Archive pour le Tag 'nouveau'

Nouveau gouvernement : mais pour quoi faire ?

Nouveau gouvernement : mais pour quoi faire ?

Évidemment d’un point de vue institutionnel et politique, l’absence d’un gouvernement constitue un problème qui pourrait d’ailleurs déboucher sur une crise institutionnelle en mettant notamment en cause le mode de désignation des députés. La question se pose quand même de l’intérêt réel d’un gouvernement. D’ailleurs Darmanin a constaté avec malice que les choses allaient pas plus mal sans gouvernement officiel ! De toute manière en l’état des rapports de force c’est-à-dire la division en trois camps totalement opposés à l’assemblée nationale , aucune majorité n’est possible sauf pour une motion de censure destinée à abattre un nouveau gouvernement. Pour la démolition il y a possibilité d’union mais pas pour la construction.

 

Notons surtout que les marges d ‘ action du nouveau gouvernement seront très réduites sur la question du budget. Il faut en effet réduire le déficit et la dette en même temps. Une dette abyssale qui sans plan d’amortissement même à long terme nous conduira sans doute sur le chemin de la Grèce. Nous empruntons en effet assez logiquement pour les investissements mais malheureusement aussi pour le fonctionnement ; bref pour faire tourner la boutique de l’État notamment payer salaires, allocations  et pensions. Le budget 2025 devra forcément ressembler à celui de 2024 avec au minimum une dizaine de milliards d’économies au moins . Cette perspective va rencontrer des oppositions très fortes et sans doute justifier des motions de censure qui vont balayer le nouveau gouvernement. Heureusement juridiquement en cas de crise grave on peut toujours reconduire le budget précédent dans ses montants.

En l’état des divisions, il ne faut guère espérer qu’il y aura d’autres débats fondamentaux à l’Assemblée nationale peut-être seulement quelques lois de portée assez marginale et encore. En fait, le pays risque d’être géré tout simplement par l’administration. Ce qui est déjà largement le cas actuellement; dans les faits les politiques parlent mais l’administration gère de façon forcément technocratique et centralisée. Les inflexions politiques sont toujours à la marge.

Il faut en effet en cas de nouvelles lois sortirent aussi les décrets et les circulaires et la plupart des lois sont mal appliquées voire pas du tout tout. Avant de prévoir une nouvelle flambée de lois dites structurelles, on ferait mieux de procéder à un audit généralisé du dispositif législatif existant. Au lieu de cela, on promet évidemment la lune sans savoir d’ailleurs assez souvent de quoi on parle faute de concertation avec les corps intermédiaires et les organisations représentatives.

Bref le paysage politique relève surtout d’une forme d’agitation théâtrale et la France ne souffrirait peut-être pas d’une absence de gouvernement pendant une période d’une année par exemple.
On entend déjà les cris sur  les atteintes à la démocratie de la part de ceux qui sont surtout des professionnels de la politique  !

Un nouveau gouvernement : pour quoi faire ?

Un nouveau gouvernement :  pour quoi faire   ?

Évidemment d’un point de vue institutionnel et politique, l’absence d’un gouvernement constitue un problème qui pourrait d’ailleurs déboucher sur une crise institutionnelle en mettant notamment en cause le mode de désignation des députés voire la présence de Macron . La question se pose quand même de l’intérêt réel d’un gouvernement. D’ailleurs Darmanin a constaté avec malice que les choses allaient pas plus mal sans gouvernement officiel ! De toute manière en l’état des rapports de force, c’est-à-dire la division en trois camps totalement opposés à l’assemblée nationale , aucune majorité n’est possible sauf pour une motion de censure destinée à abattre un nouveau gouvernement. Pour la démolition il y a possibilité d’union mais pas pour la construction.

 

Notons surtout que les marges d ‘ action du nouveau gouvernement seront très réduites sur la question du budget. Il faut en effet réduire le déficit et la dette en même temps. Une dette abyssale qui sans plan d’amortissement même à long terme nous conduira sans doute sur le chemin de la Grèce. Nous empruntons en effet assez logiquement pour les investissements mais malheureusement aussi pour le fonctionnement ; bref pour faire tourner la boutique de l’État notamment payer salaires, allocations  et pensions. Le budget 2025 devra forcément ressembler à celui de 2024 avec au minimum une bonne dizaine de milliards d’économies au moins . Cette perspective va rencontrer des oppositions très fortes et sans doute justifier des motions de censure qui vont balayer le nouveau gouvernement. Heureusement juridiquement en cas de crise grave on peut toujours reconduire le budget précédent dans ses montants.

En l’état des divisions, il ne faut guère espérer qu’il y aura d’autres débats fondamentaux à l’Assemblée nationale peut-être seulement quelques lois de portée assez marginale et encore. En fait, le pays risque d’être géré tout simplement par l’administration. Ce qui est déjà largement le cas actuellement; dans les faits les politiques parlent mais l’administration gère de façon forcément technocratique et centralisée. Les inflexions politiques sont toujours à la marge.

Il faut en effet en cas de nouvelles lois sortirent aussi les décrets et les circulaires et la plupart des lois sont mal appliquées voire pas du tout tout. Avant de prévoir une nouvelle flambée de lois dites structurelles, on ferait mieux de procéder à un audit généralisé du dispositif législatif existant. Au lieu de cela, on promet évidemment la lune sans savoir d’ailleurs assez souvent de quoi on parle faute de concertation avec les corps intermédiaires et les organisations représentatives.

Bref le paysage politique relève surtout d’une forme d’agitation théâtrale et la France ne souffrirait peut-être pas d’une absence de gouvernement pendant une période d’une année par exemple.
On entend déjà les cris sur  les atteintes à la démocratie de la part de ceux qui sont surtout des professionnels de la politique qui cadenassent la démocratie  !

Hormis concernant le vote du budget,  il ne se passera rien à l’Assemblée nationale. On pourrait utilement mettre au silence les députés pendant un an sinon on va encore subir leurs bavardages contradictoires, démagogiques et fatigants. Et le même silence de Macron pendant une période ne traumatiserait   personne en attendant les prochaines élections législatives de l’été 2025.

 

 

Un nouveau gouvernement : pour faire quoi ?

Un nouveau gouvernement :  pour faire quoi  ?

Évidemment d’un point de vue institutionnel et politique, l’absence d’un gouvernement constitue un problème qui pourrait d’ailleurs déboucher sur une crise institutionnelle en mettant notamment en cause le mode de désignation des députés. La question se pose quand même de l’intérêt réel d’un gouvernement. D’ailleurs Darmanin a constaté avec malice que les choses allaient pas plus mal sans gouvernement officiel ! De toute manière en l’état des rapports de force c’est-à-dire la division en trois camps totalement opposés à l’assemblée nationale , aucune majorité n’est possible sauf pour une motion de censure destinée à abattre un nouveau gouvernement. Pour la démolition il y a possibilité d’union mais pas pour la construction.

 

Notons surtout que les marges d ‘ action du nouveau gouvernement seront très réduites sur la question du budget. Il faut en effet réduire le déficit et la dette en même temps. Une dette abyssale qui sans plan d’amortissement même à long terme nous conduira sans doute sur le chemin de la Grèce. Nous empruntons en effet assez logiquement pour les investissements mais malheureusement aussi pour le fonctionnement ; bref pour faire tourner la boutique de l’État notamment payer salaires, allocations  et pensions. Le budget 2025 devra forcément ressembler à celui de 2024 avec au minimum une dizaine de milliards d’économies au moins . Cette perspective va rencontrer des oppositions très fortes et sans doute justifier des motions de censure qui vont balayer le nouveau gouvernement. Heureusement juridiquement en cas de crise grave on peut toujours reconduire le budget précédent dans ses montants.

En l’état des divisions, il ne faut guère espérer qu’il y aura d’autres débats fondamentaux à l’Assemblée nationale peut-être seulement quelques lois de portée assez marginale et encore. En fait, le pays risque d’être géré tout simplement par l’administration. Ce qui est déjà largement le cas actuellement; dans les faits les politiques parlent mais l’administration gère de façon forcément technocratique et centralisée. Les inflexions politiques sont toujours à la marge.

Il faut en effet en cas de nouvelles lois sortirent aussi les décrets et les circulaires et la plupart des lois sont mal appliquées voire pas du tout tout. Avant de prévoir une nouvelle flambée de lois dites structurelles, on ferait mieux de procéder à un audit généralisé du dispositif législatif existant. Au lieu de cela, on promet évidemment la lune sans savoir d’ailleurs assez souvent de quoi on parle faute de concertation avec les corps intermédiaires et les organisations représentatives.

Bref le paysage politique relève surtout d’une forme d’agitation théâtrale et la France ne souffrirait peut-être pas d’une absence de gouvernement pendant une période d’une année par exemple.
On entend déjà les cris sur  les atteintes à la démocratie de la part de ceux qui sont surtout des professionnels de la politique qui cadenassent la démocratie  !

Hormis concernant le vote du budget,  il ne se passera rien à l’Assemblée nationale. On pourrait utilement mettre au silence les députés pendant un an sinon on va encore subir leurs bavardages contradictoires, démagogiques et fatigants. Et le même silence de Macron pendant une période ne traumatiserait   personne en attendant les prochaines élections législatives de l’été 2025.

 

 

Un nouveau gouvernement : mais pour quoi faire vraiment ?

Un nouveau gouvernement : mais pour quoi faire ?

Évidemment d’un point de vue institutionnel et politique, l’absence d’un gouvernement constitue un problème qui pourrait d’ailleurs déboucher sur une crise institutionnelle en mettant notamment en cause le mode de désignation des députés. La question se pose quand même de l’intérêt réel d’un gouvernement. D’ailleurs Darmanin a constaté avec malice que les choses allaient pas plus mal sans gouvernement officiel ! De toute manière en l’état des rapports de force c’est-à-dire la division en trois camps totalement opposés à l’assemblée nationale , aucune majorité n’est possible sauf pour une motion de censure destinée à abattre un nouveau gouvernement. Pour la démolition il y a possibilité d’union mais pas pour la construction.

 

Notons surtout que les marges d ‘ action du nouveau gouvernement seront très réduites sur la question du budget. Il faut en effet réduire le déficit et la dette en même temps. Une dette abyssale qui sans plan d’amortissement même à long terme nous conduira sans doute sur le chemin de la Grèce. Nous empruntons en effet assez logiquement pour les investissements mais malheureusement aussi pour le fonctionnement ; bref pour faire tourner la boutique de l’État notamment payer salaires, allocations  et pensions. Le budget 2025 devra forcément ressembler à celui de 2024 avec au minimum une dizaine de milliards d’économies au moins . Cette perspective va rencontrer des oppositions très fortes et sans doute justifier des motions de censure qui vont balayer le nouveau gouvernement. Heureusement juridiquement en cas de crise grave on peut toujours reconduire le budget précédent dans ses montants.

En l’état des divisions, il ne faut guère espérer qu’il y aura d’autres débats fondamentaux à l’Assemblée nationale peut-être seulement quelques lois de portée assez marginale et encore. En fait, le pays risque d’être géré tout simplement par l’administration. Ce qui est déjà largement le cas actuellement; dans les faits les politiques parlent mais l’administration gère de façon forcément technocratique et centralisée. Les inflexions politiques sont toujours à la marge.

Il faut en effet en cas de nouvelles lois sortirent aussi les décrets et les circulaires et la plupart des lois sont mal appliquées voire pas du tout tout. Avant de prévoir une nouvelle flambée de lois dites structurelles, on ferait mieux de procéder à un audit généralisé du dispositif législatif existant. Au lieu de cela, on promet évidemment la lune sans savoir d’ailleurs assez souvent de quoi on parle faute de concertation avec les corps intermédiaires et les organisations représentatives.

Bref le paysage politique relève surtout d’une forme d’agitation théâtrale et la France ne souffrirait peut-être pas d’une absence de gouvernement pendant une période d’une année par exemple.
On entend déjà les cris sur  les atteintes à la démocratie de la part de ceux qui sont surtout des professionnels de la politique  !

 

Nouveau Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Nouveau  Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Un nouveau gouvernement : mais pour quoi faire ?

Un nouveau gouvernement : mais pour quoi faire ?

Évidemment d’un point de vue institutionnel et politique, l’absence d’un gouvernement constitue un problème qui pourrait d’ailleurs déboucher sur une crise institutionnelle en mettant notamment en cause le mode de désignation des députés. La question se pose quand même de l’intérêt réel d’un gouvernement. D’ailleurs Darmanin a constaté avec malice que les choses allaient pas plus mal sans gouvernement officiel ! De toute manière en l’état des rapports de force c’est-à-dire la division en trois camps totalement opposés à l’assemblée nationale , aucune majorité n’est possible sauf pour une motion de censure destinée à abattre un nouveau gouvernement. Pour la démolition il y a possibilité d’union mais pas pour la construction.

 

Notons surtout que les marges d ‘ action du nouveau gouvernement seront très réduites sur la question du budget. Il faut en effet réduire le déficit et la dette en même temps. Une dette abyssale qui sans plan d’amortissement même à long terme nous conduira sans doute sur le chemin de la Grèce. Nous empruntons en effet assez logiquement pour les investissements mais malheureusement aussi pour le fonctionnement ; bref pour faire tourner la boutique de l’État notamment payer salaires, allocations  et pensions. Le budget 2025 devra forcément ressembler à celui de 2024 avec au minimum une dizaine de milliards d’économies au moins . Cette perspective va rencontrer des oppositions très fortes et sans doute justifier des motions de censure qui vont balayer le nouveau gouvernement. Heureusement juridiquement en cas de crise grave on peut toujours reconduire le budget précédent dans ses montants.

En l’état des divisions, il ne faut guère espérer qu’il y aura d’autres débats fondamentaux à l’Assemblée nationale peut-être seulement quelques lois de portée assez marginale et encore. En fait, le pays risque d’être géré tout simplement par l’administration. Ce qui est déjà largement le cas actuellement; dans les faits les politiques parlent mais l’administration gère de façon forcément technocratique et centralisée. Les inflexions politiques sont toujours à la marge.

Il faut en effet en cas de nouvelles lois sortirent aussi les décrets et les circulaires et la plupart des lois sont mal appliquées voire pas du tout tout. Avant de prévoir une nouvelle flambée de lois dites structurelles, on ferait mieux de procéder à un audit généralisé du dispositif législatif existant. Au lieu de cela, on promet évidemment la lune sans savoir d’ailleurs assez souvent de quoi on parle faute de concertation avec les corps intermédiaires et les organisations représentatives.

Bref le paysage politique relève surtout d’une forme d’agitation théâtrale et la France ne souffrirait peut-être pas d’une absence de gouvernement pendant une période d’une année par exemple.
On entend déjà les cris sur  les atteintes à la démocratie de la part de ceux qui sont surtout des professionnels de la politique !

 

Nouveau gouvernement: sans insoumis mais avec le programme des insoumis !

Nouveau gouvernement:  sans insoumis mais avec le programme des insoumis !

C’est la dernière proposition piège de Mélenchon à Macron. La ficelle est un peu grosse mais elle va gêner le président de la république victime de son irresponsabilité avec la dissolution de l’assemblée nationale.

Mélenchon pour contrer les menaces de censure contre un gouvernement du NSP propose tout simplement l’absence des insoumis dans un éventuel gouvernement mais avec le programme des insoumis.

La vérité c’est que cette proposition va occuper le terrain médiatique pendant quelques jours mais qu’elle va se révéler rapidement incohérente en effet la plupart des forces du centre et de droite s’opposent surtout au programme du NFP incohérent, démagogique et non financé.

Il est donc vraisemblable qu’à la première proposition reprenant les orientations des insoumis un gouvernement du NFP serait sanctionné par motion de censure.

Lors de la première phase de consultation organisé par Macron, le centre et la droite avait concentré sur leurs attaques sur l’éventuelle présence des  insoumis dans le gouvernement. En réalité, c’est non seulement le programme des insoumis mais celui du NFP -sorte de copier coller- qui sont en cause.

Ce programme du NFP n’était d’ailleurs pas destiné à présenter des orientations gouvernementales. Il s’agissait surtout de promesses électorales pour empêcher le rassemblement national d’accéder au pouvoir. Et personne au NFP pensait que la question se poserait pour une  participation à un éventuel gouvernement. Aujourd’hui le NFP se trouve lui-même piégé en tout cas les socialistes responsables par un programme qui n’en est pas et qui  provoquera, après remise en cause,  de gros remous au sein de la gauche elle-même.

Cours de l’or: Encore un nouveau record, mauvais présage

Cours de l’or:   Encore un nouveau record, mauvais présage 

Le métal jaune vient d’enregistrer un nouveau  à 2 512,63 dollar l’once le 24 Août 2024.  Nouveau record historique pour l’or qui traduit d’une certaine manière les incertitudes économiques et géopolitiques. Sur le plan économique, les perspectives de hausse de la croissance pourraient être remises en cause y compris aux États-Unis en raison notamment de l’affaiblissement de l’activité en Chine. S’y ajoutent évidemment les risques d’embrasement général au Proche-Orient avec les conflits entre Israël, la Palestine, le Liban et l’Iran.

Les bourses sont d’ailleurs agitées de mouvements de yo-yo qui actent les incertitudes évoquées. Du coup , l’or  devient encore davantage la valeur refuge. Cela d’autant plus qu’une baisse des taux d’intérêt viendra peser sur les rendements obligataires.
L’or a atteint de nouveaux  hauts historiques ; en cause, les investisseurs qui se reportent sur cette valeur refuge face aux perspectives de baisse de taux américains et aux risques géopolitiques.

Nouveau gouvernement : Macron et les partis touchés aussi par la fièvre ovine ?

Il y a quelque chose de surréaliste dans les postures depuis maintenant plusieurs semaines tout autant du président de la république que des partis. Pour résumer les uns et les autres s’agitent mais en faisant du surplace. Ainsi répètent -t-il sans arrêt qu’ils  sont prêts à élargir leur champ d’influence mais sans les autres. !

Pour la gauche,  c’est une évidence il n’y a aucune réserve de négociation avec d’autres formations politiques compte tenu du caractère ésotérique et irresponsable du programme qu’ont imposé les »Insoumis » . Les « Républicain » revendiquent leur superbe isolement et ne veulent surtout pas trop  se mouiller avec les macronistes . Des macronistes qui cherchent donc désespérément des alliés ou  à défaut des débauchages individuels. Bref au total du bricolage car chaque grand bloc politique campe sur ses positions mêmess’il affirme parfois le contraire. Et le Rassemblement national attend et observe mais se tient évidemment à l’écart aussi d’une éventuelle union nationale ou même de la recherche d’une majorité.

De son côté le président grandement coupable du chaos politique avec sa dissolution irresponsable ressemble à un canard dont on a la coupé la tête. Il s’agite toujours pour donner l’impression qu’il maîtrise une situation qui en réalité est ingérable.
La vérité c’est qu’aucun gouvernement ne pourra tenir longtemps. À chaque fois il sera balayés par une motion de censure et la France devra se satisfaire pendant de longues périodes d’un gouvernement provisoire. La fin de l’histoire se terminera avec une crise institutionnelle et la mise en cause de Macron. Lequel s’accrochera au pouvoir jusqu’au dernier moment quitte à enfoncer le pays  dans le chaos le plus total.

L’absence de gouvernement en tant que tel n’est pas pour l’instant une catastrophe mortelle. Le problème c’est qu’à terme elle va créer un peu plus d’incertitude politique bien sûr mais aussi économique et sociale. Or la France se contente aujourd’hui d’une petite croissance inférieure. à 11 %. Le tassement économique concerne le monde entier y compris et surtout la Chine. Les soubresauts politiques en France malheureusement risquent de contribuer à un plus grand affaiblissement de la croissance donc de la richesse nationale.

Nouveau gouvernement : la Belgique attend aussi depuis deux mois

Nouveau gouvernement : la Belgique attend aussi depuis deux mois

Il y a déjà deux mois que se sont déroulées les législatives en Belgique qui attend toujours la formation d’un gouvernement. La première tentative du leader du parti conservateur chargé par le roi de former ce gouvernement a échoué. En cause, comme en France un problème de fiscalité et la menace d’un accroissement du déficit public. La Belgique est d’ailleurs comme la France sous le coup d’une procédure d’infraction aux principes européens dans ce domaine.

 

Un nouveau négociateur devrait être désigné par le roi Philippe.. Celles-ci pourraient durer encore plusieurs semaines, comma c’est généralement le cas dans ce royaume. Réputée ingouvernable, la Belgique avait vécu 541 jours sans gouvernement de plein exercice en 2010-2011.

Un record dont le pays n’était pas si loin quand la coalition de sept partis dirigée par l’actuel premier ministre Alexander De Croo avait enfin vu le jour à l’automne 2020, 493 jours après les élections de 2019. Le vote du 9 juin -concomitant aux élections européennes – a été marqué par une victoire de la droite et du centre-droit, avec un alignement inédit de la Wallonie (sud francophone) sur la Flandre (nord néerlandophone) où la droite est traditionnellement majoritaire.
Le premier ministre sortant a été chargé de gérer les affaires courantes jusqu’à la désignation de son successeur.

 

NFP: « Toutes nos dépenses seront financées » … par l’impôt nouveau et l’endettement

NFP: « Toutes nos dépenses seront financées » ( Castets )… par l’impôt nouveau et l’endettement

 

 

Sur BFM, la candidate du nouveau Front populaire de gauche au poste de premier ministre a affirmé que toutes les dépenses prévues par son programme seront financées mais en oubliant de préciser que pour l’essentiel il s’agit d’augmenter encore la fiscalité et de peser sur la compétitivité et le pouvoir d’achat. L’intéressée n’a guère été convaincante à propos de sa responsabilité dans le déficit abyssal de la Ville de Paris dont elle était en charge. « Il s’agit d’investissements » a -telle déclaré et « non de fonctionnement  » oubliant sans doute que la plupart des investissements génèrent  à leur tour souvent des coûts de fonctionnement sans parler évidemment des emprunts qu’il faut rembourser. Bref une vision très technocratique de gauche de l’économie.

Sur la question du financement des dépenses prévues par le programme du Nouveau Front populaire, la candidate au poste affirme de manière très évasive : « Toutes nos dépenses à l’inverse du gouvernement sortant seront financées, on va aller chercher des recettes. »

Questionnée sur sa capacité à tenir ce cap d’équilibre budgétaire, au vu de son poste actuel de directrice des finances et des achats de la Ville de Paris, Lucie Castets a défendu le bilan de la collectivité. Elle a rappelé que les collectivités ne peuvent recourir à la dette pour financer leur fonctionnement. Elles empruntent pour financer de l’investissement « productif », notamment en faveur de la transition écologique. Une curieuse extension du concept d’investissement productif car si des financements pour la transition écologique sont nécessaires on ne peut cependant prétendre qu’ils correspondent à des investissements productifs en termes économiques.

Le prix de l’or: Nouveau record

Le prix de l’or: Nouveau record  

Bruits de bottes, tassement de la croissance et incertitude politique font encore monter le prix de l’or: Un nouveau sommet à 2 452,30 dollars l’once (2 669 euros). La demande en or des clients institutionnels, qui cherchent à diversifier leurs placements dans un contexte géopolitique incertain, contribue à tirer le cours de l’or vers le haut. 

« C’est un actif qui, dans sa version physique, ne peut pas faire faillite. Il joue à plein son rôle de valeur refuge », précise François de Lassus, consultant pour Or en cash, un réseau de boutiques. Ces dernières semaines, la demande des particuliers chinois, inquiets des difficultés du système bancaire et gros acheteurs d’or, a aussi joué un rôle inflationniste. « L’immobilier s’est cassé la figure en Chine, la Bourse est à la peine, ajoute Philippe Crevel. L’or fait figure d’alternative pour les particuliers, et cela joue désormais sur le cours. »

Pour un nouveau modèle de gouvernance financière

Pour un nouveau modèle de gouvernance financière

 

Le spécialiste en gestion et finance publiques Michel Bouvier et l’expert-comptable Emmanuel Millard plaident, dans une tribune au « Monde », pour un nouveau modèle de gouvernance financière publique qui accompagnerait la nouvelle législature.

 

La maîtrise de l’évolution des dépenses publiques, de la dette publique, des déficits publics voire de la pression fiscale fait problème depuis des décennies. Et, malgré une sophistication croissante des outils de gestion, c’est un constat d’impuissance qui s’impose. Par ailleurs, cela fait trop longtemps que les mêmes solutions sont avancées. Depuis plus de quarante ans, les propositions qui se sont succédé sont récurrentes et relèvent soit du bricolage de dispositifs existants à bout de souffle, soit de discours idéologiques inlassablement répétés.Ces réponses se rattachent à un monde en train de disparaître. Il est donc maintenant crucial, afin d’être en mesure de réguler efficacement le système financier public, d’inventer un modèle de gouvernance adapté à une société fragile et en devenir constant.

Or, à peine élus ou nommés, les nouveaux gouvernants devront s’affronter à l’enjeu majeur de l’assainissement des finances publiques. Ils auront, en premier lieu, à les piloter, ce qui ne peut se limiter au budget de l’Etat comme beaucoup de nos contemporains semblent encore le croire. Les finances publiques sont bien plus complexes.

Il faut en effet rappeler que l’on est en présence de trois types d’acteurs, l’Etat, les collectivités locales, la Sécurité sociale (dont les dépenses sont de loin les plus élevées des trois). Plus encore, ces acteurs sont eux-mêmes liés à de multiples opérateurs ou « satellites » dont le mode de pilotage est encore très imparfait et très différent.

Si l’on y regarde de près, on est en présence d’un fourmillement d’institutions publiques et privées relevant toutes des politiques financières publiques. Ce serait une erreur que de les traiter isolément, car elles forment un ensemble au sein duquel les unes rétroagissent sur les autres. L’enjeu, difficile, est de les mettre en cohérence afin d’en réguler l’évolution. Il est donc impératif de cesser de les considérer comme des éléments indépendants les uns des autres, voire antagoniques. Il est primordial de rompre avec une conception cloisonnée de l’action publique.

Nouveau gouvernement :la gauche déraille en proposant des pieds nickelés et des épouvantails

Nouveau gouvernement :la gauche déraille en proposant des pieds nickelés et des épouvantails

 

Il apparaît de plus en plus clairement que la gauche de plus en plus divisée ne cesse de réclamer le pouvoir mais qu’elle fait tout pour que celui-ci s’éloigne; ainsi on a vu les communistes proposés une totale inconnue. Quant aux Insoumis ils ont avancé les noms de quatre épouvantails dont celui de Mélenchon. Le parti socialiste propose, lui, son secrétaire national Olivier Faure -un moindre mal-mais qui n’incarne pas cependant la social-démocratie responsable et qui ne respire pas le charisme.

Plus les jours passent et plus l’opinion se retourne maintenant contre ce parti et de manière générale contre toute la classe politique incapable de s’entendre pour désigner un gouvernement d’union réellement au service du pays et non au service des partis et les intérêts particuliers. Les mêmes oppositions traversent le clan du président avec d’un côté les partisans d’Atttal et de l’autre les partisans de Darmanin proche des anciens LR voir même du Front National. Témoins, ces petits « diners cons  » organisés secrètement entre Édouard Philippe notamment et les représentants du Front National qui montrent bien l’affinité de penser sur certains points.

Faut-il rappeler que les résultats bruts de l’élection législative ont coupé la France en trois grands clans minoritaires et demeure sans légitimité démocratique pour prétendre gouverner seul.

 

Nouveau gouvernement: les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

 Nouveau  gouvernement:  les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

Selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 73% des Français refusent de voir un gouvernement exclusivement composé de ministres du bloc de gauche. Du coup, un gouvernement seulement chargé des affaires courantes pourrait bien occuper l’espace politique pendant plusieurs mois en l’état des divisions des blocs et des partis

. Moins d’une semaine après le second tour des législatives, six Français sur dix (60%) jugent que la dissolution de l’Assemblée nationale était une «mauvaise décision», selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Alors que les résultats des urnes plongent le pays dans l’inconnu avec un Hémicycle éclaté en trois blocs.

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