Archive pour le Tag 'dollars'

Dollars en hausse, Euro en baisse

Dollars en hausse, Euro en baisse

 

Conséquence directe de l’élection de Trump aux États-Unis, l’euro enregistre une baisse par rapport au dollar. Par ailleurs la Bourse de Paris a chuté de 2,69% à la clôture, Francfort de 2,13%, Milan de 2,15% et Londres a abandonné 1,22%.

Ces évolutions découlent de la politique fiscale annoncée par le nouveau président des États-Unis et qui se traduira notamment par une surtaxe allant de 10 à 20% sur l’ensemble des produits étrangers entrant aux Etats-Unis et  jusque 60% pour ceux provenant de Chine.

À Wall Street, les indices font une pause après avoir cumulé les records ces derniers jours. Vers 16H55 GMT, le Dow Jones lâchait 0,49%, le S&P 500 0,25% et le Nasdaq 0,10%.

Pour l’avenir des inquiétudes demeurent. En effet la multiplication des politiques protectionnistes va se traduire par une réduction des échanges et de l’activité mondiale. Quant aux politiques fiscales, elles vont créer un choc  d’inflation

Le  dollar continue de gagner du terrain, bénéficiant des attentes d’une politique monétaire plus restrictive de la part de la banque centrale américaine (Fed), en raison des risques inflationnistes du programme du futur président américain. Vers 14H50 GMT, le billet vert gagnait 0,53% à 1,0599 dollar pour un euro, qui était au plus bas depuis un an face à la devise américaine. Le taux d’intérêt de l’emprunt américain de référence sur dix ans bondissait à 4,41%, contre 4,30% à la dernière clôture vendredi. La veille, le marché obligataire américain était fermé en raison d’un jour férié.

 

1,38 milliard de dollars de cryptomonnaies volés en 6 mois

1,38 milliard de dollars de cryptomonnaies volés en 6 mois

De quoi refroidir sérieusement les investisseurs:  la monnaie considérée la plus sûre du monde justement parce qu’elle est particulièrement cryptée est de plus en plus victime de piratage informatique et dont souvent on ne retrouve pas les auteurs. 1,38 milliard de dollars en cryptomonnaies a été volé par des pirates informatiques sur les six premiers mois de l’année 2024. C’est le bilan fait par la plateforme TRM Labs, qui veille sur la criminalité dans le monde de la cryptomonnaie. C’est deux fois plus qu’à la même période l’année dernière : 657 millions de dollars.

La plus grande attaque de l’année remonte au mois de mai. La plateforme japonaise DMM Bitcoin a été volée pour près de 300 millions de dollars (au cours de l’époque), soit 4500 bitcoins. Les auteurs de l’attaque restent toujours inconnus. Celle-ci avait été qualifiée par une société d’analyse américaine de «septième piratage de cryptos le plus important de tous les temps». Ces chiffres restent toutefois encore loin de ceux de l’année 2022. À l’époque, 2 milliards de dollars avaient volé sur les six premiers mois de l’année.

Dans la conclusion de son bilan, la plateforme américaine propose des pistes de protection pour les entreprises et les particuliers. Parmi elles, des «audits de sécurité réguliers», un «cryptage robuste» ou encore des sessions de «sensibilisation à la sécurité» pour les employés. Mais elle conclut en rappelant qu’aucune mesure de protection «n’est infaillible» face aux hackeurs.

Economie-TotalEnergies : 5,7 milliards de dollars …et menace de départ à New York

 

Total a enregistré un bénéfice net de 5,7 milliards de dollars au premier trimestre 2024, améliorant encore ses résultats de 3% par rapport aux trois premiers mois de l’année 2023. En raison peut-être des menaces sur les profits des entreprises localisées en France, Total réfléchit à une cotation principale à New York. Une sorte de délocalisation glissante du siège ?

 

Depuis 2012, la part de l’actionnariat institutionnel nord américain est passée de 33% à 48% (dont 47% pour les Etats-Unis) en 2023 tandis que celle de l’Europe (hors Royaume-Uni) est passée de 45% à 34% sur la même période. L’actionnariat institutionnel représente 78% de l’actionnariat total de l’entreprise. « L’emplacement du siège social n’est pas remis en question, dit-il : il restera à Paris », Déclare cependant le patron de l’entreprise. La question est pour combien de temps ?

« En Europe, au lieu de soutenir les entreprises européennes qui veulent faire cette transition, même si c’est difficile, ils nous regardent et nous disent : regardez, vous continuez à produire du pétrole et du gaz », a-t-il déclaré.

Une sorte d’avertissement pour le gouvernement français notamment ?

 

TotalEnergies : 5,7 milliards de dollars …et cotation principale à la bourse de New York ?

TotalEnergies : 5,7 milliards de dollars …et cotation principale à la bourse de New York ? 

Total a enregistré un bénéfice net de 5,7 milliards de dollars au premier trimestre 2024, améliorant encore ses résultats de 3% par rapport aux trois premiers mois de l’année 2023.

En raison peut-être des menaces sur les profits des entreprises localisées en France, Total réfléchit à une cotation principale à New York. Une sorte de délocalisation glissante du siège ?

 

Depuis 2012, la part de l’actionnariat institutionnel nord américain est passée de 33% à 48% (dont 47% pour les Etats-Unis) en 2023 tandis que celle de l’Europe (hors Royaume-Uni) est passée de 45% à 34% sur la même période. L’actionnariat institutionnel représente 78% de l’actionnariat total de l’entreprise. « L’emplacement du siège social n’est pas remis en question, dit-il : il restera à Paris », Déclare cependant le patron de l’entreprise. La question est pour combien de temps ?

« En Europe, au lieu de soutenir les entreprises européennes qui veulent faire cette transition, même si c’est difficile, ils nous regardent et nous disent : regardez, vous continuez à produire du pétrole et du gaz », a-t-il déclaré.

Une sorte d’avertissement pour le gouvernement français notamment ?

 

Trump condamné à près de 35o millions de dollars d’amende pour fraudes

États-Unis : Donald Trump condamné à près de 35o millions de dollars d’amende pour fraudes

 

La justice a condamné l’ancien président à 35o millions d’amendes et explique comment Trump a systématiquement truqué les valeurs de certaines de ses propriétés  pour obtenir des prêts à des taux préférentiels.

 

Trump, dont les apparitions au procès ont donné lieu à des sorties tumultueuses, a qualifié le verdict de «fumisterie». Dans un communiqué, il a attaqué le procureur démocrate Letitia James «raciste et corrompue»«le juge véreux Engoron» et «un jugement illégal et anti-américain contre moi, ma famille et mon incroyable entreprise». «Il n’y a pas eu de victimes, pas de dommages, pas de plaintes. Il n’y a eu que des banques et des compagnies d’assurance satisfaites», a affirmé Trump.

 

Plus 1500 milliards de dollars en 2023 pour les plus riches

Plus 1500 milliards de dollars en 2023 pour les plus riches


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres. Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Fortune des plus riches : plus 1500 milliards de dollars en 2023

Fortune des plus riches : plus 1500 milliards de dollars en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres. Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres.Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Profits – 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Profits – 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres. Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants. À noter que les salariés et autres ménages ont perdu à peu près autant au moins du fait de l’inflation au plan mondial.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste. Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Inégalités- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Inégalités- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres. Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants. À noter que les salariés et autres ménages ont perdu à peu près autant au moins du fait de l’inflation au plan mondial.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Business- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres.Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants. À noter que les salariés ont perdu à peu près autant au moins du fait de l’inflation au plan mondial.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

Société- 1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres.Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023

1.500 milliards de dollars : L’accroissement de la fortune des plus riches en 2023


L’année 2023 conforte les caractéristiques de l’évolution sociale avec des riches de plus en plus riches et des pauvres de plus en plus pauvres.Ainsi, fortune cumulée des 500 personnes les plus riches du monde a progressé, après avoir chuté de 1.400 milliards de dollars en 2022. Les patrons de la tech en sont les grands gagnants.

Parallèlement une grande partie de la pauvreté persiste.Il y a près de 700 millions de personnes en situation d’extrême pauvreté dans le monde, c’est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois).

Les chiffres de la pauvreté dans le monde reste très élevés
La Banque mondiale l’affirme elle-même : “Une famille ne sort pas de la pauvreté quand elle dépasse le seuil international de pauvreté de [2,15$/jour]”. C’est pourquoi, depuis 2018, elle a établi deux autres seuils de pauvreté pour prendre en compte le développement des pays pauvres et émergents : 3,65 dollars par jour et 6,85$/jour. Pour ces seuils, les taux de pauvreté dans le monde sont respectivement de 25% et de 47%.

Autrement dit, près de la moitié de la population mondiale vit avec moins de 6,85 dollars par jour.
Et une personne sur quatre, soit près de 2 milliards d’hommes, de femmes et d’enfants, vivent avec moins 3,65 dollars par jour.

Dans le même temps, les 500 personnes les plus riches du monde ont vu leur fortune cumulée bondir de 1.500 milliards de dollars, selon les calculs du « Billionaires Index » de Bloomberg. Un bilan qui compense les 1.400 milliards de dollars perdus en 2022 par les 500 milliardaires les plus riches.

Les gains enregistrés en 2023 sont étroitement liés à la performance des valeurs technologiques , qui ont atteint de nouveaux records malgré les craintes de récession, l’inflation persistante, des taux d’intérêt élevés et les troubles géopolitiques. Notamment propulsés par l’intelligence artificielle, les patrons de la tech ont vu leur richesse augmenter de 48 %, soit de 658 milliards de dollars.

Elon Musk est celui qui a le plus profité de cet emballement des marchés. Le PDG de Tesla a gagné 95,4 milliards de dollars supplémentaires, soutenu par le succès de Tesla et SpaceX, après avoir perdu 138 milliards de dollars en 2022. Il conforte ainsi son statut d’homme le plus riche du monde, devant le patron de LVMH Bernard Arnault (propriétaire des « Echos »).

Mark Zuckerberg enregistre le deuxième plus gros gain de l’année. Le PDG de Meta a gagné plus 80 milliards de dollars, tandis que la fortune du fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a bondi de 70 milliards de dollars.

Le milliardaire indien Gautam Adani a pour sa part perdu 21 milliards de dollars rien que le 27 janvier – et 37,3 milliards de dollars sur l’ensemble de l’année – après que le vendeur à découvert Hindenburg Research a fait chuter la valeur du groupe Adani. Il est néanmoins toujours à la tête d’une fortune à 11 chiffres.

Héritière de la fortune L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers , 70 ans, est quant à elle devenue la première femme à la tête d’une fortune de plus de 100 milliards de dollars. Sa fortune a bondi de 40 % cette année alors que les actions de L’Oréal ont atteint un niveau record.

Lutte climatique: où sont passés les 100 milliards de dollars d’aide ?

Lutte climatique: où sont passés les 100 milliards de dollars d’aide ?

L’OCDE affirme que les pays riches ont sans doute atteint l’aide de 100 milliards par an pour lutter contre les conséquences du changement climatique. Reste cependant à savoir si cette aide qui doit être prolongé même amplifier ira effectivement en direction d’une politique de maîtrise des conséquences du changement de climat.

Si l’on se réfère à l’aide au développement, force est de constater qu’une partie des contributions financières finit dans les sables, dans les cathédrales administratifs des grandes organisations ou directement dans la poche des dirigeants de pays bénéficiaires. Or nombre de pays potentiellement bénéficiaires souhaitent une aide directe sans intermédiaire. Les pays donateurs de leur côté préfèrent non pas une nouvelle institution pour gérer ces aides considérables mais la médiation de la Banque mondiale qui a le mérite d’exister.

Indiscutablement les pays en développement méritent d’être soutenus non seulement pour des questions climatiques mais aussi pour aider au développement économique et freiner l’émigration sauvage.

Malheureusement dans beaucoup de pays en développement, la gouvernance est catastrophique et c’est tout un système de corruption qui profite aux cercles du pouvoir et dans la population on voit difficilement la réalité par exemple dans la réfection des infrastructures de transport, la santé ou l’éducation et plus généralement dans le développement socio-économique..

« D’ici 2025, on estime que les pays en développement auront besoin d’environ 1.000 milliards de dollars par an pour les investissements climatiques, ce chiffre passant à environ 2.400 milliards chaque année entre 2026 et 2030 », rappelle Matthias Cormann, secrétaire général de l’OCDE.

« D’ici 2025, on estime que les pays en développement auront besoin d’environ 1.000 milliards de dollars par an pour les investissements climatiques, ce chiffre passant à environ 2.400 milliards chaque année entre 2026 et 2030 », rappelle Matthias Cormann, secrétaire général de l’OCDE.

Pour rappel, sous l’égide de la Convention des Nations unies sur la lutte contre le changement climatique (CNUCC), les pays riches, principaux responsables historiques des émissions de gaz à effet de serre, s’étaient engagés à porter à 100 milliards de dollars par an leur aide climatique d’ici 2020. Mais les choses ont pris plus de temps que prévu. Le retard pris pour honorer cette promesse est devenu un motif de tension majeur, voire de blocage, dans les négociations climatiques internationales. Or celles-ci culmineront cette année lors de la COP28 du 30 novembre au 12 décembre à Dubaï.

Dans son dernier rapport annuel sur le financement de l’adaptation climatique publié le 2 novembre dernier, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) affirme que le financement des pays en développement a reculé de 15% en 2021 sur un an, signe que la lutte contre le changement climatique « patine », a déploré son secrétaire général Antonio Guterres. Il estime que certains de ces pays exigeraient même des financements jusqu’à 18 fois supérieurs aux montants actuels. Au total, le rapport souligne que « le déficit de financement se creuse, désormais compris entre 194 et 366 milliards de dollars par an », en dépit de l’accélération du réchauffement climatique.

« La présidence de la COP28 et le commissaire européen ont souligné l’importance de rendre opérationnels le fonds de financement des « pertes et dommages » lors de la COP28 et l’importance des promesses de dons initiales », affirme la déclaration Wopke Hoekstra, co-écrite avec le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber. « La COP28 est une occasion déterminante de faire preuve d’unité et de restaurer la foi dans le multilatéralisme dans un monde polarisé », affirment les deux auteurs.

Action climatique : où sont passés les 100 milliards de dollars d’aide ?

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L’OCDE affirme que les pays riches ont sans doute atteint l’aide de 100 milliards par an pour lutter contre les conséquences du changement climatique. Reste cependant à savoir si cette aide qui doit être prolongé même amplifier ira effectivement en direction d’une politique de maîtrise des conséquences du changement de climat.

Si l’on se réfère à l’aide au développement, force est de constater qu’une partie des contributions financières finit dans les sables, dans les cathédrales administratifs des grandes organisations ou directement dans la poche des dirigeants de pays bénéficiaires. Or nombre de pays potentiellement bénéficiaires souhaitent une aide directe sans intermédiaire. Les pays donateurs de leur côté préfèrent non pas une nouvelle institution pour gérer ces aides considérables mais la médiation de la Banque mondiale qui a le mérite d’exister.

Indiscutablement les pays en développement méritent d’être soutenus non seulement pour des questions climatiques mais aussi pour aider au développement économique et freiner l’émigration sauvage.

Malheureusement dans beaucoup de pays en développement, la gouvernance est catastrophique et c’est tout un système de corruption qui profite aux cercles du pouvoir et dans la population on voit difficilement la réalité par exemple dans la réfection des infrastructures de transport, la santé ou l’éducation et plus généralement dans le développement socio-économique..

« D’ici 2025, on estime que les pays en développement auront besoin d’environ 1.000 milliards de dollars par an pour les investissements climatiques, ce chiffre passant à environ 2.400 milliards chaque année entre 2026 et 2030 », rappelle Matthias Cormann, secrétaire général de l’OCDE.

« D’ici 2025, on estime que les pays en développement auront besoin d’environ 1.000 milliards de dollars par an pour les investissements climatiques, ce chiffre passant à environ 2.400 milliards chaque année entre 2026 et 2030 », rappelle Matthias Cormann, secrétaire général de l’OCDE.

Pour rappel, sous l’égide de la Convention des Nations unies sur la lutte contre le changement climatique (CNUCC), les pays riches, principaux responsables historiques des émissions de gaz à effet de serre, s’étaient engagés à porter à 100 milliards de dollars par an leur aide climatique d’ici 2020. Mais les choses ont pris plus de temps que prévu. Le retard pris pour honorer cette promesse est devenu un motif de tension majeur, voire de blocage, dans les négociations climatiques internationales. Or celles-ci culmineront cette année lors de la COP28 du 30 novembre au 12 décembre à Dubaï.

Dans son dernier rapport annuel sur le financement de l’adaptation climatique publié le 2 novembre dernier, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) affirme que le financement des pays en développement a reculé de 15% en 2021 sur un an, signe que la lutte contre le changement climatique « patine », a déploré son secrétaire général Antonio Guterres. Il estime que certains de ces pays exigeraient même des financements jusqu’à 18 fois supérieurs aux montants actuels. Au total, le rapport souligne que « le déficit de financement se creuse, désormais compris entre 194 et 366 milliards de dollars par an », en dépit de l’accélération du réchauffement climatique.

« La présidence de la COP28 et le commissaire européen ont souligné l’importance de rendre opérationnels le fonds de financement des « pertes et dommages » lors de la COP28 et l’importance des promesses de dons initiales », affirme la déclaration Wopke Hoekstra, co-écrite avec le président émirati de la COP28, Sultan Al Jaber. « La COP28 est une occasion déterminante de faire preuve d’unité et de restaurer la foi dans le multilatéralisme dans un monde polarisé », affirment les deux auteurs.

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