau chômeur

 Il a été l’une des chevilles ouvrières de la bataille pour la sauvegarde des emplois de l’usine savoyarde de Niche Fused Alumina. A 63 ans, le patron de la CFE-CGC, François Hommeril, ingénieur de formation, fait partie des 51 salariés dont se sépare Alteo. Mandat syndical ou non, il fait l’objet d’une procédure de licenciement dont il dénonce la brutalité dans La Tribune.  »Etre délégué syndical n’empêche pas d’être licencié économique, mais rend la procédure un peu plus longue », affirme le président national de la CFE-CGC, François Hommeril, qui s’apprête désormais à s’inscrire comme demandeur d’emploi. 

Ce mardi, vous annonciez faire partie des 51 salariés dont se sépare le groupe Alteo, suite à la reprise du fabricant de corindon Niche Fused Alumina. Comment est-ce possible ?

François Hommeril – Je n’ai pas signé pour un départ volontaire. Mais à partir du moment où j’étais le seul représentant de ma catégorie professionnelle (ingénieur procédé, ndlr), ce n’était pas vraiment une surprise de constater que je ne faisais pas partie des 119 salariés conservés par Alteo. Dès l’instant où nous n’avons plus eu, autour de la table, qu’un seul repreneur, et que l’option de Concord qui songeait à reprendre l’ensemble des effectifs a été écartée, nous avons engagé deux cycles de discussions avec Alteo pour essayer de discuter sur les effectifs qui pourraient être repris.

La Tribune – Même après avoir été élu en 2016 à la tête de la CFE-CGC, vous aviez continué à faire partie des équipes de l’usine de La Bâthie (Savoie) et vous aviez été à ce titre, l’un des chefs de file des négociations du côté des syndicats, lors de la reprise d’Alteo : votre intervention a-t-elle permis de faire monter le dossier sur la scène nationale ?

François Hommeril – Je me suis beaucoup impliqué, à titre personnel, sur les emplois liés à la fabrication. Il est toujours compliqué de parler pour soi quand on est représentant syndical. Mais au final, il était clair que si le tribunal accordait le dossier à Alteo, je ne serai pas repris. Pour moi, ils ne se sont pas posé de questions. J’avais déjà un mandat syndical, et je faisais partie d’une catégorie dont j’étais le représentant unique. D’ailleurs, la plupart des cadres ont été débarqués par la direction, ils n’ont gardé qu’un seul ingénieur.

Vous étiez pourtant l’un des représentants syndicaux de l’usine : cette décision est-elle légale?

François Hommeril – Dans le Code du travail, il s’agit surtout d’une question de procédure. Etre délégué syndical n’empêche pas d’être licencié économique, mais rend la procédure un peu plus longue. Mes responsabilités syndicales leur auront d’ailleurs été très utiles, car je suis beaucoup intervenu pour appuyer le dossier lorsqu’on m’a demandé d’activer certains leviers, jusqu’aux plus hauts échelons de l’Etat, pour permettre au dossier d’Alteo d’aboutir.

Ma priorité était bien entendu de soutenir le dossier : cependant, jamais les représentants d’Alteo, avec lesquels j’étais en contact, n’en ont profité pour m’informer sur ce qu’ils comptaient faire de mon poste. Un SMS ou un message oral, ça n’aurait pas été compliqué.

Comment l’avez-vous appris ? Songez-vous à contester cette procédure ?

François Hommeril – J’ai simplement vu que j’étais sur la liste des postes qui n’étaient pas repris. Pour la suite, je ne sais pas. J’ai déjà bien du travail avec mon mandat confédéral qui doit durer encore 20 mois (jusqu’en 2026, ndlr).

Pour le moment, je suis donc allé chercher mon recommandé comme tout le monde, et nous avons une réunion prévue avec le CSE le 20 novembre prochain. Nous avons également reçu une proposition de rendez-vous avec l’inspecteur du travail pour un échange préalable.

Je pense que cet échange devrait être proposé aux deux autres élus concernés, qui ont exprimé leur volonté de quitter l’entreprise. Même si je suis habitué à ce type de dossier, quand il arrive ce moment où l’on te dit : « maintenant, tu n’es plus chez toi, vas t’en», ça reste difficile.

 Le repreneur aurait déjà dénoncé l’ensemble des accords syndicaux et levé le CSE de ses fonctions, en l’attente de nouvelles élections du personnel.  Que pensez-vous de la situation ?

François Hommeril – Il est clair que le groupe Alteo n’a absolument pas l’attitude sociale qu’il prétendait avoir. Ils ne développent aucune intelligence sociale. La situation mérite d’être éclaircie.

Économie Chine : nouveau ralentissement de l’inflation

Économie Chine : nouveau ralentissement de l’inflation

 

Économie Chine : nouveau ralentissement de l’inflation. Ce ralentissement de l’inflation un nouveau pourrait être une bonne nouvelle si en faite cela ne correspondait pas en même temps un net tassement de la croissance. Sur un an en octobre les prix auront progressé seulement à la consommation de 0,3 % traduisant ainsi la nette diminution de l’activité économique. Une activité économique handicapé à la fois par la faiblesse de la demande interne mais aussi le ralentissement des exportations. Le ralentissement économique de la Chine a bien entendu des conséquences négatives sur l’ensemble de l’économie mondiale notamment aux États-Unis mais aussi en Europe et en particulier en Allemagne.

D’après le Bureau national des statistiques (BNS), l’indice des prix à la consommation (CPI) a progressé le mois dernier de 0,3% sur un an, après une hausse de 0,4% en septembre. Le consensus ressortait à +0,4%.

En rythme mensuel, le CPI a reculé de 0,3% en octobre, après être resté stable le mois précédent, alors que les analystes anticipaient en moyenne une baisse de 0,1%.

Pour sa part, l’indice des prix à la production (PPI) a reculé le mois dernier de 2,9% sur un an, après une baisse de 2,8% en septembre, contre un consensus de -2,5%.

 

(Qiaoyi Li, Ellen Zhang et Ryan Woo; version française Camille Raynaud)

Projet de casinos en ligne : nouveau piège à cons pour les pauvres

Projet de casinos en ligne : nouveau piège à cons pour les pauvres

 

Au motif qu’il existe déjà sur le Web des formes de casinos plus ou moins illicites, le ministre du budget envisage une concertation sur la légalisation des casinos en ligne.

Comme d’habitude, la question devrait d’abord être de savoir quel est l’objectif poursuivi. En effet dans la plupart des villes des casinos officiels sont déjà opérationnels. En outre, leur activité est relativement bien observé et suivi. La légalisation en ligne risque d’attirer des milliers et des milliers voire des millions de gogos qui comme pour les autres paris investissent parfois des sommes qui viennent amputer un budget des ménages déjà très réduits.
Certes il y a les parieurs du dimanche qui mettent régulièrement une petite somme sans remettre en cause l’équilibre de leur budget mais il y a aussi les accros, de plus en plus nombreux en période de crise, qui détournent en quelque sorte les ressources du ménage pour de vaines espérances. Et souvent en investissant de plus en plus.

«Le ministre lance une concertation qui doit pouvoir se tenir dès la semaine prochaine et devra aboutir sur un schéma permettant de répondre aux préoccupations du secteur» quant à la légalisation des casinos en ligne, a indiqué lundi le Ministère chargé du budget et des comptes publics dans un communiqué.

Addiction avait aussi tiré la sonnette d’alarme, les casinos en ligne étant considérés comme l’un des jeux les plus addictifs.

Or: Nouveau record

Or: Nouveau record

 

 

Signe de la détérioration économique générale dans le monde mais aussi des inquiétudes géopolitiques, l’or constitue de plus en plus une valeur refuge. L’once d’or a atteint vendredi un nouveau record historique de 2.704,89 dollars. 
Le prix de l’or a atteint un nouveau record vendredi 18 octobre, franchissant les 2.700 dollars l’once, dans une ruée sur la valeur refuge après qu’Israël a annoncé la mort du chef du Hamas Yahya Sinwar à Gaza, renforçant les tensions géopolitiques.

Sécurité sociale : un nouveau déficit de presque 20 milliards en 2024

Sécurité sociale : un nouveau déficit de presque 20 milliards en 2024

 

Alors qu’on cherche désespérément 20 milliards d’économies et 40 milliards de nouvelles fiscalités pour le budget 2025, la sécurité sociale apporte d’ores et déjà sa contribution négative pour 2024 avec un déficit qui va approcher les 18 milliards. Bref de quoi ternir encore un peu plus la situation déjà catastrophique du pays. Ce qui n’empêche nullement par exemple la nouvelle gauche populaire (NF P) de proposer un programme de dépenses de 50 milliards supplémentaires pour le budget 2025 ! Des propositions tellement hors-sol qu’elles ont été à peine évoquées dans les grands médias.

Le déficit de la Sécurité sociale atteindra 18 milliards en 2024, selon plusieurs sources ayant eu connaissance du projet de budget de la sécurité sociale (PLFSS 2025). Cette nouvelle estimation assombrit encore celle publiée en mai par la Commission des comptes de la Sécurité sociale, qui avait déjà tiré la sonnette d’alarme en tablant sur un déficit 2024 de 16,6 milliards, contre 10,5 milliards initialement programmés dans le budget adopté l’année dernière par le Parlement.

Par ailleurs, pour 2025, le gouvernement prévoit un déficit de 15,7 milliards d’euros, selon un avant-projet de PLFSS publié par le média Contexte, mercredi en début d’après-midi. En 2024, le dérapage du déficit de la Sécurité sociale est tiré par celui de la branche maladie, qui approcherait cette année les 14,6 milliards, contre 11,4 anticipés au printemps. Pour 2025, le gouvernement prévoit diverses mesures d’économies pour redresser la barre, atteignant 15 milliards d’euros.

 

Automobiles États-Unis : Nouveau tassement des ventes

Automobile États-Unis : Nouveau tassement des ventes

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Ford est le seul des trois grands constructeurs historiques américains à afficher une hausse sur le trimestre, mais marginale (+0,7%, à 504.039 véhicules). Les ventes ont chuté de 20% sur un an chez Stellantis (305.294 véhicules) et de 2,2% chez General Motors (659.601 véhicules) qui a cependant fait mieux que les anticipations des analystes. «Nous continuons de prendre les mesures nécessaires pour attirer des ventes et pour préparer notre réseau de concessionnaires et nos clients à l’arrivée des modèles 2025», a commenté Matt Thompson, responsable aux États-Unis des ventes de Stellantis (Jeep, Ram, Chrysler, Dodge, Fiat, Alfa Romeo).
Les trois grands de Detroit (Michigan) ont pu néanmoins se féliciter des ventes de véhicules électriques et hybrides. «Les clients continuent d’avoir une préférence pour les motorisations hybrides pendant les mois d’été», a noté Ford, qui a écoulé 23.509 véhicules électriques (+12,2% sur un an) et 48.101 véhicules hybrides (+38%). D’après sa publication mardi, General Motors a vendu 32.000 véhicules électriques sur le trimestre (+46%). Devenant ainsi le second vendeur de véhicules électriques aux Etats-Unis sur le trimestre et depuis le début de l’année (70.750, contre 67.689 pour Ford), derrière le spécialiste Tesla.

baisse en France

La baisse du marché automobile français continue pour le cinquième mois de rang. Avec 11% de baisse, septembre fait passer l’année 2024 dans le rouge

Les chiffres AAA Data publiés par la Plateforme Automobile (PFA) indique qu’il y a eu au moins de septembre 2024 exactement 139 004 immatriculations. En données brutes, cela représente donc une baisse de 11,07% par rapport à ce même mois de septembre, en 2023. Pour dire, c’est même en dessous de septembre 2022 (141 142 immatriculations) alors que les usines subissaient des pénuries de composants et des trous de production. Par rapport à 2019, dernière année pré-covid, le marché est près de 20% plus faible !

 

Position Modèle Volume sept 2024
1 RENAULT CLIO V 8549
2 PEUGEOT 208 II 7254
3 DACIA SANDERO 3 4719
4 TESLA MODEL Y 4591
5 RENAULT CAPTUR II 3803
6 CITROEN Ë-C3 3626
7 PEUGEOT 2008 II 3478
8 PEUGEOT 3008 III 3477
9 VOLKSWAGEN POLO VI 3299
10 DACIA DUSTER 3 3104
11 TOYOTA YARIS CRO 2903
12 PEUGEOT 308 III 2796
13 TOYOTA YARIS 2589
14 RENAULT ARKANA 2168
15 RENAULT AUSTRAL 2038
16 OPEL CORSA 1548
17 FORD PUMA 1493
18 DACIA JOGGER 1444
19 CITROEN C3 III 1408
20 VOLKSWAGEN T-ROC 1323
21 B.M.W. X1 1317
22 HYUNDAI TUCSONIII 1219
23 TOYOTA C-HR II 1148
24 TOYOTA AYGO X 1117
25 RENAULT ESPACE VI 1042
26 CITROEN C4 III 1029
27 FORD KUGA 1023
28 SUZUKI SWIFT 994
29 KIA SPORTAGE5 981
30 CITROEN C5 AIRCR. 961
31 VOLKSWAGEN T-CROSS 956
32 SKODA FABIA IV 952
33 NISSAN QASHQAI 3 941
34 FIAT 500 940
35 RENAULT MEGANE-E 929
36 MERCEDES GLA II 924
37 VOLKSWAGEN GOLF VIII 896
38 HYUNDAI KONA II 847
39 TOYOTA COROLLA 837
40 RENAULT TWINGOIII 775
41 B.M.W. IX1 774
42 TESLA MODEL 3 758
43 CITROEN C3 AIRCR. 753
44 SEAT IBIZA V 714
45 OPEL MOKKA 698
46 B.M.W. SERIE 1 672
47 NISSAN JUKE II 608
48 CUPRA FORMENTOR 580
49 PEUGEOT 5008 II 557
50 M.G. MG4 444
51 DACIA DUSTER 2 224

Un nouveau train électrique pour les dessertes locales ?

Un nouveau  train électrique pour les dessertes locales ?

La SNCF et l’industriel alsacien Lohr ont dévoilé ce mercredi à Strasbourg un train à batteries électriques adapté aux petites lignes rurales. Encore à l’état de projet, ce wagon unique baptisé «Draisy» devrait circuler à partir de 2028. Vitré de tous côtés et d’une capacité de 80 passagers (dont 30 assis), il sera propulsé jusqu’à 100 km/h grâce à l’énergie de batteries électriques ayant une heure d’autonomie, soit une centaine de kilomètres. «L’autonomie pourra être augmentée par l’installation en gare de stations de recharge rapide à quai», précise la SNCF. De quoi pallier efficacement le manque de tronçons électrifiés des «lignes de desserte fine du territoire» qui représentent un tiers du réseau ferré français. 

«L’ensemble des petites lignes qui sont soit fermées soit en passe de l’être sont rarement électrifiées. Donc on a fait le pari d’un véhicule qui embarque une batterie, proche d’une batterie de bus en quelque sorte, et qui donc permet de ne pas réinvestir sur des infrastructures coûteuses que sont les caténaires», a expliqué à l’AFP Marie-José Navarre, vice-présidente de Lohr, fabricant du train. Sa taille réduite de 14 mètres, soit l’équivalent d’un bus, et son poids de seulement 20 tonnes rendent donc Draisy «particulièrement adapté aux petites lignes», aujourd’hui desservie par des machines de 47 tonnes.

Derrière Draisy se cache l’ambition d’offrir «une véritable alternative à la voiture individuelle» dans les territoires ruraux. Avec lui, le groupe SNCF, Lohr, et leurs trois partenaires (GCK Battery, Stations-e et l’Institut de Recherche Technologique Railenium) ambitionnent de relancer l’attractivité des petites lignes. Celles-ci ayant été «longtemps sacrifiées et les plus grandes victimes de la vétusté du réseau et du sous-investissement historique dans son renouvellement», comme décrit dans un rapport sénatorial au vitriol paru en 2023. Les rapporteurs ajoutaient même : «Ces lignes de dessertes fines du territoire relèvent d’une mission de service public qui doit être assumée financièrement par l’État et les régions». (info du Figaro)

Un projet intéressant mais qui ne pose pas la totalité des conditions d’exploitation et de leur coût notamment comparé à l’utilisation d’un car électrique lui aussi. 

 

 

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