Archive pour le Tag 'leader'

Social : François Hommeril, leader syndical national et nouveau chômeur !

Social :  François Hommeril, leader syndical national  et nouveau chômeur

 Il a été l’une des chevilles ouvrières de la bataille pour la sauvegarde des emplois de l’usine savoyarde de Niche Fused Alumina. A 63 ans, le patron de la CFE-CGC, François Hommeril, ingénieur de formation, fait partie des 51 salariés dont se sépare Alteo. Mandat syndical ou non, il fait l’objet d’une procédure de licenciement dont il dénonce la brutalité dans La Tribune.  »Etre délégué syndical n’empêche pas d’être licencié économique, mais rend la procédure un peu plus longue », affirme le président national de la CFE-CGC, François Hommeril, qui s’apprête désormais à s’inscrire comme demandeur d’emploi. 

Ce mardi, vous annonciez faire partie des 51 salariés dont se sépare le groupe Alteo, suite à la reprise du fabricant de corindon Niche Fused Alumina. Comment est-ce possible ?

François Hommeril – Je n’ai pas signé pour un départ volontaire. Mais à partir du moment où j’étais le seul représentant de ma catégorie professionnelle (ingénieur procédé, ndlr), ce n’était pas vraiment une surprise de constater que je ne faisais pas partie des 119 salariés conservés par Alteo. Dès l’instant où nous n’avons plus eu, autour de la table, qu’un seul repreneur, et que l’option de Concord qui songeait à reprendre l’ensemble des effectifs a été écartée, nous avons engagé deux cycles de discussions avec Alteo pour essayer de discuter sur les effectifs qui pourraient être repris.

La Tribune – Même après avoir été élu en 2016 à la tête de la CFE-CGC, vous aviez continué à faire partie des équipes de l’usine de La Bâthie (Savoie) et vous aviez été à ce titre, l’un des chefs de file des négociations du côté des syndicats, lors de la reprise d’Alteo : votre intervention a-t-elle permis de faire monter le dossier sur la scène nationale ?

François Hommeril – Je me suis beaucoup impliqué, à titre personnel, sur les emplois liés à la fabrication. Il est toujours compliqué de parler pour soi quand on est représentant syndical. Mais au final, il était clair que si le tribunal accordait le dossier à Alteo, je ne serai pas repris. Pour moi, ils ne se sont pas posé de questions. J’avais déjà un mandat syndical, et je faisais partie d’une catégorie dont j’étais le représentant unique. D’ailleurs, la plupart des cadres ont été débarqués par la direction, ils n’ont gardé qu’un seul ingénieur.

Vous étiez pourtant l’un des représentants syndicaux de l’usine : cette décision est-elle légale?

François Hommeril – Dans le Code du travail, il s’agit surtout d’une question de procédure. Etre délégué syndical n’empêche pas d’être licencié économique, mais rend la procédure un peu plus longue. Mes responsabilités syndicales leur auront d’ailleurs été très utiles, car je suis beaucoup intervenu pour appuyer le dossier lorsqu’on m’a demandé d’activer certains leviers, jusqu’aux plus hauts échelons de l’Etat, pour permettre au dossier d’Alteo d’aboutir.

Ma priorité était bien entendu de soutenir le dossier : cependant, jamais les représentants d’Alteo, avec lesquels j’étais en contact, n’en ont profité pour m’informer sur ce qu’ils comptaient faire de mon poste. Un SMS ou un message oral, ça n’aurait pas été compliqué.

Comment l’avez-vous appris ? Songez-vous à contester cette procédure ?

François Hommeril – J’ai simplement vu que j’étais sur la liste des postes qui n’étaient pas repris. Pour la suite, je ne sais pas. J’ai déjà bien du travail avec mon mandat confédéral qui doit durer encore 20 mois (jusqu’en 2026, ndlr).

Pour le moment, je suis donc allé chercher mon recommandé comme tout le monde, et nous avons une réunion prévue avec le CSE le 20 novembre prochain. Nous avons également reçu une proposition de rendez-vous avec l’inspecteur du travail pour un échange préalable.

Je pense que cet échange devrait être proposé aux deux autres élus concernés, qui ont exprimé leur volonté de quitter l’entreprise. Même si je suis habitué à ce type de dossier, quand il arrive ce moment où l’on te dit : « maintenant, tu n’es plus chez toi, vas t’en», ça reste difficile.

 Le repreneur aurait déjà dénoncé l’ensemble des accords syndicaux et levé le CSE de ses fonctions, en l’attente de nouvelles élections du personnel.  Que pensez-vous de la situation ?

François Hommeril – Il est clair que le groupe Alteo n’a absolument pas l’attitude sociale qu’il prétendait avoir. Ils ne développent aucune intelligence sociale. La situation mérite d’être éclaircie.

Télé-France 2 leader grâce aux JO

France 2 leader grâce aux JO

 

France 2, recordman des audiences télé de l’été grâce aux JO. Au mois d’août, France 2 a récolté une moisson de médailles. Après le score stratosphérique en juillet de la cérémonie d’ouverture, suivie en direct par 23,2 millions de téléspectateurs en moyenne, France 2 a attiré 17,1 millions de Français devant la cérémonie de clôture des Jeux le 11 août. Et encore 10,2 millions la semaine dernière, lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques. L’audience devrait être bonne également en septembre compte tenu de la ferveur autour des paralympiques. 

Autant de victoires, sur le terrain des audiences TV, qui « traduisent l’appétit des Français pour le moment olympique, indique Stéphane Sitbon-Gomez, le directeur des antennes et des programmes de France Télévisions, diffuseur officiel des JO en clair. Les résultats vont bien au-delà des attentes et des projections que tous les professionnels avaient envisagées ». Conséquence, France 2 a atterri sur la plus haute marche du podium en s’arrogeant 23,3 % de part de marché.

Venezuela: arrestation d’un leader de l’opposition

Venezuela: arrestation d’un leader de l’opposition

 

Le Venezuela n’en finit pas de s’enfoncer dans la crise économique, sanitaire et démocratique. Ainsi le pouvoir vient-il de procéder à la prestation d’un leader de l’opposition. «Freddy Guevara a été arrêté par le SEBIN (Renseignement) en raison de ses liens avec des groupes extrémistes et paramilitaires associés au gouvernement colombien», écrit sur Twitter le Procureur général de la République, Tarek William Saab. «Ce citoyen qui a déjà participé à des actions violentes par le passé, sera inculpé de terrorisme, attentat contre l’ordre constitutionnel, trahison», a-t-il précisé.

Le pays est dans une impasse politique, avec un président Nicolás Maduro, non reconnu par une cinquantaine de pays dont les États-Unis qui cherchent à l’évincer du pouvoir, et un leader de l’opposition Juan Guaidó, considéré comme président intérimaire par les États-Unis, mais qui n’a aucun pouvoir.

Euronext : leader dans les actions en Europe

Euronext : leader dans les actions en Europe

L’opérateur de marchés paneuropéen qui vient de procéder au rachat de Borsa Italiana (Milan), devient leader européen des marchés actions.

Le nouvel ensemble pro forma représente 1,4 milliard d’euros de chiffres d’affaires, près de 800 millions de résultat opérationnel et une capitalisation quatre fois supérieure à celle de l’introduction en Bourse en 2014.

En 2018, Euronext rachète la Bourse de Dublin, puis en 2019, la Bourse d’Oslo au terme d’une bataille avec le Nasdaq. En 2020, c’est au tour du dépositaire danois CSD d’être racheté, puis en 2021, la Bourse de Milan, une compétition remportée face à Deutsche Börse ou à l’opérateur suisse Six Group (qui vient de racheter la Bourse de Madrid). Aujourd’hui, Euronext occupe la première place en Europe pour les transactions sur les actions et les fonds indiciels (ETF) et devient l’un des principaux dépositaires (activités post-marché), avec 6.000 milliards d’euros actifs sous conservation. Enfin, grâce à la Bourse de Milan, Euronext prend pied dans la négociation des obligations.

L’Italie devient donc le premier contributeur au chiffre d’affaires du nouveau groupe (34%), devant la France (28%), les Pays-Bas (17%) et la Norvège (11%). En 2015, la Bourse de Paris représentait 60% du chiffre d’affaires d’Euronext .

Leader Price racheté par Aldi France

Leader Price racheté par Aldi France

 

La cession de 545 magasins Leader Price, deux supermarchés Casino et trois entrepôts par Casino à Aldi France a été finalisée pour une valeur d’entreprise de 717 millions d’euros et des produits de cession à 683 millions d’euros, a annoncé le groupe d’origine stéphanoise ce lundi soir.

« De ses activités de grossiste, le groupe Casino va désormais pouvoir se concentrer sur ses formats porteurs que sont l’e-commerce, le premium et la proximité, et sur les nouveaux métiers à forte croissance autour de l’énergie et la data», estime Jean-Charles Naouri, le PDG de Casino.

 

Macron, leader climatique au bilan négatif

Macron, leader climatique au bilan négatif

Le problème de Macron sait qu’il a bien du mal à être crédible pour incarner le  défenseur mondial de l’environnement. En effet, si ses discours sont toujours aussi tonitruants par contre sa pratique est particulièrement décevante (on le voit actuellement concernant le débat des emballages qui semblent privilégier le recyclage au lieu de leur suppression ou de leur consignation). Macron peut être ambitieux en 2050, date à laquelle il n’exercera sans doute plus de responsabilités. Mais on l’attend surtout depuis 2017 car  il n’a jamais été capable d’envisager un plan climat à la hauteur des les enjeux. Pour preuve, les résultats en matière d’émissions polluantes sont très en dessous des objectifs s. Le seul argument positif qu’utilise Macron,  c’est la performance des centrales nucléaires vis-à-vis du CO2. Un programme décidé bien avant lui. Ce que pratique Macron,  c’est une sorte de fuite en avant. On aimerait en effet que la neutralité carbone visée en 2050 s’appuie sur des résultats actuels concluants. Cela supposerait notamment de mettre en œuvre une politique des transports un peu plus cohérente et favorisant davantage d’une part les transports collectifs, d’autre part l’usage davantage mutualisé des automobiles. Au cours de son intervention, le président français a pourtant essayé d’apparaître comme le chef de file de la défense de l’environnement, appelant, par exemple, tous les pays à « aller vers la neutralité carbone en 2050″, comme l’ont annoncé le Chili et le Japon. Selon lui, l’Europe « doit faire plus » sur ce sujet et « prendre des décisions très claires dès 2020″. Il s’est aussi félicité de la récente ratification de l’accord de Paris par la Russie.

Mais ce costume de leader mondial sur la question climatique qu’endosse Emmanuel Macron n’est pas vraiment du goût des ONG. Clément Sénéchal, porte-parole de Greenpeace France, affirme ce lundi sur notre plateau que, par rapport à tout ce qu’a évoqué le président français pendant son discours, « la France est en contradiction avec ces belles paroles au niveau domestique ».

Il prend l’exemple de la volonté du chef d’Etat d’avoir un agenda commercial compatible avec l’accord de Paris, à savoir réduire les négociations commerciales avec les pays qui ne le respecterait pas. Pour Clément Sénéchal, la signature du CETA, le traité de libre-échange conclu entre l’Union européenne et le Canada, a été faite « sans garde-fou climatique ». Or, il s’agit selon lui d’un pays « qui ne respecte pas ses objectifs climatiques et qui n’est donc pas dans les clous de l’accord de Paris ».

« Emmanuel Macron a parlé de rehausser les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030 pour atteindre 55%. Or, on vient de voter une loi en France qui entérine une réduction d’au moins 40% en 2030, donc on défend le statu quo. On s’était pourtant engagés à rehausser ces engagements avant la mise en œuvre de l’accord de Paris, qui interviendra l’année prochaine », a également dénoncé le porte-parole de Greenpeace. Ce dernier fait référence au projet de loi relatif à l’énergie et au climat, adopté en juin dernier par l’Assemblée nationale, et examiné cette semaine au Sénat. Le texte prévoit ainsi une baisse de 40% de la consommation d’énergies fossiles d’ici à 2030.

 

La France leader de l’intelligence artificielle ?

La France  leader de l’intelligence artificielle ?

 

C’est le souhait de Macron qui voudrait que la France joue dans la cour des grands. La course à l’IA est evidemmenet lancée. Elle s’appuiera notamment sur le caractère exponentiel de l’évolution des données qui tous les deux ans dépasse le volume de tout ce qui a été produit depuis l’origine de l’humanité. Un véritable or noir qui pourrait permettre à certains de dominer tant sur le plan économique que sociétal et politique. De ce point de vue la régulation du trafic de données qui rendent compte de la vie des individus en tout temps et en tout lieu revêt une importance capitale pour échapper à la domination des quelques oligopoles. Il faudra cependant aussi créer notamment des services de qualité garantissant ainsi la protection des idivudus.et f favoriser l’émergence de leaders internationaux d’origine française ou européenne. Au lieu de se résoudre à seulement fournir des ingénieurs de haut niveau aux GAFA ou de mettre en mettre nos Startups  en sous-traitance de ces leaders comme actuellement. Le chef de l’Etat va recevoir à dîner mercredi soir des chercheurs internationaux en la matière avant de se voir remettre jeudi le rapport du mathématicien et député La République en marche Cédric Villani et de prononcer un discours au Collège de France pour dévoiler sa stratégie. « J’annoncerai jeudi des mesures permettant à la France de conforter sa place comme l’un des leaders de l’intelligence artificielle dans le monde », a dit le chef de l’Etat lundi soir lors d’un discours aux industriels français. Selon l’Elysée, la mobilisation de fonds publics, notamment issus du fonds pour l’innovation dans l’industrie (F2i), du programme d’investissements d’avenir (PIA) et de crédits budgétaires, devrait être annoncée. « La France a raté toutes les dernières révolutions technologiques, la robotisation, internet, on n’a pas de géants en la matière », dit-on dans l’entourage du chef de l’Etat. « Là il y a vraiment la volonté de faire partie du jeu mondial » avec l’intelligence artificielle et la France « a la capacité de jouer dans la cour mondiale dans certains secteurs ». Pour Macron cette percée de la France dans l’IA est incontournable à moins de prendre le risque d’une  perte de souveraineté.

Pourquoi juger en France Thomas Barnouin, le leader djihadiste ?

Pourquoi juger en France Thomas Barnouin, le leader djihadiste ?

 

 On comprend évidemment t que les familles victimes d’attentats s en lien avec Thomas Barnouin, le leader djihadiste, 10 souhaitent que le procès de l’intéressé se déroule en France. L’objectif est de comprendre la nature des relations entre les différents auteurs ou aspirateurs d’attentats ; reste à savoir si une fois en France Thomas Barnouin sera décidée à parler. Rien n’est sûr si l’on en juge par les systèmes de défense de certains terroristes arrêtés. Il n’est pas certain que le gouvernement souhaite réellement rapatrier l’intéressé actuellement dans les mains des kurdes de Syrie. Il s’agit aussi une quête d’une question de droit international dans la mesure où les crimes commis par l’intéressé en Syrie pourront être plus facilement prouvés  tandis que l’  influence sur des actes commis en France sera plus difficile à prouver.  D’une façon générale,  il semble que la France ait  décidée de laisser les terroristes français se faire juger dans les pays où ils ont été arrêtés et où ils  justifient  de crime. Thomas Barnouin a été arrêté le 17 décembre dernier par des membres des Unités de protection du peuple kurde, organisation militaire kurde syrienne créée en 2011. Le djihadiste français se trouvait dans la région d’al-Hassaké, dans le nord-est de la Syrie. Plusieurs autres Français auraient été arrêtés avec lui, dont Romain Garnier, issu d’une «cellule de Vesoul» ayant envoyé des combattants au pays de Daech, et Thomas Collange, proche de Thomas Barnouin.Ce dernier, visé par un mandat d’arrêt français, est la plus belle prise. Âgé de 36 ans et originaire d’Albi (Tarn), ce fils d’enseignants se convertit à l’islam à la fin des années 1990 et devient «Abdelhakim». Il bascule dans l’islam radical dans les années 2000 au contact de la «cellule d’Artigat», du nom d’un petit village de l’Ariège. Un prédicateur d’origine syrienne, Olivier Corel, y habite (il s’y trouve d’ailleurs encore aujourd’hui) et rassemble autour de lui un noyau de fidèles qui vont devenir de fervents djihadistes. Corel, «l’émir blanc», est arrivé en France en 1973 et a été naturalisé français dix ans plus tard. Outre Barnouin, la cellule d’Artigat, dont le mentor Corel n’a été condamné qu’une fois à une peine légère pour détention d’armes, réunit au fil du temps Mohamed Merah, son frère Abdelkader, sa sœur Souad et son demi-frère par alliance, Sabri Essid. À noter toutefois que, en l’état du dossier, Thomas Barnouin n’est pas mis en cause pour les attentats de 2012. Entre Artigat et Toulouse, Barnouin fait aussi la connaissance de Fabien Clain, qui revendiquera au nom de l’État islamique les attentats du 13 novembre 2015, et de son frère Jean-Michel. Il fréquente également un autre converti albigeois, Gaël Maurize, qui a été condamné en octobre dernier à Paris avec plusieurs autres membres de la filière.

2017: Montebourg leader des « frondeurs » du PS

Montebourg leader des « frondeurs » du PS

-

Montebourg a reçu le soutien des frondeurs mais pour autant ce n’est pas un gage de succès aux primaires du PS.  Selon un sondage Elabe, François Hollande et Manuel Valls devancent Arnaud Montebourg auprès des sympathisants de gauche pour la désignation du candidat socialiste à la présidentielle. Compte tenu de l’évolution du chômage, 83 % des personnes interrogées estiment par ailleurs qu’une candidature Hollande en 2017 ne serait « pas justifiée », contre 16 % d’un avis contraire. L’enquête ne porte pas sur des intentions de vote à la primaire socialiste de janvier, mais sur des souhaits exprimés par les personnes interrogées, mêlant votants et non votants à ce futur scrutin, selon cette enquête pour BFM TV. Auprès des sympathisants de gauche, François Hollande obtient 30 % d’avis favorables, contre 28 % à Arnaud Montebourg, 16 % pour Benoît Hamon et 9 % à Marie-Noëlle Lienemann. Dans l’hypothèse d’une candidature de Manuel Valls – en l’absence de François Hollande -, l’actuel Premier ministre obtient 31 % de réponses positives dans cette tranche de l’électorat, contre 24 % à Arnaud Montebourg, 15 % à Benoît Hamon et 10 % à Marie-Noëlle Lienemann. Auprès des seuls sympathisants socialistes, Arnaud Montebourg est largement devancé par François Hollande (48 %, contre 25 % à l’ancien ministre de l’Économie) et par Manuel Valls (48 % contre 21 %). Le chef de file des députés « frondeurs » socialistes a cependant jugé mercredi François Hollande disqualifié pour porter les couleurs de la gauche lors de l’élection présidentielle de 2017 et lancé un appel à soutenir la candidature de l’ancien ministre de l’Economie d’Arnaud Montebourg. Il estime dans un communiqué que deux risques d’une « immense gravité » menacent la France, avec la « révolution conservatrice » promise par le candidat de la droite, François Fillon, et la « révolution nationale » représentée par Marine Le Pen, présidente et candidate du Front national. « L’inventaire lucide du quinquennat ne permet pas la réunion des gauches et des écologistes autour du président de la République », poursuit Christian Paul.

Tweets : le classement des nuls, Hollande, 18e leader mondial

Tweets : le classement des nuls, Hollande, 18e leader mondial

C’est le classement des nuls , celui des responsables politiques qui utilisent Tweeter ; une manière de s’exprimer en 140 caractères maxi, soit 3 à 4 lignes ce qui est bien suffisant pour rendre compte la pauvreté de la pensée politique ambiante. C’est mode, jeune en plus ;  Pour les services de com. Il faut sacrifier à cette  nouvelle modalité d’expression mais où justement la pensée est réduite à sa plus simple expression. Le jour où il faudra faire des clips musicaux, les politiques  n’hésiteront pas à chanter sil le faut et même montrer leur cul à défaut d’exposer le produit de leur cerveaux. . Hollande  est loin d’être le dirigeant le plus populaire au monde pour tweeter  : il se classe 18e du classement du JDD. Radioscopie du compte de François Hollande.  Entre Barack Obama et François Hollande, il y a près de 55 millions de comptes Twitter d’écart. Dans notre classement des dirigeants internationaux les plus suivis, le président français n’est que 18e, avec plus de 900.000 abonnés. Une timide performance pour le chef de la cinquième (à moins que ce ne soit déjà la sixième) puissance mondiale. Il est devancé par des personnalités moins en vue de la scène internationale, comme l’Indonésien Joko Widodo (9e) ou le Péruvien Ollanta Humala (15e). De plus, François Hollande n’est que la quatrième personnalité européenne, derrière l’Italien Matteo Renzi (14e), le Russe Vladimir Poutine (16e) et le Britannique David Cameron (17e).

 

Poutine :son opposant Boris Nemtsov, leader de l’opposition, abattu à Moscou

Poutine  :son opposant  Boris Nemtsov, leader de l’opposition, abattu à Moscou

Encore un des rares opposants à Poutine abattu. L a plupart ont déjà subi le même sort, ont été emprisonnés  ou se sont exilés. C’est de cette manière que Poutine à réussi à asseoir son pouvoir : décapiter l’opposition, museler les médias. Ce qui lui permet d’hystériser le sentiment national et l’ expansionnisme russe. En même temps il dissimule ses échecs internes : croissance dans le rouge, baisse des recettes du pétrole, évasion des capitaux certes le principal opposant à Poutine était un oligarque mais Poutine aussi ;  ès uen enquête américaine Poutine a  accumulé un fortune de l’ordre de 40 milliards. Poutine adhère à la démocratie mais à la démocratie de terreur sas opposition, la démocratie du KGB où tous les coups sont permis. Tant que l’occident n’aura pas compris la psychologie du dictateur russe aucun compromis ne sera possible par exemple sur l’Ukraine.  Boris Nemtsov, figure de l’opposition au président russe Vladimir Poutine, a été abattu à Moscou vendredi soir, après avoir été touché par quatre balles. Il avait été de tous les combats, depuis quelques années, contre le pouvoir russe, de l’élection présidentielle à la guerre en Ukraine, en passant par les Jeux olympiques de Sotchi.  Ses assassins l’ont abattu devant le Kremlin, sur le Grand pont de pierre. Ultime symbole pour l’un des opposants politiques les plus féroces à Vladimir Poutine, Boris Nemtsov, tombé vendredi soir à Moscou après avoir reçu quatre balles. Ancien ministre de l’Énergie de Boris Eltsine, il avait notamment été en pointe pour dénoncer le coût des Jeux olympiques de Sotchi, il y a un an, cette ville des bords de la mer Noire qui l’avait vu naître. « Dans la Russie de Poutine, le sujet est tabou et la discussion impossible« , avait-il lâché à l’époque. Cinq ans plus tôt, en 2009, il avait été aspergé d’ammoniac par des inconnus dans la rue, alors qu’il était candidat à la mairie de la ville. Le 6 décembre 2011, il avait fait partie des nombreux opposants arrêtés en marge de la manifestation monstre contre la candidature de Vladimir Poutine à l’élection présidentielle de 2012. 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol