Archive pour le Tag 'recul'

Pétrole : en recul

Pétrole : en recul

 

Des mouvements de yo-yo pour le pétrole dans les prix sont actuellement en baisse mais la tendance devrait se maintenir autour de 80 $. Les cours du pétrole ont reculé mercredi, affaiblis par un rebond des stocks américains de brut et par les nouvelles évolutions autour de l’instauration de droits de douane aux États-Unis. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mars, a baissé de 1,17% à 76,58 dollars. Le cours de son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, a perdu 1,56% à 72,62 dollars.

Début janvier, les prix du Brent et du WTI ont dépassé 80 dollars le baril. Les opérateurs attendent désormais la réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) lundi prochain, à l’occasion d’un comité ministériel conjoint de suivi (JMMC). La semaine dernière, M. Trump a demandé au cartel, en visant notamment l’Arabie saoudite, de faire baisser les prix du pétrole en augmentant sa production.

Facteur supplémentaire de baisse des prix: selon certains analystes, l’alliance Opep+ pourrait être plus encline à ne pas repousser de nouveau la réintroduction des 2,2 millions de barils de réductions de production consenties par huit des pays membres (dont l’Arabie saoudite et la Russie).

 

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Économie Japon : toujours le recul de la consommation

Économie Japon : toujours le recul de la consommation
Sur un an, en novembre, les Japonais ont réduit leurs dépenses de 0,4%, après un repli de 1,3% en octobre, selon l’indicateur ajusté de l’inflation publié ce vendredi 10 janvier par le ministère des Affaires intérieures. C’est un baromètre très scruté pour mesurer la consommation privée, qui représente plus de la moitié du PIB de la quatrième économie mondiale. D’une certaine manière le Japon est victime du tassement du taux de croissance en Chine et d’une conjoncture internationale globale maussade.

La consommation recule pour le 4e mois consécutif. Elle continue à pâtir de l’inflation, quasi-systématiquement supérieure ou égale à 2% depuis deux ans et demi, ce qui contribue à effriter le pouvoir d’achat des Japonais.

La hausse des prix à la consommation a encore accéléré en novembre (+2,7% sur un an hors produits frais), après deux mois de repli, notamment alimentée par un fort renchérissement de l’énergie après l’arrêt de subventions. En novembre, pourtant, les salaires de base ont augmenté de 2,7% sur un an, la plus forte hausse mensuelle enregistrée en 32 ans, mais ces hausses sont en trompe-l’œil. Ajustés de l’inflation, les salaires réels ont reculé de 0,3%, continuant de s’affaisser pour le quatrième mois consécutif, selon le ministère du Travail.
La Banque du Japon (BoJ) doit trouver l’équilibre entre la lutte contre une dynamique inflationniste persistante, et une conjoncture toujours extrêmement fragile, minée par une consommation atone… et qu’un relèvement des taux pourrait plomber encore davantage.

Par ailleurs, le vieillissement accéléré de la population nationale, dû à la chute de la natalité et à une approche prudente de l’immigration, est un autre défi majeur pour le pays. Le Japon est l’une des sociétés qui vieillissent le plus rapidement au monde et, cette année, la proportion de personnes âgées de 65 ans ou plus a atteint le chiffre record de 29,3%. Pour y faire face, le gouvernement nippon a approuvé fin décembre un budget record pour le prochain exercice fiscal.

Japon : toujours le recul de la la consommation

Japon : toujours le recul de la la consommation 

Sur un an, en novembre, les Japonais ont réduit leurs dépenses de 0,4%, après un repli de 1,3% en octobre, selon l’indicateur ajusté de l’inflation publié ce vendredi 10 janvier par le ministère des Affaires intérieures. C’est un baromètre très scruté pour mesurer la consommation privée, qui représente plus de la moitié du PIB de la quatrième économie mondiale. D’une certaine manière le Japon est victime du tassement du taux de croissance en Chine et d’une conjoncture internationale globale maussade. 

La consommation recule pour le 4e mois consécutif. Elle continue à pâtir de l’inflation, quasi-systématiquement supérieure ou égale à 2% depuis deux ans et demi, ce qui contribue à effriter le pouvoir d’achat des Japonais.

La hausse des prix à la consommation a encore accéléré en novembre (+2,7% sur un an hors produits frais), après deux mois de repli, notamment alimentée par un fort renchérissement de l’énergie après l’arrêt de subventions. En novembre, pourtant, les salaires de base ont augmenté de 2,7% sur un an, la plus forte hausse mensuelle enregistrée en 32 ans, mais ces hausses sont en trompe-l’œil. Ajustés de l’inflation, les salaires réels ont reculé de 0,3%, continuant de s’affaisser pour le quatrième mois consécutif, selon le ministère du Travail.

La  Banque du Japon (BoJ) doit trouver l’équilibre entre la lutte contre une dynamique inflationniste persistante, et une conjoncture toujours extrêmement fragile, minée par une consommation atone… et qu’un relèvement des taux pourrait plomber encore davantage.

Par ailleurs, le vieillissement accéléré de la population nationale, dû à la chute de la natalité et à une approche prudente de l’immigration, est un autre défi majeur pour le pays. Le Japon est l’une des sociétés qui vieillissent le plus rapidement au monde et, cette année, la proportion de personnes âgées de 65 ans ou plus a atteint le chiffre record de 29,3%. Pour y faire face, le gouvernement nippon a approuvé fin décembre un budget record pour le prochain exercice fiscal.

Automobiles Allemagne : recul de 27 % des voitures électriques

Automobiles Allemagne : recul de 27 % des voitures électriques
Un fiasco total des orientations de la commission européenne en matière de transition écologique concernant les automobiles. Du coup, les objectifs et les normes devant être rapidement revus tellement les résultats sont éloignés des prévisions. En Allemagne en particulier la vente des voitures électriques s’écroule.
En Allemagne, les immatriculations ont baissé de 1% dans le pays l’an dernier, à 2,8 millions d’unités. Cette chute est largement due à la dégringolade des ventes de voitures électriques. Sur ce front, les immatriculations se sont effondrées de 27,4%, à 381.000 unités. Une véritable gifle, alors que les ventes de voitures électriques avaient bien progressé, sans interruption, les cinq exercices précédents.
Cela n’a rien d’une surprise. Les ventes de voitures électriques n’ont cessé de plonger, mois après mois, depuis que le gouvernement a entièrement balayé les aides à l’achat des véhicules propres il y a un an.

La part de marché de l’électrique, qui titillait les 19% il y a un an, n’est plus désormais que de 13,5%. Or cette année, la réglementation européenne sur les émissions de CO2 se durcit. Les constructeurs risquent de fortes amendes si la

Allemagne : recul de 27 % des voitures électriques

Allemagne : recul de 27 % des voitures électriques

Un fiasco total des orientations de la commission européenne en matière de  transition écologique concernant les automobiles. Du coup, les objectifs et les normes devant être rapidement revus tellement les résultats sont éloignés des prévisions. En Allemagne en particulier la vente des voitures électriques s’écroule.

En Allemagne, les immatriculations ont baissé de 1% dans le pays l’an dernier, à 2,8 millions d’unités. Cette chute est largement due à la dégringolade des ventes de voitures électriques. Sur ce front, les immatriculations se sont effondrées de 27,4%, à 381.000 unités. Une véritable gifle, alors que les ventes de voitures électriques avaient bien progressé, sans interruption, les cinq exercices précédents.

Cela n’a rien d’une surprise. Les ventes de voitures électriques n’ont cessé de plonger, mois après mois, depuis que le gouvernement a entièrement balayé les aides à l’achat des véhicules propres il y a un an.

La  part de marché de l’électrique, qui titillait les 19% il y a un an, n’est plus désormais que de 13,5%. Or cette année, la réglementation européenne sur les émissions de CO2 se durcit. Les constructeurs risquent de fortes amendes si la part de l’électrique dans leurs ventes n’atteint pas les 21% à 23%. Autrement dit, il manque aujourd’hui environ 10 points aux Volkswagen, Mercedes ou BMW pour atteindre ce seuil. Ce qui paraît difficilement rattrapable.

Aujourd’hui, une large frange de la classe politique allemande appelle à un report de ces amendes européennes.

Croissance- Industrie manufacturière encore en recul

Croissance- Industrie manufacturière encore en recul

 L’indice des acheteurs pour l’industrie manufacturière s’est établi à 41,9 en décembre, contre 43,1 en novembre, selon l’indice PMI publié ce jeudi par l’agence S&P Global et la Hamburg Commercial Bank (HCOB). Pour rappel, un indice inférieur à 50 signale une contraction.

Un recul qui s’inscrit dans une tendance de fond puisqu’en novembre, la production manufacturière de  l’indice PMI s’était établi à 43,1, contre 44,5 en octobre, le taux de contraction le plus élevé depuis décembre 2023.

Et, à nouveau, le repli de décembre s’explique par une « nouvelle baisse marquée du volume global des commandes », notamment dans les secteurs de l’automobile et du bâtiment, détaille le communiqué. « La faiblesse de la demande s’est répercutée sur le niveau des stocks, lesquels ont reculé en décembre. »

Les entreprises manufacturières françaises « se sont dites pessimistes » quant à une hausse de leur activité dans les douze prochains mois : « La crainte d’un recul prolongé de la demande, le climat d’incertitude politique actuel et la faiblesse des dépenses d’investissements chez les clients ont, selon les répondants, pesé sur le niveau de la confiance », souligne le communiqué.

 

De manière générale, c’est l’activité de l’ensemble du secteur privé qui a reculé pour le quatrième mois consécutif en décembre, selon l’indice PMI Flash HCOB publié mi-décembre. Celui-ci s’est établi à 46,7 en décembre contre 45,9 en novembre, une légère progression, mais toujours en zone négative.

 

Ventes automobiles : en recul 2024

Ventes automobiles : en recul 2024

Un recul de 3,2 % en France où les ventes se sont écroulées au second semestre.

Les ventes de véhicules électriques neufs ont elles aussi diminué (-2,2%) et leur part de marché est restée stable à 16,9%, après trois années d’explosion, tandis que la part des ventes de véhicules hybrides neufs a fortement progressé pour atteindre 42,8%, selon les chiffres publiés mercredi par la Plateforme automobile (PFA), qui représente constructeurs et équipementiers du secteur.

Le marché n’est pas revenu aux niveaux très bas de 2022, année paralysée par les pénuries de puces électroniques, mais il reste loin de ses niveaux d’avant-pandémie de Covid. Environ 2,2 millions de véhicules neufs avaient été vendus en 2019, dernière année avant la crise du coronavirus.

En 2024, 1,7 millions seulement ont été vendus, la pire année de l’histoire moderne.

 

Dollar: en recul

Dollar: en recul

Le dollar en repli en raison des interrogations concernant l’élection présidentielle mais aussi intégrant l’évolution de la situation économique mondiale et géostratégique. Certes l’inflation semble de mieux en mieux maîtrisée mais cela pourrait être dû à un tassement de l’activité économique.

 

Le dollar s’est replié lundi, consolidant à l’orée d’une semaine riche en indicateurs macroéconomiques, sur fond d’attentisme à l’approche de l’élection présidentielle américaine. Vers 20h20 heure française, le billet vert abandonnait 0,18% face à la monnaie unique européenne, à 1,0815 dollar pour un euro. Il lâchait aussi 0,11% devant la devise britannique, à 1,2973 dollar pour une livre.

 

Toutefois, «ce qui pourrait remettre en question (la dynamique du dollar), ce sont des données très faibles vendredi dans le rapport d’octobre sur l’emploi américain», a noté Marc Chandler. Les analystes tablent sur un taux de chômage similaire au mois dernier, à 4,1%, mais s’attendent à un recul important des créations d’emplois, à 110.000 contre 254.000 en septembre, selon le consensus de MarketWatch.

 

Economie -Moral des ménages : recul

Economie -Moral des ménages : recul

Compte tenu de la crise politique et du tassement de la croissance, la confiance des ménages français se replie légèrement au mois d’octobre, indique l’Insee dans un communiqué vendredi. L’indicateur s’est établi à 94, en baisse d’un point par rapport à septembre, sous sa moyenne de longue période de 100, précise l’Institut national de la statistique.

 

La situation financière personnelle des ménages demeure ce mois-ci quasi inchangée et «la proportion des ménages considérant qu’il est opportun, dans la situation économique actuelle, de faire des achats importants est stable», indique l’Insee dans son communiqué.

Le solde d’opinion des ménages relatif à leur future situation financière diminue d’un point et atteint sa moyenne de longue période, calculée entre 1987 et 2023.

Les ménages sont également pessimistes sur leur niveau de vie futur. Le solde d’opinion relatif au niveau de vie futur perd trois points (-41). Un niveau bien en dessous de la moyenne de longue période. Concernant l’inflation, la part des ménages qui considèrent que les prix vont augmenter au cours des douze prochains mois rebondit mais reste bien au-dessous de sa moyenne de longue période. Enfin, sur le chômage, les craintes augmentent nettement de 5 points pour atteindre 31, mais demeure cependant un peu au-dessous de sa moyenne de longue période. Ces opinions ont été récoltées par téléphone auprès d’environ 2.000 ménages, du 26 septembre au 19 octobre.

Moral des ménages : recul

Moral des ménages : recul

Compte tenu de la crise politique et du tassement de la croissance, la confiance des ménages français se replie légèrement au mois d’octobre, indique l’Insee dans un communiqué vendredi. L’indicateur s’est établi à 94, en baisse d’un point par rapport à septembre, sous sa moyenne de longue période de 100, précise l’Institut national de la statistique.

 

La situation financière personnelle des ménages demeure ce mois-ci quasi inchangée et «la proportion des ménages considérant qu’il est opportun, dans la situation économique actuelle, de faire des achats importants est stable», indique l’Insee dans son communiqué.

Le solde d’opinion des ménages relatif à leur future situation financière diminue d’un point et atteint sa moyenne de longue période, calculée entre 1987 et 2023.

Les ménages sont également pessimistes sur leur niveau de vie futur. Le solde d’opinion relatif au niveau de vie futur perd trois points (-41). Un niveau bien en dessous de la moyenne de longue période. Concernant l’inflation, la part des ménages qui considèrent que les prix vont augmenter au cours des douze prochains mois rebondit mais reste bien au-dessous de sa moyenne de longue période. Enfin, sur le chômage, les craintes augmentent nettement de 5 points pour atteindre 31, mais demeure cependant un peu au-dessous de sa moyenne de longue période. Ces opinions ont été récoltées par téléphone auprès d’environ 2.000 ménages, du 26 septembre au 19 octobre.

La consommation en recul

La  consommation en recul

Pilier traditionnel de la croissance en France,  la consommation enregistre un recul en 2024. Une mauvaise performance dûe autant au recul du pouvoir d’achat qu’aux incertitudes politiques et économiques. Phénomène nouveau cependant les exportations compensent le recul de la consommation ( Autour de -1,5 % en volume); La croissance est maintenant prévue à 1,1 % en 2024 au lieu de 0.8 % prévu par la banque de France. 

Notons toutefois que la révision en hausse de la croissance en France est en partie liée aussi à une modification de la comptabilité nationale. Ce qui a augmenté « mécaniquement » la croissance prévue en moyenne annuelle. Derrière cette révision à la hausse, « les perspectives de croissance restent incertaines. Le renforcement de la croissance est encore à confirmer. La révision est essentiellement due à des effets d’acquis de croissance des trimestres précédents », a déclaré le directeur général de la banque centrale, Olivier Garnier, lors d’un point presse.

L’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), utilisé pour faire des comparaisons dans la zone euro, est attendu à 2,5% en 2024 et 1,5% en 2025. « Ce reflux a été favorisé par de moindres hausses des prix alimentaires et des produits manufacturés, qui se situent respectivement à +1,4 % et +0,5 % en juillet 2024 », souligne la Banque de France. Ce coup de frein de l’inflation devrait inciter la Banque centrale européenne (BCE) a accélérer la baisse des taux.

Pour le chômage, la Banque de France table sur une légère hausse du taux de chômage en 2024 à 7,4% puis 7,6% en 2025 contre 7,3% en 2023. Le rythme des créations nettes d’emplois a nettement marqué le pas depuis 2022, pour passer de 708.000 à 113.000 en 2024. L’économie française pourrait même détruire des emplois à partir de l’année prochaine (-13.000). La fin du « quoi qu’il en coûte » et les moindres aides sur l’apprentissage ont pesé sur les décisions d’embauches des entreprises.

 

Ukraine : L’inquiétant recul de l’aide allemande

Ukraine : L’inquiétant recul  de l’aide allemande

À juste titre sans doute, l’union européenne s’inquiète de l’inquiétant recul de l’aide allemande à l’Ukraine. Une aide que l’Allemagne a décidée de diviser par deux. Cela d’autant plus que l’Allemagne et de loin le principal contributeur à Kiev.

Il pourrait s’agir de la part de l’Allemagne d’une manière pour peser sur l’Ukraine afin de trouver un accord de paix avec la Russie. La Russie qui fournissait une part importante des ressources énergétiques à de bonnes conditions économiques à l’Allemagne qui espère peut-être renouer des relations pacifiées avec la Russie et peut-être aussi retrouver le gaz russe.

Le chef de la diplomatie de l’Union européenne, Josep Borrell, a qualifié vendredi de «très inquiétante» et de «mauvaise nouvelle» la décision de Berlin de réduire de moitié l’an prochain son aide militaire à l’Ukraine. Borrell, qui participait à un colloque à Santander, en Espagne, et s’exprimait en anglais, a souligné qu’«en termes absolus, l’Allemagne fait énormément» pour aider l’Ukraine à résister à l’invasion de la Russie et que «pour l’instant», ce que fait l’UE dans ce domaine «est fait principalement par l’Allemagne». Par conséquent, la prochaine réduction de l’aide de Berlin à Kiev est «très inquiétante», a-t-il dit. «C’est une mauvaise nouvelle».

Guerre en Ukraine : L’inquiétant recul de l’aide allemande

Guerre en Ukraine : L’inquiétant recul  de l’aide allemande

À juste titre sans doute, l’union européenne s’inquiète de l’inquiétant recul de l’aide allemande à l’Ukraine. Une aide que l’Allemagne a décidée de diviser par deux. Cela d’autant plus que l’Allemagne et de loin le principal contributeur à Kiev.

Il pourrait s’agir de la part de l’Allemagne d’une manière pour peser sur l’Ukraine afin de trouver un accord de paix avec la Russie. La Russie qui fournissait une part importante des ressources énergétiques à de bonnes conditions économiques à l’Allemagne qui espère peut-être renouer des relations pacifiées avec la Russie et peut-être aussi retrouver le gaz russe.

Le chef de la diplomatie de l’Union européenne, Josep Borrell, a qualifié vendredi de «très inquiétante» et de «mauvaise nouvelle» la décision de Berlin de réduire de moitié l’an prochain son aide militaire à l’Ukraine. Borrell, qui participait à un colloque à Santander, en Espagne, et s’exprimait en anglais, a souligné qu’«en termes absolus, l’Allemagne fait énormément» pour aider l’Ukraine à résister à l’invasion de la Russie et que «pour l’instant», ce que fait l’UE dans ce domaine «est fait principalement par l’Allemagne». Par conséquent, la prochaine réduction de l’aide de Berlin à Kiev est «très inquiétante», a-t-il dit. «C’est une mauvaise nouvelle».

 

Croissance France: industrie en net recul

Croissance France:  industrie en net recul

 

L’indice PMI  est passé de 45,5 en juin à 44,0 en juillet, se maintenant ainsi « sous la barre du 50, sans changement pour un dix-huitième mois consécutif ». Pour rappel, un indice supérieur à 50 témoigne d’une expansion de l’activité. A l’inverse, un chiffre inférieur à ce seuil reflète un tassement.

A l’origine de cette contraction qui s’est « intensifiée » : une forte chute des nouvelles commandes.

« Le volume global des ventes des fabricants a en effet affiché sa plus forte baisse depuis six mois, près d’un tiers des répondants ayant fait état d’un affaiblissement de la demande par rapport au mois de juin. Les nouvelles commandes à l’export ont également diminué en juillet », est-il détaillé.

Les fabricants français font notamment face à une hausse des prix de leurs achats, « l’inflation s’étant accélérée par rapport à juin pour afficher son plus haut niveau depuis un an et demi », précise l’enquête.

Par ailleurs, la confiance des entreprises reste morose. Elle s’est ainsi repliée pour le deuxième mois consécutif, signe que les perspectives d’activité se sont dégradées, note l’enquête. « Les industriels français se sentent moins optimistes quant à l’avenir (…) Ils ont cité la baisse des commandes du secteur de la construction et la diminution du nombre de clients comme motifs de leur pessimisme. En conséquence, la situation de l’emploi s’est détériorée, les industriels se préparant à des temps plus difficiles à venir », ajoute l’économiste.

Il n’y a pas qu’en France où l’activité du secteur privé se contracte. Au sein de la zone euro, où l’économie reste plombée par la mauvaise santé du secteur industriel, l’indice PMI pour l’industrie manufacturière s’est établi à 42,7 (contre 43,4 en juin), au plus bas depuis plus de trois ans.

De même, l’activité du secteur privé a fortement reculé au mois de juillet, indique l’indice Flash publié le 24 juillet par S&P Global qui s’est replié à 48,9.

Le secteur des services a lui aussi connu un net ralentissement de l’activité (à 51,1 contre 52 en juin), au plus bas depuis six mois.

 

France- Croissance industrie manufacturière : net recul

France- Croissance industrie manufacturière : net recul

 

L’indice PMI  est passé de 45,5 en juin à 44,0 en juillet, se maintenant ainsi « sous la barre du 50, sans changement pour un dix-huitième mois consécutif ». Pour rappel, un indice supérieur à 50 témoigne d’une expansion de l’activité. A l’inverse, un chiffre inférieur à ce seuil reflète un tassement.

A l’origine de cette contraction qui s’est « intensifiée » : une forte chute des nouvelles commandes.

« Le volume global des ventes des fabricants a en effet affiché sa plus forte baisse depuis six mois, près d’un tiers des répondants ayant fait état d’un affaiblissement de la demande par rapport au mois de juin. Les nouvelles commandes à l’export ont également diminué en juillet », est-il détaillé.

Les fabricants français font notamment face à une hausse des prix de leurs achats, « l’inflation s’étant accélérée par rapport à juin pour afficher son plus haut niveau depuis un an et demi », précise l’enquête.

Par ailleurs, la confiance des entreprises reste morose. Elle s’est ainsi repliée pour le deuxième mois consécutif, signe que les perspectives d’activité se sont dégradées, note l’enquête. « Les industriels français se sentent moins optimistes quant à l’avenir (…) Ils ont cité la baisse des commandes du secteur de la construction et la diminution du nombre de clients comme motifs de leur pessimisme. En conséquence, la situation de l’emploi s’est détériorée, les industriels se préparant à des temps plus difficiles à venir », ajoute l’économiste.

Il n’y a pas qu’en France où l’activité du secteur privé se contracte. Au sein de la zone euro, où l’économie reste plombée par la mauvaise santé du secteur industriel, l’indice PMI pour l’industrie manufacturière s’est établi à 42,7 (contre 43,4 en juin), au plus bas depuis plus de trois ans.

De même, l’activité du secteur privé a fortement reculé au mois de juillet, indique l’indice Flash publié le 24 juillet par S&P Global qui s’est replié à 48,9.

Le secteur des services a lui aussi connu un net ralentissement de l’activité (à 51,1 contre 52 en juin), au plus bas depuis six mois.

 

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